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Hier — 27 décembre 2024Flux principal

Apple reverse 3 millions de dollars à (RED)

Par : Greg Onizuka
27 décembre 2024 à 21:45

Le partenariat entre Apple et (RED), s’il fait moins parler qu’à la grande époque de feu Steve Jobs et Bono (qui au passage est le co-créateur de l’association), a le mérite d’exister depuis 2006, ce qui en fait un des partenariats les plus longs de la firme à la pomme, si ce n’est le plus long.

Le tout premier produit (RED) d’Apple, l’iPod nano 2ème génération... ça ne nous rajeunit pas. Image Apple.

Et si celui-ci se voit relativement réduit de nos jours (et même totalement disparaître en Union européenne pour le moment, les seuls produits (RED) étant encore au catalogue jusqu’à aujourd’hui étant les iPhone 14 et SE3), il n’empêche que la dernière opération organisée par Cupertino vient de rapporter 3 millions de dollars à l’association, qui remercie Apple au passage d’un tweet.

Ainsi, entre le 29 novembre et le 8 décembre, toute personne achetant un produit sur l’Apple Store en ligne et dans les boutiques avec Apple Pay a permis le versement de 5 dollars, à concurrence d’un plafond de 3 millions, qui a donc été atteint. (RED), qui aide à la lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme, a été fondée en 2006 par Bono, chanteur de U2, accompagné par Bobby Shriver, fondateur de l’association ONE.

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Un faux avocat de Nintendo s’attaque à des chaînes YouTube... qui laisse faire

Par : Greg Onizuka
27 décembre 2024 à 21:15

Nintendo est connue parmi les joueurs et les YouTubeurs pour être une entreprise extrêmement pointilleuse sur ses droits d’auteur, si ce n’est LA plus pointilleuse. Quand Sony, Microsoft ou bien d’autres laissent généralement libre cours à nombre de vidéos traitant des sujets variés, allant du simple « Let’s Play » au petit manuel du parfait déplombage de jeux, en passant par les actus et autres critiques comme celles du célèbre Joueur du grenier, Nintendo ne laisse rien passer, et gare à celui qui dépasserait d’un cheveu la limite du droit de citation.

La firme au logo rouge ne laisse rien passer... Logo Nintendo.

Avec le temps, les seules diffusions autorisées par l’éditeur japonais sont les Let’s Play, le nippon ayant compris (enfin !) que ce type de vidéos aidait ses jeux à se vendre, plutôt que l’inverse. Mais il suffit d’un petit écart pour se retrouver attaqué sauvagement par l’équipe juridique de l’entreprise, comme le youtubeur Russ Crandall en a fait l’amère expérience. La crainte de voir sa chaîne disparaître est si grande (YouTube effaçant toute chaîne ayant fait l’objet de trois « strikes » ou plaintes consécutives) qu’il a décidé de s’auto-censurer, et de ne plus jamais présenter le moindre contenu appartenant à Nintendo, légitime ou non.

Mais il semble que certains petits malins en profitent maintenant pour faire peur de manière totalement illégitime à des youtubeurs connus. Ainsi Domtendo, créateur allemand de vidéos sur la marque rouge, a reçu plusieurs demandes, de plus en plus agressives et larges, de la part d’un certain « Tatsumi Masaaki », dans un premier temps par l’intermédiaire de YouTube lui demandant de supprimer certaines vidéos (et lui occasionnant donc un « strike » par la même occasion), puis directement par sa boîte mail.

Même si l’adresse mail n’est pas en « @nintendo.co.jp », YouTube s’est exécuté sans broncher. Image Domtendo.

Ne souhaitant pas risquer de voir disparaître son gagne-pain, Domtendo s’exécute, mais les demandes se font de plus en plus nombreuses, avec plusieurs mails par jour, et toujours plus agressives. Au fur et à mesure de la correspondance, les exigences paraissent totalement irréelles pour les initiés, mais feraient peur à n’importe quel créateur. Même s’il continue d’accepter les suppressions, Domtendo commence à avoir un doute, et en parle autour de lui.

The Verge finit par être mis dans la boucle, et effectue quelques recherches. S’il apparaît qu’un Masaaki Tatsumi apparaît bien dans les registres de Nintendo, ce n’est cependant pas en tant qu’avocat ou membre de l’équipe juridique, mais plutôt en tant que concepteur. Voilà qui est étrange, de la part d’une entreprise assez grande pour éviter l’implication de quelqu’un d’autre que son équipe juridique dans ce type de demande.

Dans le même temps, Domtendo tente d’envoyer un mail à la supposée adresse interne à Nintendo de Masaaki Tatsumi, qui lui répond alors de ne pas utiliser ce mail, et que tout est géré plus haut que lui. Entre temps, Nintendo of America lui répond... qu’ils ne sont pas au courant, et que l’adresse utilisée pour l’attaquer étant une adresse personnelle, ils ne sont pas à l’origine de ces attaques !

De son côté, le mystérieux avocat continue de plus belle, cette fois modifiant l’en-tête de son mail pour le faire apparaître comme venant de l’unité anti piratage de Nintendo. Mais le pot aux roses est découvert, et Domtendo confirme avec les instances officielles de Nintendo qu’il ne fait l’objet d’aucune attaque officielle.

Cette affaire, si elle paraît insignifiante pour les utilisateurs de la plateforme YouTube, révèle un grand danger pour nombre de créateurs qui ont fait de ce métier leur gagne-pain : la firme de Mountain View est bien trop laxiste concernant la vérification de la légitimité des plaintes pour infraction au DMCA, et cela occasionne de plus en plus de dégâts parmi la communauté de youtubeurs. N’importe qui, du moment que le message est rédigé de manière à peu près correcte, peut ainsi faire tomber une vidéo sur la plateforme, et mettre en danger une chaîne, quelle que soit sa popularité.

Si YouTube bat en retraite en ne faisant que signaler qu’ils ont une équipe dédiée à la lutte contre ce type de fausses déclarations, il semble que ce problème amené à grandir doive-t-être traité assez rapidement, avant que des dégâts plus conséquents mettent à mal la relation entre les créateurs et la plateforme. Quant au fameux Masaaki Tatsumi, joint par The Verge, il semble être resté jusqu’au bout dans la peau du personnage :

Dear Sean, I am an authorized agent for Nintendo of America Inc,

Heureusement pour les youtubeurs concernés, il semble que cette fois-ci YouTube tout comme Nintendo soient au courant de cette mascarade. Jusqu’à la prochaine...

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Apple reverse 3 millions de dollars à (RED)

Par : Greg Onizuka
27 décembre 2024 à 21:45

Le partenariat entre Apple et (RED), s’il fait moins parler qu’à la grande époque de feu Steve Jobs et Bono (qui au passage est le co-créateur de l’association), a le mérite d’exister depuis 2006, ce qui en fait un des partenariats les plus longs de la firme à la pomme, si ce n’est le plus long.

Le tout premier produit (RED) d’Apple, l’iPod nano 2ème génération... ça ne nous rajeunit pas. Image Apple.

Et si celui-ci se voit relativement réduit de nos jours (et même totalement disparaître en Union européenne pour le moment, les seuls produits (RED) étant encore au catalogue jusqu’à aujourd’hui étant les iPhone 14 et SE3), il n’empêche que la dernière opération organisée par Cupertino vient de rapporter 3 millions de dollars à l’association, qui remercie Apple au passage d’un tweet.

Ainsi, entre le 29 novembre et le 8 décembre, toute personne achetant un produit sur l’Apple Store en ligne et dans les boutiques avec Apple Pay a permis le versement de 5 dollars, à concurrence d’un plafond de 3 millions, qui a donc été atteint. (RED), qui aide à la lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme, a été fondée en 2006 par Bono, chanteur de U2, accompagné par Bobby Shriver, fondateur de l’association ONE.

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Un faux avocat de Nintendo s’attaque à des chaînes YouTube... qui laisse faire

Par : Greg Onizuka
27 décembre 2024 à 21:15

Nintendo est connue parmi les joueurs et les YouTubeurs pour être une entreprise extrêmement pointilleuse sur ses droits d’auteur, si ce n’est LA plus pointilleuse. Quand Sony, Microsoft ou bien d’autres laissent généralement libre cours à nombre de vidéos traitant des sujets variés, allant du simple « Let’s Play » au petit manuel du parfait déplombage de jeux, en passant par les actus et autres critiques comme celles du célèbre Joueur du grenier, Nintendo ne laisse rien passer, et gare à celui qui dépasserait d’un cheveu la limite du droit de citation.

La firme au logo rouge ne laisse rien passer... Logo Nintendo.

Avec le temps, les seules diffusions autorisées par l’éditeur japonais sont les Let’s Play, le nippon ayant compris (enfin !) que ce type de vidéos aidait ses jeux à se vendre, plutôt que l’inverse. Mais il suffit d’un petit écart pour se retrouver attaqué sauvagement par l’équipe juridique de l’entreprise, comme le youtubeur Russ Crandall en a fait l’amère expérience. La crainte de voir sa chaîne disparaître est si grande (YouTube effaçant toute chaîne ayant fait l’objet de trois « strikes » ou plaintes consécutives) qu’il a décidé de s’auto-censurer, et de ne plus jamais présenter le moindre contenu appartenant à Nintendo, légitime ou non.

Mais il semble que certains petits malins en profitent maintenant pour faire peur de manière totalement illégitime à des youtubeurs connus. Ainsi Domtendo, créateur allemand de vidéos sur la marque rouge, a reçu plusieurs demandes, de plus en plus agressives et larges, de la part d’un certain « Tatsumi Masaaki », dans un premier temps par l’intermédiaire de YouTube lui demandant de supprimer certaines vidéos (et lui occasionnant donc un « strike » par la même occasion), puis directement par sa boîte mail.

Même si l’adresse mail n’est pas en « @nintendo.co.jp », YouTube s’est exécuté sans broncher. Image Domtendo.

Ne souhaitant pas risquer de voir disparaître son gagne-pain, Domtendo s’exécute, mais les demandes se font de plus en plus nombreuses, avec plusieurs mails par jour, et toujours plus agressives. Au fur et à mesure de la correspondance, les exigences paraissent totalement irréelles pour les initiés, mais feraient peur à n’importe quel créateur. Même s’il continue d’accepter les suppressions, Domtendo commence à avoir un doute, et en parle autour de lui.

The Verge finit par être mis dans la boucle, et effectue quelques recherches. S’il apparaît qu’un Masaaki Tatsumi apparaît bien dans les registres de Nintendo, ce n’est cependant pas en tant qu’avocat ou membre de l’équipe juridique, mais plutôt en tant que concepteur. Voilà qui est étrange, de la part d’une entreprise assez grande pour éviter l’implication de quelqu’un d’autre que son équipe juridique dans ce type de demande.

Dans le même temps, Domtendo tente d’envoyer un mail à la supposée adresse interne à Nintendo de Masaaki Tatsumi, qui lui répond alors de ne pas utiliser ce mail, et que tout est géré plus haut que lui. Entre temps, Nintendo of America lui répond... qu’ils ne sont pas au courant, et que l’adresse utilisée pour l’attaquer étant une adresse personnelle, ils ne sont pas à l’origine de ces attaques !

De son côté, le mystérieux avocat continue de plus belle, cette fois modifiant l’en-tête de son mail pour le faire apparaître comme venant de l’unité anti piratage de Nintendo. Mais le pot aux roses est découvert, et Domtendo confirme avec les instances officielles de Nintendo qu’il ne fait l’objet d’aucune attaque officielle.

Cette affaire, si elle paraît insignifiante pour les utilisateurs de la plateforme YouTube, révèle un grand danger pour nombre de créateurs qui ont fait de ce métier leur gagne-pain : la firme de Mountain View est bien trop laxiste concernant la vérification de la légitimité des plaintes pour infraction au DMCA, et cela occasionne de plus en plus de dégâts parmi la communauté de youtubeurs. N’importe qui, du moment que le message est rédigé de manière à peu près correcte, peut ainsi faire tomber une vidéo sur la plateforme, et mettre en danger une chaîne, quelle que soit sa popularité.

Si YouTube bat en retraite en ne faisant que signaler qu’ils ont une équipe dédiée à la lutte contre ce type de fausses déclarations, il semble que ce problème amené à grandir doive-t-être traité assez rapidement, avant que des dégâts plus conséquents mettent à mal la relation entre les créateurs et la plateforme. Quant au fameux Masaaki Tatsumi, joint par The Verge, il semble être resté jusqu’au bout dans la peau du personnage :

Dear Sean, I am an authorized agent for Nintendo of America Inc,

Heureusement pour les youtubeurs concernés, il semble que cette fois-ci YouTube tout comme Nintendo soient au courant de cette mascarade. Jusqu’à la prochaine...

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Apple ne vend plus l'iPhone SE et les iPhone 14 dans l'Union européenne

Par : Greg Onizuka
27 décembre 2024 à 20:08

Clap de fin pour l’iPhone SE, l'iPhone 14 et l'iPhone 14 Plus sur l’Apple Store. Comme on pouvait s’y attendre, ces téléphones ont été retirés du catalogue et ne sont plus vendus officiellement par Apple. Leur page redirige maintenant sur l'accueil de la gamme iPhone, où toute trace de ces appareils Lightning a disparu. La Pomme se plie à la directive de l'Union européenne imposant le chargeur universel (l’USB-C) pour différents types de produits, dont les smartphones. Cette nouvelle règle entre en vigueur demain, le 28 décembre 2024.

Image iGeneration

Ces trois téléphones étaient les derniers à embarquer un port Lightning, une connectique propriétaire lancée en 2012 avec l’iPhone 5. Apple a commencé à doucement passer ses tablettes à l’USB-C avec l’iPad Pro 2018, puis ses smartphones avec l’iPhone 15 de 2023. Même les accessoires comme le Magic Keyboard y sont récemment passés, la dernière version Lightning encore en vente ayant elle aussi été évincée. Le seul produit Lightning vendu par Apple est désormais l’Apple Pencil de première génération, qui n’est pas concerné par la directive de l’Union européenne. Celle-ci ne touche en effet que certains appareils spécifiques tels les casques et écouteurs, les consoles de jeu ou les liseuses.

Si ces iPhone Lightning ont également disparu du Refurb et des offres pour les entreprises et l'Éducation, ils ne vont pas complètement disparaitre des étals. Les revendeurs agréés pourront continuer de les écouler dans la limite des stocks disponibles. Les iPhone Lightning reconditionnés vont aussi continuer d’être commercialisés.

Il y aura encore des iPhone Lightning reconditionnés après le 28 décembre

Il y aura encore des iPhone Lightning reconditionnés après le 28 décembre

Ce changement étant lié à l'Union européenne, il ne touche évidemment pas les Apple Store américains ou d’autres régions du globe. L’Angleterre, le Pays de Galles, ou l'Écosse ne sont pas concernés, contrairement à l’Irlande du Nord. La Suisse a pris un peu d’avance et retiré les 3 iPhone le 20 décembre dernier. L’iPhone SE devrait avoir droit à un remplaçant très bientôt, qui passera à l’USB-C et dont le design devrait se rapprocher de celui de l’iPhone 14.

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Apple ne vend plus l'iPhone SE et les iPhone 14 dans l'Union européenne

Par : Greg Onizuka
27 décembre 2024 à 20:08

Clap de fin pour l’iPhone SE, l'iPhone 14 et l'iPhone 14 Plus sur l’Apple Store. Comme on pouvait s’y attendre, ces téléphones ont été retirés du catalogue et ne sont plus vendus officiellement par Apple. Leur page redirige maintenant sur l'accueil de la gamme iPhone, où toute trace de ces appareils Lightning a disparu. La Pomme se plie à la directive de l'Union européenne imposant le chargeur universel (l’USB-C) pour différents types de produits, dont les smartphones. Cette nouvelle règle entre en vigueur demain, le 28 décembre 2024.

Image iGeneration

Ces trois téléphones étaient les derniers à embarquer un port Lightning, une connectique propriétaire lancée en 2012 avec l’iPhone 5. Apple a commencé à doucement passer ses tablettes à l’USB-C avec l’iPad Pro 2018, puis ses smartphones avec l’iPhone 15 de 2023. Même les accessoires comme le Magic Keyboard y sont récemment passés, la dernière version Lightning encore en vente ayant elle aussi été évincée. Le seul produit Lightning vendu par Apple est désormais l’Apple Pencil de première génération, qui n’est pas concerné par la directive de l’Union européenne. Celle-ci ne touche en effet que certains appareils spécifiques tels les casques et écouteurs, les consoles de jeu ou les liseuses.

Si ces iPhone Lightning ont également disparu du Refurb et des offres pour les entreprises et l'Éducation, ils ne vont pas complètement disparaitre des étals. Les revendeurs agréés pourront continuer de les écouler dans la limite des stocks disponibles. Les iPhone Lightning reconditionnés vont aussi continuer d’être commercialisés.

Il y aura encore des iPhone Lightning reconditionnés après le 28 décembre

Il y aura encore des iPhone Lightning reconditionnés après le 28 décembre

Ce changement étant lié à l'Union européenne, il ne touche évidemment pas les Apple Store américains ou d’autres régions du globe. L’Angleterre, le Pays de Galles, ou l'Écosse ne sont pas concernés, contrairement à l’Irlande du Nord. La Suisse a pris un peu d’avance et retiré les 3 iPhone le 20 décembre dernier. L’iPhone SE devrait avoir droit à un remplaçant très bientôt, qui passera à l’USB-C et dont le design devrait se rapprocher de celui de l’iPhone 14.

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Guide d'achat : les bons accessoires à avoir pour votre nouveau Mac

Par : Greg Onizuka
27 décembre 2024 à 14:30

Vous allez recevoir un joli Mac mini ou MacBook et vous souhaitez l’égayer de quelques accessoires ? Pas de panique, laissez-nous vous guider dans les entrelacs de possibilités ! Voici un petit guide de ce que vous pourrez trouver de plus sympathique pour votre nouvelle machine.

Satechi, l’un des accessoiristes les plus prolifiques pour Mac.

Le pouvoir de la puissance… et la puissance du pouvoir

Même si théoriquement tout est fourni avec une nouvelle machine pour pouvoir l’alimenter correctement, Apple a souvent la fâcheuse tendance de faire le minimum syndical. Depuis cette année, il n’y a plus d’adaptateur secteur dans les boîtes des iPad. Et c’est moins gênant mais le chargeur fourni avec le MacBook Pro 14" de base n’est pas suffisamment puissant pour le mode Performances.

Si vous voulez rester chez la pomme, vous pourrez y trouver cet adaptateur 96 W à 85 €, mais les MacBook Pro ayant des ports USB-C, le choix est quasi illimité. Attention toutefois aux produits de mauvaise qualité, voire contrefaits ! Heureusement, il y a des valeurs sûres, comme Ugreen et son très compact Nexode X 100 W (65,99 €), qui a l’avantage de proposer deux ports USB-C et un port USB classique. Besoin de charger en balade, pour augmenter encore la confortable autonomie de la nouvelle machine ? Anker propose une grosse batterie externe Prime 250 W (169 €) capable de charger un MacBook Air plus d’une fois. Elle dispose de 3 ports USB-C dont deux pouvant fournir jusqu’à 140 W, et un port USB classique.

Des claviers, des souris, pour aller sur le chat

Les MacBook intègrent certes déjà tout le nécessaire pour taper tranquillement un texte ou se balader entre les applications, mais de temps en temps, surtout si vous utilisez un moniteur externe, un couple clavier/souris peut être agréable à utiliser. Pour le Mac mini, la question ne se pose pas, la machine n’étant fournie avec aucun de ces accessoires.

Vous aimez le noir ? Il faudra mettre un peu plus cher ! Image Apple.

Concernant les versions pommées, j’espère que vous aimez le touché des claviers d’ordinateurs portables, parce qu’en dehors de ça, point de salut : le seul et unique type de touches que vous aurez sera peu ou prou le même que celles des MacBook sous forme de clavier séparé. Mais les claviers d’Apple ont un avantage sur tous les autres : ils ont, pour la plupart, un capteur Touch ID très pratique. Vous devrez faire un choix : avec (199 €) ou sans (169 €) pavé numérique. Si vous êtes amateur de touches noires, pas de chance, le choix sera réduit à la seule version avec le pavé numérique, et il faudra rajouter un petit billet, étant à 229 €.

Prise en main du Magic Keyboard avec USB-C et sa mystérieuse nouvelle touche

Prise en main du Magic Keyboard avec USB-C et sa mystérieuse nouvelle touche

Les accessoiristes tiers proposant des claviers spécifiquement Apple se font rares. Vous pourrez cependant y trouver Logitech, qui propose le MX Mechanical mini (125 €). Une version avec pavé numérique est bien proposée (125 € aussi), mais est cependant moins recommandable, du fait de sa disposition de touches perturbantes, celle-ci cherchant absolument à être compatible à la fois Mac et PC, plusieurs touches se retrouvent avec deux sérigraphies différentes. Vous aimez les claviers ergonomiques depuis que vous y avez goûté dans les années 2000 ? Pas de souci, Logitech est là pour vous : le Wave Keys for Mac (79,99 €) vous tend les bras, et cette fois, avec un pavé numérique !

Vous adorez le style rétro des claviers Apple du début des années 90 ? Ne cherchez plus : le HHKB Classic (245 €) est là pour ça, avec son design rappelant les belles années des Mac époque Motorola ! Plus exotique et ergonomique ? Félix a testé pour vous, avec le ZSA Moonlander (350 $) ou encore le Kinesis Advantage 360 (555 €).

Logitech propose une vaste gamme de souris, dont la MX Master 3S. Image Logitech.

Niveau pointeurs, le choix est bien plus large : quasiment toutes les souris et trackpad du marché sont compatibles avec un Mac. Dans tous les cas, les grands acteurs du marché font en sorte que les ordinateurs Apple ne soient pas oubliés. La pomme de son côté a ses incontournables, avec la Magic Mouse en blanc (85 €) ou en noir (119 €), mais aussi le Magic Trackpad, lui aussi proposé en blanc (139 €) ou en noir (169 €).

Si, les trackballs existent encore ! Notamment chez Logitech, avec le MX Ergo S. Image Logitech.

Pas envie de rester chez Cupertino ? Les cadors du secteur vous proposent leurs créations, et il y a du choix : de la souris faite pour la bureautique confortable avec la Logitech MX Master 3S (99 €) à la souris gamer G502 X Plus Lightspeed (119 €) en passant par la souris ergonomique MX Vertical (69 €). Pour les amateurs de trackball, ça existe encore (si si !) : Logitech propose le MX Ergo S (115 €).

Des ports, des ports, on veut des ports !

Bon, c’est bien gentil tout ça, mais on ne peut pas dire que les Mac soient les ordinateurs les plus fournis en ports divers et variés… mais il y a une solution à ce manque, grâce à la magie de l’USB-C/Thunderbolt.

L’adaptateur multi-ports USB-C Slim de Satechi. Image Satechi.

Satechi est le roi du domaine avec une gamme pléthorique, allant de l’incontournable USB-C Slim (63 €) comprenant déjà 3 ports USB dont un USB-C, un lecteur SD/MicroSD, un port HDMI et un Ethernet, à la station complète Thunderbolt 4 (399 €) munie de 6 USB-A, 1 USB-C, une sortie audio, un port Ethernet 2.5G, 2 HDMI, 2 DisplayPort et un lecteur SD/MicroSD ! Mais Anker a aussi une offre intéressante, avec la Prime Station (199 €), donnant accès à 3 ports USB pour la charge, 6 ports USB pour le transfert de données, 1 port Ethernet Gigabit, 1 port ascendant complet, 1 prise jack audio 3,5 mm et 2 sorties HDMI 4K 60 Hz.

Le dock spécifique pour Mac mini M4, bientôt disponible. Image Satechi.

Spécifiquement pour le Mac mini M4 fraîchement sorti, Satechi proposera bientôt un dock complètement intégré, mais le tarif n’est pas encore communiqué.

L’adaptateur SFP+ vers Thunderbolt de QNAP. Image QNAP.

Vous voulez de l’Ethernet, et juste de l’Ethernet ? Pas de souci. Vous aurez à votre disposition des adaptateurs simple Gigabit, comme le UGREEN Ethernet 1 Gb/s(19 €), mais aussi 2.5 Gb/s, avec le UGREEN Ethernet 2.5G (29 €), et si vous voulez encore plus rapide, le QNAP SFP+ vers Thunderbolt T310G1S (240 €), auquel il faudra adjoindre le transceiver de votre choix, ou la version RJ45 10 Gb/s vers Thunderbolt T310G1T (269 €). Attention avec cette dernière, le ventilateur peut s’avérer perturbant si vous êtes sensible sur ce point, contrairement à la version SFP+ qui n’en a pas.

Tous les goûts sont dans la nature

Nous n’avons fait qu’effleurer quelques possibilités qui s’offrent à vous, bien que les accessoires Apple ne soient pas aussi variés que ceux proposés sur PC, le choix est quasiment infini. Bon Noël à tous !

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Guide d'achat : les bons accessoires à avoir pour votre nouveau Mac

Par : Greg Onizuka
27 décembre 2024 à 14:30

Vous allez recevoir un joli Mac mini ou MacBook et vous souhaitez l’égayer de quelques accessoires ? Pas de panique, laissez-nous vous guider dans les entrelacs de possibilités ! Voici un petit guide de ce que vous pourrez trouver de plus sympathique pour votre nouvelle machine.

Satechi, l’un des accessoiristes les plus prolifiques pour Mac.

Le pouvoir de la puissance… et la puissance du pouvoir

Même si théoriquement tout est fourni avec une nouvelle machine pour pouvoir l’alimenter correctement, Apple a souvent la fâcheuse tendance de faire le minimum syndical. Depuis cette année, il n’y a plus d’adaptateur secteur dans les boîtes des iPad. Et c’est moins gênant mais le chargeur fourni avec le MacBook Pro 14" de base n’est pas suffisamment puissant pour le mode Performances.

Si vous voulez rester chez la pomme, vous pourrez y trouver cet adaptateur 96 W à 85 €, mais les MacBook Pro ayant des ports USB-C, le choix est quasi illimité. Attention toutefois aux produits de mauvaise qualité, voire contrefaits ! Heureusement, il y a des valeurs sûres, comme Ugreen et son très compact Nexode X 100 W (65,99 €), qui a l’avantage de proposer deux ports USB-C et un port USB classique. Besoin de charger en balade, pour augmenter encore la confortable autonomie de la nouvelle machine ? Anker propose une grosse batterie externe Prime 250 W (169 €) capable de charger un MacBook Air plus d’une fois. Elle dispose de 3 ports USB-C dont deux pouvant fournir jusqu’à 140 W, et un port USB classique.

Des claviers, des souris, pour aller sur le chat

Les MacBook intègrent certes déjà tout le nécessaire pour taper tranquillement un texte ou se balader entre les applications, mais de temps en temps, surtout si vous utilisez un moniteur externe, un couple clavier/souris peut être agréable à utiliser. Pour le Mac mini, la question ne se pose pas, la machine n’étant fournie avec aucun de ces accessoires.

Vous aimez le noir ? Il faudra mettre un peu plus cher ! Image Apple.

Concernant les versions pommées, j’espère que vous aimez le touché des claviers d’ordinateurs portables, parce qu’en dehors de ça, point de salut : le seul et unique type de touches que vous aurez sera peu ou prou le même que celles des MacBook sous forme de clavier séparé. Mais les claviers d’Apple ont un avantage sur tous les autres : ils ont, pour la plupart, un capteur Touch ID très pratique. Vous devrez faire un choix : avec (199 €) ou sans (169 €) pavé numérique. Si vous êtes amateur de touches noires, pas de chance, le choix sera réduit à la seule version avec le pavé numérique, et il faudra rajouter un petit billet, étant à 229 €.

Prise en main du Magic Keyboard avec USB-C et sa mystérieuse nouvelle touche

Prise en main du Magic Keyboard avec USB-C et sa mystérieuse nouvelle touche

Les accessoiristes tiers proposant des claviers spécifiquement Apple se font rares. Vous pourrez cependant y trouver Logitech, qui propose le MX Mechanical mini (125 €). Une version avec pavé numérique est bien proposée (125 € aussi), mais est cependant moins recommandable, du fait de sa disposition de touches perturbantes, celle-ci cherchant absolument à être compatible à la fois Mac et PC, plusieurs touches se retrouvent avec deux sérigraphies différentes. Vous aimez les claviers ergonomiques depuis que vous y avez goûté dans les années 2000 ? Pas de souci, Logitech est là pour vous : le Wave Keys for Mac (79,99 €) vous tend les bras, et cette fois, avec un pavé numérique !

Vous adorez le style rétro des claviers Apple du début des années 90 ? Ne cherchez plus : le HHKB Classic (245 €) est là pour ça, avec son design rappelant les belles années des Mac époque Motorola ! Plus exotique et ergonomique ? Félix a testé pour vous, avec le ZSA Moonlander (350 $) ou encore le Kinesis Advantage 360 (555 €).

Logitech propose une vaste gamme de souris, dont la MX Master 3S. Image Logitech.

Niveau pointeurs, le choix est bien plus large : quasiment toutes les souris et trackpad du marché sont compatibles avec un Mac. Dans tous les cas, les grands acteurs du marché font en sorte que les ordinateurs Apple ne soient pas oubliés. La pomme de son côté a ses incontournables, avec la Magic Mouse en blanc (85 €) ou en noir (119 €), mais aussi le Magic Trackpad, lui aussi proposé en blanc (139 €) ou en noir (169 €).

Si, les trackballs existent encore ! Notamment chez Logitech, avec le MX Ergo S. Image Logitech.

Pas envie de rester chez Cupertino ? Les cadors du secteur vous proposent leurs créations, et il y a du choix : de la souris faite pour la bureautique confortable avec la Logitech MX Master 3S (99 €) à la souris gamer G502 X Plus Lightspeed (119 €) en passant par la souris ergonomique MX Vertical (69 €). Pour les amateurs de trackball, ça existe encore (si si !) : Logitech propose le MX Ergo S (115 €).

Des ports, des ports, on veut des ports !

Bon, c’est bien gentil tout ça, mais on ne peut pas dire que les Mac soient les ordinateurs les plus fournis en ports divers et variés… mais il y a une solution à ce manque, grâce à la magie de l’USB-C/Thunderbolt.

L’adaptateur multi-ports USB-C Slim de Satechi. Image Satechi.

Satechi est le roi du domaine avec une gamme pléthorique, allant de l’incontournable USB-C Slim (63 €) comprenant déjà 3 ports USB dont un USB-C, un lecteur SD/MicroSD, un port HDMI et un Ethernet, à la station complète Thunderbolt 4 (399 €) munie de 6 USB-A, 1 USB-C, une sortie audio, un port Ethernet 2.5G, 2 HDMI, 2 DisplayPort et un lecteur SD/MicroSD ! Mais Anker a aussi une offre intéressante, avec la Prime Station (199 €), donnant accès à 3 ports USB pour la charge, 6 ports USB pour le transfert de données, 1 port Ethernet Gigabit, 1 port ascendant complet, 1 prise jack audio 3,5 mm et 2 sorties HDMI 4K 60 Hz.

Le dock spécifique pour Mac mini M4, bientôt disponible. Image Satechi.

Spécifiquement pour le Mac mini M4 fraîchement sorti, Satechi proposera bientôt un dock complètement intégré, mais le tarif n’est pas encore communiqué.

L’adaptateur SFP+ vers Thunderbolt de QNAP. Image QNAP.

Vous voulez de l’Ethernet, et juste de l’Ethernet ? Pas de souci. Vous aurez à votre disposition des adaptateurs simple Gigabit, comme le UGREEN Ethernet 1 Gb/s(19 €), mais aussi 2.5 Gb/s, avec le UGREEN Ethernet 2.5G (29 €), et si vous voulez encore plus rapide, le QNAP SFP+ vers Thunderbolt T310G1S (240 €), auquel il faudra adjoindre le transceiver de votre choix, ou la version RJ45 10 Gb/s vers Thunderbolt T310G1T (269 €). Attention avec cette dernière, le ventilateur peut s’avérer perturbant si vous êtes sensible sur ce point, contrairement à la version SFP+ qui n’en a pas.

Tous les goûts sont dans la nature

Nous n’avons fait qu’effleurer quelques possibilités qui s’offrent à vous, bien que les accessoires Apple ne soient pas aussi variés que ceux proposés sur PC, le choix est quasiment infini. Bon Noël à tous !

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À partir d’avant-hierFlux principal

Google offre un petit jeu Squid Game dans son moteur de recherche

Par : Greg Onizuka
26 décembre 2024 à 21:30

Google a souvent par le passé suivi les grandes modes, adaptant de petits easter eggs à son interface pour marquer le coup. L’engouement pour la série Netflix Squid Game n’échappe pas à la règle, et le moteur de recherche nous gratifie donc d’une petite animation sympathique pour la sortie de la saison 2 de la série sud-coréenne.

Cliquez sur la petite enveloppe en bas de l'écran. Capture MacGeneration.

Si vous tapez « Squid Game » dans le moteur de recherche, vous aurez alors un petit carton d’invitation flottant en bas de la page. Cliquez dessus, et vous aurez droit de faire une partie de « un, deux, trois, soleil » (ou le plus poétique « Mugunghwa kkoci pieot seumnida » (무궁화 꽃 이 피었 습니다), soit « les fleurs d'hibiscus ont fleuri » en VO), rappelant la première épreuve de la saison 1. De quoi s’amuser quelques minutes en attendant d’aller regarder la suite de la série.

Capture MacGeneration.

Pas d'inquiétude à avoir concernant les graphismes de ce petit jeu, contrairement à la série dont il s'inspire directement, il est 100% tout public.

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La Corée du Nord responsable d’un vol record de 300 millions de dollars en Bitcoin

Par : Greg Onizuka
26 décembre 2024 à 20:45

Alors que Japan Airlines a subi ce 26 décembre une cyber-attaque ayant retardé un nombre conséquent de ses vols de la journée, le dénouement d’une affaire ayant fait chuter une plateforme d’échange de cryptomonnaies japonaise a été révélé, impliquant la Corée du Nord.

L’histoire ne dit pas si les pirates étaient sous RedStar OS... Image Wikipedia/Korea Computer Center.

En mai 2024, la plateforme d’échange DMM, spécialisée dans les cryptomonnaies, fait état d’un vol de bitcoins, pour une valeur record de 305 millions de dollars. La société ne s’en remettra pas, mettant la clé sous la porte un mois plus tard, malgré un prêt de 367 millions de dollars accordé pour tenter de se refaire : les clients échaudés par la faille et la perte sèche ne reviendront pas, poussant l’entreprise à la faillite.

Et c’est donc en ce mois de décembre qu’on en apprend plus sur cette affaire, grâce à l’enquête conjointe de la police japonaise et du FBI relatée par Numérama : les malandrins, se faisant passer pour des recruteurs sur LinkedIn, ont d’abord approché un employé de Ginco, société travaillant avec DMM. Ils sont ensuite entrés petit à petit en profondeur dans le réseau de l’entreprise, usurpant un nombre toujours plus grand de comptes d’employés.

Une fois atteint le système de traitement des transactions, ils ont observé le système suffisamment longtemps pour y trouver de multiples failles, conduisant à l’attaque du mois de mai, et la perte de plus de 4500 bitcoins. Mais où sont-ils donc allés ?

Selon les résultats de l’enquête, pas si loin de l’archipel nippon : c’est le groupe de pirates Lazarus, connu pour être en lien avec le gouvernement nord-coréen, qui serait responsable de cet acte de piratage. Le pays est devenu spécialiste dans le domaine, avec 660 millions de dollars de revenus venant de vols de données, rançons et autres cyber-attaques en 2023, et même 1,34 milliard de dollars en 2024 ! Bénéfices records entrant directement dans la poche du régime en place...

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Google offre un petit jeu Squid Game dans son moteur de recherche

Par : Greg Onizuka
26 décembre 2024 à 21:30

Google a souvent par le passé suivi les grandes modes, adaptant de petits easter eggs à son interface pour marquer le coup. L’engouement pour la série Netflix Squid Game n’échappe pas à la règle, et le moteur de recherche nous gratifie donc d’une petite animation sympathique pour la sortie de la saison 2 de la série sud-coréenne.

Cliquez sur la petite enveloppe en bas de l'écran. Capture MacGeneration.

Si vous tapez « Squid Game » dans le moteur de recherche, vous aurez alors un petit carton d’invitation flottant en bas de la page. Cliquez dessus, et vous aurez droit de faire une partie de « un, deux, trois, soleil » (ou le plus poétique « Mugunghwa kkoci pieot seumnida » (무궁화 꽃 이 피었 습니다), soit « les fleurs d'hibiscus ont fleuri » en VO), rappelant la première épreuve de la saison 1. De quoi s’amuser quelques minutes en attendant d’aller regarder la suite de la série.

Capture MacGeneration.

Pas d'inquiétude à avoir concernant les graphismes de ce petit jeu, contrairement à la série dont il s'inspire directement, il est 100% tout public.

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La Corée du Nord responsable d’un vol record de 300 millions de dollars en Bitcoin

Par : Greg Onizuka
26 décembre 2024 à 20:45

Alors que Japan Airlines a subi ce 26 décembre une cyber-attaque ayant retardé un nombre conséquent de ses vols de la journée, le dénouement d’une affaire ayant fait chuter une plateforme d’échange de cryptomonnaies japonaise a été révélé, impliquant la Corée du Nord.

L’histoire ne dit pas si les pirates étaient sous RedStar OS... Image Wikipedia/Korea Computer Center.

En mai 2024, la plateforme d’échange DMM, spécialisée dans les cryptomonnaies, fait état d’un vol de bitcoins, pour une valeur record de 305 millions de dollars. La société ne s’en remettra pas, mettant la clé sous la porte un mois plus tard, malgré un prêt de 367 millions de dollars accordé pour tenter de se refaire : les clients échaudés par la faille et la perte sèche ne reviendront pas, poussant l’entreprise à la faillite.

Et c’est donc en ce mois de décembre qu’on en apprend plus sur cette affaire, grâce à l’enquête conjointe de la police japonaise et du FBI relatée par Numérama : les malandrins, se faisant passer pour des recruteurs sur LinkedIn, ont d’abord approché un employé de Ginco, société travaillant avec DMM. Ils sont ensuite entrés petit à petit en profondeur dans le réseau de l’entreprise, usurpant un nombre toujours plus grand de comptes d’employés.

Une fois atteint le système de traitement des transactions, ils ont observé le système suffisamment longtemps pour y trouver de multiples failles, conduisant à l’attaque du mois de mai, et la perte de plus de 4500 bitcoins. Mais où sont-ils donc allés ?

Selon les résultats de l’enquête, pas si loin de l’archipel nippon : c’est le groupe de pirates Lazarus, connu pour être en lien avec le gouvernement nord-coréen, qui serait responsable de cet acte de piratage. Le pays est devenu spécialiste dans le domaine, avec 660 millions de dollars de revenus venant de vols de données, rançons et autres cyber-attaques en 2023, et même 1,34 milliard de dollars en 2024 ! Bénéfices records entrant directement dans la poche du régime en place...

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Apple vous motive à rester en forme pendant et après les fêtes

Par : Greg Onizuka
26 décembre 2024 à 20:00

Vous avez passé un bon Noël ? Trop bon même ? Un peu trop abusé des bonnes choses ? Le souci est que c’est dans un mois, en janvier, (selon une étude présentée dans cette réclame Apple) le moment de l’année où le plus de personnes se démotivent et se laissent aller, décidant qu’il était trop difficile de se remettre en forme.

Et c’est bien entendu là qu’intervient la pomme : avec une Apple Watch au poignet, vous allez retrouver la motivation rapidement, grâce aux incitations de la tocante à vous bouger le popotin ! Si l’on peut ne percevoir dans cette pub qu’une vilaine volonté de vous faire acheter une montre Apple (nooooon, loin de Cupertino cette idée, voyons...), elle a au moins le mérite de rappeler qu’il faut tout de même faire un minimum attention, et que même si vous avez un peu abusé des repas, rien n’est inéluctable... et au pire, si l’achat de l’Apple Watch ne vous a pas fait perdre de poids, elle aura allégé celui de votre portefeuille !

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Apple vous motive à rester en forme pendant et après les fêtes

Par : Greg Onizuka
26 décembre 2024 à 20:00

Vous avez passé un bon Noël ? Trop bon même ? Un peu trop abusé des bonnes choses ? Le souci est que c’est dans un mois, en janvier, (selon une étude présentée dans cette réclame Apple) le moment de l’année où le plus de personnes se démotivent et se laissent aller, décidant qu’il était trop difficile de se remettre en forme.

Et c’est bien entendu là qu’intervient la pomme : avec une Apple Watch au poignet, vous allez retrouver la motivation rapidement, grâce aux incitations de la tocante à vous bouger le popotin ! Si l’on peut ne percevoir dans cette pub qu’une vilaine volonté de vous faire acheter une montre Apple (nooooon, loin de Cupertino cette idée, voyons...), elle a au moins le mérite de rappeler qu’il faut tout de même faire un minimum attention, et que même si vous avez un peu abusé des repas, rien n’est inéluctable... et au pire, si l’achat de l’Apple Watch ne vous a pas fait perdre de poids, elle aura allégé celui de votre portefeuille !

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Vous avez un nouvel iPhone ? Voici le guide des accessoires à avoir

Par : Greg Onizuka
25 décembre 2024 à 15:00

Vous avez trouvé un iPhone sous le sapin ? Pour en profiter pleinement, il va falloir penser aux accessoires ! Mais dans la jungle des différents objets Made for iPhone, il y a de quoi se perdre… Suivez le guide !

Des robots ? Non, des chargeurs. Image Ugreen.

Chaaaaaaaargez !

Depuis maintenant fin 2020, Apple ne met plus de chargeur dans la boîte de ses téléphones mobiles. Et depuis cette année, les iPad non plus n’y ont plus le droit. Que faire ?

Même si généralement c’est le genre d’accessoire qui pullule dans les tiroirs, chaque chargeur ne se vaut pas forcément : ceux fournis avec les iPhone jusqu’à leur suppression étaient de bien faibles versions 5 W, ce qui suffit certes pour une charge lente, mais très, très lente.

Avant, le chargeur était fourni... mais ça, c’était avant. Image MacGeneration.

Dans la gamme Apple, plusieurs choix pourront faire votre bonheur : il y a le classique USB-C 20 W (25 €), mais ceux qui veulent aller au plus vite préféreront la version USB-C 30 W (45 €). Enfin, la pomme propose pour les propriétaires de plusieurs appareils USB-C à charger en même temps une version USB-C 35 W (65 €) à deux ports.

Il est pas mignon tout plein ce chargeur ? Image iGeneration.

Mais tous ces appareils blancs sont d’un triste, vous ne trouvez pas ? Heureusement, Ugreen a pensé à ça, en proposant toute une gamme de chargeurs tout mignons sous forme de robots. Nous avons testé le Nexode RobotGaN (46 €) qui mêle sa petite bouille à 65 W sur 3 ports, mais depuis la famille s’est agrandi, avec une version 100 W quatre ports (70 €), une version Qi2 (60 €) pouvant recharger en même temps les AirPods sans fil et une Apple Watch (galet Apple Watch non fourni). Il y a même une batterie magnétique 5 000 mAh (45 €) ! Si leurs petites bouilles changeant de forme suivant l’état de charge ne vous fait pas craquer, on ne peut plus rien pour vous…

Mini-test du chargeur Ugreen Nexode RobotGaN  : pour charger son iPhone en toute mignonitude

Mini-test du chargeur Ugreen Nexode RobotGaN : pour charger son iPhone en toute mignonitude

Pour les iPhone 16, n’oubliez pas non plus que MagSafe a été mis à jour pour pouvoir charger sans fil à 25 W. Pour cela, il vous faudra forcément le nouveau galet d’Apple, vendu en deux versions, soit câble de 1 mètre (49 €), ou câble de 2 mètres (59 €). Si vous êtes moins pressés, Belkin propose une promotion intéressante sur sa station de charge 2-en-1, vous pourrez actuellement la trouver à 39,99 € sur Amazon.

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

Toujours aux manettes

Si jouer est votre passe-temps préféré, vous aurez rapidement appris que l’écran de l’iPhone n’est pas ce qu’il y a de plus grand et pratique pour s’adonner aux titres les plus exigeants. Et maintenant que certains gros clients arrivent sur iPhone comme Assasin’s Creed ou Resident Evil, une manette devient quasiment indispensable pour le joueur régulier.

Qui résisterait à un bon vieux Sonic avec une manette adaptée ? Image iGeneration.

Si jusqu’à récemment l’un des meilleurs choix restait la Backbone One v2 (120 €), un sérieux concurrent s’est ajouté à la liste avec la Scuf Nomad (110€), qui pour 10 € de moins a certes l’inconvénient d’être en Bluetooth et non directement USB-C, mais profite de cette différence pour permettre la compatibilité avec une gamme bien plus vaste d’appareils, de l’iPhone à l’iPad en passant par l’Apple TV. À noter aussi l’excellente Razer Kishi Ultra, mais à 169 €, elle n’est vraiment pas donnée.

Test de la manette Backbone One v2 pour iPhone, compatible avec les coques

Test de la manette Backbone One v2 pour iPhone, compatible avec les coques

Test de la manette Scuf Nomad pour iPhone, qui cible les joueurs exigeants

Test de la manette Scuf Nomad pour iPhone, qui cible les joueurs exigeants

Se protéger en vacances

Vous partez en vacances pour les fêtes ? Pensez à vous protéger… non, pas comme ça (enfin si, aussi), mais en évitant les ports USB un peu trop indiscrets qui en voudraient à vos données et à votre intimité.

Protégez votre iPhone. Si si. Image iGeneration.

Pour ça, au choix, vous pouvez opter pour le câble dédié de Startech (10 €), qui ne fera que charger votre téléphone sans laisser fuiter de data, soit prendre un adaptateur qui se branche sur n’importe quel câble USB, comme la version USB-C vers USB-A de chez PortaPow (12 €), grâce à qui vous serez enfin serein face aux prises USB des aéroports.

Test de quatre préservatifs USB pour protéger votre iPhone sur les chargeurs publics

Test de quatre préservatifs USB pour protéger votre iPhone sur les chargeurs publics

Un vaste monde…

Nous n’avons fait qu’effleurer le vaste monde des accessoires pour iPhone. N’hésitez pas à vous balader dans les différents tests que nous réalisons toute l’année, afin de trouver ce qui vous correspondra le mieux en évitant les pièges et embûches !

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Apple sonne à la porte et les AirPods jettent un œil : la semaine de la pomme avec Mark Gurman

Par : Greg Onizuka
22 décembre 2024 à 19:00

Alors, avez-vous été sage cette année ? Attention, de la réponse dépendra le contenu laissé sous le sapin. Suivant la réalité des choses, n’oubliez pas que vous pourriez passer d’un magnifique Mac mini M4 Pro à un... Chromebook première génération avec une imprimante HP. Santa Claus ou Grinch, à chacun sa médaille... Voyons ce qui se cache dans la hotte de Mark Gurman.

Accroche-toi à la rambarde Hans, c’est de nouveau Noël. Yippee-ki-yay. Image Die Hard/20th Century Fox.

Inform - Educate - Entertain

Si depuis quelques semaines, voire mois, les couloirs bruissent d’un retour en force d’Apple dans le domaine de la maison connectée, il semble que ce ne soit que le début. Déjà, les détails de la famille HomePod semblent de plus en plus précis : doté d’un écran de 6 pouces carré, l’engin serait capable d’utiliser FaceTime, de lire des vidéos, et bien d’autres choses encore. Pour ce faire, il disposerait d’un tout nouveau système d’exploitation, lui permettant de mener ces tâches à bien, le tout mâtiné d’IA (on n’y échappera pas) et contrôlant tous les appareils connectés de la maison.

Mais ce n’est pas tout, loin de là : Cupertino plancherait sur de nouveaux objets à même de marcher sur les platebandes de ses camarades de Google et Amazon, à savoir dans un premier temps des caméras connectées, qui liées aux capacités de reconnaissance faciale développées depuis bien longtemps par la pomme permettraient des notifications précises plutôt que de simples « Un mouvement a été détecté dans la pièce ». Même si c’est du déjà vu, l’intégration à l’écosystème Apple serait un grand point fort du système, et la pomme compte jouer à fond la carte de la protection de la vie privée, chose pour laquelle elle est bien connue et met le paquet depuis maintenant belle lurette.

Une sornette euuuuh... sonnette connectée ? Si elle n’est pas faite en interne, il va falloir choisir soigneusement le partenaire... Image Netatmo.

Et si tout se passe bien, Apple pourrait présenter un autre objet, qui serait en développement depuis le début de l’année : une sonnette connectée qui disposerait d'un système de reconnaissance faciale similaire à Face ID et que l'on pourrait associer à une serrure connectée. Le développement n’en est qu’à ses débuts, et il ne faudrait pas s’attendre à voir pointer quelque chose avant la fin 2025, si toutefois le projet aboutit avec toutes les sécurités nécessaires : si les grands pontes d’Apple étaient déjà moyennement chauds à l’idée d’une voiture pommée du fait du risque de voir l’image de la marque associée à des accidents, ils feront tout pour éviter de ruiner l’image de protection de la vie privée par un appareil qui laisserait entrer un quidam non sollicité dans la demeure de ses clients...

Bien entendu, tout ce matériel serait prévu pour fonctionner en parfaite harmonie avec tout le matériel Apple existant : des HomePods présents jusqu’aux Apple TV, en passant par l’iPhone et l’Apple Watch qui ne manquera pas d’être au poignet du propriétaire du palace. Qui plus est, tout ce beau monde pourra bénéficier à plein de la prochaine puce Wi-Fi/Bluetooth du constructeur, qui devrait comprendre une enclave sécurisée qui tombe à point nommé pour servir la cause, même si un routeur pommé pour reprendre le flambeau des bases AirPort ne serait pas dans les cartons. Autre petit bonheur pour Apple, le tout sera bien entendu largement intégré dans iCloud, ce qui devrait permettre à la marque d’augmenter le nombre de services inclus dans sa suite en ligne, et la rendre encore plus incontournable !

E.V.A.

Si les écouteurs de la pomme mettent déjà plus qu’un orteil dans le domaine de la santé cette année avec l’arrivée de fonctions de protection et d’amélioration de l’audition, ce n’est qu’un début, tant les idées germent dans la tête des ingénieurs de Cupertino.

Des écouteurs toujours plus connectés, à se demander où ils trouvent la place pour mettre tout ça. Image Apple.

Dans un premier temps, l’idée serait d’intégrer un moniteur d’activité cardiaque dans les écouteurs, pour aider ceux qui trouvent désagréable de porter une montre durant leurs exercices, ou qui veulent garder leur tocante habituelle au poignet. Mais d’autres idées plus folles trottent dans la tête des ingénieurs, avec notamment la possibilité d’intégrer des caméras (!) dans les écouteurs, afin de nourrir toujours plus efficacement l’IA et ainsi rendre naturelle toute demande d’aide à celle-ci. Si la tâche paraît ardue, notamment pour ce qui est de l’autonomie de l’ensemble, le projet serait parmi les plus grandes priorités de l’équipe chargée du développement des AirPods, ce qui donne une idée des volontés de la pomme.

Tomorrow

Pour un Siri qui répond plus efficacement, la patience est mère de toutes les vertus. Capture MacGeneration.

Dans un futur un peu plus proche, Apple va continuer à faire évoluer iOS 18, avec notamment la version 18.4 : si elle devrait apporter Apple Intelligence à l’Union européenne, elle doit aussi amener le Siri un peu plus évolué, capable d’interagir avec toutes les apps présentes sur le téléphone, ainsi que de voir ce qui se passe à l’écran de celui-ci. Mais ne vous attendez pas pour autant à voir Siri devenir un équivalent à ChatGPT, avec une conversation naturelle au point d’avoir l’impression de dialoguer avec un ami : si Apple a bien prévu cette finalité, Mark Gurman ne la voit pas venir... avant iOS 19.4. Non, il n’y a pas de faute de frappe.

Concernant les Mac, les choses devraient être relativement tranquilles, et suivre le chemin déjà connu d’avance : les MacBook Air vont avoir droit à leur M4, suivis des Mac Studio et enfin des Mac Pro à la fin de l’année. Pour ce qui est du M5, il devrait bien faire son apparition, en premier sur les MacBook Pro, comme c’est souvent le cas depuis qu’Apple produit ses propres puces : les machines portables haut de gamme restent le fer de lance de la marque.

Late Night Final

C’est avec toutes ces prévisions, rêves pour certains, cauchemars pour d’autres que l’année 2024 se finit, Mark Gurman faisant une trêve jusqu’à la fin de l’année... qui va me permettre à moi aussi de me reposer le dimanche, même si l’actualité ne dort jamais. Dans l’attente de promesses futures l’année prochaine (qui n’engagent que ceux qui y croient, comme dirait un homme célèbre de l’hexagone), passez de bonnes fêtes, et à bientôt pour la suite des aventures dominicales !

  • Dis Siri, mets-moi Public Service Broadcasting.
  • Désolé, Greg, je n’ai pas compris. Voulez-vous dire la BBC ?
  • Raaaaah, vivement 2025 !
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TikTok publie une partie de son code, dans l’espoir d’éviter le ban aux USA

Par : Greg Onizuka
20 décembre 2024 à 22:15

Alors que la date fatidique se rapproche pour le réseau social préféré des ados, ByteDance tente le tout pour le tout pour sauver sa tête aux USA, en publiant sur GitHub une partie du code qui régit son algorithme, comme repéré par Numérama.

Le GitHub de Monolith. Image MacGeneration.

L’action n’est pas anodine, ce genre de publication étant très, très rare parmi les grands réseaux sociaux. On n’imagine que difficilement Meta, Alphabet ou X publier le code leur permettant de retenir encore et toujours plus le client sur leur site ! Mais TikTok n’est pas non plus dans une situation anodine : si rien ne vient bloquer la décision, le réseau devrait se voir interdit aux États-Unis à partir du 19 janvier 2025, veille de l’entrée en fonction du 47ème président des USA.

En faisant cette manœuvre, ByteDance espère contrer l’un des principaux arguments contre son réseau : il apparaît en effet que le code employé par la firme, appelé « Monolith » en interne, se repose en grande partie sur Keras, une bibliothèque open source basée sur TensorFlow, développée par Google.

Cependant, le code livré n’a pas été mis à jour depuis 2023, une éternité dans le domaine, et ne dévoile pas non plus toute la logique de fonctionnement de TikTok. Non seulement beaucoup de choses ont pu changer entretemps, mais même si ce n’était pas le cas, cela ne permet de toute façon pas de connaître toute la machinerie derrière le réseau social, ce qui semble logique, la gestion des utilisateurs et de leurs préférences étant le nerf de la guerre dans le domaine.

Reste que ByteDance a besoin d’un miracle, et fait tout pour qu’il arrive : entre un recours devant la cour suprême (qui a peu de chances d’aboutir), un dîner avec le président élu, et maintenant l’ouverture d’une partie de son code, les dirigeants US du réseau social sont très chargés en cette fin d’année. Si l’issue paraît inéluctable, leur plus grande chance pourrait cependant être l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, qui voit en TikTok l’un des leviers lui ayant permis d’accéder de nouveau au pouvoir durant les dernières élections présidentielles. Le mois de janvier va être mouvementé pour ByteDance et son réseau, qui fait la majeure partie de son chiffre d’affaires aux USA...

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Le Vision Pro atteint 5 % des ventes en 2024

Par : Greg Onizuka
20 décembre 2024 à 21:15

Alors que beaucoup s’accordent à dire que le Vision Pro n’est pas LA grande vague que certains espéraient en voyant Apple arriver sur le marché des casques à réalité augmentée, la fin de l’année et ses bilans permettent de faire le point sur la réalité des choses... et ça ne s’annonce finalement pas si mal pour le casque pommé.

5 % de PDM... c’est déjà correct vu le tarif. Image TrendForce.

5 % de parts de marché... c’est le bilan du Vision Pro dans le domaine des casques VR/XR. Alors ok, 5 %, ça paraît faible, voire très faible pour un acteur du poids d’Apple. Mais si on regarde les premiers du podium, il y a une différence de taille : le tarif. Si Meta se targue de prendre la part du lion, avec 73 % du marché, et Sony arrive second avec 9 %, il faut bien se rendre à l’évidence que leurs produits n’ont strictement rien à voir avec le Vision Pro.

Ainsi, le casque qui représente l’écrasante majorité des ventes chez Meta est la version Quest 3S qui se trouve entre 330 et 450 €, quand l’unique casque de Sony est présenté entre 400 et 500 €. Donc être troisième avec 5 % du marché quand on propose un casque quasiment 10 fois plus cher que la concurrence, ce n’est pas si mal !

9to5Mac en profite pour faire un point sur une autre réalité : alors que les casques VR de Meta ou Sony sont quasi exclusivement dédiés aux jeux vidéos et à un usage ludique, le Vision Pro, à l’opposé, voit son usage particulièrement orienté vers l’entreprise et le médical.

Comme cas d’école, le site relate l’expérience d’un chirurgien au Brésil, ayant utilisé avec bonheur le casque pommé durant une opération, lui permettant ainsi de consulter le dossier du patient ainsi que des vues 3D en temps réel, améliorant ainsi l’efficacité du médecin durant la chirurgie. Le docteur a particulièrement apprécié la qualité des écrans du Vision Pro, sa réactivité, ainsi que la tenue des caméras face aux lumières vives d’une salle d’opération.

Il n’est pas le seul à faire ce constat, et certains commencent déjà à faire un parallèle assez marquant, mettant face à face un Vision Pro et ses capacités pour 4 000 €, quand un « simple » moniteur adapté aux salles d’opérations est vendu plus de 30 000 $. Dans une interview, un autre chirurgien compare l’arrivée du Vision Pro dans le domaine médical à celle des premiers robots d’aide à la chirurgie, rien de moins.

Il semble quoiqu’il en soit que le Vision Pro ait trouvé sa voie, même si elle n’est pas encore celle du grand public. Mais tout vient à point à qui sait attendre, et il va sans dire qu’Apple devrait rendre plus accessible cette technologie dans les années à venir.

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Sortie de route pour la date de sortie de CarPlay 2

Par : Greg Onizuka
20 décembre 2024 à 20:15

La fin d’année est souvent l’occasion de faire le bilan, de voir ce qui a fonctionné... et ce qui a plutôt l’air et la chanson d’un échec. Si Apple a rarement des éléments dans la seconde catégorie (bon, ok, le Vision Pro a un peu un pied entre les deux, suivant si on se base sur le nombre de ventes ou sur les perspectives plus lointaines), il y a quand même une petite tache sur le joli tableau de la pomme, comme le rappelle 9to5Mac : CarPlay 2.

« Les premiers modèles arrivent en 2024 »... Vraiment ? Capture MacGeneration.

Le site Apple ne trompe pas, même si lui-même est dans l’erreur : il indique toujours une arrivée des premiers modèles en 2024, ce qui semble compliqué à réaliser, peu de constructeurs ayant pour habitude de sortir de nouveaux véhicules durant les fêtes de fin d’année. Et 2024 n’ayant plus que quelques jours à vivre... la promesse semble un échec.

On notera d’ailleurs que si Apple y croit toujours, c’est très discrètement : alors que d’habitude elle met en avant toutes les innovations qu’elle met en œuvre, la page parlant de CarPlay ne mentionne que discrètement la nouvelle version dans un encart, et ne s’avance surtout pas sur les marques partenaires, préférant mettre en avant celles compatibles avec CarPlay 1.

Reste que le projet n’est peut-être pas mort, si on en croit la découverte d’une version Audi du système dans une base de données de l’Union européenne, ou encore les promesses de Porsche et Aston Martin. Mais pour cette année, Apple ne mettra pas de voiture compatible CarPlay 2 sous le sapin (de toute façon elle n’aurait pas tenu, ou alors il aurait fallu un très grand sapin...). Rendez-vous en 2025, pour voir si une automobile équipée apparaît... ou si l’encart disparaît discrètement.

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YouTube force le doublage par IA, mais heureusement il est encore débrayable

Par : Greg Onizuka
19 décembre 2024 à 21:35

Dans la sphère des vidéos YouTube, il existe déjà une plaie dont les utilisateurs se seraient bien passé : les sous-titres automatiquement générés par IA. Alors que ces derniers s’ajoutent automatiquement et poussent à devoir désactiver vidéo par vidéo leur apparition, la plateforme de Google semble vouloir aller encore plus loin et impose maintenant... le doublage par IA.

Ainsi, comme le rapporte The Verge sur certaines vidéos (heureusement tout le catalogue n’y est pas encore passé, de loin, la masse de celui-ci devant se mesurer en milliers ou millions d’heures de calcul pour y parvenir), YouTube change automatiquement la langue d’origine pour la remplacer par un doublage dans votre langue par défaut, effectué par une IA.

Si la chose peut s’avérer utile pour comprendre certaines vidéos dans une langue que vous ne parlez pas, quelques soucis sont à relever : dans un premier temps, rien ne vient vérifier si l’IA a bien traduit ce que dit réellement la personne, et ne fait pas un énorme contresens. Ensuite, la traduction des émotions est... totalement absente : vous vous retrouvez avec une voix digne d’un répondeur automatique qui vous parle tout le long de la vidéo.

Pour finir, et ce point est probablement le plus désagréable, YouTube mettra systématiquement son doublage artificiel par défaut si la vidéo que vous lancez n’est pas dans votre langue et que celui-ci est disponible. Ainsi, sur chaque vidéo concernée, vous devrez aller dans l’icône de réglages, puis choisir « piste audio » et enfin cliquer sur la VO. Encore plus agaçant, votre choix n’est pas retenu après fermeture de la vidéo : vous devrez effectuer cette manipulation à chaque visionnage.

Le réglage est disponible, mais pourquoi ne pas proposer un réglage par défaut ? Capture MacGeneration.

Si l’idée part d’une bonne intention, l’imposer par défaut la rend plus pénible qu’autre chose. Il reste à espérer que YouTube entende la grogne, et laisse au moins la possibilité de choisir la VO comme réglage par défaut, plutôt qu’une IA.

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Suite à l’erreur BBC, RSF demande l’interdiction des résumés par IA

Par : Greg Onizuka
19 décembre 2024 à 20:15

L’intelligence artificielle développée par Apple est jeune, mais il est des domaines où l’erreur n’est pas permise. Ainsi, la bourde d’Apple Intelligence dans le résumé des infos de la BBC semble ne pas passer, et Reporters Sans Frontières (RSF) en rajoute une couche en demandant rien moins que le bannissement de la fonction résumé de l’IA pommée, comme rapporté par 9to5Mac.

RSF a Apple Intelligence en ligne de mire, et ne s’en cache pas. Image RSF.

Dans un communiqué transmis à l’Organisation des Nations Unies, au Conseil européen, ainsi qu’à d’autres agences gouvernementales liées à la liberté de la presse et au journalisme, les demandes de l’ONG semblent être le bannissement de toute fonction de résumé par IA qui toucherait les journaux.

Reporters Sans Frontières (RSF) est très inquiète des risques posés aux médias par les nouveaux outils proposés par l’intelligence artificielle (IA), après qu’un nouveau produit d’Apple ait généré une notification erronée et l’ait attribuée à la BBC. Cet accident démontre que les services d’IA générative sont pour le moment trop immatures pour produire une information fiable pour le public, et ne devraient pas être autorisés pour de tels usages.

Si le communiqué semble ne pas avoir de destinataire précis, Vincent Berthier, responsable du bureau technologies et journalisme de l’ONG se veut plus précis :

Les IA sont des machines à probabilités, or la véracité d’une information ne se joue pas sur un coup de dés. RSF appelle Apple à prendre ses responsabilités en retirant cette fonctionnalité. La production automatisée de fausses informations portant le sigle de médias est une atteinte à leur crédibilité, et un danger pour le droit du public à disposer d’informations fiables sur l’actualité. L'AI Act européen, pourtant la législation la plus avancée au monde en la matière, n'a pas classé les IA générant de l'information comme systèmes à haut risque, laissant un vide juridique critique. Cette lacune doit être comblée rapidement.

RSF en appelle ainsi clairement à la révision du droit européen, déjà l’un des plus stricts en la matière, pour bannir l’utilisation de l’IA générative dans les résumés de sites et d’apps utilisant les informations provenant des journaux et médias en ligne. Si l’inquiétude est compréhensible, reste à savoir si elle sera entendue ou restera lettre morte, dans une Europe que certains considèrent déjà comme trop stricte sur l’intelligence artificielle...

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Le Flint Center, lieu des présentations historiques d’Apple, en cours de démolition

Par : Greg Onizuka
18 décembre 2024 à 21:45

Vous l’avez vu en 1984 pour la présentation du Macintosh, mais aussi pour celle de l’iMac G3 14 ans plus tard. Encore une fois, il a été présent pour la révélation de l’Apple Watch, et pendant de nombreuses années il a fait les beaux (et les mauvais) jours des réunions d’actionnaires. Qui ? Plutôt quoi : le Flint Center Auditorium du De Anza College, à Cupertino.

Michael Fassbender sur la scène du Flint Center, pour son rôle dans le biopic sur Steve Jobs. Image Universal.

Si Apple est connue pour être sise à Cupertino, elle n’a, pendant très longtemps, pas eu la capacité de tenir les grandes présentations publiques et les réunions d’actionnaires dans ses locaux. Ce n’est qu’avec l’avènement de l’Apple Park que c’est le cas, avec le Steve Jobs Theater, qui n’est ouvert que depuis 2017.

Et même une fois Apple dans ses propres locaux, les aficionados l’ont encore revu, immortalisé dans le film d’Aaron Sorkin, avec Michael Fassbender reprenant le rôle de Steve Jobs pour le biopic le concernant, où nombre de scènes se passent sur l’estrade du Flint Center.

Mais en 2019, après de nombreuses années à vivoter de petites conférences en petites conférences, l’auditorium n’était plus à même de maintenir ses comptes, ni même... de se maintenir tout court : en décrépitude, une étude avait estimé les coûts de rénovation à plus de 50 millions de dollars, comme le rapporte Apple Insider. C’est ainsi que la décision fut prise de le démolir, afin de construire un tout nouveau centre à sa place. Décision exécutée en ce moment même... il restera les souvenirs.

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