Sonos relance une campagne de promotions à l'approche de la rentrée avec des réductions pouvant atteindre 150 € sur certains gros matériels. Ces tarifs sont visibles chez le fabricant lui-même mais aussi chez Amazon, à la Fnac, chez Darty ou chez Boulanger. Ils sont valables jusqu'au 7 septembre.
Sonos Era 100. Image iGeneration.
Sur les enceintes, les meilleurs promotions vont aux grosses Era 300 qui gèrent l'audio spatial et peuvent compléter avantageusement une barre de son du constructeur. Elles sont à 399 € pièce (-100 €). Les plus petites Era 100, que l'on peut utiliser en solo, coupler en stéréo ou associer à une barre comme la Beam ou la Ray pour se constituer un petit home cinéma sont à 199 € (-30 €).
La barre de son Beam 2 (compatible avec l'audio spatial) coûte 369 € (-130 €) et la grande et très puissante Arc Ultra descend à 899 € (-100 €). Il y a également le gros caisson de basse Sub 4 à 749 € (-150 €), la petite Roam 2 portable à 159 € (-40 €) et le très bon casque Ace à 349 € (-100 €).
LDLC casse les prix sur le MacBook Air M4 : la machine en configuration 16 Go avec 256 Go de stockage tombe à 899 € pour les étudiants ! Elle est proposée au tarif de 999 € pour tout le monde, mais les étudiants peuvent demander un code promo apportant 10 % supplémentaires. Une offre intéressante étant donné que LDLC offre en plus une garantie de 5 ans sur les Mac.
Modèles 15" et 13e". Image MacGeneration
La ristourne de 10 % peut également être utilisée pour l’achat d’un autre modèle de Mac en promo. La configuration 16/512 Go est par exemple à 1 249 € (-200 €), tandis que celle en 24/512 Go est affichée à 1 499 €. La déclinaison 15" n’a pas été oubliée : celui d’entrée de gamme coûte 1 329 €, là où la version 24/512 Go revient à 1 829 €. Le code fonctionne aussi sur les MacBook Pro M4, qui ne sont pas spécialement en promo actuellement.
La démarche pour obtenir le code a été mise en ligne sur cette page. Les étudiants doivent envoyer leur certificat de scolarité 2025-2026 ou une carte d'étudiant en cours de validité par mail à promo.etudiants@ldlc.com en indiquant leur numéro de client. Ils recevront dans les 24 heures un coupon à usage unique. LDLC nous a indiqué que l’opération était également valable pour les professeurs, mais qu’elle ne fonctionne que pour les commandes passées sur le site. La facture et le justificatif doivent être au même nom. Notons qu’Amazon propose le même MacBook Air à 950 € pour ceux ayant un compte Prime Student.
Le feuilleton judiciaire entre Apple et Masimo prend aujourd'hui un nouveau tournant. La firme poursuit les douanes américaines pour avoir autorisé le retour d'une fonction litigieuse. i
Orange vient de revoir les options Multi-SIM proposées sous sa marque et pour les clients Sosh avec de gros changements à la clé. La Multi-SIM, c’est cette option qui permet de partager son forfait iPhone sur un second appareil en y insérant une deuxième SIM.
Fin de la « Multi-SIM Appels et Internet »
Tout d’abord, l’opérateur met fin à l’option « Multi-SIM Appels et Internet » qui coûtait 5 €/mois. Celle-ci était incompatible avec l’option eSIM Watch, l’option carte jumelle, la VoLTE et les appels Wi-Fi.
Les nouvelles options Multi-SIM. Image WatchGeneration.
Orange propose maintenant une option « Multi-SIM Internet + 1 Go » et une « Multi-SIM Internet Extra + 1 Go », pour un appareil supplémentaire. La première est fournie gratuitement sur demande pour certains forfaits Orange 5G (170, 200, 300 et 410 Go) ou à 5 €/mois pour les autres forfaits (y compris Sosh) incluant un volume internet mobile avec débit réduit au-delà. Avec elle, on peut donc partager le forfait de son iPhone avec un autre appareil, comme son iPad.
La deuxième option, « Multi-SIM Internet Extra + 1 Go », est offerte uniquement avec le forfait Orange 410 Go 5G. Elle coûte autrement 5 €/mois. Elle permet de partager son forfait avec un appareil supplémentaire, comme un deuxième iPad ou un routeur mobile. Les frais d’activation sont offerts actuellement pour ces deux options.
Dans les deux cas, l’option Multi-SIM permet d’utiliser l’enveloppe de data du forfait mobile dans les mêmes conditions sur un autre appareil grâce à une carte SIM supplémentaire (hors voix, SMS et MMS).
Compatibilité Apple Watch étendue
La disparition de la « Multi-SIM Appels et Internet » (incompatible avec l'Apple Watch) au profit de la « Multi-SIM Internet Extra + 1 Go » fait qu'il devient possible d'utiliser l'eSIM sur l'Apple Watch dans un cas supplémentaire. Pour un même forfait mobile, on peut maintenant détenir jusqu’à trois Multi-SIM, quand on était limité à deux auparavant :
une Multi-SIM Internet + 1 Go (par exemple sur un iPad)
une Multi-SIM Internet extra + 1 Go (par exemple sur un second iPad ou un routeur mobile)
et une option eSIM Watch (pour une Apple Watch cellulaire ou une autre montre 4G)
La souscription à l’option eSIM Watch se fait depuis l’application Watch sur iPhone. L'eSIM Apple Watch est toujours une option à part entière, à 5 €/mois. Pour rappel, l’itinérance (usage à l’étranger) sur Apple Watch avec l’option eSIM est disponible depuis fin 2023.
Toutes les Apple Watch Ultra sont compatibles avec la 4G. Sur l’Apple Watch SE, c’est une option à 50 € à choisir au moment de la commande. Quant aux Series 10, la compatibilité cellulaire est en option sur les boîtiers en aluminium et incluse sur ceux en titane.
Article mis à jour avec des précisions sur le cas de l'Apple Watch et titre changé en conséquence.
Alors qu'Apple patine avec son nouveau Siri, Google prend de la distance. L’entreprise a annoncé hier que Gemini allait arriver dans Google Home d’ici la fin de l’année. Se basant sur un LLM, il devrait donner des réponses plus variées et être plus efficace pour les tâches du quotidien. Il va petit à petit remplacer Google Assistant sur les appareils Nest.
La transition devrait être assez transparente pour les utilisateurs, étant donné que l’on pourra toujours invoquer l’assistant en disant « Hey Google ». Sous le capot, Google a placé un de ses modèles « les plus performants » avec des capacités avancées de raisonnement et de recherche. Les demandes pourront donc être moins rigides et plus complexes, d’autant plus qu’il ne sera plus nécessaire de prononcer « Hey Google » à chaque fois.
Mountain View donne quelques exemples intéressants dans son communiqué. L’assistant pourra comprendre des commandes comme « joue la chanson de l’année 1990 » ou « la musique du blockbuster de l’été avec des voitures de course ». Côté domotique, on pourra demander des choses complexes comme « Éteints toutes les lumières, sauf celles de la chambre ». Même les commandes basiques devraient s’améliorer, Google citant « règle un minuteur pour obtenir des brocolis parfaitement cuits » ou « ajoute les ingrédients pour des lasagnes à ma liste de courses ».
Tout cela fait envie et rappelle fortement Alexa+, le nouvel assistant d’Amazon aux promesses similaires. Actuellement en bêta, les débuts sont plutôt laborieux d’après les premiers retours. L’IA se trompe, est parfois longue et a du mal avec certaines commandes. Les utilisateurs doivent également s’habituer à une nouvelle façon de communiquer avec l’assistant, ce qui n’est pas toujours facile.
On attendra de voir si Google fait mieux, et à quel prix. Chez Amazon, Alexa+ est lié à un abonnement Prime : Google pourrait faire pareil et réserver la nouveauté aux clients Google One. Le lancement commencera en octobre dans le cadre d'un programme d'accès anticipé comprenant les offres gratuites comme payant. On peut imaginer que l’entreprise restera prudente avec un déploiement lent, potentiellement limitée aux États-Unis dans un premier temps.
Apple a remarqué une utilisation particulière du mode Action pour l'enregistrement de vidéos avec son iPhone. Des personnes atteintes de la maladie de Parkinson, dès lors soumises à des tremblements incontrôlables des mains, parviennent tout de même à utiliser leur iPhone pour filmer comme bon leur semble.
Le mode Action, qui peut être par ailleurs déclenché à la voix, agit comme stabilisateur pendant l'enregistrement et compense ces tremblements (ci-dessous l'essai que l'on avait fait lors du test de l'iPhone 14 Plus, en courant). Il y a quelques contraintes, comme le fait que la scène est plus resserrée sur le centre de l'image ; que l'image est de moindre qualité et qu'il faut absolument privilégier des lieux bien éclairés. Mais lorsque les conditions sont réunies, le résultat peut être très convaincant, a fortiori pour les personnes atteintes de cette pathologie. Enfin, il faut avoir le bon téléphone. Ce mode est apparu avec la famille des iPhone 14, les autres l'ont conservé mais l'iPhone 16e tout récent en est dépourvu.
Ben Stiller, producteur exécutif et réalisateur phare des deux premières saisons, ne dirigera aucun épisode de la saison 3. L’acteur et cinéaste a confirmé qu’il se consacre désormais à d’autres projets, tout en continuant à suivre la série de près.
Si vous passez vos journées à tester des apps iOS, monter des vidéos Final Cut ou simplement scroller sur X en prétendant travailler sur un Keynote, alors vous savez qu’un bon siège n’est pas un luxe, mais une nécessité.
Lors de son événement Made by Google, marqué par l’annonce des nouveaux Pixel 10, Google a profité d’un dialogue surréaliste entre Jimmy Fallon et Adrienne Lofton, pour prononcer officiellement la fin du sempiternel débat entre bulles vertes et bleues.
Vous n’êtes malheureusement toujours pas éligible à la fibre ? À défaut d’avoir une connexion filaire moderne, vous avez peut-être une antenne 5G à proximité. Si c’est le cas, sachez qu’Orange améliore aujourd’hui son offre 5G+ Home.
Nouvelle Flybox Wi-Fi 7. Image Orange.
Le modem Wi-Fi 6 a été remplacé par une nouvelle Flybox compatible Wi-Fi 7 (sur les bandes 2,4 et 5 GHz uniquement), qui devrait améliorer les performances avec les terminaux compatibles. Développée par Nokia, cette nouvelle box ressemble étrangement à celle fournie par Free dans son offre équivalente.
Quoi qu’il en soit, elle est équipée de deux fois plus de récepteurs pour une réception 5G+ (5G standalone, celle qui se base sur un cœur de réseau 5G) améliorée. Elle intègre aussi la technologie L4S (Low Latency, Low Loss & Scalable Throughput) chargée de stabiliser la latence en temps réel pour une connexion plus fiable. Trois ports Ethernet sont également présents pour brancher des équipements voisins.
Pour faire bonne mesure, Orange augmente les débits maximums de son offre à 1,5 Gbit/s en réception et 250 Mbit/s en envoi. Sur le papier, ce sont les débits les plus élevés proposés par un opérateur en 5G fixe. En pratique, la vitesse dépendra évidemment de la distance de l’antenne, des murs, etc. L'offre est réservée aux clients couverts en 5G en 3,5 GHz (carte de couverture).
La formule inclut l’accès à 150 chaînes de télévision via l’application TV d’Orange sur PC, mobile et tablette — l’Apple TV n’est pas mentionnée. Une clé TV à 5€/mois est disponible en option pour profiter du service sur un téléviseur.
L’abonnement 5G+ Home est toujours à 42,99 €/mois (premier mois satisfait ou remboursé). Il ne nécessite pas d’installation particulière, mais Orange trouve quand même le moyen de facturer 29 € de frais d’activation. En comparaison, la box 5G de Free coûte 29,99 €/mois pendant un an puis 39,99 €/mois, celle de Bouygues 40,99 €/mois et celle de SFR 39,99 €/mois. Elles sont toutes sans engagement. Pour les 18-26 ans, Orange baisse son prix à 29,99 €/mois.
Google a présenté hier soir sa gamme Pixel 10, avec une petite révolution à l’échelle d’Android : tous les téléphones sont compatibles Qi2 et embarquent des aimants. Ils peuvent donc être rechargés sans fil à 15 W, et le Pro XL peut même monter à 25 W grâce à sa norme Qi 2.2. Si c’est quelque chose d’acquis sur l’iPhone depuis 2020, les Pixels sont seulement les seconds appareils sous Android à être pleinement compatibles avec le Qi2 après le HMD Skyline.
Images Google
Google ne s’est pas arrêté là et a même lancé une gamme d’accessoires alternative au MagSafe, nommé Pixelsnap. Elle propose par exemple un chargeur Qi2 avec support (80 €) ou un anneau de maintien (35 €), mais les propriétaires de Pixel 10 pourront également piocher parmi les nombreux accessoires initialement créés pour iPhone, comme les porte-cartes ou les supports magnétiques. Google a pensé à tout avec des coques Pixelsnap évitant de perdre la compatibilité avec les aimants. La nouveauté devrait simplifier la vie des foyers mixtes iPhone/Android étant donné que tous les accessoires MagSafe sont compatibles.
Un tel changement devrait dynamiser le marché des accessoires Qi2, qui se destinaient jusqu’à présent quasi uniquement aux propriétaires d’iPhone. L’arrivée de la technologie a été laborieuse et est loin d’être une évidence pour tous les fabricants. Les Galaxy S25 ou les plus récents Fold ne sont par exemple que « Qi2 Ready », ce qui signifie qu’ils n’intègrent pas directement les aimants indispensables à la charge par induction accélérée. Les clients voulant profiter des accessoires doivent donc acheter une coque dédiée.
L'Apple Watch ne sera pas la première montre connectée à destination du grand public à proposer une connectivité satellitaire. C'est finalement la Pixel Watch 4 présentée hier par Google qui devance l'Apple Watch Ultra 3 qui sera dévoilée le mois prochain. En cas d'absence de réseau...
Lorsqu'on évoque l'arrivée d'AirPlay dans les véhicules, on pense évidemment au streaming vidéo, comme la possibilité de lancer un film sur son téléphone et de venir le streamer sur l'écran de la voiture. , qui n'est pas proposé chez Tesla.
Avec sa nouvelle Pixel Watch 4, Google a travaillé le volet réparation en permettant à l'utilisateur de remplacer lui-même la batterie et l'écran de sa montre. Les montres connectées ressemblent le plus souvent à des huîtres lorsqu'il s'agit d'accéder à leurs composants internes. On peut les ouvrir, mais c'est à ses risques et périls et pour la garantie aussi. Apple par exemple ne propose rien à l'utilisateur qui voudrait remplacer un élément clef comme la batterie de l'Apple Watch alors que des progrès ont été accomplis pour ses autres produits.
Pixel Watch 4. Image Google.
Google entend donner l'exemple avec sa quatrième génération de Pixel Watch et il en a fait la démonstration à Wired. L'utilisateur pourra changer la batterie et l'écran de manière assez simple avec deux tournevis standards. Le boitier s'ouvre après avoir ôté deux petites vis T2 et sans qu'il soit nécessaire de retirer une couche d'adhésif.
Ceci fait, la partie qui héberge les capteurs de santé reste attachée et n'a pas besoin d'être ôtée pour aller plus loin. Pour retirer la petite batterie, il faut à nouveau ôter deux vis de même type afin de préalablement dégager le moteur haptique. La batterie peut être alors débranchée et le tout remonté.
Pour l'écran c'est à peine plus compliqué, il y a un jeu de vis T2 et T5 à ôter ainsi que le module des capteurs santé à débrancher délicatement. D'après Wired, tout cela n'a pris que 13 minutes à la personne de Google qui connaissait déjà le chemin et qui discutait tout en le faisant.
Il fut précisé aussi que la montre conserverait sa résistance à l'eau (IP68) après ce démontage. Ça ne veut pas dire bien entendu qu'elle la conservera éternellement. Dans sa page produit, Google prévient que cette capacité de résistance peut diminuer de différentes manières : « Elle diminue ou disparaît avec le temps en raison de l'usure normale, ou si l'appareil a été réparé, démonté ou endommagé. La chute de l'appareil peut entraîner une perte de la résistance à l'eau ».
C'est néanmoins un progrès significatif et iFixit, qui proposait déjà des tutos pour démonter (laborieusement) les précédentes Pixel Watch, va collaborer avec Google pour vendre l'écran et la batterie du nouveau modèle.
Wired en a profité pour interroger Anna-Katrina Shedletsky qui a travaillé sur la première Apple Watch et dirigé une équipe portée sur la partie mécanique. Elle raconte que l'objectif premier pour le premier modèle n'était pas sa réparabilité, mais de proposer un produit qui, tout simplement, plaise aux clients. D'autres points délicats devaient être aussi résolus en priorité comme la résistance à l'eau ou le placement judicieux des antennes Wi-Fi à l'intérieur du boitier en métal. Une tâche complexe : « C’est vraiment difficile de faire tenir tout ce dont on a besoin ; la plupart des éléments nécessaires à la réparabilité demandent de l’espace supplémentaire. »
Par son choix de design avec un écran rectangulaire, Apple s'est toutefois elle-même compliqué la vie, ajoute-t-elle : « Il y a une raison pour laquelle la plupart des montres sont rondes : on obtient une meilleure étanchéité ainsi. On ne pourrait pas utiliser un joint torique avec un design comme celui-ci ; ça ne fonctionnerait pas. ».
Google explique à Wired que la volonté de rendre la Pixel Watch plus réparable remonte à ses origines, mais que la route a été plus difficile qu'escomptée. Cependant, au niveau où en sont les montres aujourd'hui — l'Apple Watch a déjà 10 ans —, cet aspect ne devrait plus être éludé, même si leur compacité reste un défi : « Les montres connectées devraient être un produit arrivé à maturité à ce stade. La réparabilité devrait être possible ; c’est juste une question de volonté. Ce sera certes plus difficile. Il est plus simple et moins coûteux de les rendre moins réparables. »
La nouvelle position de charge. Image Google.
Un pas en avant… mais aussi un pas en arrière. Car si la Pixel Watch 4 est beaucoup plus facile à réparer même pour un utilisateur, elle apporte un changement sur son mode de charge. Pour la 3e fois en quatre générations de montres, Google a modifié sa méthode. Adieu le chargeur qui se colle sous la montre, la prise est dorénavant sur la tranche, obligeant à employer un tout nouvel accessoire. En échange il propose de remplir la batterie 25 % plus vite. Sur ce point au moins Apple n'a pas dévié depuis 10 ans, le chargeur a gagné en vitesse au fil du temps, mais il est resté le même.
Apple a publié une nouvelle vidéo qui montre une illustration pratique de l’Action mode de l’iPhone. Cette fonctionnalité de stabilisation vidéo permet de transformer le quotidien des utilisateurs souffrant de la maladie de Parkinson.
South Park a récemment entamé sa 27e saison, dont le dernier épisode diffusé hier soir se moque de… Tim Cook. Les créateurs de l’émission se sont moqués du récent cadeau du CEO à Donald Trump, à savoir un verre produit par Corning sur un socle en or de 24 carats. Doublé d'une promesse d'investissement de 100 milliards de dollars supplémentaires aux États-Unis, ce cadeau lui a permis d'éviter des droits de douane. La scène complète a été partagée sur Twitter.
Apple CEO Tim Cook has entered the chat, South Park never disappoints.
L’une des intrigues de l’épisode implique que différents CEO doivent faire la queue pour offrir un cadeau au président américain, un nouveau prérequis pour discuter avec lui. On peut voir aux côtés de Cook un Mark Zuckerberg offrant un Meta Quest 3 plaqué or ou un Qatari donnant un avion doré Qatar Airways.
Ce n’est pas la première fois que South Park s’attaque à Apple. La marque était au cœur de l’intrigue de l’épisode HUMANCENTiPAD diffusé en 2011. On pouvait notamment y voir passer Steve Jobs présentant un nouveau type d’iPad bien particulier. L’épisode a été le sujet d’un making-off de la série appelé « 6 Days to Air ».
La 27e saison de South Park est diffusée par Comedy Central France et sur Paramount+. La plateforme est incluse dans la plupart des offres Canal+. Les épisodes arrivent avec un peu de décalage, et celui-ci devrait être disponible samedi avec des sous-titres français.
La semaine dernière, Apple a annoncé le retour de la fonctionnalité de mesure de l'oxygène sanguin de l'Apple Watch aux États-Unis, dans une version retravaillée pour éviter de marcher sur les brevets de l'entreprise médicale Masimo qui avait obtenu l'interdiction de vente des Apple Watch...
Masimo a porté plainte contre le service américain des douanes pour avoir autorisé le retour de la fonction de contrôle du taux d'oxygène dans le sang par les Apple Watch.
Cette initiative fait suite à l'annonce par Apple, la semaine dernière, de la réactivation de la mesure du taux d'oxygène (SpO2) dans le sang via un autre procédé. Depuis la fin de l'année dernière, cette capacité a été retirée des Apple Watch vendues aux États-Unis. Selon l'International Trade Commission, Apple enfreindrait plusieurs éléments de deux brevets détenus par l'entreprise Masimo.
Image Apple.
Depuis, plutôt que de prendre une licence de cette technologie, Apple a cherché un moyen de contourner ces brevets et sa solution consiste à déporter vers l'iPhone le calcul de ces mesures prélevées sur l'Apple Watch. Précédemment c'est la montre qui s'occupait de tout.
Cette astuce n'est pas au goût de Masimo et encore moins le fait qu'elle ait été validée par le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis. Celui-ci a levé à la mi-août l'interdiction d'import et de vente sur le sol américain des Apple Watch proposant cette fonction.
Dans sa plainte contre les douanes, Masimo s'étonne de ne pas avoir été prévenu de l'introduction de la nouvelle fonction par Apple, ni de sa présentation auprès des douanes et, par conséquent, de ne pas avoir pu faire valoir ses arguments. La société spécialisée dans la santé considère que la nouvelle approche ne change rien aux infractions précédemment constatées :
Le « redesign » d’Apple semble être une modification superficielle expressément destinée à contourner l’ordonnance d’exclusion de l’ITC ; les montres ainsi « redessinées » contiennent les mêmes composants contrefaisants et conservent (au minimum) la capacité d’exécuter les mêmes étapes contrefaisantes, sauf qu’Apple a déporté l’une de ces étapes vers l’iPhone.
Masimo demande à ce que l'interdiction qui prévalait jusque-là soit de nouveau appliquée. La nouvelle méthode de mesure a été fournie aux utilisateurs américains au travers d'une mise à jour d'iOS et de watchOS.
Créée il y a près de trente ans, la série satirique South Park s’attaque cette année à Donald Trump… et à Tim Cook, avec une parodie bien sentie de la récente apparition du CEO d’Apple à la Maison Blanche.
Apple vient de publier une mise à jour urgente d’iOS et d’iPadOS (version 18.6.2) afin de corriger une faille importante dans son framework ImageIO. La vulnérabilité, référencée CVE-2025-43300, permettait de compromettre un appareil simplement en lui faisant traiter une image piégée.
Jean Pormanove, de son vrai nom Raphael Graven participait à des "streams" (vidéos en temps réel) sur Kick, entouré de différentes personnes, sur la plateforme Kick. Ces "streams" étaient vulgaires et violents, lui dans le rôle peut-être choisi ou endossé de la victime. Il n'est pas évident de démêler le vrai du faux. L'apparence du fond. Il avait revendiqué ce choix. Mais n'est-ce un Syndrome de Stockholm?
Il est mort à 46 ans après 288h de "stream" en continu, soit 12 jours, de ce qui pourrait être un arrêt cardiaque dans son sommeil. Après avoir subi en apparence des sévices pendant toute cette période. Ce qui pourrait être qualifié de torture, tout au moins en apparence, ou réelle!
Quand d'autres vont avec raison se demander pourquoi il est mort, s'interroger sur ses tortionnaires (avérés ou simplement faisant du cinéma), sur la plateforme Kick qui laisse visiblement tout passer, je voudrais juste me demander qui regarde ça et qui paye pour ça?
Les Snuff Movies c'était de la légende urbaine d'après certains, accepter de mourir devant une caméra dans des conditions atroces pour que l'argent recueilli soit transmis à sa famille ou conjoint ou autres. Je n'ai aucune certitude. Ça pouvait viser des cercles restreints.
Ce qui a été diffusé via la plateforme Kick et sa complicité est pourtant du même tonneau, et pourtant ne visant pas des cercles restreint mais le grand public! Tout cela bien moins facile qu'un Snuff Movie pourtant. Plus exposé. Et il est mort...
Qu'est-on devenu?!? Tous, collectivement, qu'avons-nous laissé faire? Qui regardait sans rien faire, ou avec plaisir?!? Qui a payé pour exiger des mauvais traitements?
En même temps que la présentation de ses nouveaux Pixel 10, Google a dévoilé sa nouvelle Pixel Watch 4. Et si Apple est donnée pour présenter une nouvelle Apple Watch Ultra 3 avec une connexion satellite, Google l’a coiffée au poteau avec sa nouvelle tocante.
Ainsi la Pixel Watch 4 se veut la plus grosse mise à jour de la montre connectée du constructeur depuis ses débuts. Elle est désormais dotée d’un magnifique écran bombé, permettant 10 % de surface en plus alors que les bords ont été réduits de 16 %, et une luminosité améliorée de 50 % par rapport au précédent modèle. Le verre est en Gorilla Glass, et le corps de la montre est en aluminium.
Elle est équipée d’un Snapdragon W5 et d’un co-processeur de Machine Learning, et la batterie est donnée pour durer 30h sur la version 41mm, et 40h sur la 45mm.
Google semble avoir fait les poches de la Ressence Type 3 pour le design et l’interface. À la différence que cette dernière illustrée ici est mécanique, et bien plus onéreuse, proposée à 50 600 € !
Google annonce que l’écran et la batterie sont remplaçables, même s’il faudra juger sur pièce, l’étanchéité étant sûrement un obstacle à une ouverture facile.
La montre est dotée d’une connexion 4G, et est donc la première à proposer une connexion satellite de secours en cas d’urgence, grillant ainsi la politesse à Apple et sa possible Watch Ultra 3. Elle est proposée à partir de 399 €, et livrable dès le 9 octobre.
Il y a 20 jours, OpenAI tentait une option qu’elle a vite retirée : en cochant une case, il devenait possible de rendre une conversation privée avec le chatbot disponible pour tous, et par là même... indexée par le moteur de recherche de Google. De quoi laisser partir aux quatre vents votre CV, vos petits tracas partagés avec l’intelligence artificielle, ou des données encore plus embêtantes.
It’s patently absurd that Apple isn’t smart enough to make their own AI, yet is somehow capable of ensuring that OpenAI will protect your security & privacy!
Apple has no clue what’s actually going on once they hand your data over to OpenAI. They’re selling you down the river.
« Apple n’a aucune idée de ce qui est fait de vos données une fois laissées à OpenAI »... voilà qui ne manque pas de piquant vu la fuite dévoilée aujourd’hui...
OpenAI a très vite réagi, supprimant cette possibilité et demandant à Google de désindexer les pages de conversations déjà enregistrées par le moteur de recherche.
Fin de l’histoire ? Non : xAI avec son chatbot Grok n’a semble-t-il pas retenu la leçon, ou est beaucoup moins regardant sur les données de ses utilisateurs. Quand vous cliquez sur le bouton « Partager » afin de faire part de votre conversation personnelle à un ami, l’URL créée pour l’occasion se retrouve automatiquement disponible pour les moteurs de recherche, et c’est ainsi que plus de 370 000 conversations privées sont disponibles pour n’importe qui souhaitant un peu fouiller.
C’est Forbes qui dévoile ce fonctionnement, le journaliste indiquant qu’à aucun moment l’utilisateur n’est averti de ce partage de la conversation non seulement avec son correspondant, mais surtout avec tous les moteurs d’indexation comme Google :
Sur Grok, utiliser le bouton « Partager » implique que la conversation sera publiée sur le site de Grok, sans aucun avertissement pour l’utilisateur. Aujourd’hui, une recherche Google pour des conversations Grok montre que le moteur a déjà indexé 370 000 conversations avec le bot. Les pages rendues publiques révèlent des conversations allant de la simple tâche bureautique comme écrire des tweets ou générer des images, jusqu’à une attaque terroriste fictive du Kashmir ou une demande d’aide au piratage de crypto-monnaies.
Des détails très privés semblent avoir été dévoilés au grand jour, comme des questions médicales ou des conseils psychologiques, certaines conversations comportent les noms et autres éléments permettant d’identifier les utilisateurs... même un mot de passe a été au moins une fois partagé. Des documents envoyés pour analyse au chatbot sont aussi liés, comme des images, des documents texte ou des feuilles de calcul.
Si cela ne suffisait encore pas, certaines conversations montrent que le chatbot de xAI est allé plusieurs fois à l’encontre des règles pourtant imposées par l’entreprise concernant certaines demandes :
Grok a proposé des instructions précises sur la façon de produire certaines drogues illégales comme le fentanyl ou la methamphétamine, a créé le code d’un malware auto-exécutable, ou encore créé un manuel pour la construction d’une bombe, ou des conseils pour un suicide. Grok a même offert un plan détaillé pouvant permettre l’assassinat d’Elon Musk.
Si OpenAI est rapidement revenue sur ses décisions, xAI n’a pour le moment pas communiqué sur le sujet, que ce soit pour expliquer ce partage non voulu ou indiquer si elle compte y mettre un terme.