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Reçu aujourd’hui — 15 décembre 2025 MacG.co

À défaut de CarPlay, le groupe GM va ajouter Apple Music à ses voitures

15 décembre 2025 à 22:50

General Motors s’est rangé aux côtés de Tesla et de Rivian, dans le camp des anti-CarPlay (et Android Auto, pas de jaloux). Le constructeur de Detroit a choisi il y a bientôt trois ans de cela de créer une expérience logicielle unique en se basant sur le système d’exploitation de Google et surtout ses propres services, fermant la porte au passage à la projection des écrans de smartphones sur ses tableaux de bords. Un choix qui a été maintes fois critiqué, mais GM s’y tient jusque-là et continue d’enrichir son offre de services directement proposés par ses soins.

Apple Music sur le millésime 2026 de la Cadillac VISTIQ. Image GM.

Le groupe annonce justement l’arrivée d’Apple Music dans certains de ses véhicules, preuve au passage que Cupertino n’est pas fâché par l’absence de CarPlay. Comme souvent dans le monde des constructeurs automobiles historiques, le déploiement ne sera pas aussi simple qu’une mise à jour distribuée à tout le parc, même si la plupart des voitures sorties avec le nouveau système basé sur Android Automotive devraient en bénéficier. Les voitures de GM ne sont plus très nombreuses sur nos routes européennes et on ne sait même pas si la nouvelle se limite à son propre pays.

Quoi qu’il en soit, les voitures électriques sorties depuis 2024, les millésimes 2025 et 2026, donc, devraient avoir droit à la nouveauté. Le groupe promet aussi son arrivée sur les futurs modèles, dont la Bolt de Chevrolet qui fera son retour l’année prochaine aux États-Unis. Dans le haut de gamme, chez Cadillac principalement, il y a même de l’audio spatial grâce au Dolby Atmos, codec justement pris en charge par Apple Music depuis 2021. La VISTIQ millésime 2026 est la première voiture du groupe à le gérer, grâce à ses 23 haut-parleurs répartis dans tout l’habitacle.

Test du lossless et du Dolby Atmos sur Apple Music

Test du lossless et du Dolby Atmos sur Apple Music

On peut saluer l’effort de GM pour ajouter des services et les prendre en charge pleinement… ou alors noter que CarPlay aurait permis de bénéficier du service d’Apple depuis le premier jour et surtout sans surcoût. Comme c’est la voiture qui se connecte aux serveurs d’Apple, la question du paiement des données transférées via la connexion cellulaire se pose. De fait, l’accès à Apple Music se fait dans le cadre de l’offre OnStar, une offre de services qui remonte au milieu des années 1990 et qui servait à l’époque de système d’appels d’urgence, de suivi en cas de véhicule volé ou encore de GPS amélioré.

La Bolt de Chevrolet sera sans doute la voiture la moins chère du groupe (moins de 30 000 $ en entrée de gamme), avec Apple Music intégré au tableau de bord. Image GM.

Trente ans plus tard, ce même OnStar regroupe tous les services connectés que GM compte bien vendre à ses clients et qui est la véritable raison de son choix d’abandonner CarPlay et Android Auto, en dépit des excuses données par ses dirigeants. Comptez au minimum 10 $ par mois pour accéder à Apple Music… avec votre propre abonnement Apple bien sûr, le tarif ne comprenant que l’accès à internet pour les services de streaming musical, pas les services eux-mêmes. Les conducteurs qui ne sont pas abonnés au service d’Apple pourront le faire depuis l’écran de la voiture, mais dans tous les cas, ce n’est pas GM qui paie.

Notons pour finir que cette intégration n’est pas une exclusivité, Tesla puis Rivian proposent tous deux exactement le même mécanisme. Un accès à Apple Music depuis l’écran de la voiture, à condition toutefois de payer le constructeur pour l’accès à internet mobile.

Apple Music se fait enfin entendre dans les Tesla

Apple Music se fait enfin entendre dans les Tesla

Rivian intègre Apple Music et l

Rivian intègre Apple Music et l'audio spatial dans ses véhicules, avec une option payante

Guide de Noël : bagues, balances, les appareils de suivi de santé les plus utiles sous iOS

15 décembre 2025 à 20:50

Avec la fin d’année vont arriver les vœux. Et parmi eux revient très souvent un élément : la santé. Et ça tombe bien, parce que des accessoires en rapport avec la santé, il en existe pléthore de disponibles pour accompagner l’iPhone ! Petit tour de cette longue liste, histoire de choisir de quoi bien commencer l’année à mettre sous le sapin.

L’Apple Watch, grand classique de la pomme

Bien entendu, dès qu’on s’attaque à la santé liée à un produit pommé, l’un des choix les plus évidents reste l’Apple Watch. Le gros avantage, c’est qu’on est sûr de ne pas se tromper : un produit Apple sera fait pour aller comme un gant à votre iPhone (du moment que celui-ci n’est pas trop vieux, bien entendu), et avec le temps, quasiment toutes les Apple Watch proposées cette année sont devenues de bons choix.

Plus discrète que l’Ultra 3, la Series 11 est déjà très complète pour suivre vos constantes. Image MacGeneration.

Et niveau santé, dès l’Apple Watch SE c’est relativement complet : capteur de fréquence cardiaque avec mesure en continu, alertes en cas de rythme cardiaque trop élevé ou irrégulier, suivi du sommeil, mais aussi accès aux nombreux programmes de sport intégrés dans l’app Exercice, que la montre saura monitorer grâce à son accéléromètre et son altimètre intégré, ainsi qu’à la puce GPS. Pour compléter le tableau, elle saura aussi mesurer les variations de température du corps, ce qui s’avèrera bien pratique pour le suivi des cycles menstruels de ces dames. Elle est disponible en deux variantes, uniquement wi-fi (249,00 € en 40 mm et 279,00 € en 44 mm), ou wi-fi + cellulaire (299,00 € en 40 mm et 329,00 € en 44 mm).

Test de l’Apple Watch SE 3 : la montre qui a tout compris

Test de l’Apple Watch SE 3 : la montre qui a tout compris

Vous en voulez plus ? L’Apple Watch Series 11 rajoute à la liste déjà confortable l’électro-cardiogramme, et la mesure du taux d’oxygène sanguin (pour une fois que l’Europe a une fonction que les US n’ont pas sur la montre, il ne faudrait pas s’en priver !). Par rapport à la SE 3, la Series 11 propose aussi un écran légèrement plus grand et plus lumineux, en plus d’un boîtier en aminci du plus bel effet. Comme la SE 3, elle est disponible en version wi-fi uniquement (419,00 € en 42 mm ou 449,00 € en 46 mm), ou wi-fi + cellulaire (569,00 € en 42 mm ou 599,00 € en 46 mm). Cerise sur le gâteau, la version Wi-Fi + Cellular est aussi proposée en titane, au choix naturel, doré ou noir.

Test de l

Test de l'Apple Watch Series 11 : on prend la même et on recommence

Mais la plus complète de toutes, c’est bien entendu l’Apple Watch Ultra 3 : étanche à 100 mètres, elle complète les fonctions déjà présentes sur les Series 11 par un profondimètre intégré et un boîtier renforcé lui donnant cet aspect baroudeur prêt à toutes les aventures. Elle n’est disponible qu’en une seule taille et obligatoirement avec l’option cellulaire intégrée, en deux goûts au choix, titane naturel ou titane noir, pour 899 €.

Test de l’Apple Watch Ultra 3 : deux ans après, une mise à jour ultra décevante ?

Test de l’Apple Watch Ultra 3 : deux ans après, une mise à jour ultra décevante ?

Vous préférez porter une montre classique ? Alors l’anneau vous guidera tous

Il est des moments où on n’a pas envie de montre connectée, que ce soit pour des raisons esthétiques (tout le monde ne veut pas forcément avoir un écran allumé sur un bracelet, et certaines soirées ne s’y prêtent pas) ou pour des raisons de préférence (le charme d’une montre automatique...). Mais dans ce cas, comment faire pour suivre ses constantes, et ses prouesses sportives ?

C’est là que l’anneau connecté arrive. Avec ses multiples capteurs, il est tout aussi précis et utile que la montre connectée, avec deux avantages sur celle-ci : vous pouvez mettre la montre de votre choix à votre poignet (voire ne pas en mettre du tout), et l’autonomie est bien plus conséquente que la tocante d’Apple, avec une bonne semaine avant de demander à être rechargé.

Si les utilisateurs Android ont le choix le plus large, ceux sur iOS se voient amputés de la possibilité Samsung, le Galaxy Ring n’étant compatible qu’avec l’OS de Google. Ne reste alors que trois solutions vraiment sérieuses : le RingConn Gen 2 (271,00 €), l’Ultrahuman Ring Air (265,00 €), ou le Oura Ring 4 (399,00 €). Si les trois se valent niveau nombre de fonctions, Oura a l’avantage de proposer les mesures les plus fiables, et l’app la mieux intégrée à iOS. Quelque chose me dit d’ailleurs qu’on reviendra sur le sujet très bientôt...

Balance, thermomètre, tensiomètre... le festival Withings

Grand spécialiste depuis des années maintenant de la balance connectée à iOS, Withings continue de proposer toute une gamme de pèse-personnes aux fonctions diverses et variées : de la version de base Body Smart (99,00 €) donnant déjà le poids (heureusement !), la masse musculaire, la masse grasse, la masse osseuse, mais aussi le pourcentage d’eau ainsi que la fréquence cardiaque mais aussi l’IMC, elle est chapeautée par la Body Comp (199,95 €), qui rajoute des indications plus poussées comme la santé artérielle, ainsi qu’un suivi du stress cardio, grâce entre autres à la mesure de la vitesse d’onde de pouls. Ça ne vous suffit toujours pas ? Pour les plus inquiets, la Body Scan (399,95 €) est la plus affûtée : avec un ECG en 6 points et l’analyse de la composition corporelle séparée entre bras, jambes et tronc, il y a de quoi avoir tous les détails de votre corps.

Oui, il faut tenir une poignée pour le scan complet de la Body Scan. Mais ça vaut le coup ! Image Withings.

Envie de surveiller encore plus de choses ? La gamme comprend aussi le thermomètre BeamO (249,00 €) qui réunit température sans contact, moniteur ECG, oxymètre et stéthoscope (oui oui !), mais aussi le BPM Connect (125,07 €), tensiomètre connecté qui vous permettra de suivre votre tension sur l’année grâce à l’app maison.

Withings lance son BeamO, un scanner santé de poche 4-en-1

Withings lance son BeamO, un scanner santé de poche 4-en-1

Il existe encore bien d’autres appareils de santé connectés à iOS : la liste serait tellement longue qu’il faudrait y passer des jours ! Mais au moins, avec cette petite sélection, vous devriez pouvoir surveiller vos constantes au plus près pour bien commencer la nouvelle année.

Les premières bêtas des OS 26.3 sont disponibles, avec le transfert simplifié entre iOS et Android

15 décembre 2025 à 22:05

Les mises à jour 26.2 des systèmes d’exploitation étant évacuées depuis la toute fin de la semaine dernière, place aux versions 26.3, bien entendu ! Sans trainer, Apple propose ce soir les premières bêtas d’iOS 26.3, iPadOS 26.3, macOS 26.3, tvOS 26.3, watchOS 26.3, visionOS 26.3 et même (probablement) des systèmes des HomePod. Les serveurs de Cupertino vont chauffer.

iOS 26.3 bêta 1 sur un iPhone 17 à gauche, watchOS 26.3 b1 sur une Apple Watch Series 9 à droite. Image iGeneration.
macOS 26.3 b1 sur un MacBook Pro M1. Image iGeneration.

On ne sait pas encore ce qu’il y a dans cette mise à jour, mais comptez sur nous pour le découvrir dès la fin des téléchargements et installations. Si ces premiers bêtas sont réservées aux développeurs, les utilisateurs qui souhaitent les installer devraient bientôt pouvoir le faire grâce aux bêtas publiques, peut-être dans les prochains jours. Les versions finales devraient sortir en début d’année prochaine, sans doute à la fin du mois de janvier. Pour référence, iOS 18.3 était sortie le 17 janvier 2025.

D’ici là, voici les différentes nouveautés dénichées dans les premières bêtas d’iOS 26.3.

Mise en place du transfert simplifié entre iOS et Android

On s’y attendait, puisque Google avait vendu la mèche il y a quelques jours en annonçant l’arrivée de la nouveauté : iOS 26.3 b1 contient bien le code nécessaire pour transférer plus simplement un smartphone Android vers iOS. Cette nouveauté est accessible du côté de l’iPhone depuis l’écran de transfert ou de réinitialisation de l’appareil : dans l’app Réglages, puis Général et « Transférer ou réinitialiser l’iPhone ». En bas, un nouveau bouton « Transférer vers Android » est affiché et c’est lui qui va enclencher le processus.

Le nouveau bouton pour débuter un transfert à gauche, les explications données par iOS 26.3 à droite. Image iGeneration.

L’écran suivant demande de placer l’appareil Android cible à côté de l’iPhone, pour que les deux téléphones puissent échanger et être reliés par un réseau Wi-Fi direct, exactement comme lors d’un transfert entre deux iPhone. Le texte indique que les photos, messages, notes, apps et même le numéro de téléphone basculeront d’une plateforme à l’autre. En revanche, quelques éléments ne seront pas transmis pendant la procédure :

Les données Santé, les appareils jumelés via le Bluetooth et les éléments protégés, tels que les notes verrouillées, ne pourront pas être transférés.

Par rapport aux méthodes précédentes, qui reposaient à chaque fois sur une app fournie par Google ou Apple, tout se fait ici directement. C’est le résultat d’une collaboration entre les deux entreprises et une réponse aux exigences d’interopérabilité du DMA, comme l’a rappelé l’Union européenne.

Le transfert simplifié entre iOS et Android répond à une exigence du DMA, rappelle l’Union européenne

Le transfert simplifié entre iOS et Android répond à une exigence du DMA, rappelle l’Union européenne

Pour que cela fonctionne, il faudra ainsi non seulement un iPhone sous iOS 26.3 ou plus, il sera aussi nécessaire d’avoir un smartphone Android qui prend en charge la fonctionnalité. De ce côté, c’est plus flou, une première version destinée aux développeurs a été distribuée uniquement pour les Pixels et on ne sait pas quand la nouveauté sera déployée largement.

Transfert des notifications vers des appareils tiers

Autre nouveauté qui semble dictée par la Commission européenne : iOS 26.3 intègre la mécanique nécessaire pour transférer des notifications vers des appareils tiers. Apple n’a pas le choix, l’Europe a jugé que l’Apple Watch avait un avantage sur ses concurrents en étant le seul appareil à pouvoir relayer les notifications de l’iPhone. L’entreprise devait ainsi permettre à ses utilisateurs d’envoyer les notifications d’iOS sur des appareils tiers, typiquement une montre connectée concurrente.

Ce que les exigences de la Commission européenne vont changer dans (le développement) d’iOS 19 et iOS 20

Ce que les exigences de la Commission européenne vont changer dans (le développement) d’iOS 19 et iOS 20

Ce changement devrait être mis en œuvre dès iOS 26.3, en tout cas côté Apple. On ne sait pas encore comment les fabricants pourront faire en sorte que leur produit apparaisse sur l’iPhone comme destination potentielle pour les notifications. On sait en revanche que la Pomme a prévu une implémentation assez stricte : dans l’app Réglages, puis dans « Notifications », une nouvelle section « Transfert des notifications » est désormais disponible. À l’intérieur, on devrait trouver la liste des appareils qui peuvent recevoir les alertes et le message est sans ambiguïté sur le fonctionnement.

Le nouveau bouton ajouté par iOS 26.3 à gauche, le texte qui détaille la fonctionnalité à droite. Image iGeneration.

En effet, le transfert ne sera possible que vers un seul appareil à la fois et l’Apple Watch compte comme appareil. En clair, si vous possédez la montre conçue à Cupertino, vous ne pourrez pas diffuser vos notifications en même temps sur un autre accessoire. Et si vous choisissez un transfert des alertes, il faudra sélectionner une seule cible à tout moment.

Les notifications peuvent être transférées à un seul accessoire à la fois. Lorsque le transfert des notifications est activé, celles-ci n'apparaissent pas sur l'Apple Watch.

Eric Migicovsky, fondateur de Pebble qui a signé son retour sur le marché des montres connectés, était l’un des principal partisan de l’ajout de cette mesure au DMA. On imagine ainsi que ses futures montres seront compatibles. Est-ce que Google le fera aussi pour WearOS ? Ce serait un sacré changement sur ce marché.

Mise à jour à 21h10 : ajout du transfert entre iOS et Android.

Mise à jour à 21h36 : ajout du transfert de notifications.

Comme prévu, Meta abandonne la version Mac de l'app Messenger

15 décembre 2025 à 19:25

C'était prévu, et c'est en cours : si vous utilisez l'app Messenger de Meta pour Mac, elle ne fonctionnera plus dès demain, le 16 décembre 2025. Meta, qui n'a visiblement pas assez de développeurs pour maintenir ses apps desktop1, abandonne en effet les versions Mac et Windows.

Message annonçant la mort de Messenger sur Mac. Image MacGeneration.

Lancée en 2020, l'app de Meta était native sous macOS et ne passait pas par Catalyst (une fonction qui permet de développer pour iPadOS et macOS en parallèle). Elle a donc été abandonnée sans qu'une raison particulière soit évoquée, et elle n'était déjà plus présente sur le Mac App Store depuis quelques mois. Meta explique comment récupérer les messages sur une page dédiée, et recommande simplement de passer par la version web du service. Il est en effet possible d'utiliser le site Messenger.com pour accéder à la messagerie dans votre navigateur.

Meta abandonne son application Messenger sur Mac et Windows

Meta abandonne son application Messenger sur Mac et Windows

Meta ne permet malheureusement pas d'utiliser l'app iPad sur les Mac Apple Silicon, une fonction qui dépend du bon vouloir des développeurs. X avait fait ce choix l'année dernière, avant de changer d'avis récemment.


  1. Il faut soutenir les petits développeurs, ne l'oubliez pas.  ↩︎

HomePad, l'app qui transforme un iPad en centre de contrôle pour la maison (HomeKit, Musique, etc.)

15 décembre 2025 à 18:25

Si certains attendent un « HomePad », une rumeur qui indique qu'Apple pourrait sortir une tablette fixe pour la maison, certains décident de la créer. Quentin, un de nos lecteurs, a décidé de proposer sa version du HomePad, sous la forme d'une application. HomePad fonctionne sur iPhone, iPad et Mac (Apple Silicon) mais prend tout son sens avec une tablette. L'app est payante (10 €)1 mais la mise en place est soignée et intéressante, nous allons le voir.

C'est le moment de contrôler votre bureau. Image iGeneration.

HomePad, comme son nom l'indique un peu, est une application qui transforme l'iPad en centre de contrôle pour la maison. C'est une réinterprétation de l'interface de l'app Maison d'Apple (HomeKit) mais avec l'intégration de widgets (météo, horloge, calendrier, etc.) et de différentes pages à faire défiler. L'app est clairement pensée pour un iPad accroché au mur ou posé sur un support fixe, plus que pour une tablette qu'on va garder à la main.

La page des widgets, qui sert d'accueil.
La vue de la Musique.

Elle propose différentes pages : une qui contient les widgets, une seconde avec tout ce qui est lié à la sécurité dans HomeKit (caméras, serrures, capteurs, etc.), une troisième qui permet de voir ce qui est allumé (ou éteint) et avoir des informations importantes, comme le fait que la batterie d'un accessoire est bientôt vide.

L'ajout de widgets.
La page des widgets.

En faisant défiler, vous verrez ensuite les différentes pièces de votre installation HomeKit, avec une organisation (un peu) différente de celle de Maison.

La sécurité.
Le statut.

Ensuite, HomePad propose un calendrier, avec les données évidemment présentes dans celui d'Apple, un accès à la musique (qui prend tout son sens avec Apple Musique), à vos photos et enfin aux réglages, pour choisir la couleur de fond, par exemple, ou lancer l'app automatiquement dès que l'iPad est branché.

Les réglages.

L'ensemble est bien intégré, même si la mise en place nécessite pas mal d'autorisations. Ce n'est pas totalement un défaut, dans le sens où il est intéressant de pouvoir éviter à n'importe quelle app' d'accéder à vos données, mais c'est un peu fastidieux dans le cas présent, avec une solution qui a besoin de beaucoup d'autorisations.

Beaucoup d'autorisations.

On peut tout de même noter un petit défaut pratique : si vous êtes sur la vue du calendrier, le fait de faire défiler la page va changer la date et pas vous diriger vers la section dédiée à Maison ou celle de la musique. Sur cette vue précise, il est nécessaire de passer par les onglets.

Est-ce qu'HomePad vaut les 10 € demandés ? Dans l'ensemble, probablement. Même si elle ne fait qu'intégrer les données des services d'Apple, l'app le fait bien et le travail de Quentin est soigné. Qui plus est, elle peut aussi enregistrer l'historique de certaines actions dans HomeKit, ce qu'Apple ne propose pas (HomePad doit être actif pour cette tâche).

En attendant (peut-être) une solution Apple, c'est donc une solution intéressante si vous avez un iPad à disposition pour contrôler votre domotique… au moins si vous utilisez les outils d'Apple2.

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile


  1. Quentin nous a fourni une licence pour l'essai.  ↩︎

  2. Cette note de bas de page est contractuelle : je dois indiquer qu'Home Assistant permet ce genre de choses tout en expliquant que c'est nettement plus performant et complet. Si je ne le fais pas, Nicolas se fâche (et il a raison).  ↩︎

Bons plans : les robots aspirateurs compatibles Matter et HomeKit à prix cassés

15 décembre 2025 à 17:10

Après la hausse technique des prix suite au Black Friday, de nombreux robots aspirateurs sont revenus à leur tarif le plus bas. Certains modèles s'affichent même à des prix inférieurs à ceux pratiqués durant la semaine de promotions. Voici une petite sélection de valeurs sûres. Tous ces modèles ont un point commun crucial pour les utilisateurs de l'écosystème Apple : ils sont compatibles Matter (et donc intégrables à Maison/HomeKit).

SwitchBot K11+ : Le petit poucet qui passe partout

C'est sans doute le modèle le plus atypique de cette sélection. Avec son diamètre réduit (24,8 cm contre 35 cm pour la moyenne du marché), le K11+ est conçu pour se faufiler là où les autres bloquent : entre les pieds de chaises serrés ou dans les recoins exigus. Malgré sa taille de guêpe, il ne sacrifie rien à la puissance avec une aspiration de 6 000 Pa et une navigation LiDAR précise.

Nous testons ce modèle actuellement et le bilan est pour l'instant très positif : il est agile, étonnamment silencieux et sa station de vidage automatique (incluse) lui offre une autonomie de plusieurs semaines. Un excellent choix pour les appartements encombrés ou les petites surfaces.

Prix : 199,99 € au lieu de 259,99 €

SwitchBot S20 : Le nettoyage par rouleau

Si vous avez de grandes surfaces, le S20 est un candidat sérieux. Sa particularité réside dans son système de lavage : contrairement aux patins classiques, il utilise un rouleau "RinseSync" qui se nettoie en continu pendant le cycle. Résultat, il ne traîne pas une serpillière sale sur votre carrelage.

Avec une puissance brute de 10 000 Pa, il avale tout sur son passage. C'est un modèle très complet qui gère parfaitement le multi-étages. Revers de la médaille de son efficacité : le système à rouleau demande un peu plus d'entretien régulier qu'une serpillière statique pour rester performant, mais le résultat en vaut la chandelle.

Prix : 399,99 € au lieu de 499,99 €

Roborock Q7 M5 : La puissance brute à petit prix

159,99 € (au lieu de 239,99 €) | Voir sur Amazon

Roborock décline ici une version musclée de son milieu de gamme. Le Q7 M5 fait l'impasse sur la station de vidage automatique pour casser son prix, mais il conserve l'essentiel : un moteur surpuissant de 10 000 Pa (rare à ce tarif) et la fameuse navigation LiDAR de la marque, réputée pour sa fiabilité.

Il intègre une brosse duo anti-enchevêtrement, idéale si vous avez des animaux à poils longs. À moins de 160 €, c'est un excellent point d'entrée dans l'univers Roborock si vous êtes prêt à vider le bac à poussière vous-même tous les deux ou trois jours.

Prix : 160 € au lieu de 250 €

Roborock Q7 L5+ : Le confort de la station automatique

Pour 40 euros de plus que le modèle précédent, le Q7 L5+ vous offre la tranquillité d'esprit avec sa station de vidage automatique. Concrètement, le robot vide son bac tout seul à la fin de chaque nettoyage, stockant la poussière dans un sac hygiénique que vous ne changerez que toutes les 7 semaines environ.

Sa puissance d'aspiration est légèrement inférieure (8 000 Pa), ce qui reste largement suffisant pour sols durs et tapis fins. C'est le meilleur rapport qualité/prix/confort du moment pour qui veut oublier la corvée de ménage pendant plus d'un mois.

Prix : 200 € au lieu de 220 €

Roborock Q10 S5+ : L'intelligence VibraRise

On monte en gamme avec le Q10 S5+. Ce modèle combine le meilleur des deux mondes : une aspiration de 10 000 Pa, une station de vidage automatique, mais surtout la technologie VibraRise.

Contrairement aux modèles précédents qui traînent leur lingette humide partout, le Q10 S5+ est capable de soulever sa serpillière lorsqu'il détecte un tapis ou une moquette. Il frotte également le sol par vibrations soniques (3000 fois/minute) pour désincruster les taches séchées. Si vous avez un mélange de parquet et de tapis chez vous, c'est le modèle à privilégier pour éviter de mouiller vos textiles.

Prix : 270 € au lieu de 300 €

Deux boîtiers pour SSD capables d'atteindre 40 Gb/s en promotion

15 décembre 2025 à 16:50

Si vous avez un SSD M.2 dans un boîtier un peu ancien ou dans un tiroir, deux boîtiers externes sont en promotion pour le moment. Le premier est un modèle de chez Orico, proposé pour 53 €, contre pratiquement 80 € en temps normal.

Le boitier SSD d'Orico.

Le M224 accepte les SSD M.2 2280 (PCI-Exress NVMe) et compte tenu des débits annoncés — 2,8 Go/s en lecture —, il est probablement équipé d'un contrôleur Thunderbolt 4 Intel. C'est nettement plus que le débit de 1 Go/s qu'il est possible d'atteindre sur un modèle USB-C à 10 Gb/s, et un peu plus que les 2 Go/s que la norme USB 3.2 Gen 2x2 (qu'Apple ne prend pas en charge) permet. Le choix du Thunderbolt 4 à l'avantage d'amener une compatibilité USB-C en parallèle du Thunderbolt : n'importe quel appareil avec de l'USB acceptera le SSD externe, avec un débit évidemment limité par les capacités de l'hôte.

Le modèle d'Ugreen.

Le second est un peu plus onéreux — 60 € au lieu de 100 € — mais aussi un peu plus rapide. C'est un modèle Ugreen équipé d'une puce Asmedia (ASM2464PD). Elle permet de tirer totalement parti de l'USB4 avec des débits qui peuvent atteindre 3,6 Go/s. Attention, vous aurez besoin d'un SSD PCI-Express 4.0 dedans pour en profiter. Comme le modèle Orico, les débits dépendront de l'hôte : 3,6 Go/s sur un Mac Apple Silicon, 2,8 Go/s sur un Mac Intel, etc.

Petite astuce pour les boîtiers de ce type : l'interface externe va limiter les performances dans la majorité des cas, donc il n'y a pas besoin de vous tourner vers des modèles PCI-Express 5.0 ou PCI-Express 4.0 haut de gamme. Un modèle milieu de gamme comme un WD Blue suffit amplement. Et choisir un SSD milieu de gamme amène aussi un avantage : ce sont des modèles qui chauffent généralement moins que les modèles plus rapides, un point important dans un boîtier externe.

La fin des SSD SATA se précise : Samsung aurait abandonné ce marché

15 décembre 2025 à 15:25

Dans le monde des SSD, le marché se divise encore en 2025 en deux : d'un côté les SSD PCI-Express (généralement de type NVMe) et de l'autre les SSD SATA. La différence se fait essentiellement sur le format1 : barrettes rapides d'un côté, et format 2,5 pouces issu des SSD des disques durs de l'autre. Et selon Moore's Law Is Dead, Samsung devrait abandonner ce marché en 2026.

C'est vraisemblablement la fin pour les SSD Samsung.

Actuellement, les SSD SATA se retrouvent essentiellement en entrée de gamme, dans des PC portables à bas prix et dans des mini PC, mais ils sont aussi prisés par ceux qui veulent mettre à jour de vieux PC, équiper un NAS qui n'a pas d'emplacement M.2 ou installer un SSD secondaire dans un PC qui n'a plus de M.2 libre. C'est donc un coup dur pour certains, après la disparition de Crucial, un autre habitué des SSD SATA.

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Le point important, c'est que Samsung était le dernier constructeur majeur à proposer des SSD SATA avec ses propres contrôleurs et de la mémoire TLC (le MX500 de Crucial n'est plus disponible depuis un an) et que le reste du marché est essentiellement composé de modèles équipés de mémoire de type QLC (moins fiable dans le temps) et de contrôleurs d'entrée de gamme. Il existe bien de nombreux constructeurs chinois qui proposent des SSD SATA à bas prix, mais la fiabilité et les performances laissent souvent à désirer. Il ne s'agit même pas ici d'une vague remarque sur les produits noname : lors d'un test d'un NAS, des SSD Fanxiang nous ont posé des soucis, avec des pertes de données à la clé. Pour mettre à jour un vieux PC, un modèle comme le 870 EVO est généralement un bon choix, par exemple.

Test du Ugreen DXP480T Plus : le NAS (à quatre SSD) qui se détache de la masse

Test du Ugreen DXP480T Plus : le NAS (à quatre SSD) qui se détache de la masse

Une des raisons, expliquée dans la vidéo, vient de la rentabilité. Un SSD SATA rapide, dans l'absolu, contient les mêmes composants qu'un SSD M.2 NVMe d'entrée de gamme, au moins sur la mémoire. Mais pour des questions de segmentation, un SSD SATA limité par la norme à environ 550 Mo/s ne peut évidemment pas être vendu aussi cher qu'un modèle qui atteint (par exemple) plus de 3 Go/s. Ou, si vous prenez le problème dans le sens de Samsung, un SSD NVMe d'entrée de gamme peut être vendu plus cher qu'un SSD SATA pour un coût de revient globalement proche.

Samsung vend ses SSD SATA à un prix élevé. Image Samsung.

C'est un problème à moyen terme

Le problème de l'arrêt de la production par Samsung est plus important que la fin de la marque Crucial, et il faut bien le comprendre. Dans le marché de la RAM, Micron ferme sa filiale Crucial, mais vend toujours de la RAM à ses partenaires. Un mouvement qui va augmenter les prix, mais pas forcément la disponibilité : ce que Crucial vendait va être redirigé (au moins en partie) vers d'autres marques. Mais dans le cas des SSD SATA, ce mouvement n'existe tout simplement pas et donc ceux qui ont besoin de SSD SATA performants vont probablement acheter rapidement les stocks existants, ce qui va mécaniquement faire augmenter les prix. Et sans alternatives, ils vont rester élevés pendant un moment. Dans le cas précis de ce domaine, le résultat final est évident : le marché va abandonner le SATA pour le PCI-Express.


  1. Il existe des SSD SATA en barrettes (mSATA et M.2) mais ils sont devenus rares en 2025.  ↩︎

ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 : l'IA s'invite sur votre Mac (et votre PC)

15 décembre 2025 à 14:14

L'intelligence artificielle débarque sur votre bureau, au sens propre. ONLYOFFICE franchit un cap avec sa version 9.2 en intégrant un agent conversationnel capable d'automatiser vos tâches documentaires, de fouiller dans vos fichiers et de remplir des formulaires à votre place. Le tout sans jamais quitter votre machine, grâce au support des modèles locaux.

ONLYOFFICE a sorti récemment la version 9.2 de sa suite bureautique gratuite pour Windows, Linux et macOS. La nouveauté qui retient l'attention ? L'arrivée d'un véritable agent conversationnel d'intelligence artificielle, directement intégré à l'application de bureau.

Une première dans l'écosystème des suites bureautiques grand public qui mérite qu'on s'y attarde.

Un agent IA qui fait bien plus qu'assister

Contrairement aux assistants d'écriture que l'on croise désormais un peu partout, l'agent IA d'ONLYOFFICE ne se contente pas de reformuler vos phrases ou de corriger vos fautes. Il agit comme un véritable bras droit numérique, capable d'interagir avec vos fichiers, votre système de fichiers et vos documents de manière autonome.

Concrètement, on peut lui demander de générer un nouveau document, de retrouver un fichier perdu dans les méandres de votre disque dur, d'extraire le contenu d'un PDF sans même l'ouvrir, ou encore de remplir automatiquement un formulaire administratif en suivant vos instructions.

L'idée n'est pas simplement de faciliter la rédaction, mais d'automatiser des tâches répétitives qui grugent du temps au quotidien. Besoin de lister tous les fichiers récents dans un dossier spécifique ? De comprendre la structure d'un document complexe avant de l'ouvrir ? De transformer une plage de dates vague en dates précises dans un formulaire ? L'agent s'en charge. On tape une instruction en langage naturel, et l'IA exécute. C'est aussi simple que cela en apparence, mais la promesse derrière est ambitieuse : rendre les workflows documentaires plus fluides et moins chronophages.

La souveraineté des données comme argument de poids

Là où ONLYOFFICE marque un point intéressant, c'est dans sa gestion de la confidentialité. L'application permet de connecter différents fournisseurs d'IA : Anthropic, OpenAI, TogetherAI, OpenRouter... Mais aussi, et c'est crucial, Ollama. Pour ceux qui ne connaissent pas, Ollama est une solution qui permet d'héberger localement des modèles de langage sur sa propre machine. En clair, vos données ne quittent jamais votre ordinateur. Aucun envoi vers le cloud, aucune fuite potentielle, aucune dépendance à une connexion internet stable.

Dans un contexte où les questions de confidentialité et de souveraineté numérique deviennent de plus en plus prégnantes, cette approche hybride séduit. Les entreprises sensibles, les professions réglementées ou simplement les personnes soucieuses de protéger leurs informations peuvent ainsi bénéficier des avantages de l'IA sans en subir les inconvénients. ONLYOFFICE ne fournit pas de clés API, c'est à chacun de se procurer la sienne auprès du fournisseur choisi. Une manière de rester neutre et de laisser l'autonomie aux utilisateurs finaux.

MCP : la personnalisation poussée à son paroxysme

Pour ceux qui aiment bidouiller et adapter leurs outils, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 introduit également le support des serveurs MCP. Cette fonctionnalité permet de configurer des tâches automatisées sur mesure, adaptées aux besoins spécifiques d'une personne ou d'une organisation.

On quitte alors le terrain de l'assistant générique pour entrer dans celui de l'outil façonné selon ses propres routines de travail. C'est une couche de sophistication supplémentaire, destinée à ceux qui veulent aller plus loin dans l'automatisation.

Deux niveaux d'IA pour deux usages distincts

Il faut bien distinguer l'agent IA, qui agit comme un assistant global capable de manipuler fichiers et système, du plugin IA intégré directement dans les éditeurs. Ce dernier propose des outils contextuels, comme la correction grammaticale et orthographique dopée à l'intelligence artificielle. On sélectionne un texte, on clique sur l'onglet IA dans la barre d'outils, et le plugin repère et corrige les erreurs. Pratique pour peaufiner un document avant de l'envoyer, sans avoir à jongler entre plusieurs applications.

Ces deux niveaux d'IA coexistent et se complètent. L'un travaille en coulisses sur l'ensemble de votre environnement documentaire, l'autre intervient ponctuellement au cœur même de vos documents. Cette dualité offre une flexibilité bienvenue.

Des améliorations annexes qui comptent

Au-delà de l'IA, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 apporte son lot de raffinements. Les raccourcis clavier sont désormais personnalisables, ce qui ravira ceux qui ont leurs propres habitudes ancrées depuis des années. L'enregistrement de macros fait également son apparition, permettant d'automatiser des séquences d'actions sans écrire une seule ligne de code. Enfin, l'outil de rédaction des PDF s'enrichit d'une personnalisation de la couleur de masquage, un détail qui compte lorsqu'on manipule des documents sensibles.

Une suite gratuite qui continue de séduire

ONLYOFFICE reste fidèle à son positionnement : proposer une alternative open source, gratuite et compatible avec les formats Microsoft Office.

La version Desktop ne coûte rien, fonctionne sur les trois principaux systèmes d'exploitation (Windows, Linux, macOS), et bénéficie d'un développement continu. Téléchargeable gratuitement, elle franchit avec cette version 9.2 un cap en intégrant l'IA de manière native et réfléchie, sans imposer un modèle unique ni forcer la main sur la collecte de données.

Pour ceux qui cherchent une suite bureautique performante, respectueuse de la vie privée et capable de s'adapter à des workflows modernes, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 mérite clairement un essai. L'IA n'y est pas un gadget marketing, mais un outil pensé pour gagner du temps et automatiser l'ennuyeux. Et ça, c'est précisément ce qu'on attend d'une bonne technologie.

Pour en savoir plus sur cette mise à jour, l'annonce officielle détaille l'ensemble des nouveautés.

X arrête son application X pour Mac (qui n'était que l'app iPad mal intégrée)

15 décembre 2025 à 12:15

X (anciennement Twitter, même si ce nom a perdu de son aura) a mis à jour récemment son application, et elle vient de perdre la compatibilité avec macOS. L'app macOS native historique, avec l'oiseau bleu, avait été abandonnée en août 2024 et X avait poussé une solution alternative et peu satisfaisante : l'app X pour iPad.

La dernière version de l'app n'est plus compatible macOS. Image MacGeneration.

Cette dernière n'est qu'une application iPad qui peut être lancée sur les Mac Apple Silicon (pas les Mac Intel) et l'intégration dans le système d'exploitation était minimale, avec des fenêtres liées à l'app et non détachables (par exemple). Mais malgré une bonne partie du code partagé entre toutes les versions, la variante pour Mac a souffert de nombreux bugs ces derniers mois. Et visiblement, les développeurs en ont eu assez : la 11.47 est la dernière qui était compatible avec macOS. La 11.48, sortie récemment, n'est plus compatible avec macOS.

Soit les développeurs ont décidé d'arrêter la prise en charge des Mac, soit c'est un problème de leur côté. Nous avons contacté X, mais comme toujours depuis le rachat par Elon Musk nous n'avons pas eu de réponse1. Et la page officielle de support pour macOS renvoie encore et toujours vers l'ancienne app, qui n'est plus disponible depuis plus d'un an. Si vous utilisez encore le réseau social, c'est donc le moment de chercher une solution, qui est probablement de passer par le site directement, plutôt qu'une app dédiée.


  1. Au moins, la réponse automatique limitée à un ne semble plus en place.  ↩︎

iRobot, le fabricant des aspirateurs robots Roomba, en faillite et acheté par un groupe chinois

15 décembre 2025 à 11:45

Dans le monde des aspirateurs robots, ceux d'iRobot sont probablement les plus connus : Roomba est parfois utilisé comme un nom générique, un peu comme Frigidaire1. Mais en réalité, iRobot n'allait pas bien : la société vient d'être placée sous le chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Unis, l'équivalent du redressement judiciaire dans nos contrées, et va être achetée par un de ses clients (et fournisseurs) pour la production, Picea Robotics.

Un des derniers Roomba. Image iRobot.

iRobot a été fondé en 1990, et le premier aspirateur robot date de 2002 (les premiers robots étaient dans le domaine militaire). La marque a eu un grand succès dans ce domaine, avant de peu à peu se faire rattraper puis dépasser par ses concurrents au fil des années, qui ont proposé des modèles moins onéreux et plus complets.

La fin d'iRobot n'est pas réellement une surprise. En 2022, Amazon avait annoncé l'achat de la société pour 1,7 milliard de dollars, avant que le deal capote à cause de la Commission européenne. Si certaines autorités locales de la concurrence avaient adoubé l’acquisition. iRobot et Amazon avaient donc dû renoncer, devant les risques monopolistiques évidents de l’opération.

Amazon achète iRobot, le créateur des aspirateurs Roomba

Amazon achète iRobot, le créateur des aspirateurs Roomba

Depuis, la société essayait de survivre tant bien que mal, mais ce n'était pas très engageant : les derniers modèles en date étaient essentiellement des modèles chinois rebadgés… fabriqués par Picea Robotics. Cet achat est du coup assez étonnant sur un point : Picea est le fabricant de nombreux modèles d'aspirateurs robots (Shark, Haier, Anker, Dyson selon certaines sources, etc.), ce qui risque d'amener un monopole de fait, au moins dans la conception des robots.

Picea Robotics produit pour beaucoup de monde. Image Picea.

Pour les personnes qui possèdent un Roomba, cet achat devrait au moins permettre aux robots de continuer à fonctionner à court terme. Ensuite, il faut espérer que Picea Robotics continuera à exploiter la marque et gardera les serveurs en ligne…

Les robots aspirateur de Neato dépendaient de serveurs distants, ils vont perdre toute connexion sans recours

Les robots aspirateur de Neato dépendaient de serveurs distants, ils vont perdre toute connexion sans recours


  1. Qui est une marque. On appelle ça un onomastisme.  ↩︎

SF Symbols Lite améliore le gestionnaire d’icônes fourni par Apple

15 décembre 2025 à 11:32

SF Symbols Lite (gratuit) est une nouvelle app plutôt destinée aux développeurs dans l’écosystème Apple, même si elle peut aussi servir dans d’autres contextes. Son développeur la présente comme une alternative à SF Symbols, une app fournie par Apple pour lister toutes les icônes conçues par ses soins et que l’on retrouve dans les apps développées pour ses systèmes d’exploitation. SF Symbols comme SF Symbols Lite affichent la liste exhaustive de tous les symboles à disposition, avec des catégories pour les filtrer, un champ de recherche ou encore la possibilité de créer sa propre organisation.

SF Symbols Lite en action. Image MacGeneration.
SF Symbols Lite en action. Image MacGeneration.

Les deux présentent aussi chaque icône telle qu’elle s’affichera dans une app, avec toutes les options associées : on peut les prévisualiser en monochrome ou avec plusieurs couleurs, fixes ou animées. En bref, ce sont deux apps très proches, au point où l’on peut se demander ce qui a pu pousser le créateur de SF Symbols Lite à proposer sa version. Le développeur a quelques arguments à faire valoir en mettant en avant une app plus simple et plus légère que celle d’Apple, la possibilité de définir ses propres mot-clés ou encore un aperçu amélioré.

Après quelques minutes à tester les deux apps, la différence la plus évidente à mes yeux est la recherche améliorée. Cela n’a jamais été le point fort de SF Symbols, qui cherche uniquement par le nom des icônes, sans souplesse. Par exemple, l’éclair (lightning en anglais) est en réalité nommé bolt, un synonyme qui désigne sans doute plus précisément le symbole, mais l’app d’Apple impose de saisir ce terme et uniquement lui pour retrouver l’icône. Avec SF Symbols Lite, les deux mots fonctionnent aussi bien pour trouver la bonne image. Seul point à noter, j’ai eu quelques latences en utilisant la recherche et il y a probablement des optimisations à faire.

Exemple d’une recherche que la nouvelle app gère parfaitement, alors que celle d’Apple ne donne aucun résultat. Image MacGeneration.
Exemple d’une recherche que la nouvelle app gère parfaitement, alors que celle d’Apple ne donne aucun résultat. Image MacGeneration.

Côté légèreté, on peut relever que SF Symbols pèse environ 136 Mo dans le dossier des applications, contre 32 Mo pour SF Symbols Lite. Pour ne rien gâcher, cette nouvelle app est non seulement gratuite, elle est aussi open-source et son code entièrement en Swift est distribué sur GitHub. La première version est proposée sur la page des sorties et il s’agit d’une app compilée et signée, ce qui permet de l’ouvrir directement.

SF Symbols Lite n’est proposée qu’en anglais et l’app nécessite macOS 26.

Beats rend hommage aux films de kung-fu pour vendre ses Powerbeats Pro 2

15 décembre 2025 à 10:00

Beats a publié une vidéo de près de cinq minutes pour vendre ses Powerbeats Pro 2, ses écouteurs intra-auriculaires pensés pour les sportifs avec leur capteur cardiaque et un arceau qui leur apporte de la stabilité en mouvement… voici d’ailleurs le thème de base de cette nouvelle publicité. Dans une sorte d’hommage aux films de kung-fu des années 1970, la stabilité est au cœur de l’apprentissage d'iShowSpeed (très connu sur Twitch) qui se rend en Asie pour améliorer ses talents et surtout récupérer quelques arguments contre un troll en ligne. Un court-métrage qui multiplie les clins d’œil, jusqu’aux doublages grossiers, avec une bonne dose de second degré.

Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

macOS 26.2 déplace les indicateurs de luminosité et volume quand une app s’affiche en plein écran

15 décembre 2025 à 09:30

macOS 26.2 modifie légèrement les indicateurs de luminosité et de volume, qui ont été déplacés avec macOS Tahoe. Longtemps affichés en milieu et en bas de l’écran, ces indicateurs qui se présentent lorsque l’on change le volume de la sortie audio ou la luminosité de l’écran en utilisant le clavier ont été rangés en haut à droite avec la mise à jour annuelle. La logique d’Apple est de les associer physiquement avec le Centre de contrôle qui se trouve également à ce niveau et qui permet, lui aussi, d’ajuster les deux paramètres.

Changement de luminosité sur le bureau de macOS et avec une app affichée en plein écran. Image MacGeneration.

Avec la mise à jour, on ajoute une subtilité à ce principe général. Les indicateurs s’affichent toujours en haut à droite par défaut, Apple n’est pas revenue en arrière sur ce changement qui modifie des habitudes bien ancrées. En revanche, quand une app passe en plein écran, l’indicateur change de place et vient se positionner en haut, au milieu du moniteur. Pourquoi ce changement ? Sans doute parce que la barre des menus n’est plus visible par défaut quand on est en mode plein écran, alors le lien spatial entre les deux éléments n’a plus lieu d’être.

D’ailleurs, comme l’a relevé AAPL Ch. en signalant la nouveauté, le placement supérieur droit est restauré dès lors que l’on affiche la barre des menus de macOS tout en étant en plein écran. Dans une app en plein écran sans barre de menus, les indicateurs de volume et de luminosité seront centrés en haut ; dans une app en plein écran avec barre de menus, ils seront en haut à droite.

Pour finir, si vous regrettez l’ancien affichage, rappelons l’existence de volumeHUD, un utilitaire qui se charge de le restaurer. L’app a été mise à jour à de multiples reprises depuis notre présentation initiale et elle fonctionne aujourd’hui très bien et peut maintenant masquer l’indicateur du système, pour un rendu plus propre. Si le changement de macOS 26 vous agace, c’est une excellente option.

volumeHUD restaure le gros affichage lors d’un changement de volume sous macOS Tahoe 26

volumeHUD restaure le gros affichage lors d’un changement de volume sous macOS Tahoe 26

Waze teste (enfin) l’affichage des feux tricolores

15 décembre 2025 à 08:54

En cette fin d’année, Google semble décidé de combler les quelques lacunes de ses logiciels de navigation. Si Google Maps va enfin mémoriser systématiquement l’endroit où vous vous êtes garés, Waze pourrait dans un avenir proche enfin afficher les feux rouges !

Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016

Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016

Image : appshunter.io/ Unsplash

Mais attention, l'idée n'est pas de transformer la carte en sapin de Noël. Selon les premiers retours, l'application limiterait l'affichage à trois feux tricolores simultanés lors d'une navigation active. L'objectif est clair : préserver la lisibilité de l'interface et ne pas noyer le conducteur sous un flot d'informations visuelles alors qu'il doit se concentrer sur la route.

Le comportement diffère toutefois si vous utilisez Waze en mode « roue libre », sans itinéraire programmé. Dans ce cas de figure, l'application se montre plus exhaustive et affiche l'ensemble des feux situés à proximité de votre position, offrant une vue plus complète des intersections alentour.

Cette nouveauté, repérée par GeekTime, n'en est pour l'heure qu'au stade expérimental. Les tests semblent circonscrits à Israël et aucune date n'a encore filtré pour un déploiement international. Il reste également à voir si cette limite de trois feux sera maintenue dans la version finale.

Ce n'est cependant pas une surprise totale : en mai dernier, Waze avait confirmé que la prise en charge des feux était bien sur sa feuille de route. La logique voudrait que la filiale de Google ne reparte pas d'une feuille blanche. Théoriquement, Waze pourrait piocher dans l'immense base de données de Google Maps, qui cartographie déjà les feux tricolores dans de nombreux pays, plutôt que de tout recommencer à zéro.

Reste à voir quand cette fonction sera effectivement déployée. La patience dans cette affaire est de mise. Apple Plans gère cela depuis … 2019.

Plans sait afficher les feux   et les stop

Plans sait afficher les feux et les stop

iOS : Apple cherche toujours à forcer les mises à jour automatiques

15 décembre 2025 à 08:32

Pour Apple, tous les moyens sont bons pour inciter très fortement les utilisateurs à installer la dernière version d’iOS ou de macOS. Les utilisateurs encore sous iOS 18 ont droit à un énorme pavé pour vanter les nouveautés d’iOS 26 et doivent s’y prendre à deux fois s’ils veulent rester sur leur version actuelle tout en installant simplement la dernière mise à jour de sécurité.

Des mises à jour de sécurité pour les anciennes versions de macOS et iOS

Des mises à jour de sécurité pour les anciennes versions de macOS et iOS

Il semble d'ailleurs que chez certains utilisateurs sous iOS 18, seule la bascule vers iOS 26 soit proposée. Un comportement qui pourrait être lié au profil choisi dans les réglages de Mise à jour logicielle1.

Le piège du bouton « Continuer »

Le dernier subterfuge d’Apple pour arriver à ses fins se niche dans le tunnel d’écrans auquel l’utilisateur fait face lorsqu’il installe une mise à jour. Un peu comme lorsqu’on a affaire à des conditions générales d'utilisation, on a une fâcheuse tendance à cliquer sur « Continuer » sans trop réfléchir pour accéder rapidement à son écran d'accueil.

C’est précisément là que le stratagème d’Apple se révèle assez fourbe. Les utilisateurs ayant migré vers iOS 26.2 ce week-end ont pu s’en rendre compte : l'écran affichant « Mise à jour terminée » n'est pas aussi anodin qu'il y paraît.

Image : MacRumors

Si vous appuyez machinalement sur le gros bouton bleu « Continuer », vous consentez, sans forcément le vouloir, à ce que les futures mises à jour soient téléchargées et installées automatiquement. Apple a bien prévu une échappatoire, mais elle prend la forme d'un lien discret « Télécharger uniquement automatiquement », bien moins visible que le bouton principal. Si vous n'êtes pas attentif, l'option d'installation automatique est activée par défaut par ce simple clic.

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

Une apparition aléatoire

Ce changement de comportement ne saute pas aux yeux de tout le monde. Si vous aviez déjà activé les mises à jour automatiques, iOS 26.2 ne changera rien à votre quotidien. Plus curieux, cet écran ne semble pas apparaître systématiquement chez tous les utilisateurs ayant pourtant désactivé cette fonction, signe qu'Apple procède peut-être à des tests ou à un déploiement progressif de cette interface.

Il n'empêche, la méthode a de quoi agacer. Elle rappelle que Cupertino peut glisser ce genre d'option « opt-out » (où l'utilisateur doit agir pour refuser) dans n'importe quelle mise à jour mineure. Si vous avez déjà retrouvé votre iPhone mis à jour au petit matin alors que vous n'aviez rien demandé, c'est probablement par ce biais que l'option s'est réactivée discrètement.

Un tour dans les Réglages s'impose

Dans le doute, mieux vaut vérifier l'état de vos paramètres après l'installation d'iOS 26.2. Si vous avez cliqué un peu trop vite et activé accidentellement l'installation automatique, la marche arrière est heureusement simple.

Rendez-vous dans Réglages > Général > Mise à jour logicielle > Mises à jour automatiques. De là, vous pourrez décocher l'option « Mises à jour d’iOS » (ou « Installation des mises à jour de sécurité et fichiers système » selon votre préférence) pour reprendre le contrôle sur le calendrier de vos mises à jour.


  1. On veut bien vos commentaires dans les réactions pour y voir plus clair. Indiquez-nous si vous avez bien installé des bêtas d’iOS par le passé !  ↩︎

Venez donner une note à macOS Tahoe 26

15 décembre 2025 à 08:08

Comme chaque année, on vous propose le même petit exercice : venez noter macOS Tahoe 26, de 0 (exécrable) à 10 (parfait).

macOS Tahoe a d’ores et déjà fait l’objet de deux mises à jour importantes. On part du principe qu’en théorie, Apple a eu le temps d’essuyer les plâtres et de corriger les plus gros dysfonctionnements de son système.

La grande nouveauté de macOS Tahoe, c’est bien évidemment son interface : Liquid Glass. Il ne faudrait pas limiter cependant le système d’exploitation à cela. Apple a revu Spotlight en profondeur, avec plus ou moins de bonheur. C’est aussi l’arrivée de nouvelles apps issues d’iOS comme Téléphone, de petites nouveautés liées à Apple Intelligence, des fonds d’écran qui donneront le sourire aux nostalgiques, ou encore un centre de contrôle largement inspiré de l’iPhone.

macOS Tahoe : les nouveautés à découvrir en premier

macOS Tahoe : les nouveautés à découvrir en premier

Contrairement à il y a quelques années, Apple améliore son système d’exploitation en permanence, en y ajoutant régulièrement de nouvelles fonctionnalités. Avec macOS 26.2, Apple ajoute par exemple la fonction Éclairage des bords, qui affiche une large bande lumineuse sur les contours de l’écran pour améliorer l’éclairage du sujet. Pratique pour les visioconférences.

Alors, la question est simple : êtes-vous satisfait de macOS Tahoe 26 ? Donnez-lui une note !

Traduction en direct : Google va défier les AirPods Pro sur leur propre terrain

15 décembre 2025 à 07:15

La fonction de traduction en direct des AirPods, qui vient tout juste d’arriver en Europe, va bientôt avoir de la concurrence. Limitée initialement aux Pixel Buds, la fonction de traduction en temps réel de Google Translate va être généralisée progressivement.

On a testé la traduction en direct des AirPods : vraiment utile pour franchir la barrière de la langue ?

On a testé la traduction en direct des AirPods : vraiment utile pour franchir la barrière de la langue ?

La fin de l'exclusivité matérielle

C'est là que la stratégie de Google diverge radicalement de celle de Cupertino. Alors qu'Apple verrouille cette fonctionnalité à son propre écosystème matériel — il vous faut impérativement des AirPods pour en profiter —, la firme de Mountain View abat les cloisons. La dernière mise à jour de Google Translate permet d'utiliser la traduction vocale en direct avec n'importe quel casque ou écouteurs, pour peu qu'ils soient connectés à un téléphone Android compatible.

Le déploiement, qui débute aujourd'hui en version bêta, prend en charge plus de 70 langues. L'idée est simple : démocratiser l'interprète de poche sans obliger l'utilisateur à investir dans une paire d'écouteurs spécifique. Une approche agnostique qui contraste avec la « magie » d'Apple, conditionnée presque toujours par la présence d’une puce H1 ou H2.

Image : WatchGeneration

Gemini à la rescousse du contexte

Google ne se contente pas d'ouvrir les vannes matérielles, elle revoit aussi la copie logicielle. L'application Translate va bénéficier de l'intégration de Gemini pour affiner la précision des traductions. L'objectif est de mieux saisir les nuances, les expressions idiomatiques et l'argot, des domaines où la traduction littérale montre vite ses limites.

L'exemple donné par Google est parlant : une expression comme "stealing my thunder" (se faire voler la vedette) sera désormais traduite en tenant compte de son sens figuré, plutôt que d'une incompréhensible histoire de vol de tonnerre. C'est une amélioration bienvenue pour les traductions textuelles, qui cherchent à s'éloigner du mot à mot robotique pour gagner en naturel.

Un professeur de poche et un calendrier échelonné

Enfin, Google lorgne du côté de Duolingo avec l'extension de sa fonction "Practice". Déjà en bêta depuis août, cet outil intégré directement à Translate utilise l'IA pour générer des sessions d'apprentissage personnalisées, basées sur votre niveau de compétence. Vocabulaire, compréhension orale : Google veut que vous n'ayez plus besoin de traduire, mais que vous finissiez par comprendre.

Comment Google Traduction veut concurrencer Duolingo grâce à l’IA

Comment Google Traduction veut concurrencer Duolingo grâce à l’IA

Comme souvent, il faudra patienter un peu avant de voir débarquer tout cela sur nos iPhone. Si la traduction vocale en direct arrive dès aujourd'hui sur Android aux États-Unis, au Mexique et en Inde, elle ne sera disponible sur iOS que l'année prochaine. Les améliorations textuelles. Le mode « Entrainement » est pour sa part en bêta et n’est pas forcément encore déployé chez tout le monde.

Kindle : Amazon va permettre le téléchargement des livres en EPUB et PDF

15 décembre 2025 à 06:45

Amazon fait machine arrière toute. Après avoir tout fait pour verrouiller l’écosystème Kindle, le géant du commerce en ligne change son fusil d'épaule. Dans une note publiée sur le portail Kindle Direct en fin de semaine dernière, Amazon annonce que les lecteurs pourront, à partir du 20 janvier 2026, télécharger les fichiers des livres qu’ils ont achetés.

Image : Balázs Kétyi / Unsplash

Un choix de format, mais pas de liberté totale

Cette nouveauté, qui sera effective dans un peu plus d'un mois, permettra aux utilisateurs de récupérer une copie locale de leurs ouvrages. Le choix sera offert entre deux formats standards : le PDF et, plus intéressant pour les liseuses, l’EPUB.

Cependant, ne criez pas victoire trop vite. Si Amazon ouvre la porte technique, la clé reste dans la poche des éditeurs. La firme de Seattle précise bien que la présence ou non de DRM dépendra entièrement de la volonté de la maison d'édition. Si l'éditeur décide de protéger son œuvre, le fichier téléchargé restera verrouillé, limitant drastiquement son utilisation sur des appareils concurrents.

Après une année 2025 sous le signe du verrouillage

Ce revirement est d'autant plus surprenant qu'Amazon avait passé l'année 2025 à serrer la vis. En février dernier, l'entreprise avait supprimé la fonction « Télécharger et transférer via USB », coupant l'herbe sous le pied de ceux qui voulaient gérer leur bibliothèque hors ligne. Puis, en septembre, une mise à jour du système de DRM avait rendu le "déplombage" des ebooks quasiment impossible, au grand dam des amateurs de Calibre.

Amazon finit de verrouiller l’écosystème Kindle

Amazon finit de verrouiller l’écosystème Kindle

Amazon ne permettra plus de télécharger les livres destinés aux Kindle depuis son site

Amazon ne permettra plus de télécharger les livres destinés aux Kindle depuis son site

Officiellement, ces mesures visaient à lutter contre le piratage. Dans les faits, elles ont surtout compliqué la vie des utilisateurs honnêtes soucieux de conserver une copie de sauvegarde de leurs achats, ou de prêter un livre numérique aussi simplement qu'un livre papier.

La fuite vers des écosystèmes plus ouverts

Cette rigidité a fini par coûter cher à Amazon. De nombreux utilisateurs historiques du Kindle ont commencé à migrer vers des solutions plus souples, notamment les liseuses Boox. Ces appareils sous Android permettent de piocher dans plusieurs boutiques et gèrent nativement les fichiers EPUB sans passer par des conversions fastidieuses.

En face, Kobo a toujours permis le téléchargement des fichiers EPUB, bien que souvent protégés par le DRM d'Adobe. Une solution imparfaite, mais qui a le mérite d'exister et d'assurer une certaine interopérabilité, là où Amazon jouait cavalier seul.

Un pas dans la bonne direction

Avec ce changement prévu pour 2026, Amazon semble vouloir endiguer l'hémorragie. C'est indéniablement une avancée positive pour le consommateur qui pourra plus facilement stocker ses achats localement.

Néanmoins, en laissant le choix du DRM aux éditeurs, Amazon se dédouane habilement : si vous ne pouvez pas lire votre livre acheté sur Amazon sur votre nouvelle liseuse, ce ne sera plus (officiellement) la faute de Jeff Bezos, mais celle de votre éditeur préféré

Reçu hier — 14 décembre 2025 MacG.co

Apple et la RAM : des accords clés arriveraient bientôt à échéance

14 décembre 2025 à 21:20

L’intelligence artificielle ne se contente plus de bouleverser nos usages logiciels. Elle est désormais en train de pomper très concrètement les ressources physiques de l’industrie. Mémoire, capacités de production, priorités industrielles : tout converge vers l’IA, au détriment des marchés plus « classiques » comme le PC, le smartphone ou l’électronique grand public.

Le changement est brutal. Et il commence déjà à se faire sentir dans les négociations entre fabricants et fournisseurs. Quand les producteurs de mémoire reviennent à la table, ce n’est plus pour consentir des rabais : la courbe ne va que dans un sens.

Certains acteurs ont visiblement acté cette nouvelle réalité. Micron, par exemple, a choisi de sacrifier sa marque grand public Crucial. Une décision lourde de sens. Crucial, c’était des SSD et de la RAM accessibles, largement adoptés par le grand public et les assembleurs. Une page se tourne, au profit de l’IA et de ses marges autrement plus confortables.

Image Crucial

Du côté des constructeurs, les signaux ne sont guère plus rassurants. En coulisses, il se murmure que Lenovo préparerait une révision de ses grilles tarifaires dès le début de l’année prochaine. Là encore, difficile d’y voir une coïncidence.

Pénurie de mémoire : des fabricants de PC s’apprêteraient à augmenter leurs prix

Pénurie de mémoire : des fabricants de PC s’apprêteraient à augmenter leurs prix

Apple en position de faiblesse (pour une fois) pour négocier ?

Même Apple, pourtant réputée pour la solidité de sa chaîne d’approvisionnement, pourrait ne pas sortir indemne de cette séquence. Une rumeur, à manier avec précaution, évoque la fin prochaine des accords d’approvisionnement à long terme qui lient Cupertino à Samsung et SK Hynix pour la mémoire.

Un scénario qui tombe mal. Très mal, même. Car les deux fondeurs coréens sont aujourd’hui en position de force. La demande liée à l’IA explose, les capacités sont limitées, et les marges n’ont jamais été aussi attractives. Dans ce contexte, renégocier des contrats dès janvier 2026 serait tout sauf une formalité.

What I find hard to understand is that the sell-side and the market are significantly overestimating Apple's supply chain management capabilities.

In my view, Apple is also likely to take a significant hit from this memory price surge. The LTAs (Long-Term Agreements) that Apple…

— Jukan (@jukan05) December 13, 2025

Selon plusieurs sources, Samsung n’hésiterait déjà plus à arbitrer en faveur de ses clients les plus rentables, allant jusqu’à restreindre certaines livraisons à sa propre division mobile. Le message est limpide : la mémoire va là où elle rapporte le plus.

Samsung refuse de vendre de la RAM à Samsung, à cause de la pénurie

Samsung refuse de vendre de la RAM à Samsung, à cause de la pénurie

Si cette tendance se confirme, Apple pourrait se retrouver dans une situation inhabituelle : payer plus cher pour sécuriser ses volumes, là où elle imposait jusqu’ici ses conditions.

Un conseil qui ressemble à un avertissement

L’analyste connu sous le pseudonyme @jukan05 ne mâche pas ses mots. Pour lui, les prix actuels sont probablement les meilleurs que nous verrons avant longtemps. Un constat sans appel, qui sonne presque comme un avertissement aux consommateurs.

Son message est clair : si un renouvellement de matériel est prévu, mieux vaut ne pas trop tarder. Tant que les stocks tiennent et que les hausses ne sont pas encore passées intégralement dans les prix publics, le moment est sans doute mieux choisi aujourd’hui que demain.

Car lorsque les coûts de production augmentent durablement, l’addition finit toujours par arriver. Et rarement en douceur.

iPhone 18, Mac et mauvaises surprises à l’horizon ?

Apple conserve évidemment des leviers que peu d’acteurs peuvent se permettre. Sa trésorerie colossale, son intégration verticale, et ses puces maison — à commencer par le futur modem 5G, qui pourrait économiser une dizaine de dollars par appareil — offrent de précieux amortisseurs.

Mais ces garde-fous suffiront-ils face à une flambée durable des prix de la mémoire ? Rien n’est moins sûr. Si les coûts explosent, c’est l’ensemble de la feuille de route matérielle qui pourrait en pâtir : du futur MacBook d’entrée de gamme au MacBook Pro M6, en passant par la gamme iPhone 18… sans oublier l’iPhone pliant, s’il voit bien le jour.

Les puces Apple vont coûter plus cher : TSMC relève ses prix

Les puces Apple vont coûter plus cher : TSMC relève ses prix

Pour ceux qui comptaient changer de machine au premier semestre 2026, la note pourrait être sensiblement plus salée que prévu. L’IA promet beaucoup de choses. Mais elle a déjà un coût. Et ce coût commence à se voir.

Promos : iPad Air M3 à partir de 545 €, Smart Folio Apple à partir de 19 € et Smart Keyboard à 85 €

14 décembre 2025 à 20:20

Si à l’approche des fêtes de fin d’année, vous êtes à la recherche d’un iPad Air M3 à bon prix, vous avez du choix. On a connu des offres plus agressives par le passé, mais les prix proposés restent tout à fait intéressants.

La meilleure offre du moment nous vient d’Amazon Italie. Il est possible d’y acquérir la tablette d’Apple pour 545,65 €. Attention, seul le modèle bleu est annoncé avec une livraison avant Noël. Le prix final diffère quelque peu de celui affiché sur la fiche produit : il est recalculé au panier pour prendre en compte les frais de port vers la France ainsi que l'ajustement de la TVA. Rappelons que vous pouvez utiliser votre compte Amazon France pour passer commande.

A titre de comparaison, la tablette d’Apple est proposée à 669 € sur l’Apple Store et à 589 € sur Amazon France. L’autre alternative, c’est de commander chez Darty. L'iPad y est vendu 599 €. Le prix est certes plus élevé, mais jusqu’à minuit, l'enseigne offre 20 € en bon d’achat tous les 200 € dépensés avec le code DARTY20. En ajoutant un petit câble ou un adaptateur dans votre panier pour franchir la barre des 600 €, vous obtiendrez ainsi 60 € en bons d’achat (utilisables en magasin à partir du 26 décembre).

Le MacBook Pro M4 1 To à 1699 € et 120 € de bons d

Le MacBook Pro M4 1 To à 1699 € et 120 € de bons d'achat ! (et d'autres offres Apple)

Réduction sur de nombreux accessoires

L'achat d'un iPad s'accompagne presque systématiquement de celui d'une protection. Le site Ploonk propose actuellement des Smart Folio pour iPad Air 11” à des tarifs défiant toute concurrence : les prix débutent à 18,99 €, soit une fraction de ce que réclame Apple pour le même accessoire (99 €). Le revendeur l'assure, il s'agit bel et bien de stocks officiels de la Pomme et non de contrefaçons. Notez que la facture peut varier légèrement selon le coloris choisi.

À défaut de Magic Keyboard, Ploonk propose le Smart Keyboard Folio pour iPad Air 11” à 99,99 €. Lorsqu’il était commercialisé, ce clavier était tout de même vendu 220 €. Détail important à prendre en compte avant de passer commande : il s'agit d'une disposition QWERTY. Enfin, le code XMAS15 permet d'obtenir 15 % de réduction sur l’ensemble du site. Ce qui fait tomber le prix du clavier à 85 € !

Déstockage de bracelets Apple à partir de 15 € !

Déstockage de bracelets Apple à partir de 15 € !

Marre des pubs et des trackers ? Voilà pourquoi il faut utiliser un Adblock VPN

14 décembre 2025 à 14:30

Le web est une invention magnifique… mais disons-le franchement : il a un peu mal tourné. À force de grandir dans tous les sens, il ressemble aujourd’hui davantage à un sapin de Noël surexcité qu’à l’autoroute de l’information qu’on nous promettait. Publicités qui clignotent, trackers par pelletées, scripts qui s’empilent comme des lasagnes mal montées… et au final, un paradoxe absurde : jamais nos machines n’ont été aussi rapides, jamais nos connexions n’ont été aussi bonnes, et pourtant les sites mettent toujours autant de temps à se charger.

On scrolle, ça rame. On ouvre un onglet, ça halète. On se dit qu’on a peut-être trop d’onglets ouverts, mais non : c’est simplement le site qui est conçu à la truelle. Ou plutôt, disons-le clairement : il est ralenti par une armée de scripts qui ne vous veulent pas forcément du bien.

Et pour assombrir le tableau, rappelons que la publicité en ligne n’est pas seulement envahissante : elle constitue aussi un vecteur de choix pour la diffusion de logiciels malveillants. Oui, en 2025, on peut encore attraper un virus en regardant une bannière mal servie…

Pour se protéger, une première solution existe : les bloqueurs de publicité. Ils soulagent les internautes, mais ils pénalisent aussi les éditeurs — toujours bon à rappeler. Et surtout, ils ne règlent qu’une partie du problème. Ils filtrent, certes, mais ils ne réparent rien. La vraie réponse, aujourd’hui, ce sont les Adblock VPN comme CleanWeb.

Pourquoi les Adblock VPN sont LA solution contre le fléau publicitaire

Un bloqueur de pub classique, c’est une petite extension vissée à votre navigateur. Elle analyse chaque page, filtre ce qui doit s’afficher ou non, et fait de son mieux. Mais ce système présente trois limites majeures.

La première, c’est que le filtrage repose entièrement sur votre navigateur. Autrement dit, c’est votre machine qui fait le ménage. Si votre connexion est médiocre ou votre appareil un peu ancien, vous le sentirez passer : ça saccade, ça charge lentement, ça pompe la batterie.

Deuxième difficulté : le navigateur le plus utilisé au monde s’appelle Chrome. Et Chrome appartient à Google. Et Google n’aime pas trop les bloqueurs de publicité. Sa stratégie consiste à réduire progressivement leur efficacité, notamment en limitant drastiquement le nombre de règles qu’ils peuvent appliquer.

Enfin, ces extensions ne fonctionnent que dans les navigateurs web. Rien pour les apps mobiles, rien pour les autres logiciels, rien pour les flux réseau qui ne passent pas par un navigateur.

La force d’une solution comme CleanWeb, c’est que tout est géré en amont. Les publicités et scripts malveillants ne franchissent même pas la porte d’entrée de vos terminaux. Ce sont les serveurs de Surfshark qui s’occupent du tri. Tout bénéfice pour vous.

Résultat : des pages qui s’affichent plus rapidement, une bande passante soulagée, une autonomie préservée, un processeur moins sollicité… et une protection active sur l’ensemble de vos appareils.

Autrement dit, CleanWeb bloque également les publicités dans les applications. Et ce n’est pas tout : la solution vous épargne aussi les innombrables publicités dans les vidéos YouTube.

En plus de filtrer la publicité, CleanWeb élimine les pop-up RGPD envahissants, vous alerte en cas de malware et vous prévient en cas de fuite de données.

Pourquoi utiliser CleanWeb plutôt qu’une autre solution ?

Comme évoqué plus haut, CleanWeb fait partie intégrante du bouquet de services Surfshark. C’est une solution mature, éprouvée, et dont le sérieux n’est plus à démontrer.

La formule Surfshark One, probablement la plus intéressante en rapport qualité-prix, comprend CleanWeb, un VPN complet, Alternative ID, un antivirus, un moteur de recherche sans traqueurs ainsi qu’un système d’alerte en cas de fuite de données personnelles.

Et bonne nouvelle : à l’occasion des fêtes de fin d’année, Surfshark casse ses prix. L’abonnement Surfshark One passe à 61,83 € HT, soit 74,2 € TTC. Mieux encore : trois mois supplémentaires sont offerts. Au total, vous vous assurez un confort maximal de surf jusqu’en mars 2028.

À l’heure où le web devient toujours plus touffu, plus lent et parfois plus intrusif, s’équiper d’une vraie solution de protection n’est plus un luxe : c’est une nécessité. CleanWeb n’est pas un gadget, c’est une nouvelle manière de naviguer : plus fluide, plus sûre, plus agréable, partout et sur tous vos appareils.

Et puisque Surfshark propose en ce moment l’une de ses meilleures offres de l’année, le moment est clairement idéal pour franchir le pas. Testez, comparez, et voyez à quel point votre quotidien numérique peut s’alléger. Une fois qu’on y a goûté… difficile de revenir en arrière.

Je teste pendant 30 jours l’offre de Surfshark

Des mises à jour de sécurité pour les anciennes versions de macOS et iOS

14 décembre 2025 à 11:34

Vendredi en fin de journée, Apple ne s’est pas contentée de s'occuper des versions 26 de ses systèmes d’exploitation. Le constructeur a également proposé des mises à jour pour les anciennes moutures d’iOS et de macOS.

Image : The Average Tech Guy / Unsplash

En fonction de vos appareils, vous avez été invités à télécharger macOS Sonoma 14.8.3, macOS Sequoia 15.7.3, iOS 18.7.3 et iPadOS 18.7.3. Toutes ces mises à jour ont le même but : la sécurité. Elles comblent notamment deux vulnérabilités de type « zero-day » susceptibles d'avoir été exploitées lors d’attaques ciblées.

Sécurité : Apple comble deux failles « zero-day » avec iOS 26.2 et macOS 26.2

Sécurité : Apple comble deux failles « zero-day » avec iOS 26.2 et macOS 26.2

Sur iOS 18, à force de vouloir pousser les utilisateurs vers iOS 26, Apple finit par s'emmêler les pinceaux. La nouvelle version majeure a ainsi été suggérée sur l’un de nos iPhone XS… alors même que ce modèle n'est officiellement plus supporté par le dernier système !

D'une manière générale, sur les terminaux restés sur une ancienne mouture, Apple continue de privilégier l'affichage de la version 26 plutôt que le simple correctif de sécurité, souvent relégué au second plan. Quel que soit votre choix, ne tardez pas à mettre à jour vos terminaux !

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