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Reçu aujourd’hui — 20 octobre 2025 7.1.1 🖥️ Sites principaux

☕️ AnduinOS, le « Linux qui ressemble à Windows », passe à Ubuntu 25.10

20 octobre 2025 à 17:22

En mai dernier, nous prenions en main AnduinOS. Cette distribution sans grande prétention se proposait de reprendre une base Ubuntu et de lui adjoindre un bureau aussi proche que possible de Windows 11. Objectif affiché : faciliter autant que possible les transitions pour les personnes intéressées. Elle a été créée par Anduin Xue, ingénieur chez Microsoft travaillant presque exclusivement sur Linux. Il s’agit en revanche d’un projet personnel, non affilié à l’entreprise.

Une mouture 1.4 du système est sortie le 17 octobre. Malgré le peu d’évolution dans le numéro de version, les changements sont profonds. Ils s’articulent principalement autour de la base technique, qui passe d’Ubuntu 25.04 à 25.10, avec un noyau Linux 6.17 et GNOME 49.

La version ajoute également trois extensions gnome-shell pour élargir la bascule automatique de la couleur d’accentuation dans les applications, un mode « Anduin To Go » pour les installations sur clés USB, ainsi qu’une uniformisation du nom et du logo associé au sein du système. On notera aussi le remplacement de Firefox par sa variante ESR pour éviter le paquet snap associé.

Anduin Xue précise que si la mise à jour est techniquement possible entre AnduinOS 1.3 et 1.4, elle n’est pour l’instant pas recommandée, à cause des profonds changements techniques introduits. Dans son billet d’annonce, il ajoute qu’un script dédié sera fourni dans les deux mois. « Nous nous engageons à n’abandonner aucun utilisateur de la version 1.3 et nous les aiderons finalement à passer à la version 1.4 de manière sûre et fiable. Ce plan devrait être entièrement mis en œuvre d’ici janvier 2026 au plus tard », explique le développeur.

Écoconception : l’Union européenne s’attaque aux chargeurs USB-C et sans fil

20 octobre 2025 à 17:07
Des prises électriques comme les autres
Écoconception : l’Union européenne s’attaque aux chargeurs USB-C et sans fil

Dans l’objectif d’une harmonisation continue et d’une réduction de la consommation, l’Union européenne vient de mettre à jour ses règles d’écoconception pour les chargeurs USB-C et sans fil. Les constructeurs ont jusqu’en 2028 pour se préparer, avec à la clé des économies attendues loin d’être anodines.

Le texte, publié le 13 octobre par la Commission européenne, est une extension significative de l’actuel règlement sur les chargeurs. La nouvelle législation est beaucoup plus ambitieuse, car elle généralise les règles d’écoconception à un plus grand nombre de cas de figure, loin des seuls domaines mobiles comme les smartphones et tablettes.

400 millions de chargeurs vendus par an

Sont ainsi concernées de nombreuses catégories de produits, dont les ordinateurs portables, les écrans d’ordinateurs, les routeurs et autres bornes Wi-Fi, les batteries externes et bon nombre de produits ménagers. En clair, tout ce qui se recharge à l’aide d’un chargeur dont la puissance n’excède pas 240 watts. Il y a toutefois des exceptions, dont tout ce qui fonctionne en conditions humides, les jouets, aspirateurs, la plupart des outils électriques et équipements audio. En tout, la Commission estime que ce sont pas moins de 400 millions de nouveaux chargeurs qui sont achetés chaque année dans l’Union, qu’ils soient fournis avec les produits ou achetés séparément.

« Avoir des chargeurs communs pour nos smartphones, ordinateurs portables et autres appareils que nous utilisons tous les jours est une décision intelligente qui donne la priorité aux consommateurs tout en réduisant le gaspillage d’énergie et les émissions. Le changement concret que nous introduisons aujourd’hui dans le domaine de l’approvisionnement externe en énergie aidera les Européens à économiser de l’argent tout en réduisant notre impact environnemental, et prouve que l’innovation peut être à la fois source de progrès et de responsabilité », a déclaré à cette occasion Dan Jørgensen, commissaire européen chargé de l’énergie et du logement.

Rappelons que ce règlement vient compléter d’autres déjà disponibles depuis quelques années, notamment celui entré en vigueur fin 2024 pour consacrer l’USB-C comme port de recharge universel, notamment sur les smartphones, tablettes et ordinateurs portables. Il est également en phase avec les nouvelles étiquettes énergie obligatoires depuis juin dernier.

Le cœur du règlement

Avec le nouveau texte, l’Union européenne réclame désormais des exigences minimales pour tous les chargeurs, nommés EPS dans le texte pour External Power Supplies. Pour l’ensemble des produits concernés, les chargeurs filaires devront obligatoirement proposer un port USB-C accompagné d’un câble détachable. Dans le cas d’une panne de l’un ou de l’autre, il faut pouvoir le remplacer séparément. Les câbles eux-mêmes devront afficher leur puissance nominale de 60 ou 240 W.

Comme indiqué, la puissance maximale sera de 240 watts, correspondant au maximum de l’actuelle norme Power Delivery, comme nous l’avions expliqué au printemps dernier. Les exigences se font également plus strictes sur l’efficacité énergétique. Par exemple, la consommation à vide (quand le chargeur est branché mais inutilisé) ne devra pas excéder 0,3 W.

En outre, tous les chargeurs fonctionnant entre 10 et 240 W devront afficher une meilleure efficacité énergétique (rendement) pour mieux contrôler les déperditions d’énergie. Le règlement réclame également une meilleure efficacité en puissance de charge partielle, plus spécifiquement à 10 % de la puissance nominale. Tous les détails se trouvent dans la première annexe.

Les chargeurs sans fil sont également abordés. La Commission note qu’ils consomment davantage que les chargeurs filaires, mais eux aussi devront se montrer plus efficaces, notamment vis-à-vis de leur popularité grandissante.

Pour marquer la séparation entre les chargeurs compatibles avec les nouvelles exigences et les anciennes générations, un logo « EU Common Charger » devra être affiché sur les boites et les chargeurs.

À noter que le texte fait également rentrer les chargeurs de plus de 250 W dans le giron du règlement européen de 2019 sur l’écoconception. Pour ces modèles plus puissants et moins nombreux, que le nouveau règlement ne prend pas directement en compte, la Commission estime qu’ils devraient être « alignés avec les régulations et standards internationaux ».

Trois ans pour se mettre à jour

La nouvelle réglementation sera publiée au Journal officiel « dans les semaines à venir » de l’Union européenne, puis entrera en vigueur 20 jours après.

À compter de là, les constructeurs auront trois ans pour s’y faire, car l’entrée en application interviendra fin 2028. Comme on l’a vu, les points de contrôle seront nombreux, mais l’ensemble devrait concourir à faire baisser les déchets électroniques et la consommation générale.

On peut donc s’attendre à une généralisation de certains comportements, comme chez Apple avec les derniers MacBook Pro M5, qui ne sont plus fournis avec le chargeur. Pour d’autres constructeurs qui n’auraient pas commencé à se pencher sur le sujet, il faudra modifier les chaines de production. À terme, la possession d’un ou plusieurs de ces chargeurs devrait effectivement se traduire par une réduction des déchets.

Les bénéfices attendus

Quels sont les effets attendus par la Commission ? D’ici 2035, elle attend des économies annuelles de 3 % de la consommation d’énergie sur le cycle des alimentations externes, « ce qui correspond à l’énergie utilisée en un an par environ 140 000 voitures électriques » selon la Commission. Sur ce même cycle, les émissions de gaz à effet de serre devraient baisser de 9 % et les émissions de polluants de 13 %. Financièrement, le changement se traduirait par des économies de 100 millions d’euros par an dans l’Union à compter de 2025, par le réemploi des chargeurs déjà possédés.

Surtout, la Commission s’attend à ce que la normalisation stricte de tous les chargeurs induise une hausse significative du confort chez les citoyens européens, puisqu’ils devraient pouvoir à terme utiliser n’importe quel chargeur entre de nombreuses catégories de produits. Ce serait la fin des chargeurs incompatibles.

Pour la Commission européenne, cela devrait notamment conduire « à l’interopérabilité de 35 à 40 % supplémentaires du marché européen des EPS, en plus des quelque 50 % déjà supposés l’être en raison de la directive sur les équipements radioélectriques ».

☕️ Escroqueries en ligne : 59 mandats d’arrêt et des récepteurs Starlink saisis en Birmanie

20 octobre 2025 à 16:42

À la frontière entre la Birmanie et la Thaïlande, le KK Park constitue une véritable usine à arnaquer les internautes, alimentée par le travail forcé de milliers de personnes.

Depuis février, la Chine, la Thaïlande et la Birmanie travaillent conjointement pour stopper ce fléau.

Ce 20 octobre, la junte birmane a opéré une descente sur place et saisi 30 récepteurs Starlink utilisés pour contourner le blocage d’internet imposé par les autorités thaïlandaises.

La police sud-coréenne a, de son côté, émis 59 mandats d’arrêt contre des ressortissants suspectés d’avoir participé à ces activités, rapporte Le Temps.

Wikipédia perd 8 % de pages vues par les humains en un an et met ça sur le compte de l’IA

20 octobre 2025 à 16:20
Un web moins participatif en vue ?
Wikipédia perd 8 % de pages vues par les humains en un an et met ça sur le compte de l’IA

La fondation Wikimedia lance un signal d’alarme, constatant une baisse du nombre de pages vues par des humains au cours des derniers mois. Elle s’inquiète du fait que cela entraine une baisse du nombre de bénévoles enrichissant l’encyclopédie.

La fondation Wikimedia a publié un billet de blog ce vendredi 17 octobre dans lequel elle décrit une « baisse du nombre de pages vues par les utilisateurs sur Wikipédia au cours des derniers mois, soit une diminution d’environ 8 % par rapport aux mêmes mois en 2024 ».

Nombre de pages vues par des humains pour toutes les versions linguistiques de Wikipédia depuis septembre 2021, avec révision du nombre de pages vues depuis avril 2025. Wikimedia Fundation

Marshall Miller, directeur de produit, y explique que la fondation a actualisé sa méthode pour identifier si un visiteur est un humain ou un robot. En effet, vers le mois de mai, elle a observé un trafic anormal venant du Brésil que ses systèmes identifiaient jusque là comme des visiteurs humains alors qu’il s’agissait vraisemblablement de consultations par des crawlers de services.

Un petit peu avant, la fondation évoquait déjà le sérieux problème que provoquaient les crawlers d’IA pour le web, en générant un trafic « sans précédent et présentent des risques et des coûts croissants ».

Les crawlers des IA deviennent un sérieux problème pour le web, même pour Wikimédia

Impact des services d’IA sur la consultation directe de l’encyclopédie participative

Ici, c’est un autre effet de ces services qu’évoque la fondation. « Nous pensons que ces baisses reflètent l’impact de l’IA générative et des réseaux sociaux sur la manière dont les gens recherchent des informations, en particulier avec les moteurs de recherche qui fournissent directement des réponses aux internautes, souvent basées sur le contenu de Wikipédia », explique Marshall Miller.

Tout ça n’est pas une surprise pour la fondation qui ajoute que « cette évolution progressive n’est pas propre à Wikipédia ». « De nombreux autres éditeurs et plateformes de contenu font état de changements similaires, les utilisateurs passant davantage de temps sur les moteurs de recherche, les chatbots IA et les réseaux sociaux pour trouver des informations. Ils subissent également la pression que ces entreprises exercent sur leur infrastructure ». En juin dernier, nous relayions les inquiétudes de responsables de sites web (notamment scientifiques et/ou bénévoles).

Les fichiers robots.txt sont les premiers boucliers des sites web contre les crawlers intempestifs. Et Wikipédia ne s’en prive pas. La version anglophone de l’encyclopédie a un fichier robots.txt très détaillé, avec des commentaires. Ainsi, on peut y trouver, par exemple, une section listant des user-agents comme HTTrack ou Microsoft.URL.Control surmontée du commentaire : « Certains robots sont connus pour causer des problèmes, en particulier ceux conçus pour copier des sites entiers. Veuillez respecter le fichier robots.txt ». On peut y voir aussi que les crawlers Mediapartners-Google, utilisés par Google pour son service Adsense, sont bloqués avec juste comme commentaires le fait qu’ils sont reliés à de la pub. La partie francophone a peu ou prou la même liste avec quelques ajouts dans son robots.txt.

Mais cette première protection ne suffit plus. Comme l’expliquait Cloudflare en août dernier, Perplexity utilisait deux types de bots en fonction des autorisations des éditeurs concernant l’IA. L’entreprise déguisait ainsi parfois ses crawlers utilisés à des fins d’entrainement d’IA en navigateurs tout ce qu’il y a de plus classique.

La fondation Wikimedia rappelle que « presque tous les grands modèles linguistiques (LLM) s’entraînent sur les jeux de données de Wikipédia, et les moteurs de recherche et les plateformes de réseaux sociaux donnent la priorité à ses informations pour répondre aux questions de leurs utilisateurs ». Et elle y voit du positif pour le projet qu’elle chapote : « cela signifie que les gens lisent les connaissances créées par les bénévoles de Wikimedia partout sur Internet, même s’ils ne visitent pas wikipedia.org. Ces connaissances créées par l’homme sont devenues encore plus importantes pour la diffusion d’informations fiables en ligne ».

Le risque d’une baisse de la participation au projet

Mais elle y voit aussi un risque, et pas seulement sur ses infrastructures : « avec moins de visites sur Wikipédia, moins de bénévoles vont développer et enrichir le contenu, et moins de donateurs individuels vont soutenir ce travail ».

Défendant le projet Wikipédia, la fondation en donne, sans surprise, une vision opposée de celle récemment véhiculée par Elon Musk annonçant son projet personnel Grokipedia. « Wikipédia est le seul site de cette envergure à appliquer des normes de vérifiabilité, de neutralité et de transparence qui alimentent l’information sur tout Internet, et elle continue d’être essentielle pour répondre aux besoins quotidiens des gens en matière d’information, d’une manière invisible », assure-t-elle.

Le défi pour la fondation est donc que les lecteurs sachent que ce contenu vient bien de Wikipédia et qu’ils continuent à y contribuer. Le programme Wikimedia Enterprise est censé pousser les entreprises à attribuer correctement les contenus. La fondation assure travailler sur des manières d’amener les générations qui sont plus sur YouTube, TikTok, Roblox, et Instagram à collaborer à l’encyclopédie.

L’IA générative, outil favori de la communication de Donald Trump

20 octobre 2025 à 15:50
Propaganda slop
L’IA générative, outil favori de la communication de Donald Trump

Depuis son compte et son réseau social personnel Truth, comme depuis les outils de la Maison Blanche, Donald Trump a de nouveau recouru à l’IA pour commenter les vastes manifestations organisées aux États-Unis contre son gouvernement et sa politique.

L’avion est signé « King Trump ». Aux commandes, un faux Donald Trump coiffé d’une couronne. Sur fond de rock’n’roll – en l’occurrence, le générique de Top Gun par Kenny Loggins –, l’engin vole au-dessus des manifestations contre le gouvernement actuel pour y larguer une pluie de déjections. Telle est la direction artistique choisie par le président des États-Unis pour signifier ce qu’il pense des manifestations qui secouent les États-Unis.

Ce samedi, près de 3 000 rassemblements étaient organisés à travers le pays pour s’opposer à la « prise de pouvoir autoritaire » de son président. « No Kings » (pas de rois) était le mot d’ordre retrouvé dans chacune de ces manifestations. Selon les organisateurs, 7 millions de personnes auraient ainsi défilé dans diverses villes d’États démocrates comme républicains, y compris aux abords de la résidence trumpienne de Mar-a-Lago, en Floride.

Sur son réseau Truth Social, ce dernier a critiqué ces mobilisations avec une vidéo scatologique générée par IA. En 2018, son conseiller Steve Bannon lui intimait d’« inonder la zone de merde », c’est-à-dire de créer la confusion dans le débat public en y projetant indistinctement tout élément d’information, de désinformation et de contenus irritants susceptibles de créer des polémiques. Depuis quelques mois, le chef des États-Unis semble appliquer la consigne toujours plus littéralement, que ce soit sur son réseau personnel ou sur des plateformes plus grand public.

Stéréotypes haineux

Car cet épisode d’aéronautique insultante est loin d’être le premier cas dans lequel Donald Trump recourt à l’IA générative pour passer ses messages politiques. Début 2025, l’homme d’État diffusait une vidéo étrange, pensée comme satirique par ses créateurs, d’une hypothétique « riviera » créée à Gaza. Donald Trump, Elon Musk et Benjamin Netanhyahou y étaient représentés sous des pluies de dollars ou face à une femme exotisée, habillée en danseuse du ventre.

À la même époque, différents groupes de défense des droits de la population latino avaient critiqué le président des États-Unis pour son recours à des mèmes et des images générées par IA visant à décrédibiliser les représentants démocrates du Congrès. Parmi les images produites, l’une visait notamment le représentant de New-York Hakeem Jeffries. Premier homme noir élu au poste de Minority Leader, le poste le plus important à la tête de l’opposition à la Chambre des représentants, Jeffries était représenté avec un sombrero de style mexicain et son discours recouvert d’une musique de mariachis.

L’Hispanic Federation, la Latino Victory Foundation, la League of United Latin American Citizens et divers autres organismes avaient alors souligné que l’usage « préoccupant de l’IA pour amplifier les stéréotypes haineux est non seulement irresponsable, mais constitue aussi un acte de désinformation visant à stigmatiser encore plus les Latinos ».

Cet été, il relayait encore une vidéo Gen AI d’une fausse arrestation de Barack Obama. L’IA a aussi été utilisée pour attaquer Trump et sa politique. Alors qu’il lançait une guerre tarifaire contre l’essentiel de la planète, des usagers chinois ont inondé TikTok, Douyin et d’autres réseaux de vidéos supposées représenter des Américains obèses, voire Donald Trump, J.D. Vance ou Elon Musk, à l’usine.

Inondation d’AI slop

L’emploi que fait le président des États-Unis d’IA générative s’inscrit par ailleurs dans une tendance plus large de multiplication des contenus dits d’« AI slop », c’est-à-dire de « boue » d’IA. Une nouvelle pollution des espaces numériques qui a émergé avec le succès des outils comme ChatGPT, Claude ou Midjourney, et que divers observateurs accusent désormais de « tuer internet ».

Après s’être penché sur 65 000 articles de langue anglaise publiés entre janvier 2020 et mai 2025, le spécialiste du SEO Graphite vient de publier un rapport constatant que depuis quelques mois, la moitié des publications recensées avaient été générées par IA. Si Donald Trump n’utilise pas le format article, ses publications de vidéos et de mèmes adaptés aux réseaux sociaux contribuent, eux aussi, à la tendance.

Ce week-end, les comptes officiels de la Maison-Blanche ont diffusée d’autres images générées par IA représentant Donald Trump et J.D. Vance affublés de couronnes, et leurs opposants, de nouveau, coiffés de sombrero.

Test du Galaxy S25 FE : le meilleur de Samsung à prix accessible, vraiment ?

20 octobre 2025 à 17:01
Qu’il s’agisse d’écouteurs, de tablettes ou de smartphones, Samsung a l’habitude de décliner ses produits phares en une version « FE » (pour Fan Edition). L’objectif du coréen est de proposer l’essentiel de ses technologies phares à un prix nettement plus accessible. Le Galaxy S25 FE, présenté début septembre, suit cette logique en reprenant plusieurs caractéristiques du Galaxy S25+.

Test Cronos : The New Dawn (PS5) - Survivez aux terres désolées de l’avenir, affrontez des créatures cauchemardesques en fusion et remontez dans le temps ...

Cronos : The New Dawn ne cache pas ses origines : l’écho de Dead Space résonne bruyamment dans les couloirs métalliques imprégnés de sang, de biomasse et de désespoir, dans les silences dilatés entrecoupés de gémissements lointains, dans l’obsession d’une esthétique mêlant terreur et technologie rétro. Mais si l’émulation est véritablement la forme la plus sincère d’admiration, Cronos choisit de la pousser plus loin, en embrassant l’héritage des maîtres et en le greffant sur un récit somptueux et complexe, et surtout, doté d’une âme qui n’a pas peur de se démarquer. Car si la comparaison avec Isaac Clarke et les Ishimura est inévitable, la vérité est qu’après quelques heures, la création de Bloober se révèle pour ce qu’elle est vraiment : une expérience avec un personnage unique, capable de s’exprimer avec sa propre voix. L'histoire de Cronos : The New Dawn s'ouvre dans un futur dystopique marqué par un événement connu sous le nom du Changement , un cataclysme qui, dans les années 1980, a donné naissance aux Orphelins , des créatures monstrueuses nées d'une épidémie qui a ravagé la Pologne et, avec elle, l'humanité entière. Pour tenter d'éviter l'extinction, une entité énigmatique appelée le Collectif envoie le protagoniste, le Voyageur (que nous connaissons également sous le nom de code ND-3576), à travers des failles temporelles qui la transportent dans les années 1980 : une époque encore intacte, mais déjà hantée par des ombres sinistres. La mission n'est claire que dans ses intentions : récupérer les essences d'individus clés, des âmes détentrices de souvenirs, de pouvoir et de savoir capables de modifier le cours des événements. L'arrivée des Orphelins , d'horribles mutations capables de se transformer en des formes de plus en plus mortelles, complique encore le voyage, forçant la protagoniste à recourir au feu comme seule arme véritablement définitive. Le voyage du Voyageur se déroule ainsi entre deux dimensions : d'un côté, la Pologne des années 1980, représentée par le béton inquiétant du district industriel de Nowa Huta , avec ses usines et son brutalisme oppressif ; de l'autre, le futur décadent et rétrofuturiste dont elle est issue, désormais inexorablement condamné par la prolifération de l'épidémie. Dans cette oscillation constante, des rencontres cruciales, comme celle avec le Gardien, et des rebondissements inattendus, qui semblent bouleverser les certitudes du Voyageur, le pousseront à s'interroger non seulement sur sa mission, mais aussi sur la véritable nature du pouvoir qui lui a été confié. (Lire la suite)

Le Windows Environment Recovery de Windows 11 inutilisable…

Par :NHU9B
20 octobre 2025 à 16:20

Windows 11

Aïe, aïe, aïe, avoir un Windows qui plante c’est pénible, mais quand c’est le Windows Environment Recovery qui devient inutilisable, ça devient compliqué. Effectivement, suite à une mise à jour, le clavier et la souris deviennent inexploitables dans le WinRE. Impossible de lancer une restauration système par exemple. Un problème de clavier/souris rend le Windows […]

L’article Le Windows Environment Recovery de Windows 11 inutilisable… est apparu en premier sur Overclocking.com.

Europol démantèle 40 000 cartes SIM. L'ampleur de la fraude est terrifiante.

Europol a démantelé une ferme de cartes SIM utilisée pour le phishing et d'autres types de fraude. L'opération a été menée par des agences d'Autriche, d'Estonie, de Finlande et de Lettonie, en coopération avec Europol et Eurojust. Dans le cadre de l'opération, baptisée SIMCARTEL, sept personnes ont été arrêtées et des perquisitions ont permis la saisie de 1 200 boîtiers SIM contenant jusqu'à 40 000 cartes SIM actives. Cinq serveurs ont également été mis hors service et deux sites web liés à des activités criminelles ont été saisis. Par ailleurs, les autorités ont saisi des voitures de luxe et plus de 700 000 € de fonds détenus sur des comptes bancaires et en cryptomonnaies. Le groupe responsable de ces crimes opérait en Autriche et en Lettonie, où plus de 3 200 fraudes ont été recensées, entraînant des pertes de 4,9 millions d'euros. Z-ImysXws-0 La ferme proposait des numéros de téléphone de plus de 80 pays qui permettaient la création de faux comptes sur les réseaux sociaux et les applications de messagerie instantanée, permettant aux criminels de dissimuler leur identité. Les criminels utilisaient ces numéros pour mener des attaques d'hameçonnage, escroquer leurs victimes en les persuadant d'investir dans des projets fictifs et extorquer de l'argent en se faisant passer pour des membres de leur famille. Par exemple, ils se faisaient passer pour les enfants de leurs victimes et demandaient des virements urgents sur un compte donné. Tout cela s’est produit sur des plateformes comme GoGetSMS, qui offraient aux utilisateurs la possibilité d’obtenir des numéros de téléphone temporaires et de les utiliser pour s’inscrire sur des services en ligne. De plus, sur ce site Web, vous pouviez « monétiser » des cartes SIM en permettant à d'autres de recevoir des messages SMS, ce qui était censé générer des revenus. (Lire la suite)

La panne mondiale du cloud d'Amazon laisse des milliers d'applications hors service et des millions d'utilisateurs sans accès.

L'une des plus importantes pannes d'infrastructure Internet vient de toucher des millions d'utilisateurs dans le monde. Le problème vient d'Amazon Web Services (AWS), le géant du cloud computing dont les serveurs alimentent les applications mobiles et les sites web les plus populaires. Amazon Web Services a confirmé des taux d'erreur importants dans sa région US-EAST-1, qui gère une part importante du trafic Internet aux États-Unis et au-delà. Les ingénieurs de l'entreprise ont identifié une cause potentielle du problème : des défaillances des API DynamoDB. Les équipes techniques travaillent actuellement sur plusieurs solutions parallèles pour accélérer la reprise. La liste des plateformes affectées est impressionnante. Selon le service de surveillance des pannes Downdetector, les utilisateurs signalent des problèmes avec les applications et services suivants : - Messageries et réseaux sociaux : Snapchat, Signal, Slack - Jeux : Roblox, Fortnite, Clash of Clans, Clash Royale, Pokémon Go, Rocket League - Outils : Duolingo, Zoom, Canva, Smartsheet, Wordle - Fitness et style de vie : My Fitness Pal, Peloton, Life360 - Cryptomonnaies : Coinbase - Jeux : Epic Games Store, PlayStation Network Étonnamment, la panne a également affecté le site web du HMRC (le centre des impôts britannique). Lors des tests de la BBC, le site a affiché des messages d'erreur. La situation s'est aggravée lorsque les banques ont commencé à signaler des problèmes. Les institutions financières britanniques Lloyds, Halifax et Bank of Scotland ont reçu des milliers de signalements de pannes. Les clients ne pouvaient plus se connecter à leurs applications mobiles ni à leurs services bancaires en ligne. Des signalements de paiements par carte refusés circulent également sur les réseaux sociaux. On ignore actuellement si ces problèmes bancaires sont directement liés à la panne d'AWS ou à un incident distinct. Amazon Web Services est un service cloud qui fournit une infrastructure serveur à des millions d'entreprises dans le monde. En pratique, la plupart des applications pour smartphones utilisent les centres de données AWS. Lorsqu'un système Amazon tombe en panne, l'effet domino est quasi immédiat : des centaines de services perdent simultanément la connexion à leurs serveurs. L'entreprise met régulièrement à jour l'état d'avancement de la panne sur son site web. Les ingénieurs nous assurent qu'ils s'efforcent de comprendre pleinement la cause profonde de la panne et d'en atténuer les effets. (Lire la suite)

L'UE et l'OMS lancent une surveillance mondiale d'Internet

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a dévoilé une nouvelle version de son système de surveillance, Epidemic Intelligence from Open Sources 2.0, développé en collaboration avec le Centre commun de recherche de la Commission européenne. La plateforme utilise l'intelligence artificielle pour analyser l'activité en ligne en temps réel, en traitant les publications sur les réseaux sociaux, les actualités, les sites web et d'autres sources publiques afin de détecter les menaces potentielles pour la santé. Officiellement, le système est destiné à servir d'outil d'alerte précoce en cas d'épidémie. Cependant, son champ d'application dépasse les tâches traditionnelles de surveillance des maladies. Cette modernisation s'inscrit dans un effort plus large visant à intégrer la surveillance sanitaire, l'analyse des données sociales et la centralisation de l'information au sein d'une infrastructure mondiale de gestion de la sécurité sanitaire. L'OMS décrit EIOS 2.0 comme un système plus flexible et inclusif, capable d'interpréter des contenus dans de multiples langues et contextes culturels. Concrètement, cela signifie que l'intelligence artificielle analyse les conversations et les récits en ligne pour mieux comprendre les attitudes et les croyances du public. Cette méthodologie, qualifiée par l'OMS d'« écoute sociale », élargit le champ de la surveillance aux domaines liés à la communication en ligne et au comportement des utilisateurs. Selon les données de l'OMS, le système EIOS est déjà opérationnel dans plus de 110 pays et collabore avec plus de 30 organisations, dont des gouvernements et des institutions européennes. Les utilisateurs bénéficient d'un accès gratuit à la plateforme, ainsi qu'à des supports de formation et à un support technique. Les systèmes de surveillance nationaux interconnectés alimentent une base de données mondiale, traitée en temps réel par l'OMS. Les nouvelles fonctionnalités du système témoignent d'un intérêt croissant pour le contrôle du flux d'informations en ligne. En collaboration avec la Commission européenne, l'OMS mène des recherches sur des projets tels que « Détecter la crédibilité des articles de presse » et « Systèmes de classification de la désinformation ». Ces initiatives sont liées à l'outil « Classificateur de désinformation » du CCR, développé en 2020, qui permet d'évaluer le ton et le langage des textes afin d'identifier les contenus jugés faux. Selon la Commission européenne, le classificateur atteint un taux de précision de 80 % et est déjà utilisé au sein des institutions européennes et partagé avec des organismes de vérification des faits. L'association de ce type de technologie au système EIOS permet d'intégrer l'analyse des données et le contrôle de l'information à l'infrastructure de santé publique. Bien que l'OMS souligne que la nouvelle version du système vise à améliorer la préparation aux pandémies, de plus en plus de voix s'élèvent pour mettre en garde contre les risques d'abus. Les critiques soulignent que combiner l'analyse des données sociales à la surveillance épidémiologique pourrait conduire à la création d'un réseau mondial de surveillance numérique dont la portée dépasserait le cadre de la santé publique. EIOS 2.0 a le potentiel de devenir non seulement un outil scientifique, mais aussi un instrument de formation de l'opinion publique. Dans un monde où les algorithmes déterminent la visibilité de l'information, un système géré par une organisation internationale pourrait influencer significativement la façon dont les sociétés perçoivent les risques et réagissent aux événements mondiaux. L'introduction d'EIOS 2.0 s'inscrit dans une tendance plus large d'intégration des données sanitaires, sociales et informationnelles. Pour les pays qui choisissent de déployer pleinement ce système, cela pourrait entraîner une perte partielle d'indépendance numérique. L'OMS met en place une infrastructure capable de traiter de manière centralisée les informations sur le comportement de la population, comblant ainsi le fossé entre les soins de santé et la gestion des connaissances et des opinions. Alors que le discours officiel se concentre sur la sécurité, le nouveau système redéfinit le concept de surveillance à l'ère numérique. L'intelligence artificielle n'est plus un simple outil d'analyse, mais un acteur de la gestion de l'information sur les sociétés. (Lire la suite)

Attention : cette pâte thermique populaire peut endommager votre processeur.

Le marché des pâtes thermiques propose des centaines de produits, des pâtes de haute qualité avec des additifs métalliques et céramiques aux solutions silicone bon marché censées offrir de bonnes performances aux ordinateurs personnels. Cependant, comme vient de le démontrer Igor Wallosk d'Igor's Lab , toutes les bonnes affaires ne valent pas leur prix. Son enquête a révélé que la pâte Amech (Aimac) SGT-4, populaire et apparemment inoffensive, fabriquée en Corée du Sud, pourrait non seulement être inefficace mais également nocive pour les équipements. Le SGT-4 est disponible dans de nombreuses boutiques en ligne à travers le monde. Il séduit les clients grâce à son prix abordable et aux avis positifs des utilisateurs. Ceux-ci le jugent uniquement pour sa facilité d'application et son effet thermique temporaire. Cependant, des tests menés par Igor Walloska ont révélé que cette étiquette attrayante dissimule un sérieux problème chimique. D'après les tests, la SGT-4 n'est pas une pâte à base de silicone classique, contrairement à ce qu'affirme le fabricant. Elle contient du silicone RTV réactif qui, au contact de l'humidité, libère de l'acide acétique, une substance à l'odeur désagréable caractéristique de vinaigre. Cet acide corrode les surfaces en cuivre, provoquant des piqûres (petites bosses), une décoloration et même une adhésion permanente du dissipateur thermique au processeur. En pratique, cela signifie qu'après un certain temps, le refroidisseur peut littéralement « coller » au processeur, et tenter de le retirer risque d'endommager le matériel. Pire encore, la formation de piqûres sur les surfaces du processeur et du dissipateur thermique réduit l'efficacité du transfert thermique, rendant l'efficacité thermique réelle de la pâte nettement inférieure aux déclarations du fabricant. Les pâtes thermiques sont conçues pour combler les micro-espaces entre le refroidisseur et la surface du processeur, augmentant ainsi la surface de contact et améliorant le transfert de chaleur. Cependant, avec la pâte SGT-4, c'est l'inverse qui se produit : des réactions chimiques créent de nouveaux micro-espaces qui réduisent la conductivité et entraînent une surchauffe. Sur le forum sud-coréen Quasarzone, les utilisateurs ont signalé de nombreux problèmes avec cette pâte, tels que des marquages ​​décolorés sur les processeurs, une décoloration et des piqûres sur le cuivre, ainsi que des difficultés à retirer le refroidisseur. Lorsque la communauté a commencé à exiger des éclaircissements, Amech, une entreprise opérant sans site web officiel, a non seulement omis de répondre aux allégations de manière substantielle, mais a également attaqué personnellement ceux qui avaient publié les preuves. Les représentants du fabricant ont affirmé que le produit était conforme aux normes RoHS et REACH, ce qui était censé confirmer sa sécurité. Le problème est que ces certifications font référence à l'absence de substances toxiques pour l'environnement, et non à la réactivité chimique ou à la corrosivité pour les métaux. De plus, dans ses réponses officielles, Amech a qualifié Igor Walloska de manière désobligeante, le qualifiant d'« Allemand », évitant tout argument technique. L'histoire de la pâte thermique SGT-4 est un avertissement pour tous les passionnés de PC, démontrant qu'un prix bas et de bons avis en ligne ne font pas tout. Il est préférable de privilégier les produits éprouvés de marques réputées, surtout lorsqu'il s'agit d'un composant aussi crucial que la dissipation thermique du processeur. (Lire la suite)

Apple est prêt à sortir un MacBook Pro à écran tactile.

Il semble qu'Apple soit enfin prêt à rompre avec une tradition bien ancrée et à sortir un MacBook tactile. Le MacBook Pro tactile devrait bénéficier d'une refonte complète et être commercialisé d'ici la fin de l'année prochaine ou début 2027. Selon certaines sources, le nouveau modèle sera doté d'un écran OLED aux couleurs riches et aux noirs profonds, ainsi que d'une charnière modernisée qui empêchera l'écran de bouger au toucher et améliorera la rigidité structurelle globale. Depuis des années, Apple maintient que macOS n'est pas conçu pour le tactile, privilégiant l'interaction classique avec le clavier et le trackpad. Cependant, compte tenu de l'intérêt croissant de l'entreprise pour l'intelligence artificielle et l'informatique visuelle, notamment le composant Visual Intelligence, intégré à Apple Intelligence, l'introduction d'un MacBook tactile semble logique. Cette fonctionnalité sera particulièrement utile aux créateurs de contenu, designers et développeurs qui privilégient l'interaction directe avec l'écran sans perdre la puissance et la flexibilité de macOS. Il est possible que le nouveau MacBook Pro tactile marque une étape vers l'unification progressive d'iPadOS et de macOS. Avec la sortie d'iPadOS 26, l'entreprise a considérablement réduit les différences entre l'iPad et le Mac, en ajoutant un système de fenêtres, une barre de menus complète et un nouveau curseur pour des actions plus précises. Tout cela ne fait que renforcer l'hypothèse selon laquelle iPadOS 26 est essentiellement un signe avant-coureur des écrans tactiles sur les ordinateurs portables Apple. (Lire la suite)

Les mises à niveau de Siri ne se déroulent pas comme prévu par Apple.

La compétitivité d'Apple sur le marché des technologies grand public dépend aujourd'hui largement de sa capacité à doter son assistant vocal emblématique, Siri, de fonctionnalités modernes basées sur l'IA. Cependant, selon des rapports récents, le processus de mise à jour de Siri se heurte à d'importantes difficultés et ne répond pas aux attentes internes de l'entreprise. Selon le journaliste de Bloomberg, Mark Gurman, certains ingénieurs Apple expriment des inquiétudes quant aux performances actuelles de la nouvelle version de Siri, dont la sortie est prévue avec la mise à jour iOS 26.4 au printemps 2026. Bien que Gurman ne précise pas les problèmes techniques spécifiques, un rapport de Bloomberg d'août indique que les développeurs Apple rencontrent des difficultés pour garantir le fonctionnement stable de Siri dans diverses applications, notamment dans des situations critiques comme les opérations bancaires. Des informations récentes mettent également en lumière le départ soudain de Ke Yang, qui a pris il y a quelques semaines la tête de l'équipe « Réponses, Connaissances et Informations » chargée de développer les fonctionnalités intelligentes de Siri. La rumeur court qu'elle quitterait l'entreprise pour un poste mieux rémunéré. L'équipe AKI était chargée d'intégrer la capacité de Siri à récupérer directement des informations sur Internet, à l'instar des modèles de langage actuels d'OpenAI. Cependant, la modernisation interne de Siri semble progresser plus lentement que prévu. (Lire la suite)

Microsoft pourrait développer une émulation Xbox pour les appareils Xbox Ally et Windows

Microsoft pourrait bientôt introduire un nouveau système d'émulation. Celui-ci devrait permettre aux jeux Xbox de fonctionner directement sur les appareils Windows. Selon Jez Corden, Microsoft travaille sur une solution adaptée, compatible avec la ROG Xbox Ally. Cela permettrait de connecter plus étroitement l'appareil à l'écosystème Xbox. Corden en a parlé lors du podcast Xbox Two et sur Discord ; il a indiqué que la technologie devrait être disponible fin 2025 ou début 2026. Il a comparé ce projet à l'ancienne rétrocompatibilité de la Xbox 360. À l'époque, les anciens jeux pouvaient fonctionner sur les consoles plus récentes. Selon Corden, Microsoft devait toutefois conclure des accords de licence au préalable, raison pour laquelle seuls certains titres seront initialement pris en charge. La ROG Xbox Ally nécessite actuellement des paramètres manuels pour lancer les jeux de manière optimale. Cependant, Microsoft prévoit de nouvelles fonctionnalités qui devraient rendre l'expérience de jeu plus proche de celle d'une console. Corden a également expliqué qu'il s'agissait bien d'une émulation, ce qui signifie que le projet ne faisait pas partie du programme « Play Anywhere ». Microsoft semble travailler sur une stratégie visant à intégrer plus étroitement les consoles et les systèmes PC. Il a également mentionné que plusieurs nouvelles consoles Xbox pourraient être commercialisées dans les années à venir : certains modèles seront davantage orientés PC, tandis que les générations futures seront équipées de puces AMD compatibles avec les jeux Xbox et Windows. bkjFZBjUhgA (Lire la suite)

Les chercheurs du MIT montrent que l’utilisation de ChatGPT diminue nos facultés cognitives

20 octobre 2025 à 15:25

L’une des dernières études du Media Lab du MIT jette une lumière préoccupante sur l’impact cognitif de l’usage intensif des assistants basés sur l’IA. Baptisé « Your Brain on ChatGPT » (Votre cerveau sur ChatGPT), ce travail de recherche a suivi 54 volontaires âgés de 18 à 39 …

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Le MacBook Pro 14 M4 se fait brader maintenant que le modèle avec la puce M5 est sorti

20 octobre 2025 à 16:33

Si Apple vient de dévoiler son MacBook Pro avec la puce M5, celui de 2024, avec la puce M4 reste une valeur sûre. D'ailleurs, cette machine devient plus intéressante en passant de 1 899 euros à 1 659 euros.
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