En août, les Apple Watch vendues aux États-Unis d’Amérique avaient vu le retour de la fonction de mesure du taux d’oxygène sanguin (SpO2), au nez et à la barbe de Masimo. En effet, Apple a contourné les brevets de ce dernier en n’affichant plus les résultats sur la montre, mais sur l’iPhone. Mais l’International Trade Commission (ITC) a décidé de rouvrir le dossier à la demande de Masimo, comme le rapporte 9to5Mac.
À peine Apple avait annoncé le retour de cette fonction que bien entendu Masimo est monté au créneau, déposant une plainte devant l’ITC afin de faire une fois de plus bloquer la fonction. Jusqu’à présent, la commission chargée de l’affaire n’avait pas donné de réponse à cette nouvelle missive, mais c’est désormais chose faite : le cas de la nouvelle fonction va être étudié, et le cas échéant des sanctions seront prises.
Cette fois, l’ITC a décidé de vérifier la conformité de l’ensemble des appareils, l’iPhone étant désormais lié à l’Apple Watch pour le calcul de SpO2. Si celle-ci décidait qu’Apple a de nouveau enfreint les brevets de Masimo, il y a fort à parier que la fonction SpO2 disparaîtra de nouveau des Apple Watch, Cupertino ne souhaitant ni retirer de la vente ses montres connectées, ni payer une dîme sur chaque appareil vendu à Masimo.
Alors que la polémique concernant Shein et ses produits disons... totalement hors des clous pour certains, Le Monde rapporte que l’Union européenne a décidé d’avancer son calendrier concernant la taxation des petits colis entrant dans l’Union, à la demande de la France.
Dans le viseur, les petits colis amènent très souvent des objets électroniques ne respectant pas les normes de sécurité. Image UFC-Que choisir.
Dans un premier temps, en novembre 2026, chaque colis de moins de 150 € entrant dans l’Union européenne devrait se voir greffer des frais de gestion de 2 €. Mais ce n’est pas le seul ajout : 2028 aurait dû voir apparaître une taxe supplémentaire sur ces petits envois, jusqu’ici exonérés de droits de douane. Paris ayant fait valoir l’urgence de la situation au vu de la montée des sites chinois tels Shein, Aliexpress ou encore Temu, les ministres des finances des 27 ont décidé d’avancer ces nouveaux frais de douane au premier trimestre 2026, soit dans une paire de mois maintenant.
La forme que prendront ces droits de douane sur les petits colis sera décidée le 12 décembre, lors de la prochaine réunion des ministres des finances de l’Union européenne. La Commission européenne souhaiterait un taux forfaitaire, variable selon la valeur du colis, quand la France milite pour un prélèvement fixe d’environ 5 € par paquet, faisant valoir que les sites chinois savent très bien diminuer la valeur indiquée de leurs produits pour faire baisser les taxes.
Si nombre d’utilisateurs de ces sites s’agaceront d’une taxe supplémentaire, le camp des régulateurs ne manque pas d’arguments non plus : ces colis de moins de 150 € arrivaient en moyenne à raison de 12 millions par jour dans l’UE en 2024, soit deux fois plus qu’en 2023 et trois fois plus qu’en 2022, et plus de 90 % viennent de Chine. Si la provenance majoritaire de l’Empire du milieu ne fait de mal qu’à la balance commerciale de l’UE à première vue, un autre chiffre inquiète, donné par Michael McGrath, commissaire à la justice : « jusqu’à 96 % des produits vendus sur ces plateformes ne respectent pas totalement nos règles et nos normes de sécurité ».
Depuis iOS 26, CarPlay dispose d’un nouvelle vue dédiée aux widgets. Selon la taille de l’écran de sa voiture, on peut avoir un, deux ou trois widgets affichés simultanément. iOS 26.2, actuellement en bêta, peut faire bouger les choses.
Alors qu’il n’avait droit qu’à deux widgets jusque-là, le journaliste Tom Warren en a vu apparaitre un troisième après avoir installé la mise à jour. C’est un changement qui va dans le bon sens, puisque cela permet d’avoir davantage d’infos en un coup d’œil.
a pleasant little surprise in iOS 26.2 beta is triple widgets in CarPlay. My car only supported two widgets side-by-side in iOS 26 and iOS 26.1 pic.twitter.com/nkIt0YzDWB
Toutefois, toutes les voitures ne vont pas forcément gagner un widget supplémentaire et il reste impossible de choisir leur taille pour en mettre plus ou moins selon ses préférences. C’était déjà un point que nous regrettions lors de notre essai de « CarPlay 26 » sur un écran relativement petit d’Opel Crossland X, où un seul widget apparaissait — nous n’avons pas encore vérifié si iOS 26.2 change la donne pour ce modèle.
Les widgets disponibles sur CarPlay sont ceux conçus à l’origine pour le mode En veille de l’iPhone. Leur sélection s’effectue sur l’iPhone (Réglages > Général > CarPlay > [voiture] > Personnaliser Widgets). Comme avec le mode En veille, on peut constituer une pile de widgets (cinq dans la pile au maximum). Ceux-ci peuvent se relayer automatiquement ou non et on peut activer des suggestions de widgets pertinents.
Le widget de notre app iGeneration sur CarPlay. Image iGeneration.
Certains widgets sont interactifs : celui de Rappels permet de cocher directement les tâches réalisées. Mais tous ne se prêtent à CarPlay. C’est la raison pour laquelle Apple marque une partie des siens comme « non optimisés pour CarPlay » et qu’elle incite les développeurs à faire de même le cas échéant.
Vous trouverez tous les détails dans notre prise en main de CarPlay sur iOS 26 :
Le Black Friday a commencé en avance sur Amazon et il est déjà possible de faire des bonnes affaires. Ainsi, si vous cherchez une caméra de sécurité entièrement sans fil et compatible avec la vidéo sécurisée HomeKit, les eufyCam 2C sont de nouveau en promotion à 100 € au lieu de 130 pour le pack de deux associées à la station de base, obligatoire sur ces produits. Vous avez besoin de plus de caméras pour couvrir un grand jardin ? Le pack de trois caméras de la même gamme est lui aussi en promotion, cette fois à 130 € au lieu de 160.
Image iGeneration/Eufy.
Pour ce prix-là, vous aurez des caméras qui ne sont plus de toute jeunesse, mais qui sont bien dotées pour l’app Maison d’Apple. Outre leur fonctionnement sans fil qui simplifie leur installation, c’est certainement leur plus gros avantage. Pour rappel, la vidéo sécurisée HomeKit repose en partie sur un concentrateur HomeKit (Apple TV ou HomePod) qui va se charger d’analyser les images en local pour distinguer les humains, animaux et véhicules sur les flux et en partie sur les serveurs d’Apple pour stocker les fichiers.
Un abonnement iCloud+ est nécessaire, mais si vous payez déjà un abonnement pour stocker vos fichiers avec iCloud Drive, sauvegarder vos appareils iOS ou encore synchroniser vos photos, alors vous bénéficierez de cette fonctionnalité supplémentaire sans payer plus. Autre gros avantage de la solution d’Apple, les images sont chiffrées de bout en bout, ce qui est rarement le cas des offres « cloud » fournies par les fabricants de caméras. En contrepartie, Apple ne travaille qu’avec des vidéos en 1080p, ce qui n’est pas un problème pour l’eufyCam 2C, puisque son capteur ne sait pas faire mieux.
La base fournie génère son propre réseau Wi-Fi qui servira exclusivement aux caméras. Elle intègre aussi 16 Go de stockage pour gérer les images dans l’environnement d’Eufy et en utilisant l’app du fabricant, qui nécessite un accès à internet même si on stocke les vidéos en local. Une même base peut gérer jusqu’à 16 caméras et vous pouvez acheter des eufyCam 2C à 50 € au lieu de 80, sachant qu’elles ne fonctionneront pas sans base.
Si la vidéo sécurisée HomeKit n’est pas importante pour vous, la filiale d’Anker a de nombreux produits à proposer et ils sont souvent en promotion en ce moment sur Amazon. Par exemple, le kit de deux caméras eufyCam S330 avec la base associée est à 279 € au lieu de 479, le tarif recommandé par le constructeur. Par rapport aux 2C, on perd la compatibilité Apple, au profit d’un capteur 4K et d’un petit panneau solaire installé sur chaque caméra pour recharger la batterie intégrée. En revanche, il faut faire confiance à Eufy pour stocker et analyser les images.
Image Eufy.
Caméras Reolink en promotion
On ne manque pas de caméras qui peuvent fonctionner en local et d’autres marques gagneraient à être plus connues dans le domaine. J’aime particulièrement Reolink, qui propose une large gamme de caméras, certaines reliées et alimentées en Ethernet pour les utilisateurs plus avancés, d’autres qui fonctionnent directement avec votre réseau Wi-Fi. Parmi les promotions du moment, ce modèle intègre un capteur 4K et un projecteur et il est associé à un panneau solaire qui chargera la batterie interne, le tout à 84 € au lieu de 120 en cochant la case sur la fiche produit pour activer le coupon supplémentaire.
Dans un tout autre genre, la Duo 3 PoE est en promotion à 140 € au lieu de 200 et c’est un modèle que je connais bien, puisqu’il est sur la façade de ma maison depuis un an et demi. Cette caméra nécessite un câble Ethernet en extérieur, relié à un switch PoE capable de l’alimenter. Elle intègre deux caméras 4K qui forment ensemble une image extra-large sur 180°, ce qui est parfait pour couvrir tout le jardin devant ma maison. On peut l’associer à un enregistreur réseau ou bien insérer une carte microSD pour du stockage en local et elle intègre même tout ce qu’il faut pour distinguer les mouvements, également sans faire appel à des serveurs. Enfin, elle est prise en charge nativement par Home Assistant, c’est très pratique si vous utilisez la domotique open-source.
Ce genre de modèle existe aussi en version Wi-Fi, ce qui est plus simple à gérer sans doute pour la majorité des utilisateurs. Comptez 112 € au lieu de 160 pour un produit proche, qu’il faudra alimenter avec le câble de 4 mètres fourni. Si vous avez besoin de beaucoup de lumière, l’Elite Floodlight reprend la même base en ajoutant deux gros projecteurs qui peuvent monter à 3 000 lumens. Il faudra cette fois prévoir 172,5 € au lieu de 230 et là encore, elle sera reliée au réseau en Wi-Fi et nécessitera une alimentation fournie.
Image Reolink.
Tous les produits Reolink peuvent être utilisés indépendamment grâce au stockage local, avec la possibilité de transférer les données sur support distant, comme un NAS, pour plus de sécurité. On peut aussi les associer aux enregistreurs réseau de la marque, comme le Security Hub qui est vendu 100 €. De mon côté, je les utilise avec Frigate, un enregistreur réseau open source installé sur un Mini PC dans mon garage. Dans cette configuration, on peut utiliser les caméras sans aucun lien à internet, c’est plutôt rassurant en termes de sécurité.
Apple ne le met pas encore en avant, mais la version 26.1 des différents systèmes d'exploitation a amené la prise en charge d'une manette Sony un peu particulière : la PlayStation Access. C'est la réponse de Sony à la manette Xbox Adaptive, et elle permet aux amateurs de PlayStation d'avoir une manette accessible et programmable.
La manette PlayStation Access. Image iGeneration.
Nous ne sommes pas ici pour un test, mais Sony n'est pas parti dans la même voie que Microsoft. Alors que la version Xbox n'a que quelques boutons en standard et se repose essentiellement sur les accessoires à relier via des prises jack, Sony a choisi d'intégrer un joystick classique et neuf boutons programmables, facilement accessibles. La manette dispose aussi de quatre prises jack, qui acceptent les accessoires pensés pour celles de Microsoft.
Les boutons sont amovibles et programmables. Image iGeneration.
Apple a ajouté la prise en charge avec 26.1
Techniquement, les fichiers nécessaires sont présents depuis la sortie de macOS Tahoe et autres iOS 26, mais ils ne fonctionnaient pas. Avec la version 26.1 des différents systèmes, la manette est bien reconnue. Vous pouvez soit la brancher en filaire (en USB-C) soit en Bluetooth. Pour l'appairer, il faut presser quelques secondes le bouton PlayStation (à côté du stick analogique) et le bouton Profile. Une LED bleue va clignoter et la manette devrait être détectable et utilisable.
Sur un iPhone.
Nous avons pu vérifier qu'elle était bien reconnue comme une manette classique. iOS ou macOS permettent de modifier le comportement de tous les boutons présents, comme sur une manette PlayStation classique… ou presque.
macOS (ou iOS) permet d'assigner chaque bouton à une fonction.
La PlayStation 5 presque obligatoire
Attention par un point : par défaut, lors de l'achat, la manette n'est pas configurée et est inutilisable. Vous aurez besoin d'une PlayStation 5 pour configurer les différents boutons et assigner une fonction à chacun d'eux. Une fois les commandes enregistrées dans la manette (via un profil), elle est utilisable sur d'autres systèmes.
Si vous n'avez pas de PlayStation 5 et que vous avez tout de même envie d'utiliser la manette, il existe une alternative : un site Internet développé par Jacek Fedoryński. Il nécessite un navigateur basé sur Chromium et un câble USB-C. Une fois sur le site, avec la manette branchée en USB-C, il faut cliquer sur Connect to controller pour accéder à la manette, puis Load from controller pour récupérer les profils enregistrés dans sa mémoire. Ensuite, vous pourrez assigner une fonction à chaque bouton, avant de cliquer sur Save to controller. Le site n'a pas toutes les options et ne permet pas de régler finement le stick analogique, mais c'est tout de même suffisant si vous n'avez pas de console.
Une site Internet permet de remplacer la PlayStation 5 pour les réglages.
Notons enfin un point pratique un peu particulier : la manette n'a pas tous les boutons d'une DualSense et se contente d'un seul stick analogique. Sur la console de Sony, il est possible de jumeler deux manettes PlayStatioon Access, et chez Apple il est possible de passer par la fonction Manette de partenaire, détaillée dans notre test de la manette Xbox Adaptive. Elle permet d'utiliser deux manettes en parallèle comme s'il s'agissait d'une seule manette. Vous pouvez soit lier deux manettes PlayStation Access configurées séparément, soit une manette PlayStation Access et une autre manette pour les boutons absents.
La manette peut être utilisée en parallèle d'une autre manette. Image iGeneration.
Dans tous les cas, c'est une bonne nouvelle pour les joueurs en situation de handicap, qui peuvent maintenant utiliser la manette de Sony avec un iPhone, un iPad ou un Mac, et les quelques petits défauts ne viennent pas d'Apple mais de Sony qui verrouille un peu trop sa manette.
Le fabricant parisien Striiiipes a récemment dévoilé un nouveau produit intéressant : un porte-cartes inspiré… de l’app Cartes ! Baptisé Wallet Wallet, l’accessoire reprend en effet le logo de l’app d’Apple et comporte 3 espaces pour cartes, permettant de garder avec soi les plus importantes. Le clin d’œil est assumé, l’objet étant presque une version physique de l’icône iOS.
Ce porte-cartes est réalisé à l’aide de chutes de cuir et ne fait que 3 mm d’épaisseur, un parti pris écologique qui lui donne au passage une texture légèrement unique d’un exemplaire à l’autre. Les dimensions sont de 10 par 9 cm, un format compact qui se glissera facilement dans une poche de veste ou un petit sac.
Cette édition limitée est faite en cuir de veau. Vous pouvez le commander pour 95 €, auxquels s’ajoutent 3 € de frais de port. Un prix qui reste dans la lignée des créations artisanales de la marque, fabriquées dans la capitale. Elle propose d’ailleurs d’autres objets en rapport avec Apple comme des autocollants pour chargeurs, des cache-webcam ou encore des pochettes à clefs USB.
Parmi tous les changements esthétiques apportés par macOS 26 au Finder, il y en a un qui me gêne plus particulièrement que les autres. Les favoris de la barre latérale qui sont associés à un service cloud comme Dropbox, OneDrive, Google Drive ou encore leur concurrent open source Seafile que l’on utilise chez MacGeneration dans mon cas, affichent l’icône de l’app associée au lieu de l’icône standard d’un dossier. J’imagine qu’Apple s’est dit que c’était une bonne idée de mettre en avant leur différence, de signaler visuellement que ces favoris dépendent d’un service tiers, mais le résultat est surtout très moche.
Le Finder de macOS 26 affiche par défaut l’icône de l’app Seafile pour les dossiers dans la barre latérale fournis par ce service de synchronisation concurrent de Dropbox. Image MacGeneration.
Le problème est renforcé quand l’icône de l’app ne respecte pas le carré aux bords arrondis exigé par macOS Tahoe, ce qui est le cas du client macOS de Seafile. Résultat, ce n’est même pas l’icône de l’app qui s’affiche dans la barre latérale, c’est son icône dans la « Squircle Jail », ce carré gris imposé par le système. Pour ne rien arranger, on ne peut pas modifier cette icône : j’ai essayé le nouveau système introduit avec macOS 26 pour créer un dossier personnalisé avec une couleur et une icône, mais cela ne fonctionnait pas. Même la bonne vieille astuce de l’inspecteur1 n’a rien donné, le Finder force un retour à l’icône de l’app dès qu’il en a l’occasion.
J’avais fini par abandonner l’idée de changer ces icônes, quand j’ai écouté le dernier épisode d’Accidental Tech Podcast. Dans l’épisode précédent, Casey Liss se plaignait du même problème avec l’app Synology Drive. Un auditeur a répondu que c’était possible de le corriger en utilisant des liens symboliques. Ni une ni deux, j’ai vérifié sur mon Mac et en effet, cela fonctionne parfaitement : la barre latérale du Finder est enfin uniforme, comme avant.
En remplaçant les dossiers directement fournis par Seafile par des liens symboliques, on peut se débarrasser de l’icône de l’app dans la barre latérale ! Image MacGeneration.
Les liens symboliques sont un héritage des fonctions UNIX de macOS, une très vieille fonctionnalité qui permet de créer un lien vers un autre emplacement. Précisons qu’il ne s’agit pas des alias du Finder, ceux-là affichent la même icône fournie par l’app et ne corrigent pas le problème. En revanche, les liens symboliques travaillent à un niveau inférieur sur le plan technique, si bien qu’ils dupent pour ainsi dire l’explorateur de fichiers de macOS. Du point de vue de l’utilisateur, rien ne change, c’est le bon dossier qui s’ouvre en cliquant dans la barre latérale.
Pour obtenir ces liens symboliques, il faudra passer par le terminal ou utiliser une app capable de les créer, ce que je recommande surtout si vous débutez. Il y a de nombreuses options, j’ai utilisé pour ma part l’excellente app Supercharge, un outil à tout faire pour macOS qui ajoute notamment un service nommé « Make Symlink » pour réaliser cette tâche.
J’ai utilisé ce service pour mes trois dossiers fournis par Seafile, en utilisant le menu contextuel du Finder puis le sous-menu « Services ». Le fichier est généré au même endroit et vous pouvez l’y laisser ou le déplacer ailleurs : dans tous les cas, il est important de garder ce fichier quelque part, sous peine de casser le lien. Pensez à le renommer et vous pouvez d’ailleurs choisir un nom différent, si cela vous arrange, un autre bénéfice de la manœuvre. En revanche, si vous les modifiez après les avoir ajoutés à la barre latérale, vous couperez le lien.
Création du lien symbolique pour l’un des dossiers synchronisés par Seafile, ici avec le service de l’app Supercharge. Image MacGeneration.
Une fois que le lien symbolique existe, supprimez le favori initial de la barre latérale du Finder et glissez/déposez le lien à la place. Vérifiez que tout fonctionne en cliquant dessus : le contenu du dossier synchronisé par le service cloud de votre choix devrait s’afficher comme avant sur la droite.
Les liens symboliques sont un outil puissant et très pratique, même s’ils peuvent aussi être dangereux, notamment avec les services de synchronisation de fichiers. Néanmoins, on les utilise ici uniquement pour les favoris du Finder et non pas pour synchroniser d’autres emplacements, si bien que cela ne devrait avoir aucun effet négatif sur le fonctionnement normal du service de cloud.
Si vous l’ignorez, macOS permet depuis bien des années de changer les icônes des dossiers et des apps en ouvrant l’inspecteur du Finder avec ⌘I ou un clic secondaire et en collant une autre image sur celle qui s’affiche en haut à gauche de l’inspecteur. ↩︎
Le Black Friday arrive, c’est le moment ou jamais d’acheter une nouvelle liseuse. Amazon affiche ce matin de bonnes promos sur ses Kindle en pack avec des étuis. Le modèle Colorsoft avec 16 Go de stockage, un étui noir et un adaptateur secteur perd 30 % sur son tarif d’origine pour revenir à 236,58 €. C’est moins cher qu’en achetant la tablette seule, étant donné qu’elle est affichée à 269 €. Plusieurs coloris de pochette sont disponibles, à savoir vert, rose ou marron.
Kindle Colorsoft. Image iGeneration
Nous avions pu tester ce Kindle Colorsoft à sa sortie, qui a pour principal avantage son écran en couleur. Il ne sera pas très pratique pour lire des BD ou des comics, mais permet d’afficher les couvertures des livres en couleur ou de mettre en valeur les passages surlignés, ce qui est toujours plaisant. Son format 7" est confortable à utiliser, et si le produit est cher de base, il devient très intéressant à ce prix.
Les grands lecteurs pourront sinon se tourner vers ce pack incluant en plus une station de charge sans fil et 32 Go de stockage pour la tablette. Le lot perd 30 % pour revenir à 267,38 €, soit 114,59 € de moins qu’au lancement. Elle permet de récupérer une batterie complète en seulement 2,5 heures et embarque une petite LED indiquant où en est la charge. Ici aussi, plusieurs coloris sont disponibles.
Notons également une remise sur la Kindle Scribe avec son adaptateur secteur, dont le tarif perd aussi 30 % pour tomber à 360,48 € : c’est 164 € d’économisés ! Cette liseuse à écran antireflet 10,2" est conçu pour la lecture et l'écriture. Livrée avec un stylet, ce sera un achat intéressant pour ceux passant leur temps à noter leurs bouquins. Un carnet de notes est intégré pour cet accessoire qui nous avait convaincus.
Dans un style plus petit, on notera que la Boox Palma 2 perd en ce moment 10 %. Cette liseuse au format smartphone de 6,3" tourne sous Android, ce qui la rend plus polyvalente. On peut l’obtenir pour 269,99 €, contre 299,99 € en temps normal. Un achat intéressant si vous cherchez une liseuse prenant moins de place dans un sac.
Prizmo Remix (abo ou achat in-app) est la dernière app de Creaceed et le studio belge s’intéresse de nouveau à la numérisation de documents, avec cette fois une idée originale. Cette app se présente comme Raccourcis d’Apple, avec des gros carrés colorés qui activent chacun une routine spécifique. Le principe est de définir comment gérer les fichiers numérisés par son scanner, en fonction de ses besoins : pour l’un, on pourra extraire le texte à l’aide d’un outil de reconnaissance optique des caractères (OCR), tandis que pour l’autre, on pourra demander un fichier JPEG avec des caractéristiques précises ou encore archiver le PDF généré dans un dossier en fonction du contenu.
Prizmo Remix en action, ici avec un document transmis par mon scanner ScanSnap. Image MacGeneration.
L’app est fournie avec 14 routines, qui donnent une bonne idée de ce que l’on peut faire. Vous pourrez modifier ces automatisations existantes ou en créer de nouvelles. L’interface d’édition ne ressemble pas à celle de Raccourcis, elle est adaptée aux besoins de Prizmo Remix. Pour résumer, on a deux grands modes de fonctionnement : « Traiter » est le plus complet, avec la possibilité de modifier les images pour les nettoyer et exploiter l’OCR pour identifier le contenu ; « Renommer » est plus simple et sert, vous vous en doutez, à modifier le nom des fichiers en sortie. En fonction de ce premier choix, vous aurez ensuite plus ou moins d’options qui seront activées.
La liste des fonctionnalités proposées est trop longue pour les énumérer toutes. Prizmo Remix essaie de répondre à tous les scénarios envisageables, si bien qu’il y a de nombreux réglages pour affiner son comportement. Par exemple, l’app peut analyser le scan en quête de métadonnées, comme une date ou encore un titre. Cette analyse se fait localement grâce à Apple Intelligence sur les Mac compatibles ou alors en se basant sur le texte fourni par l’OCR. Ce dernier peut également se contenter d’un traitement local pour les langues les plus courantes, tandis qu’une option cloud gère davantage de langues et les écritures manuscrites. Dans la longue liste de fonctions, on trouve aussi la possibilité de classer automatiquement les documents grâce à une IA intégrée qui tourne directement sur le Mac.
L’interface d’édition d’une routine à gauche, l’éditeur de document numérisé à droite. Image MacGeneration.
Selon les besoins, vous pouvez activer une option qui affiche une interface avec toutes les données identifiées par l’app et la possibilité de les modifier si c’est nécessaire. Par défaut, les fichiers générés par la routine iront automatiquement vers la destination de votre choix, que ce soit un dossier sur le Mac, une autre app ou même un script, qui pourra alors effectuer d’autres traitements plus ou moins sophistiqués sur le scan. Parmi les options, on peut notamment transmettre le fichier à Prizmo du même éditeur, une app plus complète qui pourra notamment modifier l’image fournie par le scanner.
On peut utiliser Prizmo Remix en lançant une routine, puis en sélectionnant n’importe quel fichier dans le Finder. On peut aussi glisser/déposer un document sur une routine pour la lancer. Si vous disposez d’un scanner dédié, vous pourrez probablement le configurer pour qu’il transmette les scans à une autre app et il sera alors possible de choisir celle-ci. De quoi fluidifier les opérations : les fichiers scannés apparaissent au fur et à mesure dans une barre latérale et il suffit d’un clic pour lancer une routine. Autre option, lancer la routine, puis scanner le document avec le périphérique. J’ai testé avec le modèle ScanSnap S1300i de Fujitsu qui est sur mon bureau et cela a très bien fonctionné.
Voici comment configurer un scanner ScanSnap pour créer un profil dédié à Prizmo Remix. Image MacGeneration.
Prizmo Remix est une app gratuite au téléchargement et que l’on peut aussi utiliser gratuitement pour la tester. On se limitera alors aux traitements en local et les fichiers en export afficheront des marquages, soit visuels sur les PDF et photos, soit textuels sur les sorties d’OCR. Pour s’en débarrasser, il faudra payer avec deux options : un achat in-app facturé 99,99 € supprime les marquages et active toutes les fonctionnalités, uniquement en local. Un abonnement à 9,99 € par mois ou 49,99 € par an ajoute les fonctionnalités qui dépendent du cloud, essentiellement pour la reconnaissance optique de caractères de plus de langues et de l’écriture manuscrite.
Quelle que soit la formule choisie, Prizmo 5 est associée à Prizmo Remix et vous aurez ainsi accès aux deux apps sans avoir à payer plus. Ajoutons que les abonnés à Setapp, ce service qui offre un accès à de nombreuses apps macOS contre un paiement régulier, peuvent accéder à Prizmo Remix dans le cadre de leur abonnement.
L’interface est traduite en français et macOS 14 est nécessaire, même si les fonctionnalités fournies par Apple Intelligence exigent un Mac Apple Silicon et macOS 26.
WhatsApp s’ouvre à la concurrence. Meta a été contrainte de rendre son service interopérable par le Digital Markets Act (DMA), ce qui est désormais chose faite : l’entreprise a annoncé avoir mis sur pied la partie technique après 3 ans de travail. Les utilisateurs européens pourront donc prochainement interagir avec certains services tiers directement dans WhatsApp.
Seules deux applications vont être prises en charge dans un premier temps, à savoir BirdyChat et Haiket. WhatsApp affirme que le chiffrement des messages restera le même, et que l’expérience sera simple et fluide pour l’utilisateur. La nouveauté est optionnelle et pourra être désactivée à tout moment.
Une notification indiquant que la nouveauté est disponible devrait apparaître dans les prochains mois dans les réglages de l’app. Les utilisateurs européens ayant choisi de l'activer pourront partager des messages, des images, des messages vocaux, des vidéos et des fichiers. iOS comme Android sont concernés par ce changement, mais pas pour les tablettes, WhatsApp en navigateur ou les apps de bureaux.
La possibilité de créer des groupes avec des utilisateurs tiers sera disponible par la suite, Meta expliquant attendre que ses partenaires soient prêts. L’entreprise va se baser sur les numéros de téléphone pour savoir si un utilisateur est bien européen, et en changer pourra limiter la fonction.
Meta rappelle que les utilisateurs devront prendre leurs précautions, les services tiers appliquant leurs propres règles de confidentialité. Cela reste un début intéressant, qui le deviendra encore plus lorsque d’autres grands noms seront compatibles. iMessage ne sera pas de la partie : le service d’Apple n’a pas été classé comme « gatekeeper » par Bruxelles et n’est donc pas soumis à ces obligations d’interopérabilité du DMA.
Le produit Apple le plus surprenant de l’année est maintenant en vente. Vous pouvez commander sur l’Apple Store l’iPhone Pocket pour 159,95 € dans sa version courte (en huit couleurs) ou 249,95 € dans sa version longue (en trois couleurs).
iPhone Pocket en version courte
Malgré le tarif très salé de cette drôle de poche en tissu, il n’y aura sans doute pas assez d’exemplaires pour tous les intéressés. En France, les versions longues en couleur saphir et cannelle sont déjà épuisées. Au Japon, où la commercialisation a démarré plus tôt, certaines déclinaisons courtes sont également en rupture.
Il faut dire que, contrairement aux iPod Socks qui étaient vendues 29 $ le pack de six, l’iPhone Pocket est véritablement un produit de luxe. Conçue en collaboration avec la prestigieuse marque ISSEY MIYAKE (que Steve Jobs appréciait tout particulièrement), cette étonnante chaussette pour iPhone est fabriquée au Japon dans une maille 3D très élaborée. Au-delà des amateurs de mode, elle intéressera aussi les collectionneurs, car il s’agit d’une édition limitée — on ne connait pas le nombre d’unités produites.
iPhone Pocket en version longue
L’iPhone Pocket n’est commercialisée que dans huit pays (France, Chine, Italie, Japon, Singapour, Corée du Sud, Royaume-Uni et États-Unis). En plus de l’Apple Store en ligne, on peut la trouver dans une sélection restreinte d’Apple Store physiques, à savoir ceux-ci :
Apple Canton Road, Hong Kong
Apple Ginza, Tokyo
Apple Jing’an, Shanghai
Apple Marché Saint-Germain, Paris
Apple Myeongdong, Séoul
Apple Orchard Road, Singapour
Apple Piazza Liberty, Milan
Apple Regent Street, Londres
Apple SoHo, New York City
Apple Xinyi A13, Taipei
Mise à jour à 16 h 57 (article publié initialement à 13 h 56) — Les fans d'Apple ont pioché dans leur bas de laine : à peine lancée aux États-Unis, l'iPhone Pocket est d'ores et déjà en rupture complète dans ce pays. En France, la version longue est épuisée dans toutes ses couleurs. Seule la version courte reste accessible — enfin, « accessible » n'est peut-être pas le meilleur mot —, mais pour combien de temps ?
Si vous n’avez jamais eu l’occasion de vous essayer à la VR ou que vous cherchez un cadeau sympa à mettre au pied du sapin, voici une bonne affaire : le Meta Quest 3S est en ce moment affiché à 250 € à l’occasion du Black Friday. Il s’agit de son tarif le plus bas jamais vu pour la version 128 Go. Le produit est dispo à ce prix là chez Amazon via un coupon à cocher sur la fiche produit, mais aussi à la Fnac.
Image WatchGeneration
Le Meta Quest 3S est le dernier casque de VR de Meta. Il embarque la même puce que le Quest 3 ainsi que 8 GO de RAM. Les manettes sont les mêmes, et ce modèle permet de voir son environnement grâce à des caméras en couleur. L’autonomie est correcte avec environ 2 h 30, sachant que contrairement au Vision Pro, la batterie est intégrée dans le casque.
Meta a fait quelques concessions par rapport au Meta Quest 3 : les lentilles sont de moins bonnes qualités que celle des autres modèles, ce qui amène un champ de vision légèrement réduit. Le suivi des mains se base sur de l’infrarouge, et le port jack à disparu. Rien de réellement rédhibitoire pour ceux souhaitant découvrir la VR, et le produit procure une expérience tout à fait convenable.
Ce type de produit propose pas mal d’expériences intéressantes. On a accès au catalogue de jeux Quest, qui commence à être assez garni. Entre deux parties de Beat Saber et du dernier Batman, il est également possible de regarder YouTube ou ses films en VR. Meta offre un essai à sa plateforme Horizon+ pendant 3 mois, permettant de récupérer quelques jeux gratuits.
Image WatchGeneration
C’est donc une bonne pioche à ce prix là, sachant que les 128 Go de base sont largement suffisants pour la plupart des utilisateurs. Ceux voulant tout de même plus de stockage pourront se tourner vers la version 256 Go, affichée à 369,99 € à la Fnac.
Dans un monde où les journées s’étirent devant l’écran, garder une bonne posture est devenu une question de santé comme de productivité. Pourtant, trop de professionnels et de particuliers s’habituent à l’inconfort, sacrifiant leur bien-être en oubliant de se soucier de ce point crucial. Sihoo s’est donné comme mission de prouver qu’il ne fallait pas trancher entre efficacité et design avec sa chaise C300. Certifiée selon les normes américaines BIFMA et les standards de qualité et de sécurité du TÜV allemand, elle embarque un soutien lombaire dynamique qui s’adapte naturellement aux mouvements de votre dos.
Sihoo est une marque spécialisée dans les sièges ergonomiques premium pensé pour les créatifs, entrepreneurs et autres télétravailleurs exigeants. Présente dans plus de 100 pays, elle accompagne déjà des millions de professionnels et a réussi à s’imposer grâce à ses produits bien finis ainsi que ses tarifs abordables. Sa vision est que chaque travailleur a le droit d’avoir une bonne posture derrière son écran, un point de vue qui se retrouve dans son slogan : « Obtenez le confort que vous méritez ».
L’installation est simple, le fauteuil étant livré avec tous les outils nécessaires à son montage et un manuel clair pour une manœuvre ne prenant qu’une trentaine de minutes. Une fois sur pied, le produit impressionne par son style professionnel et la sensation de fiabilité. Ce produit aux jolies finitions est disponible en blanc comme en noir pour s’adapter au mieux à votre intérieur.
La C300 embarque tout ce qu’il faut pour vous offrir une posture confortable et ergonomique grâce à son dossier flexible, son appui-tête doux et sa maille respirante. À travers une ingénierie avancée, la chaise est conçue pour épouser le corps et corriger naturellement la posture sans compromis sur le style. Le système de suivi des mouvements du corps maison BM Tracking System garantit que le soutien lombaire dynamique s'ajuste automatiquement à votre colonne vertébrale, maintenant votre dos confortable et soutenu dans toutes les postures. Aucun réglage manuel n’est nécessaire, un mécanisme de détection de poids s'assurant que vous puissiez changer de position et vous incliner sans effort. De plus, lorsque vous vous penchez sur le côté, le dossier profilé à structure triangulaire épouse les mouvements du dos pour un soutien continu. Chaque détail de la chaise Sihoo est pensé pour suivre l'utilisateur : elle s'adapte à vous, et pas l'inverse.
Les réglages sont nombreux et hautement personnalisables. L'appui-tête mécanique 3D offre des réglages dans trois directions : en hauteur, en profondeur et en rotation sur son axe, avec un système de verrouillage automatique pour un maintien précis. Sa surface extra-large offre un support complet, même lorsque vous posez la tête sur le côté.
Le dossier, lui, peut être basculé selon plusieurs angles (110°, 120° et 130°). Les accoudoirs 4D assortis, généreusement rembourrés et doux sous les bras, sont réglables en hauteur, en profondeur et pivotent à 75°. Ils peuvent également être synchronisés avec l'inclinaison du dossier, assurant ainsi un soutien optimal des bras et un soulagement des épaules, quelle que soit votre posture au travail.
Nous avons pu l’essayer une quinzaine de jours, et le produit nous a entièrement satisfaits. Son design passe-partout l’adapte à n’importe quel intérieur. L’ergonomie est efficace grâce aux multiples réglages faciles à ajuster. Plus besoin de se redresser tous les quarts d’heure ou de se lever de temps à autre pour ne pas finir la journée avec le dos en vrac. Difficile de revenir en arrière une fois qu’on y a goûté !
Est-elle faite pour vous ? La chaise Doro C300 de Sihoo s’adapte aux utilisateurs de 155 à 190 cm, et à ceux pesant de 50 à 100 kg. Elle offre un soutien continu qui vous gardera dans une position de travail optimale toute la journée, évitant des douleurs au long court et améliorant la productivité. Elle reste étonnamment abordable face aux fauteuils ergonomiques haut de gamme du marché, tout en offrant des fonctionnalités d’un niveau professionnel.
Cette chaise n’a jamais été aussi abordable qu’à l’occasion du Black Friday, du 1er au 30 novembre. Habituellement vendue 310 €, la C300 passe à 259,99 €. Et ce n’est pas tout : vous pouvez profiter de 6 % supplémentaires avec le code exclusif SihooMG, ce qui ramène son tarif à 244,39 €. Découvrez-la et toute la collection sur fr.sihoooffice.com.
La Chine est le plus gros constructeur de véhicules électriques au monde et le pays se penche de plus en plus sur les régulations spécifiques à ces modèles. Pour preuve, le gouvernement envisage d’imposer une nouvelle règle aux fabricants pour limiter par défaut l’accélération maximale des voitures. Comme le rapporte le site CarNewsChina, la législation en cours ne se limite pas aux véhicules électriques, même s’ils sont les premiers visés dans les faits. L’idée serait de brider au démarrage l’accélération pour que passer de 0 à 100 km/h se fasse en plus de cinq secondes.
Comme tous les constructeurs de voitures électriques sportives, Xiaomi ne manque pas de mettre en avant des chiffres délirants pour vendre sa SU7, comme ici 2,78 secondes pour atteindre 100 km/h. Image Xiaomi.
Cinq secondes pour atteindre 100 km/h, cela reste extrêmement rapide et du domaine des voitures les plus sportives il y a quelques années seulement. La motorisation électrique a tout bouleversé, avec des accélérations extrêmement puissantes obtenues relativement facilement, y compris sur des modèles destinés au quotidien. La Model Y de Tesla est un gros SUV familial, pas une supercar, et pourtant on peut descendre sous la barre des cinq secondes sans même opter pour la version la plus sportive dans la gamme.
Des accélérations aussi franches sur des véhicules aussi lourds sont potentiellement dangereuses, si bien que les constructeurs proposent en général des solutions pour brider la puissance de leurs voitures pour le quotidien. Pékin envisage de rendre ce point obligatoire, en proposant qu’une voiture démarre systématiquement dans un mode limité, même si le conducteur pourra débloquer toute la puissance s’il le souhaite. D’autres mesures sont également prévues pour éviter les accidents liés à un appui involontaire sur la pédale d’accélérateur, un problème qui a déjà causé plusieurs accidents en Chine et même en Europe. C’est notamment l’explication pour l’accident mortel à Paris qui avait impliqué à la fin de l’année 2021 un taxi roulant en Model 3.
Pour empêcher cela, le gouvernement chinois propose que les constructeurs mettent en œuvre des systèmes de sécurité spécifiques. Leurs véhicules devront être capables de brider la puissance si la pédale d’accélérateur est enfoncée jusqu’au bout alors que le véhicule est à l’arrêt ou à petite vitesse, avec une alerte qui se fera voir et entendre dans l’habitacle. C’est une fonctionnalité que Tesla propose dans ses voitures, notamment, même s’il est possible actuellement de couper cette précaution. On imagine qu’il sera toujours possible de couper ces systèmes préventifs, mais qu’ils seront réactivés à chaque démarrage.
Certes, ces nouvelles dispositions ne concernent que la Chine pour le moment. Néanmoins, les règles qui s’appliquent sur le marché chinois finiront peut-être par être généralisées dans le monde entier, même si c’est davantage le cas pour les obligations qui touchent le design extérieur. Récemment, ce sont notamment les poignées affleurantes avec un système d’ouverture électrique qui sont dans le viseur. Si ces systèmes étaient interdits en Chine, il y a fort à parier qu’ils disparaîtraient aussi en Europe.
Les accélérations trop franches ne sont pas le seul sujet de la dernière vague de législations proposées par le gouvernement chinois. Les constructeurs pourraient devoir respecter des règles plus strictes, notamment pour débrancher automatiquement la batterie en cas d’accident ou encore surveiller de près l’état de santé de la batterie pour avertir les occupants dès qu’un problème est identifié. Il y a aussi plusieurs règles liées aux assistances à la conduite et à la surveillance du conducteur pendant les phases de conduite.
Ce sont des points que la plupart des fabricants de voitures gèrent par eux-mêmes, mais le pays semble vouloir renforcer le cadre législatif et éviter les raccourcis que des acteurs pourraient vouloir prendre. Si les législations européennes restent pour l’heure plus strictes dans la majorité des cas, la Chine prendra peut-être de l’avance à terme.
La semaine se termine mal chez Belkin, qui vient d’officialiser le rappel de trois différents produits. Il s’agit de son support iPhone motorisé compatible DockKit ainsi que de deux batteries externes. « Un défaut de fabrication peut entraîner une surchauffe des composants des cellules lithium-ion des produits, ce qui pourrait présenter un risque d'incendie pour les consommateurs », indique Belkin.
Les trois accessoires concernés.
Les batteries externes en question sont la BoostCharge USB-C PD Power Bank 20K (BPB002) et la Playa USB-C PD Power Bank 20K (PB0003). Le pied motorisé est le modèle MMA008. Le numéro de modèle et le numéro de série se trouvent tous deux à l'arrière ou sous le produit, mais également sur l'étiquette.
Les acheteurs se verront proposer un remboursement
intégral sur présentation d'une preuve d'achat ou d'un numéro de série valide. Un formulaire est disponible à ce lien, dans lequel il sera a minima demandé une photo du produit montrant le numéro de série.
Belkin indique que les appareils ne doivent plus être utilisés, même s’ils semblent fonctionner normalement. Il faut donc les débrancher, les garder dans un endroit sûr et sec avant de les emmener à la déchèterie. Attention, car il ne faut pas les jeter dans une poubelle ou un bac de recyclage de grandes surfaces, qui ne sont pas adaptées. Belkin devrait vous contacter pour vous fournir plus de détails sur la manière de vous débarrasser correctement de ces produits.
Si les rappels de batteries externes sont assez courants, ce n’est pas le cas des supports rotatifs comme celui d’aujourd’hui. Nous avons eu l’occasion de le tester lors de sa sortie en 2024 : l'accessoire a été le premier à prendre en charge le framework DockKit d’Apple, et intègre une batterie pour recharger le smartphone qui filme, même loin d’une prise.
Le Black Friday ne sert pas seulement à faire des économies sur des produits qui coûtent cher en temps normal, c’est aussi l’occasion de renouveler des consommables à moindre coût. Dans le cadre de son « avant-première Black Friday », Amazon fait déjà des réductions sur toutes sortes de piles.
Le lot de 8 piles CR2032 pour AirTags de Duracell est en promo à 9,11 € (- 24 %). Ces piles disposent d’un revêtement amer pour éviter l’ingestion par les enfants et sont explicitement compatibles avec les balises d’Apple (le revêtement peut parfois poser un problème de compatibilité).
Même avec cette remise, les piles Duracell restent plus coûteuses (1,14 €/unité) que celles de marques moins connues. Par exemple, les piles Wilhelm — le choix habituel de Nicolas, notre spécialiste de la domotique qui doit alimenter plein d’objets connectés — coûtent 4,98 € les 10 (0,50 €/unité). D’après les essais de Test-Achats, l’équivalent belge de l’UFC-Que Choisir, les piles Duracell font en tout cas partie des meilleures en usage continu.
D’autres types de piles font l’objet de rabais spéciaux pour l’avant-première Black Friday. Côté rechargeables AAA (LR03), le pack de 4 piles Amazon Basics 800 mAh passe à 7,17 € (- 15 %) et celui de 4 piles Duracell 900 mAh à 10,99 € (- 24 %). Ces modèles servent le plus souvent pour les télécommandes ou les réveils.
Pour les rechargeables AA (LR06) un peu plus grosses, le lot de 8 Amazon Basics 2 400 mAh est proposé à 11,36 € (- 5 %) et le lot de 4 Duracell 2 500 mAh descend 11,99 € (- 23 %). Ces piles sont utilisées dans certains détecteurs de fumée, par exemple.
Il sera bientôt possible de discuter à plusieurs avec ChatGPT. OpenAI vient d’annoncer le lancement d’une « expérimentation » dans une poignée de pays permettant de créer une conversation de groupe incluant l’assistant. L’entreprise y voit un outil intéressant pour ceux voulant collaborer sur des projets, pour les étudiants ou plus simplement pour trouver un restaurant convenant à tout le monde lors d’une discussion entre amis.
Image OpenAI
Ces conversations de groupe permettront d’utiliser la plupart des fonctions habituelles : génération d’image, envoi de documents, recherche en ligne. Les réponses seront données par le récent GPT-5.1 Auto, ce qui semble sous-entendre qu’on ne pourra pas directement demander le plus pointilleux modèle Thinking. OpenAI affirme avoir appris à son bot à gérer ce type de conversations à plusieurs, ne parlant que quand cela est nécessaire et pouvant être mentionné directement en cas de besoin. Il pourra réagir aux messages avec des emojis et accéder aux photos de profil, par exemple pour les modifier.
En pratique, une nouvelle icône devrait apparaître en haut d’une conversation permettant de créer un groupe. Le lien pourra être envoyé jusqu’à 20 personnes, sachant que chaque membre pourra le partager de son côté. Les invités devront alors renseigner un nom et ajouter une photo pourra rendre la lecture plus fluide. Une nouvelle catégorie « discussions de groupe » apparaîtra dans la liste des conversations.
Image OpenAI
La nouveauté va dans un premier temps être lancée en test au Japon, en Corée du Sud, en Nouvelle-Zélande et à Taïwan. Elle y sera disponible pour les utilisateurs gratuits comme payants, un déploiement plus large est prévu si les retours sont bons. OpenAI indique qu’il s’agit d’une première étape vers de nouvelles expériences partagées avec ChatGPT.
OpenAI n’est pas la première à lancer ce genre de contexte. Meta a par exemple déployée Meta AI à travers ses différentes plateformes (Messenger, WhatsApp, Instagram…). Dès 2023, Microsoft essayait d’intégrer son Copilot dans Skype.
Apple Store (gratuit) a été mise à jour et même si Apple se contente d’indiquer que la nouvelle version apporte « diverses optimisations et améliorations de performance », l’app dédiée à la boutique en ligne du constructeur gagne en réalité un traitement Liquid Glass. Les changements ne sont pas majeurs, même si on ne peut pas passer à côté de la barre d’onglets (tab bar) en bas de l’écran, celle qui permet de passer d’une section à l’autre. C’est ici que l’on voit plus le nouveau thème d’Apple, avec une pastille de verre liquide qui saute d’une section à l’autre lors d’un tap.
Avant / après. Image iGeneration.Avant / après. Image iGeneration.
Sur le plan fonctionnel, la seule différence notable est la recherche, avec la zone de texte qui descend tout en bas de l’écran. C’est l’une des bonnes idées de Liquid Glass, qui rend ainsi la recherche plus accessible sur les (grands) iPhone, où on a souvent le pouce dans la zone du bas de l’écran. On note aussi que certains textes passent de la largeur complète de la dalle à une zone centrale aux bords très arrondis, ce qui réduit au passage la quantité d’éléments visibles à tout moment… un peu paradoxal pour une interface censée mettre en avant le contenu.
Le reste de l’app est très similaire à ce que l’on connaissait jusque-là. Seul autre changement notable, l’icône évolue elle aussi, en gardant la mème idée du sac Apple, tout en inversant les couleurs. Jusque-là, on avait un sac bleu sur fond blanc, la nouvelle version présente un sac blanc translucide dans l’esprit de Liquid Glass sur fond bleu en mode clair. Avec les icônes en mode sombre, le fond passe en noir et elle s’adapte également mieux à l’affichage transparent des icônes proposé par iOS 26.
La nouvelle icône de l’app Apple Store, toute en Liquid Glass jusqu’à la poignée du sac qui semble elle aussi en verre, une belle prouesse technique. Image iGeneration.
Apple Store a en tout cas plus de chance que bien d’autres apps conçues par Apple qui attendent toujours leur traitement Liquid Glass. On pense notamment au trio d’apps qui compose la suite bureautique pommée : on a croisé des captures d’écran, alors on sait que c’est prévu, mais on attend toujours les mises à jour.
Derrière les discours laudateurs d’Eddy Cue au sujet d’Apple TV, la réalité semble plus complexe. Apple a décidé de changer la façon dont elle diffuse la MLS.
Disponible jusqu’à présent dans un pack optionnel payant, la MLS sera, dès la prochaine saison, proposée sans surcoût aux abonnés d’Apple TV. Apple semble vouloir élargir sa base d’abonnés en misant sur une offre plus complète, mêlant sports, films et séries, le tout à un tarif assez agressif.
Aux États-Unis, le fait que ce soit Apple qui diffuse la MLS n’est pas forcément bien perçu. La compétition est moins visible qu’auparavant, et une partie des fans de « soccer » se tourne vers la Premier League, jugée plus compétitive et surtout beaucoup mieux exposée. Un paradoxe alors que la MLS cherche justement à élargir son audience et à toucher un public plus large. Apple devra faire face à ce même paradoxe quand elle commencera à diffuser les courses de F1 l’année prochaine.
Reste qu’en adoptant cette stratégie, Apple disposera aux États-Unis d’une offre qui, sur le papier, commence à devenir très attractive. Pour 99 $ par an, les Américains auront accès au catalogue de séries et de films d’Apple TV+, ainsi qu’à la MLS et à la Formule 1. Le seul défaut de cette offre vient sans doute du fait que la Formule 1 et le football séduisent traditionnellement davantage un public européen qu’américain.
En attendant la ligue des champions ?
En matière de droits sportifs, Apple pourrait refaire parler d’elle très prochainement. L’UEFA a lancé un nouvel appel d’offres pour la Ligue des champions pour la période 2027-2031. L’un des lots a été spécialement pensé pour attirer les géants du numérique comme Amazon, Netflix, YouTube ou Apple TV. Particularité notable : les droits de ce lot sont valables dans plusieurs pays majeurs, dont l’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie et la France. Il réunit les droits les plus recherchés :
le premier choix du mardi, avec la même affiche diffusée dans tous les grands pays européens.
la finale de la Ligue des champions, co-diffusée en clair en France en raison de son statut d’« événement d’importance majeure ».
la Supercoupe d’Europe.
l’intégralité des résumés de tous les matches du mardi, du mercredi et du jeudi (au tout début de la compétition)
des extraits courts destinés aux réseaux sociaux.
un magazine dédié.
À vrai dire, on s’attend davantage à ce qu’un groupe comme Amazon se positionne sur ces droits. Jusqu’à présent, Apple s’est surtout concentrée sur le territoire américain. Mais si elle souhaite réellement changer d’échelle, il lui faudra tôt ou tard s’attaquer au marché européen. Alors, à quelques mois d’une Coupe du monde organisée aux États-Unis, Apple va-t-elle se laisser gagner par une fièvre acheteuse ?
Réponse dans quelques jours…
Apple propose depuis cette nuit aux testeurs publics la deuxième bêta de macOS Tahoe 26.2, une version diffusée 24 heures après celle destinée aux développeurs.
Cette bêta 2 introduit la fonction Edge Light évoquée hier. Elle permet d’améliorer l’éclairage lors des appels vidéo. Le Mac affiche un fin halo lumineux tout autour de l’écran, un peu comme un anneau lumineux réel, afin d’apporter un éclairage plus flatteur dans les pièces sombres.
Edge Light exploite le Neural Engine pour se positionner correctement dans le cadre, autour du visage de l’utilisateur. La couleur de la lumière peut être ajustée du chaud au froid, et l’option apparaît dans les menus des apps de visioconférence aux côtés des arrière-plans, du mode Portrait ou encore de l’isolation vocale. La fonction est réservée aux Mac équipés de puces Apple Silicon.
Les réglages relatifs à Edge Light
Pour l’heure, macOS Tahoe 26.2 reste limité aux développeurs et aux testeurs publics. La phase de test ne devrait pas s’éterniser : au vu du calendrier habituel, Apple devrait publier la version finale mi-décembre.
Si vous êtes impatient, vous pouvez toujours rejoindre facilement le programme de bêta publique d’Apple sur cette page. Une fois inscrit, la marche à suivre est triviale :
Ouvrez Réglages Système
Rendez-vous dans Général → Mise à jour de logiciels.
Cliquez sur l’icône « i » à droite de Mises à jour bêta.
Dans le menu déroulant en haut à droite, sélectionnez macOS Tahoe 26 Public Beta.
Validez en appuyant sur Terminé.
La mise à jour apparaîtra alors dans la liste et pourra être installée comme une mise à jour classique.
Apple élargit la disponibilité de son nouvel adaptateur secteur dynamique 40 W (60 W en pointe) à plusieurs pays utilisant des prises de type G. Cette variante adopte un design à trois broches rabattables, différent du modèle à deux broches lancé en septembre en même temps que les iPhone 17.
Ce nouvel adaptateur est désormais proposé au Royaume-Uni, en Irlande, aux Émirats arabes unis, à Singapour, à Hong Kong, en Arabie saoudite et en Malaisie.
Pour mémoire, Apple avait lancé l’adaptateur dynamique dans un premier temps aux États-Unis, au Canada, en Chine, au Japon, au Mexique, à Taïwan et aux Philippines.
Cet adaptateur 40 W conserve le format compact du chargeur 20 W d’Apple, mais il est capable de délivrer une puissance doublée pour accélérer la charge. Il peut même grimper jusqu’à 60 W sur de courtes périodes pour gagner quelques précieuses minutes, que ce soit sur un Mac ou sur un iPhone.
Image : Charger Lab
Apple laisse d’ailleurs entendre que les performances annoncées pour l’iPhone 17 Pro — 50 % de batterie en 20 minutes — reposent sur cette capacité à monter ponctuellement à 60 W. Le même exercice nécessite plutôt 30 minutes avec un chargeur USB-C standard, ce qui confirmerait l’intérêt de l’adaptateur dynamique pour les premières minutes de charge, là où la batterie accepte le plus de puissance.
En Chine, les apps principales ont tendance à être de véritables poupées gigognes : WeChat compte un nombre incalculable de petites apps intégrées qui peuvent être utilisées à la demande, et surtout... échappent à la taxe de 30 % demandée par Apple sur chaque transaction, l’app principale étant gratuite au téléchargement. Cependant, les choses sont sur le point de changer dans l’Empire du milieu, et Apple en profite pour étendre l’idée au reste du monde, comme le rapporte Bloomberg.
Jusqu’à présent, toutes les transactions effectuées sur les mini-apps de ces gigantesques apps (elles couvrent tout en Chine, de l’achat en ligne, aux transactions bancaires, en passant par la messagerie ou les apps de type Uber) passaient sous le nez d’Apple, et celle-ci a fait connaître son mécontentement. Après une longue période de discussions, Tencent a fini par trouver un accord avec Cupertino : les paiements effectuées à partir de cette app seront pris en charge par iOS, et en contrepartie Apple touchera 15 % de commission sur chaque paiement.
Il faut croire que l’idée est bonne pour Apple, qui a décidé de proposer le même type de contrat aux développeurs du monde entier. En effet, une nouvelle possibilité s’offre à ceux-ci, leur permettant de proposer des mini-apps payantes intégrées à leur app principale, tel que des jeux par exemple, et Apple ne prendra alors que 15 % de commission, à comparer aux 30 % habituels ponctionnés sur le tarif d’une app.
Pour participer à ce nouveau programme appelé « Mini Apps Partner Program », les développeurs devront valider de nouvelles exigences, dont au moins l’une d’elle implique le partage de l’âge de l’utilisateur final, afin de s’assurer que l’acheteur d’une mini-app ait bien l’âge requis pour l’utiliser.
Afin d’éviter l’apparition d’apps gratuites proposant ensuite un déblocage de fonctions payant, et ainsi contourner les 30 % habituels pour ne régler « que » 15 %, une autre condition est imposée par Apple : le développeur d’une mini-app ne doit pas être contrôlé directement ou indirectement par le développeur de l’app principale.
En Union européenne, ce nouveau programme ne devrait cependant pas être d’un grand intérêt pour les développeurs, le DMA ayant imposé à Apple d’autoriser d’autres méthodes de paiement, sur lesquelles elle ne peut exiger aucune dîme.
Alors qu’iOS 26.2 est toujours en bêta, Apple a semble-t-il finalisé le firmware des AirPods Pro 2 et 3 sensés recevoir les nouvelles fonctions qui vont avec la sortie finale, qui devrait avoir lieu courant décembre.
Cupertino a sorti ce soir la version 8B25 pour les AirPods Pro 3 et la 8B21 pour les AirPods Pro 2, qui devraient permettre aux résidents de l’Union européenne d’accéder aux fonctions de traduction instantanée dans les écouteurs, enfin ouvertes à l’UE.
Apple avait déjà procédé de la même manière pour la précédente mise à jour de ses écouteurs, intervenue quelques semaines avant la sortie effective d’iOS 26.1.
Comme d’habitude, il n’existe aucune méthode pratique pour forcer la mise à jour de vos écouteurs. La seule solution indiquée par Apple reste de laisser les AirPods dans leur boîtier, en branchant celui-ci sur un chargeur, en laissant le tout à proximité de votre iPhone. Une fois 30 minutes écoulées, la mise à jour devrait avoir été effectuée automatiquement.