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HomePod mini 2 et AirTag 2 dans le code d’iOS 26, avec un aperçu des nouveautés

11 décembre 2025 à 21:30

MacWorld continue le tour de ses découvertes dans le code d’une version interne à Apple d’iOS 26, en donnant quelques infos sur deux produits : la prochaine version du HomePod mini, et le très attendu AirTag 2.

Un HomePod mini au SoC plus récent, mais sans grands changements apparents

Disponible au catalogue d’Apple depuis 2020, le HomePod mini a eu le succès qu’Apple aurait voulu avoir avec le HomePod. Il faut dire qu’à 109 €, l’achat se réfléchit un peu moins que pour son grand frère et les 349 € qu’il demande.

Depuis, à part quelques nouvelles couleurs, rien. Pas une mise à jour de l’appareil. Les choses devraient changer dans les semaines ou mois à venir, comme le prouve la découverte dans le code d’une référence B252, qui correspond à une nouvelle version de la petite enceinte connectée. Si cette mise à jour devrait comprendre un SoC S10 (comme celui des dernières Apple Watch) remplaçant le vieillissant S5 des versions actuelles, n’attendez pas pour autant des changements conséquents : ce SoC ne devrait toujours pas être à même de proposer Apple Intelligence, réservé aux futurs HomePod avec écran, qui devraient eux être équipés du A18.

Le HomePod mini en fin de vie chez plusieurs revendeurs : arrivée imminente d’un nouveau modèle ?

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Des AirTags beaucoup plus précis, y compris en mouvement

De leur côté, les AirTags de seconde génération devraient apporter bien plus de nouveautés, après 4 ans de règne de la version actuelle. Plutôt qu’un code obscur pour la nouvelle version, Apple ne s’est semble-t-il pas foulée pour en interne : il apparaît sous le code « 2025AirTag ».

Dans un premier temps, l’appairage promet d’être amélioré, sans plus de précisions. On attend de nouvelles possibilités concernant le nom ou encore l’emoji, permettant de personnaliser à loisir le petit appareil. De la même manière, l’indication de l’état de la pile devrait être beaucoup plus précis, ce qui ne sera pas très difficile vu le peu d’informations données par la version actuelle, qui se contente d’une alerte sur le téléphone quand la pile atteint un seuil critique.

Qu

Qu'attendre des AirTag 2, promis avant la fin de l'année ?

Mais c’est au chapitre du suivi que les choses devraient beaucoup s’améliorer : non seulement il sera plus simple de suivre précisément un AirTag en mouvement, ce qui fait cruellement défaut à la version actuelle, mais en plus, il devrait être plus facile de suivre un AirTag perdu dans un endroit très fréquenté. Comment ? Ce n’est pas encore précisé, mais ces améliorations devraient rendre ce nouvel AirTag encore plus efficace que l’actuel.

Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3

11 décembre 2025 à 21:00

Elle n’était pas attendue (comme souvent pour ce type de mise à jour), mais Apple sort ce soir une nouvelle version du firmware des AirPods Pro 2 et AirPods Pro 3.

Les écouteurs phares de la marque passent ainsi du firmware 8B25 au 8B30, sans plus de précisions : cette mise à jour peut très bien corriger des soucis rencontrés par les utilisateurs, tout comme amener des nouvelles fonctionnalités qui sortiront en même temps qu’iOS 26.2... ou un mix des deux.

Pour rappel, la prochaine version d’iOS devrait enfin amener la traduction instantanée aux utilisateurs de l’Union européenne, ainsi que de nouvelles langues pour cette fonction.

Apple va activer la traduction en direct des AirPods en Europe avec iOS 26.2, dont la sortie est prévue en décembre

Apple va activer la traduction en direct des AirPods en Europe avec iOS 26.2, dont la sortie est prévue en décembre

Comme d’habitude, aucune procédure précise à suivre pour installer ce nouveau firmware, à part faire en sorte que les écouteurs restent dans leur boîtier au plus proche de l’iPhone, si possible en charge.

GPT-5.2, partenariat avec Disney : OpenAI fait feu de tout bois pour insister sur sa supériorité

11 décembre 2025 à 20:45

C’était prévu suite à la sortie de Gemini 3, voilà qui est fait : OpenAI a sorti la version 5.2 de GPT, prévue pour contrer la montée en puissance de Google dans le domaine de l’intelligence artificielle, preuve s’il en est que Sam Altman et ses équipes ne se sentent plus si tranquilles dans le domaine, comme le rapporte TheVerge.

Dès le départ, le ton est lancé : Fidji Simo, responsable des applications chez OpenAI, annonce que GPT-5.2 est « le meilleur modèle pour l’usage quotidien en entreprise », et que leur but est de permettre « encore plus de retour sur investissement pour les utilisateurs ». Ainsi, la nouvelle version doit être encore meilleure pour « la création de feuilles de calcul, de présentations, de code, d’images percutantes, et comprend les contextes les plus complexes, et les projets en nombreuses étapes ». Tout un programme.

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

Si la dernière mise à jour était axée sur le conversationnel, voulant rendre le chatbot plus amical et chaleureux après la vague de mécontentement de GPT-5, GPT-5.2 est lui dirigé vers les entreprises, et la création de contenus efficaces pour soulager la charge de travail des cadres et autres employés ayant accès au bot conversationnel.

Le grand public n’est cependant pas oublié, grâce à un partenariat exclusif qui devrait rameuter bon nombres de fans de blockbusters et séries de films : OpenAI a passé un accord avec ni plus ni moins que Disney, lui ouvrant la porte à des créations officielles à partir des plus de 200 personnages des franchises de Disney, Marvel, Pixar ou encore Star Wars appartenant au géant du divertissement. Cette alliance permettra la création non seulement d’images officielles, mais aussi de vidéos grâce à Sora.

Disney n’a d’ailleurs pas perdu de temps, en ouvrant une plainte pour viol de propriété intellectuelle concernant ses personnages contre Google. Ainsi, la maison de Mickey a envoyé la bien connue procédure de « cease and desist » au propriétaire de Gemini, l’enjoignant à cesser toute reproduction des personnages tels que Deadpool, Darth Vader ou autres Elsa :

Google enfreint les droits d’auteur de Disney à une échelle massive, en copiant une grande partie des propriétés intellectuelles de l’entreprise sans autorisation pour entraîner et développer ses IA génératives. Disney ne tolérera pas plus longtemps l’exploitation commerciale non autorisée de ses personnages et marques déposées par ces services d’intelligence artificielle.

À l’autre bout du spectre ludique, ChatGPT compte aussi venir marcher sur le domaine de Grok, avec l’ouverture d’une section « adulte » du bot conversationnel dans le courant du premier semestre 2026 : l’IA d’Elon Musk ne devrait donc plus être la seule à pouvoir proposer du contenu classé X (ô ironie) à ses utilisateurs. Fidji Simo assure que l’entreprise ne proposera ce type de comportement réservé aux majeurs qu’une fois la certitude d’avoir une personne adulte face au bot, entre autres grâce à de nouveaux algorithmes de prédiction de l’âge de l’utilisateur.

Avec toutes ces nouveautés et ce partenariat conséquent, OpenAI espère rappeler que la société reste la référence en intelligence artificielle, et couper tout doute possible à ce sujet. Mais sera-ce suffisant ?

Code red ! OpenAI dégaine GPT-5.2 en urgence pour contrer Google Gemini

11 décembre 2025 à 20:05
OpenAI n’a pas traîné. Moins d’un mois après la sortie de GPT-5.1, la firme vient officiellement d’annoncer GPT-5.2, une mise à jour majeure qualifiée en interne de réponse code red à l’arrivée des derniers modèles Gemini de Google. L’objectif es de reprendre la main sur le segment de l’IA de productivité, celui où les usages professionnels explosent — et où la concurrence s’intensifie.

Les guirlandes connectées, ou comment avoir un sapin qui claque sans bouger du canapé

11 décembre 2025 à 19:45

Chaque hiver, c’est le même rituel : on ressort les cartons, on démêle vaguement les câbles et on peste sur la guirlande qui a rendu l’âme. Cette année, pourtant, le centre de gravité s’est clairement déplacé vers les modèles connectés, poussés par les promos d’Amazon et l’omniprésence des assistants dans les foyers. On ne parle plus seulement de “lampions qui clignotent”, mais d’objets qui s’intègrent réellement à un écosystème domotique, avec scènes, routines et pilotage vocal.

Twinkly : le show lumineux assumé

Si l’on devait ne retenir qu’un nom pour le côté “wahou”, ce serait Twinkly. La marque joue à fond la carte premium, avec un mapping LED poussé et des effets lumineux qui ressemblent plus à un show calibré qu’à une simple guirlande de supermarché. Les références Twinkly se positionnent clairement dans le haut du panier, mais la promesse est simple : on installe, on scanne le sapin avec l’app, et il ne reste qu’à s’amuser à dessiner littéralement des animations en temps réel.

De quoi se faire une déco à l’américaine... si on y met les moyens. Image Twinkly.

C’est typiquement le produit pour ceux qui veulent transformer le salon en démonstration technologique, quitte à payer cher le moindre mètre de LED. L’intégration avec Alexa et Google Assistant ou même Siri permet de basculer d’une ambiance à l’autre à la voix ou via routines, ce qui en fait un bon candidat pour ceux qui ont déjà un début de maison connectée. C’est même l’ami des gamers, avec une intégration poussée de Razer Chroma ou Omen Light Studio ! Le premier sapin connecté aux frags !

La marque fait bien entendu dans la décoration de sapins, avec une guirlande 8 mètres (44,24 €), 20 mètres (69,99 €) et jusqu’à 60 mètres (269,99 €), mais aussi des rideaux de lumière colorés (199,99 €), des grilles flexibles permettant d’afficher un motif (69,39 €), ou même un magnifique rêne connecté et multicolore (249,99 €).

Philips Hue Festavia : la guirlande des déjà équipés

De son côté, la Philips Hue Festavia coche une autre case : celle de l’utilisateur déjà enfermé (volontairement) dans l’écosystème Hue. La guirlande se comporte comme n’importe quel luminaire Hue, avec scènes, automatisations, compatibilité Matter et intégration profonde dans l’app existante. Clairement faite pour les adeptes de la marque, elle est faite avec la même précision des couleurs que les lampes du constructeur, mais comme ces dernières, elle le fait payer au prix fort, à 204,41 € les 20 mètres.

Danser à côté du sapin n’est pas une obligation. Enfin, pas encore. Image Philips/Signify.

Cependant, l’intégration dans l’écosystème Hue a tout de même ses avantages : pas de prise de tête, un fonctionnement qu’on connaît depuis des années, et le côté rassurant d’une marque à l’historique conséquent dans le domaine de l’éclairage connecté.

Nanoleaf : la guirlande pensée comme un objet déco

Nanoleaf joue une partition un peu différente : la marque vient du monde des panneaux lumineux design, et ça se sent dans sa façon d’aborder la guirlande connectée. Ce n’est pas seulement sur un câble LED de plus, mais un produit pensé comme une extension de l’écosystème Nanoleaf, avec scènes, palettes de couleurs et synchronisation d’ambiance cohérentes avec le reste de la gamme. L’idée, c’est moins le clignotement festif de Noël que la création d’une lumière d’ambiance qui reste crédible toute l’année, que ce soit autour d’une étagère, derrière une tête de lit ou en contour d’écran.

Les guirlandes Nanoleaf se positionnent en milieu/haut de gamme : plus chères que les no‑name, mais en dessous du combo mur Twinkly ou surtout Hue partout. En échange, on récupère une intégration maison plutôt propre, une qualité de lumière et d’effets plus travaillée que le bas de gamme, et la possibilité de rester dans une logique décorative globale pour ceux déjà équipé en panneaux ou en ampoules de la marque. Pour un setup orienté « ambiance » plus que « sapin qui hurle Noël », c’est typiquement le genre de produit qui fait sens dans une déco connectée, et se trouve à 67,99 € pour 24 mètres.

Quel que soit le choix, ces trois constructeurs ont l’avantage d’être reconnus dans le domaine, et de présenter des produits avec l’assurance d’avoir quelque chose de solide, et dont on ne sera pas déçu. Avec en bonus, l’effet bluffant de pouvoir contrôler le sapin depuis le canapé !

UGREEN veut vous aider à améliorer votre Noël avec ces idées de cadeaux !

11 décembre 2025 à 19:25
Pour les fêtes, UGREEN lance une petite opération thématique : au lieu de simplement mettre en avant la puissance, la marque se lance sur le thème « Ensemble faisons Noël ». L'idée est simple : la technologie doit faciliter le rapprochement des gens, pas les distraire. On a donc là une sélection de cadeaux pensés pour optimiser discrètement vos usages quotidien.

Un malware pour Mac profite de ChatGPT et des (trop) petits SSD des Mac pour infecter ses victimes

11 décembre 2025 à 19:25

Dans le monde Mac, les logiciels malveillants sont relativement rares, mais pas absents. Nous vous parlons d'AMOS (Atomic macOS Stealer) depuis 2023 et le logiciel utilisé par des malandrins pour vous voler vos données évolue de façon régulière. La dernière méthode en date passe par ChatGPT et Grok, en profitant d'un problème récurrent sur les Mac : la capacité du SSD.

Le premier vecteur est le fait que les Mac de 2025 sont toujours livrés avec 256 Go de SSD.

Les chercheurs de chez Huntress détaillent les nouveautés, découvertes en décembre 2025. Premièrement, ils utilisent une question courante pour un utilisateur lambda d'un Mac : comment nettoyer le disque et gagner quelques gigaoctets d'espace libre. C'est une question courante sur un moteur de recherche, étant donné qu'Apple livre encore une bonne partie de ses appareils avec un SSD de seulement 256 Go par défaut. Ils expliquent que la méthode a été découverte en tapant « Clear disk space on macOS » dans Google.

Une conversation malicieuse. Image Huntress.

Le piège vient des réponses : des liens vers des conversations pour deux chatbots, ChatGPT et Grok. Il ne s'agit pas de sites malicieux, mais de simples résultats sponsorisés, qui renvoient vers des pages qui semblent parfaitement légitimes. Mais le contenu des messages, lui, ne l'est pas. Sous couvert de conversations qui semblent expliquer comment gagner un peu d'espace sur le SSD du Mac, les différentes informations dispersées sont les différentes étapes qui permettent d'installer le malware sur un Mac.

La façon dont les différentes étapes sont créées n'est pas totalement claire, mais elles résultent *a priori* d'une demande spécifique qui n'est pas rendue publique, et qui va lister les points que l'IA doit donner dans ses réponses. C'est une utilisation détournée des différents outils. Une fois la « bonne » réponse proposée par ChatGPT ou Grok, il est possible de sauver le résultat pour le rendre public.

C'est toute la « beauté » de la chose : un néophyte qui a confiance dans les réponses d'un chatbot comme ChatGPT ou Grok n'a aucune raison de penser que les différentes étapes (compliquées) proposées sont malicieuses et permettent d'installer un malware. L'utilisateur va littéralement permettre l'installation d'AMOS, presque consciemment. Les protections intégrées dans les navigateurs ou avec certains résolveurs DNS ne peuvent pas réellement bloquer ce genre d'attaques (elles sont simples à reproduire et bloquer ChatGPT ou Grock est inenvisageable) et la confiance dans les chatbots actuellement est trop grande pour que les personnes qui tombent sur ce genre de réponses se méfient réellement.

En l'état, la seule recommandation à faire est de vous méfier, et (surtout) de ne pas taper votre mot de passe de façon automatique. Une ligne de commande à copier dans le terminal n'est jamais totalement anodine et celles trouvées sur ChatGPT, Grok, GitHub ou n'importe quel site Internet (oui, même MacGeneration) doivent être considérées dans tous les cas avec méfiance.

La bulle de l'IA vacille et fait une première victime...

11 décembre 2025 à 18:31
Le géant américain du cloud Oracle subit l’une de ses pires séances boursières de l’année. L’action a décroché de plus de 15 % jeudi à Wall Street, après la publication d’un chiffre d’affaires trimestriel nettement inférieur aux attentes. La sanction est brutale, à la hauteur des exigences d’un marché devenu impitoyable face aux investissements massifs consentis dans l’IA.

OpenAI et Microsoft visés par une plainte pour homicide involontaire

11 décembre 2025 à 18:02
Un nouveau dossier judiciaire soulève des zones d’ombre les plus inquiétantes dans le développement de l'IA. Aux États-Unis, la famille d’une femme de 83 ans décédée dans le Connecticut poursuit OpenAI et Microsoft, accusant ChatGPT d’avoir poussé à l'extrême son fils, déjà fragile psychologiquement, jusqu’à un double drame.

L'iPad Air M4 intégrerait aussi la puce N1

11 décembre 2025 à 18:16
Apple prépare une révision de l'iPad Air qui est attendue au printemps 2026. La principale nouveauté devrait concerner l'intégration de la puce Apple M4 pour remplacer la puce Apple M3 actuelle, ce qui offrira un surplus de puissance et de pérennité à ces futurs modèles. Le site MacWorld...

L'Apple Watch peut (presque) piloter les drones de DJI

11 décembre 2025 à 17:45

La version 1.19.4 de l'app de DJI pour ses drones (DJI Fly) amène une nouveauté amusante : les drones DJI Neo 2, DJI Flip et DJI Neo (trois modèles compacts peu onéreux) peuvent maintenant être pilotés depuis une Apple Watch.

La montre et un drone. Image DJI.

N'attendez pas évidemment un contrôle tactile des mouvements des drones, mais il est possible de voir le flux vidéo du drone, d'afficher le niveau de la batterie, d'afficher des informations sur l'appareil et d'émettre des commandes vocales pour des contrôles basiques.

Des exemples de réglages.

DJI indique qu'il faut a minima une Apple Watch Series 8 (ou une Apple Watch Ultra). La montre doit être sur le même réseau Wi-Fi que le drone, et le drone doit avoir été mis à jour. Actuellement, seul le Neo 2 a été mis à jour, mais les deux autres devraient recevoir la mise à jour nécessaire rapidement.

Si la fonction peut ressembler à un gadget, c'est une idée intéressante pour suivre les mouvements d'un drone qui surveille un endroit précis sans forcément avoir son smartphone à la main, même si les possibilités restent assez limitées dans l'absolu.

Casques audio : la valse des étiquettes reprend de plus belle

11 décembre 2025 à 17:16

Si vous avez raté le coche du Black Friday, tout n'est pas perdu. Après une remontée mécanique des tarifs post-vendredi noir, les constructeurs jouent au yo-yo et proposent de nouveau des remises intéressantes sur une large sélection de casques.

C'est le moment de s'équiper si vous cherchez à isoler vos oreilles du bruit ambiant ou simplement à profiter d'une meilleure qualité sonore sans payer le prix fort (et souvent injustifié) du lancement. Tour d'horizon des meilleures offres du moment.

Anker : l'alternative abordable

Soundcore, la division audio d'Anker, continue de presser les prix vers le bas tout en offrant des fiches techniques solides.

Beats : l'écosystème Apple à prix doux

La filiale d'Apple propose des tarifs bien plus agressifs que sur l'Apple Store. L'intégration avec iOS est parfaite, sans pour autant fermer la porte à Android. Si les prix sont agressifs, ils le sont toutefois un poil moins que lors du Black Friday.

  • Beats Studio Pro : successeur spirituel du Studio 3, ce casque offre l'audio spatial et l'USB-C Lossless. Nous avions apprécié sa polyvalence lors de notre test. Il est proposé à 199 €, soit une réduction de 50 % !
  • Beats Solo 4 : Si l'absence de réduction de bruit active n'est pas rédhibitoire pour vous, ce modèle supra-auriculaire devient une excellente affaire à 120 € au lieu de 230 €. À ce tarif, ses défauts de jeunesse s'effacent largement.

Sony et Bose : les valeurs sûres

Du côté des références historiques de la réduction de bruit, les prix fondent également.

Sonos : l’outsider

Sonos Ace, le tout premier casque de Sonos, que nous avons testé en juin, bénéficie d'une belle remise. Le modèle blanc est toujours proposé à 299 €, soit une remise de 150 € sur le prix public. Le modèle noir est pour sa part en rupture de stock.

AirPods Max : des promos bien plus modestes

Il est certain que de nombreux utilisateurs aimeraient qu’Apple propose des rabais similaires sur les AirPods Max à ceux qu’elle propose sur des écouteurs Beats. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Le casque d’Apple est proposé au prix de 497,10 € sur Amazon, soit une ristourne de 81,90 €. On peut gratter quelques euros supplémentaires en commandant sur Amazon Italie, mais on est loin des 50 % de réductions proposés sur le Beats Studio Pro.

La fonction Clé de voiture de l’iPhone bientôt prise en charge par des Porsche

11 décembre 2025 à 16:52

Petit à petit, la fonction Clé de voiture de l’iPhone et de l’Apple Watch fait son chemin dans l’industrie automobile. D’après MacRumors, Porsche s’apprête à l’adopter pour ses prochaines Cayenne et Macan tout électrique.

Image Porsche

La plupart des marques proposent déjà l’ouverture du véhicule via leur application mobile, mais la fonction Clé de voiture se distingue sur plusieurs points. La clé numérique est intégrée à l’app Cartes d’Apple et peut être partagée avec d’autres utilisateurs, y compris sur Android. Elle permet de déverrouiller la voiture en NFC, en Bluetooth ou en Ultra Wideband selon les technologies sans fil intégrées à l’engin. Et elle continue même de fonctionner (quelques heures) quand l’iPhone est à court de batterie, grâce à la réserve d’énergie.

Lors de la WWDC 2025, Apple avait annoncé que 20 constructeurs prenaient déjà en charge cette fonction, et que 13 autres allaient suivre, dont Porsche.

Les marques qui prennent déjà en charge (les 20 en haut de la liste) ou qui vont prendre en charge (les 13 en bas) la fonction Clé de voiture. Image Apple/iGeneration.

Les utilisateurs de smartphones Android ne sont pas oubliés. Samsung Wallet prend désormais en charge la clé numérique de la Porsche Macan (MY26) et fera de même l’année prochaine avec d’autres modèles, notamment la Cayenne Electric. En cas de perte ou de vol du smartphone, la clé numérique peut être bloquée ou supprimée à distance via Samsung Find.

Apple prend le volant d

Apple prend le volant d'un nouveau groupe de travail sur les clés de voiture numériques

Une analyse de l'A19 Pro d'Apple montre des changements plus importants que prévu sur la gravure

11 décembre 2025 à 16:15

Quand Apple sort une nouvelle puce, de nombreuses personnes se mettent à analyser l'intérieur du système sur puce, en tentant de deviner ce que cachent les transistors (et en démontant des iPhone pour décaper les puces à l'acide, aussi). Nous avons parlé d'une analyse de l'A19 de l'iPhone 17 peu après sa sortie, mais une image annotée de la structure de l'A19 Pro permet de mettre en avant des changements subtils mais efficaces chez Apple.

L'A19 Pro dans la version marketing. Image Apple.
Une analyse en profondeur de l

Une analyse en profondeur de l'A19 de l'iPhone 17

Le point intéressant noté par SemiAnalysis, c'est que la puce A19 Pro est environ 10 % plus compacte que l'A18 Pro, et que l'A19 est à peu près 9 % plus compact que l'A18. Pourtant, le passage de la gravure en 3 nm N3E de TSMC vers la gravure en 3 nm N3P (plus évoluée) ne doit permettre qu'un gain de 4 % environ selon le fondeur, et en partant du principe que les deux systèmes sur puce sont identiques, ce qui n'est pas le cas. Les puces A19 et A19 Pro sont en effet plus performantes et contiennent plus de transistors.

Selon eux, la raison est simple : Apple a optimisé ses composants de façon intelligente. Premièrement, les cœurs P (performants) sont un peu plus compacts (de l'ordre de 4 %) quand les cœurs E (basse consommation) et les cœurs de la partie graphique sont plus gros (d'environ 10 %). C'est un changement logique, compte tenu des performances : le gros des gains de la génération de 2025 vient justement des cœurs basse consommation et du GPU.

L'A19 Pro dans sa version annotée. Image Cardyak.

Mais ils expliquent surtout qu'Apple a optimisé certaines zones (le contrôleur pour l'affichage, les fonctions de sécurité, etc.) pour qu'elles nécessitent moins de transistors. Et en parallèle, la mémoire cache — qui représente une bonne partie de la surface — est passée sur une organisation qui permet de réduire le nombre de transistors à capacité identique. Selon eux, on passe de 1,08 mm2 pour 4 Mo dans l'A18 à 0,98 mm2 dans les A19.

Une réduction de la taille d'une puce est toujours un avantage technique évident, ne serait-ce que pour le rendement. La surface du wafer, la structure employée pour graver des puces, est fixe, comme son coût. Donc si la surface de la puce est réduite, il est possible d'en graver plus pour un coût identique, ce qui réduit le prix unitaire. De plus, en considérant que le taux d'erreur est constant, une puce plus petite implique mécaniquement un rendement plus élevé. Bien évidemment, ce sont des paramètres qui dépendent d'une chose : le prix du wafer. Et dans le cas de TSMC, la version en N3P est a priori plus onéreuse que celle en N3E.

Le chip binning, c

Le chip binning, c'est bien plus que de vous vendre des puces défectueuses

Dans tous les cas, l'analyse montre qu'Apple ne se contente pas d'améliorer les performances de ses différents blocs ou d'ajouter de la mémoire cache, mais qu'il y a aussi une réelle réflexion pour mieux tirer parti des processus de gravure. Un choix qui n'est pas systématique chez tous les constructeurs : dans une itération qui consiste essentiellement à améliorer (un peu) les performances en profitant d'une gravure plus efficace, il est tentant de se contenter de garder une puce avec une taille physique identique en ajoutant de la mémoire cache. Apple, ici, a amélioré les performances et optimisé le tout pour produire une puce plus compacte, un choix rare.

Netflix va s’arrêter sur les Livebox Play, Orange propose un échange gratuit

11 décembre 2025 à 15:41

Comme cela arrive de temps à autre, Netflix va bientôt cesser de fonctionner sur un appareil assez ancien. Cette fois, c’est la Livebox Play qui va être mise à l’écart. Dans un email adressé à ses clients concernés, Orange prévient que le service de streaming ne fonctionnera plus sur ce décodeur à partir du 30 janvier 2026.

Livebox Play. Image Orange.

Pour qu’ils puissent continuer de regarder Netflix sur leur téléviseur, l’opérateur propose à ces abonnés un échange gratuit de matériel. Selon nos informations, les clients peuvent obtenir le décodeur TV UHD, le modèle lancé en 2018. Le décodeur TV 6, qui a été introduit l’année dernière, reste réservé aux abonnés Livebox Up et Max.

Image MacGeneration

La Livebox Play a fait ses débuts en 2013. Treize ans plus tard, elle est largement dépassée techniquement : définition limitée à la HD, absence de Wi-Fi, lenteurs (déjà à l’époque), etc. Passer à un modèle plus récent constitue donc un progrès évident… sauf pour ceux qui souhaitent absolument conserver leurs enregistrements TV. Ceux-ci ne peuvent pas être transférés, les enregistrements étant passés d’un stockage local sur disque dur à une sauvegarde en ligne.

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