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Disponible depuis 2019 sur les consoles de la génération précédente et sur PC, Phoenix Wright: Ace Attorney Trilogy bénéficie d’une belle surprise en cette fin d’année, grâce à Capcom. Une mise à jour majeure est désormais disponible sur tous les supports, apportant de nouvelles fonctionnalités qui rappellent celles proposées dans les dernières compilations de la licence.
Alors que les joueurs français attendent toujours avec impatience une traduction de The Great Ace Attorney Chronicles, Capcom sort de son chapeau une mise à jour surprise 1.03 pour Phoenix Wright: Ace Attorney Trilogy. Parmi les nouveautés, on retrouve dans le menu principal un mode Galerie permettant d’écouter les musiques des trois épisodes, ainsi qu’une fonction de création de scènes avec les personnages emblématiques de la trilogie.
Voici le patch note complet de cette nouvelle mise à jour :
Pour rappel, Phoenix Wright: Ace Attorney Trilogy est disponible sur PS4, Xbox One, Nintendo Switch et PC.
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Aussi culte soit la saga Dragon Quest, certains épisodes ne sont arrivés que tardivement dans nos vertes contrées, et ce, plusieurs années après leur sortie. C’est la raison pour laquelle Square Enix a entamé un travail de refonte des premiers opus de la franchise en s’inspirant du design réussi d’Octopath Traveler, faisant de Dragon Quest I & II HD-2D Remake et Dragon Quest III HD-2D Remake des réussites. Et si l’on aurait logiquement pu s’attendre à un remake du quatrième opus, l’éditeur a surpris les fans en annonçant un remake de Dragon Quest VII le 12 septembre dernier. Nous avons pu poser les mains sur cette refonte du jeu et cette première approche fut évidemment des plus charmantes.
Preview réalisée sur PS5 lors d’une session de jeu organisée dans les locaux de l’éditeur
Depuis les remakes de Dragon Quest I, II et III – et plus généralement depuis la sortie d’Octopath Traveler – Square Enix a trouvé dans le style HD-2D une direction artistique qui puise dans le traditionnel pixel art tout en le remettant au goût du jour avec de la 3D, le tout pour donner un effet diorama saisissant. Une patte qui leur est propre et qui, semble-t-il, leur réussit assez. Aussi, il aurait été logique de s’attendre à retrouver un tel visuel pour un remake de Dragon Quest VII.
Pourtant, la direction prise est complètement opposée cette fois-ci. Fini le pixel art et les sprites en 2D, le jeu s’offre des graphismes en 3D avec une vue qui s’inspire toutefois du jeu original. En découle donc une direction artistique réussie et maîtrisée : les décors, qui ressemblent presque à des maquettes, accueillent les modèles 3D des personnages, modélisés à l’aide de poupées créées à la main dans la vraie vie. Cela donne un effet presque poupon aux personnages et offre au jeu un charme unique dont on ne risque pas de se lasser. Ce qui fonctionne étrangement assez bien avec le chara design du légendaire Akira Toriyama, que l’on ne présente plus, et qui a su insuffler dans la licence un style que l’on reconnaît parmi des dizaines.
D’ailleurs, l’ensemble des décors n’est pas en reste, avec des tons légèrement délavés donnant un aspect onirique à l’ensemble. Visuellement, la réussite est totale et on ne peut que saluer le travail des artistes ayant contribué à un tel résultat. Notez par ailleurs que les captures d’écran intégrées à l’article ont été fournies par l’éditeur et n’ont pas été prises par nos soins lors de la session de jeu (d’où les textes en anglais). Nous avons toutefois expérimenté la version PS5 du jeu, sur un modèle standard de la console, tournant sans aucune embûche, et évidemment en version française avec les voix japonaises.

Vous vous en doutez probablement, Dragon Quest VII Reimagined ne se pare pas uniquement de sa plus belle robe mais en profite également pour retravailler sa copie niveau gameplay. Cela débouche sur une jouabilité plus fluide et plus fine, qui ne déconcertera pas les plus fervents amateurs de la saga. Les personnages disposent toujours de plusieurs actions : attaquer, défendre, utiliser un objet ou une compétence. Mais les développeurs n’ont pas mis de côté les spécificités de gameplay du jeu d’origine, puisque l’on retrouve évidemment le système de vocations, qui consiste globalement à attribuer un job à un personnage. Chaque vocation permet d’ouvrir la voie à de nouvelles compétences pour personnaliser sa stratégie et créer des synergies avec les différents membres de l’équipe.
La session de jeu à laquelle nous avons participé nous a permis de jouer sur deux segments du jeu. Le premier fut l’occasion de prendre en main le titre le temps d’une quête dans le village de Brasilia. Située assez tôt dans l’aventure, elle nous a présenté les premiers protagonistes et nous a permis d’affronter un boss. Avant cela, il fut possible d’explorer une partie de la map disponible, assez pour se rendre compte que les rencontres ne sont plus aléatoires, puisque les ennemis se baladent librement, nous permettant d’éviter les confrontations en cas de situation délicate ou bien de déclencher une attaque pour prendre l’avantage lors du lancement du combat. Néanmoins, le début du jeu ne semble présenter aucun pic de difficulté, puisque même le boss est tombé sans problème.

La deuxième section du jeu présentée, plus avancée dans l’histoire, fut l’occasion de découvrir l’une des particularités du gameplay. En effet, désormais, les personnages peuvent équiper deux vocations simultanées, ce qui permet notamment d’explorer leur arbre de compétences respectif plus rapidement, mais aussi de faire davantage d’essais en matière de stratégie, jusqu’à trouver celle qui vous semblera optimale. Toujours au rang des nouveautés, on note l’apparition d’un mode Frénésie, qui se déclenche lorsqu’un héros se fait attaquer à répétition. Passer dans cet état permet d’activer une capacité spéciale qui diffère en fonction des vocations équipées, ce qui est particulièrement utile contre des ennemis retors ou des boss récalcitrants.
Dragon Quest VII Reimagined nous a laissé avec une impression assez rafraîchissante, sans doute de par sa direction artistique unique et léchée. Si tout le monde ne sera pas forcément séduit par l’aspect légèrement déformé des personnages, le jeu est visuellement séduisant. L’enrobage est d’ailleurs sublimé par le retour de nombreuses mélodies cultes, toujours aussi bien orchestrées. Les ajouts effectués au gameplay et les améliorations de Quality of Life, comme la possibilité d’augmenter la vitesse des combats ou encore de passer en mode automatique, sont autant de petits éléments qui jouent en faveur d’un titre culte qui sera à redécouvrir le 5 février 2026 sur PC, PS5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch et Nintendo Switch 2.

Cette première approche de Dragon Quest VII Reimagined fut plus que convaincante, mais qui s’en doutait ? Si l’on peut encore émettre des réserves sur la narration et l’histoire, du fait du peu de temps qu’il nous a été donné face à l’immensité de l’aventure globale, ce que nous avons vu laisse présager un remake de qualité qui ne renie jamais ses origines et puise dans la modernité pour proposer une expérience des plus agréables, dans la veine de ce que la série sait offrir. Avec ses améliorations de gameplay, le jeu devrait séduire aussi bien les amateurs de la franchise que les nouveaux venus en manque d’aventure.
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