Vue normale
Bon anniversaire à Bill Gates, l’homme qui a sauvé et combattu Apple !
Les Services d'Apple rapportent plus que Tesla ou Walt Disney !
Samsung ajoute de la publicité sur l'écran de ses frigos connectés
Mise à jour le 28 octobre à 17 h : Samsung a commencé à afficher des pubs sur certains frigos. Les réclames n’apparaissent pour le moment qu’aux États-Unis et prennent la forme d’un nouveau widget sur les modèles 21 et 32". Un quart de l’espace est dédié à de la publicité… ce qui passe mal auprès des clients ayant déboursé dans les 2 000 $ pour un frigo.

Samsung se contente pour l’instant de promouvoir ses propres produits comme des filtres à eau ou des services, mais l’entreprise vise à s’ouvrir à d’autres marques sur le long terme. Les réclames peuvent être désactivées, ce qui supprime au passage le widget et ses différentes informations (calendrier, météo…).
Article original : Dans la longue liste des objets connectés raillés par les personnes qui trouvent ça ridicule, les réfrigérateurs sont en bonne place. Et Samsung vient d'avoir une idée qui ne va pas améliorer la perception de ces derniers : la dernière mise à jour en date, au moins aux États-Unis, ajoute de la publicité sur l'écran.

Le loup a été levé sur Reddit, et une vidéo sur Instagram montre la liste des nouveautés de cette mise à jour Smart Forward. Elle indique ceci « To enhance our service and offer additional content to users, advertisements will be displayed on the Cover Screen for the Weather, Color, and Daily Board themes. The Cover Screen for the Art and Gallery themes will not display advertisements. », soit « Pour améliorer notre service et offrir du contenu supplémentaire aux utilisateurs, des publicités seront affichées (…) ». En clair, Samsung, la petite entreprise dans le besoin, doit afficher des publicités sur des appareils vendus plusieurs milliers d'euros pour continuer à les prendre en charge. C'est un peu sarcastique, évidemment, mais le mouvement semble passer assez mal auprès des utilisateurs.
Ce changement n'est pas totalement une surprise : en mai 2025, des rumeurs indiquaient déjà que Samsung travaillait sur ce sujet. Enfin, la liste des nouveautés de la mise à jour indique que Google Photo ne sera plus disponible, que le flux d'actualité « Morning Brief » ne sera plus mis à jour et que la reconnaissance automatisée des aliments présents dans le réfrigérateur va être arrêtée. Heureusement, la possibilité de voir l'intérieur de l'appareil via la caméra intégrée sur l'écran d'accueil reste possible.
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Toyota affiche les arrêts recharge de ses voitures électriques dans Plans, au moins en Amérique du Nord
Toyota affiche les arrêts recharge de ses voitures électriques dans Plans, au moins en Amérique du Nord
Toyota s’est ajouté au cercle très fermé de constructeurs automobiles qui gèrent l’une des fonctionnalité peu connue de Plans d’Apple : la gestion des arrêts recharge. Toutes les voitures entièrement électriques du constructeur japonais qui sont sorties à partir de 2023 pourront désormais s’intégrer à Plans via CarPlay et insérer les arrêts nécessaires pour charger la batterie lors du calcul d’un itinéraire. Cela concerne uniquement la bz4X, premier véhicule exclusivement électrique du géant de l’automobile, même si on peut imaginer que les modèles suivants en bénéficieront eux aussi.
Plans peut tenir compte des arrêts pour la charge des voitures électriques depuis… 2020. Cinq ans après, il n’y a qu’une poignée de véhicules qui gèrent la fonctionnalité et seulement chez trois constructeurs : Ford a été un pionnier avec la Mustang Mach-e puis le camion F-150 Lightning, tandis que Porsche avait suivi en 2023 pour sa Taycan. Apple avait annoncé à l’origine un autre partenaire avec BMW, sauf que le constructeur bavarois ne l’a jamais mise en œuvre, sauf erreur de notre part.
Apple Plans : la Porsche Taycan profite des itinéraires optimisés pour les voitures électriques
Un troisième véhicule électrique va bénéficier des itinéraires avec les recharges dans Plans
Les fabricants ne se précipitent pas sur cette fonctionnalité, qui est pourtant bien pratique quand on conduit une voiture électrique. Grâce à elle, on peut utiliser Plans et bénéficier d’un planificateur d’itinéraire qui tient compte de la charge, alors qu’il faut normalement exploiter le GPS du véhicule pour savoir quand et où s’arrêter sur un trajet. Pour que cela fonctionne, la voiture communique en temps réel son état à Plans, à savoir son niveau de batterie et l’autonomie estimée restante. L’app de cartographie d’Apple connaît également le type de connecteur présent dans la voiture pour la charge et peut ainsi filtrer les bornes en fonction de ce critère.
Cette possibilité est encore très rare, la bz4X n’étant que la quatrième voiture à la proposer et les autres constructeurs ne semblant pas particulièrement motivés pour la proposer à leurs clients. Pour ne rien arranger, l’annonce concerne le marché nord-américain et on ne sait pas si les voitures électriques vendues par Toyota en Europe sont concernées. J’ai posé la question au constructeur et je mettrai à jour cet article si j’ai une réponse. D’ici là, si vous roulez en bz4X, n’hésitez pas à tester et à nous dire ce qu’il en est dans les commentaires.
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Retirer la batterie gonflée d'un Magic Keyboard, pour continuer à l'utiliser avec un câble
Retirer la batterie gonflée d'un Magic Keyboard, pour continuer à l'utiliser avec un câble
Il y a quelques jours, nous vous parlions d'un Magic Keyboard de la rédaction, dont la batterie avait gonflé, au point de déformer la coque du clavier. Après avoir vu les images de mes collègues, j'ai eu l'idée de vérifier l'état de mon clavier, lui aussi branché dans un coin à un Mac mini. Et bien m'en a pris : la batterie avait aussi gonflé et déformé le clavier, de façon moins spectaculaire.

Les batteries qui gonflent, cela n’arrive pas qu’aux autres
Étant donné que le clavier était branché en permanence au Mac, je me suis demandé s'il serait capable de fonctionner sans sa batterie, et j'ai donc décidé de débrancher cette dernière pour le vérifier. Avant les quelques photos, commençons par un avertissement : prenez des précautions. Nous vous conseillons de préparer un seau rempli de sable ou un récipient en métal assez grand pour recevoir la batterie en cas de combustion. Pour démonter le clavier, nous avons suivi le démontage d'iFixit, publié à la sortie du clavier en 2015, mais sans utiliser d'outils pour chauffer le clavier, ni de lames. Deux précautions importantes dans le cas d'une batterie gonflée : si vous percez l'enveloppe de la batterie, les risques d'emballement thermique sont bien réels. C'est la raison pour laquelle nous vous conseillons un récipient en métal dans lequel vous pourrez placer la batterie le cas échéant, pour éviter un incendie. Dans tous les cas, nous vous déconseillons de vous lancer si vous n'êtes pas équipés pour éviter les problèmes, et nous déclinons toutes responsabilités : le démontage de ce clavier est à vos risques et périls.



À ce stade, j'ai pu répondre à la question initiale : le clavier fonctionne sans sa batterie. Une fois relié à un Mac (ou un iPad) avec un câble Lightning, il est parfaitement fonctionnel, même sans sa batterie. Il est même possible techniquement de le faire fonctionner sans fil dans une certaine mesure, s'il est alimenté en Lightning à travers un adaptateur secteur USB.


Une fois la batterie décollée et recyclée, nous avons simplement remis la plaque collée en place et (re)branché le clavier au Mac mini.
Moonlock, le nouvel anti-virus pour le Mac conçu par MacPaw
Faut-il un antivirus sur Mac ? La question revient régulièrement. Ce qui est certain, c’est que le succès croissant du Mac — notamment dans le monde de l’entreprise — pousse les éditeurs de sécurité à s’intéresser davantage à notre plateforme.
Faut-il vraiment installer un antivirus sur Mac ?
Dernier venu sur le marché : MacPaw, connu pour CleanMyMac, présente une nouvelle solution baptisée Moonlock. Pour ceux qui associent encore antivirus à interface triste et datée, surprise : l'app dispose d'une apparence qui ne passe pas inaperçue.
Une installation sans accroc
L’installation ne pose aucun problème particulier. L’application demande simplement les autorisations nécessaires à son bon fonctionnement : installation d’une extension de sécurité et accès complet au disque. Rien d’anormal pour un outil de ce type.
Quitte à débarquer en 2025 sur ce marché, autant ne pas se contenter d’un simple antivirus : Moonlock se divise en six sections principales. Outre un anti-virus, Moonlock embarque notamment un VPN et un inspecteur réseau.
Moonlock, c'est un anti-virus, un inspecteur réseau et un VPN
La première section, qui correspond à l'écran d'accueil du logiciel, est un tableau de bord géant qui affiche les principales informations pour savoir si son Mac est bien protégé, de quand datent les dernières définitions de l'antivirus… L'un des points intéressants de Moonlock, c'est que l'application donne beaucoup de conseils pour aider les utilisateurs à mieux protéger leur Mac et surtout adopter de bons réflexes.
La deuxième partie, c'est l'anti-virus en lui-même avec un gros bouton scan. Vous avez le droit à trois types de vérifications : rapide, intermédiaire et profond. Manque de bol, il n'y avait aucun virus sur mon Mac.
Outre le fait d'offrir une protection contre les virus déjà installés, Moonlock se propose également de surveiller les scripts qui s'exécutent en temps réel sur votre Mac.
La troisième fonctionnalité de Moonlock, c'est le fameux VPN destiné à renforcer la sécurité de votre Mac. Ce service-là est assuré par ClearVPN, qui appartient à MacPaw. Vous pouvez choisir la localisation optimale du serveur pour des performances accrues du VPN ou le pays de votre choix. Un inspecteur réseau permet également de bloquer les apps et sites se connectant à certains pays.
Moonlock dispose également d'une fonctionnalité System Protection qui va étudier les réglages de votre système et vous indiquer les paramètres que vous devriez améliorer pour une sécurité maximale. L'application m’a recommandé pendant mes essais de ne pas utiliser mon Mac comme récepteur AirPlay. C'est effectivement un angle d'attaque en moins pour une personne malintentionnée.
Enfin, Security Advisor est un peu le prolongement de System Protection. Il s'agit de fiches qui vous donnent des conseils pour améliorer votre sécurité numérique. Il y a de tout, comme utiliser un mot de passe différent pour chaque service, éviter les hotspots Wi-Fi ou encore mettre en place autant que possible la 2FA.
Le problème des antivirus dédiés à macOS est toujours le même… On parle malgré tout d'une menace qui reste assez théorique sur notre plate-forme. Les problèmes de sécurité sont souvent ailleurs. Reste que la démarche didactique de Moonlock est assez intéressante.
Malheureusement, le logiciel est disponible uniquement en anglais pour le moment. Son interface, qui fait un peu jouet, ne sera pas au goût de tous.
Si vous êtes intéressé, vous pouvez tester l’app gratuitement pendant une semaine. Au-delà, il faudra payer un abonnement à 13,5 € par mois ou 54 € par an pour un seul ordinateur, ou bien acheter une licence finale facturée 150 € par Mac. macOS 13 ou supérieur est nécessaire.
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- L’iPhone des 20 ans troquerait ses boutons physiques pour des touches haptiques
L’iPhone des 20 ans troquerait ses boutons physiques pour des touches haptiques
Apple aurait prévu de grands changements pour les 20 ans de l’iPhone, et devrait notamment passer son téléphone aux boutons haptiques. C’est tout du moins ce qu’affirme le fuiteur chinois Instant Digital, qui a eu de bons tuyaux par le passé. La théorie n’est pas saugrenue étant donné que l’on sait qu’Apple a déjà planché sur un tel concept.

Apple aurait envisagé l’idée dès l’iPhone 15 Pro. Son ambition serait de remplacer les boutons physiques par d’autres répondant par des vibrations, un peu à la manière du bouton d’accueil des derniers iPhone sans Face ID. Les deux touches de volume fusionneraient, ce qui ne manquerait pas de rappeler les premiers iPhone (ils ont été séparés sur l’iPhone 4). Le bouton d’alimentation/verrouillage passerait également à ce nouveau système.
Baptisé « Projet Bongo » en interne, ces nouveaux boutons disposeraient de leur propre firmware logiciel et d’un mode veille profonde. L’idée serait d’améliorer la résistance du téléphone et son étanchéité grâce à des boutons fixes. Les ingénieurs de Cupertino avançaient bon train sur ce projet en 2023, mais selon des fuites, il n’a pas passé la phase de développement EVT, correspondant aux tests de validation technique. Le concept aurait été remis à plus tard suite à un taux élevé de défaillance matérielle.
Projet Bongo : le concept de boutons haptiques pour iPhone 15 Pro qu'Apple a finalement mis au placard
Instant Digital croit dur comme fer au retour de ces boutons haptiques, avançant la théorie en avril puis en mai avant de prédire son arrivée sur toute la gamme de produits Apple comme l’iPad ou l’Apple Watch. Il voit maintenant la technologie arriver sur l’iPhone des 20 ans, attendu pour 2027 et qui devrait avoir droit à un gros redesign. Toutes les touches seraient haptiques, le bouton Action et celui de contrôle de l’appareil photo également. Un système de vibration avancée serait mis en place créant au passage du son, qui pourrait être appuyé par des algorithmes spécifiques.
Si les rumeurs disent vrai, Apple préparerait un sacré changement pour l’iPhone 19. L’ambition serait de proposer un écran dépourvu de bordures dont les 4 côtés s'étendraient jusqu'au cadre du châssis. Le rendu serait celui d’une plaque de verre complète, et on peut imaginer que les boutons se mélangeraient donc avec la dalle. Apple pourrait se montrer créative avec ce concept, par exemple avec des boutons changeant d’apparence selon le contexte.
WhatsApp va enfin permettre de gérer le stockage pour chaque conversation
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- MacWhisper 13 adopte une touche de Liquid Glass et la transcription d’Apple incluse avec macOS 26
MacWhisper 13 adopte une touche de Liquid Glass et la transcription d’Apple incluse avec macOS 26
MacWhisper est un outil bien pratique pour transcrire du contenu audio sur son Mac. Si l’app est née il y a quelques années comme une interface pour exploiter localement les modèles Whisper fournis par OpenAI, d’où son nom, elle a considérablement évolué depuis, au point de devenir un outil qui peut répondre à tous les besoins de transcription, y compris en direct pendant une réunion. La version 13 qui vient de sortir est une mise à jour majeure qui propose une interface à la sauce Liquid Glass et surtout qui exploite les modèles locaux fournis par Apple sous macOS 26.
Côté interface, le développeur parle d’un design entièrement réinventé, ce qui est peut-être un peu exagéré, même s’il y a en effet de nombreux petits changements. L’écran principal permet comme avant de lancer rapidement une transcription ou un nouvel enregistrement. Il gagne aussi un historique des transcriptions, ce qui permet de retrouver facilement un ancien projet. On peut ouvrir plusieurs transcriptions en parallèle et passer de l’une à l’autre via la barre latérale, une tâche qui était nettement plus complexe avec l’ancienne version. MacWhisper 13 est également capable d’ouvrir une transcription dans une deuxième fenêtre, cela peut être utile dans certains cas. Autre ajout intéressant, une file d’attente qui permet d’enchaîner plusieurs transcriptions.
Les utilisateurs de macOS 26 auront aussi une présentation nettement plus arrondie, synonyme d’utilisation de Liquid Glass. Au cœur de l’app, la transcription à proprement parler devrait être plus rapide grâce à Tahoe, avec des gains de 10 % à attendre sur tous les modèles. Si vous êtes pressé, l’app gère aussi le modèle de transcription vocale fourni par Apple, dont le principal avantage, outre son intégration qui évite d’avoir à télécharger un gros modèle, est la rapidité. Si vous disposez de macOS 26, vous pouvez l’activer dans les réglages, sachant qu’il faut choisir les langues et télécharger un petit fichier à chaque fois.
macOS 26 concurrence Whisper avec un modèle de transcription local et très rapide
Je l’ai testé sur le dernier épisode de Sortie de veille et de fait, c’est un modèle extrêmement rapide. Sur mon Mac Studio de première génération, 14 secondes ont suffi à transcrire ce podcast de 22 minutes et 48 secondes, c’est environ 94 fois plus rapide que la transcription en temps réel. J’ai utilisé en guise de comparaison Parakeet, un modèle de transcription conçu par Nvidia qui présente l’avantage d’être nettement plus rapide que Whisper tout en étant aussi bon, voire meilleur, dans ce rôle. Sur le même Mac et avec le même fichier, l’analyse s’est terminée en 42 secondes, ce qui reste rapide, même si le modèle d’Apple est loin devant sur le chapitre des performances.
Parakeet garde de solides arguments : il gère de nombreuses langues sans avoir besoin de le guider, là où la transcription d’Apple nécessite d’indiquer la langue à utiliser. Il sait aussi distinguer les interlocuteurs, ce qui est très intéressant dans de nombreux domaines (podcasts, interviews), là où le modèle fourni avec macOS se contente d’un long paragraphe de texte. MacWhisper propose toutes ces options et bien d’autres encore, c’est là tout son intérêt et on pourra choisir le modèle adapté à ses besoins et à son Mac. D’ailleurs, les modèles de transcription d’Apple sont réservés aux Mac Apple Silicon, alors que l’app est compatible avec ceux de l’ère Intel.
Autre modèle d’Apple utilisé avec cette mise à jour, cette fois le modèle Foundation, celui qui sert de base à Apple Intelligence. Il peut servir à résumer une transcription, une tâche qu’il fera en local sur les Mac Apple Silicon sous macOS 26. L’utilisateur peut pointer vers un modèle local via Ollama ou vers des modèles en ligne, comme ceux d’OpenAI, Anthropic ou Google. Parmi les nouveautés de la version 13, MacWhisper peut aussi exploiter ce modèle pour titrer chaque transcription en fonction de ce contenu et l’interface affiche des boutons dédiés à ces différentes tâches.
MacWhisper est une app que l’on peut utiliser sans payer, même s’il faut alors faire une croix sur une bonne partie des fonctionnalités. La transcription avec les modèles d’Apple est gratuite, l’utilisation des modèles Parakeet nécessite de payer pour la version Pro, par exemple. Comptez alors environ 71 € TTC pour une licence, avec un tarif dégressif si vous en achetez plusieurs. L’app nécessite macOS 15 au minimum et son interface est partiellement traduite en français.
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- L'IA d'Adobe est-elle devenue un véritable studio de production multimédia ?
L'IA d'Adobe est-elle devenue un véritable studio de production multimédia ?
Les ambitieux projets de Google dans le nucléaire !
Lancement de Free TV : Free surpris que TF1 et France TV soient surpris
Mesdames et messieurs, installez-vous confortablement devant votre téléviseur, le grand cirque démarre ! Alors que les cracheurs de feu TF1 et France Télévisions s’insurgent de voir leurs programmes inclus dans Free TV sans avoir été consultés au préalable, l’acrobate Free dit avoir « pris connaissance » de cette récrimination… « avec un peu d’étonnement ».

« Nos contrats nous permettent bien de distribuer leurs chaînes », a déclaré, mine de rien, l’opérateur auprès du journal Le Monde. De fait, Free diffusait déjà les chaînes de TF1 et de France Télévisions dans sa précédente offre, nommée OQEE. Mais celle-ci était réservée à ses abonnés fixe ou mobile, dont le nombre avait servi de référence pour établir le contrat et fixer la rémunération des partenaires.
Or, les nouvelles offres Free TV (gratuite) et Free TV+ (0,99 €/mois pendant un an, avec des chaînes en plus, dont celles de TF1) sont ouvertes à tous et devraient donc attirer des utilisateurs supplémentaires. « Free part du principe que le changement de son offre n’a pas d’impact, alors que le nombre d’utilisateurs concernés nous est inconnu, et que nous perdons le contrôle éditorial sur nos contenus, la maîtrise de la publicité qui leur est associée, et le contrôle sur l’utilisateur lui-même », déplorent TF1 et France Télévisions d’une même voix.
En réponse, Free assure agir dans « l’intérêt de tous » avec ce service qui doit simplifier l’accès à la télévision. L’opérateur affirme aussi qu’il est ouvert au dialogue avec ces partenaires de longue date. Si aucun compromis n’est trouvé, TF1 et France Télévisions menacent de porter l’affaire en justice.
Free lance Free TV, une offre de télé gratuite disponible pour tous
Des boutons capacitifs pour l'iPhone du 20e anniversaire en 2027 ?

Radars dégradés : l'État perd 76 millions d'euros, les recettes en baisse
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Les MacBook Pro M4 Pro et M4 Max en promo au meilleur prix : le bon plan après la sortie du M5 !
Les MacBook Pro M4 Pro et M4 Max en promo au meilleur prix : le bon plan après la sortie du M5 !
Supervibes améliore Claude Code pour créer des apps iOS prêtes à publier
Supervibes propose une solution native sur le Mac pour créer une app iOS en mode « vibe coding », c’est-à-dire en faisant appel à une intelligence artificielle générative pour écrire le code au lieu de le faire soi-même. C’est une pratique qui s’est développée en même temps que les grands modèles de langage ont prouvé leur habilité à comprendre des instructions exprimées en langage naturel et produire du code (à peu près) fonctionnel. Dans ce domaine, Claude Code conçu par Anthropic tire son épingle du jeu et c’est la solution reconnue comme étant la meilleure pour développer.
Claude Code tourne par défaut dans un terminal et même si on peut désormais l’utiliser dans un navigateur web, il reste un outil générique. Supervibes repose sur ces fondations, en les adaptant toutefois à un contexte particulier, celui du développement d’apps iOS. Ses concepteurs ont développé une interface native pour macOS et surtout optimisé le processus pour prendre en charge les spécificités de l’écosystème Apple. Pour commencer, l’app sait gérer le format des projets Xcode, l’environnement de développement que l’on utilise pour créer des apps iOS. Elle peut ainsi créer un nouveau projet ou bien en ouvrir un existant pour le modifier, normalement sans rompre la compatibilité avec l’outil d’Apple.
Par rapport au travail réalisé par Claude, les créateurs de Supervibes ont notamment configuré deux serveurs MCP spécifiques. Ce protocole créé par Anthropic permet de définir comment un grand modèle de langage peut réaliser des tâches dans d’autres apps ou services. C’est rapidement devenu un standard pour les « agents », le nom que l’on donne à l’intelligence artificielle générative quand elle fait plus que générer du texte. Claude sait les utiliser directement, ce qui a simplifié le travail des développeurs de cette app, puisqu’elle repose sur ce chatbot.
Grâce à MCP, les « agents » IA prennent le contrôle des tâches… et des ordinateurs
Le premier serveur MCP est chargé de contrôler Xcode, pour compiler l’app iOS et afficher le résultat soit dans le simulateur intégré à l’environnement de développement, soit directement sur un iPhone ou iPad. C’est une tâche qu’un développeur d’apps iOS réalise plusieurs (dizaines de) fois par jour et c’est important qu’un outil comme celui-ci en fasse autant. Le deuxième serveur est dédié à Superwall, qui est en réalité le produit principal des créateurs de Supervibes : c’est un kit de développement (SDK) qui permet d’ajouter un « paywall » (interface qui demande de payer) dans les apps iOS, avec des fonctions évoluées pour réaliser des tests sur plusieurs prix ou encore proposer des offres différentes en fonction des utilisateurs.
Supervibes est un outil gratuit que l’on peut utiliser sans intégrer Superwall à l’app produite. En revanche, il repose sur Claude Code et nécessite à cet égard un abonnement payant auprès d’Anthropic (20 $ par mois ou 200 $ par an au minimum). Xcode devra aussi être installé sur le Mac qui fait tourner l’application et si vous voulez publier le résultat, vous aurez également besoin d’un compte développeur payant chez Apple (99 $ par an).
macOS 15 est nécessaire au minimum, l’interface n’est pas traduite en français.
Le permis de conduire à vie, c'est bien fini ! (comment ça va se passer ?)
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Jusqu'à -500€ sur les routeurs Netgear Wi-Fi 7 : offrez-vous le haut de gamme au meilleur prix !
Jusqu'à -500€ sur les routeurs Netgear Wi-Fi 7 : offrez-vous le haut de gamme au meilleur prix !
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Merge Labs : Sam Altman veut lire vos pensées sans chirurgie et défie Neuralink
Merge Labs : Sam Altman veut lire vos pensées sans chirurgie et défie Neuralink
Contrats abusifs avec les opérateurs : Apple fait appel de sa condamnation
Apple est vraiment décidée à faire trainer cette affaire en longueur. Condamnée mi-octobre à verser 48 millions d’euros pour avoir imposé des clauses illégales à Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free en 2013, la Pomme fait appel du jugement. « Nous contestons cette décision, qui concerne une affaire remontant à plus de dix ans, et nous faisons appel », nous a fait savoir un porte-parole. Et d’ajouter sans transition : « Comme toujours, notre priorité est d’offrir des expériences exceptionnelles à nos clients en France et dans le monde entier. »

Cet appel n’est pas une surprise. Les avocats d’Apple avaient déjà employé jusque-là toutes les méthodes à leur disposition pour repousser l’échéance aussi loin que possible. Et, selon L’Informé, certaines clauses jugées illégales dans les contrats signés en 2013 sont toujours en vigueur. Si tel est le cas, Apple a intérêt à faire durer le bras de fer pour pouvoir maintenir ses pratiques illicites. Interrogée sur ce point, l’entreprise ne nous a pas répondu pour l’instant.
Apple a été condamné pour neuf clauses abusives créant un déséquilibre significatif dans ses relations commerciales avec les opérateurs français. Dans les contrats de 2013, ces derniers étaient notamment contraints de financer l’intégralité des campagnes publicitaires de l’iPhone, avec pour seule contrepartie leur logo apparaissant subrepticement en fin de spot. Une pratique qui, à en juger par les publicités récentes, n’a peut-être pas disparu.
Amazon enclenche l’automatisation et supprime 14 000 postes
Mise à jour à 14 h — Amazon a confirmé la charrette. Contrairement à ce qu’avaient indiqué plusieurs médias, il n’y a pas 30 000 suppressions de postes, mais 14 000. « Les réductions que nous annonçons aujourd’hui s’inscrivent dans la continuité de ce travail visant à nous rendre encore plus solides, en réduisant la bureaucratie, en supprimant des niveaux hiérarchiques et en réaffectant nos ressources afin d’investir dans nos paris les plus ambitieux et dans ce qui compte le plus pour les besoins actuels et futurs de nos clients », a justifié Beth Galetti, la responsable des ressources humaines.
L’intelligence artificielle joue bien un rôle dans ces coupes franches : « Certains se demanderont peut-être pourquoi nous réduisons nos effectifs alors que l’entreprise se porte bien. Cette génération d’intelligence artificielle est la technologie la plus transformatrice que nous ayons connue depuis internet. Elle permet aux entreprises d’innover bien plus rapidement que jamais, tant dans les secteurs existants que dans de nouveaux domaines. Nous sommes convaincus que nous devons nous organiser de manière plus allégée. »
Beth Galetti n’a pas précisé les fonctions ni les régions touchées. La plupart des salariés auront 90 jours pour tenter de se repositionner en interne.
Article original publié le 28 octobre à 10 h 56 — De nombreux employés d’Amazon s’apprêteraient à faire leur carton. D’après plusieurs médias américains, le groupe prévoit de licencier 30 000 personnes à travers le monde à partir d’aujourd’hui même.
Le groupe, qui n’a pas encore commenté cette information, compte actuellement 1,5 million d’employés sur le globe, dont plus des deux tiers travaillent aux États-Unis, principalement dans les entrepôts ou à la livraison. Ces deux activités ne seraient pas directement concernées pour l’instant par les suppressions de postes. Les coupes viseraient essentiellement les employés de bureau, aux fonctions support par exemple.

En juin dernier, Andy Jassy, le CEO d’Amazon, avait préparé les esprits. Dans une lettre adressée à ses employés, il avait prévenu que l’intelligence artificielle allait conduire « à réduire le nombre total des effectifs » dans les années à venir. « Au fur et à mesure que nous déployons davantage d’IA générative et d’agents, cela devrait changer la manière dont notre travail est effectué », expliquait-il.
Si les cols blancs sont les premiers touchés, les travailleurs dans les entrepôts ne sont pas à l’abri non plus. Selon un rapport interne révélé par le New York Times, Amazon vise à automatiser jusqu’à 75 % de ses opérations grâce à l’IA et à la robotique. Les prévisions ne font pas forcément état de licenciements, mais plutôt d’un gel des embauches futures, les machines prenant peu à peu le relais.
Vulcan, le bras robot d'Amazon qui pourrait remplacer un humain pour vos commandes
La dernière grande vague de suppressions de postes chez la multinationale remonte à 2022, avec 27 000 départs. À l’époque, il s’agissait d’un retour de flamme après les embauches massives liées à la flambée du commerce en ligne pendant la pandémie. Amazon n’est pas le seul grand groupe à licencier en masse : Microsoft a déjà supprimé plus de 15 000 emplois cette année, sur fond de bénéfices records et de course à l’IA.
Amazon publiera ses résultats trimestriels le 30 octobre. Ses derniers comptes faisaient état d’un chiffre d’affaires annuel d’environ 670 milliards de dollars et d’un bénéfice net avoisinant les 70 milliards.
-
7.2.1 🍏 Sites principaux
- Elon Musk défie Wikipédia avec Grokipedia, sa propre encyclopédie générative