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Reçu aujourd’hui — 23 décembre 2025 MacG.co

Cyberattaque : les services de La Poste sont toujours dans les choux

23 décembre 2025 à 11:38

La panne continue chez La Poste. Depuis lundi matin, une panne massive touche les différents services du groupe, de la livraison de colis à sa filiale bancaire. Le problème n’a toujours pas été corrigé ce matin, et il reste impossible d’obtenir le suivi d’un courrier ou d’accéder à ses comptes.

Le site de La Poste ce matin. Image MacGeneration

La panne fait suite à une attaque par déni de service (DDoS) consistant à surcharger les serveurs via l’envoi de multiples de requêtes. Le groupe a indiqué hier que la distribution des colis et des courriers à domicile était perturbée mais assurée. Un gros couac à deux jours de Noël…

Cyberattaque : les sites et apps de la Poste et de la Banque Postale inaccessibles

Cyberattaque : les sites et apps de la Poste et de la Banque Postale inaccessibles

Aujourd’hui, le site de la Poste est de nouveau accessible, mais entrer un numéro de suivi donne une erreur. Sur le site de la Banque Postale, il est indiqué qu’un « incident informatique » rend indisponible l'accès à l’application mobile et à la banque en ligne. Les paiements en ligne restent possibles avec authentification par SMS, tandis que les paiements par carte bancaire ou les virements par WERO sont toujours accessibles.

« La cyberattaque se poursuit » mais a « baissé en intensité » a indiqué sur BFMTV le ministre de l’Économie Roland Lescure. Il a assuré qu’aucune donnée personnelle n’avait été aspirée et que, même sans suivi, les colis restaient bien en cours d’acheminement.

BFM note que deux autres banques ont eu des soucis hier, à savoir la Caisse d'épargne et la Banque populaire. Le groupe BPCE a indiqué qu’il s’agissait d’un incident distinct lié à « un dysfonctionnement temporaire d'un de ses fournisseurs ». Il a depuis été résolu.

Les bandes magnétiques ne sont pas mortes : les LTO-10 (Ultrium) passent à 40 To

23 décembre 2025 à 11:35

Dans le monde informatique grand public, les bandes magnétiques ne sont plus employées depuis très longtemps. Mais dans le monde professionnel, pour l'archivage, elles sont encore très courantes : elles offrent un bon rapport capacité/prix et sont plus pérennes que les disques durs ou les SSD. Fujifilm vient d'annoncer des cartouches LTO-10 d'une capacité de 40 To, pour ceux qui ont de gros besoins de stockage.

Le lecteur de bandes d'Apple des années 80.

Les plus anciens d'entre vous se souviennent peut-être de l'Apple Tape Backup 40SC, un périphérique SCSI qui permettait de stocker 40 Mo sur une bande magnétique dans les années 80. La nouvelle génération permet donc de stocker un million de fois plus de données, et peut atteindre 100 To avec de la compression1. La nouvelle bande de 40 To fait partie de la gamme LTO-10, qui a un défaut : alors que les générations précédentes de lecteurs de bandes avaient une rétrocompatibilité assumée (un lecteur de génération x pouvait lire et écrire les bandes de la génération x-1 et lire celles de la génération x-2), ce n'est pas le cas avec les LTO-10.

Cette bande contient 40 To. Image Fujifilm.

La nouvelle bande de 40 To de Fujifilm mesure 1 337 m et la marque annonce un débit de 400 Mo/s. Comme toujours avec les bandes magnétiques, il n'est pas possible d'accéder à une donnée précise sans dérouler la bande jusqu'à la bonne position, ce qui peut être assez lent. Les bandes magnétiques servent donc essentiellement à l'archivage dit froid : les données sont sauvegardées périodiquement mais normalement rarement accédées.

Bien évidemment, les bandes magnétiques de type LTO ne ciblent pas le grand public, mais il existe tout de même des lecteurs en Thunderbolt pour les entreprises qui utilisent du matériel standard, par exemple. Et certains amateurs récupèrent parfois d'anciennes générations d'appareils pour effectuer des sauvegardes durables et fiables.


  1. Une valeur qui dépend évidemment du type de données. Si le ratio de 2,5:1 peut être atteint sur du texte, ce n'est pas le cas sur des images ou de la vidéo, qui sont généralement déjà compressées.  ↩︎

Apple dépend de plus en plus de Samsung pour la mémoire vive des iPhone

23 décembre 2025 à 11:05

Si Apple n'a pas encore augmenté ses prix sur la mémoire vive — qui sont plus élevés que la moyenne en temps normal —, la RAMpocalypse commence à poser un problème. Selon The Korea Economic Daily, Samsung fournit environ 60 à 70 % des puces de mémoire LPDDR5 des iPhone 17. Dans les iPhone précédents, SK Hynix, un autre fabricant majeur de mémoire, fournissait une plus grande partie de la mémoire.

Samsung fournit beaucoup de LPDDR5. Image Samsung.

La raison principale est simple : tant Micron que SK Hynix ont choisi de produire de la mémoire HBM (employée dans les cartes intégrées dans les serveurs pour l'IA) au détriment de composants comme la LPDDR des smartphones et autres ordinateurs. Mécaniquement, Samsung a donc récupéré une partie de ce marché, car la société coréenne n'a pour le moment pas décidé de diminuer drastiquement sa production.

les puces A nécessitent des composants spécifiques. Images iFixit.

Le problème, selon nos confrères, est qu'Apple demande de la mémoire avec des spécifications très précises. Les iPhone et autres Mac utilisent de la mémoire LPDDR rapide (le MacBook Pro M5 utilise de la LPDDR5X-9600) et Apple veut de la mémoire d'une excellente qualité, sans variations sur la production. Les contrôleurs mémoire des systèmes sur puce sont très sensibles à la qualité de la tension des puces, et donc la production doit être parfaite. Visiblement, Samsung est le seul fabricant capable de fournir de la mémoire adéquate en volume : Micron a fait le même choix que SK Hynix et se concentre sur la HBM et CXMT, le quatrième fabricant majeur (et chinois), est techniquement très en retard sur les autres.

Quel pourrait être l

Quel pourrait être l'impact de la RAMpocalypse sur Apple ?

Dans la pratique, toute la question reste celle de l'impact du prix de la mémoire sur celui de nos appareils. Et l'inconnue principale est le prix qu'Apple paye pour la mémoire : sur les marchés classiques, les composants nécessaires pour 12 Go de LPDDR5 (la quantité présente dans les iPhone Air et 17 Pro) valent actuellement plus de 70 $, contre environ 30 $ en début d'année. Mais Apple ne paye a priori pas ce prix, en tout cas pour le moment.

Après Spotify et Apple Music, ChatGPT aussi lance son bilan de fin d’année

23 décembre 2025 à 10:50

Après Spotify, Tesla, Discord ou encore la SNCF, c’est au tour de ChatGPT de lancer son bilan annuel. Le service propose d’obtenir un aperçu des thèmes abordés et des statistiques relatives aux discussions de l'année. La nouveauté n’est malheureusement pas disponible en France pour le moment étant donné qu’elle est réservée aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Canada, à la Nouvelle-Zélande et à l'Australie.

Your Year with ChatGPT!

Now rolling out to everyone in the US, UK, Canada, New Zealand, and Australia who have reference saved memory and reference chat history turned on.

Just make sure your app is updated. pic.twitter.com/whVkS1qxKu

— OpenAI (@OpenAI) December 22, 2025

Comme ses petits camarades, OpenAI propose de nombreux graphiques illustrant les statistiques d’utilisation du service. L’entreprise a également ajouté un système de « récompenses » en fonction de l’utilisation du tchatbot tout au long de l'année (des sortes de succès, comme « débuggeur créatif »). Ce bilan se termine par un poème et une image liés à vos centres d'intérêt.

La nouveauté est disponible pour les utilisateurs de l’app l’ayant mis à jour : ils devraient voir apparaître une bannière proposant ce récap’ dès le lancement. Il est sinon possible de directement demander à ChatGPT de l’afficher (cela ne fonctionne pas en France, j’ai essayé).

À noter que ce récapitulatif annuel repose sur les données déjà enregistrées par ChatGPT tout au long de l’année : seules les conversations prises en compte par l’historique et la mémoire peuvent alimenter ces statistiques, ce qui explique pourquoi certains utilisateurs peuvent se retrouver avec un bilan incomplet. Rien ne s'affiche si les deux fonctions sont désactivées.

Image OpenAI.

Sur un autre registre, OpenAI a récemment ajouté un petit easter egg à ChatGPT. Il suffit d’envoyer l’émoji cadeau ( ) au bot pour voir apparaître une invite proposant d’envoyer un selfie. Le service génère alors une courte vidéo via Sora 2 dans laquelle le père Noël vous apporte un cadeau. La nouveauté fonctionne chez moi alors que Sora 2 n’est pas officiellement disponible en France.

Cloudflare : Apple sur la troisième place du podium des services Internet en 2025

23 décembre 2025 à 09:49

Cloudflare, l'un des plus grands fournisseurs d'infrastructures Internet au monde, vient de publier son rapport annuel analysant les tendances de l’année. Apple s’en sort bien étant donné qu’elle occupe la troisième place du classement des services Internet, qui liste les principaux services en ligne en fonction de leur popularité à partir des données DNS de Cloudflare. La Pomme se trouve donc désormais juste derrière Google et Facebook.

Image Cloudflare

Le rapport explique qu’Apple est restée solidement accrochée à la 3e place pendant la majeure partie de l’année, une place qu’elle a décroché en dépassant TikTok. Elle s’est ensuite fait concurrencer par Microsoft certains jours d’été, mais malgré ces échanges de places, elle conserve la médaille de bronze. Pendant ce temps, TikTok a reculé à la 8e place tandis que Microsoft a progressé par rapport à 2024.

Le poids d’Apple.com ne se limite pas au site vitrine étant donné qu’il sert de porte d’entrée à une constellation de services. Cloudflare précise d’ailleurs que d’autres domaines Apple (notamment iCloud) sont comptabilisés indépendamment.

Côté mobile, Cloudflare estime que les appareils iOS génèrent 35 % du trafic mobile mondial en 2025, un chiffre en légère hausse sur un an (+2 points). En face, Android affiche 65 %. Si Monaco fait figure d’ovni avec une part iOS très élevée (70 %), de nombreux pays comptent plus de 90 % d’appareils Android.

L'évolution sur l'année. Image Cloudflare

Quelques chiffres intéressants sont à noter, comme le fait que le trafic mondial a augmenté de 19 % sur 2025 ou que celui de Starlink a tout bonnement doublé. Google reste le moteur de recherche numéro un, suivi respectivement (et de très loin) par Bing, Yandex, Baidu et DuckDuckGo. L'Europe domine le monde en termes de vitesse et de qualité d'Internet avec les vitesses de téléchargement moyennes les plus élevées, l’Espagne se positionnant en première place du classement.

Deux tiers du trafic provenaient de Chrome en 2025, le Safari d'Apple se situant en deuxième place avec 15,4 % des parts de marché. Les deux navigateurs sont suivis par Microsoft Edge (7,4 %), Mozilla Firefox (3,7 %) et Samsung Internet (2,3 %). Safari reste de loin le plus populaire sur iOS : moins de 1 % des requêtes sont issues de DuckDuckGo, Firefox ou du chinois QQ Browser.

7 bonnes raisons de s’offrir un VPN

23 décembre 2025 à 09:10

Les VPN sont quasiment tout le temps en promotion, mais c’est à cette période de l’année que les tarifs deviennent véritablement indécents. Si les technophiles sont déjà équipés depuis belle lurette, d’autres hésitent encore à franchir le pas. Voici pourquoi vous devriez (enfin) sauter le pas.

Pour surfer enfin en toute sécurité

L’argument de la sécurité sur les Wi-Fi publics commence à dater, même s'il reste une base d'hygiène numérique indispensable. Mais l’intérêt d’une suite comme celle de Surfshark, c’est d'aborder la question dans sa globalité.

Plutôt que de se contenter d’un simple tunnel chiffré, l'éditeur propose une solution complète : un antivirus pour bloquer les logiciels malveillants, des outils de lutte contre le phishing ainsi que la fonction Alternative ID. Cette dernière permet de protéger votre identité en créant des alias, évitant ainsi que votre boîte mail principale ne finisse noyée sous le spam. Là où certains ne vendent qu'une brique technique, d'autres proposent désormais un véritable bouclier numérique.

Pour un Web (enfin) plus respirable

Sur certains points, on serait tenté de dire que l’Internet, c’était mieux avant. Aujourd'hui, le web est devenu une foire d’empoigne où les traqueurs vous suivent à la trace et où la publicité est devenue, n'ayons pas peur des mots, omniprésente.

Pour reprendre un peu le contrôle, la fonction de blocage intégrée au VPN est un allié redoutable. Ici, le travail de filtrage n’est pas effectué par votre machine, mais directement par les serveurs de Surfshark. Les avantages sont immédiats : vous économisez de la bande passante (un vrai plus en mobilité), vos pages s’affichent bien plus vite et, surtout, la protection s'étend à tous vos appareils, pas seulement à votre navigateur. C’est la fin des bannières intrusives, même au sein de vos applications mobiles.

Faire sauter les barrières virtuelles

Internet a été pensé comme une fenêtre ouverte sur le monde, une utopie sans frontières. Malheureusement, entre les querelles de droits et le maquis des réglementations, cette fenêtre ressemble chaque jour un peu plus à une porte close.

C’est le quotidien : cette vidéo YouTube indisponible, ce site US qui vous bloque à cause du RGPD, ou ces fonctions d'IA qui restent bloquées à la frontière européenne. Pour ne plus regarder le web par le petit bout de la lorgnette, enfilez votre cape d’invisibilité : avec Surfshark, vous vous « télétransportez » virtuellement dans plus de 100 pays en un clic.

Protéger ses données... et son portefeuille

S'offrir un VPN coûte souvent moins cher qu'un café en terrasse, mais c'est un investissement qui se rentabilise vite. L'outil permet de déjouer le « dynamic pricing », ces algorithmes qui gonflent les prix selon votre localisation ou le prestige de votre appareil.

L'exemple des locations de voiture est flagrant : les loueurs ajustent souvent leurs tarifs à la hausse si vous réservez depuis une grande capitale. En déplaçant votre curseur, les prix retrouvent leur sens commun. Même logique pour les services numériques (YouTube, Canva, streaming) dont les tarifs font le grand écart d'un continent à l'autre. L’abonnement « plein pot » n’est plus une fatalité.

Le peering, ce frein invisible

Il y a aussi la question, agaçante, du peering. Vous avez la fibre, un Mac de compétition, et pourtant, cette vidéo YouTube s’obstine à mouliner ou la mise à jour de macOS semble peser trois tonnes.

La faute à des accords d’interconnexion grippés entre votre opérateur et les serveurs de Google ou d’Apple. En chiffrant votre trafic, le VPN rend votre activité illisible pour votre FAI. Il ne sait plus si vous téléchargez un fichier système à Cupertino ou si vous regardez un stream. Résultat : vous contournez les bridages arbitraires et retrouvez enfin le débit pour lequel vous payez chaque mois.

Pour ceux qui veulent tester les nouveautés en premier

C’est le péché mignon de tout technophile qui se respecte : vouloir tester la nouveauté avant tout le monde. On ne compte plus les services, les plateformes de cloud-gaming ou les applications qui sortent d'abord aux États-Unis ou au Japon, laissant l'Europe sur le banc de touche pendant des mois.

Le VPN devient alors votre passeport pour ne plus subir le bon vouloir des déploiements progressifs. Que ce soit pour créer un compte sur un nouveau réseau social en vogue ou pour essayer des fonctions logicielles encore limitées géographiquement, vous n'avez plus besoin d'attendre qu'un obscur comité de validation daigne ouvrir les vannes pour le Vieux Continent. On change de pays en un clic, et le web s'aligne enfin sur votre curiosité.

Emporter sa télévision dans sa valise

Ceux qui voyagent souvent connaissent bien cette frustration. Vous payez vos impôts et votre redevance (ou vos abonnements premium) en France, mais dès que vous franchissez la frontière, vos services de Replay ou vos applications de streaming préférées vous claquent la porte au nez.

« Ce contenu n'est pas disponible dans votre région » : voilà le message qui vient gâcher votre soirée à l'hôtel. En utilisant Surfshark, vous « rentrez à la maison » virtuellement. Vous retrouvez votre JT de 20h, vos compétitions sportives sur les chaînes nationales ou votre catalogue Netflix habituel, exactement comme si vous étiez dans votre canapé. C’est le confort de la maison, partout dans le monde.

Prendre un VPN, oui mais lequel ?

Si l’offre est pléthorique, Surfshark a su se tailler une place de choix, notamment chez les utilisateurs Apple. Pourquoi lui plutôt qu’un autre ? D’abord pour son intégration exemplaire : l’application est disponible sur tous les terminaux d’Apple, y compris l’Apple TV. Depuis que tvOS 17 a ouvert les vannes, l’éditeur y propose une application native d'une simplicité désarmante pour débloquer les catalogues de streaming directement sur le téléviseur du salon, sans passer par des réglages réseau abscons.

L’autre point fort, c’est son pragmatisme. Là où la concurrence s’amuse à compter le nombre de vos appareils, Surfshark l’ignore superbement. Vous pouvez installer le service sur un nombre illimité d’appareils : du Mac Studio de compétition au vieil iPad qui traîne dans la cuisine, sans oublier l’iPhone de chaque membre de la famille. Un seul compte pour tout le foyer, sans aucune restriction de connexions simultanées.

Et bonne nouvelle : pour les fêtes de fin d’année, Surfshark fait fondre ses tarifs. L’abonnement Surfshark One tombe à 61,83 € HT (74,2 € TTC), avec trois mois offerts en prime. De quoi surfer l’esprit tranquille jusqu’en mars 2028 pour seulement 2,74 € par mois !.

Flambée de la mémoire : les SSD Studio Drive bientôt touchés par une hausse de prix

23 décembre 2025 à 08:44

En raison de la flambée des prix des mémoires NAND causée par le secteur de l'IA, les Studio Drive vont bientôt voir leurs tarifs augmenter. La boutique française Polysoft prévient sur son site qu’elle appliquera « la plus faible augmentation de prix possible (inférieure à 10 %) » quand elle rouvrira les commandes d’ici la fin décembre.

Tarifs actuels des Studio Drive

Les Studio Drive sont des SSD tiers qui permettent d’étendre la capacité de stockage d’un Mac Studio à un coût largement inférieur à ce que demande Apple. Par exemple, le Studio Drive M4 (pour Mac Studio M4) de 4 To est vendu 769 € et celui de 8 To 1 079 €, quand ces capacités sont facturées respectivement 1 500 € et 3 000 € sur l’Apple Store.

Les performances sont équivalentes à celles des barrettes Apple puisqu’il s’agit de la même mémoire flash et le fonctionnement est parfaitement transparent. Un second Mac est obligatoire pour effectuer le changement de SSD. Vous trouverez davantage de détails dans notre test de ce composant conçu par le spécialiste Gilles Aurejac :

Studio Drive : comment j’ai remplacé le SSD de mon Mac Studio au nez et à la barbe d’Apple

Studio Drive : comment j’ai remplacé le SSD de mon Mac Studio au nez et à la barbe d’Apple

Quel pourrait être l

Quel pourrait être l'impact de la RAMpocalypse sur Apple ?

AirPods Pro 3 : des clones d’embouts déjà en vente dans le commerce

23 décembre 2025 à 08:35

Cela n’a pas traîné. On trouve d’ores et déjà des clones d’embouts pour AirPods Pro 3 sur Amazon. C’est d’ailleurs l’un des points sur lesquels on manque encore de recul : leur durée de vie.

Quoi qu’il en soit, vous avez le choix. Apple facture 10 € le pack de 2 jeux d’embouts. Il vous faut choisir votre taille : S, M ou L. Au même prix, la concurrence propose un package de 5 tailles, allant du XXS au L, incluant un kit de nettoyage, le tout dans un étui portable.

Un autre fabricant propose un jeu de 4 embouts pour 12 €. Là aussi, ce pack est livré avec un kit de nettoyage. La seule différence tient au fait que vous pouvez choisir précisément votre taille d’embouts.

On rappellera que ces embouts sont uniquement compatibles avec les AirPods Pro 3. Un bon maintien dans les oreilles est plus que jamais indispensable, non seulement pour l’écoute de la musique, mais aussi pour une mesure précise de la fréquence cardiaque.

Bon plan : les quatre traceurs Ugreen Localiser rechargeables en USB-C à 26 €, le prix le plus bas

23 décembre 2025 à 08:14

Pour le prix d’un seul AirTag, vous pouvez avoir quatre traceurs Bluetooth qui s’intègrent également à l’application Localiser d’Apple. Le lot de quatre balises Ugreen FineTrack est en effet en promotion à 25,79 € sur Amazon pour une durée limitée. C’est le prix le plus bas à ce jour. Le lot est généralement vendu autour de 30 €.

Ces trackers ressemblent beaucoup à un autre modèle de Ugreen que nous avons testé récemment, mais il y a une différence significative : pas de pile ici, c’est une batterie qui alimente le petit carré. Le fabricant promet une autonomie d’un an et la recharge s’effectue via un simple câble USB-C. Un petit câble USB-A vers USB-C est d’ailleurs fourni.

Chaque traceur dispose d’une encoche pour porte-clés et d’une alarme sonore de 80 dB. Ils permettent donc de retrouver des objets depuis l’application Localiser disponible sur iPhone, iPad ou encore Mac. Face aux AirTags, il leur manque juste la localisation précise (pour être guidé exactement vers eux quand on se trouve à proximité), qui est une exclusivité d’Apple. Pour retrouver une valise ou une voiture, par exemple, cette absence n’a toutefois rien de réellement pénalisant.

Les balises compatibles avec le réseau Localiser d’Apple permettent véritablement de réduire le nombre de bagages définitivement perdus quand les compagnies aériennes en tirent parti.

Dans les aéroports, les AirTags font chuter drastiquement le nombre de bagages définitivement perdus

Dans les aéroports, les AirTags font chuter drastiquement le nombre de bagages définitivement perdus

Le guide 2025 des accessoires Localiser : les meilleurs traqueurs pour tout retrouver

Le guide 2025 des accessoires Localiser : les meilleurs traqueurs pour tout retrouver

Donnez une note à iOS 26

23 décembre 2025 à 08:11

C’est l’heure des bilans. Comme chaque année, on vous propose de donner une note à iOS 26.

Les versions d’iOS se suivent et, souvent, se ressemblent. Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, iOS 26 restera dans les annales pour au moins deux raisons : sa toute nouvelle interface Liquid Glass et sa numérotation, qui marque une vraie césure avec iOS 17, son prédécesseur.

Les nouveautés d’iOS 26 et iPadOS 26 à ne pas rater

Les nouveautés d’iOS 26 et iPadOS 26 à ne pas rater

Tout comme le flat design en son temps, Liquid Glass n’a pas que des fans. Difficile de comparer des époques et des sensibilités, mais il semble que la nouvelle expression graphique d’Apple ait été globalement mieux acceptée. Il faut dire qu’Apple n’a cessé de jouer avec les curseurs au fil des bêtas et des mises à jour pour trouver un compromis plus digeste. Autre différence avec l’époque du flat design : cette fois, les développeurs ne se sont pas rués pour adapter leurs apps. Et Apple, sur le sujet, est loin d’être irréprochable.

Image : Apple

iOS 26, ce n’est pas que Liquid Glass. Apple a entièrement revu son application Téléphone, qui protège mieux des appels indésirables. Les applications de base, comme Messages, Rappels, Photos ou encore Musique, ont elles aussi reçu leur lot de nouveautés. Enfin, iOS 26 accueille de nouvelles apps, à commencer par Jeux et Aperçu.

Alors, la question est simple : êtes-vous satisfait d’iOS 26 ? Quelle note lui donnez-vous ?

Prévoyez un peu plus de 15 000 € pour avoir tout Spotify en local

23 décembre 2025 à 07:41

Spotify a donc fait l’objet d’un piratage massif. Passons sur le fond de l’affaire, pourtant fort intéressant : les responsables de cette attaque affirment avoir voulu créer la première « archive de préservation » musicale au monde, entièrement ouverte. Le discours est peut-être hypocrite, mais il faut reconnaitre que c’est un vrai souci…

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

On a tous connu cette frustration : un morceau que l'on écoute en boucle depuis des mois devient soudainement inaccessible pour de sombres raisons de droits ou de renégociations de contrats. Dans le cloud, nous ne sommes que locataires, et le propriétaire peut changer la serrure sans prévenir.

300 To de musique dans la nature

À peu de chose près, les catalogues des services de streaming sont aujourd'hui comparables. Spotify, c’est donc quelque 86 millions de morceaux qui pèsent environ 300 To de stockage. À force d’être habitués à pouvoir tout streamer depuis le fin fond de la pampa avec une simple connexion 5G, on finit par perdre certains ordres de grandeur.

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

Alors, 300 To, c’est évidemment énorme comparé aux malheureux 256 Go d’un iPhone 17. Mais ce qui est amusant, c’est de se dire qu’un collectionneur un peu « frappadingue » pourrait très bien héberger chez lui toute la musique du monde, à condition d’avoir un budget stockage un peu plus conséquent que la moyenne.

Un NAS de compétition sous le sapin

Pour stocker une telle bibliothèque, la solution la plus sage est de se tourner vers un NAS 16 baies. Dans ce segment, les prix oscillent généralement entre 3 000 et 6 000 € pour le boîtier nu. On lorgnera du côté des Synology RS2825RP ou RS4021xs, ou encore du QNAP TS-1673AU-RP. Quoi qu’il en soit, prévoyez une pièce isolée : l'ensemble est particulièrement bruyant en pleine charge.

Le Synology RackStation RS2825RP

Avec 16 disques de 24 To, ce système afficherait une capacité brute de 384 To. C'est largement suffisant pour notre cahier des charges, tout en permettant une configuration en RAID 6 pour limiter les risques de perte de données si un (ou deux) disque(s) venait à rendre l'âme.

La facture grimpe vite

Le gros du budget, ce sont évidemment les disques. Et la poussée inflationniste provoquée par le boom de l’IA n’arrange rien aux affaires des particuliers. Pour remplir la bête, il faut compter 16 unités de 24 To. En choisissant des Seagate Exos X24, vendus environ 700 € pièce, on arrive à un total de 11 200 €, rien que pour le stockage.

À cela, il faut ajouter quelques barrettes de RAM supplémentaires pour le NAS, une armoire serveur pour ranger tout cela et un onduleur sérieux pour protéger l'investissement, soit environ 1 300 € de plus.

Bref, en se débrouillant bien, il faut prévoir un budget minimal de 15 500 €. N'est-ce pas un beau cadeau de Noël à faire à un audiophile radical ? Reste une dernière inconnue, et non des moindres : trouver un logiciel capable de gérer une base de données de 86 millions de morceaux sans tousser. À ce petit jeu, on ne donnerait pas cher de la peau d’iTunes !

DMA : les AirPods vont perdre un peu de leur magie avec iOS 26.3

23 décembre 2025 à 06:53

Sous la pression de Bruxelles, iOS 26.3 marquera une étape symbolique forte en Europe. La firme de Cupertino va devoir partager ses technologies de proximité, permettant aux constructeurs tiers d'offrir une expérience de connexion aussi fluide que celle des AirPods.

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

Sous la houlette du Digital Markets Act (DMA), la sortie d’iOS 26.3 apportera trois changements majeurs sur le Vieux Continent. Apple facilitera le transfert de données depuis ou vers Android, tandis que le système offrira une meilleure prise en charge des notifications vers d'autres montres que l’Apple Watch. Mais le changement peut-être le plus visible au quotidien concerne l’appairage simplifié : jusqu'ici jalousement réservé aux produits « maison », il s'ouvre enfin à la concurrence.

Image : Sophia Stark / Unsplash

Le « pop-up » magique pour tout le monde

Le DMA impose à Apple de fournir aux accessoires tiers les mêmes capacités et le même accès aux fonctionnalités système que ses propres produits. Avec iOS 26.3, les fabricants de wearables opérant dans l'UE peuvent désormais tester l'appairage de proximité.

Concrètement, des écouteurs de marques tierces pourront s'appairer à un iPhone ou un iPad à la manière des AirPods : il suffira d'approcher l'accessoire de l'appareil pour voir surgir la célèbre carte d'appairage en bas de l'écran. Finies les fouilles archéologiques dans les méandres des réglages Bluetooth ; un simple tap suffira.

Une mise en œuvre qui reste à confirmer

Pour que la magie opère, les fabricants de casques et d’écouteurs devront sans doute faire évoluer le firmware de leurs appareils pour prendre en charge cette fonctionnalité. Il sera intéressant de voir si les constructeurs se jetteront sur cette opportunité ou s’ils jugeront l'investissement superflu compte tenu de la contrainte géographique (l'UE uniquement).

Pour l’heure, la théorie se heurte encore à la pratique : nous avons tenté d’utiliser cette fonction avec des écouteurs Shokz sur un iPhone équipé de la bêta d’iOS 26.3, sans succès pour le moment. Rappelons que cette version est attendue pour fin janvier.

Reçu hier — 22 décembre 2025 MacG.co

Apple encore condamnée à une amende en Europe pour son dispositif d’encadrement du pistage sur iOS

22 décembre 2025 à 22:34

L’autorité italienne de la concurrence (AGCM) a annoncé, ce lundi 22 décembre, avoir infligé une amende de 98,6 millions d’euros à Apple. En cause : la mise en œuvre de la fonctionnalité App Tracking Transparency (ATT), jugée contraire aux règles de concurrence.

Selon l’AGCM, l’entreprise abuse de sa position dominante dans la distribution des applications iOS en imposant une mesure jugée « disproportionnée ». Introduit non sans polémique dans iOS 14.5, l’encadrement du pistage oblige les développeurs à demander explicitement aux utilisateurs l’autorisation de suivre leur activité entre différentes applications s’ils veulent personnaliser les pubs.

« Or, ces demandes ne répondent pas aux exigences de la législation sur la protection de la vie privée, obligeant les développeurs à doubler la demande de consentement pour le même objectif », observe l’autorité italienne. Dans les faits, il n’est en effet pas rare de voir apparaître deux sollicitations distinctes : la fenêtre ATT intégrée à iOS ainsi qu’un panneau de gestion des cookies (CMP) similaire à ceux utilisés sur le web.

Deux demandes de consentement consécutives : la CMP suivie de l’ATT. Image iGeneration.

« Par conséquent, cette double exigence de consentement est préjudiciable aux développeurs, dont le modèle économique repose sur la vente d'espaces publicitaires, ainsi qu'aux annonceurs et aux plateformes d'intermédiation publicitaire », conclut l’AGCM, qui a mené cette enquête conjointement avec la Commission européenne.

« L’autorité italienne de la concurrence adopte ses décisions de manière indépendante. Sa décision ne s’applique qu’à l’Italie et non aux autres États membres ou à l’UE dans son ensemble », a tenu à préciser un porte-parole de la Commission à Euractiv, alors que le torchon brûle depuis des années entre Apple et Bruxelles.

La Pomme va faire appel de la décision. « Nous sommes fermement en désaccord avec la décision de l’ICA [l’autorité italienne de la concurrence], qui fait abstraction des importantes protections de la vie privée qu’offre l’ATT au profit des entreprises de l’ad-tech et des courtiers en données qui souhaitent un accès sans entrave aux données personnelles des utilisateurs », a déclaré un porte-parole.

Apple a déjà été condamnée en France à une amende de 150 millions d’euros en mars pour des motifs similaires. Bien qu’elle ait fait appel, cette décision l’a contrainte à afficher un message d’information sur la page d’accueil de son site. N’ayant pas modifié son mécanisme, les acteurs de la publicité en ligne ont de nouveau saisi la justice début décembre, demandant au juge des référés de suspendre le dispositif sous peine de fortes astreintes. Le verdict est attendu pour la fin du mois de janvier, selon mind Media.

En Allemagne aussi l’App Tracking Transparency est dans le viseur. L’autorité locale de la concurrence a fait part de préoccupations comparables dans ses conclusions préliminaires. Face à ces multiples ennuis judiciaires en Europe, Apple avait menacé, en octobre dernier, de retirer purement et simplement cette fonctionnalité.

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Bouygues Telecom « étudie » la prise en charge de l’Apple Watch

22 décembre 2025 à 21:01

Depuis que Free a adopté l’Apple Watch, une question se pose : et Bouygues Telecom alors ? Des quatre opérateurs français, il n’y a plus que lui qui boude la montre d’Apple. Nous avons donc interrogé le dernier réticent sur une éventuelle compatibilité avec l’Apple Watch cellulaire. Réponse de l’opérateur : « Bouygues Telecom étudie actuellement la possibilité de pouvoir proposer la eSim (sic) à ses abonnés détenteurs d’une Apple Watch. »

Image whity (CC BY)

Il y a deux lectures possibles. Le verre à moitié plein, c’est qu’il ne s’agit plus d’un refus catégorique, comme Bouygues Telecom en opposait encore par le passé — en 2018, ça remonte tout de même. La porte est donc ouverte à l’arrivée d’un forfait dédié.

Le verre à moitié vide, c’est que la réponse ne déborde pas d’enthousiasme et qu’aucun calendrier n’est avancé. Certes, Bouygues Telecom n’a pas pour habitude de faire des annonces spontanées à la manière de Xavier Niel, mais un signal un peu plus clair ne ferait pas de mal vu la situation.

Orange a été le premier opérateur à gérer les Apple Watch cellulaires, et ce dès 2017, année de lancement de la Series 3, qui a inauguré ce type de connexion. SFR lui a emboîté le pas deux ans plus tard. Free Mobile s’y est mis pas plus tard que la semaine dernière, avec un argument important pour se faire pardonner : l’eSIM est proposée sans surcoût avec tous ses forfaits 5G, quand les autres la font payer 5 €/mois, sauf à posséder un forfait mobile très cher.

Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G

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Concernant Free, Xavier Niel avait expliqué l’année dernière qu’il n’y avait pas (ou plus) d’obstacle technologique. Le dernier point de blocage concernait alors les négociations avec Apple, qui impose à ses partenaires de distribuer la montre dans l’ensemble de leurs points de vente.

Du côté de Bouygues Telecom, on ignore où en est cette « étude » autour de la prise en charge de l’Apple Watch. Mais huit ans après le lancement de la montre dans sa version cellulaire, ceux qui l’étudient doivent être de véritables experts.

L'émulateur de Wii U, Cemu, passe à Metal et double ses performances sur Mac

22 décembre 2025 à 18:50

La Wii U est un des plus gros échecs de Nintendo (si on oublie le Virtual Boy), mais il existe des émulateurs pour la console, comme Cemu. Et la prochaine version (la 2.7) devrait amener un bon gain de performances sous macOS, pour une raison simple : l'émulateur va passer à Metal.

La Wii U. Takimata, CC BY-SA 3.0

Si la Wii U est mal-aimée, les émulateurs ont eu un petit succès lors de la sortie de Nintendo Switch, notamment : comme Mario Kart 8 et The Legend of Zelda: Breath of the Wild sont sortis sur Wii U, les deux titres phares du lancement de la Switch étaient déjà jouables dans un émulateur à la sortie. Depuis, Cemu continue à évoluer.

The Legend of Zelda: Breath of the Wild dans l'émulateur.

Metal va remplacer Vulkan

Cemu repose sur deux API graphiques à l'origine : OpenGL (qu'Apple a abandonné) et Vulkan, le successeur d'OpenGL qu'Apple n'a jamais pris en charge. Sur les Mac, Cemu repose donc soit sur une vieille API qui n'évolue plus, soit sur MoltenVK. C'est une solution open source qui permet de convertir les appels à Vulkan en appels à Metal, l'API d'Apple. Les programmes pensés pour Vulkan peuvent donc fonctionner sous macOS, mais avec une perte de performances et de fonctions. Dans le cas de Cemu, SamoZ256 travaille depuis un moment sur l'ajout de Metal à l'émulateur et son code a été validé récemment pour être intégré dans la prochaine version de Cemu, la 2.7.

Mario Kart 8 dans l'émulateur.

Le passage à Metal — qui devrait être couplé à une version native pour les puces Apple Silicon — permet des gains assez importants. Dans les exemples donnés, Metal permet de multiplier les performances par deux dans certains cas. The Legend of Zelda: Breath of the Wild s'approche des 60 images/s sur un simple MacBook Air M4 selon des retours, et Mario Kart 8 peut fonctionner en 2K (dans la définition native de l'écran du Mac) à 60 images/s. Il reste une interrogation : cette prise en charge de Metal pourrait-elle permettre de proposer un portage pour les iPad ou les iPhone ?

IKEA : Matter n’est pas encore prêt pour la télécommande à molette BILRESA

22 décembre 2025 à 17:26

Les nouveaux produits domotique d’IKEA commencent à arriver dans les magasins, en amont de la commercialisation officielle prévue dans quelques jours, si bien que de plus en plus de clients les découvrent et commencent à jouer avec. Au passage, si vous vous posiez la question, le service presse du fabricant est censé nous envoyer la nouvelle gamme d’accessoires, mais nous n’avons rien reçu à ce jour. D’ici là, les retours de lecteurs permettent d’en apprendre plus sur les nouveaux produits. En l’occurrence, c’est Quentin qui évoque sur le Discord du Club iGen son achat des deux télécommandes BILRESA et surtout de celle à molette.

IKEA a commercialisé deux nouvelles télécommandes Matter, mais une seule est pleinement compatible avec le standard. Image iGeneration, merci Quentin.

Vendu à 10 €, cet accessoire peut à la fois allumer ou éteindre un appareil avec un clic et surtout ajuster la luminosité d’un éclairage ou encore la couleur d’une ampoule grâce à sa molette. C’est une capacité très intéressante dans la domotique et cela devrait parfaitement fonctionner au sein de l’écosystème domotique d’IKEA. On peut l’associer à n’importe quelle ampoule de la marque, y compris des anciens modèles grâce à la double compatibilité Thread et Zigbee que nous avions évoquée dans un précédent article.

Les nouveaux accessoires connectés d’IKEA peuvent combiner Thread et Zigbee

Les nouveaux accessoires connectés d’IKEA peuvent combiner Thread et Zigbee

C’est en sortant de cet écosystème maison et en voulant utiliser la télécommande via Matter que la situation se complique. Quentin a essayé de relier la télécommande BILRESA à l’app d’Apple et si la connexion initiale se fait bien, il s’est retrouvé avec pas moins de neuf boutons à configurer. Chaque bouton est associé aux deux ou trois actions habituelles de Maison, à savoir un clic, un double-clic et un clic prolongé, ce qui n’a aucun sens dans ce contexte. Seul le clic sur toute la molette, prévu par IKEA pour allumer ou éteindre un appareil, fonctionne en réalité et la roue est inutilisable en l’état.

La télécommande à molette d’IKEA une fois ajoutée à l’app Maison : inutilisable. Image iGeneration, merci Quentin.

Comme le rappelle le site spécialisé Matter Alpha, la situation est similaire dans Home Assistant, qui est pourtant à la pointe dans le domaine. Et pour cause : pour une fois, ce n’est pas de la faute des apps de domotique tierces, c’est bien le standard qui est à la traîne. Matter ne sait pas encore gérer les molettes comme celle d’IKEA, et tant qu’il n’aura pas été mis à jour, cet accessoire ne pourra pas réellement servir hors de l’écosystème de son fabricant.

Au mieux, Matter gère depuis la version 1.2 les commutateurs rotatifs à crans, des interrupteurs qui tournent sur des positions prédéfinies. La documentation officielle illustre cette possibilité avec un commutateur à huit positions et c’est probablement cette option qu’a retenu IKEA pour son produit. Il n’y a, a priori, pas de limite au nombre de crans, alors on pourrait imaginer une molette gérée beaucoup plus finement, sans régler pour autant le problème. Ce n’est pas en multipliant les boutons que Matter apportera une vraie solution, le standard doit évoluer pour gérer le concept même de roue capable d’ajuster une valeur arbitraire, comme la luminosité d’une ampoule.

Matter peut gérer les molettes, mais uniquement avec des crans fixes, huit positions sur cet exemple. Image CSA.

Une future version du standard pourrait ainsi définir une roue comme un contrôle que l’on peut associer à d’autres appareils ou à une scène. On pourrait imaginer sous le capot que la molette transmette une valeur numérique entre 0 et 1 et que la domotique fasse le lien avec la valeur numérique d’un autre appareil. La luminosité d’un éclairage peut se régler entre 0 et 100, tandis que la température des blancs peut évoluer entre 2200 et 6500K pour donner deux exemples et on peut aisément créer une correspondance entre la position d’une molette et cette autre valeur. C’est probablement d’ailleurs ce que fait IKEA dans sa propre app, mais cela ne fonctionnera qu’avec ses appareils.

Pour l’heure, mieux vaut oublier la télécommande à molette BILRESA si vous n’êtes pas entièrement équipé en produits IKEA. Si elle est techniquement compatible avec Matter, elle n’est pas vraiment utile dans ce cadre et tant que le standard n’évolue pas. Terminons en notant qu’il y a tout de même une exception : si vous utilisez Home Assistant, il existe des solutions pour exploiter la roue en dépit des limites du standard. Vous trouverez un modèle d’automatisation sur les forums officiels, tandis que le travail continue en arrière-plan pour améliorer la précision et réduire la latence.

Comment Amazon a repéré un prestataire nord-coréen à cause de sa latence de clavier

22 décembre 2025 à 17:09

De nombreux imposteurs essaient de se faire recruter chez Amazon, et notamment des personnes liées à la Corée du Nord. Un drôle de phénomène que relaye Bloomberg, qui a pu assister à un événement lié à la sécurité dans les bureaux new-yorkais d’Amazon. L’entreprise y a notamment expliqué avoir repéré un travailleur nord-coréen opérant frauduleusement, trahi par sa latence de frappe de clavier.

Image John Pavelka/MacGeneration

En pratique, les données saisies sur un ordinateur portable d'un employé situé aux États-Unis ne devraient mettre que quelques dizaines de millisecondes pour arriver aux systèmes d'Amazon à Seattle. Or, Amazon a remarqué que l’un d’entre eux mettait plus de 110 millisecondes. Après enquête, il s’est avéré que les manipulations sur la machine étaient effectuées de l’autre côté du globe.

L’ordinateur qu’Amazon a envoyé à son prestataire était contrôlé à distance, et l’entreprise a remonté la piste du trafic jusqu'en Chine. La personne derrière l’écran n’avait pas accès à des données sensibles, Amazon a donc observé, confirmé, puis coupé l’accès en quelques jours. Ce n’est pas la première affaire du genre : une résidente de l’Arizona a été condamnée au mois de juillet 2025 pour avoir fait office d’intermédiaire avec les nord-coréens dans un montage similaire.

Amazon a recensé plusieurs indices qui permettent de repérer les imposteurs, se faisant recruter sous de fausses identités ou via des intermédiaires occidentaux. Les CV arborent des parcours dans les mêmes écoles et entreprises, souvent situées à l’étranger et difficilement vérifiables. Certaines tournures de phrases et la mauvaise utilisation de certains articles anglais (« a », « an », « the ») permettent également de les débusquer.

À quoi servent toutes ces manœuvres ? L’idée est de faire entrer de l’argent en devises américaines dans un pays qui en est presque totalement privé. La Corée du Nord étant sous sanctions internationales sévères, elle n’a pas accès aux systèmes financiers classiques. Ces salaires occidentaux sont en grande partie récupérés par l’État nord-coréen et contribuent au financement du régime, y compris de ses programmes militaires et nucléaires.

Les tentatives d’infiltration des nord-coréens seraient de plus en plus nombreuses. Le personnel d'Amazon affirme avoir détecté et déjoué plus de 1 800 tentatives d'embauche par des Nord-Coréens depuis avril 2024. Le nombre de ces tentatives aurait augmenté en moyenne de 27 % d'un trimestre à l'autre cette année.

Amazon prête James Bond à Netflix : un accord surprenant entre deux rivaux du streaming

22 décembre 2025 à 16:04

Ça pour une surprise, c’est une surprise : une sélection de films James Bond (propriété de la MGM, et donc d’Amazon) va être diffusée sur Netflix à partir du 15 janvier prochain. Le contrat concerne des films comme Meurs un autre jour, Skyfall, Mourir peut attendre, Quantum of Solace ainsi que d’autres productions.

Daniel Craig dans Mourir peut attendre. Image Amazon/MGM.

La série d’Amazon ‌The Man in the High Castle est aussi concernée, tout comme les films Rocky ou Creed. Cet accord entre les deux rivaux a de quoi surprendre, et il semble qu’Amazon a calculé que les revenus générés par ces titres valaient la peine de donner un coup de pouce à l'un de ses concurrents.

Comme le rappelle Deadline, ce type d’accord n’est pas une première. Hunters, une série de David Weil avec Al Pacino, a été diffusée pendant deux saisons sur Prime avant d’arriver chez Netflix au début du mois. En 2023, Warner Bros Discovery avait ainsi vendu sous licence plusieurs séries HBO emblématiques comme Band of Brothers ou Six Feet Under à Netflix, illustrant une stratégie de monétisation de catalogue devenue courante dans l’industrie du streaming.

Netflix achète les studios, films et séries de Warner Bros. et HBO pour 82,7 milliards de dollars

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Interrogé sur l’accord, Amazon a expliqué que son objectif était de continuer à concéder sous licence le catalogue de la Metro-Goldwyn-Mayer, qu’elle a acheté en 2021. « James Bond reste l'une des franchises les plus durables et les plus influentes de l'histoire du cinéma. Aux côtés d'autres titres très appréciés de notre catalogue, tels que Hunters, entre autres séries, cet accord reflète l'engouement mondial constant pour les récits de qualité et la solide relation de travail que nous avons établie avec Netflix ».

Cet accord illustre une tendance dans l’industrie du streaming : face à la multiplication des plateformes et à la hausse des coûts de production, les géants du secteur n’hésitent plus à partager leurs catalogues pour maximiser la rentabilité de leurs contenus. Apple aurait envisagé une telle stratégie pour ses films originaux, mais la rumeur ne s’est pas concrétisée. Cependant, elle propose depuis peu certaines productions Apple TV en achat direct ou à la location.

Bouygues prévient que son offre Pure Fibre augmentera de 1 € à partir du 5 janvier

22 décembre 2025 à 15:20

Si vous comptiez souscrire à l’offre Pure Fibre de B&You, ne tardez pas trop. Bouygues prévient en effet sur son site qu’il s’agit des « derniers jours à ce prix », c’est-à-dire 23,99 € par mois. Sur une autre page de son site, on apprend que le changement aura lieu le 5 janvier 2026, soit dans deux semaines, et que le prix augmentera alors d’un euro par mois, soit 24,99 €. Cela restera un bon prix pour cette formule destinée aux amateurs de fibre optique qui ne veulent pas de télévision ou téléphone en plus de leur connexion à internet, mais autant profiter de l’offre au tarif actuel.

Image Bouygues/MacGeneration.

Pour rappel, l’abonnement Pure Fibre repose sur une Bbox de dernière génération, équipée notamment d’une puce Wi-Fi 7, qui offre accès à la fibre optique jusqu’à 8 Gbit/s en téléchargement et 1 Gbit/s en envoi de données. Si le débit réel dépendra de votre adresse, vous aurez toujours une connexion très rapide et surtout, vous n’aurez que cela. Pas de box pour la télévision, pas de ligne téléphonique, juste la fibre optique pour un petit prix : 23,99 € par mois sans engagement.

Du moins, c’était le prix depuis le lancement de l’offre il y a un petit peu plus d’un an. Bouygues a décidé de l’augmenter pour les nouveaux clients, en passant la formule à 24,99 € chaque mois. C’est le seul changement annoncé pour le 5 janvier, même s’il faudra regarder les conditions d’utilisation de près le jour dit, pour vérifier si d’autres modifications ont été apportées au contrat. Les clients actuels devraient rester à l’ancien tarif jusqu’à nouvel ordre, c’est aussi un point à surveiller et Bouygues pourrait augmenter tous ses clients à terme.

On sera également curieux de voir comment les concurrents réagiront. Bouygues Telecom avait frappé un grand coup avec son offre Pure Fibre et forcé ses homologues à répondre avec de meilleures offres centrées sur la fibre optique. Free avait été contraint de répondre avec l’abonnement Freebox Pop S créé de toute pièce et même finalement de s’aligner sur les conditions, passant de 24,99 à 23,99 € par mois au printemps dernier. La hausse de son concurrent va-t-elle lui permettre de remonter son propre forfait ?

La Freebox Pop S passe à 24 €/mois et gardera ce prix pendant 5 ans

La Freebox Pop S passe à 24 €/mois et gardera ce prix pendant 5 ans

Kindle, enceintes Echo : de nombreux produits Amazon en promo livrés avant Noël

22 décembre 2025 à 15:06

Besoin d’un cadeau de dernières minutes ? Amazon affiche aujourd’hui quelques promos sur certains de ses produits, qui peuvent être livrés avant Noël. La dernière génération de Kindle tombe par exemple à 99 € au lieu de 110 €, soit 11 € de gagnés. Le lot avec un étui et un bloc de charge est affiché à 139,47 €, soit 16 % de moins qu’en temps normal.

Enceinte Echo Spot et tablette Kindle. Image Amazon

La déclinaison Colorsoft à écran couleur est aussi en promo : Amazon la facture 195 € au lieu de 270 € en temps normal, soit 28 % d’économies. Il est également possible de l’acheter avec un étui en tissu et un adaptateur pour 231,27 €, contre 332 € habituellement. On notera enfin une bonne remise sur la Kindle Scribe, affichée à 100 € de moins et tombant ainsi à seulement 330 €.

Test du Kindle Colorsoft Signature Edition : lire jaune

Test du Kindle Colorsoft Signature Edition : lire jaune

Test du Amazon Kindle Scribe 2024 : pour bien lire, il faut bien écrire

Test du Amazon Kindle Scribe 2024 : pour bien lire, il faut bien écrire

Si vos proches ne sont pas de grands lecteurs, peut-être sera-t-il plus judicieux de leur offrir une enceinte. Amazon affiche de bonnes remises sur ses Echo, comme le petit Echo Spot vendu à moitié prix pour seulement 50 € au lieu de 100 €. Le modèle Echo Dot Max est de son côté à 88 € au lieu de 110 €, ce qui en fait une bonne offre.

Les enceintes sont proposées dans différents coloris, et il y a aussi des ristournes sur les Echo Show à écran, comme le modèle 11" ou 8". En plus de pouvoir sonoriser une pièce via différents services (dont Apple Music), ces accessoires embarquent également Alexa qui sera pratique pour certaines actions comme lancer un réveil ou un minuteur.

Test de l

Test de l'Echo Spot (modèle 2024), le radio-réveil connecté d'Amazon

Sur un autre registre, les sticks Fire TV sont également moins cher qu’en temps normal et peuvent être livrés dès demain. Le modèle HD revient à 26,99 € (-40 %), tandis que la déclinaison 4K n’est qu’à 3 € de plus, soit 57 % de moins. Un tel accessoire permet de transformer n’importe quel écran ou un vieux téléviseur en modèle connecté, donnant ainsi accès aux différentes plateformes de streaming.

Cyberattaque : les sites et apps de la Poste et de la Banque Postale inaccessibles

22 décembre 2025 à 16:13

Mise à jour à 16h10

La panne est en réalité bien plus grande qu’évoqué au départ : ce sont tous les services en ligne de la Poste qui sont touchés, y compris ceux qui concernent la livraison de colis. L’entreprise l’a indiqué à France Info tout en précisant que « la distribution des colis et des courriers à domicile est perturbée mais assurée à ce stade ainsi que leur retrait en bureau de poste ». Voilà qui tombe mal, alors que le nombre de colis est particulièrement élevé en ce moment, juste avant les fêtes de fin d’année.

Plus gênant, l’entreprise a indiqué à nos confrères n’avoir aucune « visibilité sur le retour à la normale ». On imagine qu’en plus d’avoir beaucoup de colis à gérer, La Poste doit aussi composer avec des effectifs réduits dans ses équipes, fêtes obligent. Il faudra donc faire preuve de patience…


Article original

Si vous n’arrivez pas à accéder à l’espace client de votre compte à la Banque Postale, ce n’est pas un défaut de votre côté. La banque a confirmé sur X le problème, survenu « tôt ce matin » et qui n’est toujours pas résolu à l’heure où j’écris ces lignes. La Poste a ajouté à nos confrères de BFM TV que cette panne résultait d’une cyberattaque de type DDoS, c’est-à-dire l’envoi d’une multitude de requêtes jusqu’à saturer les serveurs et potentiellement faire tomber des services en ligne, comme c’est manifestement le cas ici.

Image MacGeneration, photos de base Arjan Richter (CC BY 2.0) et Markus Spiske sur Unsplash.

La Banque Postale se veut rassurante en soulignant que les paiements en ligne restent possibles, à condition toutefois de valider les opérations avec un SMS au lieu de la confirmation normalement affichée dans son app. Les paiements par carte bancaire et les virements par le biais de Wero restent aussi accessibles, tandis que les virements programmés ne seront pas affectés. C’est vraiment l’espace client qui est inaccessible et avec lui, l’app mobile associée au compte.

Pour l’heure, la banque adossée à La Poste se contente d’annoncer tout faire pour un retour à la normale aussi rapide que possible, sans s’avancer sur une date ou un horaire. L’entreprise a quand même tenu à préciser auprès de BFM TV que la cyberattaque n’avait pas touché les données des clients, ce qui est rassurant. Notons que cet incident a lieu moins de 48 heures après le précédent. On ne sait pas s’il s’agit à chaque fois d’une attaque du même type, mais les résultats sont similaires.

Image MacGeneration.

Le groupe BPCE aussi bloqué, sans lien avec La Banque Postale

La Banque Postale n’est pas le seul établissement bancaire à souffrir de problèmes en ce 22 décembre 2025, c’est aussi le cas depuis ce matin pour les banques du groupe BPCE. Les clients de la Banque Populaire et ceux de la Caisse d’Épargne ont eux aussi pu rencontrer des difficultés pour se connecter à leur compte. Pas d’attaque ici a priori, il ne s’agirait que d’un « dysfonctionnement temporaire d'un de ses fournisseurs » d’après BFM TV.

Corrigé depuis 8h30 pour les apps mobiles du groupe, le dysfonctionnement en question peut toujours empêcher l’accès aux sites ou certaines fonctionnalités, comme le Sécur’Pass qui sert notamment à valider les opérations.

macOS 26.2 corrige le bug de connexion iCloud dans les machines virtuelles

22 décembre 2025 à 13:01

Ouf ! La dernière mise à jour de macOS répare le bug d’iCloud dans les machines virtuelles. macOS Tahoe 26.1 empêchait la connexion à un compte Apple et l’usage des services iCloud en VM, mais comme le note Apple2CH, la version 26.2 a corrigé le tir.

Le numéro de série n’apparaissait pas sur macOS 26.1. Image The Eclectic Light.

Le numéro de série des machines virtuelles était vide sur la précédente version du système, rendant impossible l’utilisation d’un compte Apple ou des services iCloud. Le problème était connu d’Apple et documenté dans les notes de mises à jour de macOS 26.1. Le système restait utilisable dans une machine virtuelle avec la possibilité d’aller sur internet, mais pas de se connecter à iCloud. L’absence de numéro de série pouvait aussi perturber certains logiciels dont l’activation ou la licence s’appuie sur cet identifiant.

macOS 26.1 casse iCloud dans les machines virtuelles macOS

macOS 26.1 casse iCloud dans les machines virtuelles macOS

La correction a d’abord été confirmée sur les forums Apple Developer : un ingénieur de l’assistance technique d’Apple indiquait que le bug était bien lié au problème référencé dans les notes de macOS 26.1, et que la situation était corrigée dans macOS 26.2 (à l’époque, en Release Candidate). La mention a ensuite été ajoutée aux notes de version de macOS 26.2.

Avec macOS 26.2 Tahoe, les machines virtuelles peuvent à nouveau se connecter à iCloud et profiter du partage via iCloud Drive. C’est aussi un correctif important pour les workflows de développement en VM, notamment quand une connexion à un compte Apple est nécessaire (installation de Xcode, signature, etc.).

Mis à part cela, macOS 26.2 ajoute un anneau lumineux permettant d’améliorer les vidéoconférences. Le système a également été optimisé pour les tâches d’intelligence artificielle pour les puces M5, et corrige un problème de performances avec les apps Electron. N'hésitez pas à relire notre article sur les différentes nouveautés.

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