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Reçu aujourd’hui — 22 décembre 2025 MacG.co

macOS 26.2 corrige le bug de connexion iCloud dans les machines virtuelles

22 décembre 2025 à 13:01

Ouf ! La dernière mise à jour de macOS répare le bug d’iCloud dans les machines virtuelles. macOS Tahoe 26.1 empêchait la connexion à un compte Apple et l’usage des services iCloud en VM, mais comme le note Apple2CH, la version 26.2 a corrigé le tir.

Le numéro de série n’apparaissait pas sur macOS 26.1. Image The Eclectic Light.

Le numéro de série des machines virtuelles était vide sur la précédente version du système, rendant impossible l’utilisation d’un compte Apple ou des services iCloud. Le problème était connu d’Apple et documenté dans les notes de mises à jour de macOS 26.1. Le système restait utilisable dans une machine virtuelle avec la possibilité d’aller sur internet, mais pas de se connecter à iCloud. L’absence de numéro de série pouvait aussi perturber certains logiciels dont l’activation ou la licence s’appuie sur cet identifiant.

macOS 26.1 casse iCloud dans les machines virtuelles macOS

macOS 26.1 casse iCloud dans les machines virtuelles macOS

La correction a d’abord été confirmée sur les forums Apple Developer : un ingénieur de l’assistance technique d’Apple indiquait que le bug était bien lié au problème référencé dans les notes de macOS 26.1, et que la situation était corrigée dans macOS 26.2 (à l’époque, en Release Candidate). La mention a ensuite été ajoutée aux notes de version de macOS 26.2.

Avec macOS 26.2 Tahoe, les machines virtuelles peuvent à nouveau se connecter à iCloud et profiter du partage via iCloud Drive. C’est aussi un correctif important pour les workflows de développement en VM, notamment quand une connexion à un compte Apple est nécessaire (installation de Xcode, signature, etc.).

Mis à part cela, macOS 26.2 ajoute un anneau lumineux permettant d’améliorer les vidéoconférences. Le système a également été optimisé pour les tâches d’intelligence artificielle pour les puces M5, et corrige un problème de performances avec les apps Electron. N'hésitez pas à relire notre article sur les différentes nouveautés.

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

22 décembre 2025 à 12:30

Grosse fuite chez Spotify. Des activistes ont organisé un casse massif de la plateforme de streaming musical, récupérant plus de 300 To de données. Selon eux, le dossier comprend la plus grande base de données de métadonnées musicales accessible au public avec 256 millions d’entrées et 186 millions de codes ISRC uniques utilisés pour identifier les enregistrements musicaux.

La démarche a été menée par le site Anna’s Archive, un moteur de recherche de bibliothèques de livres pirates. Dans un billet de blog, ses gérants annoncent avoir voulu créer la première « archive de préservation » musicale au monde entièrement ouverte. Elle comporte 86 millions de fichiers musicaux, représentant environ 99,6 % des écoutes de la plateforme. En comparaison, la précédente initiative du genre ne comptait que 5 millions de pistes.

Les activistes expliquent concevoir que la musique est déjà un style de média bien archivé et catalogué, mais regrettent que les efforts se focalisent sur des artistes populaires, sur la meilleure qualité (faisant au passage grossir la taille des paquets) et l’absence d’une bibliothèque similaire à Anna’s Archive pour la musique. Le fichier ne permettra pas de télécharger des pistes individuellement pour le moment, l’idée étant surtout de proposer une copie visant la préservation.

Les pirates précisent que la base de données va jusqu’en juillet 2025, et vont publier les différents types de fichiers par vagues. Ils ont déjà publié celui comportant les métadonnées, tandis que les fichiers musicaux ou les pochettes arriveront par la suite. Tout a été conçu pour être reproduit facilement par toute personne disposant d'un espace disque suffisant.

Spotify a communiqué sur la situation auprès de Billboard, expliquant bien mener une enquête sur un incident. Elle confirme qu’un tiers a « récupéré des métadonnées publiques et utilisé des tactiques illicites pour contourner le DRM afin d'accéder à certains fichiers audio de la plateforme ». Elle n’a cependant pas confirmé l’ampleur des dégâts.

RED améliore ses offres en milieu de gamme : 120 Go de 5G à 8 € par mois

22 décembre 2025 à 11:49

RED, la filiale sans engagement et moins chère de SFR, améliore deux formules en réduisant leur prix et en augmentant la dotation sur l’une d’elles. Pour 7,99 € par mois, on peut désormais avoir 120 Go de 5G : c’est à la fois mieux et moins cher qu’avant, puisqu’il fallait jusque-là payer 8,99 € tous les mois pour 80 Go de 5G « seulement ». Le reste n’a pas changé, avec 30 Go de data depuis l’Union européenne et les DOM, ainsi que les appels et SMS/MMS illimités.

Les deux forfaits ajustés dans la gamme RED. Image iGeneration.

Vous avez besoin de plus ? Le forfait du dessus comprend 250 Go de 5G, cela n’a pas changé, mais le prix a baissé d’un euro et RED ne demande plus que 12,99 € par mois. Les autres caractéristiques n’ont pas été modifiées, avec l’intégration des SMS/MMS et appels illimités, et cette fois 38 Go de data depuis l’Union européenne et les départements d’Outre-mer français.

Sur les deux formules, il est possible d’ajouter 5 € par mois pour bénéficier d’une enveloppe plus généreuse à l’étranger avec 50 Go de data. Surtout, cette option ouvre l’itinérance à d’autres territoires : États-Unis, Canada, Suisse et Andorre.

Pour aller au-delà, il faudra basculer sur l’offre haut de gamme, celle à 19,99 € par mois pour 350 Go de 5G en France et 35 Go depuis 124 destinations. Elle n’a pas été retouchée dans l’opération, tout comme l’entrée de gamme.

iOS 26 simplifie la gestion des eSIM lors des voyages à l’étranger

22 décembre 2025 à 11:06

iOS 26 veut éviter le hors forfait pour les voyageurs les plus tête en l’air en améliorant sa gestion des eSIM à l’étranger. Le téléphone peut désormais vous demander de renseigner dans quel pays une eSIM va être utilisée, mais aussi de basculer automatiquement sur la ligne domestique au retour.

Les nouvelles notifications d’iOS 26. Image Apple.

La nouveauté est décrite sur une page dédiée de l’assistance Apple. Elle y indique qu’en cas d’achat d’eSIM, iOS 26 peut vous demander de préciser si vous comptez vous en servir dans votre pays d’origine ou pendant un voyage. Une fois arrivé à destination, le système devrait envoyer une notification incitant à l’activer.

Nuance importante lors de l’achat : il faut indiquer si vous souhaitez utiliser uniquement votre eSIM de voyage ou en parallèle de votre eSIM actuelle. Dans le cas d’une utilisation des deux lignes, l’eSIM de voyage sera utilisée pour les données. Au moment de rentrer, votre iPhone devrait automatiquement désactiver votre eSIM de voyage et réactiver votre carte SIM domestique. Il reste évidemment possible de tout ajuster à la main depuis les Réglages, dans l’onglet Données cellulaires.

La notification au retour. Image Apple

Sur un autre registre, Apple a ajouté un nouveau filtre de concentration pour les utilisateurs ayant plusieurs SIM. Celui-ci permet de limiter l’une des deux cartes, par exemple pour n’afficher que les appels et les messages vocaux personnels une fois en dehors du bureau. Il peut être ajouté à un mode de concentration existant.

Enfin, Apple a également ajouté une protection supplémentaire lors d'un transfert d’eSIM. Quand l’iPhone ne se trouve pas dans un lieu connu et que la Protection en cas de vol de l’appareil est activée, iOS va demander une identification Touch ID ou Face ID pour transférer une eSIM. Il n’est pas possible d’outrepasser la sécurité simplement en tapant le code de l’appareil.

Sept ans et demi après le Mac, Steam passe au 64 bits sous Windows

22 décembre 2025 à 10:48

Steam abandonne enfin le 32 bits et bascule au 64 bits ! Vous ne rêvez pas, c’est bien une actualité de cette fin de l’année 2025. Si elle vous dit vaguement quelque chose, c’est peut-être parce que vous vous rappelez de cet article publié sur ce même site en juillet 2018 et qui annonçait le passage au 64 bits pour la plus grosse plateforme de jeux vidéo. Tout d’abord, félicitations pour votre excellente mémoire. Ensuite, cela concernait macOS et aussi étonnant que cela puisse paraître, ce n’était pas vrai pour la version destinée à Windows, restée au 32 bits jusqu’à maintenant.

Image MacGeneration.

Dans notre univers, le passage au 64 bits est presque de l’histoire ancienne. Apple a commencé la transition dès 2003, même si le tournant a réellement eu lieu en 2009 avec la sortie de Snow Leopard, première version du système à (presque) entièrement abandonner le 32 bits. Comme souvent avec la Pomme, les développeurs ont été contraints de suivre rapidement : macOS Mojave, sortie en 2018, a été la dernière à gérer le 32 bits et depuis Catalina, en 2019, le système ne sait plus lancer que les exécutables en 64 bits. Valve n’a pas eu le choix, ce qui explique la sortie d’une version de Steam dès l’été 2018, pour anticiper la fin à venir de l’ancien monde.

Steam adopte le 64 bits et le style de Yosemite

Steam adopte le 64 bits et le style de Yosemite

De son côté, Microsoft a pris son temps. Son adoption du 64 bits remonte pourtant à la même période que celle d’Apple, avec une généralisation dans Windows 7 qui est sorti en 2009. La différence clé toutefois, c’est que la firme de Redmond n’a jamais forcé les développeurs à évoluer. De fait, même si Windows 11 n’est distribuée qu’en 64 bits, il permet toujours d’exécuter des binaires 32 bits et il n’est pas prévu pour le moment de retirer cette possibilité.

Malgré tout, Steam pour Windows a fini par franchir le pas et sept ans et demi après la version macOS, la mise à jour sortie le 19 décembre est passée au 64 bits. L’ancienne version en 32 bits ne sera plus maintenue dès le premier janvier 2026, autant dire que son concepteur avance à grands pas maintenant. De toute manière, les joueurs qui ont encore un processeur d’ancienne génération sont probablement rarissimes, alors la transition devrait se faire sans mal. Elle ne devrait pas changer grand-chose non plus d’ailleurs, les gains de performance attendus étant minimes pour une boutique et un lanceur de jeux. Ces derniers ont tous bénéficié depuis bien longtemps des apports du 64 bits, notamment en termes d’utilisation de la mémoire.

Pour Valve, la dernière étape sera du côté des distributions GNU/Linux. Comme le relève Phoronix, le client Steam repose encore sur de nombreuses briques en 32 bits et il lui faudra une mise à jour pour entrer à son tour pleinement dans l’ère du 64 bits. Puisque les appareils conçus par Steam tournent tous sur une distribution Linux conçue en interne, cela arrivera sans doute rapidement.

Terminons par un retour au Mac : Steam y a récemment connu une grosse transition, avec le passage sur l’architecture native Apple Silicon. Là encore, son concepteur n’a pas eu le choix, Apple a prévenu que la prise en charge des apps Intel allait bientôt disparaître avec macOS 28 et la transition était ainsi inévitable.

Rosetta 2 disparaîtra à la sortie de macOS 28

Rosetta 2 disparaîtra à la sortie de macOS 28

Steam est enfin optimisé pour les puces Apple Silicon et gagne une icône adaptée à macOS Tahoe

Steam est enfin optimisé pour les puces Apple Silicon et gagne une icône adaptée à macOS Tahoe

Contrairement à Apple, Samsung suit les dernières nouveautés de Matter

22 décembre 2025 à 10:05

Matter évolue régulièrement, avec des mises à jour qui ajoutent constamment des nouveautés et qui impliquent aussi un suivi constant de la part de tous les acteurs. En la matière, on peut indéniablement critiquer Apple qui reste largement en retard alors même que l’entreprise a été parmi les plus gros promoteurs du standard de domotique. Ce n’est guère mieux en réalité pour Amazon ou Google : ces trois plateformes semblent toutes trainer des pieds pour gérer pleinement le standard et suivre ses évolutions. Ce n’est pas une fatalité toutefois, comme le prouve bien Samsung, qui a proposé jusqu’à maintenant un suivi exemplaire dans SmartThings.

Image Samsung/iGeneration.

C’est encore vrai avec Matter 1.5, la dernière mise à jour du standard qui ajoute notamment la prise en charge des caméras. Un mois seulement après la sortie de la nouveauté, SmartThings est la première plateforme de domotique à l’intégrer, comme Samsung l’a fièrement revendiqué sur son site. Même si elles ne sont pas encore commercialisées, les futures caméras Matter pourront ainsi être reliées à la domotique du géant coréen et c’est la seule option à ce jour.

Matter 1.5 fait enfin entrer les caméras dans la domotique standard

Matter 1.5 fait enfin entrer les caméras dans la domotique standard

Même Home Assistant, qui est normalement très rapide pour intégrer les nouveautés de Matter, est en retard cette fois. Le projet open-source a toutefois une excuse : ses développeurs sont en phase de restructuration complète, avec l’abandon de la solution maison utilisée jusqu’ici et l’adoption de matter.js, un autre projet open-source qui a rejoint la fondation Open Home. Ce n’est qu’un décalage toutefois et la prise en charge de Matter 1.5 suivra assurément la fin du chantier… ce qui est moins évident pour ses concurrents propriétaires.

On suppose qu’Apple, Google et Amazon prendront en charge toutes les nouveautés de Matter à ce jour et les suivantes, sans avoir de réelles garanties à ce sujet. En attendant, on peut saluer l’effort de Samsung, qui se révèle un excellent acteur de l’ère Matter. Le constructeur note d’ailleurs dans sa communication avoir travaillé avec Aqara, Eve et XThings et les premières caméras de ces partenaires devraient être commercialisées à partir de mars 2026. On ne sait pas encore s’il s’agit de nouveaux produits ou de mises à jour de gammes existantes, les deux options étant possibles. D’autres fabricants sont aussi nommés dans le communiqué, dont des géants du domaine : Arlo, Hue ou encore Ring (qui appartient à Amazon, au passage).

La mise à jour intégrant Matter 1.5 a été déployée automatiquement pour tous les utilisateurs du SmartThings Hub de Samsung de 2018 et des Smart Home Hub vendus sous la marque Aeotec. Début janvier, le fabricant diffusera la nouvelle version pour son SmartThings Hub de deuxième génération, un appareil de 2015.

iPhone 16e à 545 €, 17 Pro Max à 1 342 € : toute la gamme iPhone en promo avant la fin de l’année

22 décembre 2025 à 09:55

Si vous cherchez un iPhone pour la fin d’année, bonne nouvelle : toute la gamme 2025 est en promo chez Amazon Italie. L’iPhone 17 Pro Max bleu tombe à 1 341,82 € au lieu de 1 479 € en Apple Store, soit une ristourne de 9 %. C’est une bonne affaire tant les remises sur ce modèle sont rares en France. On notera que le tarif est différent entre la fiche produit et lors de la validation de la commande, Amazon ajustant la TVA.

L’iPhone 17 Pro Max. Image iGeneration

L’iPhone 17 Pro au format standard est également en promo. Le coloris orange en 256 Go revient à 1 248,19 €, tandis que le modèle 1 To est à 1 720,33 €. En comparaison, les mêmes téléphones sont vendus 1 329 € et 1 829 € dans l’Hexagone et ne sont pas en promos ailleurs pour le moment. Ces nouveaux iPhone Pro ont gagné une caméra frontale plus pratique pouvant cadrer plus large, des améliorations côté photos/vidéos ainsi qu’une puce A19 Pro plus véloce.

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

L’iPhone Air n’est pas en reste étant donné qu’on peut le trouver pour 1 077,05 € dans son enveloppe 256 Go, ou pour 1 376,06 € avec 512 Go. Enfin, les plus gros utilisateurs pourront se tourner vers le modèle 1 To, qui revient à 1 523,60 €. Ce téléphone se démarquant par sa finesse pourra intéresser les clients n’ayant pas de grosses attentes côté photo.

Notons sinon que l’iPhone 17 perd 5 % pour tomber à 913,78 €, mais uniquement en bleu et en format 256 Go. Cela fait donc 55 € de moins qu’en Apple Store. De son côté, l’iPhone 16e est à 544,97 € en 128 Go (-174 €) ou à 736,72 € en 256 Go (-113 €).

L’iPhone 16e. Image iGeneration

Si vous êtes intéressés, rappelons qu’il faudra ajouter à tout cela 5 € de livraison vers la France. Le colis n’arrivera que la semaine prochaine, soit après Noël. Les téléphones sont vendus et expédiés par Amazon Italie.

Votre meilleur allié pour 2026 n'est pas un nouveau Mac, c'est ce siège ergonomique (Code Promo)

22 décembre 2025 à 08:49

À la veille des fêtes de Noël, on pense toujours à s’offrir le dernier ordinateur, la nouvelle console de jeu ultra-puissante ou encore le smartphone dernier cri. Malheureusement, on a trop souvent tendance à négliger le plus important. Car lorsque nous utilisons nos appareils favoris, nous le faisons le plus souvent assis. Vous l’avez compris : votre meilleur compagnon pour 2026 pourrait bien être un siège ergonomique.

Cela tombe bien, car Sihoo propose des promotions sur l’ensemble de son catalogue à l’occasion des fêtes de fin d’année. Sihoo est une marque spécialisée dans les sièges ergonomiques, avec une gamme complète qui ravira tous types d’utilisateurs. Présente dans plus de 100 pays, elle s’est fait une place avec des fauteuils bien finis et des tarifs qui restent raisonnables, sans faire l’impasse sur l’essentiel : une posture correcte au quotidien.

Alors si vous avez décidé de vous offrir un siège pour Noël, voici notre sélection !

Sihoo Doro S100 : deux fois plus de soutien lombaire, deux fois plus de confort d’assise

Vous passez « trop » de temps devant un écran ? Que vous soyez télétravailleur, joueur, étudiant, ou tout simplement parce que vos journées devant votre Mac peuvent être très longues, la Sihoo Doro S100  est faite pour vous. Son point fort, c’est le soutien lombaire double dynamique : une large zone d’appui qui épouse la posture grâce à quatre ressorts placés derrière le renfort, histoire de garder le bas du dos correctement accompagné quand on bouge ou qu’on change de position.

Le dossier mise aussi sur la polyvalence, avec une partie supérieure réglable sur cinq niveaux, annoncée pour des gabarits d’environ 1,50 m à 1,90 m, tandis que l’assise a été agrandie et adopte une forme « cascade » pour mieux répartir la pression. On retrouve enfin les petits détails qui font la différence au quotidien : accoudoirs coordonnés 4D (réglables dans plusieurs directions et coordonnés avec le dossier), réglage de la profondeur d’assise, mesh respirant et inclinaison jusqu’à 135° pour souffler entre deux sessions.

Libre à vous d’essayer : vous avez 30 jours pour retourner le produit et être remboursé si vous n’êtes pas satisfait. La Sihoo Doro S100 est vendue en temps normal 309,99 €, mais elle est en promotion actuellement à 249,99 €. Mieux : en saisissant le code SihooMacg, vous obtenez 6 % de réduction supplémentaire. Le prix tombe alors à 234,99 €.

Sihoo Doro C300 : quand le soutien lombaire s’ajuste à vos mouvements

Contrairement à la Sihoo Doro S100 et son support lombaire à ressorts très structuré, la Sihoo Doro C300  mise sur l’innovation avec son système « BM Tracking » (Body Movement). C’est le gros point fort de ce modèle : le support lombaire est auto-adaptatif. Concrètement, il n’a pas besoin de réglage manuel complexe ; il suit automatiquement la courbe de votre colonne vertébrale et vos mouvements, que vous vous penchiez en avant pour taper un mail ou que vous vous relaxiez en arrière. C’est une sensation de soutien continu, presque « liquide », qui séduit ceux qui ne veulent pas passer leur temps à toucher aux manettes.

C’est d’ailleurs là que réside la principale différence avec la Sihoo Doro S100. Alors que cette dernière offre un maintien très segmenté et puissant au niveau des lombaires, la Sihoo Doro C300 joue la carte de la souplesse et de l’adaptation instantanée. Elle se démarque également par un mécanisme adaptatif qui ajuste la résistance en fonction du poids, assurant une inclinaison douce et équilibrée, sans réglage préalable.

Côté confort, elle n'est pas en reste avec un appui-tête mécanique 3D ultra-large qui soutient parfaitement la nuque (même sur les côtés), des accoudoirs 4D coordonnés qui suivent l'inclinaison du dossier et, bien sûr, ce fameux tissu mesh respirant indispensable pour rester au frais.

En termes de tarif, c’est le moment ou jamais. Habituellement proposée autour des 309,99 €, la Sihoo Doro C300 voit son prix fondre pour les fêtes à 269,99 €. Mieux, avec le code SihooMacg, vous pouvez l’obtenir pour 253,79 € !

La garantie Sihoo

Commander une chaise ergonomique en ligne peut être rebutant. Pourtant, vous ne risquez rien. Tout d’abord, nous avons pu l’expérimenter, les chaises sont relativement faciles à monter. D’autre part, comme nous l’indiquions plus haut, si vous n’êtes pas satisfait, vous avez 30 jours pour la renvoyer et être entièrement remboursé. Niveau sécurité, vous n’avez aucune crainte à avoir, elles répondent aux normes américaines BIFMA et aux standards de qualité et de sécurité du TÜV allemand. Enfin, ces chaises bénéficient d’une garantie de deux ans ! Bref, vous n’avez rien à perdre !

À vous de choisir !

Que vous soyez plutôt « maintien ferme » avec la Sihoo Doro S100 ou « liberté de mouvement » avec la Sihoo Doro C300, vous avez désormais toutes les cartes en main pour commencer 2026 dans les meilleures conditions. N'oubliez pas le code promo SihooMacg pour maximiser l'économie ! Sachez enfin que vous avez sur les deux modèles le choix de la couleur et la possibilité de lui adjoindre un repose-pieds !

Orange offrait l’eSIM Apple Watch avant Free Mobile, mais seulement pour ses forfaits très haut de gamme

22 décembre 2025 à 08:05

Free Mobile a créé la surprise sur le marché de l’Apple Watch cellulaire en France, en offrant l’eSIM dédiée à la montre d’Apple. Depuis l’arrivée de la fonctionnalité, tous ses clients qui disposent d’un forfait 5G peuvent utiliser leur abonnement et les données associées sur le poignet. Même si c’est un accès en 4G seulement, cela suffit largement à l’usage et ses deux concurrents en place font payer cet accès 5 € par mois. Une première en France ? Pas vraiment, comme nous l’a fait remarquer Phalco4 sur X : Orange offre elle aussi l’abonnement eSIM dédié l’Apple Watch à certains clients.

Image WatchGeneration.

Vérification faite, elle a même devancé Free Mobile sur le segment des abonnements Apple Watch inclus, comme en témoignent ses tarifs en vigueur depuis le 20 novembre. Dans cette fiche descriptive, Orange mentionne déjà que l’option est incluse pour certains abonnés, mais uniquement sur demande, sur le modèle de Free Mobile. Les clients concernés peuvent activer l’option dans leur espace abonné et leur forfait sera alors utilisable depuis le poignet sans frais supplémentaires.

Supplémentaires, c’est le bon mot. Contrairement à Free Mobile qui active l’option pour tous ses abonnés 5G, à partir de 8,99 € par mois en ce moment, Orange réserve cette possibilité à ses forfaits les plus haut de gamme. N’espérez pas obtenir gratuitement l’eSIM de l’Apple Watch chez Sosh, il faut obligatoirement passer sur les forfaits Orange et opter pour l’une de ces deux formules : le forfait Voyage 5G+ 180Go facturé 34,99 € par mois la première année (44,99 € au-delà) ou bien le forfait 5G+ 500 Go à 84,99 € par mois associé à un engagement de 24 mois.

Même si Orange épargne ses plus généreux clients des 5 € par mois pour le droit d’utiliser leur forfait cellulaire avec leur montre, l’opérateur leur demande quand même de payer les frais d’activation de 10 €. Rappelons qu’il s’agit d’une carte SIM virtuelle, sans envoi postal. On verra si l’arrivée de Free Mobile sur le segment aura le même effet que par le passé et si Orange fera preuve de plus de générosité à l’avenir.

Montres connectées : comment Amazfit grignote du terrain

22 décembre 2025 à 07:58

Dans le paysage encombré des montres connectées, une marque grignote ses parts de marché avec une régularité de métronome. Amazfit, filiale de Zepp Health, n'est plus seulement le constructeur qui inonde le marché de modèles à bas prix. La société chinoise semble désormais vouloir jouer dans la cour des grands.

Le symbole est fort : lors de l'édition 2025 de l’UTMB, c’est avec une Amazfit au poignet que Ruth Croft a franchi la ligne d'arrivée en tête. Un signal envoyé directement aux géants du secteur. Car si la presse spécialisée n'a longtemps eu d'yeux que pour Garmin, Suunto ou Coros, l'intérêt pour l'alternative Amazfit grandit. Entre prix planchers et fonctionnalités à foison, voici comment la marque réussit son pari.

Image : Amazfit

Une ascension dans l’ombre de Xiaomi

Pour bien comprendre d'où vient Amazfit, il faut remonter à 2013. La société mère, Huami (rebaptisée Zepp Health en 2021), a été fondée par Wang Huang, un entrepreneur qui a rapidement compris que le marché des wearables ne se limiterait pas aux simples podomètres.

Si le nom de la marque a longtemps été méconnu en Occident, son savoir-faire industriel était déjà bien réel : c’est Huami qui fabriquait, dans l’ombre, les célèbres bracelets Mi Band pour le compte de Xiaomi. Forte de cette expertise massive et de volumes de production colossaux, l'entreprise lance la marque Amazfit en 2015. L'idée ? S'émanciper de son rôle de sous-traitant pour proposer ses propres montres, capables de s'attaquer au marché mondial en capitalisant sur une maîtrise totale de la chaîne de composants.

Zepp OS : le choix de l’efficacité logicielle

Dans l'écosystème des accessoires mobiles, la montre est devenue un pivot. Mais alors qu'Apple, Samsung ou Google facturent leurs modèles premium au prix fort, Amazfit mise sur une autre approche. Le secret de ce tarif contenu réside en grande partie dans la partie logicielle. Contrairement à l'Apple Watch ou aux montres sous Wear OS, qui sont de véritables extensions gourmandes du smartphone, Amazfit s'appuie sur Zepp OS, un système maison optimisé exclusivement pour son matériel.

Image : Amazfit

Cette approche logicielle permet à la marque de jouer sur deux tableaux. D’une part, les coûts de production sont drastiquement réduits : en s’affranchissant des contraintes et de la gourmandise des systèmes d’exploitation de Google ou d’Apple, Amazfit conserve une maîtrise totale sur l’optimisation de son matériel. D’autre part, cette légèreté logicielle se traduit par une autonomie record. Si Zepp OS fait l'impasse sur certaines fonctions avancées pour rester "léger", il offre en contrepartie une endurance à faire pâlir n’importe quel possesseur d’Apple Watch. Pour l'utilisateur, le sacrifice de quelques applications tierces se paye par une tranquillité d'esprit appréciable loin du chargeur.

Design et composants : l’art du compromis

Sur le plan du matériel, Amazfit joue les équilibristes. Prenez la T-Rex 3 Pro, dernier fer de lance de la marque qui vient chasser sur les terres de l'Apple Watch Ultra. À environ 400 €, elle coûte moitié moins cher que la montre de Cupertino. La différence se joue sur les détails. Là où Apple propose un design minimaliste et des matériaux nobles pensés pour la ville comme pour la montagne, la T-Rex assume un look "baroudeur" beaucoup plus brut. C'est un outil que l'on emmène en randonnée sans crainte, mais qui manque peut-être de ce raffinement "premium" qui fait le sel des produits Apple. Reste que c’est loin d’être le seul modèle de sport à qui on pourrait faire ce reproche.

Image : Amazfit

Surtout, Apple investit massivement pour obtenir des certifications médicales, là où Amazfit se concentre sur l'essentiel du suivi fitness. Cela ne l’empêche pas d’offrir la plupart des fonctions de suivi de base dans le domaine de la santé. Ces choix permettent de maintenir une facture légère sans pour autant sacrifier la solidité globale de l'appareil.

La gamme Bip : le meilleur rapport qualité-prix ?

C'est sans doute sur l'entrée de gamme que la stratégie d'Amazfit est la plus percutante. La série Bip 6, dernière née de la gamme, propose un boîtier en aluminium plutôt élégant.

Image : Amazfit

Évidemment, on n'atteint pas la fluidité d'une Apple Watch, et l'on fait l'impasse sur les capteurs de santé les plus exotiques. Mais pour celui qui cherche une montre capable de donner l'heure, de notifier ses messages et de suivre ses sessions de running sans vider son livret A, l'offre est redoutable. Ces modèles coûtent moins de 70 € !

Le loup est dans les détails

Le tableau n’est toutefois pas idyllique : dès que l’on s’aventure sur le terrain de la rigueur biométrique, Amazfit montre ses limites techniques. Si la marque a fait des pas de géant sur la précision du signal GPS (bien qu’elle reste un ton en dessous des ténors historiques dans les environnements difficiles), le cardiofréquencemètre avoue ses faiblesses dès que le rythme s’emballe. En fractionné, les capteurs accusent souvent un retard de phase, peinant à suivre les variations brutales là où les références du secteur font preuve d'une réactivité chirurgicale. Ce manque de finesse se répercute sur les algorithmes de santé : entre un suivi du sommeil parfois fantaisiste et des indicateurs de récupération manquant de perspective, la marque privilégie encore l’affichage de données brutes à une véritable analyse de performance.

L’autre grief majeur réside dans la pauvreté de l’écosystème, encore trop en retrait par rapport aux plateformes plus matures. L’application Zepp, labyrinthique et encombrée par des traductions approximatives, accuse un net retard d’ergonomie face aux standards de la concurrence. Surtout, la montre peine à devenir un compagnon polyvalent au quotidien, plombée par un catalogue d’applications tiers famélique qui la cantonne à un usage strictement sportif. C’est là tout l’arbitrage d’Amazfit : offrir une autonomie insolente et un tarif plancher, au prix d'une expérience logicielle qui manque encore cruellement de liant et de maturité. Mais pour combien de temps encore ?

Sécurité : Apple abandonne iOS 18 sur les terminaux compatibles iOS 26

22 décembre 2025 à 06:56

C’est un rituel immuable du côté de Cupertino : lorsqu’Apple déploie une nouvelle version d'iOS, elle cesse de « signer » la précédente généralement sous une dizaine de jours. Si vous avez franchi le pas vers iOS 26.2, par exemple, impossible de faire machine arrière pour revenir à iOS 26.1. Mais au-delà de ce mécanisme bien connu, une stratégie plus stricte est à l’œuvre depuis quelques années : Apple réserve désormais les correctifs de sécurité des anciennes branches aux seuls terminaux techniquement incapables d'installer la version supérieure.

Apple arrête de signer iOS 26.1

Apple arrête de signer iOS 26.1

La mise à jour forcée, sans le dire

Depuis le lancement d’iOS 26, la Pomme a pourtant joué le jeu de la maintenance en publiant trois mises à jour de sécurité pour iOS 18. Mais il y a un loup : si votre iPhone est parfaitement capable de faire tourner iOS 26, ces correctifs ne vous sont plus proposés. Certains utilisateurs, restés volontairement sous iOS 18, s’étonnaient de ne voir apparaître que l'invitation à migrer vers iOS 26 au lieu du traditionnel correctif de sécurité « de secours ».

Toujours sur iOS 18 ? Apple place désormais iOS 26 au premier plan

Toujours sur iOS 18 ? Apple place désormais iOS 26 au premier plan

Ce phénomène n’est pas nouveau. Apple avait déjà procédé ainsi lors du passage à iOS 16, cessant très rapidement de patcher iOS 15 pour les modèles compatibles. L’objectif est limpide : réduire la fragmentation et pousser le parc installé vers le système le plus récent, quitte à forcer un peu la main des plus prudents.

Les mises à jour d

Les mises à jour d'iOS 15 maintenant réservées aux iPhone non compatibles avec iOS 16

Fin de la récréation pour les profils bêta

Certains pensaient avoir trouvé la parade : installer un profil bêta pour forcer le téléchargement de la « Release Candidate » d’iOS 18.7.3. Une astuce qui permettait de sécuriser son terminal sans subir les changements profonds d’iOS 26. Mais Apple vient de bloquer cet accès.

Cette décision est sans doute pragmatique : ces versions de transition n’ont probablement pas été testées de manière intensive sur les modèles les plus récents. Plutôt que de risquer une instabilité logicielle, Apple préfère couper les ponts et renvoyer tout le monde vers la branche principale.

L’ombre de Liquid Glass

Pourquoi cette politique fait-elle couler autant d'encre cette année ? La raison est double. Le contexte lors de la sortie d’iOS 18 était différent. Tous les terminaux pouvaient migrer sans distinction vers cette version.

Image : Apple

Ensuite, il y a le facteur Liquid Glass. Cette nouvelle interface, qui mise sur la fluidité et les effets de transparence dynamique, ne fait pas l'unanimité. Qu'il s'agisse de craintes sur l'autonomie ou d'une simple allergie ergonomique, une partie non négligeable d'utilisateurs traîne les pieds. Pour eux, le choix est désormais cornélien : adopter Liquid Glass ou naviguer avec un système vulnérable.

Des menaces bien réelles sous le capot

Car il ne s'agit pas d'une simple question d'esthétique. La salve de mises à jour sortie en début de mois (iOS 26.2, macOS Tahoe 26.2) n'est pas là pour faire joli. Elle vient colmater deux failles « zero-day » (CVE-2025-43529 et CVE-2025-14174) particulièrement critiques.

Sécurité : Apple comble deux failles « zero-day » avec iOS 26.2 et macOS 26.2

Sécurité : Apple comble deux failles « zero-day » avec iOS 26.2 et macOS 26.2

Situées dans WebKit et le moteur ANGLE, ces vulnérabilités permettent l'exécution de code arbitraire via le simple affichage d'une page web malveillante. Apple a d'ailleurs reconnu que ces failles ont pu être exploitées dans le cadre d'attaques « extrêmement sophistiquées », visant des cibles précises. C’est le profil type des logiciels espions d’État.

Avec déjà sept failles de ce type patchées depuis le début de l'année 2025, la sécurité de nos données n'a jamais été autant mise à l'épreuve. Si votre iPhone (11 ou plus récent) vous propose iOS 26.2, on ne saurait trop vous conseiller malgré tout de ne plus attendre. A vous de voir…

iOS 26 : comment atténuer les excès de Liquid Glass et pour quel résultat

iOS 26 : comment atténuer les excès de Liquid Glass et pour quel résultat

Reçu hier — 21 décembre 2025 MacG.co

FaceTime : pourquoi des sous-titres plutôt qu’une traduction audio ?

21 décembre 2025 à 21:00

Alors que la traduction automatique et instantanée se fait facilement à partir des AirPods Pro, les conversations FaceTime ne sont proposées qu’en sous-titre. Pourquoi, alors que la technologie audio existe ?

La fonction de traduction directe est l’un des gros morceaux d’iOS 26.2 en UE. Image Apple.

C’est à cette question, entre autres, qu’ont répondu Ron Huang (VP Connectivité) et Areeba Kamal (ingénieur senior IA) dans une courte interview donnée au Figaro. Et il faut dire que la réponse semble au final logique : plutôt qu’une traduction audio, qui pourrait supprimer une partie des intonations et autres petits détails de la voix d’un interlocuteur comme lors d’une conversation face à face, les ingénieurs d’Apple ont souhaité privilégier des sous-titres pour FaceTime du fait que les appels visio sont bien plus souvent passés dans le cercle familial ou des amis proches. Il s’agissait donc de ne pas briser le lien direct noué par le son de la voix de l’interlocuteur.

On a testé la traduction en direct des AirPods : vraiment utile pour franchir la barrière de la langue ?

On a testé la traduction en direct des AirPods : vraiment utile pour franchir la barrière de la langue ?

Si les réponses données sont bien entendu très policées et ne risquent pas de dévoiler de grands projets inconnus, les deux responsables ont aussi donné quelques informations sur la façon dont Apple a entraîné son IA dédiée à la traduction instantanée : l’entreprise a ainsi récupéré un nombre conséquent de véritables conversations de café, de restaurants, ou dans d’autres environnements bruyants et complexes pour être sûrs de surmonter toutes les difficultés que pourraient poser la traduction en milieu exigeant.

Des enseignements tirés de ces expérimentations, des solutions techniques intéressantes ont été appliquées : plutôt que de se limiter aux micros intégrés aux écouteurs, le système de traduction directe écoute aussi celui de l’iPhone, pour tenter de trouver celui qui entend le mieux la conversation en cours. Bien entendu, si l’iPhone est dans la poche, c’est raté pour le micro intégré. Mais si celui-ci se trouve sur la table, il est possible qu’il capte mieux la voix de l’interlocuteur que ceux intégrés aux écouteurs.

De la même manière, les équipes ont aussi optimisé les algorithmes pour permettre un début de traduction avant même d’attendre la fin de la phrase en cours. Une fois sûre du début de phrase, l’IA envoie la traduction directement sans en attendre la fin, afin d’éviter tout retard rendant la conversation bien trop artificielle.

Au final, des petits détails qui une fois accumulés font de la traduction directe un système plus agréable à utiliser (même si pas totalement instantané), ou en tout cas optimisé au mieux pour le monde réel. Et puis, n’est-il pas rassurant de voir qu’il y a encore un ingénieur fidèle dans l’équipe dédiée à l’IA ?

Air France confirme Starlink sur toute sa flotte fin 2026 : critiquable, mais quel autre choix ?

21 décembre 2025 à 20:30

Alors qu’Air France a décidé récemment de passer une partie de sa flotte à Starlink concernant la connexion internet par satellite pour les passagers, le groupe a confirmé son choix cette semaine, en indiquant que la totalité de la flotte allait être mise à jour pour être compatible avec le réseau d’Elon Musk... au grand dam de certains observateurs.

En effet, certains connaisseurs du milieu approuvent certes le passage à Starlink, seule décision sensée dans le domaine quoi qu’on en dise, quand d’autres regrettent que la compagnie nationale s’associe à un géant américain controversé alors qu’un concurrent européen et quasiment national existe : Eutelsat. Comme si cette polémique ne suffisait pas, Elon Musk plutôt américano-centré quand il ne s’agit pas de se plaindre de la Commission européenne en a rajouté une couche sur X, « adoubant » la décision de la compagnie d’un paternel « Trés bon ! » (en VF sur le post original) en reprenant le post d’origine d’Air France indiquant le passage complet de la flotte en fin 2026.

Trés bon ! https://t.co/QjSPHaY4ZZ

— Elon Musk (@elonmusk) December 19, 2025

Mais cette décision est elle critiquable de manière réaliste ? Si Eutelsat a bien un réseau de satellites LEO (Low Earth Orbit, orbite terrestre basse), celui-ci est pour le moment très peu développé, avec « seulement » 648 satellites en service, contre plus de 4 000 chez son concurrent. De plus, la latence est plus élevée chez Eutelsat : les satellites LEO étant à 1200 km d’altitude contre 340 à 550 km chez Starlink, celle-ci passe de 20-40 ms à 70 ms. Pour contrer la limite de capacité de ses satellites LEO, Eutelsat indique bien pouvoir compter sur ses 34 satellites géostationnaires dont la série Connect VHTS (500 Gb/s de capacité par satellite, rien que ça !), mais cette solution aggrave encore plus la latence : physiquement, il est impossible de réduire le temps de trajet des ondes pour atteindre les 36 000 km de l’orbite géostationnaire, provoquant un temps de réponse de près d’une seconde en pratique.

Air France ouvre le Wi-Fi gratuit sur sa flotte avec des antennes Starlink

Air France ouvre le Wi-Fi gratuit sur sa flotte avec des antennes Starlink

Au final, il est toujours possible de critiquer la décision d’Air France d’un point de vue géopolitique, d’autant plus avec les tensions actuelles entre les USA et l’Europe, surtout dans le domaine des nouvelles technologies et d’internet. Cerise sur le gâteau, Elon Musk est devenu en quelques années une personne parmi les plus clivantes qui soient. Mais s’il s’agit de regarder la décision d’un point de vue technique, et dans l’optique d’offrir les meilleures solutions de communication à ses clients, la société a fait un choix pragmatique et logique : il n’y a (malheureusement) aucune autre offre actuellement qui soit au niveau de Starlink dans le domaine des communications satellites mobiles.

Utilisez-vous les profils de tvOS sur votre Apple TV ?

21 décembre 2025 à 10:00

Avec tvOS 26, Apple a renforcé la gestion des profils sur l’Apple TV. Désormais, dès l’allumage, vous pouvez sélectionner votre profil ou bien celui d’une autre personne de la famille pour ne pas mélanger l’historique de lecture et les recommandations dans l’app Apple TV. Les profils servent aussi à différencier les réglages des AirPods jumelés ainsi que le contenu de l’app Musique selon les utilisateurs.

Les profils de tvOS. Image Apple.

Et avec tvOS 26.2 qui est arrivé cette semaine, vous pouvez créer un profil sans compte Apple, ce qui peut se révéler utile pour un invité notamment. En outre, des restrictions peuvent être définies sur un profil enfant afin de limiter l’accès au contenu adapté à son âge.

tvOS 26 à l’essai : notre prise en main des nouveautés pour l’Apple TV

tvOS 26 à l’essai : notre prise en main des nouveautés pour l’Apple TV

Reste que, malgré les efforts d’Apple, les développeurs ne suivent pas. Alors que le système d’exploitation propose une bascule automatique d’utilisateur depuis 2022, très peu d’apps tierces en tirent parti. Les principaux services de vidéo offrent bien des profils, mais ceux-ci sont indépendants de ceux de tvOS. Résultat, l’intérêt de la fonction reste limité, puisqu’il faut sélectionner manuellement son profil dans chaque application. À ce jour, Infuse fait figure d’exception.

D’où notre nouveau sondage : utilisez-vous les profils de tvOS ? Notre question porte spécifiquement sur les profils intégrés au système, pas ceux de Netflix, Prime Video ou autres.

Reçu avant avant-hier MacG.co

MacGeneration : le point sur la santé économique du site

20 décembre 2025 à 10:30

Ce 18 décembre, le Club iGen a fêté son sixième anniversaire. L’occasion pour nous de faire, une nouvelle fois, le point avec vous.

Que dire, si ce n’est que 2025 aura été l’une des années — si ce n’est l’année — la plus mouvementée de l’histoire de MacGeneration. Elle nous a réservé bien des surprises (souvent mauvaises), nous a forcés à nous remettre en question et à repartir de l’avant.

Soyons clairs : sans votre formidable soutien à la rentrée, nous ne serions plus là, en tout cas pas dans cet état. Votre fidélité nous a donné le temps nécessaire pour nous restructurer, poursuivre notre réflexion, faire des choix difficiles et, enfin, rebondir.

Est-ce que MacGeneration est tiré d’affaire ? J’imagine que c’est à cette question que nombre d’entre vous espèrent une réponse claire. Hélas, il est encore difficile d'être tranché. Ce que l’on peut affirmer avec certitude, en revanche, c’est que les indicateurs passent au vert, à tous les niveaux.

Le Club iGen n’a jamais eu autant d’abonnés qu’actuellement. La fréquentation de nos sites est en progression continue depuis plusieurs mois. Les revenus (publicité, affiliation…) repartent dans le bon sens. Quant aux coûts engendrés par la restructuration et le licenciement économique, ils ont été quasiment payés dans leur intégralité, sans que nous ayons eu besoin de solliciter un emprunt bancaire.

Depuis la rentrée, nous avons le sentiment de progresser, mais MacGeneration est encore convalescent pour quelques mois encore dans le meilleur des cas. Notre objectif à court et moyen terme est de reconstituer une trésorerie capable d’encaisser les futurs coups durs. La situation demeure fragile : le moindre grain de sable peut encore enrayer la machine.

Club iGen : la campagne de réabonnement est en cours

C’est pour cela que nous avons plus que jamais besoin de vous. Pour beaucoup d’entre vous, le 18 décembre marque la date anniversaire de votre abonnement au Club iGen. Pensez à vérifier que vous n’avez pas reçu de mail de notre part indiquant un échec de paiement. Le cas échéant, vous pouvez mettre à jour vos informations de paiement à cette adresse. Comme d’habitude, notre support (support@mgig.fr) est à votre entière disposition en cas de souci.

On attend 2026 avec impatience. D'une part, pour repartir définitivement du bon pied. D'autre part, parce que ce ne sera sans doute pas une année comme les autres : Apple fêtera son 50e anniversaire. D’ici là, prenez soin de vous ! Nous serons bien évidemment sur le pont pendant toutes les fêtes de fin d’année.

Et si vous êtes à la recherche d’une idée cadeau de dernière minute, n'oubliez pas que vous pouvez toujours offrir une carte cadeau d’un an au Club iGen !

Comment nous soutenir ?

La meilleure manière de nous soutenir reste l’abonnement au Club iGen. En nous accompagnant sur la durée, vous nous donnez les coudées franches pour nous concentrer sur notre cœur de métier : une information de qualité. Pour 5 € par mois (ou 45 € par an), vous profitez d'un confort de lecture total avec des sites et applications sans publicité, l'accès à nos articles exclusifs, notre serveur Discord ou encore un flux RSS personnalisé. Notez qu'une offre à moitié prix est également disponible pour les étudiants et les demandeurs d’emploi.

Si l’abonnement ne vous tente pas, vous pouvez toujours nous donner un coup de pouce via Tipeee, selon vos moyens. Nous réfléchissons d'ailleurs à instaurer des contreparties, comme la réduction de la pression publicitaire sur nos supports si les contributions récurrentes franchissent certains paliers.

Enfin, si vous avez des emplettes de dernière minute à effectuer, vous pouvez passer par nos liens affiliés. Amazon, Boulanger, Darty ou encore la Fnac. En passant par l’un de ces liens, nous toucherons une petite commission.

Plusieurs choses pour finir :

  • Nous avons souhaité concentrer ce billet uniquement sur la santé financière de MacGeneration, car vous étiez nombreux — à juste titre — à nous demander des nouvelles. Mais rassurez-vous, nous avons encore bien d’autres choses à partager avec vous dans les jours et les semaines à venir.
  • On vous voit venir : oui, il y a un souci avec l’application iPad. Une mise à jour arrive très vite. Ce sera aussi l'occasion de vous faire quelques annonces de ce côté-là.
  • Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous en faire part dans les commentaires. On y répondra soit sous forme de FAQ, soit dans un podcast.
  • Une dernière fois, un immense merci à tous. Notre avenir dépend de votre soutien et nous essayons, chaque jour, d’être à la hauteur de cet engagement. Joyeuses fêtes à tous !

Sortie de veille : que retenir des grosses fuites sur les projets secrets d’Apple ?

20 décembre 2025 à 08:00

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

Tim Cook aurait bien besoin d’un plombier. Des fuites assez exceptionnelles ont révélé de nombreuses informations sur les projets secrets d’Apple. Sa feuille de route pour 2026 ne fait plus vraiment de mystère : que ce soit les futurs iPhone ou même les nouveautés logicielles, on connait déjà une partie du programme. Alors que faut-il retenir de ces fuites ? On en discute dans cette émission.

Au programme également, l’arrivée effective de l’Apple Watch chez Free Mobile, le Japon force Apple à ouvrir l’iPhone et iOS 26.3 qui commence son cycle de bêta.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

  • Vous êtes abonné au Club iGen ? Rendez-vous sur cette page pour accéder à nos podcasts complets et aux flux RSS qui vont bien.
  • Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez l’émission directement dans ce lecteur :

Bonne écoute !

Apple arrête de signer iOS 26.1

19 décembre 2025 à 22:00

Apple purge assez fréquemment les différentes versions qui sont installables sur les iPhone, afin d’éviter que les utilisateurs se retrouvent avec une version qui ne contient pas tous les correctifs. Cette fois-ci, elle n’aura pas attendu très longtemps avant de faire tomber le couperet : iOS 26.1 (et tous ses camarades iPadOS 26.1, tvOS 26.1 et homeOS 26.1) n’est plus signé par Apple, empêchant par là même son installation.

Pour tous ceux qui veulent utiliser une version 26.x, il ne reste donc plus que deux solutions disponibles : iOS 26.2, ou la beta d’iOS 26.3.

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

Si le fait de ne pas laisser le choix peut paraître frustrant à première vue, il faut se rappeler que ces suppression d’anciennes version permettent d’éviter les failles béantes dans les appareils des utilisateurs, même si certains power-users aimeraient parfois un peu plus de liberté.

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

OpenAI dévoile sa nouvelle politique concernant les mineurs, et spécifiquement les ados

19 décembre 2025 à 21:45

OpenAI ajoute une nouvelle couche de garde‑fous à son « Model Spec », le document qui décrit comment les modèles doivent se comporter, avec un ciblage explicite des 13‑17 ans. En toile de fond, la promesse générique de « no topic is off limits » se heurte à une réalité plus contraignante dès que le système pense avoir un mineur en face.

N’ayant pas d’ado sous la main, image créée par IA.

Le texte s’articule autour de principes « U18 » qui encadrent désormais la manière dont ChatGPT doit parler aux ados, avec une priorité assumée donnée à la sécurité dès qu’il y a conflit entre liberté de discussion et risque potentiel. L’assistant est encouragé à rediriger vers le monde réel – famille, amis, professionnels et services d’urgence – dès que la conversation touche à la détresse psychologique, aux conduites à risque ou à l’automutilation. Le ton attendu est chaleureux et non condescendant, mais il ne doit pas faire comme si les adolescents étaient des adultes pleinement autonomes, ni entretenir l’illusion d’une relation quasi humaine.

Quatre axes clés

Les quatre axes clés sont désormais explicités comme une sorte de boussole interne pour les interactions avec les mineurs :

  • Priorité systématique à la sécurité quand elle entre en tension avec la liberté de discussion.
  • Promotion active du support hors ligne (parents, proches, professionnels, services d’urgence) en cas de sujets sensibles.
  • Traitement explicite de l’utilisateur comme adolescent, avec un ton adapté, ni enfantin ni purement adulte.
  • Transparence renforcée sur la nature de l’IA, ses limites, et l’absence de relation « humaine ».

Là où la mise à jour devient plus intéressante, c’est dans la façon dont elle resserre les vis sur trois zones sensibles : romantisme, sexualité et santé mentale. Les roleplays romantiques ou pseudo‑intimes avec des mineurs, même édulcorés, sont mis à l’index, et les contenus sexuels impliquant des ados restent strictement bannis, avec une insistance particulière sur les zones grises comme les échanges suggestifs ou trop détaillés. Sur les sujets de suicide, de troubles alimentaires ou de mutilation, le modèle est sommé de quitter le registre de la conversation neutre pour passer en mode filet de sécurité, sans banalisation ni glamorisation, et avec des renvois explicites vers des ressources d’aide.

ChatGPT active ses premiers contrôles parentaux, sans prédiction de l’âge pour le moment

ChatGPT active ses premiers contrôles parentaux, sans prédiction de l’âge pour le moment

Techniquement, tout cela s’appuie sur un mécanisme clé : la prédiction d’âge, censée déterminer si un compte appartient probablement à un mineur pour déclencher automatiquement ce régime U18. En cas de doute, la consigne est de traiter l’utilisateur comme adolescent plutôt que de lui laisser le bénéfice du « profil adulte », au risque assumé de multiplier les faux positifs. Dans certains marchés, OpenAI évoque même la possibilité de contrôles d’identité plus robustes, ce qui déplace le problème vers un terrain très chargé : comment protéger les mineurs sans transformer la vérification d’âge en cheval de Troie contre la vie privée.

Le timing de cette évolution n’est pas anodin, alors que l’entreprise est dans le viseur de régulateurs et de législateurs qui planchent sur des standards spécifiques pour les mineurs face aux systèmes d’IA. Des textes comme les lois américaines encadrant les « chatbots compagnons » pour jeunes ou les discussions autour d’un devoir de diligence renforcé créent un environnement où l’inaction réglementaire n’est plus tenable. La mise à jour publique du Model Spec fonctionne alors comme une pièce à conviction : OpenAI affiche ses intentions de design responsable, documentation à l’appui, pour montrer patte blanche aux autorités et aux parents.

ChatGPT va essayer de deviner l’âge de ses utilisateurs pour protéger les ados

ChatGPT va essayer de deviner l’âge de ses utilisateurs pour protéger les ados

Reste la zone de frottement la plus inconfortable : ce type de charte peut cadrer les intentions, mais ne garantit jamais la qualité de la réponse donnée à un ado en crise à trois heures du matin. L’entreprise mise sur une combinaison de règles, de filtrage et de signaux d’alerte, mais la réalité restera faite de cas limites, de contextes mal compris et de modèles qui n’attrapent pas tous les signaux faibles. Entre la volonté affichée de « protéger sans infantiliser » et le risque d’un sur‑blocage qui transforme l’outil en machine à phrases creuses dès que la conversation devient sérieuse, la marge de manœuvre est étroite, et elle se jouera autant dans l’implémentation que dans les principes.

Guide de Noël : les disques durs, le stockage à tarif doux

19 décembre 2025 à 20:45

Pendant que la RAM et les SSD voient leurs prix grimper en flèche, heureusement, les bons vieux disques durs restent à des tarifs raisonnables pour qui veut faire ses sauvegardes tranquilles. Mieux, on trouve quelques bonnes opérations à faire sur Amazon pour la fin d’année.

Le My Passport est souvent une valeur sûre, et en 5 To, il offre de quoi voir venir. Image Western Digital.

Alors qu’un SSD externe de 4 To se négocie au minimum 239,99 € pour une fin de série chez Crucial qui plie bagages dans le domaine, et que les autres se trouvent tous au minimum à plus de 300 €, Western Digital propose avec son éternelle série « My Passport » un disque dur externe 2,5 pouces de 5 To, pour la modique somme de 138,99 €.

C’est massif, c’est lourd, mais avec 16 To de stockage, ça reste compact. Image Seagate.

Vous en voulez plus ? Seagate est là pour venir à votre secours, avec sa série « Expansion Desktop » dont la version 16 To est proposée sous les 300 €, à 299,99 € exactement, soit un prix au To de 18,75 €. Le To n’a jamais été aussi bas sur les disques mécaniques !

Un boîtier externe, bien pratique pour recycler ses disques durs internes. Image Orico.

Reste le cas particulier de celui qui a un nombre conséquent de disques durs internes, et souhaite les recycler pour un tarif raisonnable. S’ils se font de plus en plus rares, les boîtiers pouvant accueillir des disques durs internes jusqu’au format 3,5 pouces que l’on trouvait encore récemment dans les ordinateurs de bureau existent toujours. Et l’une des meilleures affaires actuelles reste le boîtier proposé par Orico, avec son interface USB 3.0 largement suffisante pour la vitesse d’un disque dur à plateaux. À 22,57 €, il sera difficile de trouver plus bas.

Si la RAM et les SSD montent en flèche, il reste possible de trouver du stockage, même s’il gratte un peu à l’oreille et n’est pas aussi rapide que de la mémoire flash. Il a au moins l’énorme avantage d’avoir une capacité d’emport encore sans égale !

L'iPhone Fold pourrait avoir un format surprenant pour un appareil à écran pliable

22 décembre 2025 à 09:52

L'iPhone Fold ne ressemblerait pas aux autres smartphones à écran pliant, en tout cas au niveau du format. La semaine dernière, The Information décrivait un appareil plus large que haut quand il est ouvert, ce qui n'est pas le cas des Samsung Galaxy Z Fold, par exemple.

À la suite de cette révélation, des schémas imaginés par un lecteur de MacRumors en mai dernier ont refait surface. Basés sur des rumeurs issues de Weibo, ils donnent à voir ce que pourrait être le format de l'iPhone Fold.

L’iPhone Fold de dos et déplié, selon différentes rumeurs.
Tout ce que l

Tout ce que l'on sait du futur et premier iPhone pliant

Tel qu'il est décrit sur les schémas, l’appareil surnommé V68 en interne pourrait faire 120 mm de haut sur 83,8 mm de large fermé, pour une épaisseur de 9,6 mm. Il arborerait donc un écran externe de 5,49 pouces, dans une définition de 2 088 x 1 422 pixels.

Schéma d'un fan basé sur des rumeurs

Et une fois ouvert ? Avec un écran de 7,76 pouces en 2 713 x 1 920 pixels, il se rapproche encore plus d’un format iPad, et aurait des mensurations de 167,6 mm de large pour 120,6 mm de haut. L’épaisseur ? Seulement 4,8 mm (hors bosse des objectifs, bien entendu).

Soulignons de nouveau que ces schémas n'ont rien d'officiel et ne proviennent même pas d'une fuite, ils ont été conçus par un fan pour donner une idée du format atypique de l'appareil.

Mise à jour le 22 décembre : Une première version de cet article présentait ces schémas comme des fuites provenant d’un fabricant d’accessoires, or ce n’est pas le cas. Nous avons corrigé l’article en conséquence. Toutes nos excuses pour cette erreur.

Combien faudra-t-il débourser pour le futur iPhone pliable ?

Combien faudra-t-il débourser pour le futur iPhone pliable ?

Les promotions sur les casques Beats reviennent, encore mieux que pendant le Black Friday

19 décembre 2025 à 18:18

Pendant le Black Friday, Amazon avait proposé de très grosses promotions sur les casques de Beats, avec des réductions qui dépassaient 50 %. Et les promotions reviennent aujourd'hui, avec (presque) les mêmes prix.

Le premier est le casque Beats Studio Pro. Il est à 170 € au lieu de 400 €, une très belle réduction. Ce casque haut de gamme avec réduction de bruit est très efficace, peut fonctionner en filaire en USB-C et existe en de nombreuses couleurs. La version noire, la Moka, la Bleu nuit et la Sable sont à ce prix, les autres sont à 200 €. Amazon indique qu'ils arriveront avant Noël.

Image Beats.
Test du Beats Studio Pro, le casque Apple qui cible un peu trop Android

Test du Beats Studio Pro, le casque Apple qui cible un peu trop Android

Pour un tarif beaucoup plus doux — 107 € au lieu de 230 € —, le Solo 4 est un bon casque audio sans fil. Il n'a pas de réduction de bruit active, mais bien les intégrations intéressantes des produits Beats dans la plateforme Apple, tout en gardant une compatibilité Android. Il a perdu 13 € depuis le début du mois et Amazon indique que le casque peut être livré avant Noël.

Le Solo 4. Image Beats.
Test du Beats Solo 4 : un excellent casque… pour 2019

Test du Beats Solo 4 : un excellent casque… pour 2019

Pour le sport et les petits budgets, les Beats Flex sont à 40 € au lieu de 90 € (une diminution de 5 €). Ils ont un fil qui relie les deux écouteurs, mais se connectent tout de même en Bluetooth.

Image Beats.
Test des Beats Flex

Test des Beats Flex

Les récents Beats Powerbeats Pro 2, qui intègrent un capteur cardiaque comme les AirPods Pro 3, sont à 200 €, au lieu de 300 €.

Image Beats.
Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

Si vous préférez les écouteurs, il y a de nombreux modèles en promotion. Les Studio Buds+ sont à moitié prix : 100 € au lieu de 200 €. La version transparente n'est malheureusement pas en promotion.

Image Beats.
Test des Studio Buds + : Beats met les choses au clair

Test des Studio Buds + : Beats met les choses au clair

Les Solo Buds, en entrée de gamme, sont à 50 € au lieu de 90 €, un prix vraiment faible pour des écouteurs sans fil de bonne qualité.

Test des Beats Solo Buds : des écouteurs qui se fondent dans la poche

Test des Beats Solo Buds : des écouteurs qui se fondent dans la poche

Enfin, l'enceinte Beats Pill (USB-C) est à 90 € au lieu de 170 € (encore 10 € de moins). C'est une enceinte efficace en Bluetooth, avec une excellente autonomie.

Image Beats.
Test de la Beats Pill : une enceinte qui a du cachet

Test de la Beats Pill : une enceinte qui a du cachet

Un cluster de Mac Studio peut atteindre plusieurs To de RAM grâce au Thunderbolt 5

19 décembre 2025 à 18:00

Avec macOS 26.2, Apple a activé une fonction intéressante pour les amateurs de calculs : le RDMA (Remote Direct Memory Access). L'idée, c'est de permettre aux apps d'accéder à la mémoire de plusieurs appareils Apple s'ils sont reliés en Thunderbolt 5. La technologie permet d'obtenir une latence acceptable pour ce type d'usage — moins de 50 microsecondes — avec une grande quantité de RAM. Jeff Geerling a par exemple relié quatre Mac Studio, ce qui a permis d'obtenir 1,5 To de RAM1 (il a deux modèles avec 256 Go de RAM et deux autres avec 512 Go).

Dans son post (résumé de sa vidéo), il explique que le Mac Studio M3 Ultra seul offre déjà d'excellentes performances pour les calculs liés à l'IA, avec une efficience bien meilleure que des appareils basés sur les puces de Nvidia et d'AMD dans cette gamme. En reliant les quatre Mac Studio en Ethernet à 2,5 Gb/s puis en IP over Thunderbolt, le cluster de Mac Studio offre des gains intéressants, et le Thunderbolt montre des avantages évidents par rapport à l'Ethernet, grâce à une latence plus faible (qui est de l'ordre de 300 microsecondes selon lui).

Quatre Mac Studio. Image Jeff Geerling.
Test du QNAP TVS-h874T : le NAS Thunderbolt 4

Test du QNAP TVS-h874T : le NAS Thunderbolt 4

Avec l'activation du RDMA (qui nécessite un passage dans la partition de restauration, en ligne de commande), les gains peuvent être importants, comme il le montre. Avec des modèles de langage qui nécessitent plus que les 512 Go de RAM d'un Mac (il utilise Exo, un outil open source qui prend justement cette fonction en charge), c'est une solution pratique pour récupérer plus de mémoire. Bien évidemment, les logiciels doivent prendre en charge la possibilité de travailler en cluster. Sur un modèle avec 671 milliards de paramètres (DeepSeek V3.1), il est par exemple possible de passer de 21 à 32 tokens/s. C'est un gain qui n'est pas aussi élevé que l'investissement nécessaire pour quatre Mac Studio, mais qui reste assez intéressant.

Des gains intéressants. Image Jeff Geerling.

Dans tous les cas, la solution d'Apple est intéressante pour ce type de calcul, et elle montre que la marque s'intéresse encore (bizarrement) aux serveurs et autres stations de travail pour des calculs. Et comme Jeff Geerling l'espère, il serait intéressant de voir une solution de ce type avec un Mac Pro équipé d'emplacements PCI-Express et de technologies dédiées plus rapides que le Thunderbolt pour la liaison.


  1. Avec quatre modèles M3 Ultra poussés au maximum, il est même possible d'atteindre 2 To. Comptez tout de même 20 000 € uniquement pour la RAM dans ce cas.  ↩︎

Shein échappe à une suspension provisoire en France, le gouvernement va faire appel

19 décembre 2025 à 17:39

Le tribunal judiciaire de Paris a rejeté, ce vendredi 19 décembre, la demande de l’État visant à bloquer provisoirement le site Shein en France. Cette requête faisait suite à la découverte de produits illicites sur la plateforme début novembre, quelques jours avant l’ouverture de son premier magasin physique en France. Des poupées pédopornographiques, des armes de catégorie A ou encore des médicaments interdits étaient commercialisés par des vendeurs tiers sur sa place de marché.

Dans le showroom Shein de Tokyo. Image Dick Thomas Johnson (CC BY).

Le tribunal a reconnu l’existence d’un « dommage grave à l’ordre public », mais a estimé que la mesure demandée était « disproportionnée ». Il a notamment relevé le caractère « ponctuel » de ces ventes et constaté que la plateforme avait retiré les produits en cause. La justice a toutefois adressé une injonction à Shein, lui interdisant de remettre en vente des « produits sexuels pouvant caractériser un contenu à caractère pornographique » sans mise en place préalable de dispositifs de vérification de l’âge.

L’État demandait que Shein soit contraint de maintenir la suspension de sa marketplace et plus largement l’arrêt de toutes les ventes ne relevant pas de l’habillement. Depuis le 5 novembre, Shein limite en effet son activité à la vente de vêtements issus de ses collections, le temps de corriger les « failles » identifiées sur son site.

La marketplace de Shein n’était toutefois pas la seule concernée par la présence de produits interdits. Le gouvernement s’est ensuite rendu compte que celles de Temu, AliExpress, Wish, eBay et Joom proposaient également des articles prohibés. Amazon a aussi été pointé du doigt, aux côtés de Wish et Temu, pour ne pas avoir « respecté [ses] obligations de filtrage des mineurs face aux images à caractère pornographique ». De là à considérer qu'il y a un problème généralisé de contrôle sur les marketplaces, il n’y a qu’un pas.

« Toute plateforme qui aura commercialisé des articles illicites aura le même traitement [que Shein] », avait assuré en novembre le ministre des PME, Serge Papin. Au vu de l’issue de la procédure visant Shein, les autres acteurs du secteur ne doivent pas être particulièrement inquiets.

Mise à jour à 18 h 49 : le gouvernement annonce qu'il fera appel de la décision du tribunal judiciaire dans les prochains jours.

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