Même si la période estivale est souvent signe d’arrêt ou de ralentissement dans les productions, il est extrêmement rare que l’ensemble de la direction quitte, et cela avec effet immédiat, un studio. Surtout lorsqu’il y a deux membres fondateurs de celui-ci. De nombreuses questions se soulèvent quant aux raisons derrière de tels changements.
Krafton, propriétaire du studio Unknown Worlds connu pour son titre aquatique Subnautica, vient d’annoncer le départ de Ted Gill, cofondateur d’Unknown Worlds, ainsi que du directeur créatif Charlie Cleveland et du cofondateur et directeur technique Max McGuire avec effet immédiat. Même si Krafton a annoncé la relève par Steve Papoutsis, ancien PDG de Striking Distance, à qui l’on doit The Callisto Protocol ou encore [REDACTED], difficile de voir en ce départ quelque chose de positif.
Selon Krafton, les anciens dirigeants d’Unknown Worlds sont partis malgré leurs efforts pour maintenir le studio à flot. Toutefois, que cela soit pour Gill, Cleveland ou encore McGuire, aucun n’a donné d’explication quant à la décision de quitter le navire. Pour rappel, Cleveland et McGuire ont cofondé Unknown Worlds au début des années 2000 avant d’être rachetés par Krafton en 2021, propriétaire à ce moment de PUBG.
Du côté de Krafton, l’éditeur est convaincu que Papoutsis apportera une énergie nouvelle pour la suite de Subnautica attendue par de nombreux fans. En effet, le prochain chapitre d’Unknown Worlds s’axera davantage sur un engagement soutenu et une concentration accrue sur la suite de Subnautica.
Maintenant, reste à savoir les raisons de ces départs et si cela impactera fortement le développement de Subnautica 2, ou pas.
Le site de mods le plus connu s’adapte et change pour suivre les lois britanniques et européennes à la lettre. Réputé pour proposer des mods en tout genre pour de nombreux jeux, dont des mods présentant de la nudité, les nouveaux propriétaires décident d’instaurer une vérification de l’âge. De quoi se poser des questions quant à tout ce qui touche à l’identité.
Avec le rachat de Nexus Mods cette année, de nombreux changements s’opèrent pour faire correspondre davantage le site de modding avec la législation dans de nombreux pays. C’est le cas avec les lois britanniques et européennes qui, si vous suivez un peu les réseaux depuis quelques mois, imposent la vérification de l’âge sur certains contenus. En dehors de cet ajout dans un avenir proche, Nexus Mods prendra des mesures pour supprimer le contenu jugé illégal du site Web. L’idée derrière tout cela est surtout de protéger les mineurs, comme l’exige la loi sur la sécurité en ligne.
En dehors du contenu, pour lequel une nouvelle balise sera proposée pour les contenus pour adultes, notamment liés à la pornographie, au suicide ou encore à la dépression, l’équipe de Nexus souhaite réviser le système de blocage du site Web. Désormais, les utilisateurs pourront ignorer d’autres utilisateurs, remplaçant ainsi l’ancienne fonction de « Block Author ». Cette fonctionnalité sera très utile pour les créateurs qui, une fois l’utilisateur bloqué, celui-ci ne pourra plus commenter et même interagir avec l’ensemble du contenu que l’auteur publie.
Avec de tel changement, la communauté s’est vu un peu retissant même si la nouvelle direction suit désormais les lois. Intervenant dans les commentaires, l’ancien propriétaire Dark0ne soutient la nouvelle équipe et les changements que celle-ci opère. Il rappel que les lois sont ce qu’elles sont, et que Nexus Mods est devenu une entreprise légitime qui se doit de les suivre à la lettre. Si le site ne fait pas cela, il y a de fort risque de condamnation avec une lourde amende pouvant s’élever à 25 millions de dollars.
Ainsi, en combinant la loi britannique de protection des enfants et la suppression du CSAM (tout ce qui touche à la pornographie) et celle des services du numérique européens, se concentrant sur les contenus illégaux, Nexus Mods se doit de réaliser quelques changements drastiques. La communauté reste assez mitigée quant à la manière de vérifier l’âge, surtout d’un point de vue protection des données.
La balle est dans le camp des nouveaux propriétaires du site internet Nexus Mods, mais il est clair que tout cela risque d’être difficile à vivre aussi bien par la communauté que par les joueurs de passage.
En quête de renouveau, Destiny 2 mise gros sur sa nouvelle extension Les Confins du Destin pour relancer la machine. Nous irons du côté de Kepler, un planétoïde où la matière noire est utilisée pour provoquer de bien étranges phénomènes... comme l'apparition d'un métro new-yorkais dans l'espace.
Après une belle ascension en 2021, avec la sortie d'Outriders et une entrée en bourse remarquée, le studio polonais People Can Fly, connaît une dégringolade depuis 2024. Outre des licenciements à répétition, on avait appris dernièrement que le studio avait annulé plusieurs projets majeurs. Et parmi eux, il y aurait eu Outriders 2.
Chronicles of the Wolf est un jeu d'action rétro organisé en metroid-like et avec une ambiance Castlevania assumée. On y affrontera la bête du Gévaudan et son armée d'apôtres en France.
Lorsque l’on parle des licences mastodontes annuelles dans le paysage vidéoludique, on pense notamment aux franchises NBA 2K, Call of Duty ou encore EA Sports FC. En vendant des unités par palette chaque année, on pouvait naïvement se dire que toute nouvelle concurrence était peine perdue tant le parc de joueurs était déjà acquis. Mais voilà que l’éditeur français Sloclap prend un risque et décide de lancer son jeu de football, ou du moins sa vision du sport le plus populaire du globe. Nous avons pu jouer à cette nouvelle production qui n’a pas encore livré, à l’heure où nous écrivons, tout son véritable potentiel.
Testé sur PS5 Pro grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur
Une nouvelle approche du football
Contrairement aux jeux de football que nous connaissons actuellement, à savoir EA Sports FC ou eFootball, Rematch est une nouvelle alternative qui ne reprend aucun code des deux licences citées ci-dessus. En effet, on se retrouve avec un jeu arcade doté d’une direction artistique cartoonesque en totale adéquation avec le gameplay. Même si l’on pourra reprocher des textures vieillottes et un moteur graphique qui n’est pas vraiment au niveau des consoles de dernière génération, Rematch n’a pas comme objectif de devenir une vitrine technologique et axe la majeure partie de son travail sur un gameplay fun et exigeant.
La gestion des espaces est primordiale dans Rematch
On se retrouve donc avec des couleurs pastel agréables à l’œil qui remplissent parfaitement leur rôle pendant des joutes endiablées qui dureront six minutes, voire plus… ou moins. Cela nous rappellera les premières heures du studio sur PS5 avec notamment la sortie de l’excellent Sifu. Divers décors comme le désert, la plage ou encore la jungle sont disponibles, permettant de changer le climat habituel d’un stade de football pour un environnement plus merveilleux.
En effet, Rematch se rapproche davantage du football à cinq avec la présence des murs empêchant ainsi le ballon de sortir de l’aire de jeu. Le format du terrain est donc restreint et la durée des matchs également, puisque, bien que nous retrouvions les mêmes marquages que sur un terrain de foot à 11, Rematch a plusieurs spécificités qui pourront déstabiliser quelques minutes. Tout commence par le fait de contrôler uniquement son joueur et non une équipe entière. Autant vous dire que l’implication de chaque joueur est primordiale ou la défaite est assurée. On reprochera ainsi de ne pas voir le remplacement des joueurs qui quittent les parties par des IA, créant ainsi rapidement un déséquilibre certain dans les affrontements.
Il sera possible de dévérouiller des items en jouant au jeu, on en passant par le Pass Capitaine
Plusieurs formats de matchs sont disponibles au lancement : 3v3, 4v4 et 5v5. Seule la dernière variante est disponible en classé, le 3v3 et le 4v4 étant jouables en match rapide. Un peu dommage, surtout quand on sait qu’en 5v5, les débutants auront finalement peu d’impact dans le jeu, en raison d’un terrain très largement occupé par les 10 joueurs, et ce, d’autant plus si vos coéquipiers jouent en équipe. Pour progresser, il est recommandé de débuter en 3v3 puis en 4v4 pour se familiariser avec toutes les possibilités proposées par Rematch. Petite déception pour le moment : le cross-play n’est pas encore fonctionnel et on ne pourra créer des groupes qu’avec des amis qui jouent sur la même plateforme que nous.
Le gameplay au cœur de la réussite du lancement
Le football a toujours eu une cote de popularité dans le domaine vidéoludique avec des productions arcades qui avaient convaincu les joueurs : FIFA Street ou encore Mario Strikers sont de parfaits exemples. Rematch se rapproche davantage de cette approche en proposant une jouabilité arcade à souhait, mais demandera d’enchaîner les rencontres pour en maîtriser tous les tenants et aboutissants. Le jeu débute avec un prologue qui sera finalement une suite d’enchaînements des commandes de base : passe, tir, dribble, tacle, sombrero… Le b.a.-ba finalement pour jouer à Rematch, mais encore faut-il bien maîtriser ces fondamentaux qui sont indispensables pour progresser.
Déjà, sachez que pour faire des passes, il est possible de tirer, et pour marquer, il est possible de passer : oui, ça paraît saugrenu, mais c’est pourtant la stricte vérité. Cette doctrine quelque peu inhabituelle est donc indispensable pour s’améliorer, cependant une fois maîtrisée, la puissance du gameplay de Rematch s’ouvre enfin au joueur qui ne cessera de progresser. Le curseur présent au centre de l’écran sert aux frappes, tandis que les passes se rapprochent plusdu mode manuel d’EA Sports FC où il faudra faire preuve d’une grande précision avec le joystick gauche. Pour mieux se retrouver dans l’espace, il ne faut pas négliger la présence d’une mini-carte qui permet d’avoir une vision du jeu plus globale puisque nous sommes cantonnés à une vue à la troisième personne avec notre joueur en ligne de mire.
Certains terrains sont de toute beauté
Autres particularités dans les règles de Rematch : l’absence de gardien fixe et d’arbitre, laissant donc la liberté à tous les contacts, même les plus irréguliers. Pour l’absence d’un gardien fixe, voyez ce principe comme un goal volant à l’image de ce que nous pouvions connaître dans les cours de récréation. Ainsi, chaque joueur peut à tout moment devenir gardien de but, à condition qu’il soit dans la surface de réparation et qu’il ne soit pas le précédent gardien de but.
Par ailleurs, ce dernier a un rôle primordial puisqu’en plus d’être le dernier rempart de votre équipe, il dispose de spécificités particulières, et avoir un bon gardien est un atout non négligeable. Ce dernier sera capable de plonger dans les pieds, mais également sur les côtés pour arrêter les ballons. Toutefois, une fois l’action effectuée, il ne sera plus possible de revenir en arrière, donc les feintes de frappe sur les murs sont tout simplement mortelles et conduisent la plupart du temps à un but. Bien qu’ayant le droit de récupérer le ballon dans ses bras, il pourra également sortir de sa surface de réparation balle au pied pour progresser dans l’aire de jeu et ainsi tenter de créer un décalage.
La personnalisation est sommaire mais efficace au début du jeu
Si les joueurs d’EA Sports FC ont l’habitude de maintenir la touche R2 pour sprinter en continu, il s’agit d’un principe à ne surtout pas appliquer dans Rematch. En effet, votre joueur disposera d’une jauge d’énergie qui sera consommée à chaque mouvement : tir, tacle, sprint… Bien qu’elle se régénère rapidement en courant plus modestement, vos adversaires en profiteront pour se projeter vers l’avant et convertir la prochaine occasion de but. Au final, le gameplay de Rematch dispose de plusieurs actions indispensables à maîtriser, toutefois l’alchimie générale est excellente et on prend du plaisir à enchaîner les parties sans voir le temps passer.
Concernant les conditions de victoire, à l’instar de ce que propose Rocket League, un overtime (prolongations) est proposé si les deux équipes sont à égalité à l’issue du temps réglementaire de six minutes. En revanche, dès qu’il y a quatre buts d’écart avant la fin du chrono, la rencontre s’arrête automatiquement pour mettre fin au massacre. On a donc l’impression de jouer à un jeu vidéo qui se rapproche davantage de Foot 2 Rue et de Galactik Football et, de surcroît, développé par des Français qui ont du cœur.
Du contenu à étoffer pour continuer sur sa lancée
Lors du premier lancement et après avoir passé le prologue, Rematch nous envoie directement à la création de notre footballeur. On a la possibilité de choisir son visage, sa coupe de cheveux, son haut, son short, ses chaussures et même de remplacer nos membres par des prothèses pour donner davantage de style à notre sportif. Nous avons également quelques équipements à notre disposition et on a tout juste ce qu’il nous faut pour personnaliser notre athlète. Étant donné que Rematch est présenté comme un jeu-service avec un fonctionnement en saison, de nombreux cosmétiques seront déblocables en enchaînant les rencontres, mais également en achetant le Pass Saison. Une boutique est également disponible avec de nombreux cosmétiques comme ceux de Ronaldinho contre de la monnaie in-game qui s’acquiert contre de l’argent bien réel. Il est dommage qu’une autre possibilité plus louable n’ait pas été offerte.
Si nous avons parlé des fonctionnalités en ligne avec les matchs classés, non classés ainsi que le prologue, sachez qu’il existe également des entraînements spécifiques. On a donc la possibilité de s’entraîner en tant que gardien, en défense, en dribble avec notamment des challenges divertissants nous offrant des médailles en corrélation avec nos performances. Sachez qu’il est également possible de faire des matchs privés entre amis, mais malheureusement il n’est pas possible de jouer face à des IA à l’heure où nous rédigeons ces lignes. C’est regrettable, surtout quand on sait qu’un jeu comme Rocket League proposait cette fonctionnalité lors de sa sortie il y a désormais 10 ans. Toutefois, un mode arène libre permet de s’entraîner tout seul pour travailler sa maîtrise du titre sans avoir la pression d’une quelconque adversité.
Rien de mieux qu’une belle victoire en équipe
Pour conclure sur ce Rematch, il y a également une partie où vous aurez la possibilité de personnaliser votre carte d’identité ainsi que vos célébrations. On retrouvera également des statistiques intéressantes avec notamment notre nombre de victoires, de buts, d’arrêts… Pour les joueurs qui adorent les chiffres, nul doute que vous y ferez un tour assez régulièrement pour voir votre évolution. Enfin, nous n’avons pas encore abordé la question de la bande-son du titre et il faut dire qu’aujourd’hui, le tout est assez limité puisque ce sont les mêmes pistes qui tournent en boucle. À chaque redémarrage du jeu, à chaque fin de partie, vous aurez le droit à la même musique. Le titre dispose également d’un doublage en français in-game et vous entendrez régulièrement les joueurs donner des instructions, notamment lorsque vous faites des appels de balle.
Verdict
Après une phase de bêta réussie et convaincante, cette version 1.0 de Rematch nous a également conquis durant nos quelques heures de jeu. Grâce à son format miniaturisé du jeu de football et ses variantes en 3v3, 4v4 et 5v5, Sloclap a réussi à produire un jeu addictif au gameplay exigeant qui n’a pas encore livré tout son potentiel. Cette nouvelle vision du football est donc sur la bonne voie, bien que l’on puisse se demander si le modèle de vente choisi est le bon car, rappelons-le : le jeu est jouable uniquement en ligne et il est vendu contre 24,99 €. Face à d’autres titres disponibles en free-to-play, espérons que les joueurs lui laissent sa chance et qu’il puisse poursuivre son développement.
Dans certains jeux, il y a des personnages très bavards qui sont devenus aussi emblématiques qu'énervant. C'est le cas de Fay dans The Legend of Zelda: Skyward Sword, par exemple, mais aussi de Claptrap dans la saga Borderlands. D'ailleurs, si ce dernier vous tape beaucoup trop sur les nerfs, sachez que dans Borderlands 4 une fonctionnalité vous permettra de le faire taire, si vous l'osez.
En ces périodes caniculaires, il m’est difficile de lancer le simulateur de voitures sans être en nage dès le premier virage. Voilà pourquoi j’ai décidé d’aller me rafraîchir dans les airs et ça tombe bien, car il y a quelques petites actualités aréoportées, et pas des moindres !
Cela fait seulement deux semaines que NexusMods a été repris par l'entité Chosen. Et il n'aura pas fallu plus longtemps pour que les décisions impopulaires se multiplient : la plus récente, c'est l'ajout d'une vérification d'âge sur le site NexusMods.
L'action-shooter TPS multijoueur Mecha BREAK, développé par Amazing Seasun, sera lancé officiellement avec une première saison (ou plutôt une saison 0) intitulée Rain of Fire - Pluie de Feu, qui posera les bases de son modèle économique, compétitif et communautaire.
L'éditeur coréen Krafton vient de publier un étonnant communiqué annonçant le départ, manifestement non programmé, des trois principaux dirigeants du studio Unknown Worlds. Bien connu pour Subnautica, le studio fait partie de la famille Krafton depuis 2021.
La Saison 7 de The Crew Motorfest veut jouer la carte du prestige pour le jeu d’Ubisoft Ivory Tower, à travers, entre autres, un partenariat inédit avec Ferrari.
Nous avions loupé l'interview de GamesRadar le 26 juin dernier, mais mieux vaut tard que jamais, comme dit l'adage alors allons-y : le directeur narratif de The Witcher 4, Philipp Weber, est revenu sur quelques aspects majeurs du développement du jeu et la structure prévue par ce dernier.
En guise de grand méchant, il fallait un habitué : Legendary Entertainment aurait choisi David Dastmalchian pour incarner le très énervé M.Bison, légendaire antagoniste de la saga Street Fighter, dans le prochain film adapté de la licence.
Véritable cauchemar (ou délice, c'est selon) pour historiens, Atari présente sans doute l'une des histoires les plus labyrinthiques que l'on puisse trouver dans l'industrie du jeu vidéo. Il faut dire qu'elle remonte à 1972, autant dire à la préhistoire de cette industrie, et que sa vente spectaculaire annoncée le 2 juillet 1984 ne fut qu'une des innombrables péripéties du constructeur fondé par Nolan Bushnell.
La première partie de la mise à jour The Research étant déployée en avril, il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que les devs de Gloomwood annoncent la sortie de la deuxième partie. Dans leur dernier billet de blog Steam, on apprend que la fonctionnalité recherche est désormais disponible au phare dès votre première expérience et que les ennemis communs peuvent faire l’objet d’analyse. Il est également plus simple de comprendre les conceptions des sérums et le huntman a été ajouté à votre longue liste de patients victimes pour la science. Ce dernier vous octroie de nouvelles capacités tels que détecter la présence de vie même à travers les murs, ou bénéficier de dégâts critiques en tirant dans la tête de tous les variants de huntman. De plus, de nouvelles capacités ont été ajoutées lorsque l’on s’injecte des sérums liés à des ennemis précis.
Votre arsenal s’étoffe, avec la présence de harpons pour empaler vos adversaires et lancer votre grappin. En fonction de votre avancée dans le jeu, si d’aventure vous revisitiez d’anciens lieux, l’ambiance aura changé et des ennemis qui n’étaient pas présents en temps normal feront leur apparition. Enfin, les devs annoncent d’ores et déjà travailler sur une troisième partie.
Toujours en accès anticipé, Gloomwood est actuellement en promotion à -25 % sur Steam jusqu’au 10 juillet, soit moins de 15 €, si vous êtes intéressé.
choo.t avait bien aimé Skin Deep, même s'il avait trouvé l'immersive sim de Blendo Games un poil court. Le jeu est moddable à souhait et on va pouvoir pousser les choses encore plus loin vu que Blendo vient de publier le code source du jeu. À noter qu'ils ne le font pas uniquement de gaité de coeur : ils n'ont pas le choix vu que le moteur de Skin Deep utilise une version modifiée de l'id Tech 4 qui est sous licence GPL-3.
Néanmoins, c'est une pratique qui...
En 2006, Chris Wilson a commencé l’aventure Grinding Gear Games. Ce qui a commencé comme une petite entreprise a rapidement gagné en taille, notamment grâce au succès de Path of Exile. Tant et si bien que Chris Wilson a voulu fonder un autre studio, plus petit, laissant plus de place à la créativité mais toujours dans l’ARPG.
Heroes of Might & Magic: Olden Era est un épisode 0 de la série qui est développé par Unfrozen et publié par Ubisoft. Ou plutôt était publié par Ubisoft. L'éditeur vient de refiler le bébé à Hooded Horse, un éditeur indie qui publie plein de chouettes jeux de stratégie comme Endless Legend 2. Ça peut sembler étrange vu qu'Ubisoft détient la licence HoMM mais c'est finalement pas si éloigné d'un Dotemu qui produit un Streets of Rage dont la licence appartient toujours à Sega...
En octobre 2024, le DLC Frostline était sorti pour DayZ, ce fameux simulateur de caca dans les buissons, avec éventuellement, parfois, des zombies. Il y a quelques jours, on a pu voir un teaser pour le prochain DLC, Badlands. Exit la neige et le froid, direction le désert et sa chaleur extrême, histoire de coller avec l’actualité.
C’est sans doute une très bonne nouvelle pour les joueurs, qui ne semblent pas se lasser. En effet, ils sont toujours entre 40 000 et 55 000 tous les jours sur Steam à se trahir pour un rouleau de PQ. Un peu de variété dans les environnements ne pourra pas faire de mal. À la rédac, on s’était rapidement lassés de l’accès anticipé interminable, si bien qu’on l’avait laissé de côté à sa sortie en version 1.0, en 2018. Et il ne nous a pas spécialement attirés depuis. Mais qui sait, peut-être qu’on sera un peu plus intéressés par DayZ 2 ?
Pour en revenir au prochain DLC de DayZ, Badlands, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intéresse, mais pour l’instant, aucune date de sortie n’a été communiquée. Si l’on se base sur le prix de Frostline, il devrait être proposé à 27 € minimum. Et vous devrez posséder le jeu de base, vendu à 24 €.
Malgré une pause de 18 ans depuis sa dernière apparition sur une plateforme de salon, la franchise Tokyo Xtreme Racer a effectué un retour gagnant en débarquant sur Steam en janvier. Son statut de jeu en accès anticipé ne l'a pas empêché d'être plébiscité par les fans de course urbaine, qui ont découvert ou redécouvert cette franchise de niche.
Après avoir avancé, en privé, qu'il préférait que Death Stranding 2 : On The Beach crée la polémique à la sortie, Hideo Kojima s'est finalement félicité de son accueil critique plus favorable que pour le premier épisode. Y'a pas de mal à se faire du bien.
L'annonce du report de Heroes of Might & Magic : Olden Era a désormais beaucoup plus de sens : il y avait du mouvement chez Unfrozen, Ubisoft, et maintenant Hooded Horse. L'éditeur de Manor Lords & Against The Storm se chargera en effet de l'édition du titre, en renfort d'Ubisoft.
Après l'extrême densité de juin, la première quinzaine de juillet 2025 s'annonce légèrement plus tranquille sur le Xbox Game Pass. Mais le retour de Tony Hawk va forcément faire tourner quelques têtes (et quelques planches).
Donkey Kong Bananza ressemble fortement à Super Mario Odyssey, Nintendo confirme ce que tout le monde pensait, mais il reste encore plusieurs points à éclaircir.
Après le succès critique de son dernier titre en date, qu’est Death Stranding 2: On the Beach, Hideo Kojima s’exprime quant à ses envies futures. Nous connaissons ce créateur pour ses idées folles, mais celle concernant l’envie de partir dans l’espace pour y créer un jeu vidéo est tout simplement incroyable. Ajoutez à cela que Hideo Kojima souhaite y rester plus longtemps pour comprendre le fonctionnement d’une station, l’idée fait rêver.
C’est lors du festival du film de Sydney qu’Hideo Kojima, suivi par le magazine The Guardian, s’est exprimé sur l’un de ses rêves les plus fous : aller tout simplement dans l’espace pour y créer un jeu. En effet, l’industrie du tourisme spatial est en plein essor, et cela peut donner des idées à des artistes tels que Kojima. Toutefois, à l’instar des stars ayant déjà été envoyées en orbite, Kojima souhaite y rester plus longtemps. L’idée derrière cette envie est surtout de comprendre réellement la vie dans l’espace, que cela soit d’apprendre l’amarrage, d’aller à la Station spatiale internationale (ISS).
Sans chercher un but scientifique, son envie première est avant tout de faire des jeux dans l’espace, et surtout être le premier à le faire. En dehors de cette envie, ce qui pousse Kojima à vouloir aller dans l’espace est aussi cette envie de faire comme Tom Cruise. Comme l’acteur, il souhaite réaliser des choses dangereuses pour se sentir vivant, il souhaite réellement découvrir sa valeur lorsqu’il met sa vie en jeu.
Il est clair qu’Hideo Kojima reste un personnage mystérieux et un artiste un peu fou sur les bords, mais ce genre d’envie peut résulter en une future incroyable création. Reste à savoir si cela se réalisera un jour, sachant que, pour rappel, Hideo Kojima fêtera ses 62 ans en août.
Nous avons eu droit à trois heures sur Donkey Kong Bananza, qui ont fait office d'apéritif bien copieux en attendant le jeu final. Une petite session qui confirme que le singe de Nintendo est de retour en grande forme.