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- La menace fantôme : les HomePod mini et HomePod 2 souffrent d'un problème d'activation inopinée sur la partie tactile
La menace fantôme : les HomePod mini et HomePod 2 souffrent d'un problème d'activation inopinée sur la partie tactile
Apple a visiblement un problème avec les HomePod mini et les HomePod 2 : sur les deux enceintes connectées, de nombreuses personnes souffrent d'un problème lié à la partie tactile, qui s'active sans raison particulière. Un de nos développeurs a ce problème avec un HomePod 2 et votre serviteur a été touché avec un HomePod mini.

Des activations fantômes
Les symptômes sont simples : des activations fantômes de la partie tactile. Le HomePod peut se mettre en pause, démarrer de la musique, augmenter le volume, etc. Et croyez-en mon expérience, quand un HomePod se déclenche seul au milieu de la nuit et mettant le volume à fond, ce n'est pas très amusant. Sans que le souci soit généralisé, il y a de nombreux messages mettant en avant ce problème, que ce soit sur Reddit ou sur nos forums.

D'un point de vue purement pratique, c'est un problème énervant car aléatoire, et surtout bloquant dans certains cas : la méthode officielle pour remettre à zéro un HomePod mini — ce qu'Apple vous demandera probablement de faire si vous appelez le SAV — consiste justement à utiliser la partie tactile… ce qui peut amener une boucle de remise à zéro.
Une solution peu pratique
Le site FixPod, qui est un de nos partenaires, nous a confirmé que le problème touchait autant les HomePod 2 que les HomePod mini. Pour le HomePod 2, ils proposent deux types de réparation : le débranchement de la partie tactile, pour 70 €, ou le remplacement de cette dernière pour 120 €. Dans le premier cas, le problème d'activation fantôme va logiquement disparaître, mais vous perdrez dans la foulée la possibilité de contrôler physiquement l'enceinte. Comme le HomePod 2 peut être contrôlé à la voix ou depuis un autre appareil, ce n'est pas un énorme problème.
Les HomePod 2 menacés par des pannes du pavé tactile et de l’alimentation
Dans le cas du HomePod mini, seul le débranchement de la partie tactile est proposé, là aussi pour 70 €. Une modification qui n'est pas nécessairement intéressante financièrement : un HomePod mini neuf vaut 110 €, avec le risque éventuel que le nouveau modèle soit touché par le même problème. Comme pour le HomePod 2, un HomePod mini sans zone tactile reste fonctionnel. Pour les amateurs, il est possible d'effectuer la manipulation et le HomePod mini se démonte assez facilement… mais est très compliqué à remonter.

Comme le problème semble assez courant, il semble difficile de recommander l'achat d'un HomePod actuellement, sans même prendre en compte le fait que le HomePod 2 et le HomePod mini sont des produits assez anciens dans la gamme Apple. De nombreuses rumeurs indiquent qu'Apple pourrait bientôt les renouveler… en espérant que la marque prenne en compte ce défaut.
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- Jusqu'à 360 € de cash back sur le MacBook Pro M5 et des offres intéressantes sur les Apple Watch Ultra 2 et AirPods Max
Jusqu'à 360 € de cash back sur le MacBook Pro M5 et des offres intéressantes sur les Apple Watch Ultra 2 et AirPods Max
Rakuten propose aujourd’hui plusieurs produits Apple avec un niveau de cash-back élevé. Le MacBook Pro M5 à 1 799 € permet de récupérer jusqu’à 359,80 € sous forme de cash-back. Même principe pour l’Apple Watch Ultra 2 à 659 € (jusqu’à 131,80 € de cash-back) et les AirPods Pro Max à 499,99 € (jusqu’à 100 €). L’expédition est assurée par Darty dans le cas du MacBook Pro.
Le MacBook Pro M5 à 1 799 €, avec jusqu’à 359,80 € en cash-back
Rakuten en collaboration avec Darty, propose le nouveau portable d’Apple au prix de 1799 €. Il s’agit de son prix public. Là où les choses deviennent intéressantes, c’est sur le niveau de cash-back qui est proposé. En fonction de votre statut chez Rakuten, plus vous êtes un client fidèle, plus ce montant est élevé.
Concrètement, voilà ce que cela donne :
- 179,90€ en RP pour les membres Regular
- 215,88€ en RP pour les membres Silver
- 269,85€ en RP pour les membres Gold
- 359,80€ en RP pour les membres Platinum
L’adhésion au club est bien entendu gratuite. Donc, si vous faites votre premier achat chez Rakuten, vous obtiendrez 179,90 € à utiliser pour un achat ultérieur. Précisons que, dans le cas présent, la transaction est assurée par Rakuten, mais le vendeur en charge de l’expédition, c’est bien Darty.
Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace
Jusqu’à 130 € de cash-back sur une Apple Watch Ultra 2 et 100 € sur des AirPods Pro Max
Autre exemple intéressant : l’Apple Watch Ultra 2. Vous pouvez l’obtenir pour 659 €, un prix qui est relativement intéressant. À titre de comparaison, l’Apple Watch Ultra 3 est vendu 899 € en Apple Store. Précision : il s’agit d’un modèle d’importation.
Sur l’achat de ce modèle, vous obtiendrez 65,90 € en cash-back si vous êtes membre Regular. Et pour les membres Platinum, c’est encore mieux : vous obtiendrez le double de cette somme pour une commande ultérieure. De quoi s’acheter quelques bracelets…
Autre exemple intéressant : les AirPods Pro Max (USB-C) qui sont proposés à 499,99 €, soit une remise de 80 € sur le prix public. Il s’agit là également d’un produit d’import. En fonction de votre statut chez Rakuten, vous aurez entre 50 et 100 € de cashback.
Le code source de l'App Store en ligne a fuité
Il y a quelques jours, Apple a mis en ligne une version en ligne de son App Store, qui permet de naviguer dans les très nombreuses applications proposées pour les différents systèmes d'exploitation d'Apple. Et visiblement la personne qui a mis la nouvelle version en production — un lundi, pourtant — a fait une petite erreur. En effet, le code source était disponible.

Apple utilise le langage TypeScript et le code source qui a fuité n'est que celui du front-end, c'est-à-dire la partie client du code. Sur le papier, ce n'est d'ailleurs pas un énorme problème : il y a simplement un développeur qui a oublié de cocher une case. En temps normal, le code en question est rendu illisible avec ce que l'on appelle de l'obfuscation. Ce néologisme anglais peut être traduit par opacification ou brouillage, et c'est une méthode extrêmement courante, qui permet aussi de réduire la taille des fichiers récupérés par le client.
Ce n'est pas un réel problème de sécurité
Le code récupéré est sur GitHub, et il n'a pas un intérêt évident au premier abord, sauf peut-être si vous avez envie de découvrir comment les développeurs d'Apple codent. Mais il y a tout de même des choses intéressantes, comme les commentaires. Si vous parcourez le code, vous verrez de nombreux TODO, des explications sur les optimisations SEO (pour le référencement), des liens vers des rapports de bugs chez Apple, etc. Les commentaires en question n'ont pas vocation à être publics, même si les risques de sécurité sont a priori assez faibles.

L’App Store s’affiche en totalité dans un navigateur web
macOS 26.1 casse iCloud dans les machines virtuelles macOS
Méfiez-vous si vous utilisez une machine virtuelle macOS et que vous voulez utiliser macOS 26.1, une version sortie récemment. En effet, un bug empêche le fonctionnement d'iCloud dans les machines virtuelles, comme le note Der Flounder. iCloud a besoin d'un numéro de série valide pour fonctionner, et avec macOS 26.1, le numéro de série des machines virtuelles est vide.

C'est un problème documenté chez Apple, qui peut aussi poser des problèmes avec les applications qui emploient le numéro de série pour identifier l'utilisateur d'une façon ou d'une autre, ce qui peut arriver avec certains logiciels payants. Notons tout de même que macOS 26.1 reste utilisable dans l'absolu dans une machine virtuelle, tant que vous n'avez pas besoin d'iCloud ni de logiciels payants.
Pas de solutions, en attendant macOS 26.1.1 ?
Pour le moment, il n’y a pas de solutions évidentes pour régler le problème. Celui-ci affecte autant les machines virtuelles créées directement sous macOS 26.1 que celles mises à jour vers cette version. Le seul contournement possible est tout simplement de rester sous macOS 26.0.1 en attendant qu'Apple corrige le problème avec une éventuelle version 26.1.1.
macOS Tahoe 26.1 est disponible : voici toutes les nouveautés !
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- « Apple Creator Studio » : à quoi correspond cette mystérieuse référence trouvée dans iOS 26.2 ?
« Apple Creator Studio » : à quoi correspond cette mystérieuse référence trouvée dans iOS 26.2 ?
Outre un paquet de petites nouveautés, la première bêta d’iOS 26.2 sortie hier cache une mention intrigante. Le fouineur @aaronp613 a repéré une référence à un « Apple Creator Studio ». Qu’est-ce que ça peut bien être ? À ce stade, on ne peut faire que des suppositions.

Le mot « Studio » peut évoquer le Studio Display, l’écran externe de la Pomme, sachant en plus qu’un nouveau modèle serait en préparation. Mais le fabricant n’a pas l’habitude d’écrire en toutes lettres le nom de ses appareils dans ses systèmes avant leur sortie.
Il est donc plus vraisemblable que cet « Apple Creator Studio » fasse référence à un logiciel ou à un service. Peut-être un renommage ou une refonte de Pixelmator Pro, désormais propriété d’Apple ? Toutefois une autre rumeur évoque un portage de Pixelmator Pro sur iPad, alors c’est contradictoire.
Autre hypothèse : une offre par abonnement regroupant plusieurs applications créatives d’Apple. Actuellement, les versions iPad de Final Cut Pro et de Logic Pro coûtent chacune 4,99 €/mois ou 49 €/an. Sachant qu’Apple prépare manifestement l’arrivée de Compressor, Motion, MainStage et donc Pixelmator Pro sur cette plateforme, il ne serait pas surprenant de voir apparaître une formule unifiée, façon Creative Cloud.
OWL : comment OpenAI a isolé Chromium pour bâtir ChatGPT Atlas
ChatGPT Atlas est le navigateur web d’OpenAI et comme tous ses concurrents sur le segment des navigateurs dopés à l’IA, il est basé sur Chromium. Cette base open-source développée par Google est un incontournable, elle permet de créer son propre navigateur sans avoir à repartir de zéro, une tâche dantesque qui n’aurait pas tellement de sens en 2025. Pour autant, le créateur de ChatGPT ne s’est pas contenté de reprendre Chromium et de lui glisser une barre latérale avec son chatbot. Son navigateur est nettement plus ambitieux que cela, comme OpenAI le détaille sur son blog.
Chromium sert uniquement de fondations pour afficher les pages web, ce qui reste l’activité principale dans un navigateur évidemment. L’entreprise a toutefois décidé de créer sa propre enveloppe, en utilisant du code natif sur chaque plateforme, et en chargeant le moteur de rendu de Google depuis cette enveloppe. Le principe est nommé en interne OWL, pour OpenAI’s Web Layer, et son idée est de séparer aussi strictement que possible Chromium du reste d’Atlas. Concrètement, l’enveloppe est une interface codée en SwiftUI et AppKit pour la version macOS et probablement iOS, les deux frameworks d’interface d’Apple (AppKit est l’historique, SwiftUI le plus moderne).
C’est elle qui se lance en premier quand on ouvre ChatGPT Atlas et c’est elle qui se charge ensuite de faire appel à Chromium. Si le sujet vous intéresse, je vous encourage à lire l’article d’OpenAI qui entre dans les détails vraiment techniques sur la méthode utilisée pour faire cohabiter les deux et notamment sur la communication entre la partie native d’Atlas et Chromium. C’est une relation d’autant plus complexe à gérer que le navigateur peut activer le mode agent de ChatGPT, qui va agir sur le curseur à la place de l’utilisateur et qui a nécessité des aménagements bien spécifiques.
Pour les utilisateurs, cette architecture complexe a plusieurs avantages, d’après les développeurs d’OpenAI. D’une part, un lancement qui paraît plus rapide, puisque l’on lance une app native et qu’elle est disponible presque instantanément. S’il faut ensuite charger Chromium et c’est une opération qui prend du temps, l’interface apparaît plus rapidement grâce à ce choix. Par ailleurs, si un bug sur une page web mène à un plantage de Chromium, ChatGPT Atlas ne plantera pas, tandis qu’un ralentissement n’aura pas forcément d’effet sur le navigateur dans l’ensemble.
Ce choix a apporté d’autres avantages en interne. OpenAI n’a pas eu besoin de modifier en profondeur Chromium, puisque l’entreprise a créé sa propre interface au lieu d’ajuster celle de Google. D’un point de vue stratégique, c’est aussi une manière de limiter sa dépendance à cette base technique. Même si c’est improbable à court et moyen terme, on pourrait imaginer qu’un jour, une alternative plus complète ou mieux conçue voie le jour et le cas échéant, l’entreprise pourrait plus facilement basculer son navigateur sur cette nouvelle fondation.
Pour ses développeurs, cela signifie aussi qu’il n’est pas nécessaire de compiler Chromium à chaque modification d’Atlas, un gain de temps conséquent qui a permis d’avancer plus rapidement, argumente le créateur de ChatGPT. Cet article de blog est autant une manière de montrer que ChatGPT Atlas n’est pas qu’une version légèrement modifiée de Chrome qu’une manière d’attirer des développeurs pour gonfler ses équipes. La version iOS semble être la priorité suivante, mais OWL devrait continuer de servir pour les versions Android et Windows du navigateur web, cette fois avec d’autres langages et frameworks.
Vous pouvez tester ChatGPT Atlas gratuitement, à condition toutefois d’avoir un compte ChatGPT, le navigateur est inutilisable sans cela. Un compte payant est nécessaire pour l’exploiter pleinement et notamment son mode agent, qui manipule les pages web à votre place. Je l’ai testé en guise de navigateur web par défaut pendant une semaine à la place de Safari et j’ai apprécié son interface soignée, même si les fondations fournies par Google sont rapidement visibles.
J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal
Avec iOS 26.2, Apple prépare un appairage de 30 jours pour AirDrop

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Pour les alertes, iOS 26.2 peut faire clignoter son écran en plus du flash

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Trois petites nouveautés pour Apple Podcasts avec iOS 26.2

iOS 26.2 : l'application Freeform gagne la prise en charge des tableaux

iOS 26.2 et watchOS 26.2 durcissent le score de sommeil

Delta adopte les cartes d’embarquement enrichies d’iOS 26
Lors de la dernière WWDC, Apple a promis une amélioration pour les voyageurs : l’app Cartes va mieux prendre en charge les cartes d’embarquement, avec des activités en direct indiquant le trajet et la possibilité de partager les informations à ses proches. La fonction s’est élargie à la compagnie Delta via une récente modification côté serveurs, la rendant accessible sur toutes les versions d’iOS 26.
Looks like Delta is supporting upgraded boarding passes with 26.2 beta 1! (Removed some info for security)@MacRumors @9to5mac @BetaProfiles @iupdate @app_settings pic.twitter.com/UKTV00JRGn
— Aaron Binner (@binner_aar99282) November 4, 2025
Jusqu’à iOS 18, les cartes d’embarquement étaient assez limitées dans Cartes, se contentant de garder une copie numérique du billet. Avec iOS 26, l’app affiche désormais le terminal, la porte d’embarquement et le numéro du tapis de bagages à l’arrivée. Une activité en direct propose un suivi du vol directement sur l’écran verrouillé. Un plan interactif de l’aéroport est rapidement accessible, tout comme vers l’app Localiser pour suivre une valise.
Ces cartes enrichies sont intéressantes, mais leur déploiement se fait au compte goutte. United a été la première à sauter le pas et était jusqu’à présent la seule. En juin, Apple avait annoncé 8 autres partenaires : Air Canada, American Airlines, JetBlue, Southwest, Lufthansa, Qantas, Virgin Australia et Jetstar.

La nouveauté n’est pas sans évoquer Flighty, une app récompensée par Apple en 2023 pensée pour les grands voyageurs. Elle permet d’aller plus loin que la solution d’Apple en indiquant la météo sur le lieu d’arrivée ou de voir un historique de ses vols sur une jolie carte. Apple a pour avantage son intégration native et sa gratuité, Flighty imposant un abonnement d’une cinquantaine d’euros par an pour accéder au cœur de ses fonctions.
La concurrence s’est réduite dans le domaine des apps de suivi de vol. App in the Air a mis la clé sous la porte l’année dernière. En plus de Flighty, les voyageurs peuvent aussi se tourner vers TripIt ou FlightRadar, deux concurrents nécessitant également un abonnement annuel. Notons cependant que les apps de certaines compagnies comme Air France proposent des activités en direct bien pratiques.
iOS 26.2 va permettre d'intégrer des alarmes aux rappels
