Vous cherchez un MacBook Air, mais vous en cherchez un qui est grand et bien doté en mémoire ? Voici une bonne occasion sur Amazon. Le MacBook Air M4 de 15" avec 24 Go de RAM et 512 Go de stockage est en promotion à 1 713 €. C’est 286 € de moins que chez Apple et son prix le plus bas à ce jour. Les couleurs argent et bleu sont à ce tarif. Autrement, il faut ajouter 70 € pour le lumière stellaire ou le minuit. Si vous avez entre 18 et 22 ans et que vous êtes membre Amazon Prime (3,49 €/mois ou 34,95 €/an), vous pouvez même faire baisser la facture de 50 € supplémentaires.
MacBook Air M4. Image Apple.
Le MacBook Air M4 a tout pour séduire : il est léger, plaisant à utiliser, performant et endurant. Face aux générations précédentes, il se distingue par une webcam plus évoluée (compatible avec Cadre centré et Desk View), la gestion de deux moniteurs externes et une puissance accrue. La version 15,3" offre une grande surface d’affichage (définition native de 2 880 x 1 864 pixels).
Alors que tous les yeux sont rivés sur iOS 26 et sa nouvelle interface Liquid Glass, Apple a distribué lundi les versions finales de certains systèmes plus anciens. iOS 15.8.5 a par exemple été mis en ligne pour les iPhone 6s, les iPhone 7, l'iPhone SE de 1re génération et l'iPod touch de 7e génération. L’iPhone 6s continue donc d’être mis à jour, dix ans après sa présentation !
L’iPhone 6s.
L’iPad Air 2 n’est pas en reste étant donné qu’il a reçu iPadOS 15.8.5… onze ans après sa sortie. Pour rappel, l’iPhone 6s a été lancé le 9 septembre 2015, et la tablette en octobre 2014. Apple indique que la mise à jour vient corriger une faille du moteur de rendu des images d’iOS. Elle a été exploitée dans le cadre d’« une attaque extrêmement sophistiquée visant certaines personnes en particulier ». Le procédé passait par le traitement d'un fichier image malveillant pouvant entraîner une corruption de la mémoire.
Rester sur une ancienne version du système n’est pas toujours une bonne idée, et certaines fonctions impliquent d’avoir un appareil à jour. Il faut iOS 16.1 pour la photothèque partagée iCloud, iOS 16.4 pour la nouvelle architecture de Maison, iOS 17 pour le partage du trousseau iCloud…
D’autres correctifs ont été déployés cette semaine. iOS 16.7.12 et iPadOS 16.7.12 sont en ligne pour les iPhone 8, l'iPhone X, l'iPad 5, l'iPad Pro 9,7" et l'iPad Pro 12,9" de 1re génération. Apple a également distribué les versions finales de macOS Sequoia 15.7 et iOS 18.7 pour ceux dont l’appareil ne peut pas passer sur les toutes fraîches déclinaisons 26.
macOS Tahoe apporte un changement qui va simplifier la vie de ceux travaillant souvent loin du bureau. Le nouveau système propose en effet une option pour rapidement rejoindre un iPhone ou un iPad ayant activé le partage de connexion. Plus besoin d’aller le chercher à la main dans la liste des réseaux accessibles !
Pour activer cette nouveauté, rendez-vous dans les Réglages Système, rubrique W-Fi. Tout en bas de la page se trouve une option pour « Proposer des partages de connexion ». Il ne vous reste plus qu’à passer sur le mode « Automatique » pour ne plus avoir à valider manuellement à chaque fois : le Mac ira directement se relier à un iPhone ou iPad enregistré.
Jusqu’à présent, le Mac pouvait seulement suggérer de rejoindre un partage de connexion. Le menu évoqué plus haut prenait la forme d’un simple bouton activé ou désactivé, sans cette nouvelle option.
SwitchBot enrichit le catalogue de robots aspirateurs compatibles avec le standard Matter, ce qui veut dire qu’ils peuvent trouver place dans l’app Maison d’Apple. Inutile d’ajouter un pont, contrairement à d’autres produits du fabricant, tout se fait ici directement en Wi-Fi. Mieux, ils gèrent tous deux la version 1.4 du standard, ce qui signifie que leur gestion des pièces est transmise par ce biais et accessible également depuis l’app pommée. C’est la meilleure option que l’on peut espérer à ce jour et on peut l’obtenir pour un prix très raisonnable.
Image SwitchBot;
Le petit K11+ est ainsi affiché officiellement à 400 €, mais vous pouvez cocher une case sur la fiche produit pour l’acheter à 240 € seulement. Son grand frère, le S20, est vendu quant à lui à 610 € en temps normal, avec une réduction à 580. L’argument numéro un du modèle entrée de gamme est certainement sa taille et SwitchBot avance même que c’est le plus compact de sa catégorie. L’entreprise a particulièrement travaillé sur sa base, qui ne mesure que 24 cm de large et surtout 25 cm de haut, ce qui lui permettra de trouver place sous bon nombre de meubles. Pour les petits logements, c’est probablement une excellente option, même si le gros modèles a de nombreux arguments à faire valoir, si vous avez la place.
Le S20 est certes plus gros (46 cm de haut pour la base avec réservoir d’eau), il est aussi nettement meilleur sur le papier sur tous les points. Son aspiration est plus puissante, il gagne une caméra qui lui permet de mieux identifier les obstacles et surtout, il passe aussi la serpillère. Il est proposé en deux versions, la plus courante étant celle avec deux réservoirs d’eau intégrés (eau propre/eau sale), l’autre permettant de le brancher directement sur le réseau d’eau de la maison. Bref, c’est un engin nettement plus costaud qui est d’ailleurs actuellement en cours de test chez l’un d’entre nous, alors nous en reparlerons.
Le K11+ avec sa base trouvera place sous certains meubles, contrairement au S20. Image SwitchBot.
Quel que soit le modèle choisi, vous bénéficierez d’une intégration des pièces cartographiées par l’appareil directement dans Maison. De quoi demander au robot d’aspirer le salon ou de laver le sol de la cuisine, par le biais de Siri ou encore via des automatisations configurées dans l’app d’Apple. L’app de SwitchBot restera obligatoire pour la configuration initiale et certaines fonctionnalités avancées. Notons que d’autres aspirateurs de la marque sont eux aussi passés à Matter 1.4 ou le feront bientôt, apportant les mêmes avantages que ces deux nouveaux modèles.
watchOS 26 est capable d'indiquer si la méthode de recharge de la montre peut être améliorée. Dans une page d'information, Apple renvoie vers le nouvel affichage de la batterie sur la montre qui illustre, par des barres de couleur orange, que la montre charge à une vitesse inférieure à ses possibilités. Comme cela se fait déjà sur les iPhone, par exemple.
Image Apple.
Ce n'est pas l'indication d'un problème, souligne Apple, mais une manière de dire qu'il est possible de recharger plus vite si on le souhaite. À cette fin, il est conseillé d'utiliser un chargeur Power Delivery (d'au moins 20W) et de privilégier le "câble de charge magnétique rapide" fourni avec la montre. Idéalement en le branchant directement à une source d'alimentation plutôt que sur de petits hubs partagés par d'autres appareils.
Recourir à un câble d'une plus ancienne génération de l'Apple Watch permettra de dépanner ou d'avoir un second point de charge, mais on ne profitera pas de cette capacité de charge rapide. S'il s'agit de remplir la batterie pendant la nuit, ce n'est pas un problème, mais dans d'autres cas — si on dort avec — on peut vouloir aller au plus vite le matin venu.
Dans quelques situations particulières — température élevée ou très basse — la montre peut d'elle-même ralentir la vitesse de charge pour préserver sa batterie.
Les Apple Watch SE 3, Series 11 et Ultra 3 ont améliorée leur vitesse de charge en permettant d'obtenir jusqu'à 8h d'utilisation après 15 minutes sur le chargeur et en partant d'une batterie vide.
Depuis les Series 10, la vitesse de recharge s'était déjà améliorée, avec 30 minutes environ plutôt que 45 minutes précédemment pour atteindre les 80 % (respectivement 45 minutes et 1 heure sur les Ultra 3 et 2).
Une fois de plus, Apple est parvenu à livrer en temps et en heure iOS 26. Si vous débutez, nous ne pouvons que vous conseiller la lecture de notre guide dédié. Pour le moment, il semble que cette mise à jour se passe bien et que Liquid Glass est plutôt bien adopté.
Mais la vie est un éternel recommencement, surtout en matière de bêta. La première bêta d'iOS 26.1 devrait sortir au plus tard d'ici une semaine avec son lot d'ajustement de nouveautés. Surtout, la feuille de route est bien chargée, même si, contrairement aux autres années, Apple s'est bien gardé de communiquer sur celles-ci. Il n'y a pas, publiquement du moins, des fonctionnalités exclusives aux nouveaux iPhone attendues dans iOS 26.1.
Voici une liste de fonctionnalités qui devraient arriver tôt ou tard. Certaines sont des rumeurs alors que d'autres ont été confirmés par Apple.
RCS : le chiffrement de bout en bout
Apple avait annoncé en mars son intention de prendre en charge le chiffrement de bout en bout pour les messages RCS, mais la fonctionnalité se fait toujours attendre. La première version officielle d’iOS 26 n’intègre pas encore cette nouveauté, alors qu’elle était prévue pour iOS, iPadOS, macOS et watchOS.
Cette évolution fait partie de la norme RCS Universal Profile 3.0, qui introduit aussi plusieurs fonctions déjà familières aux utilisateurs d’iMessage :
chiffrement de bout en bout (comme sur iMessage depuis iOS 5)
édition et suppression des messages
réactions Tapback complètes, sans contournement
réponses en ligne
Apple n’est pas seul maître du calendrier : il faut également attendre que les opérateurs déploient cette norme. Raison pour laquelle la mise en place traîne.
Pour rappel, le RCS avait fait son arrivée sur iPhone avec iOS 18, mais dans une version limitée (Universal Profile 2.4). Autrement dit, une modernisation du SMS plus qu’un vrai concurrent d’iMessage. Les bulles vertes vont donc continuer à courir après les bleues encore quelque temps.
Tout porte à croire qu’Apple activera ces nouveautés RCS en cours de cycle d’iOS 26, iPadOS 26, macOS 26 et watchOS 26.
Le nouveau Siri
Il est rare qu’une nouvelle fonctionnalité suscite autant d’attentes (du moins dans les médias). La pression est telle que Tim Cook est obligé d'évoquer le sujet à chaque fois qu'on lui parle de l'actualité générale d'Apple.
La deadline d'Apple serait un lancement au printemps avec iOS 26.4. C'est d'autant plus étonnant que d'après les rumeurs, la marque à la pomme semble toujours hésiter sur certains choix techniques.
Apple avait présenté ces fonctions personnalisées pour la première fois lors de la WWDC 2024, avant d’annoncer en mars leur report. Elles doivent permettre une meilleure compréhension du contexte personnel de l’utilisateur, une prise en compte de ce qui est affiché à l’écran, ainsi qu’un contrôle plus poussé application par application. Apple avait notamment montré un utilisateur demandant à Siri des informations sur le vol et la réservation de déjeuner de sa mère, en s’appuyant sur les données issues de Mail et Messages
Dans cette affaire, la patience est de mise, peut-être encore plus pour les utilisateurs européens. On ne serait pas étonné que le nouveau Siri soit lancé dans un premier temps en bêta uniquement en langue anglaise. De plus, d'ici à ce qu'Apple bloque son déploiement en Europe à cause du DMA, il n'y a qu'un pas…
De gros changements à venir pour les Européens
Apple va devoir se plier aux nouvelles obligations imposées par le DMA. Concrètement, cela signifie la fin de certains privilèges réservés à l’Apple Watch et aux AirPods : les montres tierces pourront enfin réagir aux notifications iOS et les écouteurs concurrents profiteront du jumelage simplifié et de la commutation audio automatique. Ces changements devront être proposés en bêta d’ici fin 2025 et finalisés avant le 1er juin 2026.
Même traitement pour AirPlay et AirDrop, qui ne pourront plus rester des technologies fermées. iOS et macOS devront offrir un même niveau d’intégration à des alternatives comme Google Cast, Matter Casting ou Sonos. Objectif : permettre aux utilisateurs de diffuser ou d’échanger des contenus sans dépendre exclusivement des protocoles d’Apple. La Commission exige aussi une ouverture progressive du mécanisme d’échange de données à courte portée, avec une première mise en œuvre prévue d’ici l’été 2026.
Le partage de mots de passe Wi-Fi devra lui aussi devenir interopérable, afin que les accessoires et services tiers puissent en bénéficier. Et ce n’est pas tout : Apple sera également contrainte d’ouvrir davantage la puce NFC aux banques et aux services de transport, pour que les paiements mobiles ou les titres de transport ne passent plus uniquement par Apple Pay. Là encore, une première mise en œuvre est attendue courant 2025.
La météo par satellite
Sur une des slides de la WWDC, Apple avait annoncé qu'iOS 26 serait en mesure de récupérer la météo via la connexion satellite de l'iPhone. Ce serait incontestablement un vrai plus dans le cadre d'une utilisation extrême. A priori, cette fonctionnalité est toujours dans la feuille de route d'Apple.
Les références n’ont pas été supprimées du code dans la version Release Candidate d’iOS 26, ce qui laisse penser qu’Apple finira peut-être par introduire cette fonction. Elle pourrait être ajoutée dans une mise à jour ultérieure. Précisons que cette fonctionnalité, sur le papier, n'est pas réservée à l'app Météo d'Apple. Est-ce qu'Apple profitera de cette fonction pour lancer une offre payante autour des communications par satellite ?
De nouveaux emojis avec iOS 26.4
Comme tous les ans, Unicode évolue. Le consortium en charge du standard a validé la version 17.0, qui apporte sept nouveaux emojis. Apple les intégrera comme d’habitude dans une mise à jour intermédiaire d’iOS, macOS et consorts.
Parmi les nouveaux venus, on trouve une face distordue (un visage aux yeux écarquillés et aux joues rouges), un « fight cloud », clin d’œil aux bagarres de BD, une orque (l’épaulard, pas le monstre vert des romans de fantasy), une créature poilue qu’on pourra baptiser Bigfoot, Yéti, Sasquatch, Yeren ou Almasty, un trombone (non, pas celui-ci ), un glissement de terrain et un coffre au trésor.
Les emojis, imaginés par Emojipedia
Et certaines rumeurs bientôt confirmées ?
Il faut ajouter à cette liste une fonctionnalité qui ne sera disponible que pour les citoyens américains. Ces derniers pourront ajouter leur passeport dans l'app Cartes. Au vu des enjeux de souveraineté et de l'ambiance géopolitique actuelle, il parait vain d'attendre une telle fonctionnalité - au moins à court terme en Europe.
Enfin, certaines fonctionnalités repérées parfois dans le code d'Apple, n'ont pas (encore) vu le jour. Peut-être arriveront-elles dans une mise à jour d'iOS 26 ou sont-elles peut-être tout simplement reportées à iOS 27. En juin, en fouillant dans le code des dernières bêtas, Steve Moser a mis la main sur une mention intéressante :
« Search the Way You Talk : Use natural language to find places like “Best coffee shops with free wi-fi”.
Autrement dit, Plans devrait bientôt accepter les requêtes en langage naturel, comme c’est déjà le cas dans Photos, Musique ou l’App Store. Exemple concret : demander directement à l’app de trouver un café qui propose du Wi-Fi gratuit.
Dans ses tuyaux, Apple travaille également sur un coach santé pour l'année prochaine. On ne sait pas toutefois précisément si Health+ fera partie intégrante de la grosse mise à jour de printemps d'iOS 26 ou s'il faudra attendre iOS 27.
Avec les AirPods Pro 3, le test d’ajustement automatique des embouts prend une nouvelle dimension. Proposé dès la première connexion des écouteurs, ce test servait à l’origine à vérifier que les embouts tenaient correctement dans l’oreille.
Un test d’ajustement repensé
D’après une note d’Apple, il a été revu avec cette génération. L’objectif n’est plus seulement de s’assurer du maintien, mais aussi d’optimiser la qualité sonore et l’efficacité de la réduction de bruit.
Image : Apple
Trouver l’embout idéal se révèle toutefois un peu plus complexe qu’auparavant. Apple en fournit désormais cinq, du XXS au L. Par défaut, le test recommande de commencer par la taille M, avant d’ajuster selon les résultats obtenus.
La firme de Cupertino, comme les premiers testeurs, insiste sur le fait que l’expérience diffère nettement des générations précédentes. Les embouts des AirPods Pro 1 utilisent une maille beaucoup plus dense, ceux des AirPods Pro 2 sont plus rigides, tandis que les nouveaux embouts en mousse silicone des AirPods Pro 3 offrent un ressenti plus souple.
Quand l’embout influence la fréquence cardiaque
Autre nouveauté : le positionnement des écouteurs joue un rôle clé dans la mesure de la fréquence cardiaque. Et c’est là que les choses se compliquent. Apple précise que la taille la plus adaptée pour garantir la précision du capteur n’est pas forcément celle qui offre la meilleure étanchéité acoustique. Les AirPods Pro 3 doivent être orientés vers le visage avec un angle de 45 degrés, le capteur de fréquence cardiaque reposant contre l’oreille.
Image : Apple
En cas de relevés incohérents, Apple conseille simplement de tester une autre taille d’embout. Le tout peut être lancé depuis un iPhone sous iOS 26 ou un iPad sous iPadOS 26, via les réglages des AirPods, en sélectionnant le test d’ajustement.
Les AirPods Pro 3 seront disponibles à la vente vendredi, au prix de 249 €. Reste à voir si ces évolutions convaincront les utilisateurs. Et pour ceux qui conservent encore les premières générations, un simple passage à des embouts en mousse à mémoire de forme peut déjà transformer radicalement l’expérience d’écoute, en particulier pour la réduction de bruit.
Accusé récemment par des parents américains d’avoir conduit leur enfant dépressif de 16 ans au suicide, OpenAI a annoncé de nouvelles mesures de sécurité pour ChatGPT. Le robot conversationnel va tenter de déterminer l’âge de l’utilisateur afin d’adapter ses réponses lorsqu’il s’adresse à un adolescent.
Image OpenAI
« Par exemple, ChatGPT sera entraîné à ne pas tenir [de] propos aguicheurs si on lui en fait la demande, ni à participer à des discussions sur le suicide ou l’automutilation, même dans un cadre d’écriture créative », indique Sam Altman dans un billet de blog. De plus, si un utilisateur de moins de 18 ans a des idées suicidaires, l’entreprise tentera de contacter ses parents, ou à défaut des secours, en cas de risque immédiat.
Comme annoncé plus tôt, les parents pourront en effet lier leur compte à celui de leur enfant. À la manière des contrôles parentaux intégrés à Instagram ou Snapchat, les adultes pourront désactiver certaines fonctionnalités (historique des conversations et mémorisation de données personnelles), définir des plages horaires d’accès et donc recevoir un notification en cas de détresse aigüe.
Si l’âge de l’utilisateur n’arrive pas être déterminé précisément, ChatGPT basculera automatiquement dans sa version plus sûre pour les mineurs. Dans certains cas ou certains pays, une pièce d’identité pourra même être demandée. OpenAI n’a pas encore indiqué comment l’âge des utilisateurs sera déterminé, ni quand ces protections entreront en vigueur.
Dans le petit monde des traqueurs Bluetooth, le plus connu est évidemment l'AirTag d'Apple. Mais c'est aussi le plus cher : Apple le vend 39 € (et Amazon 34 €). Depuis quelques années, de nombreux équivalents à bas prix se trouvent facilement sur le marché, pour beaucoup moins cher. Les MiLi MiTag Duo sont de ceux-là : pour 30 €, vous en aurez quatre. Et ils ont un avantage intéressant : ils sont compatibles iOS ou Android.
Ils sont compatibles iOS et Android. Image MiLi.
Nous avons testé la version Android il y a quelques mois, mais cette version Duo reprend le même principe que les Chipolo Pop. Les traqueurs sont compatibles avec le réseau d'Apple ou avec celui de Google. Lors de la configuration, vous devrez choisir un des deux réseaux, mais l'achat d'un pack de quatre comme ici permet de les partager dans une famille où tout le monde n'utilise pas nécessairement un iPhone.
La partie iOS a les mêmes fonctions que les autres traqueurs compatibles : vous pourrez faire sonner le traqueur pour le retrouver chez vous et le voir sur une carte quand il a été perdu, grâce aux nombreux appareils Apple présents partout dans le monde. Par rapport à un AirTag, vous perdrez la détection précise à courte portée en UWB (qui dépend d'une puce qui n'est présente que dans les AirTag) et l'autonomie sera probablement moins bonne. La majorité des traqueurs compatibles que nous avons testés offrent environ six mois d'autonomie avec une pile CR2032, contre le double sur un AirTag. Mais compte tenu du prix, c'est un défaut qui n'est pas rédhibitoire.
La rentrée peut être brutale : un jour c’est farniente au soleil, le lendemain on se retrouve noyé sous les mails non lus, les dossiers en retard et les sempiternels “on peut faire un call ?”. Heureusement, Godeal24 propose une offre Back to School pour rendre la reprise un peu plus douce.
Office 2021 : la suite classique, sans abonnement
Pour une durée limitée, il est possible de se procurer une licence à vie de Microsoft Office Home & Business 2021 pour Mac à 49,99 €, contre un tarif habituel de 249 €. Il s’agit du prix le plus bas constaté cette année.
Ce pack inclut l’ensemble des outils essentiels pour gérer facilement travail, études ou projets personnels : Word, Excel, PowerPoint, Outlook, Teams (version de base) et OneNote (gratuit). En clair, la suite bureautique classique, conçue pour les utilisateurs de Mac qui souhaitent un logiciel efficace, sans abonnements ni rappels de renouvellement.
Que l’on soit étudiant, entrepreneur ou travailleur à distance, cette offre permet de bénéficier d’une suite complète et fiable, qui couvre la plupart des besoins de productivité.
Une fois l’achat effectué, le code de licence est livré instantanément par e-mail, accompagné des instructions nécessaires pour l’activer.
Office 2024 : l’option IA et collaboration temps réel
La version 2021 d’Office est largement suffisante dans la majorité des cas, mais elle n’inclut ni les fonctions dopées à l’IA comme Copilot, ni le stockage en ligne via OneDrive. Pour ceux qui s’appuient fortement sur le cloud et l’assistance par IA, Microsoft Office 2024 apparaît comme le meilleur choix.
Une licence à vie de Microsoft Office 2024 Home & Business pour Mac ou PC est proposée à 139,99 € au lieu de 299 €, soit 160 € de réduction. Cette édition apporte son lot de nouveautés : collaboration en temps réel, outils de mise en page intelligents et intégration de l’IA dans les applications du quotidien.
Word, par exemple, propose désormais Smart Compose, capable de terminer vos phrases. Il devient aussi possible de résumer un texte, traduire du contenu ou extraire les points clés grâce aux outils de traitement du langage basés sur l’IA.
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macOS Tahoe embarque à son tour un assistant de réparation qui se déclenche lorsqu'on a fait remplacer une pièce de sa machine ou qu'on a effectué l'opération soi-même. L'objectif de cet assistant est de s'assurer que la pièce installée est correctement calibrée ou réglée pour fonctionner. macOS 26 permet au passage de vérifier la nature de la pièce : elle est peut être d'origine ; sans origine connue ou d'occasion si elle a été récupérée sur un autre Mac.
À partir de ce panneau d'information, il est possible que le système préconise de lancer une configuration pour finaliser cette réparation. Le Mac redémarrera et il convient d'être connecté à internet.
Image Apple.
Les pièces traitées par cet assistant sont la carte-mère, la carte liée à Touch ID, le capteur d'angle d'ouverture de l'écran, l'écran et le top case sur les MacBook Pro avec Touch Bar. Cette détection est possible jusque sur des Mac de 2020 à des degrés divers. Ce sont dans tous les cas des Mac Apple Silicon exclusivement et il faut avoir macOS 26.
L'un de nos lecteurs, Pierre, a fait fonctionner cet assistant sur son MacBook Pro M1. Il en avait échangé l'écran avec celui d'un autre portable. Cette opération n'avait pas été détectée par les bêtas de macOS 26 puis, après installation de la RC, une notification l'a subitement averti que sa "réparation" devait être validée.
Après redémarrage, quelques écrans d'information se sont succédé — l'écran installé a été détecté comme pièce d'origine. Puis au bout de quelques minutes, le Mac a été "Configuré" et il a suffi de redémarrer.
Ce système a été inauguré il y a un an sur iOS et iPadOS 18. Il accompagne la possibilité que l'on a maintenant d'effectuer des réparations soi-même ou de les faire exécuter par des indépendants, en dehors du circuit traditionnel.
Avec iOS 26, les développeurs ont désormais la possibilité de faire appel aux modèles d’Apple Intelligence pour différentes tâches. Si certains s’en servent pour résumer des articles ou générer des phrases d’exemple pour l’apprentissage de langues, d’autres se sont montrés un peu plus ambitieux. C’est le cas de Health Kitty, qui propose un tchatbot auquel on peut poser différentes questions liées à ses données de santé. L’idée est bonne, mais le système loin d’être fiable : il s’est trompé 4 fois sur 5 lors de mes tests.
Oups.
L’application a une interface assez simple avec une boîte de texte dans laquelle on peut poser ses questions. Comme elle se base sur les modèles stockés en local, elle n’a pas besoin de connexion pour s’exécuter. Les réponses apparaissent rapidement, bien que le téléphone chauffe un peu. Health Kitty ne comprend que l’anglais, et refuse de discuter si vous ne parlez pas la langue de Shakespeare.
Vous ne louperez dans ce cas là pas grand-chose : l’app est incroyablement peu fiable, ce qui est un vrai problème dans le domaine de la santé. Quand je lui ai demandé combien de temps j’ai dormi hier, elle m’a avancé plusieurs fois une durée de 6 h 23. Or, un passage dans l’app Santé m’indique… 7 h 25. L’app m’a également indiqué que j’avais un rythme cardiaque d’environ 85 BPM la nuit dernière, avec un pic à 156 ! Je ne brûle malheureusement pas de calories pendant mon sommeil, le LLM s’est juste emmêlé les pinceaux avec mon jogging d’hier en fin d’après-midi.
Même avec des demandes précises, les réponses sont farfelues.
L’app s’est aussi trompée sur mon poids en me rajoutant un kilo, un chiffre étrange qui n’est ni ma moyenne sur l’année, ni sur ces six derniers mois (et qui m’a plutôt l’air sorti de nulle part). L’erreur ne me semble pas venir d’une erreur de formulation de ma part étant donné qu’en demandant précisément « Combien de temps ai-je dormi le 13 septembre 2025 », l’app m’a répondu par une suite de données exhaustive longue comme le bras… ne répondant pas à ma question.
En fouillant dans les options, on peut voir que l’app n’a visiblement pas accès à toutes mes données de santé alors qu’elle m’en a bien demandé plusieurs au premier lancement (et qu’elle n’a pas l’air d’en vouloir plus). Le LLM se trompe tout de même avec des données auxquelles il est censé avoir accès. Il a bien visé juste une fois ou deux, mais j’ai dû aller vérifier par moi-même que c’était le cas et il s’agissait plus de l’exception que de la règle.
Bref, cette petite app montre bien qu’il y a encore du travail avant de pouvoir mélanger IA et Santé. Health Kitty pourrait sans doute être plus maline en tapant dans le Private Cloud Compute, mais cela impliquerait que les données de santé quittent le téléphone. On espère qu’Apple fera mieux avec Health+, son service de santé boosté à l'intelligence artificielle attendu pour 2026.
Quatre jours avant leur arrivée en boutique, les Apple Watch Series 11, SE 3 et Ultra 3 ont déjà trouvé place au poignet des premiers testeurs. Les rapports de force ont largement évolué cette année entre la SE et la Series, tandis que l’Ultra se consolide comme modèle à part entière.
De gauche à droite : Apple Watch Ultra 3, Series 11 et SE 3. Image Future.
Apple Watch SE 3
Nouveau modèle d’entrée de gamme, l’Apple Watch SE 3 (à partir de 269 €) met tout le monde d’accord. Pour The Verge, la montre a « un rapport qualité-prix incroyable » qui pourrait en faire un gros succès commercial. La différence avec la Series 11 qui coûte 200 € de plus se joue surtout sur les fonctions de santé avancées — ECG, mesure de l’oxygène sanguin, notifications d’hypertension — qui ne justifient pas l’écart de prix pour la plupart des utilisateurs.
Apple Watch SE 3. Image The Verge.
Tom’s Guide estime que ce modèle « redéfinit » la gamme SE. Grâce à l’arrivée de l’écran toujours activé, de la 5G sur le modèle cellulaire, d’un Siri plus rapide et de fonctions santé enrichies, la nouvelle SE offre une expérience proche de la Series 11 à un prix largement inférieur. Le site pointe malgré tout un design un peu daté (les Series 10/11 sont plus fines) et l’absence d’ECG, qui limite son intérêt pour les acheteurs à risque médical.
Même son de cloche chez PC Mag (oui, Apple prête des Apple Watch à PC Mag avant MacGeneration), qui souligne que la SE 3 a tout ce que l’on attend d’une montre connectée : appels, SMS, paiements sans contact, Siri au poignet et une large bibliothèque d’apps disponibles.
Apple Watch Series 11
En milieu de gamme, la situation est bien différente pour l’Apple Watch Series 11 (à partir de 479 €). Comme le souligne The Verge, les évolutions matérielles sont minces : connexion 5G, batterie un peu plus grande et écran plus résistant aux rayures. L’essentiel des nouveautés vient plutôt de watchOS 26, des nouveautés partagées avec les autres modèles. Résultat, la montre « n’a rien qui la fasse vraiment se distinguer », même si elle reste une valeur sûre.
Apple Watch Series 11. Image Engadget.
Engadget est plus positif, décrivant la Series 11 comme une « déclinaison affinée d’une formule déjà gagnante ». Même si Apple a ajusté sa méthode de calcul de l’autonomie d’une manière qui semble mettre la Series 11 en valeur face à la Series 10, les premiers testeurs confirment un gain réel. D’après eux, la Series 11 a une autonomie supérieure à un jour. « En pratique, j’ai retiré mon modèle de test 46 mm du chargeur à 54 % un soir, j’ai dormi avec le suivi activé, et la batterie n’est tombée à 1 % qu’après 17 h le lendemain », écrit par exemple TechRadar. C’est un avantage par rapport à la SE 3 qui est légèrement moins bonne dans ce domaine, mais ce n’est pas non plus le jour et la nuit.
Apple Watch Ultra 3
En ce qui concerne l’autonomie, l’Apple Watch Ultra 3 (899 €) semble marquer, elle, une vraie progression. Numerama relève qu’elle « dépasse assez facilement les deux jours de batterie sur une seule charge », un record chez Apple.
Apple Watch Ultra 3. Image 9to5Mac.
MobileSyrup met en avant l’intérêt pour les sportifs d’endurance : la montre permet jusqu’à 14 heures d’entraînement GPS complet, ou 35 heures en mode réduit, contre seulement 8 heures pour une Series 11. De quoi séduire les amateurs de longues sorties en extérieur, même si elle reste derrière des concurrentes, comme la Garmin Fenix 8.
Pour 9to5Mac, l’Ultra 3 ne se limite pas à cette meilleure endurance. La montre adopte un nouvel écran, la 5G et surtout la première connectivité satellite sur une Apple Watch, qui peut s’avérer vitale en situation d’urgence.
Reste son format massif et son tarif de 899 € qui la maintiennent dans une niche haut de gamme. Mais pour ceux qui attendaient une vraie évolution depuis la première Ultra sortie en 2022, cette troisième génération pourrait faire mouche.
Toutes ces Apple Watch sont d’ores et déjà en précommande et seront disponibles à partir du vendredi 19 septembre. Nous les testerons à notre tour le plus tôt possible.
Cet été, SFR a présenté la SFR Box 10+ : une box compatible Thread et avec du Wi-Fi 7 sur trois bandes de fréquences (2,4 GHz, 5 GHz et 6 GHz). Après un premier lancement réservé à quelques abonnés, SFR a aujourd’hui annoncé que cette nouvelle version était désormais disponible à tous via l’offre SFR Fibre Premium.
SFR Box 10+. Image SFR.
La SFR Box 10+ a de nombreux avantages. En plus d’un design revu et d’un écran tactile E-ink, elle embarque un port Ethernet 10 Gb/s et est compatible avec la norme de fibre optique XGS-PON. Tout cela permet à l’opérateur de promettre une connexion allant jusqu’à 8 Gb/s en envoi comme en réception. Deux répéteurs Wi-Fi 7 bibandes peuvent être inclus sur demande.
L’offre Fibre Premium est assez intéressante étant donné qu’elle n’est facturée que 45 € par mois, sans hausse à venir, engagement ou frais d’ouverture. C’est plus abordable que ce que proposent Free ou Bouygues. Elle inclut un décodeur SFR Box 8 pour la TV, mais on pourra sinon en ajouter un de plus pour 10 € (ou passer par l’app pour TV connectée). Il est possible d’obtenir gratuitement 9 mois d’abonnement à Netflix, Disney+ ou Prime. Une box de secours est proposée pour 10 €, et l’opérateur offre 200 Go à ses abonnés mobile pour patienter jusqu’au raccordement.
Apple Sports (gratuit) est désormais disponible en France, ainsi que dans plusieurs autres pays européens : Allemagne, Autriche, Espagne, Italie, Irlande, Islande et Portugal. Cette app conçue par Apple était réservée jusque-là à trois pays seulement (États-Unis, Canada et Royaume-Uni) et c’est la première expansion depuis sa sortie initiale, en février 2024. De quoi suivre, notamment, les matchs de foot européens et en français, comme ceux de la Ligue des champions de l’UEFA, dont la saison 2025-2026 débute justement ce soir.
Apple Sports permettra de suivre tous les matchs de la Ligue des champions, entre autres. Image iGeneration.
Pour accompagner ce lancement, Apple a ajouté plusieurs widgets à son app. On peut ainsi garder un œil sur les matchs en cours pour ses équipes favorites, sans avoir à ouvrir l’app à chaque fois. Apple Sports reste une app conçue strictement pour l’iPhone, même si rien n’empêche de l’installer sur un iPad pour bénéficier des mêmes widgets, c’est d’ailleurs ce qu’Apple recommande officiellement dans sa communication. Le widget pourra aussi trouver place sur le bureau de macOS, y compris en Europe. Le mode Recopie de l’iPhone étant toujours inaccessible, officiellement en raison du DMA, vous ne pourrez pas cliquer sur le widget pour avoir plus d’informations, mais vous pourrez quand même suivre un match par ce biais.
Autre nouveauté, les activités en direct peuvent désormais s’afficher automatiquement sur l’écran verrouillé d’iOS et sur la montre dès qu’un événement commence, vous n’avez même plus besoin d’ouvrir l’app au préalable. Pour en bénéficier, il faut suivre un événement sportif dans l’app, via un bouton dédié qui s’affiche avant l’heure de début. Enfin, la NFL et le football universitaire américain s’ajoutent aux sports que l’on pouvait déjà suivre. Côté foot européen, plusieurs ligues ont aussi été ajoutées avec la mise à jour : Bundesliga 2, la Ligue 2, la Primeira Liga, la Segunda División et la Serie B.
Même si Apple Sports est réservée à l’iPhone, on peut avoir son widget un peu partout. Image Apple.Tous les widgets d’Apple Sports, visualisés depuis un Mac (avec les bugs d’affichage qui sont toujours assez courants dans ce domaine…). Image iGeneration.
L’app permet de suivre de nombreux sports, pas que le foot, même si la sélection d’activités sans ballon rond est encore assez mince. La Formule 1 et le Nascar sont dans le lot, tout comme le tennis et le hockey, mais rien pour le rugby, par exemple. Un comble, alors que la Coupe du monde féminine a justement lieu en Angleterre. Ce n’était manifestement pas pour cette raison qu’Antoine Dupont a été invité à Cupertino lors de l’événement spécial dédié à l’iPhone…
Le saviez-vous ? L’environnement de restauration de macOS comporte une version allégée de Safari, trop restreinte pour que vous puissiez l’utiliser pour le plaisir, mais suffisante pour chercher des documents utiles au dépannage de votre machine. Allez savoir pourquoi, Apple a cru bon de renommer ce navigateur de secours, qui s’appelle tout simplement « Navigateur web » dans macOS Tahoe.
Rien ne change sous le capot. Il s’agit toujours d’une version dépouillée de Safari, dépourvue des réglages qui disparaitrait au démarrage (préférences, signets, historique…) et des fonctionnalités qui pourraient compromettre la sécurité de l’environnement de restauration (extensions, consoles…). Apple a même oublié de changer son agent d’utilisateur dans la version finale de macOS Tahoe, puisqu’elle s’identifie toujours comme Safari 19, qui est devenu Safari 26.
Si vous utilisez habituellement Waze ou Google Maps pour vous accompagner sur la route, iOS 26 est l’occasion de redonner sa chance à Plans. L’application d’Apple profite d’un lifting graphique à base de Liquid Glass qui apporte un bénéfice : pendant la navigation, la carte gagne un peu d’espace à l’écran.
iOS 18 / iOS 26. Image iGeneration.
Surtout, Apple a revu le système de signalement des incidents. Jusqu’ici, il fallait appuyer sur la flèche en bas de l’écran pour voir l’option dédiée dans un menu. Sur iOS 26, cette fonction est accessible en un tap grâce à un nouveau bouton flottant. Après avoir appuyé sur celui-ci, on a quelques secondes pour annuler le signalement si on s’est trompé.
Signalement d’un incident sur iOS 26. Image iGeneration.Signalement d’un incident sur iOS 18. Image iGeneration.
De plus, de nouveaux types d’incidents peuvent être signalés. En plus d’un accident ou un danger, il est maintenant possible d’indiquer un problème de circulation, des travaux ou une route fermée. De quoi mieux informer les autres clients d’Apple des imprévus sur la route, même si cela reste moins poussé que Waze, qui propose encore plus d’options, notamment la police.
Ces nouveaux signalement peuvent aussi être réalisés sur l’écran des voitures compatibles CarPlay. L’interface embarquée profite d’ailleurs d’autres progrès avec iOS 26, notamment l’arrivée des widgets et une notification moins envahissante pour les appels.
Et une de plus ! Les Apple Watch récentes bénéficient d’une nouvelle fonction de santé grâce à watchOS 26. La mise à jour majeure, maintenant disponible en version finale, apporte les notifications d’hypertension sur les Apple Watch Series 9, 10 et 11, ainsi que sur les Apple Watch Ultra 2 et 3. La nouvelle Apple Watch SE 3 en est privée faute de capteur de fréquence cardiaque optique de dernière génération. La fonction a été validée par les autorités compétentes en Europe et dans d'autres parties du monde.
Image iGeneration
L’hypertension artérielle correspond à une augmentation anormale de la pression du sang sur la paroi des artères. Maladie chronique la plus courante dans le monde (près de 12 millions de Français étaient traités en 2017), elle fatigue plus rapidement le cœur et constitue un facteur important de risque cardiovasculaire, comme les accidents vasculaires cérébraux.
Une fois que vous avez installé watchOS 26 et iOS 26, rendez-vous dans l’application Santé sur votre iPhone pour activer cette nouveauté — elle est normalement proposée automatiquement. Comme souvent, vous devrez remplir un mini-questionnaire (vous devez avoir au moins 22 ans) et vous aurez des explications sur les limites de cette fonction. Apple indique notamment que les notifications d'hypertension ne doivent pas être utilisées durant la grossesse et que les crises cardiaques ne peuvent pas être détectées.
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Votre montre se chargera alors de surveiller votre pression artérielle de manière transparente. Si elle détecte au cours des 30 derniers jours des tendances pouvant indiquer une hypertension, vous recevrez une notification vous invitant à en parler à votre médecin. L’application Santé vous suggérera également d’utiliser un tensiomètre de tierce partie pour effectuer des relevés sur une période de sept jours.
Image iGeneration
Lors de la conférence de rentrée, Sumbul Ahmad Desai, la responsable des projets de santé d’Apple, avait précisé que l’Apple Watch ne permettrait pas d’identifier tous les cas d’hypertension. Elle espérait toutefois qu’elle contribuerait à alerter plus d’un million de personnes encore non diagnostiquées.
Il y a vingt ans, les « thèmes » qui permettaient d’imiter Mac OS X sur le web étaient une distraction. Aujourd’hui, ils ne sont pas loin d’être une nécessité. Ce qui a changé ? La disparition des applications natives « chimiquement pures » et l’intégration de plus en plus poussée de webviews mêlant des éléments venus du système et des éléments venus du web. Ce qui pose une question : peut-on recréer Liquid Glass dans une webview ? La réponse est, comme souvent, plus compliquée qu’on le voudrait.
Image Chris Feijoo/MacGeneration.
En fouillant les sources du projet WebKit, le développeur Alastair Coote a déniché la propriété -apple-visual-effect dans plusieurs feuilles de style CSS. D’après nos propres recherches, elle semble prendre en charge l’ensemble des « matériaux » de Liquid Glass :
-apple-system-glass-material pour Liquid Glass ;
-apple-system-blur-material, -apple-system-blur-material-thin et -apple-system-blur-material-ultra-thin pour les effets de flou ;
et plusieurs valeurs construites autour de -apple-system-vibrancy-* pour les différents effets de « vibrance » des éléments translucides.
Apple utilise notamment la valeur -apple-system-glass-material-media-controls dans les contrôles multimédia de tvOS, système où les technologies du web l’ont emporté sur les technologies natives, pour favoriser le développement multiplateforme. Mais il y a un mais : ces propriétés ne peuvent pas être utilisées par les développeurs.
Rien ne les empêche de bricoler sur leur machine – Coote a pu créer une barre d’outils utilisant Liquid Glass au-dessus d’une carte MapboxGL – mais pour utiliser -apple-system-glass-material dans une webview, il faut activer une API privée. Or dura lex, sed lex, Apple n’accepte pas les applications touchant aux API privées dans son App Store.
Une barre d’outils utilisant Liquid Glass au-dessus d’une carte MapboxGL. Image Alistair Coote/MacGeneration.
Cette situation rappelle l’imbroglio autour de la police San Francisco. Il n’avait fallu que quelques heures pour trouver une manière de s’en servir sur le web, mais près d’un an pour qu’Apple fournisse une manière sanctionnée de le faire. Gageons que la firme de Cupertino finira par proposer un standard de gestion de l’apparence des éléments, comme elle l’avait fait pour le mode sombre il y a quelques années.
En attendant, il faudra s’en tenir à des bidouilles plus ou moins avancées pour imiter Liquid Glass. Le développeur Chris Feijoo propose ainsi d’utiliser la propriété backdrop-filter, qui permet d’obtenir un effet de flou ou de diffusion derrière un élément, pour reconstruire le « verre liquide » couche par couche. (Par un heureux hasard, la propriété -apple-system-glass-material est incompatible avec les éléments utilisant la propriété backdrop-filter).
Si vous êtes développeur web, son article bourré de simulateurs interactifs vaut le détour, mais vous remarquerez immédiatement la limite de son approche. En utilisant un filtre SVG avec backdrop-filter, il outrepasse la spécification CSS. Seul Chrome accepte cette « erreur », si bien que son effet ne fonctionne ni sur Firefox ni sur… Safari. Compliqué, qu’on vous disait.
Free Mobile vient d’enrichir ses forfaits Free 5G et Série Free avec un nouveau service sans surcoût. Pour une fois, il ne s’agit pas de data en plus ou de nouvelles destinations, mais d’une chose plus originale : un VPN.
Ces tunnels étant, à tort ou à raison, des services de plus en plus employés, l’opérateur a décidé de créer le sien et met en avant des économies potentielles pour ses clients. « Un VPN, ça ne devrait pas être un luxe réservé à quelques-uns. Alors on a décidé de l’intégrer à vos forfaits, directement et sans surcoût, comme l’illimité ou la 5G. Encore une fois, Free rend du pouvoir d’achat aux Français », déclare Xavier Niel dans un communiqué.
Image Free
Free mVPN est intégré au cœur du réseau mobile de Free Mobile, qui bénéficie d’un chiffrement de bout en bout. Si les VPN sont parfois présentés comme un moyen de masquer son activité auprès de son opérateur, ce n’est trop ce qu’il faut attendre d’un VPN opéré par l’opérateur lui-même.
Free assure que sa nouvelle fonction offre une « confidentialité garantie » lors de la navigation, un argument osé, car même si votre adresse IP est masquée, d’autres techniques permettent de vous tracer en ligne. Autrement, Free mVPN doit apporter « une protection renforcée contre les contenus frauduleux et malveillants » : par exemple, si vous cliquez sur un lien dangereux reçu par message, l’accès au site sera automatiquement bloqué. C’est une fonction qui peut être utile, mais les navigateurs intègrent eux-mêmes des avertissements pour les sites dangereux. À voir si la base de données de Free est plus complète.
L’aspect le plus marquant est ailleurs : ce VPN comprend des serveurs localisés en Europe, hors de France. Actuellement, la sortie est acheminée via l’Italie ou les Pays-Bas (la sélection du pays de sortie sera disponible ultérieurement). Ce choix n’est pas anodin : en faisant transiter la connexion par l’étranger, Free mVPN esquive les blocages imposés en France aux sites pornographiques. Xavier Niel serait-il revenu à ses premières amours, le Minitel rose ? Free cultive l’art des options qui font grincer des dents. En plein bras de fer avec Google sur les frais de peering il y a une dizaine d’années, l’opérateur avait ajouté à la Freebox un bloqueur de publicités.
Image Free
Free mVPN est sans quota de données et fonctionne aussi bien sur le smartphone de l’abonné que sur les appareils connectés en partage de connexion. Pas d’application supplémentaire à installer, le VPN s’active depuis l’espace abonné ou l’application Free, à la rubrique Mes options. Il est en place pour une durée de 12 heures renouvelables, avec possibilité de le couper manuellement à tout moment.
Free Mobile revendique être le premier opérateur au monde à inclure sans frais un VPN intégré à son cœur de réseau. Les autres vont-ils suivre ?
Dans la foulée de la sortie d’iOS 26 et iPadOS 26 en version finale, Apple a publié les listes quasi exhaustives des nouveautés de ces deux mises à jour majeures. Comme c’est devenu l’habitude, tous ces changements ne sont pas présentés sur le site web d’Apple, mais dans de longs PDF exclusivement en anglais. Voici le PDF des nouveautés d’iOS 26 et celui pour iPadOS 26.
Par exemple, vous saviez que le transfert rapide d’eSIM requiert maintenant Touch ID ou Face ID quand la protection en cas de vol est activée ? Ou que le partage de lieux et de guides depuis Plans se fait avec une nouvelle URL courte qui commence par https://maps.apple ?
À l’inverse, ces PDF omettent aussi certains changements, peut-être parce qu’ils sont considérés comme trop mineurs par Apple. C’est le cas de la barre d’accueil qui disparait automatiquement au bout de quelques secondes, entre autres choses.