One More Level, le studio derrière Ghostrunner et Ghostrunner 2, continue le développement de leur prochain jeu, Valor Mortis. C’est par le biais d’un trailer qu’on découvre un nouveau lieu ravagé par les flammes et la peste pourpre. Cette bande annonce nous dévoile aussi plusieurs nouveaux ennemis comme des villageois mutants, mais aussi des soldats d’élite appelés les Implacables. Comme leur nom l’indique, ils seront plus rapides, plus agressifs et plus dangereux.
Comme dans tout Souls-like qui se respecte, il y a toujours un monstre plus gros que les autres. C’est ce qu’on découvre à la fin de la vidéo, avec la présentation du sergent Gaspard Dubois, une espèce de gros furoncle avec un canon obusier à la place de la main, qui donnera certainement du fil à retordre, même aux joueurs aguerris, si on se base sur notre expérience de la précédente démo.
Après un retour très positif des playtests en octobre dernier, les devs de Valor Mortis ont pu recueillir de nombreuses statistiques. Dans le billet de blog de Steam, ils précisent notamment que de nombreux combats ne sont pas menés à terme, ce qu’ils expliquent par une déconnexion, un bug ou une sortie de zone. Mouais… On pense surtout que de nombreux rageux ont utilisé la fameuse compétence « Alt-F4 » après s’être fait littéralement défoncer par un Elite.
Avec un gameplay et une direction artistique qui donnent franchement envie, on a hâte d’être en 2026. Si comme nous, vous avez été convaincu, vous pouvez ajouter Valor Mortis à votre liste de souhaits sur Steam.
En quête d'un plus grand nombre de développeurs pour assurer davantage de développement en interne, Nintendo vient de procéder à une nouvelle acquisition de studio.
Blizzard lève enfin le voile sur la date de sortie de Midnight, la prochaine extension de World of Warcraft. Le studio partage au passage de nombreuses informations sur ...
Le géant chinois, déjà omniprésent dans le jeu vidéo, les réseaux sociaux et le cloud, lance mondialement Hunyuan3D 2.0, un moteur open source capable de produire des modèles 3D photoréalistes à partir d’un simple texte, voire même de quelques traits griffonnés sur un coin de carnet.
Chez Sega, l'heure est à l'introspection (en apparence du moins). L'éditeur a récemment publié un résumé d'une séance de questions-réponses avec ses actionnaires, au cœur de son dernier bilan trimestriel, et fait le constat suivant : le public aime ses jeux, mais pas au point de les acheter (voire de les racheter) au prix fort.
Après une seconde annonce en fanfare il y a huit ans, BGE 2 se fait toujours attendre. Ubisoft dévoile des bribes d'informations via des offres de recrutement.
Point d'orgue des résultats financiers dévoilés hier soir par CD Projekt, Cyberpunk 2077 a dépassé les 35 millions d'exemplaires vendus dans le monde, un peu moins de cinq ans après sa sortie.
CD Projekt dévoile quelques informations intéressantes sur son FPS/RPG. Cyberpunk 2 va mobiliser des centaines de développeurs dans les années à venir.
Dans un monde de fantasy, l'apocalypse semble approcher. Tandis que des prédicateurs se multiplient et que d'étranges cultes effectuent des sacrifices sans se cacher, une armée se lève pour repousser le chaos.
Netflix poursuit sa grande opération ménage dans son offre gaming. Plusieurs titres majeurs s’apprêtent à quitter la plateforme, dont GTA : San Andreas, pourtant son jeu le plus téléchargé. Une décision qui interroge une stratégie déjà passablement nébuleuse.
Sans conteste l’un des FPS marquants de cette fin d’année, ARC Raiders est un extraction shooter à la sauce PvPvE développé par Embark Studios. Disponible sur PC, PS5 et Xbox Series, le jeu a su attirer les foules grâce à son gameplay, ses mécaniques et sa tension permanente. Vingt jours après sa sortie et quelques jours après la suite de sa saison 1, ARC Raiders mérite-t-il encore le coup d’œil, ou serez-vous confronté à des hordes de joueurs suréquipés au détriment du plaisir de jeu pour un débutant ?
Test réalisé sur PC à l’aide d’une version numérique fournie par l’éditeur.
Les robots dominent le monde
Fort de plus de quatre millions d’exemplaires vendus à l’heure où nous écrivons, le studio derrière The Finals a sorti fin octobre ARC Raiders, un extraction shooter se déroulant sur une Terre ravagée, dans un futur dystopique où l’humanité a dû fuir la surface, attaquée par de redoutables machines : les Arc. Vous incarnez un raider, un pillard dont la mission est de s’aventurer à la surface, en dehors de la ville souterraine fortifiée de Sperenza, pour récupérer des ressources et les ramener en sécurité. Indispensables à la survie, les raiders sont essentiels à la nouvelle société humaine ; mais une fois à la surface, aucun code légal ou moral ne s’applique.
À la surface, les menaces sont nombreuses et pas seulement robotiques. Orienté PvPvE, le jeu vous permet de vous associer à d’autres raiders, de les affronter ou de les trahir. C’est l’un des principaux attraits d’ARC Raiders : cette tension semi-permanente qui plane dès la montée sur le terrain. Les joueurs seront-ils alliés ou ennemis ? Surtout lorsque l’inventaire regorge de matériel rare : l’allié d’aujourd’hui peut devenir l’ennemi de demain, obligeant le joueur à rester constamment sur ses gardes et à guetter le moindre signe de trahison ; arme dégainée, grenade armée, regard insistant. Bref, de quoi devenir paranoïaque. Fort heureusement, durant la grande majorité de nos sessions en solitaire, la plupart des joueurs se sont montrés amicaux ; les rares escarmouches que nous avons subies survenaient notamment lors des parties en coopération.
En groupe de deux ou trois, ARC Raiders change radicalement d’atmosphère : la force du nombre fait pousser des ailes. Le matchmaking nous a semblé tout à fait équilibré, il n’est pas rare de tomber sur des parties avec de nouveaux venus et des vétérans et lors de nos affrontements entre joueur, l’équipement, même le plus commun, peut faire la différence face à des joueurs suréquipés. Lorsqu’un joueur tombe KO, il peut être réanimé gratuitement s’il fait partie de votre groupe ; sinon, il faut disposer d’un défibrillateur. Pour un titre dont les mécaniques reposent en grande partie sur les interactions sociales, cette restriction est regrettable, mais cela reste un détail. Le chat vocal facilite fortement la fraternisation, même s’il n’est pas obligatoire : quelques émotes simples tells que : salut, ne tire pas, ok, merci, pardon, suffisent à faire comprendre ses intentions. Le chat de proximité reste néanmoins l’option la plus efficace pour communiquer rapidement.
Ami ou ennemi ?
L’une des autres forces d’ARC Raiders réside dans la richesse de son bestiaire mécanique. Les Arc se déclinent en une grande variété de modèles, tous plus dangereux les uns que les autres : de la tique qui vous saute au visage à l’indomptable Bastion, en passant par l’impressionnante Reine. Chaque machine possède ses spécificités et son panel d’attaques. Idéalement, il convient d’adapter son arsenal à chaque situation : certains ennemis souffrent de faiblesses structurelles (rotules, tourelles), d’autres présentent des vulnérabilités élémentaires à découvrir. Il faut patience et équipement adapté pour en venir à bout. Le jeu est encore jeune et les développeurs laissent entendre que d’autres Arc viendront étoffer le roster.
Nombre d’Arc sont connectés entre eux : en attirer un peut en attirer d’autres à proximité, si bien que la discrétion est souvent de mise. Les caméras de sécurité ou encore les nuées d’oiseaux qui s’envolent à votre vue alerteront les Arc à proximité. Le tout est renforcé par un sound design très convaincant, que cela soit par les bruits de pas, de matériels qui s’entrechoquent ou les bruits environnementaux. ARC Raiders est véritablement convaincant sur ce côté et renforce grandement l’immersion et la tension en jeu. Idem, il est très facile de reconnaître un arc aux sons qu’il émet puisque chaque ennemi a sa propre signature sonore. Une variété riche qui s’apprécie. Les expéditions durent en moyenne une vingtaine de minutes ; plus vous restez longtemps dehors, moins les options d’extraction sont nombreuses. Il faut donc veiller au chrono et à la carte pour s’en tirer sain et sauf.
Vilain robot, à la niche
Home sweet home
En raison des dangers de la surface, l’humanité s’est réfugiée sous terre. Sperenza est l’un des derniers bastions : c’est là que les pillards reviennent après leurs expéditions. On y améliore son équipement, on achète du matériel, on craft des ressources, on recycle et on entrepose sa récolte. Autant d’actions disponibles dans un hub qui, malheureusement, est réduit à une interface de menus. Ce qui est fort dommage puisqu’un véritable hub ouvert avec personnages et joueurs aurait renforcé l’immersion. Cela aurait également permis de rencontrer d’autres joueurs pour, pourquoi pas, partir en expédition avec eux. Des missions auprès des PNJ de Sperenza permettent de prendre en main les mécaniques et d’en apprendre plus sur le lore. Accomplir des objectifs en surface rapporte de l’expérience (XP), permettant de faire monter votre raider de niveau et d’obtenir des points de compétences à dépenser dans un arbre de talents. Au-delà de la spécialisation, la personnalisation passe par des cosmétiques, gratuits ou payants. Certaines tenues se débloquent via la progression en jeu, d’autres via des achats réels : les prix des cosmétiques ont été jugés trop élevés par la communauté, et ont récemment été revus à la baisse.
La ville n’est réduite qu’à une simple interface
Les missions de surface consistent à récolter du butin ou à éliminer des cibles. Leur réussite octroie des objets et souvent de la monnaie virtuelle, utilisable pour acheter des cosmétiques ou le battle pass. Ces passes, ou decks, contiennent des paliers de récompenses : certains permanents, d’autres temporaires. À Sperenza se trouve votre base : stockage, recyclage, fabrication d’équipements et d’armes. C’est aussi là que vous vous équipez avant une expédition : armes, grenades, leurres anti-Arc, tyroliennes, mines, bloqueurs de porte, fusées éclairantes, bandages, etc. La variété d’équipements est appréciable et permet d’adapter sa stratégie selon qu’on privilégie la récolte ou le combat. Seul le corps à corps reste limité : le pied-de-biche est l’arme de mêlée standard pour forcer et fouiller les conteneurs. Attention : l’équipement emporté peut disparaître en cas de chaos. Alternativement, vous pouvez partir avec de l’équipement gratuit fourni par certains habitants de Sperenza ce qui évite d’avoir à organiser son inventaire avant de partir en expédition, ou alors, de risquer de le perdre. Boucliers et modules sont deux autres composantes essentielles de l’équipement. Les boucliers protègent contre les dégâts critiques, tandis que les modules modifient le sac à dos et l’endurance en fonction du style de jeu : combat, récolte ou stratégie.
Forcer les portes fait du bruitDu loot de différentes raretés
Les missions s’exécutent sur des cartes variées, débloquées au fil de la progression. Il nous a fallu atteindre environ le niveau 15 pour accéder aux dernières zones. Si Stella Montis, la dernière carte en date, a été ajoutée via une mise à jour gratuite, les développeurs évoquent déjà du contenu supplémentaire à l’approche des prochaines saisons. Les environnements actuels offrent forêts, marais, anciens centres de recherche et désert. Sur chaque carte, de nombreux lieux valent le détour et certains sites présentent un butin plus rare. Certaines zones ne sont accessibles qu’avec des clés spécifiques (à acheter, crafter ou looter) et prenez garde car d’autres raiders guettent souvent ces zones.
Les environnements sont très beaux
Verdict
ARC Raiders s’impose comme un extraction shooter efficace, mêlant tension, coopération et trahisons. Fort d’un bestiaire mécanique varié, d’un sound design immersif et d’expéditions courtes, mais intenses, il parvient à maintenir son attrait sans discontinuer. Si son hub réduit à de simples menus limite l’immersion et que certains choix ergonomiques peuvent frustrer, la richesse des équipements, la progression maîtrisée et la diversité des cartes compensent largement. Vingt jours après sa sortie, le titre d’Embark Studios montre encore un réel potentiel, soutenu par une communauté active et un contenu déjà étoffé. Les débuts sont prometteurs, et les futures saisons pourraient bien confirmer son statut de valeur sûre du genre.
Après des débuts plus que difficiles, Cyberpunk 2077 démontre son succès en franchissant le cap des 35 millions de copies vendues.
À sa sortie en décembre 2020, Cyberpunk 2077 avait pourtant tout d’un désastre et accumulait les polémiques : bugs omniprésents, remboursements massifs, retrait du PlayStation Store et procédures judiciaires… La liste des bévues est longue. Mais au fil des mois et des années, le studio a multiplié les correctifs et les améliorations, jusqu’à redorer son image. Les mises à jour majeures, puis l’extension Phantom Liberty et son succès critique ainsi que son portage sur Nintendo Switch 2 ont permis de continuellement faire augmenter les ventes. Les chiffres du dernier trimestre présentés lors du bilan financier de CD Projekt Red du troisième trimestre de 2025 témoignent de cette renaissance.
D’échec à succès, le titre a su se réinventer et son univers cyberpunk paraît désormais plus prometteur que jamais. Nous avons hâte de voir ce que l’avenir nous réserve le concernant.
À part l'excellent Sanctum et sa suite qui m'avaient mis une petite gifle à l'époque et la franche rigolade sur Orcs Must Die! et Dungeon Defenders, j'ai rarement accroché au genre du tower defense que je trouve rapidement ennuyeux. Mais lorsque le studio à l'origine du city builder en réalité virtuelle Little Cities sort le sien en réalité mixte, comment résister ?
Ancien réalisateur de The Witcher 3, Konrad Tomaszkiewicz a détaillé la philosophie derrière Blood of Dawnwalker, premier RPG du studio Rebel Wolves, au micro de nos confrères d'Eurogamer. Un projet qui entend se distinguer en assumant une structure radicalement différente.
Helldivers 2 continue tranquillement son bonhomme de chemin et propose maintenant de nouvelles armes pour se la jouer "guerre du Vietnam", les crimes de guerre et massacres de civils en moins.
Le 29 octobre 1988 est un jour saint. C'est celui du lancement de la Mega Drive au Japon, avec son choix pléthorique de deux jeux : Space Harrier II et Super Thunder Blade. Il y aurait dû en avoir trois, mais la sortie de Jūōki (獣王記) avait été décalée au 27 novembre, qui nous intéresse aujourd'hui. Et chez nous, le petit nom de Jūōki, c'est Altered Beast.
L’idée n’est pas d’attiser le conflit entre les deux licences, mais de montrer qu’il n’est justement pas nécessaire de chercher la comparaison. Découvrez l’interview de Ryosuke Hara, producteur du jeu Digimon Story: Time Stranger, et autour de quels enjeux s’est construit ce dernier titre de la licence des monstres virtuels.
Savoir différencier Digimon et Pokémon
Dans une interview accordé au journal anglais MCV/Develop, Ryosuke Hara s’est fait interroger sur les particularités du jeu Digimon Story: Time Stranger et sa réception critique. Un jeu dont nous avons particulièrement apprécié le contenu lors de notre test. Le producteur s’est alors exprimé sur son souhait de ne plus voir des comparaisons entre les deux licences que tout le monde considère comme rivales : Pokémon et Digimon.
« Il existe certes des similitudes en ce qui concerne la collection de monstres, et il est vrai que de nombreux joueurs apprécient les deux franchises.
En ce sens, les comparaisons sont compréhensibles et même attendues.
Cependant, comme vous l’avez souligné, Digimon et Pokémon sont fondamentalement différents dans leurs concepts de base et leur attrait. »
Ainsi, même si la comparaison est tout à fait naturelle pour le producteur, les deux licences peuvent très bien attirer un public commun à la recherche de deux expériences différentes. Il ne s’agit donc pas de marcher sur les mêmes plate-bandes qu’un concurrent, mais d’explorer des voies différentes.
Dans quel esprit a été créé Digimon Story: Time Stranger
Digimon Story: Time Stranger était donc pour Ryosuke Hara, une nouvelle occasion de faire découvrir l’attrait unique de la licence à de nouveaux joueurs. Cela a été fait en suivant des mécaniques d’introduction semblables à celles des jeux Pokémon : faire découvrir l’univers de Digimon à un protagoniste néophyte, puis introduire des concepts connus des plus vieux fans de la série lorsque l’histoire est installée et que les chapitres se succèdent.
« Se contenter d’explorer l’attrait de Digimon puissants comme les Olympos XII ne trouverait un écho qu’auprès des fans existants de Digimon. Nous avons donc veillé à introduire plusieurs mystères au début du récit, afin de susciter la curiosité et d’encourager tous les joueurs à avancer avec intérêt.
Au fur et à mesure que l’histoire progresse vers les chapitres intermédiaires, nous expliquons progressivement ce que sont les Digimon et comment ils s’intègrent dans le monde, dans le but de créer un sentiment naturel d’intrigue et d’engagement.
En ce qui concerne le monde numérique, nous avons volontairement évité d’y envoyer les joueurs dès le début. Au lieu de cela, nous leur permettons d’explorer d’abord le monde réel pendant un certain temps, ce qui contribue à renforcer leur immersion lorsqu’ils finissent par passer dans le monde numérique. »
Egalement dans l’interview, il a été demandé à Ryosuke Hara ce qui était le plus important pour la création d’un RPG de collecte de monstres. Selon lui, le principal attrait des jeux comme Digimon et Pokémon, ce sont les monstres eux-mêmes et la manière dont ils sont implémentés dans l’univers. Cela doit demander tous les efforts techniques et de la passion pour pouvoir offrir aux joueurs la meilleure qualité possible de cette expérience. Il faut expérimenter une véritable joie en découvrant de nouveaux compagnons et de les voir grandir à nos côtés lors d’une grande aventure.
Ainsi, si les deux licences Digimon et Pokémon se concentrent sur la qualité de l’expérience proposées aux joueurs, chacune d’elles peut le faire à sa manière, avec ses attraits qui la rendent unique. Après tout, même si Pokémon Z-A a déçu de nombreux joueurs avec sa qualité technique, le jeu a su proposer une bonne expérience et une histoire intéressante.
Déjà connu pour la qualité de ses jeux d’horreurs comme Layers of Fear ou plus récemment, le remake de Silent Hill 2, le studio polonais Bloober Team confirme son expertise dans le domaine de la peur en atteignant le demi-million de copies vendues avec Cronos: The New Dawn, un des coups de cœurs de cette année 2025 chez la rédaction.
Cronos: The New Dawn est un jeu d’horreur et de survie à la troisième personne, vous plongeant dans un monde post-apocalyptique, inspiré par les genres de l’horreur existentielle, l’architecture brutaliste, le rétro-futuriste polonais et les voyages temporels. Si une telle combinaison éloignait le plus grand nombre de son univers, Cronos: The New Dawn a tout de même su attirer de nombreux curieux et affiche fièrement les 500 000 copies vendues.
Alors que le monde est ravagé par un cataclysme nommé le Changement, vous incarnez un voyageur temporel, au service d’une agence énigmatique nommée le Conseil, luttant contre des hordes monstrueuses arpentant les villes et territoires dévastés de l’humanité. Votre seul espoir réside au-delà de failles temporelles, vous ramenant dans la Pologne de 1980, là où tout semble avoir commencé.
Cronos: The New Dawn a conquis de nombreux joueurs avec son univers unique et son gameplay original, qui reprend l’héritage des anciens jeux d’horreur, couplés avec des mécaniques originales et une narration cryptique. Si vous hésitez encore à vous procurer une copie pour tenter l’expérience, alors laissez-vous convaincre grâce à notre test du jeu.
Découvrez le jeu sur PC, Xbox Series X|S, PlayStation 5 et Nintendo Switch 2.
Sony Interactive Entertainment vient d'annoncer la liste des jeux PlayStation Plus que tous les abonnés pourront télécharger durant le mois de décembre. Avec une petite entorse au programme puisque la liste comprend cinq jeux au lieu des trois habituels. Sacré papa Noël.
Depuis sa sortie en mars dernier, Two Point Museum a déjà eu le droit à un DLC payant placé sur le thème de la fantasy. Changement de décor pour le second avec un cadre plus champêtre et normal centré sur la faune. Qui a dit qu’un musée ne pouvait pas se transformer en zoo ? Certainement pas les développeurs de Two Point Studios !
Dans le cadre de sa grande restructuration, dont la prochaine étape majeure aura lieu le mois prochain avec la séparation du groupe Coffee Stain, Embracer vient d'annoncer la vente de l'éditeur Arc Games et du développeur Cryptic Studios pour un montant de 287 millions de couronnes suédoises (26 millions d'euros).
Alors que le jeu principal du mois de novembre 2025 avait fuité en début de semaine, nous étions encore dans l’attente de connaître les deux autres titres de la sélection PlayStation Plus pour ce mois. L’annonce officielle est enfin tombée, et on peut dire qu’il y en aura pour tous les goûts !
Comme d’habitude, nous nous attendions à trois nouvelles productions pour le mois de décembre qui arrive dans quelques jours, mais PlayStation a décidé de nous faire un petit cadeau avant l’heure. En effet, ce ne sont pas trois, mais cinq jeux qui seront proposés (oui, vous avez bien lu), avec notamment la possibilité de découvrir LEGO Horizon Adventures, un titre que nous avions particulièrement apprécié lors de sa sortie l’année dernière : parfait pour jouer en duo ou en famille. Et si vous aimez les ambiances horrifiques, nul doute que The Outlast Trials saura attirer votre attention.
Voici la liste complète des jeux offerts pour ce mois de décembre 2025 :
Les jeux cités ci-dessus seront disponibles pour les abonnés dès le mardi 02 décembre 2025 à 11h00. Et si vous ne savez toujours pas quelle offre PlayStation Plus est faite pour vous, nous avons justement un guide qui vous permettra de choisir l’abonnement PS Plus le plus approprié à vos envies et besoins.