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Reçu aujourd’hui — 12 décembre 2025 MacG.co

Apple Pay toujours contesté : les banques suisses veulent une ouverture de l’iPhone identique à celle de l’UE

12 décembre 2025 à 17:58

Les pratiques d’Apple autour du paiement mobile sur l’iPhone continuent d’être remises en question. En Suisse, la Commission de la concurrence (Comco) annonce avoir ouvert une enquête préalable afin de vérifier si Apple Pay ne viole pas la loi sur les cartels. Cette procédure vise à déterminer si d’autres éditeurs peuvent « efficacement » concurrencer le service d’Apple dans les boutiques physiques.

Image Twint

La Pomme a pourtant déjà dû lâcher du lest. En 2024, afin d’éviter une lourde amende, elle a conclu un accord avec la Commission européenne pour ouvrir gratuitement la puce NFC de l’iPhone, permettant ainsi l’émergence de services de paiements mobiles alternatifs. Depuis, PayPal s’est lancé en Allemagne, notamment.

PayPal à la place d’Apple Pay : ce que ça change pour le paiement mobile sur iPhone

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Un mois seulement après cette annonce, qui ne concernait que l’Espace économique européen (l’Union européenne ainsi que l’Islande, la Norvège et le Liechtenstein), Apple a ouvert l’accès à la NFC dans d’autres pays… mais selon des modalités différentes. D’abord limitée à quelques territoires, dont les États-Unis, cette initiative a ensuite été étendue à d’autres marchés, parmi lesquels la Suisse, à la fin de l’année 2024.

Avec cette seconde approche, côté pile, ce n’est pas uniquement la NFC qui devient accessible aux développeurs tiers, mais aussi le Secure Element, ce qui permet une intégration plus poussée des services de paiement — un élément qui ne fait pas partie de l’accord conclu avec l’Union européenne. Mais côté face, cette ouverture n’est pas gratuite et s’accompagne de frais.

C’est précisément ce point qui irrite Twint, un service de paiement suisse soutenu par la majorité des banques locales. L’entreprise envisage des poursuites judiciaires afin de contraindre Apple à fournir un accès gratuit à sa NFC. « Selon nous, il appartient à la Comco d’utiliser les voies légales existantes et d’imposer l’accès à l’interface NFC des appareils Apple en Suisse dans les mêmes conditions qu’au sein de l’UE », a déclaré un porte-parole de Twint à l’Aargauer Zeitung quelques jours avant l’ouverture de l’enquête préalable.

Pour payer avec Twint sur iPhone, il faut scanner un QR code. Image Twint.

L’application est devenue incontournable dans la Confédération : elle compte 6 millions d’utilisateurs et a permis 770 millions de transactions sur un an. Mais sur iPhone, elle se limite pour l’instant aux paiements par QR code dans les magasins. Twint souhaite accéder sans frais à la NFC afin de proposer du paiement sans contact comparable à celui d’Apple Pay.

Ce n’est pas la première fois que les banques suisses ferraillent contre Apple. En 2018 déjà, après une intervention de la Commission de la concurrence, Apple avait modifié le comportement d’Apple Pay afin qu’il n’interfère plus avec l’application : en raison de l’utilisation de la NFC, l’app Wallet préinstallée pouvait s’ouvrir automatiquement à proximité d’un terminal de paiement, empêchant l’utilisateur de présenter son QR code Twint…

Sans Apple Pay, l’iPhone va-t-il perdre en simplicité pour les paiements ?

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Orange active les messages satellites sur les Pixel de Google

12 décembre 2025 à 17:25

Apple, depuis l'iPhone 14, propose un service d'urgence par satellite. Pour les smartphones des autres marques, Orange a une solution, qui a été annoncée en novembre : les messages par satellites. L'opérateur travaille avec Skylo, un opérateur américain, pour proposer une solution équivalente à celle d'Apple à ses clients.

Vous êtes perdu sans réseau ? Posez-vous pour envoyer un message. Image Orange.

Pour le moment, il y a de nombreuses limitations. La principale est la compatibilité : seuls les Pixels de Google (9 et 10) sont compatibles. Skylo passe par les satellites géostationnaires d'Echostar et d'Inmarsat pour une connexion possible sur une partie de la planète. L'offre est valable dans l'Union européenne, en Amérique du Nord (Canada et États-Unis), à Puerto Rico et en Australie. L'Asie et l'Afrique sont donc exclues pour le moment, comme l'Amérique du Sud et une partie de l'Europe. De plus, seules les terres émergées sont couvertes (22 km au-delà des côtes, selon Orange).

Pour la mise en place, il faut évidemment une vue directe vers le ciel, l'absence de couverture pour les réseaux cellulaires et Wi-Fi et l'option idoine (Message Satellite). Elle est gratuite actuellement pour six mois et sera facturée ensuite 5 €/mois.

Google Message uniquement

La solution se limite à Google Message avec les contraintes d'une solution géostationnaire. Il faut environ 3 minutes pour se connecter aux satellites et il est ensuite possible d'envoyer et recevoir des SMS. Orange n'indique pas explicitement si les images sont acceptées, mais l'utilisation du mot SMS le sous-entend. Comme toujours avec les satellites géostationnaires, la latence est élevée et s'approche de la seconde1, ce qui n'est normalement pas un problème pour des messages textes.

Les messages par satellites selon Orange.

Il est probable qu'Orange étende la compatibilité dans le futur, d'ailleurs : Skylo certifie les Samsung Galaxy S25, par exemple. Enfin, il reste une inconnue : l'arrivée de l'offre de Starlink en Europe. Sur le papier, elle offre plus de fonctions et est compatible avec plus de smartphones. Mais pour le moment, les opérateurs européens ne se bousculent pas au portillon.

Connexion satellitaire : Starlink Direct to Cell se rapproche doucement de l’Europe

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  1. Un satellite géostationnaire est à environ 36 000 km du sol, ce qui implique une liaison qui dure à peu près 120 ms. Mais chaque message doit passer du smartphone au satellite, du satellite à sa station de base, puis de la station aux serveurs d'Orange. Et ensuite ils doivent effectuer le chemin inverse.  ↩︎

Orange, Bouygues Telecom et SFR s'allient pour éviter les débranchements sauvages de fibres optiques

12 décembre 2025 à 16:00

Si vous avez une connexion en fibre optique, ce qui est probablement le cas, vous avez peut-être déjà souffert d'un débranchement sauvage. C'est un problème courant et évident : quand un sous-traitant (et sous-payé) se retrouve devant une armoire de rue remplie ou mal rangée, il peut être tenté de débrancher une fibre optique déjà en place pour installer la nouvelle, ce qui coupe évidemment la connexion en question. Un problème qui peut avoir des conséquences importantes, et qui a un coût pour les opérateurs, étant donné qu'ils doivent envoyer un technicien pour régler le problème. Mais avec « e-intervention », c'est un souci qui devrait disparaître, ou tout du moins être plus rare.

Un technicien dans un centre de données. Image Rawpixel.

La solution a été développée à partir de Check Voisinage, une technologie Bouygues Telecom. Elle permet à un technicien de recevoir une notification dans son application de suivi si une fibre reliée à une box est déconnectée. Avec « e-intervention (Lot 1) », un technicien mandaté par Bouygues peut ainsi vérifier que son intervention ne débranche pas de clients de Bouygues (même chose pour Orange ou SFR). Avec « e-intervention (Lot 2) », comme l'explique le communiqué conjoint, la notification est étendue aux clients d'Orange et Bouygues Telecom (pour le moment) et ceux de SFR dans quelques semaines. D'autres opérateurs — sans citer Free spécifiquement — suivront. Comme la technologie est portée par Interop’Fibre et que Free est un des membres, la société de Xavier Niel devrait suivre à un moment où à une autre.

L'intérêt de la solution, c'est que comme les coupures sont notifiées, elles sont aussi enregistrées, et un installateur indélicat ne pourra donc pas expliquer qu'il n'a rien remarqué. Une fois la solution étendue à tous les opérateurs, les problèmes liés aux installations devraient donc diminuer radicalement, pour le plus grand bonheur des clients qui devraient voir les coupures sauvages se réduire. Bien évidemment, cette solution ne sera utile que pour les interventions officielles dans les armoires : si une personne profite d'un local technique mal fermé pour aller dégrader son contenu, elle n'aura aucun effet.

« e-intervention (Lot 2) » est utilisé depuis le 4 décembre chez Bouygues Telecom et Orange, après des essais commencés fin septembre 2025.

Fin de l’exception douanière en Europe : les petits colis taxés 3 € dès juillet 2026

12 décembre 2025 à 15:30

Le Conseil de l’Union européenne annonce la mise en place d’une nouvelle taxe sur tous les colis de moins de 150 € qui entreront sur le continent à compter du 1er juillet 2026. Jusque-là, ces colis passaient entre les mailles du filet de la douane et ils n’étaient pas taxés du tout pour la majorité d’entre eux. En attendant la mise en place d’un système plus pérenne basé sur la valeur des produits, c’est un forfait unique de 3 € qui sera demandé pour tous les colis évalués à moins de 150 €.

Image MacGeneration.

L’objectif à terme est d’appliquer les frais de douane prévus par l’Union européenne sur tous les produits qui entrent dans l’un des pays membres. Pour y parvenir, il faudra toutefois modifier le fonctionnement des douanes, tant les volumes sont importants, comme le rappelle France Info. En 2024, 4,6 milliards de colis de moins de 150 € sont entrés sur le territoire européen, soit plus de 145 par seconde, ce qui complique inévitablement le travail des douaniers. Même si la mesure vise les envois depuis le monde entier, elle concerne avant tout la Chine, à l’origine de 91 % de ces envois en 2024.

Ajoutons que cette mesure vient s’ajouter à une précédente, qui prévoyait déjà 2 € de taxe sur tous les colis qui entrent dans l’Union européenne. Celle-ci devrait également entrer en action en 2026, peut-être en même temps que celle du jour. C’est en tout cas le souhait de la France, principale promotrice de ces nouvelles taxes sur les petits colis venus de Chine. Roland Lescure, Ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle, énergétique et numérique, s’est d’ailleurs félicité de la décision sur les réseaux sociaux.

Les petits colis seront soumis aux droits de douane dès 2026

Les petits colis seront soumis aux droits de douane dès 2026

AliExpress, Temu ou encore Shein seront les premiers affectés par la nouvelle taxe. Vous le savez sans doute si vous avez déjà commandé sur ces sites, ils proposent des produits vraiment pas chers et souvent associés à une livraison rapide et gratuite. Comment est-ce qu’ils réagiront ? Pour utiliser régulièrement AliExpress, je sais que le géant chinois met de plus en plus en avant les produits livrés depuis des entrepôts situés en Europe et ce sera peut-être sa stratégie. Comme il s’agit d’une place de marché qui réunit des millions de petits vendeurs, il est toutefois impossible d’imaginer un rapatriement de l’immense catalogue sur le sol européen, surtout pas avant le mois de juillet.

La France est particulièrement agressive contre ces sites chinois qui proposent des prix extrêmement bas et des produits parfois douteux. Shein en particulier a été visé par une procédure de suspension spécifique suite à la vente de poupées pédopornographiques.

Une procédure de suspension engagée contre la plateforme Shein par le gouvernement français

Une procédure de suspension engagée contre la plateforme Shein par le gouvernement français

Pour finir, on peut rappeler que les produits proposés depuis la Chine ne sont pas nécessairement mauvais, mais leur qualité peut grandement varier. C’est surtout important de surveiller ce que vous achetez s’il s’agit de produits électroniques et encore plus s’ils sont reliés au réseau électrique 220V.

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N'achetez pas un adaptateur secteur USB sur Temu ou Shein, ils sont dangereux

Un boîtier open source pour sauvegarder un iPhone sur une carte microSD

12 décembre 2025 à 14:45

L'iOS Backup Machine, un projet open source, pourrait intéresser nombre d'entres-vous : il s'agit d'un petit boîtier, basé sur une carte plus ou moins dérivée des Raspberry Pi Zero, qui permet de sauvegarder un iPhone sans avoir accès à un PC équipé d'iTunes ou un Mac.

L'outil de backup.

L'appareil ne repose ni sur les outils logiciels d'Apple, ni sur iCloud. Il passe par les API de libimobiledevice, des outils open source (encore) qui permettent de communiquer avec un appareil iOS. La mise en place est totalement automatisée : une fois l'iPhone branché, il est sauvegardé automatiquement sur la carte microSD, avec des données chiffrées directement par iOS. Il n'a pas besoin d'Internet ou d'un Apple ID, et il est évidemment possible de restaurer les données. Attention, cette partie nécessite un ordinateur et un lecteur de cartes microSD.

Matériellement, le boîtier repose sur une carte Radxa Zero 3W, qui reprend le format du Raspberry Pi Zero mais avec un système sur puce plus rapide et de la mémoire eMMC intégrée (8 Go), un écran eINK, un système de batterie pour éviter les coupures pendant la sauvegarde, un lecteur de cartes microSD et un boîtier imprimé en 3D. Compte tenu des composants, il doit être possible de le construire pour moins de 100 €.

Ceci n'est pas un Raspberry Pi. Image Radxa.

L'installation de la partie logicielle nécessite quelques connaissances, mais si vous n'avez pas peur de taper quelques commandes, tout devrait bien se passer. Les instructions disponibles semblent assez détaillées.

Dans tous les cas, l'idée est bonne et devrait intéresser ceux qui ne veulent pas laisser leurs données (chiffrées) sur les serveurs d'Apple, ou pour ceux qui ne souhaitent pas payer un abonnement iCloud. Reste la question de la pérennité : libimobiledevice est un projet bien suivi, mais il n'est pas exclu qu'Apple décide un jour de casser la compatibilité ou empêche certains outils de fonctionner pour des questions de sécurité.

Hue : le Bridge Pro peut désormais migrer les appareils depuis deux Bridge d’ancienne génération

12 décembre 2025 à 12:45

Vendu par Hue depuis le mois de septembre, le Bridge Pro est un tout nouveau pont de connexion pour les produits de la marque qui se distingue notamment par sa capacité quadruplée. Alors que l’ancien modèle ne savait gérer que 50 périphériques à la fois, celui-ci peut connecter jusqu’à 150 éclairages et 50 accessoires, comme des télécommandes. Une aubaine pour les clients qui devaient jusque-là cumuler plusieurs ponts pour gérer l’ensemble de leur installation domotique, avec toutefois une limite. Jusque-là, le Bridge Pro ne savait importer les appareils et paramètres que depuis un seul ancien Hue Bridge, bloquant la transition complète des plus grosses installations.

Le transfert d’un bridge à l’autre est prévu depuis le départ par le fabricant. Image Hue.

Comme le note le site spécialisé Hueblog, Hue a finalement corrigé cet oubli… en tout cas en partie. Depuis la mise à jour 5.57 de l’app du fabricant, il est possible de migrer deux ponts d’ancienne génération vers un nouveau Bridge Pro. Deux seulement : bien que cela devrait convenir à la majorité des besoins, on pourrait théoriquement en importer trois, voire quatre, selon la configuration précédente. Même s’il est possible que cela vienne à l’avenir, on peut aussi imaginer que cela concerne si peu d’utilisateurs1 que Hue ne cherche pas à s’embêter avec cette possibilité.

Si vous avez déjà fait la transition depuis un ancien Bridge vers la dernière génération, les réglages du Bridge Pro depuis l’app devraient afficher une option pour en migrer un autre. Si vous débutez la transition, l’app devrait proposer automatiquement d’enchaîner sur un deuxième import après le premier.

Le Bridge Pro est vendu seul à 90 €. Si vous avez besoin d’ampoules supplémentaires, il est comme avant vendu en kit et il y a des promotions en ce moment : le pont de connexion, trois ampoules E27 couleur 1100 lumens et un bouton sont proposés à 135 € au lieu de 200, par exemple. Outre sa capacité augmentée, le Bridge Pro devrait être plus rapide et il transforme les éclairages Hue en détecteurs de mouvement. Un test dédié à ce nouveau pont est prévu ici même.


  1. Même s’ils existent et avec des installations décoiffantes qui comptent plusieurs centaines d’éclairages et plus de cinq ponts différents pour les gérer.  ↩︎

La fin de la 2G s'approche, mais il reste des millions de cartes SIM connectées aux réseaux

12 décembre 2025 à 12:15

L'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse) vient de publier son suivi trimestriel des cartes SIM utilisées dans les terminaux 2G et 3G, et il n'est pas très encourageant : il reste encore plus de 5 millions de cartes SIM dans des appareils qui se connectent à ces deux réseaux dont les jours sont comptés.

Vous avez encore une carte SIM dans le premier iPhone ? C'est bientôt la fin.

Pour la 2G, la fin est assez proche : Orange va commencer à fermer le réseau à partir de mars 2026. Les deux autres opérateurs avec un réseau 2G, Bouygues Telecom et SFR, attendront fin 2026. Mais dans un peu plus d'un an, donc, la 2G devrait être de l'histoire ancienne en France. Et selon l'Arcep, il restait encore 1,57 million de cartes SIM actives dans des appareils 2G en septembre 2025 (1,63 million en juin). Le total se limite aux terminaux grand public, c'est-à-dire essentiellement des téléphones. Dans le monde industriel (ce qu'on appelle M2M, Machine to Machine), il reste 1,09 million de cartes SIM en 2G. Il s'agit des voitures, des systèmes de surveillance des ascenseurs, de vieux récepteurs GPS connectés, etc.

Quelques millions aussi en 3G

Pour la 3G, la fin est aussi annoncée : Orange compte couper le réseau à partir de fin 2028 (ce qui va de facto couper l'accès aux clients de Free Mobile), SFR indique aussi fin 2028 et Bouygues Telecom parle de fin 2029. Dans le cas de Free Mobile, le réseau est en passe d'être coupé. La société réalloue les fréquences employées pour la 3G vers la 4G, et les rares appareils uniquement 3G devront donc se contenter du réseau d'Orange en itinérance dès 2026.

Free Mobile passe de la première à la dernière place sur le réseau 3G, coupé au profit de la 4G

Free Mobile passe de la première à la dernière place sur le réseau 3G, coupé au profit de la 4G

L'Arcep liste 1,05 million de cartes SIM actives dans des terminaux 3G pour le grand public, et 1,9 million dans le monde industriel. Pour les terminaux grand public, le total est de 2,62 millions pour les appareils uniquement 2G ou 2G et 3G, soit environ 3,3 % du nombre de cartes SIM actives en France. Dans le monde industriel, il y en a plus (2,99 millions) et elles sont surtout plus importantes dans le total : 12,1 %.

Pour le moment, les évolutions à la baisse sont assez lentes, mais devraient évidemment accélérer quand Orange va commencer à couper le réseau 2G. Le problème principal ne devrait pas être le monde grand public, car les opérateurs communiquent déjà sur ce point, mais les appareils embarqués. Dans de nombreux cas, la présence d'une carte SIM et d'une connexion 2G ou 3G n'est pas nécessairement connue par les utilisateurs.

Promos : les caméras de surveillance reviennent à leur prix du Black Friday

12 décembre 2025 à 11:00

On pensait l'avalanche du Black Friday terminée et les tarifs repartis à la hausse pour de bon, mais c’était sans compter sur la valse hésitante des étiquettes. Après une brève remontée post-événement, les prix de nombreuses références en domotique ont fait le yoyo pour revenir, à l'euro près, à leur niveau promotionnel de la semaine dernière. Si vous aviez raté le coche pour équiper votre logement, c’est une seconde chance inespérée (et sans doute temporaire) pour installer des caméras, qu’elles soient couplées à une sonnette ou à un projecteur.

Image iGeneration.

La sonnette vidéo Aqara joue les prolongations

Vous cherchez une sonnette vidéo capable de s’intégrer nativement à l'app Maison ? Celle d’Aqara reste indéniablement la meilleure option du marché et, contre toute attente, elle est revenue à son tarif plancher : 95 € au lieu des 130 € habituels. L'offre s'applique aussi bien à la version noire qu'à la grise. Pour ce prix, vous obtenez une sonnette hybride : elle s'alimente via votre ancienne installation filaire (12 ou 24V) ou via six piles AA pour du 100 % sans fil. Le carillon, à placer à l'intérieur, fait le pont avec votre Wi-Fi et assure la compatibilité HomeKit.

C’est d'ailleurs là tout l'intérêt : l’accessoire gère la vidéo sécurisée HomeKit (HKSV), stockant les flux directement sur les serveurs d’iCloud. Petit rappel technique : c'est pertinent surtout si vous la câblez, transformant la sonnette en véritable caméra de surveillance 24/7. Sur piles, il sera préférable de la configurer pour qu’elle se réveille uniquement quand on sonne à la porte.

Test de la sonnette vidéo G410 d’Aqara : toujours sur piles, mais avec un meilleur angle

Test de la sonnette vidéo G410 d’Aqara : toujours sur piles, mais avec un meilleur angle

Ce modèle enterre la génération précédente grâce à un capteur nettement plus performant. Aqara a aussi eu la bonne idée d'ajouter le protocole RTSP, ouvrant la porte aux enregistreurs réseau (NVR) ou à Home Assistant, à condition de l'alimenter électriquement. Bonus non négligeable : le carillon agit comme un hub Zigbee et même comme routeur de bordure Thread pour vos accessoires Matter.

Si la sonnette n’est pas encore compatible avec Matter, cela pourrait changer via une mise à jour 1.5, même si, soyons honnêtes, pour un utilisateur de l'écosystème Apple, la compatibilité HomeKit actuelle se suffit à elle-même.

Matter 1.5 fait enfin entrer les caméras dans la domotique standard

Matter 1.5 fait enfin entrer les caméras dans la domotique standard

Caméras d'intérieur : retour aux prix cassés

Pour l'intérieur, la Caméra E1 d’Aqara refait surface à un tarif très agressif : 41 € au lieu de 55. On retrouve ici son meilleur prix historique. Connectée en Wi-Fi et totalement intégrée à Maison, elle propose aussi un slot SD pour le stockage local ou le transfert vers un NAS. Le cloud du fabricant reste une option, mais on apprécie de ne pas y être forcé.

Image iGeneration

Son atout majeur reste sa motorisation 360° et son suivi de mouvement par IA locale. Attention toutefois, le pilotage de la caméra ne se fait que via l'app Aqara, Apple n'ayant pas prévu cela dans Maison. Le capteur 2K est solide, et c'est une solution que j'utilise personnellement pour surveiller un chat indécis qui change de spot toutes les heures.

Aqara E1, une nouvelle caméra HomeKit avec vue 360° moins chère que la G3

Aqara E1, une nouvelle caméra HomeKit avec vue 360° moins chère que la G3

Si la motorisation vous semble superflue, la récente G100 bénéficie elle aussi d'un retour de promo : 35 € au lieu de 40. Capteur 2K, petit projecteur pour la vision nocturne couleur, et certification IP65 qui permet, si besoin, de la mettre dehors. Comme sa grande sœur, elle gère le combo carte SD, NAS et RTSP.

Surveillance extérieure : la G5 redevient une bonne affaire

Transition toute trouvée vers l'extérieur : la caméra G5 d’Aqara est de nouveau en promotion. Si vous voulez du matériel fiable dans l'app Maison, c'est le modèle que Nicolas recommande actuellement. Les tarifs sont revenus à ceux du Black Friday : 135 € au lieu de 180 pour le modèle Wi-Fi (alim USB), et 150 € au lieu de 200 pour la version Ethernet, idéale si vous avez un switch PoE.

Image iGeneration

C’est le modèle filaire qui tourne chez moi depuis le début de l'année. Seul bémol relevé lors de mon test : l'absence d'infrarouges, compensée par un projecteur qui s'active au moindre mouvement, même dans le noir complet. Le capteur 4 mégapixels délivre une image très propre et la flexibilité est totale : HKSV, RTSP, microSD, cloud... rien ne manque.

Test de la caméra G5 Pro d’Aqara : une vidéosurveillance convaincante pour l’extérieur

Test de la caméra G5 Pro d’Aqara : une vidéosurveillance convaincante pour l’extérieur

Enfin, pour remplacer un luminaire extérieur existant (220V), l’Eve Outdoor Cam est affichée à 180 € au lieu de 245. On n'est pas tout à fait au plus bas historique, mais le prix a de nouveau chuté ces dernières heures. C'est une alternative sérieuse pour les puristes de HomeKit qui cherchent une solution 2-en-1 avec projecteur puissant.

La Fnac offre à ses adhérents des bons d’achat sur tous les produits Apple, même en promotion

12 décembre 2025 à 10:57

La Fnac renouvelle aujourd’hui une opération que l’enseigne a déjà organisée à plusieurs reprises. Ce vendredi 12 décembre jusqu’à minuit, les adhérents peuvent bénéficier de 30 € en bons cadeaux tous les 200 € d’achat sur une large partie du catalogue, sauf sur les smartphones et accessoires. Ceux-là ne sont pas oubliés pour autant, ils sont associés à un bon d’achat de 10 € tous les 100 € d’achat et l’offre s’applique même aux iPhone, qui sont souvent exclus de ce genre d’opérations. Mieux, les produits déjà en promotion restent éligibles, ce qui permet d’envisager de bonnes affaires. Pour en bénéficier, il faut être adhérent et saisir le code NOELFNAC au moment de passer la commande.

Image Fnac/MacGeneration.

Le MacBook Pro M4 de base est déjà vendu 1 399 € au lieu de 1 659 et même s’il a été remplacé depuis par la nouvelle génération de puces Apple, cela reste une bonne affaire d’autant que c’est le prix le plus bas à notre connaissance, en tout cas pour un vendeur français. Mieux, le code NOELFNAC permettra de récupérer 180 € en cartes cadeau Fnac si vous êtes adhérent, de quoi réduire le prix de base et en faire une très bonne affaire si vous cherchez un Mac avec un excellent écran et un prix raisonnable.

Test des MacBook Pro M4 à M4 Max : une équipe de gros bras

Test des MacBook Pro M4 à M4 Max : une équipe de gros bras

Il n’y a pas de limite a priori sur la somme maximale que la Fnac créditera sur votre compte, alors vous pouvez aussi vous faire plaisir avec un MacBook Pro 16 pouces bien équipé (M4 Max, 1 To de stockage, 128 Go de RAM) vendu 5 749 € qui vous permettra de récupérer pas moins de 840 € en bons d’achat Fnac !

Du côté des iPhone, le code est valable sur les tous-t derniers modèles, y compris les 17 Pro et 17 Pro Max. Pas de promotion à la base, mais vous pourrez ainsi récupérer 130 € en bons d’achat Fnac sur un modèle de base et jusqu’à 240 € sur l’iPhone le plus cher du moment !

Côté iPad, notons l’iPad Air M3 vendu 599 € au lieu de 669 et qui aura droit à 60 € de bons d’achat en prime. Même le tout dernier Pro M5 est en promotion et l’opération du jour améliore encore l’offre : vendu 1 060 € au lieu de 1 120 en prix de base, on aura 130 € de cartes cadeau Fnac en saisissant le code.

Vous cherchez une Apple Watch ? Cela fonctionne aussi et une Ultra 3 vous permettra d’empocher 120 € en bons d’achat. La Series 11 a droit à une petite promotion sur le prix recommandé par Apple, 429 € au lieu de 450, et on aura 60 € de cartes cadeau Fnac. On peut aussi évoquer les AirPods Pro 3, qui verront leur prix réduit de 30 € grâce au crédit Fnac.

Si vous n’êtes pas adhérent, vous pouvez cocher une case au moment de passer la commande pour rejoindre le programme Fnac+ et bénéficier des promotions évoquées ici. Attention, il faudra ajouter 9,99 € de frais d’adhésion, mais les réductions peuvent largement compenser cette somme. N’oubliez pas de saisir le code NOELFNAC pour que l’offre soit validée. Dernier point important, le code promo reçu dans le cadre de cette opération doit être utilisé dans les 30 jours qui suivent la réception du produit commandé.

Free TV ne fonctionne pas toujours avec Starlink

12 décembre 2025 à 10:55

Pour les utilisateurs de Starlink, la connexion à Internet par satellites fournie par SpaceX, une question est récurrente : comment profiter de la télévision ? Starlink, contrairement aux opérateurs classiques, n'a pas d'offres Triple Play et se contente d'une connexion à Internet. La dernière offre de Free, Free TV, aurait pu être la solution… mais ne l'est pas. En effet, Free a exactement le même problème que les autres fournisseurs de contenus, comme Molotov : de temps en temps, le service n'est pas accessible.

Free TV.
Starlink à l

Starlink à l'essai : tout ce qu'il faut savoir sur cette connexion par satellite d'un genre nouveau

Le problème ne vient pas directement de Free, mais bien de Starlink. De temps en temps, l'IP publique attribuée n'est pas considérée comme une IP française, ce qui bloque Free TV. Ce n'est pas un problème limité à Free TV : de nombreux services sont limités ou bloqués (comme Molotov) si votre adresse IP n'est pas considérée comme française, pour des questions de droits. Nous avions mis en avant ce défaut dans notre dossier sur Starlink, et il a parfois un impact inattendu. Dans certains cas, le site de la Poste ne permet par exemple pas d'effectuer des achats.

Si Free TV est parfois bloqué sur Starlink, ce n'est pas pas systématique : tout dépend de l'IP assignée. Free, selon UniversFreebox, rejette la faute sur Starlink, qui utiliserait une base de géolocalisation incorrecte ou plus à jour. De façon très concrète, il peut donc arriver que Starlink attribue une IP qui n'est pas considérée comme française par certains services et sites Internet.

macOS ne permet pas de prendre une capture d'une vidéo, mais croyez-nous : Free TV peut fonctionner sur une connexion Starlink.

Il n'y a pas de réelles solutions, et le problème est présent depuis plusieurs années chez l'opérateur, notamment avec Molotov. Si vous voulez vraiment regarder la télévision, la solution la plus simple (si vous avez un téléviseur) est probablement de passer par la TNT. Et si vous n'avez qu'un ordinateur, un VPN avec un point de sortie en France devrait suffire pour éviter le problème.

Apple perd son appel contre Epic, mais sauve sa commission sur les achats externes

12 décembre 2025 à 10:29

Epic vs Apple, épisode 1337. La bataille judiciaire autour de l’App Store aux États-Unis vient de connaître un nouvel épisode mitigé pour la firme de Cupertino. La Cour d’appel du neuvième circuit a rejeté majoritairement l’appel d’Apple contre une décision clé dans ce dossier antitrust tentaculaire.

Au printemps dernier, la juge Yvonne Gonzalez Rogers avait estimé qu’Apple avait sciemment ignoré une injonction datant de 2021 et s’était même moquée de la cour. Cette ordonnance obligeait l’entreprise à autoriser les développeurs à orienter leurs utilisateurs vers des moyens de paiement externes à l’App Store. Dans son arrêt publié hier, la cour d’appel valide l’essentiel de cette analyse, confirmant à la fois l’outrage au tribunal et les restrictions imposées à Apple… mais la Pomme sauve tout de même les meubles sur un point important.

La juge de première instance avait pris une position forte sur la commission de 27 % prélevée par Apple sur les achats externes (les liens dans les apps qui mènent vers un site web pour acheter du contenu dématérialisé), en l’interdisant purement et simplement. La cour d’appel juge cette sanction excessive et autorise Apple à percevoir une commission, à condition qu’elle soit « appropriée » — une notion qui reste floue.

App Store : Phil Schiller admet avoir eu des doutes sur la commission de 27 % sur les achats externes

App Store : Phil Schiller admet avoir eu des doutes sur la commission de 27 % sur les achats externes

L’avis précise également que si Apple ne peut pas obliger les développeurs à rendre leurs propres options moins visibles que celles par défaut, elle peut néanmoins les empêcher de placer des boutons ou des liens plus visibles que les siens.

Malgré cet assouplissement obtenu par Apple en appel, Epic revendique une victoire importante. Tim Sweeney, le patron du studio, considère que la décision « met un terme définitif, je pense, à la théorie d’Apple selon laquelle l’entreprise devrait pouvoir imposer des frais arbitraires pour l’accès », a-t-il déclaré à The Verge.

Fortnite est revenu sur l’App Store américain en mai dernier après cinq ans d’absence. Le jeu propose deux parcours pour acheter des V-Buck : via un achat in-app traité par Apple ou via un achat auprès d'Epic. Dans le second cas, qui envoie vers un site web, il n'y a plus de message d'avertissement de l'App Store et le client paye le même prix, mais il lui est proposé de récupérer 20 % de sa dépense sous la forme d'une récompense. Le jeu vient par ailleurs de faire son retour sur Google Play aux États-Unis, où Epic était aussi en conflit avec Google. En Europe, Fortnite est disponible sur iPhone depuis 2024 via la boutique alternative Epic Games Store.

BuhoLaunchpad reproduit fidèlement l’ancien Launchpad de macOS, pour les amateurs

12 décembre 2025 à 09:36

Vous regrettez le Launchpad d’antan, cette grille d’apps qui s’affichait en plein écran et qui a été remplacée par une grille dans Spotlight avec macOS Tahoe ? Bonne nouvelle, les options ne manquent pas et de multiples développeurs se sont jetés sur l’opportunité de recréer l’ancienne interface. Nous en avions évoqué plusieurs, en voici une de plus, que je trouve très proche de la copie originale, comme vous pouvez en juger sur cette petite vidéo.

BuhoLaunchpad en action. Image MacGeneration.

BuhoLaunchpad (8 €) fonctionne par défaut pile comme l’ancienne fonctionnalité de macOS. On l’active avec un pincement à cinq doigts sur un trackpad, les apps installées sur le Mac s’affichent sur une grille répartie sur plusieurs pages et un champ de recherche, actif dès l’affichage de la grille, permet de filtrer la liste. Lors du premier lancement, l’app récupère même l’organisation de l’ancien Launchpad pour simplifier la transition et on pourra ensuite modifier l’ordre des icônes par glisser/déposer et les ranger dans des dossiers, comme pour la fonctionnalité de macOS.

Par rapport à l’original, BuhoLaunchpad propose plus d’options, notamment pour ajuster la taille des icônes et leur espacement sur la grille. On peut également exporter et importer l’organisation actuelle, ce qui peut être pratique pour la retrouver sur plusieurs Mac. Bref, c’est un utilitaire complet et qui me semble bien pensé si vous cherchez un remplaçant à l’ancien Launchpad. Sa réactivité est un avantage indéniable au quotidien et si l’app est payante, la version de démonstration est généreuse (un message s’affiche de temps en temps pour rappeler d’acheter une licence) et le prix très raisonnable en ce moment.

En effet, BuhoLaunchpad est normalement vendu 20 € pour un Mac, mais on peut l’obtenir en ce moment à 8 €, ou alors 16 € au lieu de 48 pour trois Mac. C’est une licence traditionnelle, sans abonnement associé. macOS 26 est nécessaire et l’interface n’est pas traduite en français.

iPhone, Mac : Le VPN premium à petit prix que tout le monde s'arrache avant Noël (parfait si vous avez raté le Black Friday)

12 décembre 2025 à 09:33

Vous avez raté le Black Friday ? Bonne nouvelle : CyberGhost VPN prolonge sa promotion exceptionnelle avec 83 % de réduction et quatre mois offerts. À quelques jours de Noël, cette offre tombe à point nommé pour sécuriser vos achats en ligne et protéger votre vie privée sur tous vos appareils Apple.

Le Black Friday est passé, mais CyberGhost n'en a pas terminé avec les bonnes affaires. Le VPN maintient sa réduction de 83 %, soit 2,03 € mensuels seulement, avec quatre mois supplémentaires offerts. Une aubaine pour tous ceux qui ont laissé passer les promotions de fin novembre et qui souhaitent sécuriser leurs appareils Apple avant les fêtes.

Cette période de l'année voit exploser les achats en ligne. Cadeaux de Noël, billets d'avion, réservations d'hôtels... chaque transaction expose vos données bancaires et personnelles. Autant dire qu'investir quelques euros dans une protection digne de ce nom n'est pas du luxe.

Safari et vos achats en ligne enfin protégés

Faire ses courses de Noël sur Safari depuis son iPhone ou son Mac, c'est pratique. Sécurisé, c'est une autre histoire. Chaque site marchand que vous visitez, chaque formulaire de paiement que vous remplissez, chaque recherche de produit que vous effectuez laisse des traces numériques exploitables.

CyberGhost chiffre l'intégralité de votre trafic Internet. Vos informations bancaires, vos mots de passe, vos données de navigation deviennent totalement illisibles pour quiconque tenterait de les intercepter. Sur un réseau WiFi public dans un centre commercial ou un café, cette protection devient carrément indispensable.

Le VPN masque également votre adresse IP réelle, rendant votre activité en ligne anonyme. Fini le ciblage publicitaire agressif qui vous traque de site en site après avoir simplement consulté un produit. Votre navigation redevient véritablement privée.

Tous vos appareils Apple couverts

iPhone 15, MacBook Air M2, iMac, iPad Pro... peu importe les appareils Apple que vous possédez, CyberGhost fonctionne sur l'ensemble de la gamme. Cette polyvalence simplifie considérablement la vie, surtout quand on jongle entre plusieurs machines au quotidien.

L'installation se déroule sans accroc. Pas besoin d'être ingénieur en informatique pour configurer le VPN. Quelques clics suffisent, et votre protection se met en place automatiquement. L'application s'intègre naturellement à iOS et macOS, fonctionnant en arrière-plan sans ralentir vos appareils.

Vous passez de votre iPhone à votre Mac dans la journée ? Aucun problème. La connexion VPN suit vos déplacements d'un appareil à l'autre, maintenant une protection constante quelle que soit la machine utilisée.

11 000 serveurs dans le monde entier

L'infrastructure de CyberGhost impressionne : plus de 11 000 serveurs dispersés dans une centaine de pays. Cette densité garantit des connexions rapides et stables, où que vous vous trouviez. Que vous soyez chez vous à Paris, en vacances à Marrakech ou en déplacement professionnel à Londres, un serveur proche assure des performances optimales.

Cette couverture mondiale permet aussi de contourner les restrictions géographiques qui limitent l'accès à certains contenus selon votre localisation. Pratique quand vous voyagez et souhaitez accéder à vos services de streaming habituels ou à des sites qui bloquent les connexions depuis l'étranger.

La vitesse de connexion reste excellente, même aux heures de pointe. Pas de ralentissements frustrants qui gâchent l'expérience. Regarder des vidéos en streaming, télécharger des fichiers volumineux ou simplement naviguer sur le web se fait avec fluidité.

Une confiance mesurable

Sur Trustpilot, CyberGhost affiche 4,7 sur 5 basé sur plus de 14 800 avis. Dans un secteur où les promesses dépassent souvent la réalité, ces chiffres parlent d'eux-mêmes. Près de 15 000 personnes ont pris le temps de partager leur expérience, et l'immense majorité se déclare satisfaite.

Cette réputation se forge sur la durée. Un VPN qui fonctionne réellement comme annoncé, une interface claire, un service client réactif... autant d'éléments qui expliquent ce plébiscite. Quand on investit dans un outil de sécurité, autant choisir un acteur fiable avec des preuves tangibles de son sérieux.

Le cadeau que vous vous devez de vous faire

Les fêtes de fin d'année multiplient les occasions de se faire piéger en ligne. Sites frauduleux qui imitent de vraies boutiques, réseaux WiFi publics peu sécurisés dans les centres commerciaux, phishing qui explose pendant cette période... les menaces pullulent. Un VPN ne fait pas tout, certes, mais il constitue une première ligne de défense solide.

Profitez de l'offre CyberGhost à 2,03 €/mois avant qu'il ne soit trop tard

Déstockage de bracelets Apple à partir de 15 € !

12 décembre 2025 à 09:22

C’est la période idéale pour étoffer sa collection de bracelets Apple Watch. C’est également une très bonne idée cadeau.

Quoi qu’il en soit, le site e-commerce Ploonk casse les prix sur un grand nombre de bracelets pour Apple Watch. Avant toute chose, précisons que les bracelets mis en avant sont présentés comme des Produis Apple d’origine. D’autre part, dans la réalité, les prix annoncés ci-dessous peuvent être minorés de 15 % supplémentaires si vous entrez le code XMAS15 lors de la commande.

Parmi les produits mis en avant, il y a un grand nombre de bracelets Boucle Unique. Entre les tailles, les modèles pour Apple Watch et les couleurs, les références sont très nombreuses. En fonction des générations, ces bracelets sont vendus soit 14,99 € ( ce qui correspond à une réduction de 35 € sur le prix public.) soit 19,99 € pour les modèles les plus récents.

Encore plus intéressant, Ploonk propose des bracelets Solo tressé pour Apple Watch pour 24,99 €. Là encore, vous disposez d’un large choix : couleurs, taille, dimension du cadran… Vous trouverez forcément votre bonheur et ferez des économies. Sur l’Apple Store, ces mêmes bracelets sont vendus 99 € !

Des bracelets pour l’Apple Watch Ultra à -50 %

Ploonk fait également de belles offres sur les bracelets pour Apple Watch Ultra. On trouve certains bracelets boucle Trail à 49,99 €, soit une remise de 50 % ! Autre bracelet phare de l’Apple Watch Ultra : le bracelet Alpine Loop proposé à 69,99 € au lieu de 99,99 €. Enfin, le bracelet Ocean est vendu 79,99 €, soit une remise de 30 €.

Parmi les autres modèles en promotions, on trouve :

Pour finir deux choses :

  • vous pouvez obtenir 15 % de réduction supplémentaire en saisissant le code XMAS15
  • si vous voulez consulter l’ensemble des bracelets Apple en promo, nous vous conseillons de consulter cette page !

NordVPN veut nettoyer vos courriels des liens malveillants

12 décembre 2025 à 08:39

Le VPN ne suffit plus. C’est du moins le message que semble vouloir faire passer NordVPN, qui continue d’étoffer sa « suite de sécurité » bien au-delà du simple tunnel chiffré. Le service vient d’ajouter une nouvelle corde à son arc : une protection contre le hameçonnage directement intégrée à votre navigateur.

Si vous avez l'habitude de consulter vos courriels via un webmail (Gmail, Outlook.com, etc.) sur macOS ou Windows, vous pourriez voir apparaître de nouveaux avertissements. Cette nouvelle fonctionnalité, qui s'inscrit dans le module Protection Anti-menaces Pro, se charge d'analyser à la volée les liens contenus dans vos messages.

L'idée est assez simple : couper l'herbe sous le pied aux campagnes de phishing qui jouent souvent sur l'urgence ou la curiosité. Concrètement, dès qu'un courriel est ouvert dans le navigateur, l'outil scanne les URL visibles. Si un lien pointe vers une destination connue pour héberger des malwares ou une page d'hameçonnage, NordVPN affiche une bannière d'alerte en haut du message et appose un bouclier rouge explicite à côté du lien incriminé.

Domininkas Virbickas, directeur produit chez NordVPN, présente cela comme une « couche de défense proactive » censée intervenir avant même le clic fatidique. C'est une approche qui n'est pas sans rappeler celle des extensions de sécurité ou des filtres natifs des navigateurs, mais intégrée ici dans l'écosystème de l'application.

Une analyse locale, ou presque

Qui dit analyse de courriels dit forcément inquiétude pour la vie privée. Sur ce point, l’éditeur lituanien se veut rassurant. L'outil a été conçu pour se concentrer uniquement sur les liens, sans analyser le contenu textuel de vos correspondances.

De plus, NordVPN assure que le processus est géré localement sur la machine de l'utilisateur « chaque fois que cela est possible ». Lorsque l'analyse nécessite une vérification côté serveur (pour consulter une base de réputation à jour), seules les métadonnées minimales du lien sont envoyées, promet l'entreprise.

Image : Nordvpn
Image : Nordvpn

Une protection réservée aux formules avancées

Attention toutefois, cette nouveauté n’est pas incluse dans l'offre de base. Comme souvent avec les ajouts récents (blocage de publicités, détection de malwares), la protection des courriels est réservée aux abonnés disposant du module Protection Anti-menaces Pro, ce qui implique généralement de souscrire aux formules « Avancé » (3,89 € par mois) ou « Ultime » (6,39 € par mois).

Il faut également noter une limitation technique d'importance : fonctionnant via le navigateur, cette protection ne vous sera d'aucun secours si vous utilisez un client mail natif comme Mail.app sur votre Mac ou Outlook sur PC. C'est une solution pensée pour le web, qui complète les outils existants mais ne remplace pas (encore ?) la vigilance de l'utilisateur. Si ce type de solutions est intéressante sur le papier, il serait grand temps qu’Apple se penche sur le sujet et renforce son arsenal de sécurité dans le domaine.

Le Time célèbre les bâtisseurs de l’IA, Apple absente de la photo

12 décembre 2025 à 07:30

Qui allait bien pouvoir succéder à Donald Trump ? Le magazine Time a rendu son verdict ce jeudi. Après avoir couronné le président élu en 2024, l'hebdomadaire américain a choisi de ne pas distinguer un seul visage, mais un mouvement tout entier. Pour 2025, ce sont les « architectes de l’intelligence artificielle » qui raflent la mise.

Les huit visages de la révolution

Pour incarner cette distinction prestigieuse, le Time a sélectionné huit figures incontournables qui façonnent actuellement notre futur technologique. Ce n'est pas un classement, mais plutôt un tour de table des puissances actuelles de la Silicon Valley (et au-delà) :

  • Sam Altman (OpenAI) : le visage le plus public de l'IA générative.
  • Jensen Huang (Nvidia) : l'homme qui fournit les « pelles et les pioches » de cette ruée vers l'or avec ses puces graphiques.
  • Elon Musk (xAI) : le patron de Tesla et X, qui tente de rattraper le peloton avec Grok.
  • Mark Zuckerberg (Meta) : qui a investi des dizaines de milliards de dollars afin de batir une super intelligence.
  • Demis Hassabis (Google DeepMind) : le cerveau derrière les avancées de Google.
  • Dario Amodei (Anthropic) : le rival éthique d'OpenAI.
  • Lisa Su (AMD) : l'autre géante des semi-conducteurs.
  • Fei-Fei Li (Université Stanford) : seule universitaire du groupe, souvent surnommée la « marraine de l’IA ».

Un chantier à ciel ouvert

Pour illustrer ce choix, le magazine propose deux couvertures. La première, conceptuelle, montre les lettres « AI » enserrées dans des échafaudages, symbolisant une technologie encore en pleine construction.

Image : Time

La seconde est plus marquante : un photomontage mettant en scène ces huit personnalités assises sur une poutre métallique, suspendues au-dessus du vide. C’est une référence visuelle directe et assumée à la célèbre photographie de 1932, « Lunch atop a Skyscraper », montrant des ouvriers bâtissant le Rockefeller Center. Le message est limpide : ces dirigeants sont les ouvriers du XXIe siècle, en train de bâtir l'infrastructure sur laquelle reposera le monde de demain.

Charles Clyde Ebbets
Image : Time

Selon le Time, 2025 marque un point de bascule. C'est l'année où « tout le potentiel de l’intelligence artificielle s’est révélé au grand jour » et où le retour en arrière est devenu impossible. Ils sont récompensés pour avoir transformé le présent, redessiné le paysage de l'information et lancé l'un des plus grands projets d'infrastructure de tous les temps.

Apple n'est pas invitée à la fête

La liste est impressionnante, mais pour l'observateur averti, une absence saute aux yeux : celle de Tim Cook. Les dirigeants d’Apple pourront toujours se consoler en notant que d’autres grands groupes, comme Microsoft1 et Amazon, manquent aussi à l'appel.

Il faut reconnaître que le bilan 2025 d’Apple en matière d’IA n’est pas glorieux. La marque à la pomme s’est plus fait remarquer pour ses problèmes de personnel dans sa division IA et les déboires de Siri que pour les avancées d’Apple Intelligence.

Reste que la montée en puissance de l’IA ne fait que commencer et que le marathon est loin d’être fini. Si certains ont tendance à oublier Apple, ce n’est pas le cas de Sam Altman qui voit en Cupertino son principal rival. Car pour lui, la bataille ultime se jouera au niveau du matériel !

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple


  1. On rappellera que Microsoft entretient des liens très étroits avec OpenAI.  ↩︎

Santé : le potentiel inexploité de l'Apple Watch se dévoile grâce à l'IA

12 décembre 2025 à 07:00

On pourrait croire que l'Apple Watch a atteint un plafond de verre. Avec ses capteurs d'oxygène, son ECG et ses notifications de rythme irrégulier, la montre d'Apple semble avoir fait le tour de la question. Pourtant, une nouvelle étude menée par des chercheurs du MIT et d'Empirical Health vient de prouver le contraire : le matériel actuel est capable de bien plus, à condition de savoir l'écouter. Mais attention, entre une réussite en laboratoire et une fonction activée sur votre poignet, le fossé reste immense.

C'est un refrain bien connu des habitués de la rumeur : on attend toujours le "prochain capteur miracle" (glycémie, tension) pour justifier l'achat d’une nouvelle Apple Watch. Et si la révolution n'était pas matérielle, mais algorithmique ?

C'est la thèse de l'étude JETS (Joint Embedding Time Series), présentée récemment à la conférence NeurIPS. En analysant 3 millions de jours de données d'Apple Watch, les chercheurs ont réussi à prédire des pathologies complexes sans ajouter le moindre composant électronique à la montre.

L’IA pour combler les trous

Le problème des montres connectées, c'est l'irrégularité. Batterie vide, montre oubliée sur la table de nuit... les données sont pleines de "trous". Pour les combler, les chercheurs ont adapté une architecture d'IA chère à Yann LeCun (Meta), appelée JEPA.

L'idée est géniale de simplicité : au lieu d'essayer de "deviner" la fréquence cardiaque exacte à un moment où vous ne portiez pas la montre, le modèle essaie de comprendre le contexte physiologique global grâce aux données environnantes (sommeil, activité précédente). Le modèle apprend à "parler" le langage du corps humain avant même d'essayer de poser un diagnostic.

Des résultats surprenants : du cœur... aux substances

Une fois entraîné, le modèle JETS a été testé sur sa capacité à détecter des conditions médicales. Les scores sont impressionnants :

  • 86,8 % pour l'hypertension artérielle ;

  • 81 % pour le syndrome de fatigue chronique ;

  • 86,8 % pour la dysfonction sinusale;

  • 91 % pour l'abus d'opioïdes;

  • L'étude va même plus loin en explorant des territoires que l'on pensait hors de portée d'un simple capteur au poignet. Le modèle a montré des capacités de détection pour des conditions systémiques complexes comme le Covid long.

Pourquoi ce n'est pas pour demain matin

Si ces chiffres (80-86 %) semblent excellents, il faut garder la tête froide. C'est ici que la différence entre "recherche académique" et "produit Apple" se joue.

Les chercheurs utilisent une métrique appelée AUROC (Area Under the Receiver Operating Characteristic). Pour faire simple, c'est une note qui dit : "Si je prends une personne malade et une personne saine, est-ce que l'IA arrive à classer la malade 'plus haut' que la saine ?". Avec 86 %, la réponse est "souvent oui".

Mais dans la vraie vie, ce n'est pas suffisant pour une mise en production. Imaginez une maladie qui touche 1 % de la population. Si l'algorithme se trompe "juste un peu", il va inonder des millions d'utilisateurs sains de fausses alertes anxiogènes. Pour une étude, un faux positif est une statistique. Pour Apple, c'est un client paniqué aux urgences pour rien, et un potentiel procès.

C'est toute la difficulté de la médecine prédictive grand public : il ne suffit pas d'avoir "plutôt raison". Il faut une spécificité quasi parfaite pour ne pas transformer l'Apple Watch en générateur d'hypocondrie.

Cette étude est une preuve de concept fascinante. Elle montre que nos montres actuelles sont sous-exploitées et que des mises à jour logicielles pourraient théoriquement débloquer des fonctions de santé avancées. Mais ne retenez pas votre souffle : entre un papier de recherche au MIT et une keynote de Tim Cook annonçant la détection du Covid long, il y a encore des années de validation clinique et de régulation.

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

12 décembre 2025 à 06:30

Décidément, Macworld est tombé sur une mine d’or. Le site américain enchaîne les révélations sur les futurs produits Apple, donnant un aperçu alléchant de la feuille de route du constructeur. Après les AirTags 2, le HomePod mini 2, l’iPad 2026 et le prochain Studio Display, voilà que la publication dévoile de nouvelles informations sur le très attendu Home Hub, cet appareil qui est un croisement entre l’iPad et le HomePod.

Apple travaillerait sur un hub domotique intelligent qui miserait largement sur la nouvelle version, bien plus puissante, de Siri attendue l'année prochaine. Cet appareil fait l'objet de rumeurs récurrentes depuis plus de deux ans, mais une fuite récente et détaillée dans le code d’iOS 26 vient apporter un éclairage nouveau et confirmer l'essentiel des attentes.

HomePod mini 2 et AirTag 2 dans le code d’iOS 26, avec un aperçu des nouveautés

HomePod mini 2 et AirTag 2 dans le code d’iOS 26, avec un aperçu des nouveautés

A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?

A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

Un centre de commande dopé à l’IA et à Face ID

Le point le plus parlant concerne l’identification. Le HomePad embarquerait une caméra, limitée à du 1080p, et surtout Face ID. Pas seulement pour déverrouiller l’appareil, mais aussi pour reconnaître la personne dans la pièce. 

Dans la foulée, Apple préparerait une bascule automatique de profil : en clair, l’écran et les réponses s’adapteraient à la personne qui interagit avec l’appareil, avec des outils internes déjà utilisés pour mesurer la fiabilité du système.

Autre confirmation logique : le HomePad miserait sur Apple Intelligence et le nouveau Siri. Et si le calendrier se vérifie, l’appareil arriverait au moment où l’assistant d’Apple serait prêt, via iOS 26.4, avec une fenêtre évoquée autour de mars ou avril.

Côté matériel, les rumeurs décrivent un écran carré d’environ sept pouces, accompagné d’un socle haut-parleur optionnel. L’image qui se dessine est assez claire : un petit écran domestique, posé sur un meuble, plus « présent » qu’un iPad qu’on trimballe, mais plus interactif qu’un HomePod.

Amazon Echo Hub. Image Amazon

J229 : un accessoire mystérieux qui sent la caméra de sécurité

Macworld dit aussi avoir repéré un second produit, identifié comme J229. Cette fois, il ne s’agirait pas d’un appareil autonome, mais d’un accessoire doté de plusieurs capteurs, capable de détecter des sons d’alarme et de capturer des images. Difficile de ne pas y voir une pièce d’un futur kit de sécurité domestique, possiblement une caméra conçue pour compléter le HomePad. 

Un timing qui colle avec la fin du « hub iPad »

Petit détail qui rend l’ensemble encore plus crédible : Apple a repoussé, mais maintient, la fin du support de l’iPad comme hub principal de la maison connectée, avec une échéance fixée au 10 février 2026. Autrement dit, pile le genre de vide produit qu’un HomePad pourrait venir combler au printemps. 

Apple repousse la fin de l’ancienne architecture HomeKit à février 2026

Apple repousse la fin de l’ancienne architecture HomeKit à février 2026

Reçu hier — 11 décembre 2025 MacG.co

HomePod mini 2 et AirTag 2 dans le code d’iOS 26, avec un aperçu des nouveautés

11 décembre 2025 à 21:30

MacWorld continue le tour de ses découvertes dans le code d’une version interne à Apple d’iOS 26, en donnant quelques infos sur deux produits : la prochaine version du HomePod mini, et le très attendu AirTag 2.

Un HomePod mini au SoC plus récent, mais sans grands changements apparents

Disponible au catalogue d’Apple depuis 2020, le HomePod mini a eu le succès qu’Apple aurait voulu avoir avec le HomePod. Il faut dire qu’à 109 €, l’achat se réfléchit un peu moins que pour son grand frère et les 349 € qu’il demande.

Depuis, à part quelques nouvelles couleurs, rien. Pas une mise à jour de l’appareil. Les choses devraient changer dans les semaines ou mois à venir, comme le prouve la découverte dans le code d’une référence B252, qui correspond à une nouvelle version de la petite enceinte connectée. Si cette mise à jour devrait comprendre un SoC S10 (comme celui des dernières Apple Watch) remplaçant le vieillissant S5 des versions actuelles, n’attendez pas pour autant des changements conséquents : ce SoC ne devrait toujours pas être à même de proposer Apple Intelligence, réservé aux futurs HomePod avec écran, qui devraient eux être équipés du A18.

Le HomePod mini en fin de vie chez plusieurs revendeurs : arrivée imminente d’un nouveau modèle ?

Le HomePod mini en fin de vie chez plusieurs revendeurs : arrivée imminente d’un nouveau modèle ?

Des AirTags beaucoup plus précis, y compris en mouvement

De leur côté, les AirTags de seconde génération devraient apporter bien plus de nouveautés, après 4 ans de règne de la version actuelle. Plutôt qu’un code obscur pour la nouvelle version, Apple ne s’est semble-t-il pas foulée pour en interne : il apparaît sous le code « 2025AirTag ».

Dans un premier temps, l’appairage promet d’être amélioré, sans plus de précisions. On attend de nouvelles possibilités concernant le nom ou encore l’emoji, permettant de personnaliser à loisir le petit appareil. De la même manière, l’indication de l’état de la pile devrait être beaucoup plus précis, ce qui ne sera pas très difficile vu le peu d’informations données par la version actuelle, qui se contente d’une alerte sur le téléphone quand la pile atteint un seuil critique.

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Qu'attendre des AirTag 2, promis avant la fin de l'année ?

Mais c’est au chapitre du suivi que les choses devraient beaucoup s’améliorer : non seulement il sera plus simple de suivre précisément un AirTag en mouvement, ce qui fait cruellement défaut à la version actuelle, mais en plus, il devrait être plus facile de suivre un AirTag perdu dans un endroit très fréquenté. Comment ? Ce n’est pas encore précisé, mais ces améliorations devraient rendre ce nouvel AirTag encore plus efficace que l’actuel.

Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3

11 décembre 2025 à 21:00

Elle n’était pas attendue (comme souvent pour ce type de mise à jour), mais Apple sort ce soir une nouvelle version du firmware des AirPods Pro 2 et AirPods Pro 3.

Les écouteurs phares de la marque passent ainsi du firmware 8B25 au 8B30, sans plus de précisions : cette mise à jour peut très bien corriger des soucis rencontrés par les utilisateurs, tout comme amener des nouvelles fonctionnalités qui sortiront en même temps qu’iOS 26.2... ou un mix des deux.

Pour rappel, la prochaine version d’iOS devrait enfin amener la traduction instantanée aux utilisateurs de l’Union européenne, ainsi que de nouvelles langues pour cette fonction.

Apple va activer la traduction en direct des AirPods en Europe avec iOS 26.2, dont la sortie est prévue en décembre

Apple va activer la traduction en direct des AirPods en Europe avec iOS 26.2, dont la sortie est prévue en décembre

Comme d’habitude, aucune procédure précise à suivre pour installer ce nouveau firmware, à part faire en sorte que les écouteurs restent dans leur boîtier au plus proche de l’iPhone, si possible en charge.

GPT-5.2, partenariat avec Disney : OpenAI fait feu de tout bois pour insister sur sa supériorité

11 décembre 2025 à 20:45

C’était prévu suite à la sortie de Gemini 3, voilà qui est fait : OpenAI a sorti la version 5.2 de GPT, prévue pour contrer la montée en puissance de Google dans le domaine de l’intelligence artificielle, preuve s’il en est que Sam Altman et ses équipes ne se sentent plus si tranquilles dans le domaine, comme le rapporte TheVerge.

Dès le départ, le ton est lancé : Fidji Simo, responsable des applications chez OpenAI, annonce que GPT-5.2 est « le meilleur modèle pour l’usage quotidien en entreprise », et que leur but est de permettre « encore plus de retour sur investissement pour les utilisateurs ». Ainsi, la nouvelle version doit être encore meilleure pour « la création de feuilles de calcul, de présentations, de code, d’images percutantes, et comprend les contextes les plus complexes, et les projets en nombreuses étapes ». Tout un programme.

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

Si la dernière mise à jour était axée sur le conversationnel, voulant rendre le chatbot plus amical et chaleureux après la vague de mécontentement de GPT-5, GPT-5.2 est lui dirigé vers les entreprises, et la création de contenus efficaces pour soulager la charge de travail des cadres et autres employés ayant accès au bot conversationnel.

Le grand public n’est cependant pas oublié, grâce à un partenariat exclusif qui devrait rameuter bon nombres de fans de blockbusters et séries de films : OpenAI a passé un accord avec ni plus ni moins que Disney, lui ouvrant la porte à des créations officielles à partir des plus de 200 personnages des franchises de Disney, Marvel, Pixar ou encore Star Wars appartenant au géant du divertissement. Cette alliance permettra la création non seulement d’images officielles, mais aussi de vidéos grâce à Sora.

Disney n’a d’ailleurs pas perdu de temps, en ouvrant une plainte pour viol de propriété intellectuelle concernant ses personnages contre Google. Ainsi, la maison de Mickey a envoyé la bien connue procédure de « cease and desist » au propriétaire de Gemini, l’enjoignant à cesser toute reproduction des personnages tels que Deadpool, Darth Vader ou autres Elsa :

Google enfreint les droits d’auteur de Disney à une échelle massive, en copiant une grande partie des propriétés intellectuelles de l’entreprise sans autorisation pour entraîner et développer ses IA génératives. Disney ne tolérera pas plus longtemps l’exploitation commerciale non autorisée de ses personnages et marques déposées par ces services d’intelligence artificielle.

À l’autre bout du spectre ludique, ChatGPT compte aussi venir marcher sur le domaine de Grok, avec l’ouverture d’une section « adulte » du bot conversationnel dans le courant du premier semestre 2026 : l’IA d’Elon Musk ne devrait donc plus être la seule à pouvoir proposer du contenu classé X (ô ironie) à ses utilisateurs. Fidji Simo assure que l’entreprise ne proposera ce type de comportement réservé aux majeurs qu’une fois la certitude d’avoir une personne adulte face au bot, entre autres grâce à de nouveaux algorithmes de prédiction de l’âge de l’utilisateur.

Avec toutes ces nouveautés et ce partenariat conséquent, OpenAI espère rappeler que la société reste la référence en intelligence artificielle, et couper tout doute possible à ce sujet. Mais sera-ce suffisant ?

Les guirlandes connectées, ou comment avoir un sapin qui claque sans bouger du canapé

11 décembre 2025 à 19:45

Chaque hiver, c’est le même rituel : on ressort les cartons, on démêle vaguement les câbles et on peste sur la guirlande qui a rendu l’âme. Cette année, pourtant, le centre de gravité s’est clairement déplacé vers les modèles connectés, poussés par les promos d’Amazon et l’omniprésence des assistants dans les foyers. On ne parle plus seulement de “lampions qui clignotent”, mais d’objets qui s’intègrent réellement à un écosystème domotique, avec scènes, routines et pilotage vocal.

Twinkly : le show lumineux assumé

Si l’on devait ne retenir qu’un nom pour le côté “wahou”, ce serait Twinkly. La marque joue à fond la carte premium, avec un mapping LED poussé et des effets lumineux qui ressemblent plus à un show calibré qu’à une simple guirlande de supermarché. Les références Twinkly se positionnent clairement dans le haut du panier, mais la promesse est simple : on installe, on scanne le sapin avec l’app, et il ne reste qu’à s’amuser à dessiner littéralement des animations en temps réel.

De quoi se faire une déco à l’américaine... si on y met les moyens. Image Twinkly.

C’est typiquement le produit pour ceux qui veulent transformer le salon en démonstration technologique, quitte à payer cher le moindre mètre de LED. L’intégration avec Alexa et Google Assistant ou même Siri permet de basculer d’une ambiance à l’autre à la voix ou via routines, ce qui en fait un bon candidat pour ceux qui ont déjà un début de maison connectée. C’est même l’ami des gamers, avec une intégration poussée de Razer Chroma ou Omen Light Studio ! Le premier sapin connecté aux frags !

La marque fait bien entendu dans la décoration de sapins, avec une guirlande 8 mètres (44,24 €), 20 mètres (69,99 €) et jusqu’à 60 mètres (269,99 €), mais aussi des rideaux de lumière colorés (199,99 €), des grilles flexibles permettant d’afficher un motif (69,39 €), ou même un magnifique rêne connecté et multicolore (249,99 €).

Philips Hue Festavia : la guirlande des déjà équipés

De son côté, la Philips Hue Festavia coche une autre case : celle de l’utilisateur déjà enfermé (volontairement) dans l’écosystème Hue. La guirlande se comporte comme n’importe quel luminaire Hue, avec scènes, automatisations, compatibilité Matter et intégration profonde dans l’app existante. Clairement faite pour les adeptes de la marque, elle est faite avec la même précision des couleurs que les lampes du constructeur, mais comme ces dernières, elle le fait payer au prix fort, à 204,41 € les 20 mètres.

Danser à côté du sapin n’est pas une obligation. Enfin, pas encore. Image Philips/Signify.

Cependant, l’intégration dans l’écosystème Hue a tout de même ses avantages : pas de prise de tête, un fonctionnement qu’on connaît depuis des années, et le côté rassurant d’une marque à l’historique conséquent dans le domaine de l’éclairage connecté.

Nanoleaf : la guirlande pensée comme un objet déco

Nanoleaf joue une partition un peu différente : la marque vient du monde des panneaux lumineux design, et ça se sent dans sa façon d’aborder la guirlande connectée. Ce n’est pas seulement sur un câble LED de plus, mais un produit pensé comme une extension de l’écosystème Nanoleaf, avec scènes, palettes de couleurs et synchronisation d’ambiance cohérentes avec le reste de la gamme. L’idée, c’est moins le clignotement festif de Noël que la création d’une lumière d’ambiance qui reste crédible toute l’année, que ce soit autour d’une étagère, derrière une tête de lit ou en contour d’écran.

Les guirlandes Nanoleaf se positionnent en milieu/haut de gamme : plus chères que les no‑name, mais en dessous du combo mur Twinkly ou surtout Hue partout. En échange, on récupère une intégration maison plutôt propre, une qualité de lumière et d’effets plus travaillée que le bas de gamme, et la possibilité de rester dans une logique décorative globale pour ceux déjà équipé en panneaux ou en ampoules de la marque. Pour un setup orienté « ambiance » plus que « sapin qui hurle Noël », c’est typiquement le genre de produit qui fait sens dans une déco connectée, et se trouve à 67,99 € pour 24 mètres.

Quel que soit le choix, ces trois constructeurs ont l’avantage d’être reconnus dans le domaine, et de présenter des produits avec l’assurance d’avoir quelque chose de solide, et dont on ne sera pas déçu. Avec en bonus, l’effet bluffant de pouvoir contrôler le sapin depuis le canapé !

Un malware pour Mac profite de ChatGPT et des (trop) petits SSD des Mac pour infecter ses victimes

11 décembre 2025 à 19:25

Dans le monde Mac, les logiciels malveillants sont relativement rares, mais pas absents. Nous vous parlons d'AMOS (Atomic macOS Stealer) depuis 2023 et le logiciel utilisé par des malandrins pour vous voler vos données évolue de façon régulière. La dernière méthode en date passe par ChatGPT et Grok, en profitant d'un problème récurrent sur les Mac : la capacité du SSD.

Le premier vecteur est le fait que les Mac de 2025 sont toujours livrés avec 256 Go de SSD.

Les chercheurs de chez Huntress détaillent les nouveautés, découvertes en décembre 2025. Premièrement, ils utilisent une question courante pour un utilisateur lambda d'un Mac : comment nettoyer le disque et gagner quelques gigaoctets d'espace libre. C'est une question courante sur un moteur de recherche, étant donné qu'Apple livre encore une bonne partie de ses appareils avec un SSD de seulement 256 Go par défaut. Ils expliquent que la méthode a été découverte en tapant « Clear disk space on macOS » dans Google.

Une conversation malicieuse. Image Huntress.

Le piège vient des réponses : des liens vers des conversations pour deux chatbots, ChatGPT et Grok. Il ne s'agit pas de sites malicieux, mais de simples résultats sponsorisés, qui renvoient vers des pages qui semblent parfaitement légitimes. Mais le contenu des messages, lui, ne l'est pas. Sous couvert de conversations qui semblent expliquer comment gagner un peu d'espace sur le SSD du Mac, les différentes informations dispersées sont les différentes étapes qui permettent d'installer le malware sur un Mac.

La façon dont les différentes étapes sont créées n'est pas totalement claire, mais elles résultent *a priori* d'une demande spécifique qui n'est pas rendue publique, et qui va lister les points que l'IA doit donner dans ses réponses. C'est une utilisation détournée des différents outils. Une fois la « bonne » réponse proposée par ChatGPT ou Grok, il est possible de sauver le résultat pour le rendre public.

C'est toute la « beauté » de la chose : un néophyte qui a confiance dans les réponses d'un chatbot comme ChatGPT ou Grok n'a aucune raison de penser que les différentes étapes (compliquées) proposées sont malicieuses et permettent d'installer un malware. L'utilisateur va littéralement permettre l'installation d'AMOS, presque consciemment. Les protections intégrées dans les navigateurs ou avec certains résolveurs DNS ne peuvent pas réellement bloquer ce genre d'attaques (elles sont simples à reproduire et bloquer ChatGPT ou Grok est inenvisageable) et la confiance dans les chatbots actuellement est trop grande pour que les personnes qui tombent sur ce genre de réponses se méfient réellement.

En l'état, la seule recommandation à faire est de vous méfier, et (surtout) de ne pas taper votre mot de passe de façon automatique. Une ligne de commande à copier dans le terminal n'est jamais totalement anodine et celles trouvées sur ChatGPT, Grok, GitHub ou n'importe quel site Internet (oui, même MacGeneration) doivent être considérées dans tous les cas avec méfiance.

L'Apple Watch peut (presque) piloter les drones de DJI

11 décembre 2025 à 17:45

La version 1.19.4 de l'app de DJI pour ses drones (DJI Fly) amène une nouveauté amusante : les drones DJI Neo 2, DJI Flip et DJI Neo (trois modèles compacts peu onéreux) peuvent maintenant être pilotés depuis une Apple Watch.

La montre et un drone. Image DJI.

N'attendez pas évidemment un contrôle tactile des mouvements des drones, mais il est possible de voir le flux vidéo du drone, d'afficher le niveau de la batterie, d'afficher des informations sur l'appareil et d'émettre des commandes vocales pour des contrôles basiques.

Des exemples de réglages.

DJI indique qu'il faut a minima une Apple Watch Series 8 (ou une Apple Watch Ultra). La montre doit être sur le même réseau Wi-Fi que le drone, et le drone doit avoir été mis à jour. Actuellement, seul le Neo 2 a été mis à jour, mais les deux autres devraient recevoir la mise à jour nécessaire rapidement.

Si la fonction peut ressembler à un gadget, c'est une idée intéressante pour suivre les mouvements d'un drone qui surveille un endroit précis sans forcément avoir son smartphone à la main, même si les possibilités restent assez limitées dans l'absolu.

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