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Reçu aujourd’hui — 19 décembre 2025 MacG.co

OpenAI lance la formule ChatGPT Go en France : 8 € par mois pour un usage plus généreux

19 décembre 2025 à 12:05

Quelques mois après son lancement, OpenAI propose depuis peu ChatGPT Go en France. Cet abonnement facturé 8 € par mois pour les nouveaux abonnés (et peut-être moins si vous êtes déjà abonné) est une formule d’entrée de gamme qui intègre les mêmes fonctionnalités que la version gratuite, mais avec des limites supérieures. ChatGPT Plus, l’offre payante la plus abordable jusque-là, est quasiment trois fois plus chère, même si elle ajoute quelques fonctions supplémentaires et encore plus d’usage des modèles de base.

La nouvelle grille tarifaire de ChatGPT pour les particuliers en France. Image MacGeneration.

ChatGPT reste gratuit à la base et on peut même l’utiliser de manière très légère sans compte. Se connecter avec un compte OpenAI permet une utilisation plus intensive des fonctionnalités de base : discussions avec les variantes allégées du grand modèle de langage du moment et créations de textes et images. Il y a toutefois des limites quotidiennes suffisamment basses pour gêner un usage même modéré, en particulier si on veut utiliser des fonctionnalités comme une réflexion prolongée avec les modèles plus avancés.

Jusque-là, il fallait débourser pas moins de 23 € par mois pour lever ces limites, alors l’introduction de la formule ChatGPT Go est une bonne nouvelle à cet égard. Pour 8 € par mois, on a un accès plus large à GPT-5.2 et ses futures mises à jour, on peut créer plus d’images au quotidien, importer des fichiers en plus grand nombre et plus lourds, ou encore utiliser plus souvent le modèle « Thinking », qui offre des réponses plus complexes. Comme toutes les entreprises du secteur, OpenAI se garde bien de définir clairement les limites qui subsistent et son site se contente d’indiquer :

ChatGPT Go inclut des limites d’utilisation plus élevées que l’offre gratuite pour le chat principal et les outils. Ces limites peuvent varier en fonction des conditions du système afin de garantir une expérience fluide pour l’ensemble des utilisateurs.

Seul l’usage permet de déterminer si l’option Go pourrait suffire ou si la formule Plus reste nécessaire. La réponse dépendra sûrement du nombre de requêtes approfondies utilisées chaque jour ainsi que de la taille du contexte, c’est-à-dire du nombre d’informations associées à une demande. Si vous comptez souvent sur ChatGPT pour lire de longs documents ou pour analyser de grandes quantités de code source, vous aurez probablement besoin de monter votre abonnement d’un cran. ChatGPT Plus a d’autres arguments à faire valoir, avec la possibilité d’organiser les échanges en projets thématiques, l’accès à Codex qui sert à générer du code ou à Sora pour créer des vidéos.

Cela dit, si vous vous étiez abonné à ChatGPT Plus et que vous n’utilisez pas ces avantages ou tout simplement que vous souhaitez économiser un peu sur votre facture mensuelle, sachez qu’il est possible de descendre sur la formule Go. Dans mon cas, OpenAI me propose même un tarif réduit, puisque je ne paierais que 4 € par mois, soit quasiment six fois moins ! Voilà qui est tentant, sachant que je n’utilise jamais Sora et rarement Codex et même si j’ai commencé récemment à exploiter les projets, je pourrais m’en passer pour faire de belles économies.

Étant actuellement abonné à ChatGPT Plus, OpenAI me propose une réduction sur le forfait Go. Image MacGeneration.

Tous ces forfaits étant sans engagement, rien n’empêche de les tester pendant un mois avant de changer d’avis. C’est vrai pour la formule Go comme pour la Pro, vendue à 229 € par mois pour un usage illimité de ChatGPT (avec tout de même quelques garde-fous techniques) et un accès aux nouveautés en avant-première. C’est sans doute bien trop élevé hors d’un contexte professionnel, mais rien ne vous interdit d’essayer un mois pour trancher.

Fortnite ne reviendra finalement pas sur l’iPhone au Japon, malgré les promesses de Tim Sweeney

19 décembre 2025 à 11:09

Tim Sweeney avait promis un retour de Fortnite sur l’iPhone au Japon quand le pays avait annoncé son intention de forcer Apple à ouvrir son smartphone. Maintenant que la loi MSCA a été votée et que l’iPhone va effectivement s’ouvrir aux boutiques alternatives, on apprend finalement qu’il n’en sera rien. Le patron d’Epic Games a détaillé ses raisons sur X et la plus importante est financière : il n’apprécie pas les 5 % qu’Apple peut exiger sur chaque transaction effectuée hors de l’App Store.

Image Epic/iGeneration.

La réglementation japonaise permettrait à Epic Games de proposer son jeu phare sans utiliser le système de paiement de l’App Store et donc sans reverser la commission de 15 ou 30 % exigée par Apple. On peut rappeler que c’était en effet le point de conflit entre le créateur de Fortnite et le concepteur de l’iPhone et ce qui avait poussé Tim Sweeney à affronter directement Apple en 2020. À l’époque, une mise à jour avec une boutique qui proposait des achats en direct avait été distribuée, entraînant la suppression de l’app sur la boutique et un long procès qui n’est toujours pas terminé cinq ans plus tard.

Epic Games défie Apple avec des achats directs dans Fortnite

Epic Games défie Apple avec des achats directs dans Fortnite

Apple perd son appel contre Epic, mais sauve sa commission sur les achats externes

Apple perd son appel contre Epic, mais sauve sa commission sur les achats externes

Depuis, Apple a été contrainte d’assouplir ses règles, en particulier en Europe dans le cadre du DMA. Cela a permis à Fortnite de revenir grâce à des boutiques d’apps alternatives, puis même sur l’App Store, où il est désormais possible de proposer des méthodes alternatives de paiement.

Fortnite est de retour sur iPhone en Europe avec l

Fortnite est de retour sur iPhone en Europe avec l'Epic Games Store

Après 5 ans d

Après 5 ans d'absence, Fortnite revient sur l'App Store américain

Retour au Japon : pourquoi est-ce que Tim Sweeney refuse finalement d’y lancer Fortnite, s’il peut à la fois compter sur des boutiques tierces et sur des moyens de paiement alternatifs dans l’App Store ? Contrairement aux règles actuellement en vigueur en Europe, les législateurs japonais ont permis à Apple de prélever un pourcentage sur chaque transaction effectuée dans une app installée sur l’iPhone, peu importe son origine. Un développeur devra ainsi reverser 5 % pour les apps distribuées sur une boutique tierce et 15 % s’il veut utiliser un moyen de paiement externe sur l’App Store.

Néanmoins, comme le rappelle MacRumors, la situation va bientôt changer en Europe, où Apple va imposer la même commission de 5 % à partir du 1er janvier 2026. Jusque-là, les développeurs pouvaient opter pour un prélèvement unique de 50 centimes, ce qui était certainement plus intéressant pour une app comme Fortnite, où les joueurs peuvent dépenser régulièrement des sommes parfois importantes. Cet avantage va disparaître en Europe, alors est-ce que le jeu d’Epic Games disparaîtra lui aussi ?

DMA : Apple simplifie l

DMA : Apple simplifie l'ajout de liens d’achat externes en Europe et introduit une nouvelle commission 

Outre les questions financières, Tim Sweeney critique aussi les écrans systématiquement affichés par iOS lorsque l’on veut sortir du cadre de l’App Store et qui vont sans doute dissuader une partie des utilisateurs. Selon lui, Apple respecte la loi japonaise avec mauvaise foi et n’essaie pas vraiment d’ouvrir son iPhone à la concurrence, en faisant tout pour empêcher l’émergence d’une alternative populaire.

Tim Sweeney n’hésite jamais à utiliser Fortnite comme moyen de pression sur Apple et Google et c’est encore une fois le cas au Japon. Pour autant, le législateur semble satisfait de l’implémentation d’Apple, alors on ne sait pas trop quelle marge de manœuvre il pourrait avoir. Peut-être que ses arguments feront mouche et que le MSCA sera à son tour ajusté en sa faveur…

Bon plan : le MacBook Air M2 à 749 € avec en plus 50 € offerts en carte cadeau chez Fnac-Darty

19 décembre 2025 à 10:32

À quelques jours de Noël, on peut encore profiter de bons plans sur des produits Apple. Le MacBook Air M2 est disponible à 749 € à la Fnac et chez Darty. Dans les deux cas, une livraison avant Noël est proposée. C’est un tarif devenu assez habituel, Amazon fait le même, mais en plus le groupe français offre 50 € en carte cadeau.

Chez Darty, il faut utiliser le code MACBOOK50 lors de la commande pour en profiter. Attention à une chose, les conditions d’utilisation de la carte cadeau sont assez strictes : elle est valable uniquement dans les magasins Darty de France métropolitaine, hors darty.com, du 10/01/2026 au 24/02/2026.

À la Fnac, les conditions sont différentes : les 50 € reversés sont réservées aux adhérents Fnac+ et sont valables 30 jours à partir de la réception du produit. Dès le cumul de 1 € sur le compte fidélité, il est possible d'obtenir un chèque-cadeau virtuel Fnac du montant cumulé valable dans les magasins Fnac et Darty participants ainsi que sur Fnac.com.

Même s’il a été lancé il y a trois ans, le MacBook Air M2 reste dans le coup. Il est léger, silencieux, performant et endurant — il tient sans aucun problème une longue journée. Deux générations lui ont succédé, mais la formule n’a pas changé, si bien qu’il est tout à fait recommandable encore aujourd’hui.

Promo : un iPhone 17 Pro à - 11 % et livré juste à temps pour Noël

Promo : un iPhone 17 Pro à - 11 % et livré juste à temps pour Noël

Promo : un iPhone 17 Pro à - 11 % et livré juste à temps pour Noël

19 décembre 2025 à 09:56

Il n’est pas trop tard pour faire des économies sur ses cadeaux de Noël Apple. L’iPhone 17 Pro orange est vendu 1 184 € sur Amazon Italie au lieu de 1 329 € chez Apple. Il est affiché à 1 199 € sur Amazon.it, mais une fois les taxes et les frais de livraison calculés, il revient à 1 184 €. Il est livré en France le 24 décembre, juste à temps pour l’emballer et le mettre sous le sapin, donc.

Vous pouvez passer commande sur Amazon Italie avec votre compte Amazon français. Seule la couleur orange est disponible avant Noël.

Si vous l’ignorez, l’iPhone 17 Pro représente le top du top chez Apple. Il a un magnifique écran OLED de 6,3", une nouvelle structure unibody solide, une puissance de feu, un appareil photo ultra complet (enfin, presque) et une excellente autonomie. Les seules critiques qu’on peut lui faire, c’est que son design n’est pas du goût de tout le monde et surtout qu’il est relativement lourd et imposant.

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

Vos proches ont déjà des iPhone qui tiennent la route ? Une Apple Watch peut faire un très beau cadeau. En plus, c’est moins cher qu’un smartphone. L’Apple Watch Series 11 est à 358 € sur Amazon Italie, soit 20 % de moins que chez Apple.

L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Les progrès par rapport à la Series 10 sont très minimes, mais l’écart devient nettement plus perceptible face aux générations précédentes. C’est une montre fine et très bien finie, avec une bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Si vous voulez le meilleur de l’Apple Watch sans passer à la massive Ultra, vous ne serez pas déçu.

ChatGPT permet d’épingler les conversations importantes partout… sauf sur Mac

19 décembre 2025 à 09:33

ChatGPT reçoit une petite fonctionnalité bien pratique, avec la possibilité d’épingler des conversations que l’on juge importantes. Quand on commence à utiliser le chatbot d’OpenAI de manière intensive, on peut effectivement finir avec une longue liste d’échanges. Même si le système tente de nommer chaque chat de manière intelligente, on se retrouve vite noyé par le volume et incapable de retrouver rapidement un élément. Les chats épinglés resteront en tête de la liste, une bonne manière de garder sous la main l’essentiel.

L’option pour épingler un chat dans le menu contextuel de la version web de ChatGPT. Image MacGeneration.

La fonctionnalité a été annoncée sur X, où OpenAI précise qu’elle est déployée sur iOS, Android, le web… mais pas le Mac. Bizarrement, alors que ChatGPT avait certainement la meilleure app macOS de la catégorie, l’application semble un peu à l’abandon ces derniers temps ou en pleine phase de transition si l’on veut être optimiste. Quoi qu’il en soit, il ne sera pas possible d’épingler un chat sur le Mac, ni même de voir les chats épinglés sur d’autres appareils en tête de liste, ce qui est plus gênant si on compte utiliser la nouveauté.

ChatGPT annonce le retrait du mode Voice uniquement sous macOS

ChatGPT annonce le retrait du mode Voice uniquement sous macOS

Sur le web, on épingle un chat en cliquant sur les trois points qui s’affichent à son niveau lors d’un survol du curseur, puis en choisissant la nouvelle option dans le menu contextuel. Sur les appareils mobiles, un tap prolongé sur une conversation affiche également un menu contextuel, où se trouve l’option. S’il n’est pas nécessaire de mettre à jour l’app, il m’a fallu la redémarrer pour que l’option apparaisse sur mon iPhone.

Le menu contextuel qui permet d’épingler un chat à gauche, la liste d’échanges avec deux épingles à droite. Image iGeneration.

On peut épingler les chats dans la liste globale ainsi qu’à l’intérieur d’un projet. Les données sont logiquement synchronisées entre les différentes apps (sauf sous macOS) et le web. En revanche, on est limité à trois épingles seulement, ce qui semble bien peu. Si on a déjà trois conversations en tête de liste, un message d’erreur suggère ainsi de retirer une épingle pour pouvoir en ajouter une autre.

ChatGPT enchaîne les nouveautés en ce moment. Hier, c’est sa boutique d’apps qui est sortie, avec notamment son intégration à Apple Music. En début de semaine, OpenAI présentait un nouveau générateur d’images amélioré pour répondre à la pression de Google. La semaine dernière, c’était la sortie de la version 5.2 de sa famille de grands modèles de langage, une sortie précipitée pour réagir à la concurrence.

GPT-5.2, partenariat avec Disney : OpenAI fait feu de tout bois pour insister sur sa supériorité

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GPT Image 1.5 : ChatGPT rattrape enfin Nano Banana sur la retouche d’images

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OpenAI ouvre l’App Store de ChatGPT aux utilisateurs comme aux développeurs

OpenAI ouvre l’App Store de ChatGPT aux utilisateurs comme aux développeurs

On peut d’ailleurs ajouter à cette liste la sortie aujourd’hui de ChatGPT-5.2-Codex, la dernière version du modèle optimisé pour le développement. D’après les chiffres fournis par OpenAI, ce modèle surpasse tous ses prédécesseurs et serait même « le modèle de programmation agentique le plus avancé à ce jour ».

OpenAI a lancé au début du mois une « alerte rouge » pour reprendre l’avantage technologique, en particulier face à un Google particulièrement agressif. On en voit les fruits, avec de multiples évolutions rapides. Reste à savoir si ce sera suffisant pour revenir à la première place…

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

Santé : Bevel fait sa révolution et devient (presque) gratuit

19 décembre 2025 à 08:35

Dans l’écosystème de l’Apple Watch, c’est un petit événement. Bevel, l'une des applications de suivi de santé les plus complètes du moment, change radicalement de modèle économique. La quasi-totalité de ses fonctions est désormais gratuite.

Image : Bevel

Bevel fait partie de ces applications qui vont plus loin que l’app Santé d'Apple. Elle comble ce qui manque cruellement à la solution native : une véritable analyse des données pour offrir une batterie d’indicateurs quotidiens. Au-delà du simple tableau de bord, Bevel se comporte comme un journal de bord où l’on consigne son activité et ses repas. Entre le coach sportif et le nutritionniste de poche, l'app tente de couvrir tous les angles de la forme physique.

Le « Whoop » de l'Apple Watch

Son interface et sa philosophie s’inspirent ouvertement de Whoop, ce bracelet sans écran qui mise tout sur la récupération et la charge cardiaque. Sur le plan matériel, une Apple Watch dispose pourtant de capteurs similaires. La différence se joue sur le traitement logiciel, et c'est précisément là que Bevel intervient pour transformer la montre d'Apple en un véritable outil de santé et de coaching.

Jusqu’à présent, cette expertise se payait au prix fort : 59,99 € par an. Mais l’éditeur a décidé de changer son fusil d’épaule. Désormais, l’immense majorité des fonctionnalités sont gratuites.

L’IA comme seule frontière payante

Dans la vidéo d’annonce, Bevel insiste lourdement sur un point : si le service devient gratuit, ce n’est pas vous le produit. L’éditeur martèle qu’il n’a aucune intention de vendre vos données de santé à des tiers. Alors, comment l'entreprise compte-t-elle se rémunérer ?

La réponse tient en deux lettres : IA. Les seules fonctions qui restent payantes sont regroupées sous le label Bevel Intelligence. C'est elle qui génère des plans d’entraînement personnalisés ou des analyses prédictives. Ce choix est pragmatique : l'exécution des modèles d'IA coûte cher en serveurs, contrairement au traitement local des données de santé qui, lui, devient gratuit.

Depuis son lancement fin 2023, Bevel a énormément évolué, mais l'ambition ne s'arrête pas là. L’éditeur travaille activement sur une version 3.0 prévue pour 2026, qui promet de « bousculer à nouveau l'industrie ».

En devenant en grande partie gratuite aujourd'hui, Bevel veut s’imposer comme la référence absolue sur un marché de la santé ultra-dynamique. C'est aussi une manière d’étoffer considérablement sa base d'utilisateurs avant l'arrivée programmée pour l’année prochaine de Health+, le service d’Apple qui pourrait rebattre les cartes.

Health+ : le service de santé d

Health+ : le service de santé d'Apple attendu pour 2026

Bon à savoir : Si vous êtes déjà abonné, ne résiliez pas forcément tout de suite. L'éditeur a précisé que les abonnés actuels bénéficieront d'un statut privilégié.

Un tout nouveau Raycast prévu pour 2026

19 décembre 2025 à 07:45

En l’espace de quelques années, Raycast est devenu l'un des utilitaires les plus populaires sur Mac. Il s’agit d’un lanceur dans la lignée d’Alfred, de LaunchBar ou encore de Quicksilver. Mais par rapport à ses concurrents historiques, Raycast se distingue par son ouverture vers les services tiers et mise énormément sur l’intelligence artificielle.

À la découverte de Raycast, le puissant lanceur multifonctions pour le Mac

À la découverte de Raycast, le puissant lanceur multifonctions pour le Mac

Pour les aficionados du logiciel, la courte vidéo mise en ligne par l’éditeur a suscité une certaine effervescence. Si le teaser reste mystérieux, il laisse entrevoir une interface repensée pour se fondre encore davantage dans macOS. L'éditeur semble avoir concocté un mode compact encore plus minimaliste. L’esthétique, plus fine et épurée, adopte les codes visuels récents d'Apple : l'objectif est clairement de proposer un outil qui sait se faire oublier visuellement tout en restant immédiatement accessible sous les doigts.

Mais la véritable "killer feature" suggérée par ces quelques secondes concerne l'audio. Raycast semble prêt à intégrer la dictée vocale avancée directement au cœur du lanceur. Il ne s'agirait plus seulement de lancer des commandes à la voix, mais bien de dicter du texte avec la puissance de l'IA, à la manière de ce que proposent aujourd'hui des utilitaires spécialisés comme MacWhisper ou Wispr Flow. En intégrant nativement une telle fonction, Raycast pourrait bien "sherlocker" quelques applications tierces et s'imposer définitivement comme le centre névralgique de la productivité sur Mac.

AirPods Pro 3 : les grésillements font de la résistance

19 décembre 2025 à 07:30

Lancés il y a quelques mois, les AirPods Pro 3 figurent sans doute parmi les meilleurs produits lancés par Apple cette année. Toutefois, tout n'est pas parfait pour autant : depuis leur commercialisation, plusieurs dysfonctionnements persistent et n'ont toujours pas été corrigés malgré l'enchaînement des mises à jour.

Comme nous le notions déjà fin octobre, un problème de grésillement — s'apparentant à de l’électricité statique — vient régulièrement perturber l’écoute. Le phénomène est particulièrement audible lorsque la réduction active du bruit (ANC) est activée, mais qu'aucun contenu n’est diffusé. Plus irritant encore, certains utilisateurs rapportent des sifflements aigus intermittents. En ce qui nous concerne, nous avons expérimenté ce bug à deux reprises le même jour ; il ne s'est fort heureusement plus manifesté depuis.

AirPods Pro 3 : un bug sonore qui fait grincer des oreilles

AirPods Pro 3 : un bug sonore qui fait grincer des oreilles

AirPods Pro 3 : certains utilisateurs se plaignent d’un bruit blanc constant

AirPods Pro 3 : certains utilisateurs se plaignent d’un bruit blanc constant

Des mises à jour sans grand effet

Apple est pourtant au travail, du moins sur le papier. Depuis l'émergence des premiers témoignages, deux mises à jour ont été déployées. La dernière en date, la B30 sortie il y a une semaine, permet notamment d’accéder à la traduction en direct en Europe.

Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3

Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3

Pourtant, le constat reste le même : les retours sur les forums d’assistance indiquent que ces nouveaux micrologiciels n’ont pas corrigé le tir. Les bruits de friture persistent, avec ou sans musique, et de nouveaux griefs font leur apparition, notamment concernant la latence et des problèmes de synchronisation audio lors de la lecture de vidéos.

Un défaut d'ordre logiciel ?

C’est toute la question qui anime la communauté. Certains clients ont tenté le passage en Apple Store pour un échange standard, mais la déception est souvent au rendez-vous : les écouteurs de remplacement présentent parfois les mêmes symptômes. Cela laisse planer un doute sur la nature du problème : s'agit-il d'un bug profond dans le traitement du signal ou d'un défaut de conception matérielle ?

Fidèle à ses habitudes, Apple reste peu loquace. Les notes de version se contentent de vagues « corrections de bugs et autres améliorations », sans jamais nommer précisément le problème de l'ANC. Pour une paire d'écouteurs vendue à ce prix, le silence de Cupertino finit par devenir aussi assourdissant que les grésillements qu'ils sont censés corriger.

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas à nous faire part de vos témoignages dans les commentaires si vous rencontrez également ces problèmes !

Apple Plans : fin de voyage pour les visites guidées Flyover

19 décembre 2025 à 06:51

Début septembre, nous nous étonnions de la disparition soudaine des visites guidées Flyover dans de très nombreuses villes. Ces survols automatisés n’étaient plus au programme, que ce soit sous iOS 18 ou sous les bêtas de son successeur.

Image : iGeneration
Image : iGeneration

Trois mois plus tard, comme le souligne MacRumors, cette fonction est toujours aux abonnés absents. On peut désormais acter la décision d’Apple : la firme a discrètement débranché une fonctionnalité qui, si elle n'était sans doute pas la plus utilisée, restait l'un des fleurons visuels de son application de cartographie.

Un vestige de l'ère iOS 8

Il ne faut pas confondre la technologie Flyover (la vue 3D), lancée en grande pompe en 2012 avec iOS 6, et les City Tours (les visites guidées). Ces derniers ne sont arrivés qu'en 2014, avec iOS 8 et OS X Yosemite. L'idée était séduisante : utiliser la richesse de l'imagerie aérienne pour proposer une découverte scénarisée des grandes métropoles.

Pendant une décennie, il suffisait de tapoter sur l'icône Flyover lors de la recherche d'une ville pour lancer le guide. Aujourd'hui, l'option a tout simplement été rayée de la carte. Un ménage de printemps avant l'heure, probablement justifié par des statistiques d'utilisation proches du néant.

La 3D reste, le pilote automatique s'en va

Que les amateurs de tourisme virtuel se rassurent : seule la visite automatisée disparaît. L’imagerie Flyover reste disponible dans plus de 350 villes à travers le monde. Vous pouvez toujours admirer les monuments, les parcs et les gratte-ciel avec cette vue plongeante si particulière.

Pour rappel, Apple utilise des clichés capturés par de petits avions pour modéliser ces environnements avec une précision chirurgicale. Une technologie impressionnante qui explique aussi pourquoi certaines zones restent désespérément "plates" pour des raisons de sécurité nationale ou de confidentialité.

En somme, Apple fait table rase pour laisser toute la place à l'expérience « Détails de la ville » (Detailed City Experience). Lancée avec iOS 15, cette cartographie « nouvelle génération » est autrement plus ambitieuse qu'une simple vidéo en boucle : elle propose une modélisation chirurgicale du relief, des marquages au sol précis, des passages piétons en 3D et des monuments dessinés à la main qui s'illuminent délicatement une fois la nuit tombée.

Au printemps, Apple a pris en charge Monaco. Avant / Après
Au printemps, Apple a pris en charge Monaco. Avant / Après

Il serait toutefois de bon ton qu’Apple mette maintenant un sérieux coup d'accélérateur sur le déploiement de cette fonctionnalité. Si le résultat est bluffant, il reste encore trop souvent l'apanage de quelques métropoles triées sur le volet. En France, Paris fait toujours cavalier seul et reste la seule ville à offrir cette expérience complète.

macOS Tahoe : un bug agaçant fait clignoter le Studio Display

19 décembre 2025 à 06:19

C’est une vieille connaissance que l’on aurait préféré ne pas revoir. Depuis le lancement de macOS Tahoe en septembre dernier, le Studio Display semble pris d’une soudaine passion pour le stroboscope. Un bug agaçant qui, loin de se résorber avec les dernières mises à jour, semble au contraire gagner du terrain.

Un bug qui joue les prolongations

Le problème n'est pas totalement inédit. Comme le rapporte MacRumors, les témoignages d'utilisateurs excédés s'accumulent sur les forums de support. Si des phénomènes de scintillement avaient déjà pointé le bout de leur nez sur de précédentes versions du système, macOS Tahoe semble avoir définitivement ouvert la boîte de Pandore : ce qui n'était qu'un incident isolé par le passé devient, avec cette mouture, un défaut récurrent.

Nous avons d'ailleurs pu constater le phénomène directement à la rédaction : l'un de nos Studio Display est touché par ces clignotements intempestifs. Et le constat est sans appel : les versions 26.1 et 26.2 de Tahoe n'ont absolument rien réglé à l'affaire. Il est à noter que, selon certains témoignages, ce bogue frapperait également des moniteurs d’autre marque.

Photos et Vidéos dans le viseur

Si le bug peut frapper de manière aléatoire, il semble avoir une prédilection pour les contenus multimédias. Le scintillement se manifeste plus souvent lorsque de la photo ou de la vidéo est en jeu. De mon côté, le déclencheur est presque systématique : il suffit de lancer l'application Photos pour que l'écran se mette à vaciller, surtout lors du passage entre des interfaces sombres et des fonds très clairs.

Une piste pour calmer le jeu

En attendant qu'Apple se décide à publier un correctif — probablement via une mise à jour du firmware de l'écran — une solution de fortune semble porter ses fruits. Chez moi, le problème a été en grande partie résolu par une manipulation simple dans les Réglages Système : décocher l'option « Régler la luminosité automatiquement ».

Il semblerait que le capteur de luminosité ambiante et la gestion logicielle de Tahoe ne fassent plus bon ménage, provoquant ces ajustements brutaux qui ressemblent à des flashs. Ce n'est certes pas une solution idéale pour un écran de ce prix, mais cela permet au moins de retrouver un confort de travail acceptable en attendant des jours meilleurs.

Reçu hier — 18 décembre 2025 MacG.co

Les ventes de consoles s’effondrent suite aux nombreuses hausses de prix

18 décembre 2025 à 21:30

Pendant longtemps, la guerre des consoles était... le nerf de la guerre pour le trio Sony/Microsoft/Nintendo. Pour vendre des jeux et accessoires en masse, les trois constructeurs n’hésitaient pas à brader leurs consoles, quitte à y être de leur poche (comme ce fut le cas pour Sony et ses PlayStation 2, PSP, PS Vita et même PS5 à leurs débuts). Cependant, les choses semblent changer et les ventes s’en ressentent, tout particulièrement aux USA, comme le remarque IGN.

Image créée par intelligence artificielle.

Ainsi, les prix ont déjà pris une claque mi-2025 suite aux atermoiements de l’administration américaine, avec une PlayStation 5 dont tous les tarifs montent de 50 dollars. La Xbox, de son côté, a fait encore plus fort : la Xbox S a pris 80 dollars, quand la Series X est montée de 100 à 130 dollars suivant les éditions ! De son côté, Nintendo a profité de la sortie de sa Switch 2 pour afficher d’emblée un tarif élevé, lui évitant la grogne à chaque hausse.

Mais ce n’était pas fini pour autant pour Microsoft : fin septembre, nouvelle hausse. Au final, la Xbox Series X qui s’affichait à 499 dollars au début de l’année est maintenant vendue 649 dollars ! Résultat ? Des ventes qui s’effondrent.

Plus dure sera la chute

Celui qui s’en sort le mieux, sans surprise, c’est Nintendo : avec 10 % de baisse des ventes d’une année sur l’autre au mois de novembre, l’entreprise de Mario tire les marrons du feu. Mais ce n’est cependant qu’une façade : la Switch 2 est toute récente, et les ventes cumulent à la fois celles de la nouveauté, mais aussi de la vénérable Switch première génération.

Sony, de son côté, accuse le coup avec 40 % de baisse de ventes d’une année à l’autre pour le mois de novembre. La chute est sévère, mais logique : la PlayStation 5 est (re)devenue une console chère, avec des prix commençant à 499 dollars pour une version Digital. La PlayStation 5 Pro, n’en parlons même pas : à 749 dollars, seuls quelques hardcore gamers s’y intéressent... quand ils ne sont pas sur PC.

Mais pour Microsoft, ce n’est plus une chute, c’est une catastrophe : avec 70 % de baisse des ventes, la Xbox réalise son pire mois de novembre depuis son lancement !

Et les choses ne sont pas près de s’arranger niveau tarifs, que ce soit pour n’importe lequel des trois gros bonnets : la crise de la mémoire et des SSD va les toucher de plein fouet, et les tarifs des consoles étant déjà tirés au maximum, aucun ne pourra faire comme si de rien n’était. Les tarifs monteront, encore une fois, et mondialement cette fois.

Une crise ? Quelle crise ?

Cependant, Microsoft ne semble pas s’affoler outre mesure. L'entreprise de Redmond semble déjà être passée à autre chose, bien qu’elle continue encore de produire du matériel. Satya Nadella l’a bien fait comprendre, en cassant le principe des exclusivités de la plateforme Xbox : la lutte n’est plus sur le matériel, mais sur les grandes plateformes de téléchargement. La console Xbox coule ? Et alors ? L’important, c’est que les ventes restent stables voire montent au niveau des licences, et encore plus au niveau des abonnements.

Xbox est présent sur de nombreuses plateformes, y compris concurrentes : si seules les licences sont disponibles sur PlayStation 5, le Xbox Cloud Gaming, lui, est bien plus étendu : smartphones Android et iOS, iPad, PC Windows, Mac, casques VR comme le Meta Quest, Steam Deck, et même quelques smart tv comme celles de Samsung ou LG ! Le principe du Xbox Cloud Gaming, renforcé par toutes les licences acquises ces dernières années par Microsoft, commence à montrer son vrai visage : étouffer la concurrence en l’encerclant, rendant par la même occasion la console caduque.

Les TV LG 2022 et ultérieures transformées en Xbox

Les TV LG 2022 et ultérieures transformées en Xbox

Au final, ces hausses de prix pourraient bien être bénéfiques pour Microsoft, enterrant encore plus vite les consoles pour passer à l’étape suivante : le jeu directement sur cloud, permettant de passer d’une plateforme à l’autre sans y réfléchir... et ramenant espèces sonnantes et trébuchantes à Redmond, pour chaque utilisateur. Bonus, le piratage se voit éliminé d’un coup, tout passant par le cloud.

Ce VPN taillé pour Mac qui offre 500 Go de stockage cloud fait le plein de promos avant Noël

18 décembre 2025 à 20:48

Les fêtes approchent à grands pas, et avec elles l'éternelle quête du cadeau parfait. Cette année, pourquoi ne pas miser sur la sécurité numérique ?

CyberGhost propose une offre particulièrement alléchante qui devrait séduire tous les aficionados de l'écosystème Apple : un VPN performant, pensé spécifiquement pour Mac, assorti d'un généreux bonus de 500 Go de stockage sécurisé dans le cloud. Le tout à un tarif dérisoire qui défie toute concurrence.

Un VPN qui parle couramment Safari

Naviguer sur Safari devrait rester une affaire privée. C'est précisément ce que garantit CyberGhost, qui s'intègre naturellement à l'environnement macOS pour chiffrer l'intégralité du trafic web. Fini les regards indiscrets sur vos habitudes de navigation, vos recherches ou vos données bancaires. L'interface épouse parfaitement l'esthétique minimaliste chère à Apple, transformant la protection de votre vie privée en un geste aussi simple qu'un clic.

Le service fonctionne indifféremment sur iMac, MacBook Pro, MacBook Air ou Mac mini. Peu importe la machine que vous possédez dans la gamme Apple, l'expérience reste fluide et intuitive. On apprécie particulièrement cette absence de friction technique qui transforme la sécurité en réflexe plutôt qu'en contrainte.

Une infrastructure planétaire qui change la donne

Avec pas moins de 11 000 serveurs disséminés dans plus de 100 pays, CyberGhost dispose d'une infrastructure colossale qui garantit des connexions rapides où que vous soyez. Besoin d'accéder à du contenu géolocalisé en streaming ? Envie de contourner les restrictions imposées par certains gouvernements lors de vos pérégrinations à l'étranger ? Cette armada de serveurs répond à toutes ces problématiques avec une désinvolture déconcertante.

Cette couverture géographique pléthorique permet également d'optimiser les vitesses de connexion en sélectionnant automatiquement le serveur le plus proche et le moins congestionné. Résultat : on ne ressent pratiquement aucune latence, même en visioconférence ou lors du téléchargement de fichiers volumineux.

La confiance des pairs comme caution

Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 4,7 étoiles sur 5 sur Trustpilot, calculées sur la base de plus de 14 800 avis vérifiés. Cette notation élogieuse témoigne d'une satisfaction client qui ne se dément pas. Les commentaires soulignent régulièrement la stabilité du service, la clarté de l'interface et la réactivité du support technique, trois piliers essentiels pour un VPN digne de ce nom.

Cette plébiscitation massive n'est pas le fruit du hasard. Elle reflète des années d'investissement continu dans l'amélioration du produit et l'écoute attentive des retours terrain. Quand des milliers de personnes valident leur choix publiquement, cela forge une réputation difficile à égaler.

500 Go de stockage cloud qui tombent à pic

Au-delà de la dimension VPN, CyberGhost ajoute une cerise substantielle sur le gâteau : 500 Go de stockage cloud sécurisé offerts. De quoi archiver photos de famille, documents importants, sauvegardes système ou projets créatifs sans avoir à jongler entre différents services. Tout reste centralisé, chiffré de bout en bout, accessible depuis n'importe quel appareil.

Cette générosité transforme l'abonnement en solution globale de protection numérique puisqu'on ne parle plus seulement de masquer son adresse IP, mais d'un véritable écosystème qui prend soin de l'ensemble de votre empreinte digitale. C'est cette approche holistique qui fait toute la différence.

Une offre de Noël qui ne reviendra pas de sitôt

Actuellement, l'abonnement de deux ans bénéficie d'une réduction vertigineuse de 83%, accompagnée de quatre mois supplémentaires offerts. Le calcul est vite fait : 2,03 euros par mois pour sécuriser l'intégralité de votre vie numérique sur Mac, et 68,33 € TTC pour l'intégralité de l'abonnement. Difficile de trouver meilleur rapport qualité-prix dans l'univers des VPN premium.

Si vous cherchiez le moment opportun pour franchir le pas, cette fenêtre temporelle représente une aubaine qu'il serait dommage de laisser passer !

Profitez de l'offre CyberGhost à -83% avec 4 mois offerts et transformez votre Mac en forteresse numérique inviolable tout en bénéficiant d'un espace de stockage conséquent !

L’iPhone Air se vend mal, ses coques aussi : Apple brade le bumper et la coque Beats sur Amazon

18 décembre 2025 à 20:15

S’il fallait une preuve que l’iPhone Air semble délaissé par les acheteurs, Apple vient d’en fournir une nouvelle par le biais d’Amazon, avec le tarif du bumper officiel pour iPhone Air, qui ne fait que baisser.

L’iPhone Air, le mal aimé. Image réalisé à la main, ça aurait été dommage de bafouer les créateurs originaux avec de l’IA. Montage MacGeneration, image originale Illogic Studio.

En effet, l’accessoire pour l’iPhone le plus léger de la famille qui était au départ à 45 €, passé entre temps à 30 €, est maintenant à 27 €. Et Apple ayant peu pour habitude de brader ses appareils comme ses accessoires, c’est bien qu’il faut se rendre à l’évidence : si l’appareil ne se vend pas, ou en tout cas pas aussi bien que prévu... les coques ne se vendront pas mieux.

iPhone Air : Apple aurait déjà stoppé la production et repoussé son successeur

iPhone Air : Apple aurait déjà stoppé la production et repoussé son successeur

Il semble donc que plutôt que de rester avec une flopée de coques invendues sur les bras, Apple a décidé de les brader pour écouler le stock. Il faut dire que celles-ci étant fort probablement produites plus vite que l’appareil lui-même, et à un coût dérisoire, elles ont dû être produites en quantité. Manque de bol, les acheteurs ne sont donc pas au rendez-vous.

Mais un prix ne fait pas une tendance... qu’en est-il des autres ? Pour rester chez Apple, la coque Beats pour iPhone Air commence elle aussi une belle chute de prix, à 31,50 € pour un prix de départ de 55 €. Même la coque MagSafe pour iPhone Air, pourtant une valeur sure, est à 39,60 € au lieu de 59 €.

Plus globalement, Amazon continue de jouer les prolongations sur les accessoires de la gamme classique. Le géant du commerce en ligne maintient une ristourne de 20 % sur l’ensemble des protections Apple destinées aux iPhone 17, 17 Pro et 17 Pro Max. C’est une offre honnête, même si pour ces modèles « premium », la baisse est un peu moins spectaculaire que celle que l'on avait pu croiser durant la semaine du Black Friday. Notez au passage qu’Amazon applique également cette remise de 20 % sur certains porte-cartes en tissage technique. De quoi rhabiller son iPhone à moindres frais.

Les chiffres se suivent et se ressemblent : l’iPhone Air ne trouve pas son public

Les chiffres se suivent et se ressemblent : l’iPhone Air ne trouve pas son public

Si les coques produites par Cupertino pour les modèles standards s'offrent quelques promotions régulières, le sort de l'iPhone Air est plus radical. On n'observe pas de tels effondrements de prix sur le reste de la gamme, ce qui tend à confirmer la tendance : l’iPhone Air est décidément le mal-aimé de la famille. Peut-être un jour reviendra-t-il en grâce, comme le loup de la pub ? En attendant, je vous laisse, je vais mettre du Claude François en sonnerie sur mon iPhone Air pour rester dans le thème des causes perdues.

Free devrait proposer l'option eSIM sur d'autres montres connectées que l'Apple Watch

18 décembre 2025 à 19:00

C'était l'arlésienne : alors que la première Apple Watch cellulaire date de 2017, Free Mobile propose (enfin) la possibilité de relier une Apple Watch à un forfait. La bonne nouvelle, c'est que cette option est gratuite si vous avez un forfait Free (sauf celui à 2 €). La mauvaise — pour certains — c'est que l'option est réservée aux Apple Watch, mais ça devrait changer.

La Pixel Watch 4, compatible 4G. Image Google.
Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G

Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G

Pendant un temps — elle a été modifiée depuis —, une page d'assistance de Free indiquait en effet ceci selon Univers Freebox, qui a été confirmé par un commentaire sur Next : « L’option eSIM Watch sera disponible prochainement pour les montres Wear OS. » Nos confrères indiquent par ailleurs que l'opérateur leur a confirmé en octobre que l'option allait bien être proposée pour d'autres montres connectées.

L'option cellulaire n'est pas généralisée dans les montres connectées, mais elle est tout de même très pratique : elle permet d'effectuer des appels sans smartphone à proximité, ce qui peut être intéressant en cas d'urgence. C'est aussi une option utile avec certains services de streaming pour la musique, pour éviter de passer par un smartphone pour écouter de la musique en déplacement. Reste à voir si Free Mobile va étendre directement le service à toutes les montres sous Wear OS ou si l'option sera mise en place au cas par cas. Pour les Apple Watch, c'est la seconde voie qui a été choisie pour des raisons techniques : une Apple Watch compatible avec watchOS 26.2 est obligatoire, ce qui exclut d'emblée les modèles Series 3 à Series 5.

Apple prend le Japon en exemple pour contester le DMA européen

18 décembre 2025 à 18:33

Le Japon a suivi l’Union européenne et son DMA en imposant à Apple une série de mesures qui vont l’obliger à ouvrir l’iPhone à la concurrence. On pourrait croire que l’entreprise californienne déteste les deux régulateurs avec la même passion. Dans un entretien accordé à plusieurs médias, dont Numerama et La Tribune (nous n’avons pas été invités…), elle révèle pourtant un favori. Alors qu’Apple n’a jamais caché qu’elle détestait le DMA, le MSCA japonais lui paraît nettement préférable.

Apple oppose les réglementations japonaises et européennes, allégorie. Image iGeneration, photo de base Sean McAuliffe sur Unsplash.

Les deux textes sont pourtant proches et ce sont des points de détail qui font peser la balance en faveur du Japon dans le cœur de Cupertino. Ainsi, le Japon exige la possibilité de passer par des boutiques d’apps tierces au lieu de l’App Store. AltStore n’a pas attendu bien longtemps pour ouvrir ses portes dans le pays et d’autres boutiques devraient suivre.

Après l’Europe, le Japon contraint Apple à ouvrir véritablement l’iPhone à la concurrence

Après l’Europe, le Japon contraint Apple à ouvrir véritablement l’iPhone à la concurrence

Quelques différences à la marge

Apple pointe toutefois quelques différences avec le DMA, à commencer par le passage obligatoire par une boutique. On ne peut pas télécharger une app directement depuis un site web sur les iPhone japonais comme on peut le faire en Europe, tout doit passer par les boutiques et donc par le processus de notarisation géré par ses soins. Ce qui lui permet de garder la main sur les apps autorisées et même si c’est en théorie des problèmes de sécurité qui peuvent justifier un refus, on l’a déjà vu s’en servir pour d’autres raisons.

Apple a bloqué iTorrent sur l’AltStore à la demande de gouvernements

Apple a bloqué iTorrent sur l’AltStore à la demande de gouvernements

L’Union européenne empêche normalement Apple de refuser une app par le biais de la notarisation et l’entretien semble indiquer que cette option restera ouverte au Japon. Pourtant, les règles destinées au pays n’évoquent pas de contrôle sur le contenu. Pourtant, la catégorie n’est pas interdite dans l’archipel et AltStore permet bien de télécharger des apps qui diffusent du contenu pour adulte. La Pomme n’a manifestement toujours pas digéré la sortie de Hot Tub sur la boutique alternative, malicieusement présentée à l’époque comme approuvée par ses soins.

Apple réprouve totalement la première app porno pour iPhone distribuée par AltStore PAL

Apple réprouve totalement la première app porno pour iPhone distribuée par AltStore PAL

Elle a aussi une préférence sur la gestion des paiements externes, requise par le législateur japonais comme par le DMA. Pour commencer, les apps devront systématiquement proposer les deux options et permettre aux utilisateurs de choisir, alors que les développeurs doivent choisir une seule option sur ce continent. L’Union européenne ne tolère par ailleurs aucune restriction sur l’accès à des moyens de paiement qui ne sont pas gérés par ses soins, là où le Japon a accepté de les restreindre pour les mineurs. Les apps destinées aux moins de 13 ans ne pourront pas afficher un lien vers un système de paiement externe et tous les utilisateurs de moins de 18 ans devront obtenir une autorisation parentale pour réaliser un achat hors de l’App Store. Ces différences sont jugées essentielles par Apple pour protéger les enfants, ce qui serait impossible selon elle en Europe.

Le régulateur japonais n’exige pas d’interopérabilité systématique

Le dernier argument est sans doute le plus important : le DMA exige des fonctionnalités interopérables dès leur conception, alors qu’il n’y a rien de tel dans la loi japonaise. Apple juge que l’Europe veut bloquer l’innovation, motivée par des concurrents qui auraient fait preuve d’un « lobbying intense » auprès des institutions européennes. Spotify et Meta ont même été cités pendant l’entretien, ce qui n’est pas une surprise, tant les deux entreprises reviennent régulièrement dans les discussions. Le service de streaming n’a jamais manqué une occasion d’accuser la Pomme de nuire à son propre service en favorisant Apple Music.

Spotify insiste auprès de l’UE pour une condamnation rapide et sévère d’Apple

Spotify insiste auprès de l’UE pour une condamnation rapide et sévère d’Apple

Apple juge l’approche japonaise bien meilleure, si bien qu’elle ne pense pas devoir bloquer des fonctionnalités nouvelles, comme elle le fait régulièrement en Europe. Outre la recopie de l’iPhone qui n’est toujours pas active sur le continent, on peut aussi évoquer le retrait à venir d’une fonctionnalité liée à l’Apple Watch.

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L'Apple Watch va perdre une fonction à cause de l'Union européenne et du DMA

Apple ne rate jamais une occasion de faire pression sur l’Europe

Cette démonstration est avant tout une manière de plus pour Apple de mettre la pression sur l’Union européenne, par le biais de ses propres clients. L’entreprise de Tim Cook veut démontrer qu’il y avait une meilleure manière de faire en utilisant le Japon comme preuve, quand bien même les textes ne sont pas si éloignés qu’elle veut bien le dire.

C’est loin d’être la première fois qu’Apple cherche à mobiliser ses clients européens contre le DMA, à tel point que l’on pourrait aussi parler d’un « lobbying intense » à son sujet. Reste à savoir si le Japon érigé en contre-exemple va finalement faire mouche auprès des citoyens et in fine des institutions.

DMA : Apple explique pourquoi l

DMA : Apple explique pourquoi l'iPhone est privé de certaines nouveautés

Apple pourrait faire assembler ses écrans OLED en Inde

18 décembre 2025 à 17:30

Quand nous parlons de puces, il y a parfois une confusion, qui est liée à la conception même de ces dernières. Si vous prenez une puce M1, elle comprend la puce elle-même (fabriquée par TSMC) mais aussi deux puces de mémoire et ce qu'on appelle le package, la partie sur laquelle sont placés les composants. Une puce peut donc être en réalité un assemblage de plusieurs composants (qui sont des puces). Et selon The Economic Times, Apple pourrait effectuer cet assemblage en Inde.

Une puce M1, c'est l'assemblage de plusieurs puces. On peut voir les deux puces de RAM à droite du logo  au centre. Image iFixit.

C'est la société CG Semi, basée à Sanand dans l'état du Gujarat, qui aurait été choisie. Le but ne serait pas ici d'assembler les puces principales, mais bien des composants liés aux écrans OLED. Dans le cas de ces derniers, les dalles peuvent provenir de trois fournisseurs (Samsungn LG, BOE) alors que les contrôleurs et les circuits de gestion, eux, dépendent d'autres sociétés (Samsung, Himax, LX Semicon et Novatek).

Un écran, c'est un assemblage de plusieurs composants. Image iFixit.

Il y a plusieurs raisons qui pourraient pousser Apple à assembler certains composants en Inde, et il s'agirait ici de discussions à un stade préliminaire, sans officialisation de la part d'Apple. Un des avantages de l'Inde est que le pays pourrait recevoir des composants issus de Corée du Sud, de Chine et de Taiwan, alors que l'installation d'une telle usine en Chine — par exemple — peut amener des problèmes géopolitiques complexes si une partie des composants arrivent de Taiwan. C'est probablement un moyen d'anticiper d'éventuels soucis à ce niveau dans le futur, tant les tensions sont grandes dans cette partie de l'Asie. L'Inde a l'avantage de ne pas être trop éloignée des différents fournisseurs tout en disposant d'une main-d'œuvre formée pour ce genre de travaux : The Economic Times explique qu'Intel a récemment confié à Tata Electronic (un géant local) une partie de l'assemblage de ses produits.

La diffusion de la TV par satellite commence à disparaître au Royaume-Uni

18 décembre 2025 à 16:30

Imaginée dès les années 60, la diffusion de la télévision par satellite a commencé à devenir réellement importante dans les années 80. Et le 9 décembre 2025, il y a eu un petit événement dans ce milieu : Sky, un opérateur britannique important dans ce domaine, a arrêté son offre Sky Q. Plus exactement, les clients actuels peuvent continuer à recevoir la télévision par satellite, mais la société n'accepte plus de nouveaux clients.

Sky Q, c'est fini. Image Sky.

Pendant un temps, les offres par satellites ciblaient les personnes qui voulaient avoir plus de chaînes, grâce à la possibilité d'en diffuser beaucoup plus qu'avec la diffusion hertzienne classique. Au fil des années, ce public a peu à peu été abandonné : en 2025, tant les offres des opérateurs Internet que celles en OTT (over the top, comme Molotov) permettent exactement la même chose pour un prix plus faible et sans la nécessité d'installer une parabole. De même, les plateformes de streaming donnent un accès simplifié aux anciens films ou aux séries qui étaient diffusées sur des services payants dans les années 90 et 2000 (que ce soit sur le câble ou le satellite). Dans le cas de Sky Q, l'offre qui devient inaccessible, c'est assez évident : Sky Stream la remplace directement.

La diffusion par satellites reste importante

L'arrêt de ce type d'offres, logique, ne signifie pas pour autant que la diffusion par satellites va disparaître. En effet, c'est une voie alternative intéressante pour les personnes qui ne peuvent pas recevoir la télévision hertzienne ou par Internet, par exemple. En France, les offres Fransat et TNT Sat diffusent par exemple la TNT pour ceux qui n'ont pas d'autres solutions. De même, les offres par satellites permettent aussi aux immigrés de recevoir des chaînes de télévision issues de différents pays. Enfin, c'est une solution pratique pour certaines chaînes pour couvrir une large zone et — dans certains cas — contourner la censure mise en place par des états. Et pour finir, d'un point de vue purement technique, la diffusion par satellites sert aussi à alimenter les réseaux terrestres.

La fin de Sky Q n'est donc pas la fin de la diffusion par satellites, mais uniquement la fin d'un type d'offres précis.

France Identité franchit le cap du million de permis de conduire numériques

18 décembre 2025 à 16:17

Un million de permis de conduire ont été importés dans France Identité, annonce France Titres, l’agence gouvernementale en charge de l’application. Lancée en février 2024, cette fonctionnalité a été simplifiée en mai dernier.

Image France Titres

Rapporté au nombre total de conducteurs, le chiffre reste modeste. Selon les dernières données officielles disponibles, la France comptait environ 48 millions de titulaires d’un permis de conduire en 2019. À ce stade, seulement 2 % d’entre eux ont donc ajouté une version dématérialisée de leur document sur leur iPhone ou leur smartphone Android.

La dynamique devrait toutefois s’accélérer dans les prochaines années. Une directive européenne récemment adoptée prévoit que, d’ici à 2030, le permis de conduire numérique devienne le format par défaut. La carte en plastique ne disparaîtra pas pour autant, mais la version dématérialisée devrait être fournie en priorité, la version physique devenant une option à demander explicitement.

Le permis de conduire numérique accélère en Europe, sans pour autant écraser le format physique

Le permis de conduire numérique accélère en Europe, sans pour autant écraser le format physique

Pour rappel, il n’est pas nécessaire de posséder un permis au format carte bancaire pour l’importer dans France Identité : l’ancien permis cartonné rose est également pris en charge. En revanche, l’application France Identité nécessite, elle, de détenir une carte d’identité biométrique, puisque l’authentification repose sur sa puce NFC.

À l’occasion du salon Trustech organisé au début du mois, France Titres a également communiqué d’autres chiffres. France Identité compte désormais 3,2 millions d’utilisateurs, dont un peu plus de 500 000 avec un compte « certifié ». Cette certification, qui passe par une vérification en mairie ou dans un consulat, autorise des usages plus sensibles, comme l’établissement d’une procuration de vote. L’agence se fixe pour objectif d’atteindre 5 millions d’utilisateurs d’ici à 2026.

TP-Link lance un kit Wi-Fi 7 avec de l'Ethernet 10 Gb/s, le Deco BE68

18 décembre 2025 à 15:25

TP-Link, le plus gros fournisseur de Wi-Fi dans le monde, vient de lancer un nouveau kit Wi-Fi 7 : le Deco BE68. Il se place entre le BE65 et le BE85. La différence principale est simple : l'interface Ethernet. Les BE65 se limitent à de l'Ethernet 2,5 Gb/s (quatre prises), ce qui peut limiter les débits réels en Wi-Fi 7. En haut de gamme, les BE85 possèdent deux prises à 10 Gb/s et deux autres à 2,5 Gb/s. Le nouveau modèle se place entre les deux : une prise à 10 Gb/s, une seconde à 2,5 Gb/s et une troisième à 1 Gb/s. Ce choix permet d'obtenir un débit élevé sur des accessoires reliés aux bornes, sans devoir passer sur la gamme supérieure.

Une prise Ethernet rapide. Image TP-Link.

Le second changement vient des débits en Wi-Fi 7. Les trois modèles sont Wi-Fi 7 dans les trois bandes (2,4, 5 et 6 GHz) avec des canaux de 320 MHz, mais le BE65 travaille sur deux antennes (2x2 MIMO), le BE68 sur trois antennes (3x3 MIMO) et le BE85 sur quatre (4x4 MIMO). En pratique, le débit maximal est donc de 5,7 Gb/s (6 GHz, 2,8 Gb/s en 5 GHz), 8,6 Gb/s et 11,5 Gb/s.

Des débits très théoriques… mais élevés tout de même

Comme les kits de TP-Link n'ont pas de bande dédiée pour la liaison entre les bornes, le passage à trois antennes sur le BE68 devrait améliorer les performances sur les liens entre les bornes, même s'il est évidemment préférable de les câbler en Ethernet. La raison est simple : une bonne partie des appareils modernes se limite à deux antennes, ce qui laisse une bonne partie de la bande passante pour la liaison elle-même. De même, la présence de trois antennes améliore les performances globales si vous avez plusieurs appareils sur votre réseau, ce qui est probablement le cas si vous investissez dans un kit de ce type.

Qui met son routeur sur la table du salon ? Image TP-Link.

C'est important de bien le comprendre : vous n'allez pas atteindre 8,6 Gb/s en Wi-Fi 7, même avec une connexion rapide. La majorité des ordinateurs se contente de deux antennes, donc au mieux 5,7 Gb/s en théorie avec des canaux de 320 MHz, et de nombreux appareils (dont ceux d'Apple) ne prennent en charge que les canaux de 160 MHz, ce qui divise de facto le résultat par deux. Mais cette bande passante supplémentaire sur les bornes n'est donc pas inutile : elle permet un bien meilleur partage entre les clients.

C'est aussi ici que la prise Ethernet à 10 Gb/s prend de l'intérêt : elle permet de relier la borne principale à votre box avec le débit maximal si vous avez une connexion rapide. En France, les meilleures offres sont annoncées à 8 Gb/s.

Les trois bornes d'un kit. Image TP-Link.

Reste le problème du prix : TP-Link annonce que le kit de trois bornes est prévu à 600 €, et Amazon le propose pour le moment à 650 €. C'est un peu plus que le BE65 (disponible aux alentours de 500 €) mais largement moins que les BE85, qui s'approchent des 1 500 € pour trois. Il est évidemment possible de se contenter d'une ou deux bornes si vous avez un logement adapté.

macOS 26.2 jette une ombre sous le Liquid Glass

18 décembre 2025 à 14:56

Apple n’en a pas terminé avec les ajustements de design autour du Liquid Glass. Après macOS et iOS 26.1 qui ont introduit une option pour réduire la transparence du verre, macOS 26.2 apporte une modification plus discrète. Comme l’a remarqué AAPL Ch., l’ombre affichée sous le centre de contrôle est désormais plus large et plus marquée.

Le centre de contrôle (et son ombre) sur macOS 26.2. Image MacGeneration.

Ce changement permet de mieux distinguer les boutons translucides de l’arrière-plan. C’est un écueil commun des interfaces qui misent sur la transparence, les différents plans de profondeur ont tendance à se confondre. Avec cette ombre renforcée, les commandes se détachent plus nettement du fond d’écran ou de l’application à l’arrière-plan. En contrepartie, ce choix éloigne quelque peu le Liquid Glass de la promesse initiale de clarté visuelle. On ne peut pas tout avoir.

Cette ombre est également visible lorsque l’on ouvre le nouvel overlay dédié aux jeux, ce menu en surimpression qui donne accès à certaines fonctions, comme les succès du Game Center.

Comparaison de l’ombre du centre de contrôle. Image AAPL Ch.

Pour rappel, le centre de contrôle de macOS Tahoe est largement personnalisable. Comme sur iOS, il est maintenant possible d’ajouter ou de supprimer des commandes. Pour l’instant, encore très peu d’applications tierces proposent des boutons spéciaux.

macOS Tahoe 26 : découverte du nouveau Centre de contrôle inspiré de l

macOS Tahoe 26 : découverte du nouveau Centre de contrôle inspiré de l'iPhone

Liquid Glass : pourquoi les apps ne suivent pas ?

Liquid Glass : pourquoi les apps ne suivent pas ?

Les boutons de certains iPhone 17 Pro ont un coup de mou

18 décembre 2025 à 12:59

Quand c’est mou, c’est qu’il y a un loup. Quelques utilisateurs d’iPhone 17 Pro et 17 Pro Max se plaignent de boutons qui ne répondent plus aussi bien qu’au départ. Les boutons de volume, mais surtout le bouton latéral, réagissent plus mollement qu’avant.

Ici, un utilisateur évoque un bouton latéral « collant » qui l’oblige à appuyer plus fermement, ce qui finit par activer Siri. , un autre pointe un bouton de volume supérieur « moins résistant », donnant l’impression d’un mécanisme plus lâche.

iPhone 17 Pro. Image iGeneration.

Nos confrères de Frandroid ont également constaté le problème sur l’un de leurs iPhone 17 Pro. Le bouton latéral fonctionne, mais il se montre parfois « mou ». L’appareil a été pris en charge sous garantie dans un Apple Store. La réparation consisterait au « changement de tout le contour de l’iPhone », une intervention facturée plus de 300 € lorsqu’elle est réalisée hors garantie. Un autre utilisateur rapporte avoir bénéficié d’une réparation gratuite, sans que cela semble pour autant systématique.

Selon nos informations, il ne s’agit pas, à ce stade, d’un problème couramment rencontré par les Genius des Apple Store. De mon côté, les boutons de mon iPhone 17 Pro (orange) se comportent très bien, ils cliquent comme au premier jour. Pour ce que cela vaut, j’utilise cet iPhone presque en permanence sans coque.

iPhone 17 Pro. Image iGeneration.

L’origine de ce ramollissement est inconnue. Les iPhone 17 Pro inaugurent une toute nouvelle conception, avec un boîtier unibody, c’est-à-dire constitué d’un seul tenant, mais rien ne permet à l’heure actuelle d’établir un lien de cause à effet. Il peut simplement s’agir de quelques unités moins bien assemblées que d’autres.

Et de votre côté, qu’en est-il ? Les boutons de votre iPhone 17 Pro ou 17 Pro Max cliquent-ils toujours aussi bien ou bien sont-ils devenus mous du genou ?

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Pour la deuxième fois cette année, Free augmente ses frais de résiliation de 10 €

18 décembre 2025 à 12:10

Même si Free n’augmente pas souvent les tarifs mensuels de ses offres, le fournisseur d’accès à internet se rattrape sur d’autres aspects plus discrets, comme les frais de résiliation. Quelques mois après une première augmentation de 10 € appliquée au printemps, l’entreprise recommence et demande depuis le 17 décembre 2025 69 € pour les nouveaux abonnés comme les clients existants. Au total, cela représente plus de 40 % de hausse sur l’année en cours, même s’il est vrai que ces frais sont le plus souvent remboursés par le fournisseur qui prend la relève.

Image MacGeneration.

Malgré tout, ces frais de résiliation n’ont aucune justification technique (contrairement à l’ouverture d’une ligne qui implique souvent un technicien) et ils sont surtout un moyen dissuasif de retenir les clients, puisqu’il faut payer pour changer de contrat. Les quatre acteurs historiques français se sont faits plaisir ces derniers mois, avec des augmentations systématiques. Bouygues était monté directement à 69 € peu avant Free, SFR avait suivi en passant lui aussi de 49 à 59 € dans la foulée et Orange a fini par rejoindre la tendance en réclamant 59 € depuis l’automne.

Fibre : Bouygues Telecom passe son Wi-Fi à la vitesse supérieure… ainsi que ses prix

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RED et SFR augmentent à leur tour les frais de résiliation de leurs box Internet

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Orange et Sosh font grimper leurs frais de résiliation internet fixe

Orange et Sosh font grimper leurs frais de résiliation internet fixe

Free et Bouygues Telecom affichent désormais les frais les plus élevés en exigeant 69 € de la part de leurs clients qui souhaitent voir ailleurs. Les quatre FAI remboursent tous les frais de résiliation pour le moment, à hauteur en général de 100 € au maximum (et même 150 € pour Orange). C’est certainement pour cette raison qu’ils se permettent d’augmenter leurs frais de résiliation, en comptant sans doute au passage sur une part de clients qui ne penseront pas à réclamer la somme, puisqu’il s’agit à chaque fois d’offres de remboursement.

Pour en revenir à Free, la nouvelle grille tarifaire met aussi en avant une augmentation de la facture en cas de retards sur le paiement, comme le relève Univers Freebox. L’entreprise peut désormais exiger jusqu’à 10,5 €, avec des frais de pénalité qui sont calculés selon le nombre de jours de retard, au prorata du forfait choisi. Auparavant, le plafond était de 7,5 €, une augmentation très discrète pour ceux qui ont des problèmes à payer leur abonnement à internet.

Meta bouche l’Horizon des casques VR de ses partenaires

18 décembre 2025 à 11:36

Meta a « mis en pause » son programme permettant à d’autres fabricants de concevoir des casques de réalité virtuelle tournant sur Horizon OS. Le groupe a indiqué à Road to VR qu’il se concentrait désormais sur « le développement de matériels et de logiciels maison de pointe, indispensables à l'essor du marché de la réalité virtuelle. »

La vision d’un Horizon OS ouvert proposée par Meta en 2024. Image Meta.

Meta avait pourtant fait grand cas de ce projet. Au printemps 2024, le groupe avait annoncé l’ouverture de son système d’exploitation à d’autres fabricants, avec l’ambition d’offrir davantage de choix aux consommateurs et de bâtir un écosystème plus large. « Notre objectif est de faire en sorte que le modèle ouvert définisse la prochaine génération d'informatique, avec à nouveau le métavers, les lunettes et les casques », avait alors déclaré Mark Zuckerberg, répétant sa lubie de l’époque d’un métavers ouvert qui affronterait l’écosystème fermé d’Apple.

Mark Zuckerberg parie sur un métavers ouvert face à l

Mark Zuckerberg parie sur un métavers ouvert face à l'écosystème fermé d'Apple

Plusieurs acteurs s’étaient engagés aux côtés de Meta. Lenovo et Asus devaient développer des casques de réalité mixte reposant sur Horizon OS, tandis que Qualcomm figurait également parmi les partenaires du projet.

Finalement, Meta préfère mettre cette initiative entre parenthèses pour se recentrer sur ses propres casques Quest. « Nous nous engageons sur le long terme [dans la réalité virtuelle] et nous réexaminerons les opportunités de partenariats avec des fabricants tiers à mesure que le secteur évoluera », assure une porte-parole du groupe.

Même si le projet n’est pas officiellement abandonné, il semble aujourd’hui très compromis. Selon Bloomberg, Meta pourrait en effet réduire d’environ 30 % ses dépenses liées aux projets autour du métavers l’an prochain. Un nouveau casque Quest serait toutefois bien en préparation, avec un positionnement toujours très orienté vers le jeu vidéo.

Meta repousse ses lunettes de réalité mixte : le phénix attendra 2027 pour naître

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