Apple a aujourd’hui annoncé qu’Apple TV+ allait désormais simplement s’appeler Apple TV. Si l’annonce s’est faite sans tambours ni trompettes à la fin d’un communiqué sur le film F1, la toute fraîche bêta 3 d’iOS 26.1 rend ce changement un peu plus concret. L’icône de l’app a été revue : elle est plus colorée et adaptée au Liquid Glass. Il y a encore un peu de boulot, l’app disposant toujours d’un onglet « Apple TV+ ».
Sur un autre registre, la bêta montre qu’Apple planche sur l’intégration de services d’IA autres que ChatGPT. Le fouineur Aaron Perris a remarqué qu’Apple avait remplacé une ligne incitant à « Signaler un problème lié à ChatGPT » par « Signaler un problème lié à un tiers ». L’intégration d’autres services est attendue depuis longtemps : Craig Federighi avait fait miroiter l’arrivée de Gemini lors de la présentation d’iOS 18 en 2024.
Enfin, la bêta ajoute un réglage supplémentaire pour l’enregistrement audio local avec un micro externe, une fonction arrivée avec iOS 26. Une rubrique est apparue dans l’onglet Général des Réglages. Nommée Capture locale, elle permet de choisir l’emplacement des fichiers et de limiter la capture à l’audio uniquement. Ceux l’utilisant régulièrement pourront ajouter un raccourci dans le Centre de contrôle.
Amazon propose en ce moment une bonne ristourne pour les membres Prime : le chargeur mural MagSafe de Zens est à seulement 32,19 € au lieu de 49,99 € en temps normal, soit 36 % de remise. Une offre intéressante sur ce produit vendu et expédié par Amazon. L’offre ne concerne que le coloris blanc, la version noire étant affichée à 42,62 € (-15 %). C’est moins séduisant, mais la promo n’est pas réservée aux abonnés Prime.
Cette prise combine un chargeur MagSafe et un port USB-C, permettant de charger facilement deux appareils. Ce ne sera peut-être pas l’idéal au quotidien, mais cela permet d’avoir un bloc compact en déplacement ou au niveau des yeux dans une cuisine. Le port de charge inclus est 18 W, tandis que la partie MagSafe monte à 15 W.
Une autre prise intéressante est également en promo, à savoir le PlugBug de Twelve South. Il s’agit d’un chargeur 50 W à deux ports qui a l’avantage d’être compatible avec le réseau Localiser. On peut en ce moment le trouver pour 59,07 €, contre 79,99 € en temps normal (-26 %).
Grosse soirée pour les développeurs : Apple vient de mettre en ligne une nouvelle bêta pour ses différents systèmes d’exploitation. Il s’agit d’une troisième bêta pour iOS 26.1, iPadOS 26.1 et macOS 26.1. watchOS 26.1 et visionOS 26.1 sont également de la partie, tout comme tvOS 26.1. Nous allons installer tout cela et vous tiendrons au courant des nouveautés.
iOS 26 apporte pour le moment Apple Intelligence dans plus de pays. Le système d’IA est désormais disponible en danois, néerlandais, norvégien, portugais (Portugal), suédois, turc, chinois traditionnel et vietnamien. La traduction en direct des AirPods comprend également de nouvelles langues. Apple a aussi procédé à quelques petits ajustements pour Liquid Glass, et ajouté un nouveau geste pour Apple Music. La sortie officielle est attendue à la fin du mois.
Peu à peu, les informations sur le Wi-Fi 8, la prochaine génération de la norme sans fil, arrivent. Nous en avons déjà parlé, le Wi-Fi 8 (802.11bn) ne vise pas à améliorer les performances brutes, mais bien à améliorer l'expérience. La norme va rester sur trois bandes — 2,4 GHz, 5 GHz, 6 GHz — avec des canaux de 320 MHz au mieux, mais va surtout améliorer tout le reste, pour obtenir un débit plus stable, une connexion plus fiable… probablement en pratique, un résultat plus rapide et de meilleure qualité.
Dans un communiqué, TP-Link explique avoir mis en place un test avec des prototypes développés avec des partenaires non nommés (peut-être Qualcomm). Ce test a visiblement été concluant, et la marque a mis en place une page sur la technologie. Il n'y a malheureusement pas de date de sortie, et les « avantages » du Wi-Fi 8 sur le Wi-Fi 7 mis en avant sont un peu là pour attirer le chaland : comme chaque fois, les fabricants mettent en avant le streaming en 8K vers un téléviseur, la réalité virtuelle plus fluide ou la fin des zones blanches dans les appartements…
Depuis que vous êtes passé à macOS Tahoe, vous avez peut-être remarqué un petit bug visuel lié au Liquid Glass dans la barre des menus. Si ce n’est pas encore le cas, vous ne pourrez plus l’ignorer à partir de maintenant.
Lorsqu’on ouvre le menu d’une application, celui-ci adopte la transparence typique du Liquid Glass. Jusque-là, tout va bien. Mais dès qu’un sous-menu s’affiche, la logique se dérègle, puisque ce dernier est opaque. Et si l’on survole ce sous-menu, les rôles s’inversent : le menu principal perd sa transparence, tandis que le sous-menu se met au Liquid Glass. Cette petite anomalie graphique concerne toutes les applications sans exception.
Le bug visuel en action. Vidéo MacGeneration.
Apple est au courant du bug. Le correctif est déjà intégré dans macOS 26.1, qui est actuellement en bêta et dont la version finale sortira dans les prochaines semaines.
Si vous n’appréciez pas le Liquid Glass, vous pouvez réduire la majeure partie de son effet en désactivant la transparence dans les Réglages Système. Pour une approche plus ciblée, l’utilitaire SolidGlass permet de le neutraliser application par application.
C'est à la fin d'un communiqué sur le film F1 (dont nous allons reparler) qu'Apple a effectué un changement un peu étonnant : le service Apple TV+, qui porte ce nom depuis le début, devient Apple TV. Un changement qui préfigure peut-être une modification sur le nom d'autres produits, car le nombre de services, apps et appareils avec le nom Apple TV devient élevé. Entre le service de streaming Apple TV, l'app Apple TV (qui donne accès au service Apple TV, mais pas que) et l'Apple TV — le boîtier, qui donne accès à l'app Apple TV, qui permet de lire le contenu du service Apple TV —, tout ça est un peu compliqué.
Le nouveau logo.
Notons que pour le moment, le site d'Apple référence toujours le nom Apple TV+.
Après avoir ouvert grand la porte aux notifications web, Chrome veut désormais mieux encadrer leur usage. Google a annoncé une nouvelle fonctionnalité qui désactivera automatiquement les notifications pour les sites avec lesquels vous n’avez pas interagi depuis un certain temps. De nombreux sites incitent en effet, plus ou moins clairement, à autoriser leurs notifications afin de capter votre attention même après une simple visite.
Suppression automatique de la réception des notifications pour deux sites. Image Google.
D’après les données de Google, les utilisateurs de Chrome reçoivent un volume important de notifications, ce qui finit par provoquer une gêne et un engagement minimal, puisque moins de 1 % des alertes font l’objet d’une interaction. Autant dire qu’elles sont si nombreuses que les utilisateurs ne les regardent même plus.
C’est ce constat, qui aura mis des années à venir, qui va pousser Google à révoquer automatiquement l’autorisation d’envoi de notifications pour certains sites. Seuls ceux présentant un très faible taux d’engagement et un grand nombre d’envois seront concernés. Cette mesure ne s’appliquera pas aux sites installés comme des web apps.
Chrome avertira les utilisateurs lorsque les permissions seront retirées, afin qu’ils puissent empêcher cette révocation si nécessaire, même si cela ne devrait pas être utile dans la plupart des cas. Il sera également possible de désactiver complètement cette fonctionnalité.
Réglages de Chrome consacrés aux notifications. Image MacGeneration.
Les premiers tests menés par Google montrent qu’elle permet de réduire efficacement la surcharge de notifications, tout en augmentant le taux de clics sur les sites plus raisonnables. Le déploiement commencera prochainement pour tous les utilisateurs de Chrome sur Android et sur les systèmes d’exploitation de bureau.
En attendant, n’oubliez pas que vous pouvez gérer manuellement les autorisations accordées aux sites. Vous pouvez faire vous-même du ménage dans les options de notifications de Chrome dès maintenant, tout comme dans Safari ou Firefox.
Avec l'iPhone Air, Apple a imposé l'eSIM partout dans le monde. Et même sans être propriétaire de l'iPhone le plus fin, vous avez peut-être une eSIM sur un iPhone… et envie de passer sous Android. Bonne nouvelle si vous aimez les smartphones coréens : Samsung a une option dédiée dans One UI 8.5 — encore en bêta —, spécifiquement pour les iPhone.
Le nouveau menu de One UI 8.5 (en bêta). Image Android Authority.
Le transfert d'eSIM entre deux iPhone n'est déjà pas un exercice ni totalement sans risque, ni toujours simple, donc le passage d'un iPhone à un smartphone Android peut amener encore plus de complications. Apple, avec iOS 26, l'a bien compris : des outils permettent de transférer (en théorie) une eSIM entre un smartphone Android et un iPhone, dans un sens ou dans un autre. La fonction découverte par Android Authority dans la bêta repose par ailleurs peut-être sur les mêmes fonctions normalement standardisées que celles d'Apple, mais rien ne permet de le vérifier pour le moment.
Le principal problème, actuellement, c'est que la prise en charge des eSIM est encore très perfectible chez de nombreux opérateurs et qu'un passage en boutique ou un appel au service client reste de temps en temps nécessaire, avec des bugs d'eSIM vues en double ou des transferts qui n'aboutissent pas. Si les eSIM ont des avantages techniques indéniables, comme la possibilité d'être stockée et activée à la demande, elles restent nettement moins confortables qu'une nano SIM pour ceux qui changent de smartphones de façon régulière.
Pour ceux qui se déplacent beaucoup avec un Mac portable et peuvent parfois se plaindre de la connectique limitée (surtout sur les MacBook Air), bonne nouvelle : le hub USB-C de voyage d'OWC est en promotion à 47 € au lieu de 65 €.
Le hub. Image OWC.
C'est un petit boîtier (7,9 x 7,9 x 2,5 cm) équipé des prises nécessaires pour un voyageur numérique. Le câble USB-C est intégré et se range sous le boîtier, et il propose de nombreuses prises. On a donc deux prises USB-A 5 Gb/s (pratiques pour les anciens accessoires), une prise USB-C pour un chargeur USB-C, qui va transmettre l'énergie à travers le hub, une prise Ethernet à 1 Gb/s pour les endroits sans Wi-Fi, une sortie vidéo HDMI 2.0 pour un vidéoprojecteur et même un lecteur de cartes SD à la norme USH-II (jusqu'à 312 Mo/s). En clair, le nécessaire pour une bonne partie des cas de figure qui peuvent se présenter quand on a un ordinateur qui ne propose que de l'USB-C.
Dans le petit monde des spywares (très) sophistiqués, le plus connu est probablement Pegasus (il avait ciblé Emmanuel Macron, notamment). Sa société mère, NSO Group, vient d'être rachetée par des investisseurs états-uniens pour des dizaines de millions de dollars (sans plus de détails). Pegasus est un logiciel espion pour smartphones (dont iOS) capable de se rendre invisible pour voler des informations, et il profite de failles dans les systèmes d'exploitation, qui sont généralement corrigées par Apple… avant l'utilisation de nouvelles failles, dans un jeu du chat et de la souris.
Pegasus passe sous pavillon américain. Image duncan cumming, CC BY-NC 2.0.
NSO Group est une société d'origine israélienne, et Pegasus un outil destiné à l'origine à combattre le terrorisme. Mais en pratique, le spyware a été employé par différents États pour en espionner d'autres. Le rachat par les investisseurs menés par Robert Simonds (un producteur hollywoodien) devrait être signé dans les prochains jours, mais doit être approuvé par le ministère de la défense israélien : Pegasus est considéré comme une arme et il y a donc des restrictions et des contraintes sur le rachat de la technologie. Une des conditions de ce rachat serait qu'Omri Lavie (le O de NSO) quitte la société, selon TechCrunch.
Il faut tout de même noter que les relations entre NSO Group et les États-Unis ont toujours été assez tendues, même si la société a longtemps clamé qu'elle n'attaquait pas des cibles américaines avec son spyware. Le département du commerce américain a par exemple longtemps empêché les sociétés américaines de travailler avec NSO Group, et ce rachat va donc changer pas mal de choses.
Retardé au dernier moment pour des raisons réglementaires, l’iPhone Air va finalement faire son arrivée en Chine d’ici moins de deux semaines. Apple a annoncé que les clients chinois pourront le précommander à partir du 17 octobre et qu'il sera officiellement en vente le 22 octobre, rapporte le média Jiemian News, basé à Shanghai.
Shanghai, c’est justement là où se trouve actuellement Tim Cook, qui a rencontré l’artiste Kasing Lung, le créateur des très populaires Labubu. Dans une vidéo publiée sur Weibo par le patron d’Apple, on aperçoit l’illustrateur à l’œuvre sur un iPad Pro, apparemment son outil de prédilection pour concevoir ces affreuses peluches qui font fureur partout dans le monde.
Pour en revenir à l’iPhone Air, sa commercialisation en Chine est compliquée par le fait qu’il n’accepte que les eSIM. Or, les autorités exigent une vérification stricte de l’identité des utilisateurs de cartes SIM, et les procédures d’enregistrement ne sont pas encore totalement adaptées aux SIM dématérialisées. Ce processus est toutefois sur le point d’être finalisé, ouvrant la voie à l’arrivée imminente du nouveau modèle.
Comme cela arrive parfois, Orange vient d’améliorer sans surcout la connexion à internet de clients fidèles. Des abonnés à l’ancienne offre Livebox Zen Fibre ont reçu un email leur annonçant une augmentation gratuite de leur débit, rapporte Alloforfait.
Le débit descendant qui était limité à 1 Gb/s passe à 2 Gb/s. À noter qu’il s’agit de 2 Gb/s « partagés » : on ne peut pas atteindre 2 Gb/s sur un seul appareil, mais jusqu’à 2 Gb/s cumulés sur plusieurs connexions simultanées. Le débit montant évolue, lui, légèrement de 700 à 800 Mb/s.
Si vous êtes abonné à l’offre Zen Fibre, vous avez peut-être encore un ancien équipement, comme cette Livebox 4. Image Orange.
Commercialisée jusqu’en 2018, la Livebox Zen Fibre était l’offre d’entrée de gamme d’Orange avant d’être remplacée par la Livebox Fibre actuelle. L’opérateur aligne donc les débits de son ancienne formule sur ceux de son offre standard du moment, facturée 29,99 €/mois la première année, puis 42,99 €/mois, avec une Livebox S et un décodeur TV 6. Si vous n’avez pas besoin du décodeur, autant passer chez Sosh, qui fournit les mêmes débits avec la même box pour 24,99 €/mois sans limite de durée.
Antoine Dupont n’était pas le seul Français étranger au monde de la tech à avoir été convié à Cupertino le 9 septembre. Mathieu Forget, alias ForgetMat, a profité de l’événement pour transformer Tim Cook en photographe d’un jour : le patron d’Apple a tenu un iPhone 17 Pro pendant que l’influenceur-danseur rejouait ce qui a fait sa renommée sur les réseaux sociaux, à savoir les clichés où il semble flotter dans les airs.
Lors de ce petit séjour à l’Apple Park raconté par le menu (focaccia en guise d’amuse-bouche, côte de bœuf grillée à la flamme en plat principal…), le fils de l’ancien tennisman Guy Forget a croisé d’autres VIP, dont le rappeur Travis Scott et le youtubeur MrBeast. On serait Lena Situations ou Tibo InShape, on bloquerait déjà la deuxième semaine de septembre 2026 pour le keynote des iPhone 18.
Lancé en 2025, l'iPhone 16e est un excellent modèle d'iPhone pour ceux qui veulent un iPhone autonome — grâce notamment au modem Apple C1 — et pas trop cher. Et le moins cher des iPhone neufs est encore moins onéreux pour le moment : il est à 602 € (avec 128 Go de stockage) à la Fnac, chez Darty ou chez Amazon. C'est une réduction très correcte pour un appareil qu'Apple vend habituellement 720 €. La réduction de 15 % est aussi proposée sur les modèles dotés de 256 Go de stockage (720 € au lieu de 850 €) et 512 Go (944 € au lieu de 1 100 €). Dans tous les cas, il existe en blanc ou en noir.
Moins d’un moins après sa sortie, l’iPhone Air fait déjà l’objet de réductions chez plusieurs revendeurs. Vendu à partir de 1 229 € par Apple, on peut d’ores et déjà le trouver ailleurs à 1 099 €, voire moins. On a déjà rapporté les remises disponibles sur Amazon et chez Rakuten. Le groupe Fnac-Darty vient de rejoindre le mouvement.
À l’occasion d’une « Apple Week » organisée par ses soins, le groupe français applique une réduction d’environ 10 % sur l’iPhone ultra-fin, dans toutes ses versions. Les tarifs promotionnels sont les mêmes que sur Amazon, mais la Fnac et Darty font en plus une remise immédiate de 20 % sur les accessoires en cas d’achat simultané.
Fidèle à sa réputation, Rakuten est le plus agressif avec des offres à partir de 899 €, mais attention, ce sont des modèles d’import proposés par des vendeurs auxquels on évite de faire confiance les yeux fermés. Autrement, toujours chez Rakuten, vous pouvez obtenir l'iPhone Air vendu par Darty à 1 069 € (avec en plus 44 € dans la cagnotte). Pour cela, saisissez le code « DARTYIPH » lors de la commande.
L’iPhone Air est un modèle à part dans la gamme : plus fin, plus léger et plus original, mais aussi un peu expérimental. Il n’a pas encore la maturité d’un iPhone classique, pourtant il préfigure sans doute les choix de design et de technologie des futurs modèles. Si vous cherchez un iPhone différent et élégant sans viser l’autonomie et la polyvalence du Pro, cette promotion est une bonne occasion d’y goûter dès maintenant.
En 2013, Bose lançait des appareils connectés sous la marque SoundTouch. Les enceintes passaient par le Wi-Fi pour ajouter des fonctions intelligentes aux appareils, comme un contrôle via une app. Bose avait commencé à abandonner la gamme vers 2020, mais le 18 février 2026, la marque plantera le dernier clou du cercueil : SoundTouch ne devrait plus fonctionner et les produits « intelligents » deviendront « bêtes ».
Cette enceinte va perdre une bonne partie de son intérêt. Image Bose.
Bose explique que l'app ne fonctionnera plus, et que les fonctions liées à des services en ligne (TuneIn, Spotify, etc.) non plus. La prise en charge de l'audio en multi-room ne devrait plus non plus fonctionner. Les entrées analogiques, elles, seront évidemment encore de la partie quand l'appareil en propose (ce qui n'est pas systématique). Sur les fonctions numériques, la page dédiée chez Bose n'est pas très encourageante : elle explique les fonctions de streaming locales (Bluetooth et AirPlay) « continueront très probablement à fonctionner », sans garanties sur le long terme. La marque explique aussi que les entrées HDMI et numérique optiques des barres de son devraient continuer à fonctionner.
Dans les détails, on apprend que l'app ne devrait plus fonctionner du tout après le 18 février 20261, qu’elle est toujours disponible (jusqu'à la date limite) et que Bose ne compte pas prendre en charge ses produits SoundTouch dans une app moderne.
Le choix de la date n'est pas expliqué, mais certains pensent à un certificat expiré. ↩︎
Alors que l’on se posait la question de l’organisation d’un keynote à la fin du mois, Apple pourrait bien prendre tout le monde de court. D’après Mark Gurman, trois nouveaux produits seront présentés dès cette semaine. Par la voie de simples communiqués de presse, Apple pourrait annoncer le MacBook Pro M5, l’iPad Pro M5 ainsi que le Vision Pro M5.
Vision Pro M2. Image Apple.
L’iPad Pro M5 n’a quasiment plus de mystère, puisqu’il a été déballé il y a déjà deux semaines de cela par deux youtubeurs russes. Il a même pointé le bout de son nez sur le site d’un opérateur américain, comme l’a remarqué MacRumors. Sa principale évolution serait sa puce de nouvelle génération, qui semble se montrer plus puissante de 10 à 15 % au niveau du CPU et de 34 % au niveau du GPU par à rapport à la M4. Il reste néanmoins une interrogation sur la présence ou non d’une seconde caméra à l’avant.
Le MacBook Pro M5 devrait être du même tonneau : à part le changement de système sur puce, on ne s’attend pas à grand-chose de spécial par rapport à la génération M4 sortie il y a un an. A priori, ce MacBook Pro M5 sera lancé tout seul : les versions M5 Pro et M5 Max n’arriveraient qu’en début d’année prochaine faute de production prête dès maintenant. Enfin, le Vision Pro gagnerait lui aussi une puce M5. À défaut d’alléger véritablement son casque, Apple aurait mis au point un nouveau bandeau qui améliorera peut-être un peu le confort.
Quand Apple a plusieurs annonces sous le coude, elle préfère généralement les étaler sur plusieurs jours. L’ordre dans lequel ces nouveaux produits seront présentés reste pour l’heure inconnu.
Après cela, la Pomme pourrait lancer de nouveaux AirTags, le HomePod mini 2 et l’Apple TV A17 Pro, peut-être juste à temps pour les achats de Noël. En début d’année prochaine, l’agenda s’annonce chargé avec un nouvel iPad Air, un nouvel iPad d’entrée de gamme, deux écrans externes, le MacBook Air M5, les MacBook Pro M5 Pro et Max ou encore l’iPhone 17e.
Si vous cherchez à mieux surveiller votre hydratation, un nouveau produit intéressant vient d’arriver chez Amazon : l’HidrateSpark Pro 2. Cette gourde connectée peut détecter vos gorgées et vous rappeler de boire grâce à un halo lumineux à sa base. Les données peuvent être synchronisées avec l’app HidrateSpark et connectées à l’app Santé d’Apple, ce qui vous permettra de suivre vos objectifs d’hydratation.
La version noire…
Ce « verre intelligent » a une contenance de 887 ml et est conçu en acier inoxydable. Il dispose d’une isolation à double paroi qui devrait garder vos boissons fraîches pendant 24 heures. La base a été pensée pour être compatible avec les porte-gobelets, tandis qu’une poignée permettra de le déplacer facilement. En plus du bandeau lumineux, un haut-parleur est présent pour des alertes sonores (optionnelles) afin de vous rappeler de boire.
… et blanche. Image HidrateSpark.
La fiche produit indique qu’il est possible d’ajuster dynamiquement ses objectifs d’hydratation en fonction de la météo, de son niveau d’activité ou de ses préférences personnelles. L’accessoire est également compatible avec le réseau Localiser et se recharge en USB-C pour une autonomie allant jusqu’à 21 jours. La gourde est disponible en noir ou en blanc pour 89,99 €.
iOS 26.1 et iPadOS 26.1 ajoutent une nouvelle API destinée aux développeurs d’apps pour l’iPhone et iPad. Comme son nom le suggère, AppMigrationKit vise à simplifier la migration des données gérées par une app et la documentation est avant tout explicite sur ce qu’elle n’est pas. Cette brique pour les développeurs n’est pas pensée pour migrer des données au sein de l’écosystème Apple, elle ne fonctionnera que depuis iOS et iPadOS vers un autre écosystème (ou vice-versa), ce qui veut essentiellement dire Android. En clair, cette nouveauté permettra aux développeurs de proposer à leurs utilisateurs un transfert des données simplifié depuis un iPhone ou iPad vers un smartphone ou une tablette Android.
Image iGeneration.
Apple précise encore que cela ne concerne que ses deux systèmes d’exploitation mobiles, ni macOS, ni VisionOS. C’est important, car ces deux OS peuvent faire tourner des apps iOS, néanmoins AppMigrationKit ne sera pas actif dans ce cadre. De même, les apps Catalyst, c’est-à-dire des apps iPad converties en apps macOS, ne pourront pas l’exploiter. On sent que l’entreprise a tout fait pour restreindre la fonctionnalité à ses iPhone et iPad, ce qui n’est certainement pas un hasard.
Même si la documentation liée à l’API ne le signale pas, AppMigrationKit ressemble à une réponse aux exigences d’interopérabilité du DMA européen, ou d’une législation similaire. Elle répond à une demande bien précise et uniquement à celle-ci : les données stockées uniquement sur un appareil sous iOS ou iPadOS ne peuvent pas aisément être transférées sur un appareil sous Android et la nouveauté simplifiera cette étape. Apple prévient en revanche que l’API ne gère pas tout ce qui est stocké sur des serveurs et surtout ne peut pas servir de base à une synchronisation des données. Elle est pensée pour servir une seule fois et permettre ainsi à un utilisateur de retrouver toutes ses données sur son nouvel appareil d’une marque concurrente.
Terminons en soulignant que le transfert peut aussi fonctionner dans l’autre sens, en important des données depuis Android. On imagine que c’est alors au développeur de l’app de se débrouiller pour exporter les données du côté Google dans le bon format, pour qu’elles soient acceptées par AppMigrationKit du côté Apple.
Apple a récemment mis fin à un programme de service lié à des problèmes de son sur l’iPhone 12. La page dédiée du site d’Apple a été débranchée, mais une copie a été sauvegardée sur la WayBack Machine. Il s’agit d’un problème touchant l'iPhone 12 et l'iPhone 12 Pro, mais pas les iPhone 12 mini et la déclinaison Pro Max. Le programme a été lancé en 2021, et Apple indiquait qu’il ne concernait qu’un « nombre très limité » de smartphones.
iPhone 12 et iPhone 12 Pro. Image MacGeneration
« Si le récepteur de votre iPhone 12 ou iPhone 12 Pro n’émet aucun son lorsque vous passez ou recevez des appels, il est possible que votre appareil soit éligible à ce programme », écrivait alors Apple. Les modèles concernés ont été fabriqués entre octobre 2020 et avril 2021, et Apple ne précisait pas les numéros de série des modèles touchés. Les retardataires devront désormais faire jouer la garantie classique ou payer les frais de réparation standards.
Ce n’est pas le seul programme de service à avoir tiré sa révérence dernièrement. Apple a également mis fin à celui concernant les AirPods Pro qui grésillent. Lancé en 2020 avant d’être prolongé l’année suivante, il permettait de se voir remplacer ses écouteurs présentant des grésillements ou des soucis avec la réduction du bruit. La page du site d’Apple est désormais hors-ligne.
Les AirPods Pro 3 ont beau être les écouteurs les plus perfectionnés d’Apple, ils ne sont pas exempts de défauts. Un bogue assez insupportable touche certains utilisateurs par moment quand l'un des modes d'écoute (réduction de bruit, adaptatif ou transparence) est activé.
AirPods Pro 3. Image WatchGeneration
Depuis quelques jours, plusieurs utilisateurs rapportent un sifflement aigu lorsqu’ils portent leurs nouveaux écouteurs. Le phénomène n’est pas massif, mais il revient assez souvent pour faire du bruit (sans mauvais jeu de mots) sur Reddit et les forums spécialisés. Nous avons pu l’observer nous-mêmes à plusieurs reprises.
Ce sifflement est différemment décrit selon les témoignages. Cet utilisateur sur Reddit a réussi à reproduire plus ou moins le son entendu par d'autres utilisateurs. Mais dans l'oreille, il est nettement plus agressif.
Ce qui est étonnant, c’est que le système de réduction de bruit peut fonctionner des heures sans accroc avant de se mettre soudainement à émettre ce sifflement. La seule solution, pour l’instant, consiste à désactiver toute forme de réduction de bruit. Nettoyage, réinitialisation, changement d’embouts… rien n’y fait !
En fonction des témoignages, le problème peut toucher un ou deux des écouteurs. Certains ont demandé un remplacement chez Apple, mais se sont retrouvés avec le même problème, parfois accentué !
Soit il s'agit d'un problème hardware qui touche un grand nombre d'écouteurs, soit plus sûrement, il s'agit d'un problème logiciel. Une chose est certaine, la dernière mise à jour sortie la semaine dernière ne semble pas avoir réglé le problème.
Les premières générations d’AirPods Pro avaient elles aussi connu des soucis similaires. Apple avait procédé à plusieurs remplacements en Apple Store. L'un de ces programmes vient d'ailleurs tout juste d'arriver à son terme !
L’iPhone pliable devrait voir le jour l’année prochaine. Et comme souvent avec Apple, il sera scruté sous toutes les coutures. Les récents tests de solidité de l’iPhone Air – souvent impressionnants – laissent d’ailleurs présager ce qui attend le futur modèle.
C'est d'autant plus probable que la solidité demeure le talon d'Achille des téléphones pliables. Sollicitée par Le Monde, à l'occasion de la sortie de sa huitième édition de son baromètre du service après-vente (SAV), Fnac Darty, par l'intermédiaire de son directeur de la durabilité, Régis Koenig, a lâché une statistique concernant les téléphones pliables qui fait réfléchir :
"Les deux seuls modèles sur lesquels nous avons assez de recul sont les Samsung Flip 5 et Flip 6, sortis en 2023 et 2024. Ils tombent dix fois plus souvent en panne que la moyenne des smartphones. C’est l’une des raisons pour lesquelles les smartphones Samsung, pris dans leur ensemble, ne sont que troisièmes sur le podium des marques les plus durables".
Ce classement est dominé par Apple, qui affiche un score de durabilité de 142 sur 200, devant Honor (133) et Samsung (128). Nouvel entrant dans ce classement, Google arrive 6e avec une note de 112 sur 200.
Pour en revenir aux téléphones pliables, ils présentent principalement deux fragilités : leur écran souple et leur charnière. D'après les rumeurs, ce sont deux points auxquels Apple semble attacher une très grande importance.
Le Liquid Metal à la rescousse
Pour corriger le principal point faible des pliables, Apple miserait sur le Liquid Metal, un alliage amorphe aux propriétés impressionnantes : 2,5 fois plus résistant qu’un alliage de titane, mais aussi plus élégant, avec une finition brillante proche de l’acier inoxydable.
En misant sur ce matériau, Apple chercherait avant tout à garantir la longévité du mécanisme de pliage. Le Liquid Metal permettrait de limiter l’usure et surtout de réduire la formation de plis visibles sur l’écran, un défaut récurrent des smartphones pliables et l’un des points que la marque voudrait absolument éviter. Résultat : un design plus durable, plus fluide et, comme souvent chez Apple, aussi agréable à l’œil qu’au toucher.
Reste à voir si la théorie résistera à l’épreuve du quotidien. Et surtout, combien il faudra débourser pour ce petit bijou de métallurgie conçu à Cupertino.
Electron, le framework extrêmement populaire qui permet de créer des apps pour les ordinateurs à partir des technologies du web, est responsable d’un bug qui peut conduire à un ralentissement général de macOS Tahoe. C’est lié à un changement dans la gestion de la complétion automatique introduit par Apple avec macOS 26, bug qui peut provoquer un ralentissement si des apps Electron restent ouvertes et malheureusement, ce ralentissement finit par avoir un effet sur tout le système. La bonne nouvelle, c’est que le bug a été corrigé au niveau du framework, sauf qu’il faut maintenant que toutes les apps qui l’utilisent se mettent à jour.
Depuis la publication de notre premier article, le travail avance enfin. Le site ShameElectron a été ouvert pour recenser les mises à jour d’apps qui reposent sur Electron. Sur les 42 connues du site, 15 sont actuellement à jour, dont Visual Studio Code, Discord, Claude, Notion, Slack, Obsidian ou encore Signal. Il en reste encore 27 qui n’ont pas été corrigées, dont 1Password, Dropbox, Bitwarden, LM Studio, Proton Mail, Notion Mail ou encore Cursor.
Le site ShameElectron suit le statut d’une quarantaine d’apps Electron et compte à l’heure actuelle 15 apps à jour. Capture site, image MacGeneration.
Précisons que la liste n’est pas exhaustive, il y a des dizaines d’autres apps qui reposent sur Electron. Rien que sur mon Mac, j’attends des mises à jour pour la fameuse Logi Options+ ou encore Plexamp ou encore l’app de Reolink, trois exemples parmi d’autres qui ne sont pas référencés sur le site.
Par ailleurs, le numéro de version du framework n’est pas toujours suffisant pour savoir si une app a été corrigée ou non. Si une app repose sur une version corrigée d’Electron, à savoir une version 36.9.2, 37.6.0, 38.2.0 ou 39.0.0 au minium, alors elle bénéficiera du correctif. L’inverse n’est pas toujours vrai, comme le prouve Discord, qui a corrigé le bug sans mettre à jour le framework. C’est en effet possible, à la fois parce qu’Electron est un projet open-source et à la fois parce que le mettre à jour est une tâche complexe et lourde qui peut demander de nombreuses corrections derrière. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il y a tant de versions en parallèle, les apps ont tendance à rester sur une branche et à ne pas passer à la mise à jour majeure suivante sans une bonne raison de le faire.
Si vous voulez surveiller vos propres apps Electron, un deuxième script plus précis est proposé à cette adresse. Le fichier nommé detect-electron-apps-using-cornermask.sh n’utilise plus le numéro de version du framework comme base de travail, il cherche si le correctif spécifique a été appliqué. C’est lui qui permet, entre autres, de vérifier que Discord est bien corrigé, alors même que l’app repose toujours sur Electron 35. Le site ShameElectron utilise ce script pour valider un correctif, alors c’est probablement la meilleure source pour suivre les progrès.
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