Depuis la sortie de Clair Obscur: Expedition 33 le 24 avril, nombreux sont ceux qui sont tombés sous le charme de son approche poétique, de ses combats tactiques et de son univers stylisé. Si vous faites partie de ceux qui ont été conquis par cette pépite du RPG français, ce top est fait pour vous : voici dix jeux, classiques, sous-estimés ou résolument modernes, qui prolongeront votre expérience entre aventures épiques, stratégies au tour par tour et émotions fortes. De quoi continuer à vibrer après l’expédition inoubliable proposée par Sandfall Interactive.

Ce top met à l’honneur des RPG qui, chacun à leur manière, ont su marquer le genre par leur univers fort, leur narration soignée et surtout leur attachement au système de combat au tour par tour — une mécanique trop souvent reléguée au second plan ces dernières années. Que ce soit à travers des récits introspectifs, des fresques politiques ou des quêtes épiques, tous ces jeux partagent une volonté de faire rimer stratégie et émotion, offrant des expériences mémorables où chaque tour compte, autant sur le champ de bataille que dans le cœur des joueurs.

C’est précisément ce qu’a voulu raviver Clair Obscur: Expedition 33, un RPG narratif, ambitieux, mêlant esthétique unique, univers onirique et combats au tour par tour modernisés. Ce top agit comme un hommage aux titres qui ont bâti les fondations de ce style de jeu exigeant et élégant, et une parfaite mise en condition pour les aventuriers en manque de réflexions tactiques.

10. The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel IV

Éditeur : Nihon Falcom (JP), NIS America (WW)

Développeur : Nihon Falcom

Date de sortie : 27 septembre 2018 (Japon), 27 octobre 2020 (France)

Console(s) : PS4, Switch, PC

Synopsis : Le monde d’Erebonia est au bord de la guerre totale, tandis que Rean Schwarzer, le héros de la série, a perdu le contrôle de ses pouvoirs et disparu. Ses anciens élèves de la Nouvelle Classe VII doivent s’allier avec des visages familiers venus d’autres arcs de la saga Trails pour faire face à un empire en pleine conquête, à des menaces surnaturelles et à des conspirations millénaires. Conclusion épique d’une saga tentaculaire, Trails of Cold Steel IV lie les fils narratifs de plus de dix jeux dans un final chargé en émotions, en enjeux colossaux et en fan-service méticuleusement construit.

9. Suikoden V

Éditeur : Konami

Développeur : Konami

Date de sortie : 23 février 2006 (Japon), 22 septembre 2006 (France)

Console(s) : PlayStation 2

Synopsis : Le jeune prince de Falena, un royaume dirigé par une reine, se retrouve au cœur d’une lutte de pouvoir sanglante entre familles nobles, ordres religieux et militaires. Lorsque la trahison frappe les siens, il est forcé de fuir et de rassembler les 108 Étoiles du Destin, des individus aux talents variés, pour mener une rébellion et sauver le pays de la tyrannie. À travers cette aventure politique et humaine, Suikoden V tisse une fresque complexe sur la loyauté, le pouvoir et l’héritage, tout en offrant l’une des histoires les plus riches de la série.

8. Sol Trigger

Éditeur : Imageepoch

Développeur : Imageepoch

Date de sortie : 4 octobre 2012 (Japon Uniquement)

Console(s) : PlayStation Portable

Synopsis : Dans une société dystopique où une organisation religieuse totalitaire contrôle le peuple grâce à une énergie divine appelée Sol, un groupe de rebelles se lève pour libérer l’humanité. Le joueur suit le destin de Farel et des membres du Sol Trigger, chacun prêt à sacrifier son propre Sol pour sauver les autres. Le jeu explore les dilemmes moraux liés au sacrifice personnel et à la foi, dans un monde où l’espoir est une denrée rare. Sol Trigger, dernier grand RPG original de la PSP, combine émotion, action et philosophie dans une atmosphère tragique et intense.

7. Resonance of Fate

Éditeur : Sega

Développeur : tri-Ace

Date de sortie : 28 janvier 2010 (Japon), 26 mars 2010 (France)

Console(s) : PlayStation 3, Xbox 360, PC

Synopsis : Dans un futur ravagé par la pollution, l’humanité survit dans une immense tour mécanique appelée Basel, gérée par une entité centrale qui régule l’environnement. Trois marginaux – Vashyron, Leanne et Zephyr – forment un groupe de mercenaires accomplissant des missions à travers les niveaux de la cité. En apparence anodines, ces missions les amènent peu à peu à découvrir les rouages cachés du système et les secrets de leur propre passé. Avec son gameplay tactique unique basé sur les armes à feu et son ambiance steampunk désenchantée, Resonance of Fate propose une narration cryptique et une réflexion sur le libre arbitre dans une société automatisée.

6. The Last Remnant

Éditeur : Square Enix

Développeur : Square Enix

Date de sortie : 20 novembre 2008 (Japon/France)

Console(s) : Xbox 360, PC, PS4, Switch

Synopsis : Dans un monde en guerre, dominé par des artefacts anciens aux pouvoirs titanesques appelés Rémanents, Rush Sykes part à la recherche de sa sœur kidnappée. Ce qui commence comme une mission personnelle l’entraîne au cœur d’un conflit entre nations, où chaque faction tente d’utiliser les Rémanents pour asseoir son pouvoir. Entre batailles militaires à grande échelle, trahisons politiques et révélations sur la véritable nature de ces artefacts, Rush se retrouve impliqué dans le destin même du monde. The Last Remnant allie stratégie, mysticisme et tensions impériales dans une aventure teintée de mystère.

5. The Legend of Dragoon

Éditeur : Sony Computer Entertainment

Développeur : SCE Japan Studio

Date de sortie : 2 décembre 1999 (Japon), 19 janvier 2001 (France)

Console(s) : PlayStation, PS3/PSP/PS Vita (PSN), PS4/PS5 (émulation)

Synopsis : Quand Dart revient dans son village natal et le trouve détruit par un mystérieux Monstre Noir, il entame un voyage de vengeance et de découverte. Il apprend bientôt qu’il est destiné à hériter du pouvoir antique des Dragoons, des guerriers capables d’unir leur force à celle des dragons. Enrôlé dans une guerre menaçant le continent de Endiness, Dart et ses alliés dévoilent un complot ancien impliquant des royaumes disparus, des dieux déchus et une prophétie oubliée. The Legend of Dragoon offre une épopée classique et héroïque, sublimée par un système de combat unique et une mythologie dense.

4. Shin Megami Tensei V

Éditeur : Atlus

Développeur : Atlus

Date de sortie : 11 novembre 2021 (Japon), 12 novembre 2021 (France)

Console(s) : Nintendo Switch

Synopsis : Dans un Tokyo contemporain, un étudiant est happé dans une faille dimensionnelle et se retrouve à Da’at, une version désolée et déformée de la ville, peuplée de démons. Fusionné avec une entité mystérieuse pour survivre, il devient un être hybride : le Nahobino. Pris entre les guerres d’anges, de démons et d’entités anciennes cherchant à recréer le monde selon leur volonté, il doit forger sa propre voie au milieu d’un chaos théologique et existentiel. Shin Megami Tensei V interroge la notion de pouvoir divin, de libre arbitre et de réforme sociétale dans une ambiance apocalyptique où chaque choix façonne la destinée de l’humanité.

3. Persona 3

Éditeur : Atlus

Développeur : Atlus

Date de sortie : 13 juillet 2006 (Japon), 29 février (France)

Console(s) : PlayStation 2, PSP, PS4, Switch, PC, Xbox (remake Persona 3 Reload en 2024)

Synopsis : Dans une ville japonaise moderne, un lycéen découvre une mystérieuse 25ème heure nommée la Dark Hour, durant laquelle la plupart des gens sont transformés en cercueils et des créatures cauchemardesques, les Ombres, rôdent librement. En rejoignant le groupe SEES, il développe le pouvoir d’invoquer des Personas, manifestations de la psyché, et se bat dans une tour surnaturelle appelée Tartarus. À travers une double vie entre combat et vie scolaire, il devra affronter des vérités existentielles sur la mort, la solitude et l’acceptation du temps qui passe. Persona 3 mêle introspection philosophique, esthétique urbaine et tensions émotionnelles dans une atmosphère profondément marquante.

2. Final Fantasy X

Éditeur : Square Enix

Développeur : Square Enix

Date de sortie : 19 juillet 2001 (Japon), 17 mai 2002 (France)

Console(s) : PlayStation 2, remaster sur PS3, PS4, PS Vita, Switch, PC, Xbox One

Synopsis : Tidus, un jeune sportif propulsé dans un monde inconnu appelé Spira après l’apparition d’une entité colossale nommée Sin, se retrouve mêlé à une quête religieuse aux côtés de l’invokeuse Yuna. Ensemble, ils parcourent un monde ravagé par la peur, dans le but d’accomplir un pèlerinage pour invoquer l’entité sacrée capable de vaincre temporairement Sin. Mais, derrière ce cycle de destruction se cache une vérité bien plus sombre. Porté par des personnages profonds et un univers imprégné de spiritualité et de fatalisme, Final Fantasy X explore l’espoir, le sacrifice et la lutte contre un destin apparemment immuable.

1. Lost Odyssey

Éditeur : Microsoft Game Studios

Développeur : Mistwalker / Feelplus

Date de sortie : 6 décembre 2007 (Japon), 29 février 2008 (France)

Console(s) : Xbox 360

Synopsis : Dans un monde où la magie est intégrée à la technologie, Kaim Argonar, un guerrier immortel vivant depuis plus de mille ans, erre sans mémoire de son passé. Alors qu’un cataclysme se prépare, il est contraint de renouer avec ses souvenirs à travers des Rêves, des récits poignants retraçant ses expériences humaines, ses pertes et ses regrets. Accompagné de compagnons mortels et immortels, il affronte une conspiration liée à l’usage abusif de la magie industrielle, tout en cherchant un sens à son existence éternelle. Lost Odyssey explore avec intensité les thèmes de la mémoire, de la souffrance, de la perte et de l’amour à travers un récit mature et mélancolique.

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Depuis la sortie de Clair Obscur: Expedition 33 le 24 avril, nombreux sont ceux qui sont tombés sous le charme de son approche poétique, de ses combats tactiques et de son univers stylisé. Si vous faites partie de ceux qui ont été conquis par cette pépite du RPG français, ce top est fait pour vous : voici dix jeux, classiques, sous-estimés ou résolument modernes, qui prolongeront votre expérience entre aventures épiques, stratégies au tour par tour et émotions fortes. De quoi continuer à vibrer après l’expédition inoubliable proposée par Sandfall Interactive.

Ce top met à l’honneur des RPG qui, chacun à leur manière, ont su marquer le genre par leur univers fort, leur narration soignée et surtout leur attachement au système de combat au tour par tour — une mécanique trop souvent reléguée au second plan ces dernières années. Que ce soit à travers des récits introspectifs, des fresques politiques ou des quêtes épiques, tous ces jeux partagent une volonté de faire rimer stratégie et émotion, offrant des expériences mémorables où chaque tour compte, autant sur le champ de bataille que dans le cœur des joueurs.

C’est précisément ce qu’a voulu raviver Clair Obscur: Expedition 33, un RPG narratif, ambitieux, mêlant esthétique unique, univers onirique et combats au tour par tour modernisés. Ce top agit comme un hommage aux titres qui ont bâti les fondations de ce style de jeu exigeant et élégant, et une parfaite mise en condition pour les aventuriers en manque de réflexions tactiques.

10. The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel IV

Éditeur : Nihon Falcom (JP), NIS America (WW)

Développeur : Nihon Falcom

Date de sortie : 27 septembre 2018 (Japon), 27 octobre 2020 (France)

Console(s) : PS4, Switch, PC

Synopsis : Le monde d’Erebonia est au bord de la guerre totale, tandis que Rean Schwarzer, le héros de la série, a perdu le contrôle de ses pouvoirs et disparu. Ses anciens élèves de la Nouvelle Classe VII doivent s’allier avec des visages familiers venus d’autres arcs de la saga Trails pour faire face à un empire en pleine conquête, à des menaces surnaturelles et à des conspirations millénaires. Conclusion épique d’une saga tentaculaire, Trails of Cold Steel IV lie les fils narratifs de plus de dix jeux dans un final chargé en émotions, en enjeux colossaux et en fan-service méticuleusement construit.

9. Suikoden V

Éditeur : Konami

Développeur : Konami

Date de sortie : 23 février 2006 (Japon), 22 septembre 2006 (France)

Console(s) : PlayStation 2

Synopsis : Le jeune prince de Falena, un royaume dirigé par une reine, se retrouve au cœur d’une lutte de pouvoir sanglante entre familles nobles, ordres religieux et militaires. Lorsque la trahison frappe les siens, il est forcé de fuir et de rassembler les 108 Étoiles du Destin, des individus aux talents variés, pour mener une rébellion et sauver le pays de la tyrannie. À travers cette aventure politique et humaine, Suikoden V tisse une fresque complexe sur la loyauté, le pouvoir et l’héritage, tout en offrant l’une des histoires les plus riches de la série.

8. Sol Trigger

Éditeur : Imageepoch

Développeur : Imageepoch

Date de sortie : 4 octobre 2012 (Japon Uniquement)

Console(s) : PlayStation Portable

Synopsis : Dans une société dystopique où une organisation religieuse totalitaire contrôle le peuple grâce à une énergie divine appelée Sol, un groupe de rebelles se lève pour libérer l’humanité. Le joueur suit le destin de Farel et des membres du Sol Trigger, chacun prêt à sacrifier son propre Sol pour sauver les autres. Le jeu explore les dilemmes moraux liés au sacrifice personnel et à la foi, dans un monde où l’espoir est une denrée rare. Sol Trigger, dernier grand RPG original de la PSP, combine émotion, action et philosophie dans une atmosphère tragique et intense.

7. Resonance of Fate

Éditeur : Sega

Développeur : tri-Ace

Date de sortie : 28 janvier 2010 (Japon), 26 mars 2010 (France)

Console(s) : PlayStation 3, Xbox 360, PC

Synopsis : Dans un futur ravagé par la pollution, l’humanité survit dans une immense tour mécanique appelée Basel, gérée par une entité centrale qui régule l’environnement. Trois marginaux – Vashyron, Leanne et Zephyr – forment un groupe de mercenaires accomplissant des missions à travers les niveaux de la cité. En apparence anodines, ces missions les amènent peu à peu à découvrir les rouages cachés du système et les secrets de leur propre passé. Avec son gameplay tactique unique basé sur les armes à feu et son ambiance steampunk désenchantée, Resonance of Fate propose une narration cryptique et une réflexion sur le libre arbitre dans une société automatisée.

6. The Last Remnant

Éditeur : Square Enix

Développeur : Square Enix

Date de sortie : 20 novembre 2008 (Japon/France)

Console(s) : Xbox 360, PC, PS4, Switch

Synopsis : Dans un monde en guerre, dominé par des artefacts anciens aux pouvoirs titanesques appelés Rémanents, Rush Sykes part à la recherche de sa sœur kidnappée. Ce qui commence comme une mission personnelle l’entraîne au cœur d’un conflit entre nations, où chaque faction tente d’utiliser les Rémanents pour asseoir son pouvoir. Entre batailles militaires à grande échelle, trahisons politiques et révélations sur la véritable nature de ces artefacts, Rush se retrouve impliqué dans le destin même du monde. The Last Remnant allie stratégie, mysticisme et tensions impériales dans une aventure teintée de mystère.

5. The Legend of Dragoon

Éditeur : Sony Computer Entertainment

Développeur : SCE Japan Studio

Date de sortie : 2 décembre 1999 (Japon), 19 janvier 2001 (France)

Console(s) : PlayStation, PS3/PSP/PS Vita (PSN), PS4/PS5 (émulation)

Synopsis : Quand Dart revient dans son village natal et le trouve détruit par un mystérieux Monstre Noir, il entame un voyage de vengeance et de découverte. Il apprend bientôt qu’il est destiné à hériter du pouvoir antique des Dragoons, des guerriers capables d’unir leur force à celle des dragons. Enrôlé dans une guerre menaçant le continent de Endiness, Dart et ses alliés dévoilent un complot ancien impliquant des royaumes disparus, des dieux déchus et une prophétie oubliée. The Legend of Dragoon offre une épopée classique et héroïque, sublimée par un système de combat unique et une mythologie dense.

4. Shin Megami Tensei V

Éditeur : Atlus

Développeur : Atlus

Date de sortie : 11 novembre 2021 (Japon), 12 novembre 2021 (France)

Console(s) : Nintendo Switch

Synopsis : Dans un Tokyo contemporain, un étudiant est happé dans une faille dimensionnelle et se retrouve à Da’at, une version désolée et déformée de la ville, peuplée de démons. Fusionné avec une entité mystérieuse pour survivre, il devient un être hybride : le Nahobino. Pris entre les guerres d’anges, de démons et d’entités anciennes cherchant à recréer le monde selon leur volonté, il doit forger sa propre voie au milieu d’un chaos théologique et existentiel. Shin Megami Tensei V interroge la notion de pouvoir divin, de libre arbitre et de réforme sociétale dans une ambiance apocalyptique où chaque choix façonne la destinée de l’humanité.

3. Persona 3

Éditeur : Atlus

Développeur : Atlus

Date de sortie : 13 juillet 2006 (Japon), 29 février (France)

Console(s) : PlayStation 2, PSP, PS4, Switch, PC, Xbox (remake Persona 3 Reload en 2024)

Synopsis : Dans une ville japonaise moderne, un lycéen découvre une mystérieuse 25ème heure nommée la Dark Hour, durant laquelle la plupart des gens sont transformés en cercueils et des créatures cauchemardesques, les Ombres, rôdent librement. En rejoignant le groupe SEES, il développe le pouvoir d’invoquer des Personas, manifestations de la psyché, et se bat dans une tour surnaturelle appelée Tartarus. À travers une double vie entre combat et vie scolaire, il devra affronter des vérités existentielles sur la mort, la solitude et l’acceptation du temps qui passe. Persona 3 mêle introspection philosophique, esthétique urbaine et tensions émotionnelles dans une atmosphère profondément marquante.

2. Final Fantasy X

Éditeur : Square Enix

Développeur : Square Enix

Date de sortie : 19 juillet 2001 (Japon), 17 mai 2002 (France)

Console(s) : PlayStation 2, remaster sur PS3, PS4, PS Vita, Switch, PC, Xbox One

Synopsis : Tidus, un jeune sportif propulsé dans un monde inconnu appelé Spira après l’apparition d’une entité colossale nommée Sin, se retrouve mêlé à une quête religieuse aux côtés de l’invokeuse Yuna. Ensemble, ils parcourent un monde ravagé par la peur, dans le but d’accomplir un pèlerinage pour invoquer l’entité sacrée capable de vaincre temporairement Sin. Mais, derrière ce cycle de destruction se cache une vérité bien plus sombre. Porté par des personnages profonds et un univers imprégné de spiritualité et de fatalisme, Final Fantasy X explore l’espoir, le sacrifice et la lutte contre un destin apparemment immuable.

1. Lost Odyssey

Éditeur : Microsoft Game Studios

Développeur : Mistwalker / Feelplus

Date de sortie : 6 décembre 2007 (Japon), 29 février 2008 (France)

Console(s) : Xbox 360

Synopsis : Dans un monde où la magie est intégrée à la technologie, Kaim Argonar, un guerrier immortel vivant depuis plus de mille ans, erre sans mémoire de son passé. Alors qu’un cataclysme se prépare, il est contraint de renouer avec ses souvenirs à travers des Rêves, des récits poignants retraçant ses expériences humaines, ses pertes et ses regrets. Accompagné de compagnons mortels et immortels, il affronte une conspiration liée à l’usage abusif de la magie industrielle, tout en cherchant un sens à son existence éternelle. Lost Odyssey explore avec intensité les thèmes de la mémoire, de la souffrance, de la perte et de l’amour à travers un récit mature et mélancolique.

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Le désert d’Arrakis s’apprête à s’ouvrir aux joueurs. Dune: Awakening, inspiré de l’univers de Frank Herbert et des adaptations cinématographiques de Denis Villeneuve, dévoile les contours de son monde ouvert de survie. Une bêta à grande échelle, du 9 au 12 mai, précédera la sortie officielle prévue le 10 juin.

Dune: Awakening plonge les joueurs dans un monde où les tempêtes de sable, les créatures gigantesques et les secrets enfouis forgent le monde hostile d’Arrakis. La dernière bande-annonce offre un aperçu de cette aventure épique, entre mysticisme et survie. La bêta qui se tiendra du 9 au 12 mai marquera un tournant, avec une ouverture au public bien plus large que lors des tests précédents. Les joueurs pourront découvrir près de 20 heures de contenu, correspondant à une grande partie du premier acte. Pour la première fois, aucune clause de confidentialité ne restreindra les participants, rendant le jeu librement partageable et diffusable.

Le 10 mai, la Global Dune: Awakening LAN Party réunira la communauté à Londres et à la PAX East, avec des invités internationaux et une compétition opposant plusieurs créateurs de contenu. Cet événement sera aussi l’occasion de recueillir les précieuses clés d’accès à la bêta, distribuées en direct aux spectateurs. Les plus impatients peuvent dès maintenant précommander le jeu sur Steam. En optant pour les éditions Deluxe ou Ultimate, ils bénéficieront de cinq jours d’accès anticipé et de bonus exclusifs pour personnaliser leur expérience sur Arrakis.

Dune: Awakening sera disponible le 10 juin prochain sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.

Cet article Vous pourrez jouer gratuitement aux 20 premières heures de Dune Awakening du 9 au 12 mars est apparu en premier sur JVFrance.

Le désert d’Arrakis s’apprête à s’ouvrir aux joueurs. Dune: Awakening, inspiré de l’univers de Frank Herbert et des adaptations cinématographiques de Denis Villeneuve, dévoile les contours de son monde ouvert de survie. Une bêta à grande échelle, du 9 au 12 mai, précédera la sortie officielle prévue le 10 juin.

Dune: Awakening plonge les joueurs dans un monde où les tempêtes de sable, les créatures gigantesques et les secrets enfouis forgent le monde hostile d’Arrakis. La dernière bande-annonce offre un aperçu de cette aventure épique, entre mysticisme et survie. La bêta qui se tiendra du 9 au 12 mai marquera un tournant, avec une ouverture au public bien plus large que lors des tests précédents. Les joueurs pourront découvrir près de 20 heures de contenu, correspondant à une grande partie du premier acte. Pour la première fois, aucune clause de confidentialité ne restreindra les participants, rendant le jeu librement partageable et diffusable.

Le 10 mai, la Global Dune: Awakening LAN Party réunira la communauté à Londres et à la PAX East, avec des invités internationaux et une compétition opposant plusieurs créateurs de contenu. Cet événement sera aussi l’occasion de recueillir les précieuses clés d’accès à la bêta, distribuées en direct aux spectateurs. Les plus impatients peuvent dès maintenant précommander le jeu sur Steam. En optant pour les éditions Deluxe ou Ultimate, ils bénéficieront de cinq jours d’accès anticipé et de bonus exclusifs pour personnaliser leur expérience sur Arrakis.

Dune: Awakening sera disponible le 10 juin prochain sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.

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Le très attendu reboot de Skate, développé par Full Circle, se précise. Prévu en accès anticipé pour 2025, le jeu promet une expérience en ligne immersive et évolutive, mais nécessitera obligatoirement une connexion Internet pour jouer.

Dans une série de billets baptisée The Grind, Full Circle détaille sa vision ambitieuse : faire de Skate un bac à sable en ligne, vivant et en perpétuelle évolution, construit avec le retour de la communauté. Le lancement en accès anticipé ne sera que le point de départ, avec des mises à jour régulières, de nouveaux contenus et des événements dynamiques qui viendront enrichir la ville fictive de San Vansterdam.

Le studio a confirmé à nouveau que Skate ne proposera pas de mode hors ligne. Cette décision est justifiée par la nature du jeu, pensé comme un monde partagé et actif.

Le jeu et la ville sont conçus pour être un univers de skateboard en ligne, vivant et en constante évolution.

Parmi les fonctionnalités confirmées : le cross-play sera de la partie, et les joueurs ayant participé aux phases de playtest récupéreront la monnaie virtuelle qu’ils y auront dépensée lors du lancement en accès anticipé.

Révélé en grande pompe en juin 2020, Skate avait suscité un engouement immédiat, battant les records d’engagement sur Twitter pour EA. Premier jeu du studio canadien Full Circle, mené par Daniel McCulloch (ancien cadre de Xbox Live), Skate entend redéfinir les jeux de glisse à l’ère du jeu-service.

Le jeu est attendu sur PC, Xbox Series X|S, Xbox One, PS5 et PS4.

Cet article Electronic Arts confirme l’absence d’un mode offline dans Skate, en vue de sa sortie en accès anticipé en 2025 est apparu en premier sur JVFrance.

Le très attendu reboot de Skate, développé par Full Circle, se précise. Prévu en accès anticipé pour 2025, le jeu promet une expérience en ligne immersive et évolutive, mais nécessitera obligatoirement une connexion Internet pour jouer.

Dans une série de billets baptisée The Grind, Full Circle détaille sa vision ambitieuse : faire de Skate un bac à sable en ligne, vivant et en perpétuelle évolution, construit avec le retour de la communauté. Le lancement en accès anticipé ne sera que le point de départ, avec des mises à jour régulières, de nouveaux contenus et des événements dynamiques qui viendront enrichir la ville fictive de San Vansterdam.

Le studio a confirmé à nouveau que Skate ne proposera pas de mode hors ligne. Cette décision est justifiée par la nature du jeu, pensé comme un monde partagé et actif.

Le jeu et la ville sont conçus pour être un univers de skateboard en ligne, vivant et en constante évolution.

Parmi les fonctionnalités confirmées : le cross-play sera de la partie, et les joueurs ayant participé aux phases de playtest récupéreront la monnaie virtuelle qu’ils y auront dépensée lors du lancement en accès anticipé.

Révélé en grande pompe en juin 2020, Skate avait suscité un engouement immédiat, battant les records d’engagement sur Twitter pour EA. Premier jeu du studio canadien Full Circle, mené par Daniel McCulloch (ancien cadre de Xbox Live), Skate entend redéfinir les jeux de glisse à l’ère du jeu-service.

Le jeu est attendu sur PC, Xbox Series X|S, Xbox One, PS5 et PS4.

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Un jeu Blade Runner en développement chez Supermassive Games, aurait été annulé dans le plus grand secret. Blade Runner: Time To Live, projet ambitieux mêlant aventure cinématographique et action, ne verra finalement jamais le jour à en croire les informations d’Insider Gaming.

Développé en toute discrétion depuis septembre 2024, Blade Runner: Time To Live devait être un jeu d’action-aventure à la troisième personne, centré sur un personnage unique évoluant dans l’univers sombre de Blade Runner. Prévu pour sortir en septembre 2027 sur PS5, Xbox Series X|S, PC, ainsi que sur les futures consoles de nouvelle génération, le jeu bénéficiait d’un budget de 45 millions de dollars, dont 9 millions réservés à la capture de performance et aux acteurs.

Le joueur aurait incarné So-Lange, un modèle Nexus-6 censé être obsolète mais toujours vivant en 2065. L’histoire, décrite comme poignante et immersive, promettait une plongée dans les bas-fonds de New Zurich jusqu’aux vestiges d’un monde oublié, avec pour mission de traquer un chef de réseau de réplicants avant d’être trahi et laissé pour mort. Les mécaniques de jeu prévues mêlaient infiltration, combat, exploration, investigation et interactions narratives fortes, avec des dialogues authentiques et percutants, selon les documents internes.

Le projet semblait prometteur, porté par l’équipe ayant travaillé sur Until Dawn ou encore The Quarry. Cependant, malgré un développement jugé « impressionnant » en interne, le jeu aurait été annulé fin 2024, principalement à cause d’Alcon Entertainment, détenteur des droits de Blade Runner. Les raisons exactes de cette décision restent floues, les sources ayant requis l’anonymat. Ni Supermassive Games ni Alcon n’ont officiellement commenté l’affaire.

Le dernier titre en date reste Blade Runner: Enhanced Edition, une remasterisation du jeu culte de 1997 développé par Westwood Studios. Sortie en 2022, cette version modernisée avait permis à une nouvelle génération de découvrir ce point‘n’click à l’ambiance unique, mais elle ne proposait aucun contenu inédit. Depuis plus de deux décennies, aucun nouveau jeu original Blade Runner n’a vu le jour.

Le jeu restera donc à jamais une vision inachevée d’un retour vidéoludique dans l’univers culte de Blade Runner.

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C’était dans les tuyaux depuis un moment, mais cette fois, c’est bien réel : The Elder Scrolls IV: Oblivion fait son grand retour. Ce 22 avril, Bethesda a levé le voile sur le très attendu remaster du RPG culte de 2006, entièrement reconstruit sous Unreal Engine 5. Et cerise sur le gâteau : le jeu est disponible dès aujourd’hui.

Oblivion, c’est ce jeu qui a marqué toute une génération de joueurs, en bien pour certains, notamment pour la claque visuelle de l’époque, et en moins positif pour d’autres en raison son scénario jugé soporifique. Aujourd’hui, Bethesda nous offre une seconde chance de vivre (ou revivre) cette aventure en Cyrodill avec un remaster développé par le studio Virtuos, qui tourne désormais sur Unreal Engine 5. Résultat : graphismes modernisés, système de progression retravaillé, dialogues réenregistrés et une toute nouvelle fonction de sprint – oui, enfin !

Le remaster inclut également les deux extensions, Knights of the Nine et Shivering Isles, pour une expérience complète dès la sortie… qui a lieu aujourd’hui même ! Proposé à 54,99 € ou inclus dans le Xbox Game Pass Ultimate, il est disponible sur Xbox Series X|S, PC mais aussi sur PS5 ! A savoir qu’une édition Deluxe sera également de la partie, avec quelques pièces d’équipements supplémentaires pour le prix de 64,99€. Vous pourrez aussi upgrader votre version Standard vers la Deluxe via une mise à niveau de 9,99€. Pour les fans de la première heure comme pour les curieux, c’est l’occasion rêvée de replonger dans l’un des univers les plus riches du RPG. Ci dessous, le listing des deux éditions :

Edition Standard

• Le jeu de base
• Extensions d’histoire Knights of the Nine et Shivering Isles
• Contenu téléchargeable supplémentaire : l’extension Fighter’s Stronghold, Spell Tome Treasures, Vile Lair, Mehrune’s Razor, The Thieves Den, Wizard’s Tower, OPrrery et Horse Pack Armor

Edition Deluxe

• Le jeu de base
• Extensions d’histoire Knights of the Nine et Shivering Isles
• Armures, Armes et Caparaçons d’Akatosh et Mehrunes Dagon Uniques
• Un artbook numérique et la bande-son (application)
• Contenu téléchargeable supplémentaire : l’extension Fighter’s Stronghold, Spell Tome Treasures, Vile Lair, Mehrune’s Razor, The Thieves Den, Wizard’s Tower, OPrrery et Horse Pack Armor

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Le retour d’une légende approche à grands pas. Plus de deux décennies après le dernier opus majeur, Fatal Fury: City of the Wolves marque le grand come-back d’une franchise emblématique du jeu de combat. Alors que la concurrence fait rage sur la scène du jeu de combat, SNK saura-t-il imposer la franchise Fatal Fury à nouveau dans l’arène ? En attendant sa sortie imminente, voici notre avis sur ce que le jeu a dans le ventre.

Test réalisé sur PC à l’aide d’une copie envoyée par l’éditeur.

Hey, come on, come on!

Franchise culte des années 90, Fatal Fury a été l’une des pierres angulaires de l’âge d’or du jeu de combat en arcade. Née sur Neo Geo, elle a introduit des personnages devenus iconiques comme Terry Bogard, Mai Shiranui ou Geese Howard, tout en posant les bases de ce qui deviendrait plus tard The King of Fighters. Le dernier opus majeur, Garou: Mark of the Wolves, sorti en 1999, avait laissé une empreinte durable grâce à sa réalisation soignée et son gameplay affûté. Depuis ? Silence radio pendant plus de 25 ans, malgré la popularité continue de certains personnages dans d’autres licences.

L’annonce de Fatal Fury: City of the Wolves en 2022, suivie d’un premier trailer en 2023, a donc été un petit événement pour les amateurs de versus fighting. Développé par SNK avec le moteur Unreal Engine (le même que The King of Fighters XV), ce nouvel opus reprend l’héritage direct de Garou, poursuivant les évènements instaurés deux décennies auparavant. Le style cel shading moderne confère au jeu une identité visuelle forte, entre respect du matériau d’origine et fraîcheur contemporaine. Le projet est né d’une volonté assumée de faire renaître la série avec ambition, en s’appuyant sur le savoir-faire accumulé par SNK depuis sa résurrection en 2016. Entre hommage nostalgique et nouvel élan, City of the Wolves veut redonner à Fatal Fury la place qu’elle mérite dans le paysage du jeu de combat actuel.

Sous la direction de Yasuyuki Oda, producteur emblématique ayant déjà orchestré la renaissance de The King of Fighters, le projet est porté par une véritable volonté de concilier tradition et modernité. Oda a plusieurs fois souligné l’importance de Fatal Fury: City of the Wolves pour SNK, le décrivant comme un « tournant majeur » pour l’éditeur. Parmi les nouveautés, on note l’introduction du système REV (Rev System), qui promet d’offrir plus de dynamisme et de créativité dans les combats, sans pour autant sacrifier la profondeur stratégique.

L’héritage fait sang neuf

Fatal Fury: City of the Wolves démarre avec un roster qui fait le pont entre les icônes de la série et de nouveaux visages. Du côté des vétérans, Terry Bogard, Rock Howard, Hotaru Futaba ou encore Tizoc répondent présents, tous retravaillés avec soin pour coller à la nouvelle direction artistique et aux mécaniques modernisées. Mais SNK ne se contente pas de recycler : de nouveaux personnages font leur entrée, comme Preecha, une combattante spécialisée en Muay ou encore Vox Reaper, un personnage à l’esthétique sombre et disciple spirituel de Grant, antagoniste majeur de Garou: Mark of the Wolves. Autre surprise, et pour le moins intriguant, Cristiano Ronaldo et le DJ Salvatore Ganacci sont tous deux présents comme personnages jouables ! Bien que la rumeur du footballeur portugais comme combattant avait été particulièrement insistante ces derniers mois, personnes n’y croyait vraiment, et pourtant !

Si la sélection de départ ravira de nombreux fans, quelques absences notables viennent ternir le tableau. La présence de ces deux invités empêche néanmoins Fatal Fury: City of the Wolves de réunir l’intégralité du casting de Garou: Mark of the Wolves. Les absents les plus remarqués sont Kim Jae Hoon, l’un des fils de Kim Kaphwan, ainsi que Freeman, personnage mystérieux au airs edgy et rappelant un certain Iori dans sa variation dite « Griffe ».

Le premier season pass, déjà annoncé, comprendra cinq personnages additionnels, dont certains visages familiers issus de l’univers Fatal Fury/KOF (Andy Bogard, Joe Higashi et Mr. Big), mais aussi des invités en la présence de Ken et Chun-Li de Street Fighter pour rendre la pareille à Capcom qui compte Terry et Mai dans son roster. SNK a précisé vouloir alimenter le jeu sur le long terme avec du contenu régulier, tout en écoutant les attentes de la communauté compétitive. Ce modèle en saison s’inscrit clairement dans une logique post-KOF XV, visant à garder le jeu vivant à travers des mises à jour d’équilibrages et des ajouts de contenu.

Ce REV bleu

Côté gameplay, City of the Wolves hérite de plusieurs mécaniques de Garou: Mark of the Wolves, notamment le S.P.G, grandement inspiré du TOP System, qui permet au joueur de choisir une zone dans sa barre de vie où il bénéficiera d’un boost temporaire en attaque et d’un accès à des coups spéciaux supplémentaires, notamment la possibilité d’effectuer un Rev Blow et un Hidden Gear si les ressources le permettent. Ce système stratégique, qui pousse à prendre des risques calculés, est de retour dans une version modernisée, plus lisible et intégrée au rythme actuel du versus fighting.

La grande nouveauté vient du REV System, un ensemble de mécaniques unifiant les options offensives et défensives autour d’une jauge centrale. Il regroupe plusieurs mécaniques — Rev Blow, Rev Guard, Rev Arts — toutes liées à une jauge unique, le REV Meter. Ce dernier se remplit à chaque action spéciale ou défensive et, une fois surchargé, entre en surchauffe, limitant drastiquement les possibilités du joueur… et ouvrant une fenêtre dangereuse pour l’adversaire.

C’est là que le bât blesse. Si l’idée de punir un joueur trop gourmand ou trop défensif peut sembler juste, la gestion actuelle du REV Meter pose question. En effet, il suffit que l’adversaire enchaîne les pressions sur garde pour faire monter la jauge de l’autre joueur, le poussant malgré lui vers la surchauffe — sans même avoir abusé de ses propres options. Une fois en surchauffe, non seulement les Rev Arts deviennent inaccessibles, mais la barre de garde devient vulnérable, exposant le joueur à un guard crush brutal. L’intention est claire : favoriser l’agressivité, maintenir la tension… mais le sentiment de contrôle en prend un coup.

Ce déséquilibre se double d’un buffer d’input assez raide, qui ne pardonne pas les approximations, même pour des links simples. Cela accentue la sensation de rigidité dans un jeu qui se veut pourtant nerveux. À vouloir s’inspirer du Drive System de Street Fighter 6 — avec son propre système de gestion de ressources et de surchauffe — SNK semble avoir cherché à éviter le plagiat direct, quitte à introduire des mécaniques qui manquent encore de finesse dans leur implémentation. Le résultat est un gameplay au potentiel indéniable, mais dont les fondations doivent encore être affinées pour que le système REV tienne ses promesses sans frustrer.

Au-delà du REV System et de la gestion perfectible de ses ressources, Fatal Fury: City of the Wolves souffre également de choix de design qui complexifient inutilement l’expérience, notamment autour des systèmes de Brake et de Feint. Ces mécaniques, héritées de Garou: Mark of the Wolves, sont censées permettre aux joueurs avancés d’interrompre certaines attaques ou d’exécuter de fausses animations pour piéger l’adversaire. Sur le principe, elles enrichissent le gameplay en ajoutant une couche de mind game. Mais dans les faits, leurs manipulations sont tout sauf intuitives.

Les commandes de Brake et de Feint reposent sur des combinaisons de touches distinctes et souvent inconfortables, demandant des enchaînements peu naturels qui fatiguent rapidement les mains — surtout sur sessions prolongées. Une question se pose alors : pourquoi ne pas avoir unifié leur exécution, en laissant au contexte (attaque en cours ou timing) le soin de définir l’action déclenchée ? Ce choix aurait non seulement fluidifié la prise en main, mais aussi permis une meilleure lisibilité pour les nouveaux venus comme pour les vétérans. En l’état, on se retrouve avec deux systèmes proches sur le papier, mais dont l’accès semble inutilement contraignant.

Ce problème s’ajoute à une autre décision surprenante : l’introduction d’un cinquième bouton dédié au REV Guard et à l’activation du Hidden Gear quand le contexte s’y prête. Alors que les quatre boutons traditionnels suffisent largement à couvrir les besoins de gameplay, l’ajout de cette touche spécifique — la touche Rev — soulève des interrogations. Son rôle semble redondant, puisque toutes ses actions pourraient être exécutées via des combinaisons classiques. On a l’impression que cette touche a été ajoutée pour marquer le système REV sans réelle nécessité, au prix d’un bouton de plus à mapper et à gérer… pour un gain fonctionnel assez limité.

Entre charme old school et limites modernes

Visuellement, Fatal Fury: City of the Wolves affiche une direction artistique assumée, portée par un style cel-shading à mi-chemin entre le manga et l’animé, qui colle bien à l’identité de la saga de SNK. Certains designs et effets de coups sont franchement réussis, et le jeu a du caractère… mais il faut bien admettre que l’exécution technique reste en retrait par rapport aux standards actuels du genre. Quand on compare à des productions comme Guilty Gear Strive ou Street Fighter 6, City of the Wolves semble parfois figé dans le passé. Les animations, en particulier, manquent souvent de fluidité, ce qui accentue une sensation de raideur déjà ressentie dans le gameplay. Certains mouvements paraissent abrupts, et les transitions entre les attaques manquent de liant, ce qui nuit à l’impact visuel comme au plaisir des combos.

Mais là où la déception est encore plus marquée, c’est du côté de la bande-son. Garou: Mark of the Wolves avait laissé un souvenir impérissable avec ses thèmes mémorables, à commencer par celui de Rock Howard, au chorus clairement inspiré de Children de Robert Miles — un plagiat ? Peut-être. Mais un plagiat de qualité. Ici, City of the Wolves tente bien de rejouer la carte nostalgique avec quelques réorchestrations de thèmes issus de Garou, mais celles-ci manquent cruellement d’inspiration. Quant aux nouvelles compositions, elles s’avèrent insipides, voire anecdotiques, à tel point qu’on peine à s’en souvenir après quelques matchs. Mention (peu) honorable au thème du training stage, dont la mélodie générique évoque plus une publicité de café tiède qu’un champ de bataille pour futurs champions.

Un contenu très classique

Côté contenu, Fatal Fury: City of the Wolves reste dans une offre très classique, voire minimaliste, pour un jeu de combat censé marquer le grand retour d’une série culte. En solo, on retrouve les modes attendus : Arcade, Training, un tutoriel de base, et un mode Missions qui se divise en trois variantes — Défis personnages, Survie et Contre-la-montre. Des ajouts bienvenus, mais qui manquent cruellement de générosité : les défis sont peu nombreux, peu inspirés, et surtout n’explorent pas vraiment la profondeur du système de jeu, ce qui est regrettable, surtout pour les nouveaux venus qui cherchent à s’initier.

Le soi-disant mode histoire, baptisé Episodes of South Town (EOST), se veut plus ambitieux avec une composante RPG : le joueur progresse sur une carte de South Town découpée en trois zones, enchaînant des combats à objectifs variés. Sur le papier, ça intrigue. En pratique, l’ensemble est d’une platitude confondante. Les affrontements sont mous, les variations d’objectif anecdotiques, et surtout les histoires sont d’un ennui abyssal. Pire encore : aucune cinématique, aucun doublage, juste des boîtes de texte fades et impersonnelles — un comble, quand le mode arcade propose, lui, des dialogues doublés et quelques bribes de mise en scène. Un cruel déséquilibre qui illustre un certain manque d’ambition narrative.

Du côté du multijoueur, on retrouve les standards : Versus local, matchs en ligne en casual, ranked ou salons privés. À noter également la présence d’un Clone Mode, dans lequel une IA adaptative à la Tekken 8 apprend des styles de jeu pour les répliquer — un ajout prometteur sur le papier, mais que nous n’avons pas pu tester, les serveurs n’étant pas encore accessibles au moment du test. On peut toutefois s’attendre à une expérience similaire à celle offerte durant la seconde phase de bêta ouverte, qui, sans être révolutionnaire, avait le mérite d’être stable et fonctionnelle.

Enfin, quelques options annexes comme le Color Edit et le Jukebox viennent étoffer l’interface, mais ne suffisent pas à compenser l’impression globale d’un contenu de lancement squelettique. Pour un retour attendu depuis 25 ans, City of the Wolves donne parfois l’impression de jouer la prudence à outrance, au lieu de livrer un package digne de son héritage.

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Mario Kart World, le nouvel opus de sa franchise culte, prévu pour le 5 juin 2025 sur Nintendo Switch 2, se veut révolutionner la formule. Monde ouvert, météo dynamique, nouveaux modes de jeu et multijoueur jusqu’à 24 joueurs : ce jeu s’annonce comme le plus ambitieux de la série. Voici tout ce qu’il faut savoir.

Nintendo a récemment partagé plus d’informations sur Mario Kart World lors de sa présentation Mario Kart World Direct, révélant ce qui s’annonce comme le jeu le plus ambitieux de la série à ce jour. Exclusif à la Nintendo Switch 2, ce nouvel opus sortira le 5 juin 2025, avec également un bundle incluant la console et un code de téléchargement du jeu. Pour la première fois, Mario Kart propose un monde interconnecté : un vaste univers ouvert où les joueurs peuvent rouler librement entre les différentes régions. Villes, plaines, désert et même océan, dans des conditions dynamiques avec cycle jour/nuit et météo changeante.

Parmi les modes de jeu phares, on retrouve le traditionnel Grand Prix, qui vous fait enchaîner quatre courses par coupe, mais avec une nouveauté : il faut désormais conduire entre les circuits. Le mode Survie, quant à lui, est une sorte de marathon à élimination avec checkpoints, obstacles et pièges en tout genre. Pour une expérience plus détendue, le mode Balade permet d’explorer librement ce monde, de prendre des photos, découvrir des missions ou encore chercher des secrets cachés. Le tout est jouable en solo, localement ou en ligne, jusqu’à 24 joueurs, un record pour la série.

Mario Kart World introduit aussi de nouvelles techniques de conduite comme le Saut Chargé, qui permet de rouler sur des rails ou brièvement sur les murs, et la fonction Rembobiner, idéale pour corriger une erreur de pilotage. Le retour du Battle Mode (avec Bataille de Pièces et Bataille de Ballons), les modes Time Trials et VS Race, ainsi que des options d’assistance comme la conduite assistée ou la compatibilité avec les volants Joy-Con 2 viennent enrichir l’expérience.

Côté contenu, attendez-vous à une grande variété de circuits inédits, mais aussi des classiques revisités, une galerie de 24 personnages jouables, de nouveaux objets délirants comme la Carapace à Pièces ou la magie de Kamek, et même un système de restauration façon Drive-In chez Yoshi pour booster votre kart ou débloquer des tenues. Enfin, grâce aux nouveautés de la Switch 2, comme le chat vocal intégré ou CameraPlay pour afficher les visages des joueurs, Mario Kart World promet une immersion encore jamais vue dans l’univers de la course Nintendo.

Mario Kart World sera disponible le 5 juin au prix de 79,99€ en dématérialisé ou bien à 89,99€ en version physique. Un bundle regroupant la Nintendo Switch 2 et le jeu est disponible au prix conseillé de 509,99€.

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Kingdom Come: Deliverance II se dote d’un mode hardcore destiné aux amateurs de défis. Plus immersif, plus exigeant, ce mode bouleverse les mécaniques de confort traditionnelles et plonge les joueurs dans une expérience médiévale brutale.

Warhorse Studios a ajouté un mode hardcore à Kingdom Come: Deliverance II, destiné aux joueurs en quête d’une expérience plus immersive et exigeante. Dans ce mode, plusieurs aides de navigation sont supprimées : la position du joueur n’est plus affichée sur la carte, il n’y a ni voyage rapide, ni boussole intégrée. À la place, les joueurs peuvent interagir avec des PNJ pour demander leur position, ajoutant ainsi une dimension réaliste et immersive à l’exploration.

Le mode hardcore introduit également des traits négatifs dès le début de la partie. Ces malus incluent par exemple le fait d’avoir le dos fragile, ce qui réduit la capacité de port, le fait d’être somnambule, qui fait apparaître le personnage dans des endroits aléatoires après son sommeil, ou encore d’être affamé, ce qui pousse Henry à être obsédé par la nourriture. Selon Karel Kolmann, senior game designer chez Warhorse, seuls quelques traits du premier jeu ont été conservés, la majorité étant inédite pour renouveler le défi.

Warhorse ne cherche pas uniquement à durcir le gameplay, mais à rendre l’expérience plus immersive. En allant plus loin que le premier opus, ce nouveau mode pousse les joueurs à s’orienter par leurs propres moyens, à interagir davantage avec le monde du jeu, et à composer avec les limitations physiques et psychologiques de leur personnage. Par ailleurs, le Gallant Huntsman Kit, auparavant réservé à l’édition gold, est désormais disponible en tant que DLC.

Kingdom Come: Deliverance II est disponible depuis le 4 février dernier sur PC, Xbox Series X|S et PS5.

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