AirPods Max : l'audio Lossless finalement repoussé

Dragonfly (abonnement ou 20 €) est un client pour le réseau social BlueSky, qui se distingue de l’officiel tout d’abord par sa compatibilité. Alors que l’app fournie par les créateurs du réseau se contente de l’iPhone (et Android), cette alternative fonctionne tout d’abord sur le Mac ainsi que l’iPad. Ses deux concepteurs ont par ailleurs un planning de développement chargé, puisqu’ils ont prévu d’adapter leur app à l’iPhone, aux terminaux Android, à Windows et même à Linux. Pour y parvenir, l’interface ne repose pas sur du code natif, elle a été codée avec Flutter, un framework qui permet de créer des apps multiplateformes à partir des technologies du web.
À l’usage, Dragonfly ressemble ainsi fort au site web de Bluesky, puisque c’est en gros de cela qu’il s’agit. Il y a malgré tout quelques avantages à utiliser une app pour le Mac, dont la prise en charge de quelques raccourcis clavier, comme ⌘N
pour créer un nouveau message ou encore la possibilité de coller une image avec ⌘V
1. Quelques fonctionnalités absentes de l’app officielle ou même du site web du réseau social sont même proposées, dont la possibilité de sauvegarder le brouillon d’un message et l’envoyer plus tard. Si vous avez plusieurs comptes, le passage de l’un à l’autre est aussi plus rapide avec ce client tiers qu’avec l’interface officielle.
Les concepteurs de Dragonfly ont prévu d’autres ajouts importants, dont la synchronisation du fil de lecture entre les appareils, une fonctionnalité que Bluesky ne proposera probablement jamais. Il lui manque également quelques fonctions qui viendront par la suite, comme les notifications ou encore la gestion des messages privés. Il faut dire que l’app est encore assez récente et qu’elle évolue rapidement. La liste de fonctionnalités en cours de développement et celles qui sont prévues par la suite sont également visibles à cette adresse.
Dragonfly est distribuée sur l’App Store, où elle peut être téléchargée gratuitement. Un essai de sept jours est proposé, suite à quoi il faudra choisir entre deux formules : soit un abonnement à 0,99 € par mois ou 7,99 € par an, soit un achat unique à 19,99 €.
Alors que les deux créateurs sont Français, leur app n’est proposée qu’en anglais à ce stade. Dragonfly nécessite au minimum macOS 13.5 ou iPadOS 15.6.
En revanche, il n’est pas possible pour le moment de la glisser/déposer dans le champ de texte. ↩︎
Un petit tour et puis s'en va. Comme l'ont remarqué certains lecteurs équipés d'un AirPods Max version USB-C, la mise à jour firmware annoncée hier sur le site d'Apple se fait désirer.
La page qui liste les derniers firmwares en date pour tous les AirPods avait été actualisée ce lundi 31 mars avec deux nouvelles références logicielles : l'une pour les AirPods 4/AirPods Pro 2, l'autre pour l'AirPods Max USB-C avec le gain de la prise en charge de l'audio sans perte ce sur modèle.
Pas de changement pour les premiers, mais le firmware 7E99 destiné au casque est dorénavant indiqué comme « Coming soon ». Hier, la seule mention était que ce firmware nécessitait d'avoir iOS 18.4 ou macOS 15.4. Ce firmware était prévu pour être téléchargeable concomitamment à ces mises à jour système.
De toute évidence quelque chose de suffisamment sérieux a nécessité de rembobiner cette révision logicielle du casque et de retarder la disponibilité de cette amélioration audio. C'est un peu la semaine : ce lundi la version 11.4 de watchOS était affichée puis retirée, puis remise en ligne hier soir.
L’AirPods Max USB-C va prendre en charge le lossless et la latence réduite grâce à une mise à jour
Nous sommes (encore) le 1er avril et, comme chaque année, beaucoup de marques ont tenté des choses plus ou moins drôles pour essayer de duper les pauvres internautes. C'est toujours un art un peu compliqué dans ces temps de fake news permanentes, mais quelques marques peuvent arriver à proposer des choses que nous trouvons amusantes (c'est subjectif).
Vous avez déjà eu un message qui vous demande « Press any key » ? Si vous ne la trouvez pas, il y a une meilleure solution que de courir vers la centrale nucléaire de Springfield : NovelKeys vend un clavier mécanique dont toutes les touches sont des any key. C'est un poisson d'avril, mais il est visiblement possible de l'acheter tout de même pour 150 $.
Les 15 touches du Stream Deck d'Elgato ne vous suffisent pas ? La société a annoncé le Stream Deck Desk. C'est un bureau construit en Stream Deck, qui propose 1 262 touches programmables. Difficile de faire mieux.
C'est peut-être ce que l'on peut appeler du green washing : dbrand a annoncé des protections pour différents appareils qui sont recouvertes d'herbes. Le site ressemble à une blague (évidemment) mais la marque assure que ce n'est pas le cas : il est visiblement possible d'acheter la version iPhone (35 $), iPad (50 $) ou Mac (70 $). Attention, ça ne se fume pas.
Razer est aussi une marque habituée des blagues, et certains deviennent de (mauvais) produits. Le Razer Skibidi est un casque audio capable de traduire en temps réel — évidemment grâce à l'IA — l'argot des joueurs en quelque chose de compréhensible par une personne normale qui ne passe pas plusieurs heures par jour devant des parties endiablées. La page dédiée met surtout en avant les outils liés à l'IA de la marque, avec la possibilité de gagner un casque.
Lancée un peu par surprise début février, l'app Apple Invitations vient de passer en version 1.1. Pour rappel, cette app Apple permet de créer facilement des invitations depuis un iPhone sous iOS 18 pour un peu tout et n'importe quoi, de l'anniversaire à la soirée thématique en passant par la pendaison de crémaillère (et on n'oublie pas les pizzas). Elle nécessite un abonnement iCloud+ pour créer une invitation (dès 0,99 € par mois) et cette version 1.1 n'amène rien de particulier a priori. Le texte de la mise à jour (« Cette mise à jour contient des résolutions de bogues et des améliorations de performance. ») aurait pu être écrit pour n'importe quelle app trouvée dans le fin fond de l'App Store.
Prise en main d'Apple Invitations : carton en vue pour cette nouvelle app ?
Le LG 32GS95UV-W, un moniteur OLED de 32 pouces, est en promotion chez Amazon. Lancé à 1 400 €, il est pour le moment à 972 €, un prix assez intéressant compte tenu de ses caractéristiques. Il s'agit d'un modèle OLED 4K (3 840 x 2 160) capable de travailler à 240 Hz, une valeur élevée. Pensé pour les joueurs, il dispose même d'un mode 480 Hz si vous diminuez la définition en passant en 1 920 x 1 080.
Il est doté d'une entrée DisplayPort et de deux entrées HDMI, d'un hub USB 3.0 — deux prises — et est plutôt bien noté. L'OLED lui permet d'avoir un temps de réponse très faible et d'afficher des noirs extrêmement profonds. Comme toujours avec les moniteurs (contrairement aux téléviseurs), la luminosité standard est moyenne (275 cd/m² annoncés) mais la valeur maximale en HDR est de 1 300 cd/m² selon LG, un peu en contradiction avec la certification DisplayHDR 400 (qui annonce une valeur entre 400 et 600 cd/m² dans la pratique). Dans tous les cas, c'est suffisant pour un usage classique compte tenu du contraste. RTINGS, qui l'a testé, indique par ailleurs que le rafraîchissement variable, le HDR et les fréquences de rafraîchissement élevées fonctionnent bien sous macOS. Le seul bémol peut venir de la résolution un peu faible : à 140 ppp, il faudra jouer un peu avec les réglages de macOS pour trouver le meilleur compromis.
Si vous avez un iPhone, vous avez peut-être pensé à un bug ou un poisson d'avril : l'icône de Calendrier, sous iOS, affiche « MAR. 1 », comme si nous étions le 1er mars. Mais ce n'est ni un bug ni une blague de la part d'Apple, mais une simple coïncidence : nous sommes le mardi 1er avril. En effet, l'icône du Calendrier sous iOS affiche une version raccourcie du jour de la semaine, en plus de la date.
Ce qui a pu en induire certains en erreurs, c'est qu'il y a un manque de cohérence dans les systèmes d'exploitation d'Apple. Dans macOS, l'application Calendrier n'affiche pas le jour de la semaine, mais bien le mois. Vous aurez donc aujourd'hui un « AVR. 1 » pour le mardi 1er avril 2025. Mais si nous étions le 1er mars, l'icône afficherait « MARS 1 », sans raccourcir le nom du mois en question. En résumé, macOS et iOS n'affichent pas la même chose, ce qui peut amener une certaine confusion.
Apparue hier soir et aussitôt retirée, la version finale de watchOS 11.4 est de retour. C'est une mise à jour bien moins importante que celles sorties en même temps pour les autres systèmes d'Apple, mais elle a une petite nouvelle fonction.
watchOS 11.4 n'est finalement pas disponible en version finale ce soir
Après plusieurs mois en bêta, l’assistant IA d’Oura est désormais en cours de déploiement pour tous. Cet « Oura Advisor » peut se manifester pour papoter de certaines données de santé, par exemple d’un changement de routine de sommeil ou de la progression dans certains objectifs. La nouveauté est disponible pour la Oura Ring Gen3 et la plus récente Gen4.
L’entreprise finlandaise explique que son système se base sur une IA générative couplée aux données de l’utilisateur. L’idée est de permettre aux clients de mieux comprendre les informations relevées au quotidien par la bague tout en prodiguant des conseils personnalisés. Oura Advisor peut par exemple répondre à des questions sur le sommeil ou liées à une activité, et il est possible de le relancer pour entrer dans les détails. Oura met en avant un ton s’adaptant à la conversation pour des interactions moins robotiques. Deux styles sont d’ailleurs proposés : un plutôt axé sur le soutien et un second plus direct pour ceux cherchant à atteindre un objectif.
Pendant la période de bêta, l’assistant se manifestait de temps à autre pour faire remonter une observation. Les conversations ne sont pas particulièrement stimulantes, mais aident à mettre en valeur les données relevées. Oura affirme que 60 % de ses testeurs ont trouvé ses interventions utiles pour mieux comprendre les différentes statistiques de l’app, qui peuvent vite devenir denses. Toutes les données ne sont pas prises en charge par l’assistant, mais celles qui manquent seront ajoutées par la suite. En attendant, Oura Advisor peut évoquer certains sujets de manière globale.
Ce nouvel assistant est dès à présent disponible sur iOS et Android, mais seulement en anglais (et avec une app Oura configurée en anglais). Le communiqué de presse n’indique pas s’il est nécessaire d’avoir un abonnement pour en profiter, mais indique qu’il est proposé à « tous ses membres ».
La situation ne semble pas s'améliorer pour l'enseigne MacWay, spécialisée dans la vente de produits informatiques et acteur historique de l'environnement Apple en France.
Le site de l'enseigne ne prend plus de commandes et affiche un bref message d'excuses lorsqu'on veut consulter son panier : « Important : la prise de commande est temporairement indisponible ». C'est du temporaire qui s'installe, car des témoignages indiquent que cette situation dure depuis déjà quelques jours. Le numéro de téléphone du service client ne donne pas plus de nouvelles, il fait état d'une fermeture exceptionnelle de tous les services ainsi que du magasin d'Illkirch-Graffenstaden « ce jour »… Nous avons appelé à 17h.
En juin dernier, MacWay avait fermé ses derniers magasins et réduit la voilure pour se concentrer sur son activité en ligne. Plusieurs fermetures avaient déjà eu lieu à Paris et en région ces dernières années. Les résultats étaient en berne et l'enseigne avait été précédemment placée en observation durant un semestre. Cette procédure de sauvegarde a été transformée en redressement judiciaire à la rentrée de septembre. Les derniers développements n'engagent donc pas à l'optimisme dans l'immédiat.
[Mise à jour à 21h] : l'un de nos lecteurs en commentaires explique qu'un mot sur la boutique d'Illkirch-Graffenstaden parle d'une liquidation judiciaire et d'une cessation d'activité depuis le 26 mars dernier.
MacWay ferme ses derniers magasins et continue en ligne
Amazon a lancé Alexa+, la nouvelle génération de son assistante dotée d'une IA plus évoluée. Sur le papier Alexa+ sait en faire beaucoup plus que sa devancière, mais comme pour sa cousine Siri, elle ne tient pas encore toutes ses promesses.
Comme un air de déjà vu. Alexa+, à l'image du nouveau Siri dans Apple Intelligence, est disponible, mais une palanquée de fonctions annoncées par leurs géniteurs restent au stade des intentions. Un autre exemple de la difficulté qu'ont les éditeurs à concrétiser leurs promesses de révolutionner leurs assistants. Alexa+ commence par les États-Unis, c'était prévu, et d'abord auprès d'un « petit nombre de clients », a confirmé Amazon à The Verge. Ces heureux élus devront posséder des Echo Show 8, 10, 15 ou 21. L'éventail des appareils pris en charge s'ouvrira plus tard.
La page de présentation détaille ce qui marche d'emblée et ce qui va nécessiter de ronger son frein. Sans grande surprise, les fonctions disponibles sont assez communes et existaient déjà avec la précédente Alexa : poser des questions, enregistrer des rappels, gérer son calendrier, contrôler sa domotique, lancer sa musique, faire du shopping, réserver une table de restaurant, etc. Mais on peut poser ses questions de manière naturelle et se lancer dans une forme de conversation.
Plusieurs autres fonctions sont toujours au garage pour un temps indéfini. Comme d'utiliser Alexa+ depuis des navigateurs web sur son ordinateur pour planifier un voyage, travailler sur un sujet, résumer un document. Absente aussi l'aide pour trouver une brillante idée de cadeau pour quelqu'un dont on précisera les goûts, tout comme les commandes sur les épiceries en ligne telles que celles d'Amazon, ou des fonctions destinées aux enfants.
Le Washington Post a obtenu un document interne à Amazon qui fait le point sur les fonctions absentes. Des actions pour commander à manger auprès d'un service comme Grubhub ou la capacité des appareils à reconnaître les personnes autour de lui et leur rappeler des tâches ne sont pas opérationnelles. Metis, nom de code de la fonction de chat avec Alexa+ sur le web n'est pas prête non plus. Alexa+ devrait être capable de télécharger un document ou un mode d'emploi et de le résumer. Toutefois, la suppression par l'utilisateur des documents ainsi envoyés n'est pas complètement au point, il peut être nécessaire d'appeler l'assistance d'Amazon qui ne pourra pas garantir que le ménage sera fait complètement et qu'une autre personne du foyer n'accèdera pas à ces fichiers. Cela devrait être corrigé dans les prochaines semaines.
Ces fonctions tenues à l'écart ne sont pas encore conformes au niveau de qualité voulue par Amazon, explique le document interne.
Amazon présente Alexa+, l’assistant domotique boosté à l’intelligence artificielle
Vos AirTags ne resteront plus perdus dans les limbes si vous visitez la Corée du Sud. Cupertino vient d’annoncer le déploiement officiel du réseau Localiser dans le pays du matin frais. Les clients Apple sur place pourront donc s’en servir pour retrouver l’emplacement de leurs appareils, de leurs balises connectées ou pour voir la position de leurs proches.
L’arrivée de Localiser est tardive, l’app en question ayant été lancée sur iOS 13 en 2019 tandis que le réseau est encore plus ancien. S'il a été pendant de nombreuses années bloqué dans le pays, une pétition lancée en septembre 2024 a visiblement fait bouger les choses. Les premières briques du réseau Localiser ont commencé à être posées fin février en Corée du Sud, même si tout n’était pas encore parfaitement au point. Les petits problèmes observés pendant la période de bêta devraient désormais être résolus grâce à la version finale d’iOS 18.4.
Pourquoi l’app Localiser ne trouve-t-elle pas la Corée du Sud ?
Les utilisateurs coréens peuvent donc dès à présenter utiliser leurs AirTags pour suivre leurs valises ou encore rapidement savoir où se trouve un Mac, un iPad ou un iPhone perdu. Le suivi de la position des contacts est également activé, et les iPhone achetés dans le pays pourront utiliser le réseau Localiser à l’étranger.
C’est la fin d’une ère : la nouvelle version de Safari livrée avec iOS 18.4 et macOS 15.4 abandonne le petit cadenas dans la barre d’URL. Celui-ci servait à indiquer qu’un site est sécurisé par la technologie HTTPS. Ce changement est brièvement mentionné dans les notes de version de Safari 18.4.
Apple entre dans les détails sur le blog de WebKit. Elle y explique que le cadenas est devenu caduc maintenant que plus de 87 % des connexions sont effectuées via HTTPS. La Pomme craint que celui-ci puisse créer « un faux sentiment de confiance » chez les utilisateurs en leur faisant croire qu’ils sont sur un site fiable et honnête. Ce n’est pas forcément le cas, de nombreux sites d’hameçonnage utilisant le HTTPS.
Les informations n’ont pas disparu pour autant. Sur macOS, se rendre dans le menu Safari - Détails de la sécurité de la connexion affiche les mêmes détails qu’auparavant en cliquant sur le cadenas. Quelque chose de similaire est présent sur iOS, iPadOS et visionOS : il faut pour cela appuyer sur la pièce de puzzle à gauche de la barre d’URL avant d’ouvrir le menu « … », puis d’aller dans Détails de la sécurité de la connexion. Y sont alors donnés les mêmes informations que sur Mac, y compris les informations sur un certificat.
Apple est loin d’être la première à abandonner le cadenas HTTPS. Google a commencé les expérimentations dès 2021 avant de sauter le pas deux ans plus tard. Le cadenas reste à sa place sur la dernière version de Firefox, mais disparaîtra sans doute dans les années à venir.
De gros modèles d'iPhone 16 Plus et 16 Pro et 16 Pro Max profitent d'une réduction de 190 € sur Amazon. Les autres modèles sont également en promotion, mais elle est plus significative sur cette sélection.
L'iPhone 16 Plus a pour lui un grand écran de 6,7" (même diagonale que l'ancien 15 Pro Max), une très bonne autonomie, il a récupéré le bouton Action à qui on peut associer une action ou une app et il dispose du nouveau bouton, sur le bas de la tranche droite, pour commander l'appareil photo. Le 16 Plus est compatible — comme les 16 Pro — avec la suite de fonctions Apple Intelligence, arrivée hier en version française dans iOS 18.4. Les modèles Pro ont agrandi leur écran cette année (6,3 et 6,9"), leur autonomie est toujours bonne et ils ont le zoom 5x en plus des deux boutons susmentionnés.
Apple Intelligence dispo en France : toutes les nouvelles fonctions pour votre iPhone et votre Mac
Promo Amazon : -100 € à partir de 999 € d'achat sur des iPhone 16 et 16 Pro, Apple Watch, iPad…
La semaine dernière, OpenAI a lancé un nouveau générateur d’image intégré à son dernier modèle GPT-4o. Celui-ci est efficace et a immédiatement trouvé son public, tant et si bien que l’entreprise a dû le débrancher pour les utilisateurs gratuits suite à la forte demande. OpenAI a visiblement réussi à corriger le tir : Sam Altman vient d’annoncer que cette fonction était maintenant accessible à tous. Vous pouvez l’essayer directement via l’app ChatGPT ou sur son site web.
chatgpt image gen now rolled out to all free users!
— Sam Altman (@sama) April 1, 2025
L’outil reste limité pour les utilisateurs gratuits, qui ne pourront générer que 3 images par jour avant d’être incités à passer sur un abonnement GPT Plus (22,25 € par mois). Il est également disponible pour les comptes Pro et est compatible avec Sora, le générateur de vidéos d’OpenAI.
Ce nouveau générateur d’images a beaucoup fait parler de lui ces derniers jours pour sa capacité à rapidement changer le style d’une image. De nombreux utilisateurs se sont amusés à transformer des clichés dans le style du Studio Ghibli. Une mode critiquée par beaucoup, qui regrettent que les modèles d’OpenAI aient été formés sur un grand nombre de données protégées par le droit d’auteur, et ce alors que Miyazaki avait déclaré en 2016 que l’animation par IA était « une insulte à la vie ».