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Enfin un smartphone européen avec un OS européen ?
L'iPhone pliable sera-t-il un carton ? Apple y croit à fond !
Pourquoi l’introduction en Bourse de SpaceX s’annonce historique ?
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- Apple et Google vont simplifier le transfert de données entre iOS et Android
Apple et Google vont simplifier le transfert de données entre iOS et Android
[MàJ] L'Europe vient de s'attribuer le mérite de cette annonce, considérant que les deux sociétés ont été obligée de mettre en place cette interopérabilité pour se conformer à ses lois.
Google et Apple travaillent conjointement à une offre logicielle permettant une bascule d'Android vers et iOS et inversement plus aisée.
Android Canari 2512 compatibles avec les smartphone Pixels contient déjà un premier jet du fruit de cette collaboration. Il arrivera prochainement sous iOS 26.
Le but est en cas de changement de smartphone, de pouvoir récupérer un maximum de données de manières aisée et transparente.
Bien entendu on peut s'étonner d'une telle ouverture, surtout de la part d'Apple (et nous ne sommes pas un premier avril). Il est probable que chaque fabricant espère récupérer une partie des clients de l'autres. Il est aussi probable que ce geste d'ouverture serve à prouver aux régulateurs que ces deux géants ne sont plus aussi protecteurs de leurs écosystèmes ce qui a son importance.
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- Apple et les analystes misent sur un lancement réussi du premier iPhone pliant à l’automne 2026
Apple et les analystes misent sur un lancement réussi du premier iPhone pliant à l’automne 2026
Apple devrait présenter son tout premier iPhone pliant dans moins d’un an, puisqu’on l’attend à l’automne 2026 en même temps que les iPhone 18 Pro et 18 Pro Max. D’après ETnews, cité par MacRumors qui note que l’article d’origine a été supprimé depuis, l’entreprise aurait confiance en son produit, puisque les commandes de dalles flexibles seraient en hausse. Le site coréen suggérait que Samsung aurait reçu des commandes pour onze millions de dalles OLED pour Apple en 2026, ce qui suggère une production autour des dix millions pour le lancement.
Ces chiffres sont plus de 30 % supérieurs aux précédentes estimations de l’industrie. On parlait jusque-là de 6 à 8 millions d’iPhone pliants pour le lancement, un chiffre qui provenait de la même source, à savoir des rumeurs autour de la production par Samsung de dalles OLED destinées à Apple. Est-ce le signe qu’Apple a gagné en confiance dans son propre produit et espère en vendre bien plus que prévu initialement ?
Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliant
La Pomme devrait en tout cas bousculer le marché des smartphones pliants, dominé jusque-là par Samsung et Google. Le cabinet d’analyse IDC s’attend à une croissance des téléphones que l’on plie de l’ordre de 30 % pour 2026, presque uniquement grâce au lancement d’un iPhone pliant, même si Samsung pourrait aussi faire quelques vagues avec son modèle à trois écrans.
Z TriFold : Samsung officialise son premier smartphone pliant à trois écrans
Malgré tout, c’est bien Apple qui devrait tirer le marché vers le haut, en s’accaparant en quelques mois une large part des ventes de smartphones pliants en volume et une encore plus grande en valeur. D’après IDC, Apple devrait récupérer 22 % de parts de marché en volume et même 34 % du marché en valeur. Une performance permise par un prix de vente plus élevé que la moyenne, sans trop de surprise : le cabinet estime ainsi que le prix de départ serait à 2 400 $ pour ce premier modèle. iOS devrait logiquement occuper plus de place sur ce segment, où le système mobile d’Apple est actuellement absent et le cabinet envisage qu’il dépasse HarmonyOS, le système de Huawei, dès la première année. Il pourrait même représenter un tiers des appareils en action à l’horizon 2028.
Pour rappel, le premier iPhone pliant devrait s’ouvrir comme un livre et proposer un format proche d’un iPad mini une fois déplié. Apple aurait adopté le même format général que le Galaxy Z Fold de Samsung ou bien le Pixel Fold de Google, y compris avec un troisième écran sur l’extérieur qui permet de l’utiliser rapidement sans l’ouvrir.
Tout ce que l'on sait du futur et premier iPhone pliant
Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple
Alors qu’OpenAI semblait engagée dans une lutte à mort avec Google pour la suprématie des modèles de langage, Sam Altman change de perspective. Pour le patron de ChatGPT, la véritable bataille de demain ne se jouera pas dans le nuage, mais sur le matériel, face à Apple.
Si Tim Cook avait besoin d’un peu de réconfort en cette période trouble, il a pu le trouver dans les récentes déclarations de Sam Altman. Souvent malmené sur le terrain de l’IA générative et parfois privé de rond de serviette dans certains sommets stratégiques, Apple se voit soudainement remise au centre du jeu par le patron d’OpenAI lui-même.
Le matériel, prochain champ de bataille
Lors d'un déjeuner avec la presse à New York, Sam Altman a jeté un pavé dans la mare en affirmant que la concurrence future ne se gagnerait pas uniquement par le logiciel, mais par les appareils. Selon lui, les smartphones actuels ne sont tout simplement pas conçus pour accueillir les véritables compagnons IA de demain.
C'est une vision stratégique qui place Apple, et non Google, dans le viseur direct d'OpenAI. L'idée est simple : pour imposer une IA omniprésente, il faut contrôler l'interface finale avec l'utilisateur. Altman semble convaincu que le form factor actuel du smartphone est une limitation pour l'intelligence artificielle.
L'ombre de Jony Ive et la fuite des cerveaux à Cupertino
Mais le réconfort a du rapidement prendre fin pour Tim Cook. Car pour arriver à ses fins, OpenAI mène une campagne de débauchage agressive du côté de l'Apple Park. Selon Bloomberg, une quarantaine d'ingénieurs matériels ont quitté Cupertino en un seul mois pour rejoindre les rangs d'OpenAI, notamment des spécialistes de l'audio, des wearables et de la robotique.
Jony Ive et OpenAI débaucheraient sans trop de difficultés des spécialistes chez Apple
Mais le coup le plus symbolique reste l'alliance avec Jony Ive. L'ancien designer vedette d'Apple, père de l'iPhone et de l'Apple Watch, travaille désormais main dans la main avec Altman. Ive, qui a parfois exprimé des regrets sur les "conséquences involontaires" de l'ère du smartphone (comprenez : l'addiction aux écrans), voit ici l'occasion de réinventer l'interaction homme-machine.
Avec l'aide d'anciens d'Apple comme Tang Tan et Evans Hankey, cette nouvelle division matérielle — fruit d'une fusion à 6,5 milliards de dollars en mai dernier — planche sur une "famille d'appareils". L'objectif ? Lancer d'ici fin 2026 un produit capable de rendre caduc le paradigme de l'iPhone. Pour Apple, dont les équipes IA patinent au point de devoir utiliser Gemini pour le prochain Siri, la menace est double : une concurrence sur le matériel et une hémorragie de talents.
Alerte rouge et guerre des clans
Si les rêves de matériel occupent l'esprit de Sam Altman, la réalité immédiate est bien plus terre à terre : Google est revenu dans la course, et vite. Depuis que son générateur d'images « Nano Banana » est devenu viral en août, Mountain View ne relâche plus la pression. Le mois dernier, son nouveau modèle Gemini 3 a même doublé OpenAI sur le très scruté classement LM Arena, véritable juge de paix des performances techniques. Pire encore pour les finances, le rival Anthropic a discrètement pris l'avantage auprès des clients entreprises.
OpenAI, un géant aux pieds d’argile face au retour en force de Google
Mais cette « alerte rouge » décrété par Altman cache une autre réalité, moins reluisante : une guerre interne qui couve depuis des années.
Selon des sources proches du dossier, deux philosophies s'affrontent désormais ouvertement au sein de la start-up. D'un côté, le camp « produit », mené par la directrice financière Sarah Friar et surtout par Fidji Simo. L'ancienne cadre de Meta, désormais à la tête des produits chez OpenAI, milite pour une approche pragmatique : allouer plus de ressources à ChatGPT, améliorer sa vitesse et sa fiabilité, et s'assurer que les utilisateurs comprennent réellement les fonctions existantes avant d'en empiler de nouvelles.
De l'autre, les chercheurs historiques, pour qui l'amélioration de l'expérience utilisateur de base est secondaire face à la quête du Graal : l'intelligence artificielle générale.
Le pragmatisme à marche forcée
Pour l'heure, c'est le camp du produit qui semble avoir gagné l'oreille du patron. OpenAI s'apprête à sortir cette semaine le modèle 5.2, conçu pour redonner de l'élan à l'entreprise, notamment auprès des développeurs et des entreprises. Un lancement qui se fait aux forceps : la direction a ignoré les demandes de certains employés qui réclamaient plus de temps pour peaufiner la copie.
En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine
Le plan de bataille ne s'arrête pas là. Altman a promis un autre modèle pour janvier, doté de meilleures capacités d'image, d'une rapidité accrue et d'une « meilleure personnalité ». C'est seulement après ces lancements que l’alerte rouge pourrait être levée.
Officiellement, une porte-parole assure qu'il n'y a aucun conflit et que l'adoption massive des outils actuels est la voie royale vers l'intelligence artificielle générale. Mais la croissance fulgurante de ChatGPT, qui permettait jusqu'ici de cacher la poussière sous le tapis, ne suffit plus à masquer ces divergences. L'ironie de l'histoire ne manquera pas de faire sourire chez Google : fin 2022, c'était Sundar Pichai qui avait émis une alerte rouge pour rattraper OpenAI. Trois ans plus tard, les rôles sont inversés.
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- Jeff Williams, ex-numéro 2 d’Apple, rejoint le conseil d’administration de... Disney
Jeff Williams, ex-numéro 2 d’Apple, rejoint le conseil d’administration de... Disney
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016
Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016
Google Maps est à la fois un service fascinant d’une grande utilité au quotidien et, par certains aspects, totalement ringard. En mode conduite, mettez-le côte à côte avec Apple Plans et vous avez l’impression de passer d’une PlayStation 5 à une Super NES1.
Lorsque j'avais fait part de ce décalage à une ancienne responsable de Google, on m’avait répondu que c’était normal : Apple s’attache énormément aux questions d’interface alors que Google Maps mise sur l’efficacité avant tout. Soit.
Mais il y a des fonctionnalités dont l'absence est telle qu'on se demande ce qui a pu se passer dans la tête des ingénieurs de Mountain View pour qu’elles n’arrivent que maintenant. En 2025, Google Maps enregistre enfin automatiquement la position de votre véhicule lorsque vous vous garez. Plans sait faire cela depuis près de 10 ans et iOS 10… Et à l’époque, Waze le faisait déjà depuis un moment
iOS 10 : Plans retrouve votre place de parking
Mieux vaut tard que jamais
C'est Rio Akasaka2, chef de produit chez Google, qui a vendu la mèche : l'application sur iOS est désormais capable de détecter automatiquement que vous avez garé votre véhicule pour en sauvegarder la position. Fini le temps où il fallait penser à ouvrir l'application et appuyer manuellement sur un bouton (quand on y pensait).
Concrètement, la magie opère lorsque vous connectez votre iPhone à votre voiture via Bluetooth, USB ou CarPlay. Dès que la connexion est coupée, Google Maps comprend que le trajet est terminé et place un repère sur la carte. Google précise dans une fiche d'assistance que cette position est conservée pendant 48 heures, à moins que vous ne la supprimiez manuellement ou que vous ne repreniez le volant.
Le comble : Android encore à la traîne
L'ironie de la situation ne vous échappera pas : cette automatisation bienvenue n'est pour l'instant déployée... que sur iOS. Si vous possédez un smartphone Android, la sauvegarde de la position de stationnement reste, à ce jour, une action manuelle. Google n'a donné aucune indication sur l'arrivée de cet automatisme sur son propre système d'exploitation mobile, mais on imagine que cela ne devrait pas trop tarder.
Une icône à votre image
Pour faire passer la pilule de ce retard à l'allumage, Google soigne tout de même les détails cosmétiques. Jusqu'à présent, le lieu de stationnement était indiqué par une icône « P » générique et tristoune. Désormais, si vous avez configuré une icône de véhicule personnalisée pour la navigation (cette option ajoutée en 2020 qui permet de remplacer la flèche bleue par une voiture rouge, jaune ou un SUV), celle-ci sera utilisée pour marquer l'emplacement de votre stationnement. Mais bon, il faut bien trouver une petite fonctionnalité pour expliquer ce léger retard à l’allumage !
Pebble lance l’Index 01, la bague qui note ce que votre cerveau oublie
Eric Migicovsky est décidément un hacker de génie. On adorerait le voir rejoindre une grande boite de la tech — Apple, pourquoi pas ? — mais il ne supporterait sans doute pas les carcans qu’elles imposent. Après avoir tenté de s’attaquer à la forteresse iMessage avec Beeper, le voilà revenu à ses premières amours. Il s’attache désormais à faire renaitre l'esprit de Pebble, l'ancêtre de la smartwatch moderne.
Hier, il avait donné rendez-vous à la presse pour présenter un nouvel objet. Surprise : ce n’était pas une montre, mais une bague. Ne vous méprenez pas, elle ne cherche pas à monitorer en continu votre santé comme une Oura Ring. Il s’agit « juste » d’un pense-bête.
Un dictaphone au bout du doigt
Baptisée Pebble Index 01, cette bague connectée joue la carte de la simplicité biblique. Oubliez les capteurs cardiaques ou le suivi du sommeil ; l'Index 01 est équipée d'un microphone et d'un unique bouton. Son but ? Enregistrer des informations à la volée, sans avoir à sortir son smartphone de la poche.
L'approche est radicale : la bague ne nécessite ni connexion internet permanente ni abonnement mensuel (une rareté par les temps qui courent). Elle ne commence à écouter que lorsque vous pressez le bouton. Une fois l'enregistrement terminé, le fichier est envoyé vers le smartphone compagnon (iPhone ou Android) pour y être traité.
C’est là que la magie du logiciel opère. L'audio est transcrit et traité par des modèles d'IA open source, le tout en local sur le téléphone. Pas de cloud, pas de données qui partent sur des serveurs inconnus. Le système peut ensuite transformer votre mémo vocal en note, l'ajouter à votre calendrier ou créer un rappel.
Plus qu'un simple mémo
Si la fonction première reste la prise de notes vocale, Migicovsky n'a pas pu s'empêcher d'ajouter quelques fonctionnalités pour les bidouilleurs. L'Index 01 est personnalisable : un clic simple ou un double clic peuvent déclencher des actions spécifiques.
La bague se transforme alors en télécommande universelle pour changer de morceau de musique, déclencher l'appareil photo à distance ou activer des scénarios domotiques. C’est le genre de petite fonctionnalité qui rend l'objet indispensable ou totalement gadget, selon votre usage. Eric Migicovsky ne renie pas son intérêt pour l’open-source. Les plus bricoleurs n’auront aucune difficulté à bricoler la partie logicielle et à proposer des fonctionnalités supplémentaires.
Le pari osé de la batterie « jetable »
Côté matériel, l'Index 01 se présente dans une robe en acier inoxydable, disponible en trois coloris (argent, or et noir) et en tailles allant de 6 à 13. Elle est résistante à l'eau, ce qui est la moindre des choses pour un objet porté au doigt.
Mais c'est sur la gestion de l'énergie que Pebble prend tout le monde à contre-pied. La bague ne se recharge pas. Vous avez bien lu. Pas de port USB-C, pas de chargeur propriétaire. Pebble annonce une autonomie de 12 à 15 heures d'enregistrement cumulé. Selon le fabricant, cela correspond à une utilisation normale (10 à 20 mémos de quelques secondes par jour) sur une durée de vie assez longue pour justifier l'achat.
Cependant, une fois la batterie à plat, c'est la fin du voyage. La bague est conçue pour être recyclée, sans possibilité de remplacer la pile. Un choix écologique discutable et un pari économique risqué qui ne manquera pas de faire grincer des dents, même si cela libère l'utilisateur de la « charge mentale » du rechargement quotidien. Toutefois, dans sa vidéo, Eric Migicovsky a assuré que la batterie couvrirait largement la durée de vie du produit. Autre défaut sur le papier : elle devrait rester au vestiaire si vous allez à la piscine.
Prix et disponibilité
La Pebble Index 01 est proposée en précommande dès aujourd'hui sur le site de Pebble au prix de 75 $ (environ 70 € hors taxes). Les premières livraisons sont attendues pour mars 2026.
Attention aux retardataires : passé cette période de lancement, le prix grimpera à 99 $. Reste à voir si ce retour aux sources suffira à convaincre les nostalgiques de la marque, ou si l'Index 01 finira dans le tiroir aux curiosités tech, juste à côté du Rabbit r1.
Jeff Williams en route pour le conseil d’administration de Disney
Jeff Williams, qui est parti à la retraite il y a seulement quelques jours, est sur le point de trouver un petit boulot. L'ancien bras droit de Tim Cook a été officiellement nommé par le conseil d'administration de la Walt Disney Company pour devenir un nouveau directeur indépendant. Il ne lui reste plus qu'une formalité : être élu lors de l'assemblée annuelle des actionnaires prévue en 2026.
Pour ceux qui auraient déjà oublié son CV, Jeff Williams a été le directeur des opérations d'Apple de décembre 2015 jusqu'à son départ en novembre 2025. C'est lui qui tenait les manettes de la gigantesque chaîne d'approvisionnement mondiale et du service client. Mais son rôle allait bien au-delà de la logistique : il a piloté l'ingénierie et les initiatives de santé de l'Apple Watch, et avait même récupéré la direction de la célèbre équipe de design en 2023. Il aurait sans doute été candidat à la succession de Tim Cook, s’il avait été plus jeune.
Jeff Williams : le Tim Cook de Tim Cook
Jeff Williams, COO et n°2 d’Apple, quittera son poste à la fin du mois
Dans un communiqué, le jeune retraité s'est dit impatient de contribuer à la croissance de Disney, une entreprise dont il admire la capacité à « marier l'imagination et l'innovation ». Si son élection est confirmée, le conseil d'administration de Disney passera à 11 membres. Jeff Williams y côtoiera du beau monde, dont Bob Iger, Mary Barra (la patronne de General Motors) ou encore James Gorman (ancien président de Morgan Stanley).
Les passerelles entre Apple et Disney ont toujours été nombreuses, historiquement cimentées par Steve Jobs et Bob Iger. Certains analystes, un peu trop enthousiastes, voulaient même voir Apple acquérir Disney ces dernières années. Cela ne s'est jamais fait, mais l'affinité culturelle demeure. Après tout, l'Apple Watch a bien un cadran Mickey.
Bob Iger : il n'y aura pas de fusion entre Disney et Apple
Suisse : on peut enfin tester la conduite Tesla FSD 100% autonome !
La Pixel Watch en pince vraiment pour l’Apple Watch
Google améliore la Pixel Watch 4 avec deux gestes pas piqués des hannetons, mais piqués à Apple. En touchant leur pouce avec leur index à deux reprises, les utilisateurs de la montre ronde peuvent désormais réaliser diverses actions sans toucher l’écran : décrocher un appel, mettre en pause la musique, arrêter un minuteur…
Ce n’est ni plus ni moins que le geste « toucher deux fois » introduit sur l’Apple Watch Series 9 et l’Apple Watch Ultra 2 en 2023 (la SE 3 sortie en septembre est aussi compatible). Un pincement très pratique dans certaines conditions ; personnellement, je l’utilise à vélo pour démarrer un exercice sans avoir à lever ma seconde main du guidon.
Le deuxième geste ajouté par Google à la Pixel Watch 4 consiste à effectuer une rotation sèche du poignet pour couper le son d’un appel entrant ou fermer une notification. Dans l’univers Apple, ce geste a été inauguré par watchOS 26 et il est réalisable sur les Apple Watch Series 9, Ultra 2 et SE 3 au minimum.
WearOS 6.1, qui est en cours de distribution, ne fait pas que recopier watchOS. La mise à jour introduit un nouveau modèle de langage basé sur Gemma permettant aux Pixel Watch 3 et 4 de générer des réponses prêtes à l’emploi pour Google Messages, et ce de manière autonome.
Auparavant, seule la Pixel Watch 4 pouvait proposer ces réponses intelligentes, et uniquement si elle était reliée à un smartphone. Les améliorations sont rendues possibles par le nouveau modèle qui est deux fois plus rapide et demande près de trois fois moins de mémoire que l’ancien. Sur Apple Watch, les réponses suggérées sont bien plus sommaires.
La Pixel Watch 4 est vendue en deux tailles (41 mm et 45 mm) à partir de 399 € normalement, soit un peu moins qu'une Series 11, mais Google baisse en ce moment son prix à 329 €.
Test de l’Apple Watch SE 3 : la montre qui a tout compris
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- Apple active les Messages par satellite au Japon pour les iPhone et l’Apple Watch Ultra 3
Apple active les Messages par satellite au Japon pour les iPhone et l’Apple Watch Ultra 3
Les utilisateurs d’iPhone qui se retrouvent dans une zone blanche au Japon peuvent toujours garder le contact avec leurs proches. Apple a activé sur l’archipel la fonction de Messages par satellite, qui permet d’envoyer et de recevoir des SMS, des iMessages, des emojis et des réactions même sans connexion cellulaire.

Il y a une condition pour profiter de cette fonction gratuite : avoir un iPhone 14 ou un modèle plus récent. L’Apple Watch Ultra 3 est, de son côté, la seule montre compatible. Le service est offert par Apple, qui mobilise la constellation de Globalstar — à ne pas confondre avec d’autres fonctions satellitaires, qui sont fournies par Starlink en partenariat avec des opérateurs locaux.
Cette nouveauté n’est pas réservée aux Japonais : si vous voyagez au pays du Soleil levant dans une zone sans Wi-Fi ni réseau cellulaire, vous pourrez vous-même utiliser cette messagerie satellitaire. La fonction était jusque-là limitée au Canada, aux États-Unis et au Mexique.
En France et dans d’autres pays européens, la connexion satellitaire de l’iPhone 14 et des modèles suivants reste cantonnée à la fonction SOS d’urgence, servant uniquement à contacter les secours en cas de détresse dans une zone blanche. L’élargissement aux messages personnels finira peut-être par arriver un jour, comme au Japon.
iOS 18 : prise en main de Messages par satellite
Que faire si Apple ou UPS perd votre colis de retour ?
Avalée par un volcan, cette caméra a filmé sa propre mort !
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- Ce dock Thunderbolt 5 est en promo à prix cassé (-25 %) et parfait pour les Mac !
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- Google Maps détecte (enfin) automatiquement votre stationnement sur l'iPhone
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Encore une rumeur pour Face ID sous l'écran sur l'iPhone 18 Pro

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7.2.1 🍏 Sites principaux
- Amazon répète que les frais de port obligatoires nuisent à la lecture en France
Amazon répète que les frais de port obligatoires nuisent à la lecture en France
Vous ne serez pas surpris d’apprendre qu’Amazon n’aime pas la loi Darcos, qui l’oblige depuis 2023 à facturer 3 € de frais de port sur toute commande de livres inférieure à 35 €. Cette législation française vise à protéger les libraires indépendants face au géant du commerce américain, mais elle n’a pas eu les effets escomptés selon Frédéric Duval, le directeur général d’Amazon France. Il détaille ses arguments dans un article publié sur le site institutionnel de l’entreprise et s’il défend évidemment son employeur, il a des arguments intéressants à faire valoir.
Il base son analyse sur une enquête d’opinion effectuée en 2024 par l’Ifop à la demande d’Amazon France, ce qui n’est peut-être pas la source la plus objective qui soit, pour indiquer que plus de la moitié des Français ont réduit leurs achats de livres, spécifiquement à cause de la hausse des frais de port. C’est assez logique au fond, ce qui était jusque-là (quasiment1) gratuit est devenu payant, et pas qu’un peu. Trois euros de frais de port sous la barre de 35 €, c’est un pourcentage potentiellement élevé de la commande et une hausse très nette du prix d’un livre.
Après tout, c’est l’objectif de la loi, qui voulait inciter les Français à acheter dans les librairies autour de chez eux au lieu de passer commande chez Amazon. Pour autant, la réalité est moins belle si l’on en croit le directeur général, qui évoque notamment une baisse générale du marché du livre, à hauteur de 3 % en volume pour 2024 selon GFK, un cabinet d’études spécialisé sur le sujet. Plus gênant pour la législation française, cette baisse est bien une exception locale, puisque c’est la pire baisse en Europe.
Non seulement on achète moins de livres, mais les libraires ne profitent pas de la loi, toujours selon Amazon. Sans donner ses sources cette fois (on peut supposer que c’est encore GFK), Frédéric Duval indique que les clients privilégient en réalité majoritairement les hypermarchés et grandes chaînes culturelles aux acteurs indépendants quand ils se déplacent pour acheter un livre. Seuls 26 % des lecteurs choisissent un petit libraire selon l’entreprise, ce qui s’explique sans doute par l’absence de petits acteurs de proximité sur une bonne partie du territoire, et notamment hors des grandes villes. De ce fait, les librairies ont vu leurs ventes diminuer en 2024 et alors qu’il y avait eu une forte croissance des ouvertures de nouveaux lieux en 2022 et 2023, la situation était moins positive l’an dernier.
Si ces arguments ne suffisent pas à vous convaincre, la firme américaine en a encore sous le pied. La commune de Paris accueille 20 % des librairies françaises pour seulement 3 % de la population. À l’inverse, près de la moitié des commandes de livres effectuées sur Amazon sont destinées à des petites villes et des zones rurales, qui sont aussi les lieux moins bien desservis par les libraires indépendants. Depuis la mise en œuvre de la loi, le site estime que plus de cent millions d’euros de frais de port ont été dépensés par les clients français pour recevoir des livres.
Amazon a tout fait pour éviter les effets négatifs de la loi Darcos, notamment en utilisant les casiers de retrait proches des points de vente de livres, une idée combattue par le gouvernement. L’entreprise a tout intérêt de supprimer ces 3 € de frais de port obligatoires pour vendre davantage, il ne faut pas se leurrer sur ses réels motifs. Néanmoins, on peut aussi reconnaître qu’Amazon a de solides arguments et je sais à titre personnel que je fais moins d’achats impulsifs de livres depuis l’application de la loi. J’essaie de combiner plusieurs commandes pour atteindre 35 € et j’en oublie au passage ou le temps de réflexion m’amène à reconsidérer un achat. Tant mieux pour mon compte bancaire, tant pis pour la culture (et le compte bancaire de Jeff Bezos).
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Amazon demandait un centime symbolique lorsqu’il envoyait un livre, puisqu’une précédente loi interdisait déjà les livraisons gratuites. ↩︎
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- iFixit lance son app mobile avec suivi de batterie et assistant de réparation
iFixit lance son app mobile avec suivi de batterie et assistant de réparation
iFixit dispose désormais d’une application iOS et Android. Elle donne logiquement accès à ses nombreux tutoriels de réparation, mais elle impose la création d’un compte, un bon moyen pour l’entreprise de faire le plein de nouveaux inscrits.
Heureusement, cette application ne se contente pas d’afficher les guides dans une interface pensée pour les smartphones, elle comprend aussi deux fonctionnalités spéciales. La première concerne l’état de la batterie. Apple a longtemps gardé cette information hors de portée, mais depuis les iPhone 15, le nombre de cycles est visible.

iFixit estime que ce n’est pas suffisant et ajoute des graphiques d’usure ainsi qu’un système d’alerte plusieurs mois avant un éventuel remplacement. Une manière de faciliter l’entretien… et d’orienter l’utilisateur vers l’achat d’une batterie vendue par ses soins. Pas folle la guêpe.
Seulement, Apple ne propose aucune API pour récupérer les données de santé de la batterie. iFixit doit donc ruser et demande à l’utilisateur de partager manuellement un fichier d’analyse. La procédure est donc un peu fastidieuse, d’autant qu’il faudra la répéter pour qu’elle ait un réel intérêt. Cet outil est par ailleurs en bêta.

La deuxième fonction spéciale est Fixbot, un assistant de réparation basé sur une IA générative formée sur la base de données d’iFixit. Il peut répondre à des questions techniques et expliquer des procédures. Une synthèse vocale est intégrée pour suivre les instructions sans garder les yeux rivés sur l’écran.
Le nouveau MacBook Pro M5 est déjà en promo : profitez du meilleur prix !
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- Pebble revient avec une bague connectée qui enregistre vos idées, et ne se recharge jamais !
Pebble revient avec une bague connectée qui enregistre vos idées, et ne se recharge jamais !
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7.2.1 🍏 Sites principaux
- Première mondiale : les réseaux sociaux sont interdits aux - de 16 ans dans ce pays ! Qui suivra ?