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Nerd Ninjas, le studio indépendant derrière Pokémon GO et Battle Train, a dévoilé un nouveau jeu VR coopératif intitulé Rogue Piñatas: VRmageddon.
Ce titre promet un cocktail explosif de chaos et de bonbons. Il transportera les joueurs dans un univers apocalyptique festif où ils doivent survivre en brisant des piñatas vivantes. Ce jeu sera disponible sur casques Quest 2, Quest 3, Quest Pro et SteamVR.
Dans Rogue Piñatas, les joueurs peuvent participer en solo ou en équipe jusqu’à quatre personnes. Chaque partie se déroule dans un univers délirant, rempli d’ennemis sous forme de piñatas. Le jeu propose plus de six personnages au choix, chacun avec des compétences uniques et des armes spécifiques. Les joueurs devront affronter 18 types d’ennemis et terminer chaque niveau en battant un des six boss piñata redoutables.
Chaque piñata détruite libère des bonbons. Les joueurs peuvent les collecter et les dépenser pour améliorer leurs compétences ou acheter parmi 12 armes disponibles. Cette mécanique encourage les joueurs à collaborer et à planifier leurs choix stratégiquement pour progresser dans les niveaux et surmonter des défis croissants.
Nerd Ninjas a publié une démo gratuite sur les casques Meta Quest et SteamVR pour permettre aux joueurs de découvrir l’expérience avant le lancement officiel. Cette initiative vise à attirer les amateurs de jeux VR et roguelites en leur offrant un avant-goût du chaos joyeux de Rogue Piñatas: VRmageddon.
Le studio a également annoncé le lancement d’une campagne Kickstarter le 22 octobre. Cette campagne permettra non seulement de financer le développement, mais donnera aussi aux contributeurs l’opportunité de devenir bêta-testeurs. Les joueurs pourront ainsi participer aux décisions de conception et influencer le développement final du jeu.
Le cofondateur et PDG de Nerd Ninjas, Nate Chatellier, n’en est pas à son coup d’essai. Il a déjà réussi à mener huit campagnes Kickstarter, dont les populaires jeux de société X-Men Dice Throne et Marvel Dice Throne. Cette expérience garantit une campagne bien organisée et un suivi rigoureux du projet.
Bien que la date de sortie de Rogue Piñatas ne soit pas encore connue, le jeu suscite déjà beaucoup d’intérêt. Avec un univers festif, des ennemis loufoques et une coopération immersive, ce roguelite VR pourrait devenir un incontournable.
Cet article Cassez des piñatas et récoltez des bonbons : Rogue Piñatas arrive sur Quest et PC a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.
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La digitalisation a révolutionné notre manière de gérer l’argent, et les plateformes de finance numérique y jouent un rôle central. En intégrant des technologies de pointe, elles transforment non seulement notre quotidien, mais aussi l’ensemble de l’écosystème financier. Elles façonnent indubitablement un nouvel horizon économique.
Les plateformes de finance numérique redéfinissent les services financiers traditionnels, en fournissant des solutions rapides et accessibles. Elles permettent, par exemple, d’envoyer de l’argent instantanément, d’investir en ligne, et même d’emprunter, le tout via des interfaces intuitives. De plus, grâce à des outils comme l’intelligence artificielle et le big data, les utilisateurs peuvent désormais optimiser la gestion de leurs finances.
Quant aux fintechs, elles se concentrent sur des segments de marché spécifiques et offrent des alternatives innovantes aux institutions financières classiques. La digitalisation permet également à une population plus large d’accéder aux services financiers, ce qui stimule l’inclusion économique.
L’un des atouts majeurs de ces sites réside dans leur disponibilité 24h/24, ce qui élimine les contraintes de temps et de lieu. Par ailleurs, contrairement aux banques traditionnelles, ils assurent une transparence accrue grâce à la technologie blockchain. Cette dernière enregistre chaque transaction de manière sécurisée et immuable. Elle renforce ainsi la confiance des utilisateurs.
Le financement participatif, ou crowdfunding, est une facette importante de la finance numérique. Ces plateformes permettent aux créateurs de projet et entrepreneurs de collecter des fonds directement auprès du public, sans passer par les banques. Cette méthode de financement démocratise l’accès au capital et permet de tester la viabilité des projets avant leur lancement. Pour les petites entreprises, cela signifie moins de bureaucratie et une opportunité de se créer une base de soutiens engagés dès les premières étapes.
La blockchain, pilier des plateformes de finance numérique, a également permis l’émergence de la finance décentralisée. Ce système, basé sur des protocoles ouverts, permet de réaliser des transactions sans intermédiaire. Il favorise la réduction des coûts et l’amélioration de la sécurité.
Avec des outils comme les contrats intelligents, la DeFi automatise les processus financiers, ce qui élimine le risque d’erreur humaine. Les utilisateurs peuvent prêter, emprunter, et échanger des actifs directement via la blockchain. Cela ouvre de nouvelles perspectives, notamment pour ceux n’ayant pas accès aux services bancaires traditionnels. En même temps, cela rend la finance plus accessible et inclusive.
Si vous suivez de près les innovations dans la finance numérique, vous remarquerez qu’il est crucial de suivre le cours du BTC EUR. Cela permet de comprendre les tendances actuelles. Cette surveillance aide à prendre des décisions éclairées, mais aussi à anticiper les mouvements du marché.
L’expansion rapide de ces sites pose de nouveaux défis pour les régulateurs. Effectivement, assurer un cadre réglementaire adapté est crucial pour protéger les utilisateurs et maintenir la stabilité financière. Des initiatives, telles que les « bacs à sable » réglementaires, permettent aux entreprises de tester leurs services dans un environnement contrôlé. Cela aide à identifier les risques potentiels et à ajuster les régulations de manière proactive. De cette manière, les régulateurs contribuent à un écosystème flexible qui encourage l’innovation tout en garantissant la sécurité.
Néanmoins, force est de constater que l’avenir de la finance numérique s’annonce prometteur. C’est en partie grâce à des avancées technologiques telles que l’intelligence artificielle. Celle-ci améliore notamment la personnalisation des services et la gestion des risques. De plus, la 5G et l’élargissement de l’accès à internet permettent à davantage de personnes de profiter des services financiers numériques. C’est notamment le cas dans les régions en développement. Cette expansion ne facilite pas seulement la gestion de l’argent, elle contribue aussi à réduire les inégalités économiques.
Cet article Les plateformes de finance numérique : Une passerelle vers les mondes virtuels a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.
La recharge de l'iPad mini 7 serait toujours limitée à une puissance de 20 W, a pu déterminer le site 91mobiles grâce à des enregistrements légaux d'Apple en Chine. La recharge de l'iPad mini 7 ne devrait donc pas être plus rapide que le modèle précédent, avec environ deux heures pour...
© MENAHEM KAHANA / AFP
Les premières observations du télescope spatial Euclid donnent satisfaction aux scientifiques, qui peuvent déjà voyager dans une petite partie de l’univers et zoomer jusqu’à 600 fois dans certaines zones. Le travail continu pour la mission, qui doit durer six ans et couvrir plus d’un tiers du ciel.
Euclid est une mission de l’Agence spatiale européenne (ESA) lancée en juillet 2023, direction le point de Lagrange L2. Le but de sa mission : étudier la matière et l’énergie noires. Les observations scientifiques de routine ont débuté le 14 février 2024, mais le télescope a connu quelques déboires avec de glace sur ses miroirs.
L’ESA annonce que le télescope vient d’écrire « la première page » de son grand atlas cosmique avec « le premier morceau de sa grande carte de l’Univers, qui montre des millions d’étoiles et de galaxies ». Il prend la forme d’une carte de 208 gigapixels basée sur 260 observations réalisées entre le 25 mars et le 8 avril de cette année. La carte existe, mais elle n’est malheureusement pas publique, impossible donc de s’y balader pour le moment.
« En seulement deux semaines, Euclid a couvert avec une précision parfaite 132 degrés carrés du ciel austral, soit plus de 500 fois la superficie de la pleine lune ». Cela ne représente cela dit qu’un seul pourcent de la surface du ciel qu’Euclid doit analyser pendant six ans. À la fin de sa mission, Euclid devrait en effet avoir cartographié « plus d’un tiers du ciel ».
L’ensemble du ciel est une sphère de 41 000 degrés carrés environ, soit environ 13 600 degrés carrés pour en avoir un tiers. « Un degré carré permet de mesurer une partie de la sphère de la même façon qu’un degré permet de mesurer une partie d’un cercle », explique Wikipédia. On parle de degré carré et on écrit tout simplement deg², comme on utilise cm², de km², etc.
Jusqu’à présent (de février à octobre), Euclid a effectué 12 % des relevés qu’elle doit réaliser. « D’autres données seront révélées en mars 2025 avec la publication de 50 degrés carrés de l’étude Euclid comprenant un aperçu des zones du champ profond Euclid. La première année de données cosmologiques de la mission sera communiquée en 2026 », précise le CEA.
Le télescope se concentre principalement sur les parties du ciel en dehors de la Voie lactée pour éviter d’être « pollué » par les étoiles de notre galaxie, qui font bien trop de lumière pour espérer chasser des indices permettant de remonter à la matière et a l’énergie noire.
Avec seulement 1,2 m de diamètre, le miroir principal d’Euclid pourrait sembler modeste face aux 2,4 m de Hubble et 6,5 m de Webb), mais « cet observatoire qui travaille à 1,5 million de kilomètres de nous au point de Lagrange Terre-Soleil L2 a déjà démontré sa capacité à produire de très belles images », explique la Cité des sciences. Il a des caméras en lumière visible et infrarouge proche.
Une image valant mille mots, voici des présentations faites par le CEA (ci-dessus) et la Cité des sciences (ci-dessous). Elles illustrent la profondeur des images et la capacité de zoom (600x) proposée par les relevés. On se rend également bien compte de la toute petite partie du ciel pour le moment cartographiée (la zone jaune sur la première image).
L’ambition de l’ESA est grande : il s’agit de créer « la plus grande carte cosmique en 3D jamais réalisée » avec les formes, distances et mouvements de milliards de galaxies, dont certaines sont situées jusqu’à 10 milliards d’années-lumière. Pour rappel, cela signifie que la lumière met 10 milliards d’années à rejoindre la Terre et que nous les observons donc telles qu’elles étaient il y a 10 milliards d’années.
Dans le premier morceau de ciel observé se trouvent environ 100 millions de sources, c’est-à-dire des étoiles et des galaxies dans l’Univers. Dans le lot, « 14 millions de galaxies pourraient être utilisées pour étudier l’influence cachée de la matière noire et de l’énergie noire sur l’Univers », ce qui est la mission première d’Euclid.
Les scientifiques estiment que la matière noire et de l’énergie noire « représentent tout de même 95 % du bilan énergétique de l’univers, le 5 % restant étant celui de la matière « ordinaire » (les atomes qui nous constituent, ceux des planètes, des étoiles, etc.) ».
Vous avez peut-être remarqué des régions vides dans la mosaïque d’Euclid. Elles « ont été intentionnellement évitées pendant l’étude en raison de la présence d’étoiles très brillantes qui auraient « aveuglé » les instruments sensibles d’Euclid », explique le CNES.
Du côté de Corsair, la marque annonce de nouveaux ventilateurs avec ses iCUE Link RX Max. Ces nouveaux moulins profitent du système iCUE Link tout en affichant des dimensions similaires aux RS 120 Max que nous testions ici. iCUE Link RX Max : de nouveaux ventilateurs en 30 mm d’épaisseur chez Corsair ! Avec cette […]
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