↩ Accueil

Vue normale

Reçu aujourd’hui — 25 novembre 2025 3.1 🎲 Jeux

Factor Motorsport : padanagua et Xavor se comparent les leviers (de vitesses)

25 novembre 2025 à 08:00
Vroom vroom, ici le X2C au feu rouge, le pied gauche sur l'embrayage et la main droite serrant virilement le levier de vitesses, prêt à cramer de la gomme. S’il y a bien des accessoires que je mettrais bon derniers dans les priorités d’achat au moment de s’équiper pour la simu de voiture, ce serait les leviers de vitesses. Généralement, les volants arrivent avec les palettes à l’arrière et puis voilà, pas besoin d’autre chose si on se cantonne aux F1 ou...

Assassin's Creed Shadows et L'Attaque des Titans : en voilà un crossover sorti de nulle part

25 novembre 2025 à 08:07
Dans un crossover que personne n’avait coché sur sa grille de bingo 2025, Ubisoft a annoncé un événement in-game entre Assassin’s Creed Shadows et Attack on Titan. Parce que rien ne dit "fêtes de fin d’année" comme des rituels interdits et des humanoïdes de 15 mètres. L’événement aura lieu du 25 novembre (oui, c'est aujourd'hui) au 22 décembre et s’accompagne d’un nouveau contenu narratif gratuit.

TEST Dispatch : I need a Hero

25 novembre 2025 à 02:27

AdHoc Studio signe une première création qui assume pleinement ses racines Telltale tout en y apportant sa propre touche d’originalité. Pensé comme une série animée interactive en huit épisodes, Dispatch mêle comédie de bureau super-héroïque et gestion de missions. Aux commandes de Robert, ex-Mecha Man reconverti en opérateur, le joueur enchaîne scènes dialoguées à choix multiples et supervision de la Team Z sur le terrain.

Test réalisé sur PC grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur

Le Pôle Emploi des Super-héros

AdHoc Studio est un jeune studio indépendant fondé en 2018 à Los Angeles par d’anciens vétérans de Telltale Games, qui ont notamment travaillé sur The Walking Dead, The Wolf Among Us ou encore Tales from the Borderlands. Leur objectif : prolonger l’héritage du jeu narratif à choix multiples, avec une forte mise en avant des personnages et des dialogues. Après quelques années passées surtout en coulisses (co-développement, partenariats, dont The Wolf Among Us 2), le studio se concentre finalement sur sa première véritable création originale : Dispatch, une aventure découpée en huit épisodes d’environ quarante minutes chacun, pensée et structurée comme une série animée Netflix, avec une diffusion par salves de deux épisodes par semaine, à la manière des productions des grandes plateformes de streaming.

Images de Dispatch
Meca Man, un héros en fin de course

Dispatch est une aventure narrative épisodique présentée comme une comédie de bureau super-héroïque. On y incarne Robert Robertson III, ex-super-héros connu sous le nom de Mecha Man, qui a perdu son armure et se retrouve à travailler dans un centre d’appels : le Superhero Dispatch Network. Depuis son open space et une interface façon vieux PC, il doit envoyer en mission une équipe de super-héros, souvent d’anciens super-vilains en reconversion, gérer leurs ego, répondre aux urgences sur la carte de la ville et assumer les conséquences de ses choix de dialogues comme de gestion. Le cœur du jeu repose sur cette tension entre la grandeur passée de Robert, héros en armure, et son nouveau rôle de manager débordé mais terriblement humain. À noter d’ailleurs que Dispatch s’adresse clairement à un public adulte, le jeu multipliant les références et sous-entendus plus ou moins explicites sous la ceinture qui ne parleront pas forcément aux plus jeunes. Il sera aussi possible d’activer une censure visuelle pour certaines parties un peu chaudes ou jugées vulgaires par certains.

Team Z comme LoZers

Côté gameplay, Dispatch s’inscrit clairement dans la lignée des anciennes productions Telltale. Le cœur de l’expérience reste une succession de scènes cinématiques où l’on enchaîne les dialogues, les choix et quelques QTE légers. Le joueur est régulièrement invité à trancher dans les conversations, ce qui peut, à terme, influencer surtout le relationnel entre les personnages et faire varier certains dialogues ou situations. On reste dans une narration très balisée : les grandes lignes de l’histoire changent peu, mais le ton, les réactions et la dynamique de l’équipe peuvent évoluer en fonction de votre façon d’incarner Robert.

Images de Dispatch
Gérez la Team Z en les envoyant en mission

La seconde couche de gameplay, plus originale, repose sur la gestion de la Team Z, une brochette de supervilains bras cassés reconvertis comme superhéros. En tant qu’opérateur, Robert assigne ses héros aux différentes interventions qui s’affichent sur la carte de Torrance. Chaque membre de l’équipe possède ses propres statistiques et peut débloquer des capacités offrant des bonus dans certaines situations. Une mission réussie permet de gagner des points à investir pour améliorer ses stats. Un échec, au contraire, inflige des malus plus ou moins gênants. Des imprévus viennent régulièrement bousculer le plan parfait : événements de dernière minute, incidents sur le terrain, caprices de l’équipe… Robert doit parfois lui-même mettre la main à la pâte via de petits mini-jeux de piratage pour soutenir son escouade.

Images de Dispatch
Améliorez les capacités de vos héros

Si ces séquences de gestion rythment constamment les huit épisodes, AdHoc parvient à injecter de nouvelles idées au fil de l’aventure, afin d’éviter la routine. Seul bémol notable : il n’y a aucune part d’aléatoire dans ces phases. Les missions, les retournements et les mini-jeux surviennent toujours au même moment d’une partie à l’autre, ce qui limite un peu la rejouabilité pour ceux qui espéraient un côté procédural ou au moins plus imprévisible.

Un retour aux sources réussi

Sur le plan visuel, Dispatch adopte une esthétique très cartoon qui n’est pas sans rappeler la série Invincible, dont il semble clairement emprunter certains codes. AdHoc Studio rompt ainsi avec la patte Telltale popularisée depuis The Walking Dead, un style cel-shading 3D qui vieillissait de moins en moins bien au fil des années. Ici, la direction artistique mise sur des couleurs vives, des silhouettes marquées et une mise en scène très dynamique. Le travail sur les ombres et les aplats est tel qu’on en vient parfois à oublier que le jeu est entièrement en 3D, tant l’illusion d’un dessin animé 2D fonctionne bien, à l’exception de quelques plans qui trahissent la méthode de conception d’origine.

Images de Dispatch
Dispatch comporte quelques choix cruciaux pour le reste de l’aventure

Le doublage, entièrement en anglais, bénéficie d’un casting impressionnant : Aaron Paul, Laura Bailey, Matthew Mercer… mais aussi des figures bien connues du YouTube anglosaxon comme Charlie White (MoistCr1TiKaL / penguinz0), Sean McLoughlin (Jacksepticeye) ou encore Alannah Pearce. Chacun incarne son personnage avec une vraie personnalité, ce qui contribue beaucoup à rendre la Team Z immédiatement attachante. En revanche, on pourra tiquer sur la traduction française, parfois trop approximative ou maladroite, qui fait régulièrement perdre un peu de saveur à des répliques pourtant très bien écrites en VO.

Enfin, Dispatch propose deux manières d’aborder l’aventure : un mode cinématique ou un mode intéractif. Dans ce dernier, le joueur est invité à réaliser quelques QTE lors de certaines séquences, mais leur intérêt nous semble assez limité : leur impact sur le déroulement de l’histoire reste très faible, voire inexistant, loin de ce que peuvent offrir des productions Quantic Dream ou Supermassive. Les rares variations par rapport au mode purement cinématique ne se déclenchent, le plus souvent, qu’en cas d’échec, et encore : il s’agit de modifications très mineures sur l’instant, sans réelle conséquence sur les événements à venir. Il est fortement conseillé de jouer avec une manette compatible, le jeu étant en QWERTY et les touches ne pouvant être modifiées dans les options. Cela peut rendre les séquences de piratage particulièrement pénibles si vous ne passez pas votre clavier en mode QWERTY pour l’occasion.

Images de Dispatch
Robert devra faire usage de ses talents de pirate pour donner un coup de main à la Team Z

Dans le même esprit, on regrettera l’impossibilité de passer les séquences de piratage ou de lancer une résolution automatique des missions de la Team Z. C’est d’autant plus dommage que Dispatch est tellement pensé comme un show Netflix qu’on aimerait presque pouvoir le regarder comme une série : lancer un épisode, laisser le jeu dérouler les actions de lui-même et simplement profiter de l’histoire, confortablement installé dans son canapé.

Verdict

Finalement, Dispatch s’impose comme une première création très solide pour AdHoc Studio, qui réussit à prolonger l’héritage Telltale tout en trouvant sa propre identité. Sa structure en huit épisodes façon série Netflix, sa direction artistique cartoonesque proche d’Invincible et son casting vocal cinq étoiles en font un véritable show interactif qu’on prend plaisir à suivre du début à la fin. La gestion de la Team Z apporte une touche de gameplay plus systémique bienvenue, même si l’absence totale d’aléatoire et l’impact parfois limité des décisions réduisent un peu la rejouabilité et la sensation de poids des choix. Le fameux mode dynamique, bien qu’optionnel, et ses QTE semblent d’ailleurs plus cosmétiques qu’autre chose, loin des sueurs froides provoquées par un titre Quantic Dream ou Supermassive. On pourra aussi reprocher l’impossibilité de zapper certaines séquences de piratage ou d’automatiser les missions, alors même que le jeu donne furieusement envie d’être regardé comme une simple série. Ajoutez à cela une traduction française parfois approximative, et vous obtenez un jeu imparfait, mais terriblement attachant, porté par une écriture adulte, drôle, volontiers grivoise, et des personnages qu’on a clairement envie de retrouver pour une éventuelle saison 2.

Cet article TEST Dispatch : I need a Hero est apparu en premier sur JVFrance.

FEROCIOUS libérera ses dinosaures le 4 décembre et proposera d’en faire des amis pour la vie

Par :Loulou
25 novembre 2025 à 00:32

Durant l’OTK Winter Games Expo qui s’est déroulé le 22 novembre, OMYOG, le studio derrière le développement du FEROCIOUS, a dévoilé que leur FPS d’action et de dinosaures apprivoisables sortira le 4 décembre. À la rédac, on restait un peu dubitatif par cette annonce, car on aurait parié que les devs auraient préféré s’accorder plus temps pour peaufiner leur jeu, vu la dernière vidéo de gameplay. Finalement, il n’en est rien. Pour marquer l’occasion, une nouvelle bande-annonce a été diffusée et on y découvre un nouvel équipement de haute technologie, le DCD, pour transformer les dinosaures en super alliés. Ici, c’est de la science, pas comme un certain Far Cry où on balance de la viande avariée et des câlins pour faire ami-ami avec les prédateurs de la nature.

De plus, il y a des séquences de gunfight nerveux avec une IA débile, des explosions, un ragdoll marrant et des dinosaures qui sont de véritables bulldozers. Difficile d’être hype par ce trailer, à moins que vous soyez fans de grosses dindes. Si on baisse drastiquement nos attentes et en faisant abstraction de quelques défauts comme la modélisation de ce bras par exemple, l’expérience pourrait être sympa malgré tout. Et voir des dinos bouffer des gens, c’est trop marrant !

Préparez vos bagages et votre kit de survie pour le voyage exotique dans le monde de FEROCIOUS prévu ce 4 décembre. En attendant sa sortie, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé. À la rédac, on ne l’est pas du tout : la démo était nulle à chier.

The Mall, une nouvelle mise à jour pour PIGFACE

24 novembre 2025 à 22:47

En octobre dernier, le développeur de PIGFACE a publié sa roadmap, annonçant de nouveaux ajouts dès le mois de novembre. Dans cette mise à jour, on découvre l’ajout d’une nouvelle map, The Mall. Ce grand centre commercial sera l’occasion pour Exit de faire un petit tour de montagnes russes, tout en dézinguant les gangs qui se sont appropriés le lieu. Pour ceux qui découvre PIGFACE, il s’agit d’un rétro-FPS ultra violent et nerveux, où votre protagoniste doit exécuter des contrats reçus par téléphone sous peine de se faire exploser la tronche par le biais d’une bombe implantée dans le crâne.

Avec cette première mise à jour, le jeu s’étoffe également de nouvelles armes comme une tronçonneuse, une crosse de hockey ou encore un USAS-12. De nouveaux ennemis et un nouveau masque axé sur le combat au corps à corps ont aussi été ajoutés. Une bonne excuse pour retourner sur le jeu, qui malgré une durée de vie beaucoup trop courte, procure de bonnes sensations de de tir old-school avec un gameplay simple, mais efficace. Notre test vous en dira un peu plus. S vous souhaitez découvrir l’intégralité du cette MAJ, c’est par ici.

PIGFACE est toujours en accès anticipé sur Steam et récolte de très bon avis. Pour moins de 10 €, pourquoi s’en priver ? Si vous êtes une personne pingre, la démo est toujours disponible.

Reçu hier — 24 novembre 2025 3.1 🎲 Jeux

Wrack Remake change son nom en Wrack: Reclamation juste avant sa sortie pour être sûr de faire un plus gros bide

Par :Loulou
24 novembre 2025 à 21:40

Sorti dans l’indifférence générale ce 23 novembre, Wrack: Reclamation, anciennement le remake du rétro-FPS Wrack de 2014, a eu un démarrage bien difficile avec un pic de 10 joueurs. En premier lieu, vous aurez remarqué qu’il n’est plus de question de Wrack Remake. En effet, en ce début de mois, les devs ont eu une illumination en publiant un billet de blog Steam qui était passé sous nos radars, pour annoncer que les deux projets bien distincts, Wrack: Reclamation et Wrack Remake, deviendraient un unique jeu Wrack: Reclamation. En deuxième lieu, à l’instar du jeu d’origine, Wrack: Reclamation sera composé de trois épisodes dont le deuxième est en cours de production et l’avenir du troisième est plus qu’incertain.

Notre expert Bulincette avait pu faire une preview sur une build de ce que fut Wrack Remake et l’avait plutôt apprécié, même si quelques défauts devaient être encore corrigés (équilibrage des armes et de l’IA). Le jeu a l’air plutôt sympa avec un style graphique emprunté aux comics et un gunplay qui a l’air assez nerveux. Mais vu l’engouement actuel, le studio aura fort à faire pour convaincre les joueurs avec l’épisode deux qui n’a pas de date de sortie.

Si vous êtes malgré tout emballé et nostalgique de cette licence, Wrack: Reclamation bénéficie actuellement d’une promotion de lancement de -10 % jusqu’au 29 novembre sur Steam, soit un peu moins de 14 €.

TEST Call of Duty: Black Ops 7 : le multijoueur pour sauver les meubles

Par :Goufixx
24 novembre 2025 à 19:51

En cette fin d’année 2025, les joueurs ont l’embarras du choix en matière de jeux de tir multijoueur : Battlefield 6, ARC Raiders ou encore Call of Duty: Black Ops 7. C’est ce dernier qui nous intéresse aujourd’hui, puisque nous avons pu tester le nouvel opus signé Treyarch, lequel propose une fois de plus un contenu conséquent. Cependant, si le mot quantité rime avec qualité, ce dicton ne s’applique pas forcément à cet épisode… bien au contraire.

Test réalisé sur PS5 Pro grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur

Une campagne complètement à l’Ouest

Ce premier intertitre fera sans doute sourire les fans de la franchise : qui achète un Call of Duty pour sa campagne solo ? Et pourtant, plus de joueurs qu’on ne l’imagine investissent chaque année dans le titre pour profiter d’une histoire volontairement nanardesque. Il est donc important de lui accorder un certain temps, contrairement aux développeurs qui semblent lui en avoir consacré bien trop peu. Premier détail révélateur : ce mode ne s’appelle pas « Campagne », mais « Campagne en Coop ». Jouable jusqu’à quatre joueurs en ligne (sans coopération locale), il reste accessible en solo… mais avec une connexion Internet obligatoire. Et gare aux pauses trop longues : vous serez éjecté du serveur et renvoyé à la case départ, regrettable en 2025.

La campagne de Call of Duty: Black Ops 7 débute en 2035, dans un monde ravagé par des conflits brutaux et une guerre psychologique. David Mason et son unité du JSOC sont envoyés en mission secrète dans la cité méditerranéenne d’Avalon, où ils découvrent un complot capable de plonger la planète dans le chaos. Un pitch qui rappelle les films de série Z diffusés sur MCM le dimanche soir, et qui devient rapidement embarrassant au fil des onze missions. Chaque joueur incarne un membre de l’unité, avec à la clé des plongeons des séquences de folie et de paranoïa en raison d’un mystérieux poison. On y croise des scènes surréalistes : couteaux géants, boss dignes d’un Megazord… Seules lueurs d’espoir : des cinématiques photoréalistes réussies et une OST solide, portée par le compositeur américain Jack Wall (Mass Effect, Black Ops 2, Black Ops 3, Cold War), qui démontre une nouvelle fois sa maîtrise avec des compositions parfaitement dans le ton.

TEST COD Black Ops 7 - Campagne de rêve
Certaines séquences sont assez surréalistes pour un Call of Duty

Comptez cinq à six heures pour boucler la campagne, avec ses onze missions. Pour un jeu vendu plein tarif, on pourrait critiquer cette durée réduite, mais face à une bouillie scénaristique, ce n’est peut-être pas plus mal. La fin réserve toutefois un bonus accessible à tous depuis la mise à jour du 21 novembre 2025 : le mode Phase Finale. Débloqué après la campagne, il propose une carte principale jouable jusqu’à 32 joueurs, répartis en escouades de quatre soldats. L’objectif : explorer Aragon, accomplir des missions générées aléatoirement et survivre malgré une difficulté croissante. Attention : en cas de mort, vous perdez vos équipements, il faut donc réussir son exfiltration. Sur le papier, ce mode est une bonne idée. Mais dans les faits, les objectifs répétitifs n’incitent pas à prolonger l’expérience. Dommage.

Un mode Zombies qui manque de variété

Comme pour chaque épisode de Black Ops, les joueurs attendent avec impatience l’arrivée du mode Zombies. Cette année, une seule nouvelle carte est proposée : Ashes of the Damned. Présentée comme la plus grande jamais conçue pour ce mode, elle offre un terrain de jeu vaste, avec quelques zones d’exploration et surtout de nombreuses routes à parcourir en véhicule. Grande, certes, mais loin d’être la plus vaste à explorer à pied. Pour les débutants, le mode reste peu accessible, les explications étant limitées.

On retrouve néanmoins les atouts, les pouvoirs spéciaux et des armes toujours plus extravagantes, mais redoutablement efficaces face à des infectés de plus en plus coriaces. Plusieurs variantes sont disponibles : un mode survie pure, ou une progression plus classique avec des objectifs à remplir pour avancer dans la quête visant à enrayer l’épidémie. À noter que sur PC et consoles nouvelle génération, le mode est jouable en local jusqu’à deux joueurs (ou quatre en ligne), ce qui n’est pas possible sur PS4 et Xbox One pour des raisons techniques selon l’éditeur.

TEST COD Black Ops 7 - Mode Zombies avec véhicule
On passera du temps à traverser les routes du mode Zombies

La bonne surprise du Zombies cette année vient du retour de Dead Ops Arcade, désormais dans une quatrième version. On y retrouve une mise en scène ubuesque, bien plus légère que la campagne solo, avec une caméra en vue de dessus et un gameplay résolument arcade. Le principe reste simple : éliminer des hordes de zombies en coopération locale ou en ligne, dans ce twin-stick shooter qui avait déjà fait ses preuves dans les opus précédents. L’objectif est de survivre le plus longtemps possible, mais les infectés ne vous lâcheront pas d’une semelle. Jouable jusqu’à quatre joueurs en ligne, ce mode constitue sans doute l’une des réussites de cet épisode, aux côtés d’un multijoueur classique toujours aussi solide.

Le mode multijoueur : baroud d’honneur

Tous les modes de jeu de Call of Duty: Black Ops 7 sont jouables en ligne avec des amis, mais le principal attrait de cet opus reste son multijoueur, qui nous a une nouvelle fois convaincus malgré quelques couacs. On retrouve un gameplay nerveux, exigeant une concentration constante pour éviter de mourir à répétition. Ce dynamisme repose sur deux points : l’un positif, l’autre moins. Côté positif, les wall jumps apportent un déplacement plus naturel que dans certains épisodes futuristes. Cette mécanique est plaisante, mais reste sous-exploitée, la majorité des cartes n’en tirant pas pleinement parti.

En revanche, les séances de réapparition et de morts quasi instantanées s’enchaînent rapidement. Avec une vitesse de déplacement accrue et un time to kill encore plus bas que dans les précédents épisodes, quelques balles suffisent à éliminer un adversaire. La carte Nuketown 2025, de retour dans cet opus, illustre parfaitement ce problème : son terrain réduit entraîne des spawns mal calibrés et des enchaînements de morts frustrantes. Heureusement, le jeu ne se limite pas à Nuketown : pas moins de 18 cartes sont disponibles, dont 16 en 6v6 et 2 à grande échelle pour le mode Engagement. Les cartes 6v6 accueillent les modes classiques (match à mort par équipe, élimination confirmée, mêlée générale…) qui fonctionnent toujours aussi bien. Toutefois, aucune carte ne se démarque réellement cette année.

TEST COD Black Ops 7 - Opérateurs
De nombreux opérateurs sont déjà accessibles dès le lancement du titre

Comme dans les précédents opus, il faut choisir un opérateur en fonction de la faction attribuée en début de partie. Ces opérateurs ne disposent d’aucun pouvoir spécifique : il s’agit simplement de skins, ce qui évite les déséquilibres liés aux capacités spéciales. Un choix pertinent, surtout face à une boutique en ligne déjà bien garnie, avec deux packs proposés à 29,99 € et 19,99 €. Les classes sont toujours présentes, avec la possibilité de combiner des atouts issus de différentes branches (rouge, vert, bleu). Chaque arme nécessite d’enchaîner les éliminations pour gagner de l’XP et débloquer des accessoires supplémentaires, afin de trouver la configuration idéale. Les killstreaks restent incontournables et leur sélection doit être adaptée au mode de jeu choisi. La gestion est relativement simple, mais les menus mal organisés compliquent inutilement la navigation.

Verdict

Call of Duty: Black Ops 7 n’est clairement pas un bon épisode de la franchise : c’est indéniable. Avec une campagne complètement lunaire et un mode Zombies en manque de panache, les fans se rabattront sur un multijoueur heureusement toujours solide, porté par des cartes plutôt intéressantes et un gameplay toujours très nerveux. Le mode Phase Finale, quant à lui, reste dispensable, même si l’idée est séduisante sur le papier. Cette année, la concurrence s’est montrée plus convaincante, et nous vous recommandons donc de vous tourner vers ces autres propositions.

Cet article TEST Call of Duty: Black Ops 7 : le multijoueur pour sauver les meubles est apparu en premier sur JVFrance.

Assassin’s Creed Shadows : une collaboration avec un célèbre shōnen manga en approche

Par :Goufixx
24 novembre 2025 à 19:28

L’actualité autour de Assassin’s Creed Shadows ne faiblit décidément pas. Alors que le portage sur Nintendo Switch 2 est attendu la semaine prochaine, Ubisoft vient d’annoncer une nouvelle mission spéciale marquant une collaboration avec un célèbre shōnen manga.

Dès le mardi 25 novembre 2025, les joueurs pourront accéder à cette quête annexe exclusive, mais attention : elle ne sera disponible que jusqu’au 15 décembre 2025. Cette mission, inspirée de L’Attaque des Titans, mettra en scène nos deux protagonistes, chargés de traverser une mystérieuse caverne de cristal peuplée d’ennemis étranges, avant d’affronter un combattant final colossal.

En parallèle, des objets uniques liés à l’univers du manga seront proposés dans le store interne du jeu, également jusqu’au 15 décembre. Pour accompagner cette annonce, Ubisoft a diffusé une courte bande-annonce afin de donner un premier aperçu de cette collaboration événement.

Pour rappel, Assassin’s Creed Shadows est disponible sur PS5, Xbox Series X|S, PC et bientôt sur Nintendo Switch 2.

Cet article Assassin’s Creed Shadows : une collaboration avec un célèbre shōnen manga en approche est apparu en premier sur JVFrance.

Udo Kier, légende du cinéma de genre et du jeu vidéo, s’éteint à 81 ans

24 novembre 2025 à 18:01

Udo Kier, acteur fétiche du cinéma de genre et figure familière des fans de jeux vidéo, est décédé à l’âge de 81 ans. La cause du décès n’a pas été communiquée.

Né en Allemagne, Udo Kier entame sa carrière en 1966 dans la série télévisée Road to Saint Tropez. Très vite, il se fait remarquer par ses collaborations répétées avec l’artiste Andy Warhol et par ses rôles dans le cinéma de vampires, qui en font un visage iconique pour les amateurs de films de genre. Dans les années 1990, il touche un public plus large grâce à des apparitions dans des productions marquantes comme Ace Ventura: Pet Detective, Blade ou encore Johnny Mnemonic.

L’acteur s’est également illustré dans plusieurs adaptations de jeux vidéo au cinéma, notamment Far Cry et BloodRayne. Sa voix et sa présence ont traversé le médium vidéoludique au fil des décennies : il a incarné le personnage de Yuri dans Command & Conquer: Alerte Rouge 2 et son extension Yuri’s Revenge, le Dr Peter Staub dans Call of Duty: WWII, ainsi qu’Erich dans Martha Is Dead. Ces rôles, souvent militaires ou inquiétants, collaient à son aura singulière.

L’un de ses projets à venir les plus attendus était OD, le prochain grand jeu d’horreur de Kojima Productions, développé en partenariat avec Xbox Game Studios. Udo Kier y avait été annoncé aux côtés de Hunter Schafer et Sophia Lillis lors des Game Awards 2023. Hideo Kojima a toutefois indiqué sur X (Twitter) que le tournage avec l’acteur devait seulement commencer au printemps prochain, laissant entendre que Kier n’avait pas encore pu tourner ses scènes. On ignore pour l’instant si son rôle sera recasté, réécrit ou abandonné dans la version finale du projet.

Cet article Udo Kier, légende du cinéma de genre et du jeu vidéo, s’éteint à 81 ans est apparu en premier sur JVFrance.

❌