MacBook Air M3 13" minuit et MacBook Air M3 15" lumière stellaire. Image MacGeneration
Le 15" apporte un surcroit de confort par son écran, mais il est identique au 13" en termes d'autonomie et de puissance (lire aussi Test des MacBook Air M3 : encore meilleurs). Cette génération n'avait pas encore été concernée par les promotions et elle n'est pas entrée non plus dans l'offre du refurb d'Apple.
Mise à jour : ajout de la configuration en 16/512 Go et des offres Fnac.
L'iPhone 15 Pro a passé une bonne tête en dessous de la barre des 1000 € chez Amazon Italie, qui le propose à ce qui est peut-être son meilleur prix.
À l'exception du coloris titane blanc l'iPhone 15 Pro de 128 Go est vendu 938,45 € au lieu de 1 229 € sur l'Apple Store et 1 102 € sur Amazon France (le mieux que ce dernier a fait était 1 037 € il y a quelque temps). Cette promotion rend ces 15 Pro moins chers que le 15.
Le prix indiqué sur la page — 949 € — est ajusté à la baisse une fois arrivé sur la page du panier. La livraison est annoncée pour ce 13 ou 14 mai.
Un dernier clou pour le cercueil de la publicité Crush! d'Apple pour les iPad Pro M4 ? LG avait eu exactement la même idée pour promouvoir son smartphone KC910 Renoir, comme s'en est souvenu cet utilisateur sur Threads.
Dans ce clip de 2008, des synthé, violoncelle, batterie, des appareils photo, des bombes de peinture et des enceintes sont rassemblés dans une presse en étau qui va les détruire lentement mais sûrement. Seul rescapé, le Renoir qui rassemble toutes les capacités de ces outils et instruments.
C'était il y a 16 ans, une éternité. La page YouTube de LG UK, qui héberge toujours ce clip a retrouvé soudainement une nouvelle activité dans ses commentaires…
Cela fait des années que Microsoft trépigne d’impatience à l’idée de lancer un Xbox Store dédié sur iOS et Android. Les plans se précisent et la sortie approche : la présidente de Xbox Sarah Bond a annoncé à Bloomberg que la sortie était prévue pour le mois de juillet.
Sarah Bond, @Microsoft’s Xbox president, announced at #BloombergTech that the company will launch its own mobile game store in July, creating an alternative to Apple and Google’s app stores pic.twitter.com/hj6eLtsGfl
Si les détails ne sont pas encore connus, Microsoft veut dans un premier temps lancer sa boutique via le web pour une « expérience accessible sur tous les appareils, dans tous les pays, quoi qu'il arrive et indépendamment des politiques des magasins à écosystème fermé ». La directrice évoque la présence de gros titres, comme Candy Crush ou encore Minecraft. L’année dernière, Microsoft avait conclu l’acquisition d’Activision-Blizzard, qui possède quelques mastodontes sur smartphone tel Call of Duty Mobile.
Sarah Bond précise que la boutique sera ouverte à « des partenaires » par la suite. L’échoppe ne devrait pas se limiter aux jeux et également permettre d’importer son profil, ses succès et ses différentes bibliothèques de contenu.
Reste maintenant à voir comment tout cela prendra forme. Une boutique uniquement sur le web sera difficile à apporter aux utilisateurs les moins technophiles, tandis que l’on imagine mal Microsoft retirer son Candy Crush de l’App Store. L’entreprise envisage « d’étendre » sa boutique au-delà du web par la suite, ce qui semble annoncer une véritable alternative aux magasins d’Apple et de Google.
Avis aux utilisateurs de Windows qui ont déjà passé commande pour un nouvel iPad : il va falloir mettre iTunes à jour. L’utilitaire est passé en version 12.13.2 sur le système de Microsoft, une révision qui n’apporte pas grand-chose côté fonctionnalités à part la prise en charge des derniers iPad Air et iPad Pro. Elle corrige aussi une faille de sécurité.
iTunes pour Windows.
Si iTunes a disparu depuis quelques années sur macOS, le logiciel est toujours vivant sur Windows. L’app a récemment eu droit à pas mal de changements étant donné qu’Apple a commencé a la détricoter et l’a scindée en plusieurs apps, permettant par exemple d’uniquement accéder à Apple Music ou Apple TV. L’application « Appareils Apple » a fait ses débuts pour gérer toute la partie synchronisation et sauvegardes.
En théorie, iTunes sur Windows ne sert plus qu’à gérer les podcasts et livres audios chez les gens ayant installé les nouvelles apps. Le logiciel ne reçoit plus que des mises à jour très sporadiques, la dernière vraiment intéressante datant d’octobre 2023. L’installation passe par le Microsoft Store.
Le lancement par Sonos de sa nouvelle app à l'interface et à l'ergonomie complètement remises à plat a rempli les forums de critiques d'utilisateurs. Le fabricant a promis de remédier aux problèmes soulevés, mais il faudra être patient.
Le 7 mai, pendant qu'Apple faisait fonctionner sa presse hydraulique pour écraser l'actualité tech avec ses nouveaux iPad, Sonos lançait une refonte complète de son app du même nom. Celle avec laquelle on contrôle la lecture de contenus vers ses enceintes (on peut aussi le faire directement depuis les apps des services de streaming).
Une nouvelle app présentée comme plus simple d'emploi avec des commandes et contenus plus immédiatement accessibles. Premier signe que cette app — qui remplace la précédente sur l'App Store — était peut-être sortie précipitamment, deux mises à jour ont été publiées coup sur coup dans la même journée.
Puis les utilisateurs ont commencé à la prendre en main et ils se sont aperçus que des fonctions présentes dans l'ancienne version manquent à l'appel. Deux en particulier reviennent dans les commentaires. D'abord la disparition des fonctions alarme et minuteur de mise en veille dont pas mal de gens dépendent apparemment. Ensuite des fonctions pour gérer ses playlists (édition de leur contenu, modification de la liste d'attente).
On pourrait citer aussi des bugs d'affichage à quelques endroits, une certaine lenteur parfois et des choix qui peuvent se discuter : a-t-on besoin d'avoir toujours le moteur de recherche affiché au vu de la place qu'il occupe dans la vue principale ? Autre type de problème rencontré depuis ce lancement : l'ajout d'une enceinte à un système peut échouer lors de l'étape finale de sa connexion au compte de l'utilisateur. Dans ce cas, se déconnecter puis se reconnecter dans l'app peut suffire à finaliser son installation.
Enfin, un autre pan de cette app a essuyé de vives critiques, celui de son accessibilité pour les malvoyants et les non-voyants. Un billet décrit de sérieuses difficultés pour naviguer dans la nouvelle interface, des étapes trop nombreuses, de multiples éléments à toucher devenus invisibles pour VoiceOver, comme si l'écran était vide. Aux États-Unis, la Fédération nationale des aveugles s'en est émue dans un communiqué, fustigeant ces manquements pour des produits payants.
Maxime Bouvat-Merlin, le chef produit logiciel et matériel chez Sonos a déclaré à The Verge que la société avait bien pris la mesure des critiques faites à son application. Elle va récupérer des fonctions manquantes et en apporter d'autres, au fil des « prochains mois ». Un échange public en ligne avec les personnes chargées de son développement est programmé pour le 14 mai. Bouvat-Merlin laisse également entendre que cette app est nécessaire pour de futurs usages avec les produits Sonos.
Ce qui peut être une explication à sa sortie en dépit de ses lacunes et de ses bugs : elle devait être lancée avant que n'arrivent de tout nouveaux produits, à commencer probablement par le casque accidentellement dévoilé.
Google continue de faire évoluer son moteur de recherche. Après avoir troqué les pages de résultats contre un défilement infini, Google cache maintenant le nombre de résultats de recherche. Ce nombre apparaissait jusqu’à présent tout en haut des résultats, juste en dessous des filtres (par exemple : « 50 000 résultats en 0,70 seconde »).
Si cette information vous manque, pas de panique : on peut retrouver la donnée en cliquant sur le bouton « Outils » à droite des filtres. Le nombre apparaît alors en dessous du tiroir « SafeSearch ». Si cette précision était sans doute anecdotique pour un grand nombre d’utilisateurs, elle pouvait avoir son utilité, par exemple pour savoir si une requête était beaucoup utilisée. L'indication était également présente depuis les débuts de Google, ce qui rend cette petite disparition assez symbolique.
Récemment, Google a dû légèrement changer son design à cause du DMA. La petite carte interactive Google Maps a disparu par défaut, tandis que l’entreprise a caché son module Google Flight. Le service est régulièrement attaqué ces derniers temps sur la qualité de ses résultats, que beaucoup estiment de moins en moins bons au fil du temps.
Grosse boulette pour le constructeur d'équipement médical américain Tandem Diabetes. Celui-ci commercialise des pompes à insuline reliées à une application, déclenchant régulièrement des injections dans le sang des personnes diabétiques. Or, une récente mise à jour de l’app t:connect pour iOS a fait bugger le logiciel… et mis en danger plus de 200 personnes utilisant le modèle t:slim X2. Le régulateur américain a demandé en urgence le rappel de l’application, le bug pouvant se montrer extrêmement dangereux.
La mise à jour a pour effet de faire planter l’app, ce qui créait pour l’occasion une nouvelle connexion Bluetooth vidant la batterie de la pompe plus rapidement que prévu. Une batterie HS peut mener à « une hyperglycémie, voire une acidocétose diabétique, qui peut être mortelle en raison d'une glycémie élevée et d'un manque d'insuline », a déclaré la FDA dans son rapport.
En date du 15 avril, un total de 224 personnes auraient été affectées. La mise à jour est restée en ligne du 12 février au 13 mars, et la FDA indique avoir rappelé plus de 80 000 produits. Les clients concernés ont reçu un courrier leur incitant à urgemment mettre à jour leur app. Il y est conseillé de bien surveiller d’éventuelles notifications liées à la charge, mais aussi de toujours recharger le produit avant la nuit.
Une des grosses fonctions d’Android mise en avant par Google ces derniers temps est « Encercler pour chercher », qui permet de mettre en valeur un contenu à l’écran pour chercher plus d’infos à son sujet. Si la nouveauté n’est disponible que sur les Pixel 6 ou plus, un ingénieur de Google a partagé un raccourci offrant un équivalent sur iOS. Il est possible de l’attribuer au bouton d’Action des iPhone 15 Pro, ou encore en tapotant à l’arrière de l’iPhone.
Le Raccourcis en action.
En pratique, ce raccourci va prendre une capture d’écran avant de l’envoyer dans l’app Google, qui embarque la Google Lens. L’image est alors scannée pour mettre en valeur des informations. Elle permet autant de traduire du texte à la volée que d’analyser une image pour en trouver la source.
Cette alternative n’est pas aussi pointilleuse que sur les smartphones Android, où l’on peut entourer une forme en détail. Cela reste une bonne alternative, car l’option a l’avantage d’être assez rapide. Notons que les captures d’écrans ne sont pas enregistrées dans la pellicule. La première activation du Raccourci peut être un peu lente, mais les choses s’améliorent par la suite.
Le raccourci a été partagé par le manager du design de Google Lens Minsang Choi et peut être téléchargé à ce lien. Il est évidemment nécessaire d’avoir l’app Google sur son téléphone. Vous pouvez attribuer le raccourci au bouton Action si vous en avez un, ou en tapotant le dos plusieurs fois. Tout cela peut se faire en passant une tête dans les Réglages, rubrique Accessibilité > Toucher > Toucher le dos de l’appareil. Ne reste plus qu’à faire défiler la page pour trouver le raccourci correspondant.
Carbon Copy Cloner 7 s'adjoint les services d'une app mobile pour des sauvegardes depuis son iPhone ou iPad. C'est l'une des nombreuses nouveautés pratiques de cette version.
La septième version de Carbon Copy Cloner (CCC), un utilitaire de sauvegarde bien installé dans le paysage du Mac, aligne plusieurs avancées fonctionnelles. Certaines simplifieront des tâches existantes, d'autres renforcent les possibilités du logiciel.
La première des tâches avant de préparer son programme de sauvegarde est le formatage du volume de destination. Il n'y a pas 36 choses à faire, mais il faut prendre quelques décisions sur le type de système de fichier, le chiffrage du contenu… Un assistant va s'occuper de guider l'utilisateur en explicitant les options disponibles au vu de sa stratégie.
Lors des sauvegardes, CCC créé plusieurs instantanés du contenu du volume source. Il est désormais possible de désigner celles qui ne doivent pas être automatiquement purgées au bout d'un laps de temps. Par exemple, un instantané créé juste avant le téléchargement d'une mise à jour de macOS. Les réglages autorisent en outre la définition d'une durée maximale de conservation de ces instantanés et d'un volume d'occupation sur le disque de destination.
Toujours à propos de ces instantanés, une fonction de recherche permet de lancer des requêtes basées sur le nom d'un fichier et de le comparer avec ses cousins.
Des règles de sauvegarde peuvent être définies pour que l'opération n'essaie pas de se lancer lorsqu'on est en déplacement sans son volume de destination joignable ou si l'on veut que le transfert se fasse uniquement selon certaines conditions. Par exemple lorsque le Mac est relié au réseau local Ethernet ou si l'on se trouve dans un lieu particulier.
Une app pour iOS et iPadOS 17 est de la partie cette fois. CCC Mobile Backup s'occupe de dialoguer avec CCC sur le Mac pour sauvegarder les fichiers et photo de l'appareil mobile vers le volume branché à l'ordinateur. Cela marche aussi vers un NAS ou sur un volume directement branché à l'iPhone/iPad. L'app est utilisable gratuitement pour 100 transferts, ensuite un In-App de 2,99 € sera demandé pour chaque volume de destination prévu.
Enfin, on peut citer une fonction de carnet de notes pour associer des informations à une tâche de sauvegarde (lorsqu'on en gère de nombreuses) ; une option pour créer des sauvegardes en local lorsqu'on est loin de son volume de destination, mais que l'on préfère jouer la sécurité ; un réglage rapide pour chiffrer après coup avec FileVault un volume de destination ou encore le fait que CCC ne va plus resauvegarder de zéro un dossier dont on aura simplement modifié le nom sur le volume source, il appliquera la modification sur la destination.
CCC 7 est traduit en français et disponible en démo. Il a besoin de macOS 13 Ventura au minimum. Il est vendu 48,15 € HT et des tarifs de mise à niveau sont proposés. Un achat de CCC 6 effectué à partir du 1er janvier 2024 donne droit à un passage sur la version 7 sans frais.
Sur la même thématique, voyez notre ouvrage : Sauvegardez vos données
À peine un an après sa sortie, Asus commence à dévoiler le futur de la ROG Ally, sa console portable sous Windows jouant dans la même cour que le Steam Deck. La nouvelle entrée au catalogue ne sera pas une véritable deuxième génération, mais plutôt une version « + » avec une meilleure autonomie et quelques améliorations ici et là.
La console sera appelée ROG Ally X et embarquera la même configuration que le modèle actuel, à savoir une puce Z1 Extreme. L’écran ne bouge pas non plus, restant au format 7" avec une dalle LCD 120Hz. Le design va de son côté évoluer avec une nouvelle robe noire permettant de plus facilement la différencier. C’est sur la partie autonomie que les joueurs devraient voir le plus de changement, ce qui est une bonne nouvelle : il s’agissait du gros point faible de la première génération, qui pouvait se retrouver HS après à peine une heure et demie de jeu.
Asus a confirmé à The Verge vouloir embarquer une bien plus grosse batterie. « On ne vise pas une capacité 30 % à 40 % supérieure », a expliqué un représentant avant d’affirmer chercher à faire « beaucoup mieux que ça ». Aucun chiffre précis n’a été donné, mais un Vice-Président Senior d’Asus a sous-entendu que l’autonomie ne devrait jamais descendre sous les 3h. La carte mère devrait être revue, laissant à Asus la possibilité de positionner le lecteur de carte SD dans un endroit moins chaud.
On peut aussi s’attendre à quelques petites améliorations sous le capot, comme un espace plus grand pour le SSD afin d’en changer plus facilement. Les 16 Go de RAM pourraient être revus à la hausse, tandis que le design devrait permettre de plus aisément bidouiller (et réparer) sa console . Les touches et la prise en main devraient être améliorées.
Image : Asus / The Verge.
Asus annoncera le produit officiellement le 2 juin. Cette nouvelle entrée ne remplacera pas l’actuelle ROG Ally et devrait être facturée plus cher, ce qui laisse espérer des remises plus régulières pour le modèle de base. Comme chez Valve, on peut s’attendre à ce qu’une vraie deuxième génération arrive lorsque des puces plus puissantes seront disponibles. La ROG Ally est toujours vendue 699 € chez les revendeurs, soit 100 € de moins qu’à la sortie.
Avec le renouvellement des gammes d'iPad, Apple a revu dans le même temps les tarifs de couverture AppleCare et de réparation des tablettes.
Image : Apple.
Il y a d'un côté des augmentations, et de l'autre, des baisses. Dans le premier cas, le contrat AppleCare+ pour les nouveaux iPad Pro est plus cher. Cette couverture est facturée 20 € de plus lorsqu'on prend la formule sur deux ans (179 € pour l'iPad Pro 13" et 159 € pour le 11") ou 1 € de plus par mois pour l'abonnement annuel (8,99 € pour le 13" et 7,99 € pour le 11").
AppleCare+ pour iPad
Les tarifs n'ont pas changé pour les iPad mini et l'iPad Air 11". Il a simplement été ajouté une offre pour le nouvel Air 13" (5,49 € par mois ou 109 € pour deux ans).
Dans le second cas, Apple a procédé, semble-t-il, à des baisses de certains tarifs de réparation d'anciens modèles d'iPad. L'un de nos lecteurs a constaté que sur l'iPad Pro de 3e génération et l'actuel iPad mini, le remplacement de leur batterie coûtaient 159 € le mois dernier contre 135 € maintenant. Pour un écran abîmé ou un autre type de dommage, l'opération lui aurait été proposée pour 829 € précédemment alors qu'elle est maintenant de 729 €.
La fondation à l'origine des différentes cartes Raspberry Pi vient de présenter un nouvel outil qui semble très utile : Raspberry Pi Connect. Il permet de prendre le contrôle d'une carte à distance, à travers un simple navigateur. C'est un peu l'équivalent de la connexion à distance de macOS, mais à travers un navigateur et depuis n'importe où dans le monde1.
La prise en main (image Raspberry Pi).
L'installation est simple et ne nécessite que trois commandes, si vous avez une distribution à jour (Debian Bookworm) qui utilise Wayland pour l'affichage2. De plus, vous aurez aussi besoin d'une distribution 64 bits. Dans la pratique, ces différentes contraintes impliquent un Raspberry Pi 4, 400 ou 5 et excluent les cartes Raspberry Pi précédentes (2, 3, etc.) ou Zero.
Ensuite, une fois la carte redémarrée, il sera possible de lancer une session depuis l'interface graphique… si bien évidemment vous avez laissé cette dernière activée et que votre Raspberry Pi ne sert pas uniquement à lancer Home Assistant (par exemple).
La technologie derrière Raspberry Pi Connect est simple : le programme va créer un lien en employant la technologie WebRTC, bien prise en charge par les navigateurs modernes. La liaison est en théorie chiffrée de bout en bout sans passer par des serveurs mais si pour une raison ou une autre (par exemple un réseau d'entreprise un peu limité), la fondation a mis en place un serveur au Royaume-Uni qui peut servir de relais tout en chiffrant les données. Les créateurs expliquent qu'ils veulent garder le service gratuit, mais que ce point dépendra des usages.
Vous aurez besoin d'un ID (image Raspberry Pi).
Une page de documentation donne quelques détails sur le fonctionnement, mais la solution semble pensée pour être (très) simple d'utilisation pour ceux qui veulent prendre la main sur l'interface graphique d'une carte Raspberry Pi.
Terminons par deux choses : le service est pour le moment encore en bêta et il nécessite un Raspberry Pi ID, un compte lié aux différents services des cartes.
Ce que proposait Back To My Mac il y a quelques années. ↩︎
Si vous connaissez ces termes, vous saurez probablement comment gérer ça. SI vous ne les connaissez pas et que vous avez installé un Raspberry Pi récemment, ils sont a priori de la partie. ↩︎
Comme chaque année depuis une bonne décennie, le tournoi de Roland-Garros — qui se tient cette année du 20 mai au 9 juin — va être diffusé en Ultra HD (4K). Mais cette fois, cette diffusion ne se limitera pas à quelques expérimentations sur l'émetteur TNT de la tour Eiffel ou à du broadcast en 5G : France 2 UHD va diffuser une partie des matchs en 4K.
Nous parlons régulièrement de cette nouvelle chaîne, lancée en prévision des Jeux olympiques de Paris et qui devrait rester dans le paysage télévisuel français. Comme l'explique le site Ultra-K, elle est largement plus accessible que les essais des années précédentes.
Pour le moment, la chaîne est accessible en diffusion hertzienne (TNT) dans une partie de la France. Elle nécessite un téléviseur avec un tuner DVB-T2 et un décodeur vidéo HEVC, ce qui est la norme sur les téléviseurs Ultra HD depuis quelques années. Le signal est aussi disponible dans certaines régions sur le réseau câblé de SFR, issu de Numericable. Attention, comme il s'agit du service « antenne », les contraintes sont les mêmes que pour la diffusion hertzienne : SFR ne fait que rediffuser le signal sur son réseau, sans changer la modulation.
Ensuite, France 2 UHD est aussi disponible sur le satellite, pour les personnes qui reçoivent Fransat (via Eutelsat1). Si vous préférez la diffusion IP, il y a peu de solutions : seul Orange a annoncé récemment la diffusion de France 2 UHD sur son réseau. Le réseau local Orne THD devrait aussi proposer la chaîne d'ici quelques jours. Pour les autres opérateurs, rien n'est encore disponible mais nous pouvons supposer qu'ils devraient suivre rapidement.
Le tournoi va être diffusé en Ultra HD (3 840 x 2 160) à 50 images/s avec HDR10, avec de l'audio en Dolby Atmos si vous avez un récepteur compatible. Pour cette partie, il y a aura une double diffusion, avec de l'AC-4 pour les appareils compatibles et de l'eAC-3 pour les autres. Il s'agit du premier événement qui va être proposé en natif sur France 2 UHD, qui ne propose pour le moment que de la HD upscalée.
Reste la question des matchs. Ceux diffusés sur les courts Philippe-Chatrier, Suzanne-Lenglen, Simonne-Mathieu et le court 14 seront en Ultra HD. France 2 ne diffuse que des matchs en journée — c'est Amazon qui a les droits pour les matchs en soirée — et avec une bascule vers France 3 (en HD) à certains horaires.
Le calendrier des matchs (image Ultra-K)Le calendrier des matchs (image Ultra-K)
Intelsat pour la Guyane, la Guadeloupe et la Martinique. ↩︎
Microsoft veut visiblement que les utilisateurs chiffrent leurs SSD et autres disques durs : la prochaine version de Windows 11, la 24H2, va activer BitLocker — la technologie de chiffrement de Microsoft — sur une partie du parc, et ce n'est pas nécessairement une bonne nouvelle.
Premier point, le problème ne va pas toucher tous les utilisateurs. Selon les Allemands de Deskmodder, il y a deux points à prendre en compte. Premièrement, l'UEFI de l'ordinateur doit intégrer un flag qui indique que le chiffrement est possible. C'est généralement le cas sur les PC portables et les PC de bureau qui viennent de grands constructeurs, mais pas sur les cartes mères que vous pouvez acheter dans le commerce pour monter votre propre PC. Deuxièmement, le chiffrement ne s'activera automatiquement que lors d'une réinstallation de l'OS, et pas avec une simple mise à jour. Mais une fois l'option activée, une (ré)installation pour une raison quelconque1 va donc chiffrer le périphérique de stockage principal et tous les autres disques internes. Par ailleurs, et c'est une nouveauté, tant les versions professionnelles de Windows 11 que la version familiale (Home) sont touchées.
Les dangers de BitLocker
BitLocker a le défaut de ne pas être aussi bien intégré que le chiffrement d'Apple (FileVault). Comme Apple contrôle le logiciel et le matériel, le chiffrement s'effectue de manière fluide et l'impact sur les performances est faible ou inexistant, en fonction du type de Mac. Dans les modèles Apple Silicon ou ceux équipés d'une puce T2, les composants Apple prennent en charge le chiffrement et dans les Mac précédents, l'accélération fournie par le CPU (notamment avec les instructions AES-NI) permet de réduire les pertes de performances.
Oups.
Pour BitLocker, deux problèmes existent. Le premier est simple : un utilisateur lambda ne va pas nécessairement se rendre compte que ses données sont chiffrées et les risques de perdre des données en cas de soucis sont donc plus élevés. BitLocker dépend en partie de la puce TPM qui est normalement obligatoire avec Windows 11 et Microsoft propose un système de clés de récupération pour éviter les problèmes. Pour rappel, elles sont normalement disponibles sur le compte Microsoft (si vous en utilisez un) mais peuvent aussi être imprimées, sauvées sur une clé USB, etc. Mais si vous n'avez pas la clé pour une raison quelconque, les données seront perdues, même sur des disques secondaires.
Deuxièmement, et contrairement à macOS, BitLocker a un impact parfois très visible sur les performances. Windows 11 active en effet par défaut un chiffrement logiciel, comme le montre cet article de Tom's Hardware, même si le SSD dispose des fonctions nécessaires pour un chiffrement matériel (OPAL). Et avec le chiffrement logiciel, les performances du SSD sont très affectées.
L'impact peut être élevé (image Tom's Hardware).
Enfin, il faut aussi le souligner, le chiffrement de Microsoft n'est pas sans faille. Si la solution est globalement résistante aux attaques, il existe quelques cas où un simple Raspberry Pi Pico permet le déchiffrement d'un SSD chiffré en quelques secondes.
Notons qu'il est possible de désactiver le chiffrement lors d'une réinstallation de Windows 11, par exemple en créant un média d'installation avec Rufus. Le programme dispose de quelques options pour passer outre les contraintes imposées par Microsoft.
Pour terminer, entendons-nous bien : chiffrer le stockage d'un ordinateur est généralement une bonne idée si vous stockez des données importantes et peut permettre de mieux protéger vos informations en cas de vol ou de perte, mais il faut bien prendre en compte les défauts et les contraintes, ce qui n'est pas nécessairement le cas si le système d'exploitation active le chiffrement sans prévenir.
« Dans le doute, reboot, si ça rate, formate ». ↩︎
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Ça y est, Apple a fait mieux que l’iPod nano ! Le nouvel iPad Pro de 13" bat un record de finesse avec seulement 5,1 mm d’épaisseur. Mais ce n’est pas le seul atout de cette tablette ni la seule annonce marquante du dernier keynote d’Apple. On débriefe avec Christophe cette conférence dédiée à l’iPad et on se demande si elle est vraiment historique, comme le proclame Tim Cook.
Dans le reste de l’actu, Apple a présenté de rares excuses pour une publicité qui fait polémique et le successeur de Tim Cook semble se dessiner.
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Avouez qu’il est déplaisant de tomber sur une somme d’informations lorsque l’on cherche son nom sur Google, ou sur un moteur de recherche d’un réseau social. La promesse d’Internet initialement, c’était de pouvoir surfer anonymement et en toute sécurité. Mais ce sentiment a vite disparu à force de s’inscrire sur des sites ou de remplir des formulaires pour obtenir des informations. Ne soyez pas défaitiste toutefois, des solutions existent pour retourner dans l’anonymat.
« Si c’est gratuit, c’est toi le produit ». On connait tous ce célèbre adage qui ne fait confirmer qu’une réalité. Nos données sont collectées, archivées et vendues par des brokers de données qui les exploitent pour des objectifs commerciaux, marketing ou même frauduleux.
Et les conséquences ne se font généralement pas attendre, elles sont nombreuses et déplaisantes : appels automatisés, SMS non sollicités, courriers marketing, tentative d’arnaques, vols d’informations bancaires ou encore fraudes d’identité. Ces phénomènes ont pris une telle ampleur qu’il n’est plus étonnant de voir cette thématique aborder au journal de 20 heures.
Voici la marche à suivre pour reprendre le contrôle de ses données privées
Alors, comment faire face à ce fléau ? Tout d’abord, pensez à laisser le moins de traces possible en utilisant des emails jetables, en recourant à un VPN et en utilisant un navigateur web respectueux de la vie privée. Mais comment faire pour faire disparaitre les informations déjà stockées dans les bases de données des brokers ?
C’est un travail titanesque. Il convient de contacter chaque broker individuellement, de demander la suppression de ses données, de s’assurer que cela a bien été fait, de relancer la même procédure trois mois plus tard… C’est long et fastidieux. Quelque part, c’est un combat perdu d’avance. Heureusement, une solution existe. Elle s’appelle Incogni. Cette plate-forme en ligne va faire « le sale travail » pour vous. Pour vous, elle s’occupera d’effacer vos données personnelles des bases de données des différents courtiers de données.
Le processus est simple : il suffit de s’inscrire et de donner quelques détails pour qu’Incogni puisse agir et envoyer des demandes de suppression à des centaines et des centaines de brokers en données. Vous êtes tenu informé de chaque étape du processus. Vous pouvez ainsi reprendre le contrôle de vos informations personnelles et protéger votre vie privée.
Incogni fonctionne sur abonnement, mais c’est bien normal, car il s’agit d’un combat perpétuel contre les courtiers de données. Cela vous garantit un nettoyage régulier de vos données en ligne. Vous pouvez choisir une formule au mois ou à l’année. Cette dernière est beaucoup plus avantageuse financièrement et vous assure un meilleur suivi.
Lorsque vous êtes inscrit, vous avez à votre disposition un tableau de bord qui vous permet de suivre l'avancement des démarches faites pour vous en temps réel.
Incogni garantit un service conforme au RGPD, respectant rigoureusement vos droits et vous permettant de naviguer en toute tranquillité sur Internet, à l’abri des spams et des risques de cyberattaques.
Pour revenir dans la course à l’intelligence artificielle, Apple fait feu de tout bois. Depuis des mois, elle discute avec les principaux acteurs du marché à commencer par Google et OpenAI. D’après Bloomberg, ces discussions seraient sur le point d’aboutir avec la firme dirigée par Sam Altman. Notre confrère évoque un accord entre les deux sociétés afin qu’iOS 18 puisse bénéficier de certaines fonctionnalités de ChatGPT.
Comme souvent dans ce genre de cas, Apple et OpenAI se sont refusés à tout commentaire. Est-ce que cela signifie pour autant qu’Alphabet avec Gemini est hors course ? A priori non si l’on en croit les dernières indiscrétions de Mark Gurman et Julia Love. Les deux entreprises n’ont pas trouvé d’accord pour le moment, mais continuent de discuter.
Il ne se passe pas un jour ou presque sans que l’on apprenne de nouvelles choses sur les projets d’Apple en matière d’intelligence artificielle. Apple a présenté ces dernières semaines plusieurs modèles, qui ont pour avantage d’être relativement légers et qui auraient pour avantage de pouvoir fonctionner localement.
Mais manifestement pour certaines tâches, les terminaux d’Apple auront besoin de s’appuyer sur des serveurs distants. Il semblerait que dans cette optique, Apple travaille sur une puce M2 Ultra, particulièrement douée pour l’intelligence artificielle. Ce système sur puce pourrait à court ou moyen terme être exploité dans les data centers d’Apple. Même si elle recourt à des alliances, il semble qu’Apple souhaite contrôler le plus possible cette technologie.
Quoiqu’il en soit, à ce stade, le puzzle demeure assez flou. En toute logique, on devrait y voir plus clair à l’occasion de la WWDC qui aura lieu le mois prochain.
À force de promotion, l’iPhone est presque en train de devenir abordable. Il faut dire qu’Apple et ses partenaires ne font pas les choses à moitié. On trouve de nombreuses références avec des réductions avoisinant les 20 %.
C’est le cas de l’iPhone 13 vert 128 Go qui est à nouveau disponible au prix de 579 €, soit une réduction de 170 € sur son prix normal. Les autres couleurs sont proposées à un peu moins de 640 €. Rappelons, à titre de comparaison, que l’iPhone SE est vendu 529 € en 64 Go et 599 € en 128 Go. Le choix est vite fait.
La génération suivante, à savoir l’iPhone 14, fait également l’objet de plusieurs promotions. Le modèle standard en 128 Go est proposé au prix de 706 €. Là encore, c’est quasiment une réduction de 20 % sur son prix public. Précisons qu’à ce prix, il est disponible uniquement en mauve.
L’iPhone 14 Plus 128 Go peut s’acheter 200 € moins cher que son tarif habituel. Que ce soit à la Fnac ou chez Amazon, vous pouvez acquérir ce modèle pour 769 €. Rappelons qu’au début de son cycle de commercialisation, ce modèle était vendu 1169 € !
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