Vue normale
L'iPhone 17 Pro aurait cette fonctionnalité vidéo des Samsung Galaxy
Apple face à Bruxelles : une amende ou un compromis ?
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Promo : un SSD Lexar spécialement pensé pour les iPhone 15 et 16 Pro à partir de 137 € au lieu de 170
Promo : un SSD Lexar spécialement pensé pour les iPhone 15 et 16 Pro à partir de 137 € au lieu de 170
Les iPhone 15 Pro et 16 Pro sont équipés d’une prise USB-C de troisième génération, suffisamment rapide pour exploiter un SSD notamment lors d’un enregistrement vidéo. Fort de cette capacité, Lexar a conçu des petits SSD parfaitement optimisés pour cet usage, puisqu’ils viennent discrètement se positionner sous l’iPhone et n’empêchent aucunement leur usage. Le Lexar Professional Go Portable SSD est actuellement en promotion à son tarif le plus faible, ce qui le rend intéressant si vous filmez régulièrement avec votre smartphone. Comptez ainsi 137 € au lieu de 179 € pour la version de 1 To, ou bien 198 € au lieu de 270 pour le modèle de 2 To.

Pour ce tarif, Lexar propose un SSD ultra compact (4,3 cm de large et 2,5 cm de haut pour 13 g), qui n’occupera même pas toute la largeur de l’iPhone. Il est aussi conçu pour résister aux chocs et même à l’eau et à la poussière, avec une certification IP65 qui devrait suffire y compris pour un tournage sous la pluie. Le fabricant vante des débits qui peuvent atteindre le gigabit par seconde en lecture comme en écriture, ce qui sera surtout utile pour décharger les vidéos tournées sur l’iPhone avec son ordinateur. La prise USB-C intégrée est à la norme USB-C 3.2 Gen 2.
Seule la version grise est en promotion à ces tarifs, la variante noire est au prix de base. Ajoutons que Lexar a aussi conçu un petit hub sur lequel vient se brancher le SSD et qui permet d’ajouter deux accessoires supplémentaires en USB-C, dont un chargeur pour l’iPhone qui en aura bien besoin pendant un tournage. La variante avec le hub est un petit peu plus chère : 161,5 € pour le 1 To ou alors 224,24 € pour le 2 To.

Lexar imagine un SSD qui ne bloque pas le port USB-C des iPhone ou iPad
Allez-vous remplacer vos services américains par des services européens ?
La guerre commerciale initiée par Donald Trump le 4 avril pose la question de la dépendance. Certain se sont lancés récemment dans le boycott de produits américains. Dans un univers aussi mondialisé que celui des nouvelles technologies, l’exercice est difficile. Il est impossible de se passer d’un iPhone, si vous voulez rester dans l’écosystème iOS.

Ce qui est difficile (mais pas impossible non plus) sur le plan matériel est tout à fait faisable dans le monde du logiciel et des services. C’est plus simple en tout cas à très court terme. Vous pouvez très bien remplacer Apple Musique par Deezer, Dropbox par pCloud, Gmail par Proton Mail ou encore Teams par Mattermost, qui est une solution open source. Notez que, dans cette problématique, l’open source a sans doute une grande carte à jouer.
Pour ceux que la question nous intéresse, nous avons publié hier un guide très complet consacré aux alternatives européennes aux services numériques américains. Nous ne pouvons qu’en vous conseiller la lecture. Même si vous n’êtes pas sensible à cette thématique, cela peut vous permettre de vous questionner sur certains de vos choix.
La question que nous vous posons aujourd’hui est de savoir si vous allez vous lancer dans la mesure du possible dans une démarche pour moins dépendre des services américains.
Instagram travaillerait pour de bon à une version iPad
Instagram plancherait sur la réalisation d'une version optimisée pour l'iPad affirme un employé qui s'en est confié auprès de The Information. Ce sujet d'une app qui permettrait de profiter des contenus d'Instagram sur le grand écran de la tablette est vieux comme le service lancé en 2010, quelques mois après l'iPad. On peut certes consulter Instagram sur un iPad, mais en installant la version iPhone et en utilisant l'affichage x2 qui étire l'image. C'est mieux que rien en mode portrait et ridicule en mode paysage avec de grandes barres noires de part et d'autre.

À plusieurs reprises la direction d'Instagram a écarté l'idée de consacrer du temps et de l'énergie à ce développement. Pas assez de moyens, pas assez de ressources, pas assez d'utilisateurs… tout y est passé alors que le réseau, devenu filiale de Facebook, n'a cessé de gagner en importance et en puissance. Il a même été évoqué, sans que cela soit très clair, une concurrence avec YouTube et TikTok. C'est précisément à cause, ou grâce, à TikTok qu'Instagram pour iPad aurait été remis sur le métier. Le service voudrait profiter des incertitudes qui entourent le réseau de ByteDance, lequel est décliné sur iPadOS et même visionOS.

Donald Trump signe un décret accordant un sursis de 75 jours à TikTok
Depuis que les nuages se sont amoncelés sur TikTok aux États-Unis, Instagram a apporté divers changements à son app — comme des vidéos de 3 minutes au lieu de 15 secondes, une fonction de lecture plus rapide — pour appâter les créateurs de contenus et faciliter la venue des utilisateurs du service concurrent.
La source de The Information n'a pas donné d'autres détails, en premier lieu la période à laquelle on peut espérer disposer de cette app iPad. WhatsApp, autre filiale de Meta, a aussi une app iPad en cours — c'est officiel, elle est disponible sur TestFlight pour les testeurs — mais cela fait un temps infini qu'elle y mijote.
États-Unis : les droits de douane montent à 104% pour la Chine

Donald Trump veut produire l’iPhone aux USA : rêve ou réalité ?
Donald Trump voudrait qu'Apple visse ses iPhone aux États-Unis
Apple peut transférer sur le sol américain la fabrication de ses iPhone et son problème de droits de douane ne sera plus qu'un mauvais souvenir. C'est ce qu'a expliqué en substance Karoline Leavitt, la porte-parole de la Maison-Blanche à l'occasion d'un point presse en fin de journée et alors que le bras de fer entre les États-Unis et la Chine est sur le point de se tendre encore.

Maggie Haberman, journaliste au New York Times, a demandé si le président Trump était d'accord avec les propos tenus ce week-end par Howard Lutnick, son Secrétaire au Commerce. Celui-ci avait déclaré : « L'armée des millions et des millions d'êtres humains qui vissent de petites vis pour fabriquer des iPhone — ce genre de chose va venir aux États-Unis ».
Karoline Leavitt a répondu que le président américain souhaitait en effet développer l'emploi manufacturier américain à tous les niveaux :
Le président souhaite augmenter le nombre d’emplois dans le secteur manufacturier ici, aux États-Unis, mais il s’intéresse également aux technologies de pointe. Il s’intéresse aussi à l’intelligence artificielle et aux domaines émergents en pleine expansion à travers le monde, dans lesquels les États-Unis doivent aussi être à l'avant-garde. Il existe une diversité d’emplois : des emplois manufacturiers plus traditionnels, mais aussi des emplois dans les technologies avancées. Le président s’intéresse à tous ces domaines. Il veut que ces emplois reviennent au pays.
La journaliste du New York Times a plus spécifiquement demandé si l'iPhone faisait partie de ces technologies qui peuvent être transférées aux États-Unis. « Absolument » a assuré Karoline Leavitt avant d'ajouter :
[Le président] pense que nous avons la main-d’œuvre, les travailleurs et les ressources nécessaires pour y parvenir. Comme vous le savez, Apple a investi 500 milliards de dollars ici, aux États-Unis. Donc, si Apple ne pensait pas que les États-Unis en étaient capables, ils n’auraient probablement pas investi une somme aussi énorme.
La porte-parole fait référence à l'annonce de la fin février pour un investissement aux États-Unis de 500 milliards de dollars étalé sur les quatre prochaines années. Une annonce opportune, faite peu après le changement d'administration, puisqu'Apple s'était gardée de préciser quelle part de ce montant colossal était déjà sur les rails bien avant la prise de fonction voire la réélection de Donald Trump.

Apple offre une victoire symbolique à Trump en confirmant 500 milliards de dollars d’investissements aux États-Unis
Dans son communiqué, Apple listait plusieurs domaines qui recevront ces investissements et elle insistait sur l'aide à la création de « milliers d'emplois très bien payés à travers le pays ». Il n'y en avait aucun qui, de près ou de loin, faisaient écho à ceux dont Apple profite en Chine et en Inde à travers ses fournisseurs. Des pays où les coûts salariaux et les capacités industrielles sont sans équivalent avec ceux des États-Unis et d'autres pays occidentaux.

Apple a bien parlé d'une usine de fabrication de matériels à Houston au Texas, mais il s'agira de serveurs destinés à ses datacenters et à Apple Intelligence. Le gros Mac Pro, lourd et encombrant à acheminer depuis l'Asie, est aussi assemblé au Texas (ou en Irlande pour l'Europe). Ce n'est certainement pas de la production dans les volumes qui sont ceux des iPhone (et d'autres matériels phares d'Apple).

Apple en Chine : pourquoi Donald se Trump
Les autres postes d'investissement visent le haut du panier : des emplois spécialisés dans l'ingénierie matérielle et logicielle, dans la conception de semi-conducteurs ou la formation de spécialistes dans la gestion de projets ou l'optimisation de chaines d'approvisionnement. Tout le contraire des emplois où l'on passe ses journées à « visser des petites vis ».

Ce "Made in USA" qui n'a jamais marché pour Apple

Zhengzhou transformée en « iPhone City » à grands coups de subventions
104 % de droits de douane contre la Chine : Apple en plein cauchemar
Si Tim Cook était sans doute bien embêté par la politique règlementaire européenne au point d’ailleurs de demander l’aide de Donald Trump, cela doit lui sembler bien peu de chose par rapport à ce qui se joue actuellement. Pour le patron d’Apple, cela doit être un cauchemar sans fin. Cela ferait sans doute d’ailleurs une excellente série pour Apple TV+.

Quoi qu’il en soit, la réalité dépasse toujours la fiction et, pour son plus grand malheur, le ton ne cesse de monter entre la Chine et les États-Unis. Contrairement à d’autres pays, Pékin tient une position ferme, un porte-parole du ministère du Commerce avait récemment déclaré : « La Chine n’acceptera jamais cela. Si les États-Unis insistent dans cette voie, la Chine combattra (ces droits de douane) jusqu’au bout ».

Donald Trump voudrait qu'Apple visse ses iPhone aux États-Unis
Les menaces des uns et des autres se matérialisent. Furieux de la riposte de la Chine visant à ajouter 34 % de droits de douane supplémentaires sur les produits américains dès le 10 avril, les États-Unis ont confirmé que les nouveaux droits de douane sur les importations chinoises aux États-Unis grimperont bien à 104 % dès demain. Juste auparavant, Donald Trump déclarait attendre un coup de fil de la Chine pour négocier. Cela ne semble pas être pour tout de suite. En attendant, les esprits s’échauffent dans le clan Trump. Elon Musk, qui doit sans doute craindre pour ses investissements en Chine, a traité de « crétin » Peter Navarro, l’architecte de la politique douanière de l’administration américaine. Ce dernier avait décrit Tesla comme un « assembleur automobile » et non un « constructeur automobile ».

Alors que l’action Apple, portée par un rebond technique, avait entamé la séance en nette hausse, le titre est immédiatement reparti à la baisse suite à cette annonce. Le pari d’Apple cherchant à faire le plus de stock possible aux États-Unis, en attendant à moindres frais une résolution de cette guerre commerciale, semble perdu d’avance. Elle ne peut qu’espérer une évolution plus favorable des négociations entre l’administration Trump et les pays où elle fait produire ses appareils. La taxe de 26 % imposée à l’Inde semble peu de choses en comparaison.

Face aux droits de douane, Apple fait le plein d’iPhone aux États-Unis et compte sur l'Inde
Apple a beau tenter de rapatrier le plus possible d’iPhone sur le territoire américain, cela ne marchera que pendant quelques semaines au mieux. Les Américains, sentant l’imminence d’une hausse des prix, se sont rués ces derniers jours dans les Apple Store. L’affluence est comparable à celle de fin d’année, quand les consommateurs se bousculent pour faire leurs achats de Noël.

Guerre commerciale : les Américains se dépêchent d’acheter des iPhone avant une possible augmentation
Bref, une fois n’est pas coutume, Apple va devoir à contrecœur tôt ou tard se résoudre à augmenter ses prix. Et si l’iPhone risque de coûter quelques centaines de dollars plus chers, que dire du Vision Pro qui à 3499 € a déjà bien du mal à trouver preneur ?
Guide : les alternatives européennes aux services numériques américains
Dough prépare un écran de rêve 6K de 32 pouces pour Mac à 1600 dollars
Apple Arcade : cinq nouveaux jeux annoncés pour le 1er mai
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Apple publiera ses résultats financiers le 1er mai, sous haute tension fiscale
Apple publiera ses résultats financiers le 1er mai, sous haute tension fiscale
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- WHAT THE CLASH?, le nouveau jeu loufoque des créateurs de WHAT THE CAR?, débarque sur Apple Arcade
WHAT THE CLASH?, le nouveau jeu loufoque des créateurs de WHAT THE CAR?, débarque sur Apple Arcade
Après le succès de WHAT THE CAR?, un jeu de course nommé « jeu mobile de l’année » aux DICE Awards 2024, les développeurs de Triband reviennent avec WHAT THE CLASH?, un jeu multijoueur qui promet d’être tout aussi loufoque. Composé d’une foultitude de mini-jeux mêlant tennis de table, tir à l’arc, course et adresse, WHAT THE CLASH? sera lancé en exclusivité sur Apple Arcade.

Les joueurs incarnent différentes incarnations de La Main, une main qui a des pieds (oui), dans des dizaines de mini-jeux plus absurdes les uns que les autres. Un système de cartes permet de créer de nouvelles combinaisons des jeux, comme le tennis collant ou la traite d’un poisson. Bref, Triband se place dans la droite ligne de WHAT THE CAR?, qui recevra d’ailleurs de nouveaux niveaux et une nouvelle carte ce 10 avril.
WHAT THE CLASH? sera lancé en exclusivité sur Apple Arcade le 1er mai prochain, en même temps que quatre nouveaux titres. With My Buddy rappelle le simulateur d’animal de compagnie Nintendogs. LEGO Friends Heartlake Rush+ est un jeu de course dont les véhicules sont construits avec les fameuses briques de plastique. Words of Wonders: Search+ est une énième déclinaison du jeu de mots mêlés. SUMI SUMI : Matching Puzzle+, enfin, est une sorte de Candy Crush utilisant les personnages de San-X, comme l’adorable Rilakkuma.
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Lecture numérique et livres audio : les nouvelles habitudes des lecteurs français en 2025
Lecture numérique et livres audio : les nouvelles habitudes des lecteurs français en 2025
Grosse promo sur ce dock Ugreen Thunderbolt à 279€ au lieu de 399€ !
Pourquoi vous allez bientôt jeter votre stock de câbles HDMI
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Bruno Retailleau relance l'idée d'une fusion des carte d'identité et carte Vitale dans France Identité
Bruno Retailleau relance l'idée d'une fusion des carte d'identité et carte Vitale dans France Identité
L'objectif de faire de France Identité un portefeuille numérique se poursuit et la carte Vitale pourrait y prendre place en fusionnant avec la carte d'identité. Une perspective qui avait été critiquée par le passé.

Dans une interview à Ouest-France, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, donne quelques pistes sur les chantiers à venir pour dématérialiser les pièces d'identité et faire de l'app France Identité un véritable portefeuille numérique.
Actuellement cette app peut accueillir la carte d'identité, le permis de conduire et simplifier les étapes nécessaires à l'enregistrement de sa carte Vitale dans l'app du même nom. Il y a quelques jours, un coup d'accélérateur a été donné à l'enrôlement de sa carte d'identité dans France Identité grâce à la mise en place d'un nouveau motif pour demander le renouvellement de cette pièce d'identité lorsqu'on possède un ancien modèle.

Carte d'identité : la demande de renouvellement sans motif de perte ou de vol est disponible
Ces personnes qui ont une ancienne carte d'identité vont pouvoir rejoindre les 25 millions qui ont le modèle le plus récent (format carte bancaire). Parmi celles-ci, 1,8 million a créé une version dématérailisée dans France Identité.

Test de France Identité : comment importer sa carte d’identité et son permis de conduire dans son iPhone
Le ministre de l'Intérieur souhaite qu'à terme d'autres cartes figurent dans cette app de portefeuille. Une phase de tests va débuter en juin prochain pour la carte grise des conducteurs avant une généralisation l'année prochaine si l'expérimentation est concluante.
La carte d’étudiant est aussi évoquée de même que la carte Vitale. Pour cette dernière, Bruno Retailleau « souhaite qu’elle puisse être intégrée dans l’application France Identité » et se montre favorable à sa fusion avec la carte d'identité :
C’est une bonne idée. Au-delà de la simplification, cette dématérialisation permettrait de mettre fin à ce scandale qu’est la fraude sociale, car elle facilitera la convergence entre les deux dispositifs. C’est un chantier commun aux ministères de l’Intérieur et de la Santé. Selon plusieurs rapports, il y aurait des centaines de milliers voire un million de cartes Vitale frauduleuses. Au-delà de l’ergonomie et de la simplification, ces démarches de numérisation vont permettre de lutter contre la fraude et d’économiser beaucoup d’argent. Les économies, elles sont là aussi !
Ce mariage entre les deux cartes au sein de France Identité fait débat depuis presque deux ans. Gabriel Attal, alors ministre de l'Action et des Comptes publics, avait défendu l'idée en 2023 pour lutter contre le « tourisme médical » et réitéré ce projet en mars 2024 alors qu'il était Premier ministre. En octobre de la même année, son successeur Michel Barnier avait fini par remiser l'idée au placard, la carte Vitale resterait dans une app dédiée.
L'ampleur de la fraude avec des cartes Vitale a tendance a être fortement majorée sur les quantités et les sommes. Une part importante des fraudes étant même imputée aux agissements de certains professionnels de santé. Quant à la fusion des cartes Vitale et carte d'identité électronique (le numéro de la première serait intégré à la seconde), plusieurs recommandations avaient été avancées par la CNIL. D'abord il s'agit de deux pièces avec des finalités sans aucun rapport entre elles : preuve d'identité pour l'une, accès à des soins pour l'autre.
Ensuite, la CNIL demandait de s'assurer que les professionnels de santé ne puissent pas accéder à d'autres informations sur la carte d'identité électronique que le numéro de sécurité sociale. Et qu'eux seuls y aient un droit d'accès (ce qui les obligerait par ailleurs à s'équiper de nouveaux matériels). Il peut y avoir d'autres réticences à centraliser ces données sur un même support — risques plus importants en cas de piratage et facilité accrue de croisement des informations sur un individu.
La carte Vitale n'étant pas obligatoire (pas plus que la carte d'identité), la CNIL préconisait aussi de « prévoir la possibilité pour l’assuré de s’opposer à l’inscription de son numéro de sécurité sociale sur son titre d’identité » et de suggérer le maintien d'alternatives à l’utilisation de la carte d’identité (il arrive que l’on confie sa carte Vitale à son enfant lorsqu'il n'a pas encore la sienne). Enfin le projet ne fera l'économie de débats sur le coût qu'il peut représenter face au gain dans la lutte contre la fraude.
Bye bye la modération et fin du fact-checking chez Facebook US
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Guerre commerciale : Framework « suspend temporairement » ses ventes d’ordinateurs portables aux États-Unis
Guerre commerciale : Framework « suspend temporairement » ses ventes d’ordinateurs portables aux États-Unis
Les effets de la déclaration de guerre commerciale lancée par l’« administration » Trump n’en finissent plus de se faire sentir. Le fabricant (américain) d’ordinateurs modulaires Framework suspend « temporairement » les ventes d’une partie de son catalogue d’ordinateurs portables aux États-Unis. Les droits de douane de 10 %, en vigueur depuis le 5 avril, réduisent la marge opérationnelle du fabricant à zéro.

« Nous avons déterminé le prix de nos ordinateurs portables lorsque les droits de douane sur les importations depuis Taiwan étaient de 0 % », explique l’entreprise, « avec des droits de douane de 10 %, nous serions obligés de vendre nos modèles d’entrée de gamme à perte ». Les Framework Laptop 13 à processeur Intel Ultra 5 125H (1 179 €) et AMD Ryzen 5 7640U (1 049 €) ne sont plus disponibles dans la boutique américaine du fabricant.
C’est un coup d’autant plus dur que le fabricant vient tout juste de présenter le Laptop 12, un ordinateur portable compact qui veut concurrencer les Chromebook avec son prix cassé et les tablettes avec son écran tactile. Or l’administration Trump ne compte pas s’arrêter en si mauvais chemin : des « droits réciproques », un mélange baroque d’estimations des « manipulations du cours des devises » et de dédommagement des « barrières douanières » calculé au doigt mouillé, doivent entrer en vigueur dès demain.
Cette taxe supplémentaire s’établira à 20 % pour l’Union européenne, 24 % pour le Japon et 54 % pour la Chine après une augmentation de dernière minute. Trump promet même un doublement à 104 % si le gouvernement de Xi Jinping maintient sa riposte douanière. Les importations venues de Taiwan, allié historique des États-Unis face au régime communiste où Framework fait assembler ses ordinateurs, seront taxées à hauteur de 32 %. L’annonce de Framework n’est peut-être que la première du genre…
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Le microphone USB Elgato Wave Neo en promo à -20% : son meilleur prix, pour Mac, iPad et PS5 !
Le microphone USB Elgato Wave Neo en promo à -20% : son meilleur prix, pour Mac, iPad et PS5 !
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Introduction en bourse : les droits de douane paralysent les opérations dans la tech
Introduction en bourse : les droits de douane paralysent les opérations dans la tech
Promo : -200 € sur l'iPhone 16 Pro 256 Go et l'iPhone 16 de 128 Go
Les derniers iPhone 16 et 16 Pro sont tous en promotion à des degrés divers, mais deux versions enfoncent le clou chez Amazon Italie. L'iPhone 16 Pro de 256 Go (titane sable et naturel) coûte 1 154 € contre 1 241 à 1 266 € chez Amazon France ou 1 359 € chez Apple. Un prix obtenu par l'effet combiné d'une remise et d'un coupon de réduction temporaire de quelques dizaines d'euros.

À cette réduction de 205 € sur le Pro, répond 195 € de rabais sur l'iPhone 16 de 128 Go (bleu et noir). Pour les mêmes raisons, ces deux variantes sont à 774 € plutôt que 866 € chez Amazon France et 969 € chez Apple.
Les prix donnés comprennent le calcul de la taxe pour la France et les frais de port. Les livraisons sont possibles entre jeudi et vendredi. Dans les deux cas, ce sont de très bonnes promos pour des modèles de la dernière génération. L'iPhone 16 a gagné un bouton Action cette année et le bouton de commande de l'appareil photo, comme sur les Pro.
Free Mobile n’est plus le quatrième opérateur français
Au 1er avril, l’ANFR comptabilisait 70 196 sites de réseaux mobiles autorisés en France. Le déploiement de la 5G poursuit doucement son cours, avec 42 625 sites « techniquement opérationnels », dont 41 968 en métropole (+0,6 %). Une fois n’est pas coutume, qui plus est dans la rubrique 4G, l’observatoire mensuel de l’agence des fréquences recèle une petite surprise. En déployant 149 nouvelles antennes, contre seulement 107 pour son concurrent, Free a doublé SFR. Le quatrième opérateur en date n’est plus le quatrième opérateur en sites.

Free est maintenant à la tête de 28 866 sites 4G, contre “seulement” 28 858 pour SFR. La différence est symbolique, bien sûr, mais l’histoire est faite de symboles. Free, qui a allumé son réseau mobile en 2011 et longtemps dépendu de l’infrastructure d’Orange, ne peut définitivement plus être considéré comme un opérateur de second rang. Bouygues Telecom et ses 29 490 sites 4G n’est plus très loin, mais Orange garde une avance confortable avec ses 31 728 sites.
Les chiffres de l’ANFR traduisent bien la dynamique du marché, alors que Bouygues Telecom a repris du poil de la bête et que SFR pourrait bientôt disparaitre. La performance de Free est d’autant plus remarquable que l’opérateur a parié sur le refarming de la bande des 700 MHz de son réseau 4G pour couvrir rapidement une grande partie du territoire en 5G. Seule Orange l’a suivie dans le domaine, SFR et Bouygues privilégiant les fréquences plus hautes, qui portent moins loin mais sont plus rapides.
Grâce à cette grande opération de reconversion, Free compte désormais 25 411 sites 5G, dont 21 095 opérationnels. La quasi-totalité utilise la bande des 700 MHz, mais un bon tiers émet aussi sur la bande des 3 500 MHz. Avec ses 12 877 sites 5G, Orange est le seul opérateur prenant en charge les trois principales bandes de fréquences. SFR (14 427 sites) et Bouygues (15 916 sites) utilisent la bande des 2 100 MHz et celle des 3 500 MHz.
L'app Bourse est l'application du moment ! Connaissiez-vous cette astuce ?
Free lance la Freebox Pop S : fibre et Wi-Fi 7, sans TV, à un prix inédit
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- CalDigit présente deux nouvelles stations d’accueil compatibles Thunderbolt 5
CalDigit présente deux nouvelles stations d’accueil compatibles Thunderbolt 5
CalDigit ne présente pas une, mais deux nouvelles stations d’accueil compatibles Thunderbolt 5. La TS5 possède quinze ports, dont un port Ethernet à 2,5 Gbit/s, avec une alimentation de 140 W. La TS5 Plus propose vingt ports, dont un port Ethernet à 10 Gbit/s, avec une alimentation de 140 W. Pour ne rien gâcher, ce modèle intègre deux contrôleurs USB à 10 Gbit/s pour maintenir les meilleurs débits lorsque plusieurs appareils sont branchés.

Comme la TS3 Plus à port Thunderbolt 3 et la TS4 à port Thunderbolt 4, qui restent au catalogue, les TS5 et TS5 Plus prennent la forme d’un petit pavé qui peut être placé à l’horizontale comme à la verticale. La TS5 possède quinze ports : quatre ports Thunderbolt 5/USB 4, trois ports USB-C 3.2 Gen 2 à 10 Gbit/s et 7,5 W, un port USB-A 3.2 Gen 2 à 10 Gbit/s et 7,5 W, un port USB-A 2.0 à 480 Mbit/s et 7,5 W, un lecteur de carte microSD UHS-II, un lecteur de carte SD UHS-II, un port Ethernet 2,5 Gbit/s, une entrée et une sortie audio à l’arrière, ainsi qu’une prise casque en façade.

La TS5 Plus ne comporte que trois ports Thunderbolt 5/USB 4, mais ils peuvent fournir jusqu’à 36 W chacun, contre seulement 15 W sur le modèle d’entrée de gamme. En contrepartie, elle possède un port USB-C 3.2 Gen 2 à 10 Gbit/s et 36 W ainsi qu’un port USB-C 3.2 Gen 2 à 10 Gbit/s et 7,5 W supplémentaires, et son port Ethernet passe à 10 Gbit/s. Ajoutez trois ports USB-A 3.2 Gen 2 à 10 Gbit/s et 7,5 W ainsi qu’un port DisplayPort 2.1 et vous obtenez vingt ports au total.

Le port hôte des deux modèles, celui qui est relié à l’ordinateur, peut fournir jusqu’à 140 W. La TS5 Plus se distingue toutefois en incorporant deux contrôleurs USB à 10 Gbit/s, le premier pour les ports USB 4 et les connexions en façade, le deuxième pour les ports USB-A et les ports USB-C 3.2 Gen 2, afin de maintenir de bonnes performances lorsque l’on utilise beaucoup de périphériques. Caldigit fournit une alimentation de 240 W pour alimenter tout ça.
Les stations d’accueil de CalDigit prennent en charge jusqu’à trois écrans… sur Windows. Malheureusement, macOS limite les stations d’accueil à deux écrans, et même un seul avec les puces M1, M2 et M3. La TS5 est annoncée à 349,99 €, la TS5 Plus à 469,99 €, et les deux modèles seront disponibles à partir de la fin mai dans l’Union européenne.
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- L'excellente batterie Anker (140W, écran couleur) bradée à -53% : son meilleur prix !
L'excellente batterie Anker (140W, écran couleur) bradée à -53% : son meilleur prix !
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Immersive Video Utility : le nouvel outil d’Apple pour la production de vidéos immersives pour le Vision Pro
Immersive Video Utility : le nouvel outil d’Apple pour la production de vidéos immersives pour le Vision Pro
À l’occasion du NAB Show, le grand raout des vidéastes qui se tient du 5 au 9 avril à Las Vegas, Blackmagic présente une chaine de production intégrée de contenus « immersifs ». DaVinci Resolve 20 prend en charge l’édition des fichiers AIV tournés avec la nouvelle caméra Ursa Cine Immersive dotée d’un système de capture stéréoscopique à double capteur 8K. Apple présente quant à elle Immersive Video Utility, une application qui n’a l’air de rien du haut de ses 7,7 mégaoctets, mais qui est la pièce manquante du puzzle de la création de vidéos pour le Vision Pro.

Ce n’est pas tous les jours qu’Apple développe une nouvelle application pour macOS, mais lorsqu’elle le fait, c’est qu’elle a une bonne raison. Apple Immersive Video « permet d’importer, organiser, préparer et vérifier » les vidéos immersives en faisant le lien entre le Mac (où elles sont créées) et le Vision Pro (où elles sont consommées). Apple Immersive Video propose trois manières d’importer des contenus qui correspondent à trois cas d’usage :
- un fichier HEVC de basse qualité peut être importé avec ses métadonnées Apple Immersive Media Embedded (AIME) générées par la caméra pour prévisualiser la vidéo ;
- un fichier MV-HEVC de haute qualité peut être importé avec les métadonnées AIME et les pistes audio pour être exporté sous la forme d’un paquet AIVU prêt pour la distribution ;
- une adresse URL ou une liste de lecture M3U peut pointer vers un fichier AIVU pour diffuser la vidéo sur un Vision Pro.
Dans ce dernier cas, le client Apple Immersive Video Utility pour visionOS permet de regarder les vidéos diffusées depuis le Mac dans son casque. Autrement dit : Apple Immersive Video Utility facilite la consultation des vidéos immersives pendant leur production. L’application offre des fonctionnalités de gestion avec des listes de lecture, mais aussi un éditeur de métadonnées pour préparer la distribution des fichiers. Preuve qu’il s’agit d’un outil professionnel, Apple ne s’est pas encombrée d’une traduction dans d’autres langues que l’anglais.
Armageddon chez Apple ? Les analystes dévaluent l'action
A quand une identité numérique dans son iPhone ?
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Grosse promo sur les packs Wi-Fi 7 Mesh TP-Link testés sur Mac4Ever : : 4 Gb/s en Wi-Fi et 10GbE !
Grosse promo sur les packs Wi-Fi 7 Mesh TP-Link testés sur Mac4Ever : : 4 Gb/s en Wi-Fi et 10GbE !
USA : la folle ruée vers l'iPhone avant les droits de douane
États-Unis : les ventes d'iPhone explosent avant les droits de douane

Saracroche, une candidate de plus pour bloquer les appels indésirables
Face à la recrudescence du spam téléphonique, une nouvelle app tente d'apporter une solution, à savoir bloquer ces appels non sollicités. Saracroche (v.1.4) se distingue par une interface réduite au strict minimum. Cela évoluera peut-être au fil du temps, son auteur débute dans le développement (son code source est là).

L'unique écran permet de suivre l'installation de la liste de numéros à bloquer — forte de 11 500 000 références — tirés d'une base de l'Arcep avec les préfixes réservés à ce type d'appels. Comme pour les autres apps de cette catégorie, il faudra l'activer dans Réglages > Apps > Téléphone > Blocage d'appels et identification.
Le recul manque pour voir si elle est efficace, mais on peut la mettre à l'épreuve sans frais, elle est gratuite. En revanche elle nécessite iOS 18.

Silence : une application pour bloquer les appels indésirables sans abonnement

Begone rafraichit son interface pour mieux bloquer les appels indésirables

Orange Téléphone donne maintenant le nom du spammeur qui vous appelle
Apple lance une app pour gérer ses vidéos immersives

Freebox Pop S : fibre à 5 Gbit/s et « Wi-Fi 7 » pour 24,99 € par mois
Bouygues Telecom lance une B-Box Pure Fibre sans boitier TV à 23,99 € par mois ? Free réplique avec une Freebox Pop S sans boitier TV à 24,99 € par mois. Bouygues Telecom accuse son meilleur concurrent de publicité mensongère sur le Wi-Fi 7 ? Free se targue d’être « le premier opérateur à inclure le Wi-Fi 7 sur une gamme d’offres aussi large ». Parfois, la concurrence a du bon.

Le berger répond donc à la bergère avec l’offre Freebox Pop S, qui n’est rien d’autre qu’une déclinaison de l’offre Freebox Pop privée de télé. Vous retrouverez donc un débit descendant de 5 Gbit/s et un débit montant de 900 Mbit/s, contre 8 Gbit/s et 1 Gbit/s chez Bouygues Telecom, ainsi qu’une puce Wi-Fi 7, contre une puce Wi-Fi 6E chez Bouygues Telecom. Ce dernier point ne manquera pas de provoquer des frictions, puisque Free fait l’économie de la bande des 6 GHz, sans laquelle vous ne pourrez pas dépasser 2,2 Gbit/s par appareil.
La Freebox Pop S n’inclut ni boitier TV, ni même d’accès au service over the top Oqee. En contrepartie, elle coute 24,99 € sans engagement, alors que la Freebox Pop coute 39,99 € par mois après une première année à 29,99 € par mois. Free permet de commander jusqu’à trois répéteurs Wi-Fi 7 supplémentaires à 20 € l’unité. Enfin, l’offre Freebox Pop S permet d’obtenir une ristourne sur son abonnement Free Mobile.
iOS 19 permettrait de filmer avec deux appareils à la fois

Un aperçu en profondeur de la nouvelle interface d'iOS 19 ?
