Mémoire cash - Jet Set Radio : en 2000, Sega transformait un manifeste cool en rébellion anarchiste










Col. Brian Chatman: The volume is here to stay. The next step is making sure the infrastructure can keep up
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Depuis l’été dernier, leur avancée semble inexorable. "Aujourd’hui, les djihadistes sont présents partout au Mali", assure Mohammed A. Pour ce marchand touareg, qui commerce entre Bamako, Tombouctou et Kayes, croiser leur chemin au cours de ces longues traversées du Sahel est devenu une sorte de "routine". "Malheureusement, quand on n’a pas le choix, on finit par s’habituer à tout", lâche-t-il, résigné, au bout d’une ligne téléphonique instable.
"Le plus souvent, ils se déplacent à motos, ils arrêtent les convois de marchandises, parfois pour les brûler, parfois pour se servir, et ils contrôlent les transports de voyageurs", précise ce père de famille, qui avoue tout de même avoir eu "la peur au ventre" plusieurs fois en les voyant. Fin octobre, les djihadistes ont annoncé que "tous les axes autour de Bamako" seraient désormais considérés comme des "zones de guerre" et ont imposé la séparation entre hommes et femmes dans les transports.
"Ils sont aussi présents dans les villes, comme à Tombouctou, où, habillés en civils, ils font de la surveillance et tentent d’accroître leur influence sur les populations", poursuit-il, assurant qu’il est lui-même régulièrement approché pour rejoindre leurs rangs dans un contexte économique de plus en plus tendu.
Ces dernières semaines, mieux valait ne pas avoir besoin d’un médecin
Historiquement implanté dans le nord et le centre du pays, le Groupe de soutien de l’islam et des musulmans (GSIM), la filiale sahélienne d’Al-Qaeda, étend désormais son influence vers l’Ouest, tout près des frontières sénégalaises et mauritaniennes, mais aussi vers le Sud, exerçant une pression sans précédent sur la capitale Bamako. Aujourd’hui, l’armée régulière ne contrôlerait plus que 25 % du territoire malien.
Un peu plus de quatre ans après l’arrivée au pouvoir de la junte souverainiste, suite au coup d’Etat du général Assimi Goïta, désormais président autoproclamé, rien ne semble avoir arrêté la percée islamiste dans ce pays du Sahel. Pas même le soutien opérationnel des mercenaires russes du groupe Wagner, renommé Africa Corps en juin dernier, qui ont pris la place des troupes françaises, arrivées en 2014 (opération Barkhane) et reparties en 2022.
En plus de leurs attaques armées, les djihadistes mènent désormais une stratégie d’étranglement de l’économie malienne, en imposant des blocus sur le carburant et en ciblant principalement la capitale et ses trois millions d’habitants. Sans accès à la mer, Bamako demeure dépendant de ses voisins, dont le Sénégal, la Côte d’Ivoire et, surtout, la Guinée - ces trois pays représentant 90 % des importations. Depuis début septembre, les camions-citernes en provenance de ces pays sont systématiquement détruits ou dérobés par les djihadistes.
Résultat, la capitale manque cruellement de carburant. Sur les 600 stations-service de la ville, seule une centaine, identifiable aux kilomètres de queues qu’elles provoquent, parvient à être ravitaillée. "J’ai attendu presque 72 heures pour faire le plein", raconte Souleymane D., entrepreneur dans le BTP. Comme beaucoup de Bamakois, il a vu son activité économique largement altérée par ces blocus. "Sans essence, l’économie tourne au ralenti et l’accès à l’électricité est difficile", déplore-t-il, alors que l’accès à l’énergie repose grandement sur des groupes électrogènes. Après deux semaines de fermeture ordonnée par les autorités en raison de la pénurie, les écoles et les universités ont rouvert le 17 novembre, grâce à une récente arrivée de camions-citernes en provenance de Côte d’Ivoire, escortés par l’armée sur plusieurs centaines de kilomètres. "Ces dernières semaines, mieux valait ne pas avoir besoin d’un médecin, car les hôpitaux ne tournaient presque plus", témoigne le jeune homme, ajoutant que la situation s’est récemment améliorée depuis que des escortes militaires ont été mises en place. Désormais, 200 à 300 camions parviennent à rejoindre Bamako toutes les semaines, contre plus de 1 200 avant le blocus. Reste que, dans de nombreuses localités du centre et du sud, l’essence n’arrive toujours pas. Mopti et ses 550 000 habitants sont ainsi privés d’électricité depuis un mois, comme Bandiagara.
Pour déstabiliser le pouvoir malien, le GSIM a multiplié les attaques contre des entreprises détenues par des investisseurs étrangers. Depuis cet été, plus d’une quinzaine d’assauts ont été recensés, notamment dans la région aurifère de Kayes, à l’ouest. Simultanément, le nombre d’enlèvements de travailleurs étrangers s’est accru. Entre mai et octobre 2025, 22 personnes de nationalité chinoise, égyptienne, indienne et émiratie ont été prises en otage par le groupe terroriste, selon l’ONG Acled, spécialisée dans la collecte et l’analyse de données sur les conflits armés. Un record. "Les rançons ont toujours constitué une source de financement pour les djihadistes. Elles leur permettent d’équiper, de payer mais aussi de recruter des combattants", indique Héni Nsaibia, chercheur au sein d’Acled.
Selon le journal Le Monde, le GSIM aurait récemment obtenu une rançon record de 43 millions d’euros en échange de la libération, le 29 octobre, d’un membre de la famille régnante Al-Maktoum de Dubaï, enlevé le 23 septembre. "La stratégie de multiplication des enlèvements est double, poursuit Heni Nsaibia. Elle vise aussi à "dissuader les investissements étrangers et la coopération économique avec le régime". Avec un certain succès. Alors que les Chinois ont récemment suspendu leurs opérations de minage, les Etats-Unis, la France, l’Allemagne et l’Italie ont appelé leurs citoyens à quitter le territoire malien début novembre.
Jamais la pression des djihadistes n’a été aussi forte. A tel point que l’hypothèse d’une chute de Bamako aux mains du Groupe de soutien de l’islam et des musulmans et de son chef Iyad Ag Ghali, ennemi public numéro de l’opération Barkhane en son temps et poursuivi depuis 2017 par la CPI pour crimes contre l’humanité et crime de guerre, n’a pas manqué d’être évoquée. Pour autant, l’hypothèse est peu probable à ce stade, selon plusieurs observateurs de la région interrogés par L’Express, faute de capacités militaires ou de gouvernance suffisante. "L’objectif du GSIM est de prendre Bamako, mais ses membres veulent que la junte tombe d’elle-même, poussée par le ras-le-bol des populations", résume Peer de Jong, fondateur de l’institut Themiis. "Aujourd’hui, les djihadistes ne sont pas sur un modèle d’action terroriste dure, mais sur une stratégie de prise de pouvoir lente avec une vision sur le long terme", poursuit l’ancien aide de camp de François Mitterrand et de Jacques Chirac.
En dehors de Bamako, le GSIM tente de gagner en influence et de lisser son image auprès des populations. "Quand ils arrivent dans une localité, ils négocient un accord de non-agression avec les chefs coutumiers", indique un avocat bamakois originaire d’un village du sud, récemment tombé entre leurs mains. Comme des garants d’un ordre social et sécuritaire, "ils essaient de gagner le cœur des Maliens et de se présenter comme une alternative crédible face à une junte et des supplétifs russes qui ont commis d’innombrables exactions", analyse un observateur.
Dans le même temps, le GSIM met en place ses lois et règlements, de gré ou de force, dont l’imposition de la zakat (l’impôt islamique) ou l’obligation de porter le voile pour les femmes. Et le groupe n’hésite pas à exécuter ceux qu’il considère comme non alignés, y compris des civils. Le 6 novembre dernier, une jeune tiktokeuse qui publiait du contenu pro junte sur les réseaux sociaux a été abattue sur la place publique de sa ville, Tonka, dans la région de Tombouctou. "Dès que tu prends parti pour le GSIM ou pour les militaires maliens, tu risques ta vie, regrette notre commerçant, Mohammed. A. Les uns et les autres accusent souvent les civils de trahison avec des conséquences souvent sanglantes."
Coincés entre les exactions et menaces incessantes des deux camps, de nombreux Maliens ont choisi de fuir. Sur le camp de Mbera, dans l’extrême sud-est de la Mauritanie, leur nombre a plus que doublé entre 2023 et 2025, selon l’UNHCR, l’agence onusienne pour les réfugiés, passant de 70 000 à 160 000, et même à plus de 290 000 selon Nouakchott, en comptant les arrivées hors camp. "Depuis le début de l’année, on vivait au rythme des violences de Wagner, témoigne Fatou, arrivée la semaine dernière depuis la ville de Léré, carrefour essentiel vers Bamako. Mais avec le blocus djihadiste, plus rien n’entrait dans la ville, ni carburant, ni nourriture, alors on est partis."
Selon d’autres témoignages, le GSIM aurait donné un ultimatum aux habitants de la localité, qu’ils considèrent comme "acquise aux forces armées maliennes", pour les faire partir. Aux frontières sud du pays, des mouvements de population similaires sont constatés. Le 13 novembre, la Côte d’Ivoire a annoncé un renforcement de la sécurité à sa frontière nord, en réponse à un afflux "inhabituel" de réfugiés maliens. De son côté, la junte malienne, dont la plupart des opposants ont été arrêtés et écroués ces derniers mois, minimise les actions du GSIM, attribuant les blocus à "un désarroi" plutôt qu’à une montée en puissance du groupe terroriste. Jusqu’à présent, Bamako tient, quadrillé par les blindés de l’armée, au détriment du reste du pays, déjà largement rongé par le cancer djihadiste.

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Spoilers follow for It: Welcome to Derry Episodes 1-5.
It: Welcome to Derry has been dancing on thin ice with the embellishments it’s making to Stephen King’s novel, and not just because “that’s not how it is in the book.” Adjusting the time period to align with Andy Muschietti’s feature adaptations? No big deal. But It: Welcome to Derry has taken significant liberties with the relatively straightforward historical interlude that forms the basis of this season’s narrative arc, not only magnifying the role of preexisting canon (like Dick Hallorann’s presence in Derry), but also folding in ideas or plot threads from other King fiction as a way to flesh out the world, the latter approach having provided the structural basis for Hulu’s Castle Rock series just a few years back. Welcome to Derry hasn’t been entirely consistent in alchemizing all of this reference material and influence, but when it works, it works.
With no better way to stress-test that alchemy than a trip into the sewers beneath Derry, “29 Neibolt Street” represents another significant collision of Welcome to Derry’s adaptations and inventions, doubling down on its own imagination to effective ends.
After Marge’s heinous encounter with It last week, which ended with her nearly carving out her own eye, reunion becomes a major theme of the kids’ storyline in “29 Neibolt Street.” Marge (Matilda Lawler) covers for the very guilty-looking Lilly (Clara Stack) after the attack and the two reconcile - nice, considering Lilly and Marge’s friendship feels like one of the more genuine relationships on the show - but far more relevant to events this week is the return of Matty Clements (Miles Ekhardt)... from the sewers. Recounting his last few weeks essentially being kept in Pennywise’s pantry as a fear snack to come back to later, Matty’s revelation that Phil Malkin’s still alive spurs the kids into undertaking a rescue mission to It’s lair to save him, giving Lilly a nice leader moment as she asks her friends to consider whether they’re “anchors or lifeboats” when the people they love need help.
General Shaw’s plan to “shrink the cage” around Pennywise by recovering the pillars, and the bridges he seems to be willing to burn with Rose (Kimberly Guerrero) to enact it, continue to baffle, but more and more that’s starting to feel like a problem with how the character is written rather than the actual mechanics of the Operation Precept plan itself. The idea that chunks of the comet It crashed to Earth imprisoned within could repel (or contain) Pennywise may be outside of the scope of the It novel, but the logic is straightforward enough and the best laid plans of military men often go awry in King stories anyway. James Remar has done great work keeping Shaw a likeable character, even as he does unlikeable things, but now that rubber is hitting the road and there’s an actual plan to go pillar hunting, he’s hinting at heel turns a little too quickly that feel incongruous to his measured nature. He’s even teeing up a failsafe plan for a town-wide “cleanup” should their mission fail that portends some harrowing conflicts to come. All I’ll say is this: I really noticed that “Arrowhead Hotel” sign in downtown Derry when the kids biked by it this week.
“29 Neibolt Street” gives us more of a window into Rose and her nephew Taniel’s (Joshua Odjick) close relationship as well, with the reveal that Taniel’s in line to become the “Keeper” of the ceremonial blade made from Pennywise’s comet (can we call it KrITonite?) It’s an archetypal role for Taniel which feels like a natural precedent for Mike Hanlon’s eventual decision to stand sentinel over the town after the Losers defeat Pennywise in their childhood. Is it a little silly that the knife glows for Pennywise like Sting glows for orcs in Lord of the Rings? Yeah, absolutely. But as we drive closer and closer to “The Augery” - a term Welcome to Derry introduces this week to codify the mass killing event that ends Pennywise’s feeding cycles - having these wild-card plot elements in play still feels like a gambit worth seeing through, especially after Lilly winds up barely surviving her encounter with Pennywise thanks to the knife’s ability to repel it.
Welcome to Derry throws another curveball into the kids’ trip into the sewers to save Phil: each of the kids takes three “Mommy’s Little Helpers,” the barbiturates Lilly stole from her mom in hopes of suppressing their fear and protecting them from Pennywise. This was a monster of a pharmaceutical Sword of Damocles to hang over the heads of children, and a big swing to take, but in practice the kids drugging themselves feels like a hat on a hat. The sewers are the most dangerous place in Derry to begin with, and Pennywise can already create illusory nightmares - we would have had to really lock into at least one of the kids’ specific and amplified perspectives for this flourish to land. Instead, the kids just get wobbly, slur their speech and see double. Pretty significant missed opportunity, but maybe Mommy’s Little Helpers will come back around again for some redemption later in the season.
The soldiers’ perspective in the sewer sequence benefits from some great atmosphere thanks to some body-mounted red lights and deep-yellow flashlight beams, but them getting picked off one by one doesn’t move the needle much, with the Uncle Sam “I want you” gag feeling just a little too cute. The chaos does force both Leroy Hanlon (Jovan Adepo) and Dick Hallorann (Chris Chalk) into reckoning with the true scope of the danger they’re in, though. Leroy may have been brought into Operation Precept for being a “man without fear”, but nearly shooting Will because he was afraid he was a monster and killing his best friend Russo (Rudy Mancuso) in the process is going to force him to confront that he may not be able to get through this mission on grit alone. Hallorann’s struggling too, with the oppressive psychic forces he’s faced with beneath Derry fueling some trauma that’s been coming to the surface over the last few episodes: his childhood living with his sadistic grandfather. Dick’s ability to suppress “ghosts” like his grandfather’s inside of mental lock boxes is a lovely bit of the character’s background established in Doctor Sleep to deploy here. Dick’s felt in control of most supernatural encounters he’s had up to this point, and Welcome to Derry visualizing that slipping control with something that’s rooted in King’s fiction felt like the perfect counterbalance to all the original lore with which the writers have been supplementing the story.
Welcome to Derry’s been holding back on Bill Skarsgård, and that has been to the series’ advantage. As a novel and as a film, It thrives as much on the looming danger and influence of Pennywise as it does on the monster’s actual chompy-chompies and rippy-rippies. But the time felt right, and right it was: with both the kids and the soldiers converging on the sewers, Pennywise floats out of the darkness - or to be more accurate, out of Matty Clements’ reanimated corpse - for dinner. Yes, the boy who wandered back to the Derry standpipe after being abducted by THE EATER OF WORLDS AND OF CHILDREN in the series premiere was Pennywise playing possum all along. The only false note of Skarsgård’s proper introduction here is the last beat of his emergence from Matty’s corpse, which puts a weird shimmering backlight behind him that makes him look like he’s just been revealed as a DLC fighter in Super Smash Bros. Ultimate (or, more appropriately given the WB of it all, MultiVersus). From a performance standpoint though? As chillingly cloying and confident wielding the clown’s disquieting rhythms as ever, Skarsgård hasn’t lost a step as Pennywise.
It’s a strength of “29 Neibolt Street” that everyone gets into the sewers as quickly as they do, but all that momentum leaves the developments in Hank’s storyline feeling a little tacked-on. Hank’s nearly killed by Phil and Susie Malkin’s dad while being put on the bus to Shawshank State Prison, an act of violence which mostly functions to give Charlotte Hanlon (Taylour Paige) reason to notice yet another Derry citizen - a cop this time - under the deep-seated influence of It. Charlotte’s mostly on the sidelines this week, considering her next moves, after Leroy makes the call to move her and Will onto the air base what with violence starting to flare up in town. After the prison bus is attacked by Pennywise (offscreen) and Hank gets free, we discover the identity of the mystery lover he flees to the home of: Ingrid Kersh (Madeleine Stowe), Lilly’s ally from Juniper Hill.
After watching her husband Stan, Derry’s butcher, get on her case for as minor a “transgression” as cooking his steak past medium-rare, Hank’s fear of he and Ingrid being found out feels justified. The racial undertones to the vitriol swirling around town are incredibly important for the show to keep teeing up, given where Constant Readers know we’re heading. But with no real connection to the more pressing events happening underground, Hank going on the lam is a drag on the pacing this week. The reveal that Hank’s lover and Lilly’s friend is Mrs. Kersh, though… that makes her motives when she doth things like protest too much against Lilly going into the sewers worth some second thought on the audience’s part from here on out.
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