Barbee (7,99 €) n’a rien à voir avec la célèbre poupée de Mattel, cet utilitaire est une alternative à Bartender. Comme cette dernière, l’app permet principalement de nettoyer la barre des menus de macOS en masquant par défaut la plupart des icônes qui viennent parfois s’entasser dans le coin supérieur droit de l’écran de son Mac. Une fois active, elle vient masquer tous les éléments, sauf ceux que vous décidez de garder en permanence à l’écran, et les affiche ensuite au survol du curseur ou bien en utilisant l’une des multiples autres options proposées par le développeur.
Barbee en action avec plusieurs fonctionnalités : la barre des menus qui se masque sauf au survol, deux widgets (bleu et vert) et le logo d’Apple modifié en haut à gauche. Image MacGeneration.
L’app n’est pas nouvelle, loin de là, et cela se sent quand on l’essaie. Barbee propose énormément de fonctionnalités, à tel point qu’il faut prendre un petit peu de temps au départ pour en faire le tour. Il existe deux grandes manières d’afficher les icônes, soit directement dans la barre des menus, soit dans une deuxième barre en dessous. On peut ajuster les différentes méthodes pour afficher toutes les icônes, y compris en utilisant un raccourci clavier. Il y a aussi des réglages pour personnaliser l’interface d’Apple, en changeant la pomme sur la gauche ou bien en masquant l’encoche présente sur les Mac portables.
On peut même créer des widgets avec Barbee, des éléments d’interface qui flottent au-dessus des fenêtres de macOS et qui affichent l’un des éléments de la barre des menus. Si vous utilisez un outil de surveillance des performances du Mac, comme iStat menus, vous pouvez ainsi garder un œil sur des statistiques tout en gardant une barre nettoyée. Enfin, on peut créer des profils avec des configurations spécifiques et même des automatisations pour ajuster les paramètres en fonction d’autres critères.
Face à un Bartender au destin plus ou moins incertain depuis son changement de propriétaire l’an dernier, Barbee est une alternative qui mérite le détour si vous cherchez une app dans cette catégorie. Distribuée exclusivement sur le Mac App Store, elle est gratuite au téléchargement et propose un mode démo gratuit pendant trois jours. Au-delà, deux formules sont proposées : soit un achat définitif à 7,99 €, soit un abonnement annuel à 2,99 €.
Barbee nécessite macOS 11 au minimum et son interface est traduite en français.
Barbee (7,99 €) n’a rien à voir avec la célèbre poupée de Mattel, cet utilitaire est une alternative à Bartender. Comme cette dernière, l’app permet principalement de nettoyer la barre des menus de macOS en masquant par défaut la plupart des icônes qui viennent parfois s’entasser dans le coin supérieur droit de l’écran de son Mac. Une fois active, elle vient masquer tous les éléments, sauf ceux que vous décidez de garder en permanence à l’écran, et les affiche ensuite au survol du curseur ou bien en utilisant l’une des multiples autres options proposées par le développeur.
Barbee en action avec plusieurs fonctionnalités : la barre des menus qui se masque sauf au survol, deux widgets (bleu et vert) et le logo d’Apple modifié en haut à gauche. Image MacGeneration.
L’app n’est pas nouvelle, loin de là, et cela se sent quand on l’essaie. Barbee propose énormément de fonctionnalités, à tel point qu’il faut prendre un petit peu de temps au départ pour en faire le tour. Il existe deux grandes manières d’afficher les icônes, soit directement dans la barre des menus, soit dans une deuxième barre en dessous. On peut ajuster les différentes méthodes pour afficher toutes les icônes, y compris en utilisant un raccourci clavier. Il y a aussi des réglages pour personnaliser l’interface d’Apple, en changeant la pomme sur la gauche ou bien en masquant l’encoche présente sur les Mac portables.
On peut même créer des widgets avec Barbee, des éléments d’interface qui flottent au-dessus des fenêtres de macOS et qui affichent l’un des éléments de la barre des menus. Si vous utilisez un outil de surveillance des performances du Mac, comme iStat menus, vous pouvez ainsi garder un œil sur des statistiques tout en gardant une barre nettoyée. Enfin, on peut créer des profils avec des configurations spécifiques et même des automatisations pour ajuster les paramètres en fonction d’autres critères.
Face à un Bartender au destin plus ou moins incertain depuis son changement de propriétaire l’an dernier, Barbee est une alternative qui mérite le détour si vous cherchez une app dans cette catégorie. Distribuée exclusivement sur le Mac App Store, elle est gratuite au téléchargement et propose un mode démo gratuit pendant trois jours. Au-delà, deux formules sont proposées : soit un achat définitif à 7,99 €, soit un abonnement annuel à 2,99 €.
Barbee nécessite macOS 11 au minimum et son interface est traduite en français.
Dans sa dernière publicité, Apple évoque l’une des fonctionnalités d’Apple Intelligence qui existent déjà sur tous les appareils compatibles et qui en plus est utile. La vidéo plutôt amusante met en avant la gomme magique intégrée à l’app Photos pour effacer discrètement la photographe malencontreusement placée dans l’axe d’un miroir. Contrairement à la publicité pour le nouveau Siri, celle-ci devrait rester en ligne…
Microsoft a récemment annoncé une nouveauté pour la version iOS de Word, son célèbre traitement de texte. Sur l’iPhone, l’app est désormais capable de créer un document à partir de notes vocales, en reposant sur l’intelligence de Copilot pour comprendre ce que vous dites et l’organiser de manière structurée, comme si vous le faisiez avec un clavier. L’idée est de simplifier la création de documents complexes sur un appareil mobile où la saisie de texte n’est pas simple.
La fonctionnalité en action. Image Microsoft.
L’intelligence artificielle à la manœuvre derrière Copilot doit faire le gros du travail de transcription et surtout de mise en forme à votre place et créer un document à peu près correct, qui pourra toujours être ajusté par la suite sur un ordinateur. Microsoft a prévu par défaut trois domaines différents pour aider l’IA à organiser vos paroles : on peut créer soit un document avec des sections, soit des notes libres organisées logiquement en paragraphes, soit un courriel. Les utilisateurs pourront ajouter d’autres modes, en indiquant alors à Copilot le type de document qu’il doit générer.
Une fois le mode choisi, il suffit d’enregistrer le texte à l’aide d’un microphone, comme celui intégré à l’iPhone. Word se charge de transmettre l’audio à Copilot pour une transcription intelligente, qui s’adapte au mode demandé et à ce que vous dites pour tenter de déterminer comment organiser le texte. À la fin de ce processus, l’app affichera un aperçu et il est alors possible soit de conserver le document tel quel, soit de le modifier à la main, soit encore de le repasser à la moulinette de l’IA pour obtenir un résultat différent. C’est en effet la grande force ou faiblesse des grands modèles de langage qui sont à la manœuvre, ils ne donnent pas des réponses uniques à une même demande.
Les trois formats par défaut pris en charge par Word pour cette nouveauté. Image Microsoft.
Cette fonctionnalité est disponible dès à présent dans cinq langues, dont le français. Pour l’exploiter, vous aurez besoin de Word pour iOS (version 2.96 au minimum) associé à une licence de Copilot, ce qui semble encore réservé aux entreprises en France. Microsoft compte étendre la fonctionnalité à d’autres langues et pays prochainement.
Dans sa dernière publicité, Apple évoque l’une des fonctionnalités d’Apple Intelligence qui existent déjà sur tous les appareils compatibles et qui en plus est utile. La vidéo plutôt amusante met en avant la gomme magique intégrée à l’app Photos pour effacer discrètement la photographe malencontreusement placée dans l’axe d’un miroir. Contrairement à la publicité pour le nouveau Siri, celle-ci devrait rester en ligne…
Microsoft a récemment annoncé une nouveauté pour la version iOS de Word, son célèbre traitement de texte. Sur l’iPhone, l’app est désormais capable de créer un document à partir de notes vocales, en reposant sur l’intelligence de Copilot pour comprendre ce que vous dites et l’organiser de manière structurée, comme si vous le faisiez avec un clavier. L’idée est de simplifier la création de documents complexes sur un appareil mobile où la saisie de texte n’est pas simple.
La fonctionnalité en action. Image Microsoft.
L’intelligence artificielle à la manœuvre derrière Copilot doit faire le gros du travail de transcription et surtout de mise en forme à votre place et créer un document à peu près correct, qui pourra toujours être ajusté par la suite sur un ordinateur. Microsoft a prévu par défaut trois domaines différents pour aider l’IA à organiser vos paroles : on peut créer soit un document avec des sections, soit des notes libres organisées logiquement en paragraphes, soit un courriel. Les utilisateurs pourront ajouter d’autres modes, en indiquant alors à Copilot le type de document qu’il doit générer.
Une fois le mode choisi, il suffit d’enregistrer le texte à l’aide d’un microphone, comme celui intégré à l’iPhone. Word se charge de transmettre l’audio à Copilot pour une transcription intelligente, qui s’adapte au mode demandé et à ce que vous dites pour tenter de déterminer comment organiser le texte. À la fin de ce processus, l’app affichera un aperçu et il est alors possible soit de conserver le document tel quel, soit de le modifier à la main, soit encore de le repasser à la moulinette de l’IA pour obtenir un résultat différent. C’est en effet la grande force ou faiblesse des grands modèles de langage qui sont à la manœuvre, ils ne donnent pas des réponses uniques à une même demande.
Les trois formats par défaut pris en charge par Word pour cette nouveauté. Image Microsoft.
Cette fonctionnalité est disponible dès à présent dans cinq langues, dont le français. Pour l’exploiter, vous aurez besoin de Word pour iOS (version 2.96 au minimum) associé à une licence de Copilot, ce qui semble encore réservé aux entreprises en France. Microsoft compte étendre la fonctionnalité à d’autres langues et pays prochainement.
Le développeur de Sidecar (achats in-app), une app dédiée à la lecture d’informations transmises par les voitures en utilisant la prise OBD, a réussi à ajouter une fonctionnalité normalement interdite dans la version destinée à CarPlay. Avec la dernière mise à jour de l’app, il propose aussi un lecteur vidéo, qui permet notamment d’accéder à YouTube. Certes, la fonctionnalité n’est censée être proposée que lorsque le véhicule est à l’arrêt et garé, mais ça n’en est pas moins interdit par Apple.
Le constructeur de l’iPhone garde en effet un contrôle très strict sur CarPlay et interdit notamment toute diffusion de vidéo. Une app comme VLC peut exister sur CarPlay, mais uniquement pour diffuser du son, l’image reste interdite sur l’écran des voitures et ce, même à l’arrêt. Alors, pourquoi est-ce que Sidecar propose cette fonctionnalité ? C’est très certainement une erreur de la part de l’équipe de validation de l’App Store, ce qui est probable sachant que l’app existe depuis plusieurs années et que, contrairement à ce que la Pomme avance souvent, il n’y a en réalité pas de validation manuelle systématique sur la boutique.
Cette erreur sera probablement rapidement corrigée et la mise à jour, voire l’app entière, sera retirée le temps que la fonctionnalité soit supprimée. Si vous voulez tester, ne trainez pas trop, en gardant en tête que ce lecteur vidéo intégré est payant. Sidecar est une app gratuite au téléchargement, même si ses fonctionnalités sont associées à des achats in-app ou abonnements. Pour la nouveauté normalement interdite, c’est un achat unique de 9,99 € qu’il faut prévoir. Apple devrait rembourser sans trop discuter les clients qui auront payé juste avant la suppression de la fonction, mais cela reste un petit risque à prendre si vous voulez vraiment tester.
Sidecar nécessite iOS 18, son interface est traduite en français.
Le développeur de Sidecar (achats in-app), une app dédiée à la lecture d’informations transmises par les voitures en utilisant la prise OBD, a réussi à ajouter une fonctionnalité normalement interdite dans la version destinée à CarPlay. Avec la dernière mise à jour de l’app, il propose aussi un lecteur vidéo, qui permet notamment d’accéder à YouTube. Certes, la fonctionnalité n’est censée être proposée que lorsque le véhicule est à l’arrêt et garé, mais ça n’en est pas moins interdit par Apple.
Le constructeur de l’iPhone garde en effet un contrôle très strict sur CarPlay et interdit notamment toute diffusion de vidéo. Une app comme VLC peut exister sur CarPlay, mais uniquement pour diffuser du son, l’image reste interdite sur l’écran des voitures et ce, même à l’arrêt. Alors, pourquoi est-ce que Sidecar propose cette fonctionnalité ? C’est très certainement une erreur de la part de l’équipe de validation de l’App Store, ce qui est probable sachant que l’app existe depuis plusieurs années et que, contrairement à ce que la Pomme avance souvent, il n’y a en réalité pas de validation manuelle systématique sur la boutique.
Cette erreur sera probablement rapidement corrigée et la mise à jour, voire l’app entière, sera retirée le temps que la fonctionnalité soit supprimée. Si vous voulez tester, ne trainez pas trop, en gardant en tête que ce lecteur vidéo intégré est payant. Sidecar est une app gratuite au téléchargement, même si ses fonctionnalités sont associées à des achats in-app ou abonnements. Pour la nouveauté normalement interdite, c’est un achat unique de 9,99 € qu’il faut prévoir. Apple devrait rembourser sans trop discuter les clients qui auront payé juste avant la suppression de la fonction, mais cela reste un petit risque à prendre si vous voulez vraiment tester.
Sidecar nécessite iOS 18, son interface est traduite en français.
À chaque fois que vous remerciez ChatGPT, ou un autre assistant basé de la même manière sur un grand modèle de langage, vous provoquez des calculs supplémentaires dans un data-center quelque part. Ces requêtes pour être poli avec les intelligences artificielles n’apportent rien de concret à l’utilisateur1, mais elles coûtent cher aux gestionnaires de ces outils. Et pas qu’un peu, si l’on en croit Sam Altman : le CEO d’OpenAI a indiqué sur X en fin de semaine dernière que cette politesse coûtait à son entreprise « des dizaines de millions de dollars » en électricité, rien que ça.
Oups, désolé Sam. Image MacGeneration.
Le patron de ChatGPT considère que cette somme est une dépense justifiée, peut-être une précaution si les IA devenaient vraiment intelligentes et omnipotentes dans le futur. C’est en tout cas un chiffre qui donne le vertige. Si générer des réponses aux remerciements et autres politesses des utilisateurs de ChatGPT provoque de telles dépenses, c’est à la fois le signe du succès incroyable de l’assistant à tout faire d’OpenAI et aussi (surtout ?) de son inefficacité énergétique.
On sait que les grands modèles de langage demandent énormément de puissance de calcul, ce qui signifie qu’ils consomment aussi beaucoup d’électricité, ce qui a un coût pour celui qui les fait tourner ainsi que pour l’environnement. Il est difficile d’évaluer précisément la consommation d’une question posée à ChatGPT, d’autant que cela varie fortement selon le modèle utilisé et la nature de la demande. Par exemple, générer une image est une tâche bien plus exigeante, à tel point que les immenses capacités de calcul d’OpenAI ne suffisaient plus lors du lancement du dernier modèle en date.
L’entreprise de Sam Altman n’a pas encore trouvé de bonne solution pour être rentable et elle préfère pour l’heure dépenser sans compter pour imposer ses outils auprès du grand public. Une manœuvre coûteuse, mais efficace si l’on en juge au succès de ChatGPT, y compris dans la culture populaire.
Quoi que : selon certains, être poli permet d’obtenir de meilleures réponses. ↩︎
À chaque fois que vous remerciez ChatGPT, ou un autre assistant basé de la même manière sur un grand modèle de langage, vous provoquez des calculs supplémentaires dans un data-center quelque part. Ces requêtes pour être poli avec les intelligences artificielles n’apportent rien de concret à l’utilisateur1, mais elles coûtent cher aux gestionnaires de ces outils. Et pas qu’un peu, si l’on en croit Sam Altman : le CEO d’OpenAI a indiqué sur X en fin de semaine dernière que cette politesse coûtait à son entreprise « des dizaines de millions de dollars » en électricité, rien que ça.
Oups, désolé Sam. Image MacGeneration.
Le patron de ChatGPT considère que cette somme est une dépense justifiée, peut-être une précaution si les IA devenaient vraiment intelligentes et omnipotentes dans le futur. C’est en tout cas un chiffre qui donne le vertige. Si générer des réponses aux remerciements et autres politesses des utilisateurs de ChatGPT provoque de telles dépenses, c’est à la fois le signe du succès incroyable de l’assistant à tout faire d’OpenAI et aussi (surtout ?) de son inefficacité énergétique.
On sait que les grands modèles de langage demandent énormément de puissance de calcul, ce qui signifie qu’ils consomment aussi beaucoup d’électricité, ce qui a un coût pour celui qui les fait tourner ainsi que pour l’environnement. Il est difficile d’évaluer précisément la consommation d’une question posée à ChatGPT, d’autant que cela varie fortement selon le modèle utilisé et la nature de la demande. Par exemple, générer une image est une tâche bien plus exigeante, à tel point que les immenses capacités de calcul d’OpenAI ne suffisaient plus lors du lancement du dernier modèle en date.
L’entreprise de Sam Altman n’a pas encore trouvé de bonne solution pour être rentable et elle préfère pour l’heure dépenser sans compter pour imposer ses outils auprès du grand public. Une manœuvre coûteuse, mais efficace si l’on en juge au succès de ChatGPT, y compris dans la culture populaire.
Quoi que : selon certains, être poli permet d’obtenir de meilleures réponses. ↩︎
Les Apple Watch sont régulièrement en promotion, mais c’est plus rare sur les modèles cellulaires et en France. C’est pourquoi cette offre est intéressante : Amazon France réduit le prix d’une Apple Watch Series 10 cellulaire de 42 mm, le « petit » format et la vend 449,99 €, soit une réduction de 21 % par rapport à son prix officiel de 569 €. Une seule configuration est proposée à ce tarif, avec une montre en aluminium couleur naturelle (argent) et le bracelet Boucle Sport en bleu clair. Si elle vous convient, c’est une bonne affaire et le prix le plus bas sur Amazon France.
Image WatchGeneration.
La Series 10 est la dernière génération d’Apple Watch et elle se distingue des précédentes par son design légèrement affiné. Ce n’est pas le jour et la nuit, mais ce sera plus confortable au poignet. Elle intègre aussi les dernières nouveautés techniques pour la montre connectée d’Apple, ce qui lui assurera une longue longévité. Si l’on ne sait pas ce que le constructeur a prévu pour les Series 11, on ne s’attend pas à une mise à jour majeure cette année, alors c’est un bon moment pour acheter le produit.
La version cellulaire peut être associée à un forfait pour l’utiliser de façon plus indépendante, sans dépendre d’un iPhone à proximité. Comptez par exemple 5 € par mois chez Orange ou Sosh, avec trois mois offerts pour tester la fonctionnalité sans risque.
Les Apple Watch sont régulièrement en promotion, mais c’est plus rare sur les modèles cellulaires et en France. C’est pourquoi cette offre est intéressante : Amazon France réduit le prix d’une Apple Watch Series 10 cellulaire de 42 mm, le « petit » format et la vend 449,99 €, soit une réduction de 21 % par rapport à son prix officiel de 569 €. Une seule configuration est proposée à ce tarif, avec une montre en aluminium couleur naturelle (argent) et le bracelet Boucle Sport en bleu clair. Si elle vous convient, c’est une bonne affaire et le prix le plus bas sur Amazon France.
Image WatchGeneration.
La Series 10 est la dernière génération d’Apple Watch et elle se distingue des précédentes par son design légèrement affiné. Ce n’est pas le jour et la nuit, mais ce sera plus confortable au poignet. Elle intègre aussi les dernières nouveautés techniques pour la montre connectée d’Apple, ce qui lui assurera une longue longévité. Si l’on ne sait pas ce que le constructeur a prévu pour les Series 11, on ne s’attend pas à une mise à jour majeure cette année, alors c’est un bon moment pour acheter le produit.
La version cellulaire peut être associée à un forfait pour l’utiliser de façon plus indépendante, sans dépendre d’un iPhone à proximité. Comptez par exemple 5 € par mois chez Orange ou Sosh, avec trois mois offerts pour tester la fonctionnalité sans risque.
Le constructeur automobile chinois Nio a lancé en fin de semaine dernière une nouvelle marque dans son propre pays avec l’ouverture des précommandes de la Firefly. Cela nous intéresse, car cette marque et cette voiture exclusivement électriques ont été pensées spécifiquement pour le marché européen. La Firefly sera rapidement distribuée en Europe, où elle viendra concurrencer directement de multiples modèles locaux, avec en ligne de mire la Renault 5 revisitée ou encore la Mini. Comme ces deux voitures ou encore la regrettée Honda e, la marque chinoise a en effet particulièrement soigné le design, avec une proposition très originale.
La Firefly se distingue d’abord par ces feux en trois morceaux, une idée très originale qui lui donne une personnalité. Image Firefly.On retrouve la même signature lumineuse à l’arrière. Image Firefly.La voiture ne dépasse pas les 4 mètres de long, ce qui en fait une excellente candidate pour les villes européennes. Les roues ont été placées aux quatre coins pour maximiser l’espace intérieur. Image Firefly.
Difficile de passer à côté quand on regarde la voiture : les feux à l’avant comme à l’arrière adoptent un format rarement vu, avec trois ronds pour chaque bloc de phares. Cela donne à la Firefly une identité propre, très facile à reconnaître et le fabricant espère sans doute que ce sera aussi le cas sur les routes. En tout cas, si l’on peut souvent critiquer la production automobile chinoise pour son manque d’originalité en termes de design, on ne pourra clairement pas le faire pour ce modèle. Plus encore peut-être que sur les grandes berlines ou les omniprésents SUV, c’est manifestement un segment du marché qui demande des designs originaux.
Au-delà du style qui est une affaire de goût, Nio a conçu une voiture parfaitement adaptée à nos villes européennes. La Firefly mesure pile quatre mètres de long et 1,78 m de large, à peine plus que la Renault 5 (3,9 m de long et 1,77 m de large), mais elle offre un espace à bord inédit sur le segment. C’est vrai à l’avant, où le sentiment d’espace est renforcé par l’absence de toute console centrale entre le conducteur et le passager, ce qui permet d’ailleurs d’entrer ou sortir par l’autre portière sur les places de parking serrées. C’est encore plus vrai aux places arrières, point noir de la compacte conçue par la marque au losange.
L’avant de la Firefly est minimaliste façon Tesla, avec l’essentiel des contrôles regroupés sur l’écran central. Le système d’exploitation est maison et les premiers retours saluent l’originalité et la qualité de l’interface. Image Firefly.D’un point de vue pratique, l’absence de console centrale est un argument majeur avancé par le constructeur, même s’il y a en contrepartie moins de rangements et un seul porte-gobelet ainsi qu’un seul chargeur à induction. Image Firefly.L’arrière est également spacieux pour un véhicule de cette catégorie, même si les plus grands adultes seront forcément à l’étroit derrière d’autres grands adultes. Image Firefly.
C’est toujours vrai dans les coffres, car oui, il y en a deux. À l’arrière, la Firefly revendique 335 litres de capacité avec les sièges à l’arrière en place, ce qui est similaire à celui de la Renault 5 (326). Néanmoins, en baissant les sièges, on peut atteindre 1 250 litres d’après le constructeur et même un plancher quasiment plat, grâce à un astucieux mécanisme qui relève l’assise. Sous les assises, il y a d’ailleurs des petits rangements supplémentaires, tant à l’arrière que sous le siège passager à l’avant. Et si cela ne suffisait pas, Nio a installé un coffre à l’avant (frunk) avec une taille étonnante sur ce segment : 92 litres, de quoi caser une valise cabine ! À titre de comparaison, c’est plus grand encore que le frunk d’une Model 3, un véhicule pourtant bien plus imposant.
Côté habilité, évoquons aussi le diamètre de braquage exceptionnellement petit (9,4 m, c’est moins qu’une e-Up pourtant bien plus courte), permis par la position du moteur électrique sur l’essieu arrière. N’espérez pas une voiture de sport en revanche, ce n’est pas l’argument avec des performances apparemment moyennes et une orientation générale plutôt vers le confort, notamment du côté des suspensions. L’intérieur est lui aussi résolument premium, même si Firefly est censé représenter l’entrée de gamme chez Nio, avec une avalanche de fonctionnalités tant de confort que de sécurité, y compris la conduite semi-autonome. Il faudra néanmoins vérifier ce qui sera encore proposé sur le marché européen, nettement moins compétitif que la Chine.
Le coffre à l’arrière est déjà de taille très correcte… Image Firefly.… mais la Firefly se distingue surtout par l’immense frunk à l’avant. Pour parvenir à caser tout cet espace, le constructeur a toutefois sacrifié la pompe à chaleur. Image Firefly.Le frunk dispose même d’un drain qui permettra de le transformer en glacière ou en espace de stockage pour des affaires très sales. Image Firefly.
Sous les sièges, on retrouve une batterie LFP d’une capacité de 42,1 kWh, avec une autonomie officielle de 420 km selon le généreux standard chinois CLTC. Avec nos normes européennes plus strictes, il faudrait plutôt tabler autour des 340 km WLTP, ce qui serait mieux que la Renault 5 de base (312 km pour 40 kWh), mais sans option pour le moment pour une plus grosse batterie. Cela devrait toutefois venir, puisque la Firefly exploite le système de batteries à échanger qui a fait la réputation de Nio et une autre option plus généreuse devrait être proposée dans ce cadre. Ces stations d’échange existent aussi en Europe, même si ce ne sont pas les mêmes que pour les grandes voitures de Nio, alors on ne sait pas exactement si ce sera une possibilité ici.
Malheureusement, l’échange de batterie n’a pas incité Nio à offrir le meilleur de la charge pour sa petite voiture. En charge lente, chez soi ou sur les bornes de ville, on sera limité à 7 kW, soit autour de six heures pour une charge. En charge rapide, sur l’autoroute, la Firefly ne montera qu’à 100 kW, ce qui n’est pas génial en 2025 et il faudra s’attendre à des arrêts d’une bonne demi-heure, surtout si la batterie est froide. D’autant que la voiture n’est pas équipée d’une pompe à chaleur qui pourrait aider à réguler la température des cellules en hiver. Bon point en revanche, la voiture peut exporter de l’énergie avec une charge bi-directionnelle qui peut atteindre 3,6 kW.
Tout ceci est disponible en précommande en Chine à partir de 119 800 yuan, soit environ 14 425 €… ce qui correspond au segment premium dans le pays. Même si la Firefly sera forcément plus chère une fois importée en Europe, on peut s’attendre à un tarif compétitif, surtout quand en comparant le niveau d’équipement ou encore l’espace à bord. Le constructeur n’a pas encore annoncé de dates, alors il faudra faire preuve de patience, même si la commercialisation européenne est bel et bien prévue. On devrait en savoir plus au cours des prochains mois.
Le constructeur automobile chinois Nio a lancé en fin de semaine dernière une nouvelle marque dans son propre pays avec l’ouverture des précommandes de la Firefly. Cela nous intéresse, car cette marque et cette voiture exclusivement électriques ont été pensées spécifiquement pour le marché européen. La Firefly sera rapidement distribuée en Europe, où elle viendra concurrencer directement de multiples modèles locaux, avec en ligne de mire la Renault 5 revisitée ou encore la Mini. Comme ces deux voitures ou encore la regrettée Honda e, la marque chinoise a en effet particulièrement soigné le design, avec une proposition très originale.
La Firefly se distingue d’abord par ces feux en trois morceaux, une idée très originale qui lui donne une personnalité. Image Firefly.On retrouve la même signature lumineuse à l’arrière. Image Firefly.La voiture ne dépasse pas les 4 mètres de long, ce qui en fait une excellente candidate pour les villes européennes. Les roues ont été placées aux quatre coins pour maximiser l’espace intérieur. Image Firefly.
Difficile de passer à côté quand on regarde la voiture : les feux à l’avant comme à l’arrière adoptent un format rarement vu, avec trois ronds pour chaque bloc de phares. Cela donne à la Firefly une identité propre, très facile à reconnaître et le fabricant espère sans doute que ce sera aussi le cas sur les routes. En tout cas, si l’on peut souvent critiquer la production automobile chinoise pour son manque d’originalité en termes de design, on ne pourra clairement pas le faire pour ce modèle. Plus encore peut-être que sur les grandes berlines ou les omniprésents SUV, c’est manifestement un segment du marché qui demande des designs originaux.
Au-delà du style qui est une affaire de goût, Nio a conçu une voiture parfaitement adaptée à nos villes européennes. La Firefly mesure pile quatre mètres de long et 1,78 m de large, à peine plus que la Renault 5 (3,9 m de long et 1,77 m de large), mais elle offre un espace à bord inédit sur le segment. C’est vrai à l’avant, où le sentiment d’espace est renforcé par l’absence de toute console centrale entre le conducteur et le passager, ce qui permet d’ailleurs d’entrer ou sortir par l’autre portière sur les places de parking serrées. C’est encore plus vrai aux places arrières, point noir de la compacte conçue par la marque au losange.
L’avant de la Firefly est minimaliste façon Tesla, avec l’essentiel des contrôles regroupés sur l’écran central. Le système d’exploitation est maison et les premiers retours saluent l’originalité et la qualité de l’interface. Image Firefly.D’un point de vue pratique, l’absence de console centrale est un argument majeur avancé par le constructeur, même s’il y a en contrepartie moins de rangements et un seul porte-gobelet ainsi qu’un seul chargeur à induction. Image Firefly.L’arrière est également spacieux pour un véhicule de cette catégorie, même si les plus grands adultes seront forcément à l’étroit derrière d’autres grands adultes. Image Firefly.
C’est toujours vrai dans les coffres, car oui, il y en a deux. À l’arrière, la Firefly revendique 335 litres de capacité avec les sièges à l’arrière en place, ce qui est similaire à celui de la Renault 5 (326). Néanmoins, en baissant les sièges, on peut atteindre 1 250 litres d’après le constructeur et même un plancher quasiment plat, grâce à un astucieux mécanisme qui relève l’assise. Sous les assises, il y a d’ailleurs des petits rangements supplémentaires, tant à l’arrière que sous le siège passager à l’avant. Et si cela ne suffisait pas, Nio a installé un coffre à l’avant (frunk) avec une taille étonnante sur ce segment : 92 litres, de quoi caser une valise cabine ! À titre de comparaison, c’est plus grand encore que le frunk d’une Model 3, un véhicule pourtant bien plus imposant.
Côté habilité, évoquons aussi le diamètre de braquage exceptionnellement petit (9,4 m, c’est moins qu’une e-Up pourtant bien plus courte), permis par la position du moteur électrique sur l’essieu arrière. N’espérez pas une voiture de sport en revanche, ce n’est pas l’argument avec des performances apparemment moyennes et une orientation générale plutôt vers le confort, notamment du côté des suspensions. L’intérieur est lui aussi résolument premium, même si Firefly est censé représenter l’entrée de gamme chez Nio, avec une avalanche de fonctionnalités tant de confort que de sécurité, y compris la conduite semi-autonome. Il faudra néanmoins vérifier ce qui sera encore proposé sur le marché européen, nettement moins compétitif que la Chine.
Le coffre à l’arrière est déjà de taille très correcte… Image Firefly.… mais la Firefly se distingue surtout par l’immense frunk à l’avant. Pour parvenir à caser tout cet espace, le constructeur a toutefois sacrifié la pompe à chaleur. Image Firefly.Le frunk dispose même d’un drain qui permettra de le transformer en glacière ou en espace de stockage pour des affaires très sales. Image Firefly.
Sous les sièges, on retrouve une batterie LFP d’une capacité de 42,1 kWh, avec une autonomie officielle de 420 km selon le généreux standard chinois CLTC. Avec nos normes européennes plus strictes, il faudrait plutôt tabler autour des 340 km WLTP, ce qui serait mieux que la Renault 5 de base (312 km pour 40 kWh), mais sans option pour le moment pour une plus grosse batterie. Cela devrait toutefois venir, puisque la Firefly exploite le système de batteries à échanger qui a fait la réputation de Nio et une autre option plus généreuse devrait être proposée dans ce cadre. Ces stations d’échange existent aussi en Europe, même si ce ne sont pas les mêmes que pour les grandes voitures de Nio, alors on ne sait pas exactement si ce sera une possibilité ici.
Malheureusement, l’échange de batterie n’a pas incité Nio à offrir le meilleur de la charge pour sa petite voiture. En charge lente, chez soi ou sur les bornes de ville, on sera limité à 7 kW, soit autour de six heures pour une charge. En charge rapide, sur l’autoroute, la Firefly ne montera qu’à 100 kW, ce qui n’est pas génial en 2025 et il faudra s’attendre à des arrêts d’une bonne demi-heure, surtout si la batterie est froide. D’autant que la voiture n’est pas équipée d’une pompe à chaleur qui pourrait aider à réguler la température des cellules en hiver. Bon point en revanche, la voiture peut exporter de l’énergie avec une charge bi-directionnelle qui peut atteindre 3,6 kW.
Tout ceci est disponible en précommande en Chine à partir de 119 800 yuan, soit environ 14 425 €… ce qui correspond au segment premium dans le pays. Même si la Firefly sera forcément plus chère une fois importée en Europe, on peut s’attendre à un tarif compétitif, surtout quand en comparant le niveau d’équipement ou encore l’espace à bord. Le constructeur n’a pas encore annoncé de dates, alors il faudra faire preuve de patience, même si la commercialisation européenne est bel et bien prévue. On devrait en savoir plus au cours des prochains mois.
Si l’on en croit les rumeurs persistantes, Apple opterait pour un tout nouveau design au dos de ses futurs iPhone 17 Pro. Jusque-là ramassée dans le coin supérieur gauche, la zone surélevée autour des appareils photos grandirait tant qu’elle occuperait tout le haut de l’écran. Ce choix pourrait être une opportunité pour les créateurs d’accessoires, qui y voient une nouvelle façon originale de personnaliser son smartphone.
Des accessoiristes ont ainsi imaginé des protections qui viennent se positionner sur la zone surélevée, avec des trous pour chaque élément important (trois objectifs, flash et LiDAR) et un dessin pour la zone autour. L’image publiée par Majin Bu sur X donne quelques exemples de rendus que l’on pourrait espérer, sachant que n’importe quel dessin ou motif pourrait être reproduit de la sorte. On pourrait même imaginer d’autres matériaux, par exemple du bois ou alors du (faux) cuir comme sur une coque pour unifier davantage le dos de l’iPhone.
Les coques pour iPhone 17 Pro qui commencent à apparaître laissent voir un énorme trou pour toute la zone, sans interférer avec les caméras et tout le reste. Avec des décors comme ceux présentés ici, les utilisateurs pourraient quand même personnaliser cet espace. On verra dans quelques mois si c’est une tendance qui prend.
Si l’on en croit les rumeurs persistantes, Apple opterait pour un tout nouveau design au dos de ses futurs iPhone 17 Pro. Jusque-là ramassée dans le coin supérieur gauche, la zone surélevée autour des appareils photos grandirait tant qu’elle occuperait tout le haut de l’écran. Ce choix pourrait être une opportunité pour les créateurs d’accessoires, qui y voient une nouvelle façon originale de personnaliser son smartphone.
Des accessoiristes ont ainsi imaginé des protections qui viennent se positionner sur la zone surélevée, avec des trous pour chaque élément important (trois objectifs, flash et LiDAR) et un dessin pour la zone autour. L’image publiée par Majin Bu sur X donne quelques exemples de rendus que l’on pourrait espérer, sachant que n’importe quel dessin ou motif pourrait être reproduit de la sorte. On pourrait même imaginer d’autres matériaux, par exemple du bois ou alors du (faux) cuir comme sur une coque pour unifier davantage le dos de l’iPhone.
Les coques pour iPhone 17 Pro qui commencent à apparaître laissent voir un énorme trou pour toute la zone, sans interférer avec les caméras et tout le reste. Avec des décors comme ceux présentés ici, les utilisateurs pourraient quand même personnaliser cet espace. On verra dans quelques mois si c’est une tendance qui prend.
Kwack (gratuit, heureusement) est une app… originale ou bien idiote, c’est selon. Son principe est très simple, voire stupide : une fois installée, l’app surveille le clavier de votre Mac et à chaque fois que vous pressez une touche, elle génère un son de canard. Vous avez bien lu, à chaque fois que j’appuie sur une touche de clavier, j’entends « coin ! ». À. Chaque. Fois. Oui.
N’oubliez pas de mettre le son. Image MacGeneration.
Est-ce utile ? Je vous laisse décider. Est-ce fatigant ? Je vous laisse deviner. Plus amusant encore, l’option qui devrait permettre de couper les cancanements depuis la barre des menus ne fonctionne pas. Même en cliquant sur le bouton ad-hoc, Kwack continue de se faire entendre à chaque fois que vous appuyez sur une touche. Fort heureusement, il existe tout de même une solution assez simple : il suffit de quitter l’app pour retrouver un fonctionnement normal.
Si vous trouvez que le clavier de votre Mac est trop silencieux, dans le même genre, mais quand même en plus utile, il y a aussi Klack qui simule un clavier mécanique. Kwack est d’ailleurs inspiré par cet autre utilitaire, de l’aveu même de son concepteur. Qui note au passage que l’app est codée en Swift et SwiftUI : ce n’est pas parce que l’on fait n’importe quoi qu’il faut le faire n’importe comment.
Si Kwack vous intéresse vraiment, sachez que l’app est distribuée gratuitement sur le Mac App Store et qu’elle nécessite macOS 13.5. Il faudra lui donner accès aux réglages d’accessibilité, sinon elle ne pourra pas savoir quand vous tapez au clavier et vous raterez des coins, ce qui serait tout de même dommage.
Kwack (gratuit, heureusement) est une app… originale ou bien idiote, c’est selon. Son principe est très simple, voire stupide : une fois installée, l’app surveille le clavier de votre Mac et à chaque fois que vous pressez une touche, elle génère un son de canard. Vous avez bien lu, à chaque fois que j’appuie sur une touche de clavier, j’entends « coin ! ». À. Chaque. Fois. Oui.
N’oubliez pas de mettre le son. Image MacGeneration.
Est-ce utile ? Je vous laisse décider. Est-ce fatigant ? Je vous laisse deviner. Plus amusant encore, l’option qui devrait permettre de couper les cancanements depuis la barre des menus ne fonctionne pas. Même en cliquant sur le bouton ad-hoc, Kwack continue de se faire entendre à chaque fois que vous appuyez sur une touche. Fort heureusement, il existe tout de même une solution assez simple : il suffit de quitter l’app pour retrouver un fonctionnement normal.
Si vous trouvez que le clavier de votre Mac est trop silencieux, dans le même genre, mais quand même en plus utile, il y a aussi Klack qui simule un clavier mécanique. Kwack est d’ailleurs inspiré par cet autre utilitaire, de l’aveu même de son concepteur. Qui note au passage que l’app est codée en Swift et SwiftUI : ce n’est pas parce que l’on fait n’importe quoi qu’il faut le faire n’importe comment.
Si Kwack vous intéresse vraiment, sachez que l’app est distribuée gratuitement sur le Mac App Store et qu’elle nécessite macOS 13.5. Il faudra lui donner accès aux réglages d’accessibilité, sinon elle ne pourra pas savoir quand vous tapez au clavier et vous raterez des coins, ce qui serait tout de même dommage.
SFR a encore amélioré son forfait RED proposé à 9,99 € par mois sans engagement. Jusqu’ici associé à 200 Go de 5G en plus des appels, SMS et MMS illimités, il est désormais proposé avec 250 Go de données à utiliser chaque mois. C’est donc 50 Go de plus sans surcoût, c’est toujours bon à prendre et cela permet à l’offre RED de reprendre l’avantage sur ce critère face à B&You, qui est resté pour le moment à 200 Go de 5G pour 10 €.
Capture site RED, image iGeneration.
Ces améliorations constantes sont à l’avantage des clients, même s’il est probable que la majorité n’utilisera pas autant de data tous les mois. Aux dernières nouvelles, la moyenne est à 17 Go, mais c’est vrai qu’avec 250 Go, on peut envisager sereinement des usages gourmands, comme le partage de connexion qui peut consommer rapidement les giga-octets, surtout en 5G. Quoi qu’il en soit, on ne manque pas de forfaits pas chers avec énormément de données si on en cherche un en ce moment.
Outre les 250 Go de 5G à utiliser en France métropolitaine, le forfait RED prévoit 26 Go exploitables depuis l’Union européenne et les DOM. Pour 5 € de plus par mois, on peut passer cette enveloppe data à 40 Go et ajouter plusieurs pays, dont la Suisse, les États-Unis et le Canada. À noter que l’enveloppe data est fixe, vous devrez payer 10 € pour débloquer 50 Go une fois par mois si vous atteignez la limite.
Si vous n’avez pas besoin de toutes ces données en 5G, SFR RED propose aussi un forfait avec 100 Go de data pour 6,99 € par mois.
SFR a encore amélioré son forfait RED proposé à 9,99 € par mois sans engagement. Jusqu’ici associé à 200 Go de 5G en plus des appels, SMS et MMS illimités, il est désormais proposé avec 250 Go de données à utiliser chaque mois. C’est donc 50 Go de plus sans surcoût, c’est toujours bon à prendre et cela permet à l’offre RED de reprendre l’avantage sur ce critère face à B&You, qui est resté pour le moment à 200 Go de 5G pour 10 €.
Capture site RED, image iGeneration.
Ces améliorations constantes sont à l’avantage des clients, même s’il est probable que la majorité n’utilisera pas autant de data tous les mois. Aux dernières nouvelles, la moyenne est à 17 Go, mais c’est vrai qu’avec 250 Go, on peut envisager sereinement des usages gourmands, comme le partage de connexion qui peut consommer rapidement les giga-octets, surtout en 5G. Quoi qu’il en soit, on ne manque pas de forfaits pas chers avec énormément de données si on en cherche un en ce moment.
Outre les 250 Go de 5G à utiliser en France métropolitaine, le forfait RED prévoit 26 Go exploitables depuis l’Union européenne et les DOM. Pour 5 € de plus par mois, on peut passer cette enveloppe data à 40 Go et ajouter plusieurs pays, dont la Suisse, les États-Unis et le Canada. À noter que l’enveloppe data est fixe, vous devrez payer 10 € pour débloquer 50 Go une fois par mois si vous atteignez la limite.
Si vous n’avez pas besoin de toutes ces données en 5G, SFR RED propose aussi un forfait avec 100 Go de data pour 6,99 € par mois.
Choosy (8,8 €) est un utilitaire qui doit être défini comme navigateur web par défaut de votre Mac et qui se charge ensuite d’ouvrir les liens dans le navigateur de votre choix, en fonction de règles que vous définissez. C’est loin d’être le premier du genre et l’app existe depuis quelques années, mais l’idée reste intéressante si vous avez l’habitude d’utiliser plusieurs navigateurs en parallèle et que vous cherchez une solution pour systématiquement ouvrir des sites web d’un côté ou d’un autre.
Quelques paramètres de Choosy : sélection des navigateurs à gauche, liste des règles au centre, détail d’une règle à droite. Image MacGeneration.
Une fois Choosy installée, vérifiez que l’app est bien définie comme le navigateur par défaut dans les Réglages Système, puis dans « Bureau et Dock » (ne demandez pas pourquoi). Ceci fait, c’est l’utilitaire qui fera l’intermédiaire pour tous les liens ouverts sur l’ordinateur. Dès lors, les règles configurées dans l’app prennent le relai et décident du comportement. Vous pouvez choisir la liste de navigateurs à utiliser, en les triant par ordre de priorité pour sélectionner d’abord celui qui est en haut de la liste. Vous pouvez configurer l’app pour ouvrir les liens dans le navigateur ouvert s’il n’y en a qu’un seul, puis d’afficher l’interface de Choosy dès lors qu’il y en a plus d’un.
Les règles sont aussi traitées par priorité, ce qui permet d’indiquer à l’app d’ouvrir systématiquement un site web dans un navigateur, ce qui sera probablement l’usage le plus courant. Le développeur de Choosy a ajouté de multiples options pour créer des règles sophistiquées et faire varier le comportement selon l’app où se trouvait le lien, selon l’origine du lien (on peut gérer différemment ceux qui arrivent par Handoff ou AirDrop, par exemple) et bien d’autres paramètres encore. C’est le genre d’utilitaire qui demande de prendre un petit peu de temps au départ pour l’appréhender pleinement, mais qui est indéniablement très puissant en contrepartie.
Quand aucune règle n’est prise en compte, Choosy affiche alors une interface qui permet d’ouvrir le lien dans un navigateur à choisir d’un clic. Elle peut reprendre la présentation du multitâche de macOS avec une barre horizontale, ou bien opter pour une version arrondie plus originale. Un paramètre permet de ne garder que les navigateurs web actuellement ouverts ou tous les afficher. Pour compléter le tout, Choosy dispose aussi d’extensions web pour les principaux navigateurs, dont Safari, ce qui permet de transférer l’URL en cours vers une autre app. Et pour les utilisateurs avancés, une API permet d’automatiser encore plus le comportement de l’app.
Les deux présentations pour le sélecteur manuel du navigateur web à utiliser lors de l’ouverture d’un lien. Image MacGeneration.
Choosy peut être téléchargée gratuitement et testée sans payer pendant 45 jours. Au-delà, une licence facturée 10 $ (8,8 €) est nécessaire et elle sera valide sur tous les Mac utilisés par une même personne. macOS 14.6 (Sonoma) est nécessaire pour installer l’app, dont l’interface n’est pas traduite en français.
Choosy (8,8 €) est un utilitaire qui doit être défini comme navigateur web par défaut de votre Mac et qui se charge ensuite d’ouvrir les liens dans le navigateur de votre choix, en fonction de règles que vous définissez. C’est loin d’être le premier du genre et l’app existe depuis quelques années, mais l’idée reste intéressante si vous avez l’habitude d’utiliser plusieurs navigateurs en parallèle et que vous cherchez une solution pour systématiquement ouvrir des sites web d’un côté ou d’un autre.
Quelques paramètres de Choosy : sélection des navigateurs à gauche, liste des règles au centre, détail d’une règle à droite. Image MacGeneration.
Une fois Choosy installée, vérifiez que l’app est bien définie comme le navigateur par défaut dans les Réglages Système, puis dans « Bureau et Dock » (ne demandez pas pourquoi). Ceci fait, c’est l’utilitaire qui fera l’intermédiaire pour tous les liens ouverts sur l’ordinateur. Dès lors, les règles configurées dans l’app prennent le relai et décident du comportement. Vous pouvez choisir la liste de navigateurs à utiliser, en les triant par ordre de priorité pour sélectionner d’abord celui qui est en haut de la liste. Vous pouvez configurer l’app pour ouvrir les liens dans le navigateur ouvert s’il n’y en a qu’un seul, puis d’afficher l’interface de Choosy dès lors qu’il y en a plus d’un.
Les règles sont aussi traitées par priorité, ce qui permet d’indiquer à l’app d’ouvrir systématiquement un site web dans un navigateur, ce qui sera probablement l’usage le plus courant. Le développeur de Choosy a ajouté de multiples options pour créer des règles sophistiquées et faire varier le comportement selon l’app où se trouvait le lien, selon l’origine du lien (on peut gérer différemment ceux qui arrivent par Handoff ou AirDrop, par exemple) et bien d’autres paramètres encore. C’est le genre d’utilitaire qui demande de prendre un petit peu de temps au départ pour l’appréhender pleinement, mais qui est indéniablement très puissant en contrepartie.
Quand aucune règle n’est prise en compte, Choosy affiche alors une interface qui permet d’ouvrir le lien dans un navigateur à choisir d’un clic. Elle peut reprendre la présentation du multitâche de macOS avec une barre horizontale, ou bien opter pour une version arrondie plus originale. Un paramètre permet de ne garder que les navigateurs web actuellement ouverts ou tous les afficher. Pour compléter le tout, Choosy dispose aussi d’extensions web pour les principaux navigateurs, dont Safari, ce qui permet de transférer l’URL en cours vers une autre app. Et pour les utilisateurs avancés, une API permet d’automatiser encore plus le comportement de l’app.
Les deux présentations pour le sélecteur manuel du navigateur web à utiliser lors de l’ouverture d’un lien. Image MacGeneration.
Choosy peut être téléchargée gratuitement et testée sans payer pendant 45 jours. Au-delà, une licence facturée 10 $ (8,8 €) est nécessaire et elle sera valide sur tous les Mac utilisés par une même personne. macOS 14.6 (Sonoma) est nécessaire pour installer l’app, dont l’interface n’est pas traduite en français.
On connaît bien maintenant les smartphones (ou tablettes, c’est selon le point de vue) pliants, mais une liseuse, c’est plus original. C’est le fabricant taïwanais Readmoo qui est le premier sur ce segment avec la mooInk V, une liseuse équipée d’un écran e Ink de 8 pouces qui propose des couleurs avec la même technologie Gallery 3 que celle du Remarkable Paper Pro. C’est remarquable ( ), parce que la dalle est bien plus épaisse que l’OLED qu’on retrouve sur tous les téléphones pliants, ce qui la rend bien peu adaptée à un appareil que l’on doit plier et déplier constamment.
Image Readmoo.
Cela explique sans doute pourquoi l’entreprise indique avoir travaillé pendant neuf ans sur son produit. Ses travaux ont permis de mettre au point un système qui devrait être capable de résister à 200 000 ouvertures et fermetures, ce qui devrait être suffisant pour quelques années d’utilisation intensive. Sur les quelques photos diffusées par Readmoo, on peut noter que l’appareil ne se referme pas parfaitement à plat, il reste un gros espace au niveau de la charnière quand la liseuse est pliée. C’est certainement un compromis qui a été rendu nécessaire par la technologie utilisée ici.
On distingue bien ici l’espace laissé par la charnière entre les deux parties de l’écran. Image Readmoo.
Le constructeur annonce aussi un appareil qui reste relativement léger avec 225 grammes sur la balance, ce qui est permis par l’utilisation d’un alliage d’aluminium et magnésium pour l’extérieur. Cela reste plus lourd que la moyenne des liseuses et il faudra vérifier à l’usage si c’est un handicap. En attendant, les avantages de l’écran pliant semblent assez évidents, en tout cas sur le papier : même si on ne connaît pas les dimensions exactes, Readmoo annonce que l’appareil est plus compact qu’un livre de poche une fois fermé. C’est nettement mieux que les liseuses de 8 pouces qui existent actuellement sur le marché.
On peut par ailleurs ouvrir complètement l’écran pour obtenir une liseuse plate similaire à la concurrence, ou bien conserver un angle, plus comme un livre. En calant son pouce au milieu, comme on le ferait avec un bloc de papier relié, le confort est peut-être amélioré, il faudra aussi attendre les premiers tests pour le vérifier. Malheureusement, Readmoo n’annonce pour l’heure aucune date de sortie, ni même un calendrier de précommande. On ne connaît pas non plus le prix de l’appareil, même s’il faut s’attendre à ce qu’il soit nettement plus élevé que ceux des liseuses traditionnelles.
L’actualité de Beats, ce sont des nouveaux câbles de charge de tous les couleurs, alors il fallait sans doute bien des publicités pour accompagner leur sortie. La marque a décidé de reprendre ses drôles d’enceintes personnifiées qui ont fait leur retour l’été dernier et qui servent de base à des brèves vidéos humoristiques. Chacun pourra juger de leur efficacité…
Une troisième vidéo est beaucoup plus conventionnelle, mais plus utile pour mettre en avant les qualités de ces produits. Ces câbles sont recouverts de tissu, ce qui est toujours plus agréable, ils sont censés être très résistants et s’adaptent à tous les besoins côté charge, y compris les charges rapides. Beats a conçu plusieurs modèles, en USB-C et même Lightning, et vous pouvez désormais les acheter sur l’Apple Store. Comptez 24,95 € pour un câble de 1,5 mètres, quel que soit la connectique et le coloris (noir, rouge et gris pour tous, bleu en plus pour l’USB-C).
Les caméras conçues par Reolink sont les premières à recevoir la certification Works with Home Assistant. Lancée l’an dernier, elle identifie des produits qui fonctionnent parfaitement avec la domotique open-source et surtout qu’ils respectent quelques-uns de ses principes fondamentaux, à commencer par un fonctionnement entièrement en local. C’est bien le cas pour les produits Reolink, qui peuvent être associés aux serveurs du fabricant, mais qui favorisent par défaut un fonctionnement local, pour le stockage et même l’analyse des images.
La Duo 3 PoE de Reolink sur le mur de ma maison bretonne (d’où les escargots) est désormais certifiée pour fonctionner parfaitement avec Home Assistant. Image iGeneration.
Même si tous les produits conçus par Reolink fonctionneront avec Home Assistant, seule une petite partie de son énorme catalogue est certifiée. Cela concerne notamment ses deux sonnettes vidéos, en Wi-Fi (130 €) comme en Ethernet PoE (116 €), ainsi que le Home Hub (100 €). Cet enregistreur réseau peut gérer jusqu’à huit caméras pour stocker leurs enregistrements et il fait aussi office d’alarme.
Voici les caméras « classiques » qui sont certifiées à ce jour :
Argus Track (130 €) : caméra 4K connectée Wi-Fi avec deux objectifs (grand-angle et zoom) avec motorisation et projecteur ;
Duo 3 PoE (200 €) : caméra 4K Ethernet composée de deux objectifs pour une vision panoramique (180°) et projecteurs ;
TrackMix PoE (200 €) : caméra 4K Ethernet avec deux objectifs (grand angle et zoom) avec motorisation et projecteur ;
RLC-823S2 (370 €) : caméra 4K Ethernet avec un objectif associé à zoom optique, un projecteur et un moteur ;
RLC-1224A (120 €) : caméra 4K Ethernet au format tour, avec un objectif standard et un projecteur.
D’autres produits conçus par Reolink devraient rejoindre le programme au fil du temps, tandis que toutes celles actuellement en circulation continueront de fonctionner grâce à l’intégration officielle. Celle-ci est gérée par un utilisateur et non le fabricant, ce qui est courant dans l’univers Home Assistant, même si la certification assure que le constructeur est non seulement d’accord, il pourra même donner un coup de main.
La caméra Duo 3 PoE vue depuis Home Assistant. On ne le voit pas sur la capture d’écran, mais tous les paramètres pour la détection intelligente sont accessibles par ce biais. Image MacGeneration.
Les produits Reolink ne sont pas directement compatibles avec l’app Maison d’Apple, même si on peut les y ajouter avec Scrypted… ou par le biais de Home Assistant bien sûr, puisque le système de domotique peut faire office de pont HomeKit pour tous ses accessoires. Ces appareils sont aussi compatibles avec tous les systèmes qui gèrent les caméras réseau, grâce aux standards ONVIF et RTSP.
B&You réduit encore le prix de son forfait avec 200 Go de 5G, mais uniquement pour ceux qui sont également abonnés à la fibre optique avec l’offre B&You Pure fibre. Si c’est votre cas, alors ce généreux forfait mobile sera facturé 6,99 € par mois seulement, c’est 3 € de moins que le prix de base en ce moment pour les nouveaux abonnés et indéniablement une des meilleures affaires pour qui a besoin d’un gros volume de données mobiles.
Image B&You.
En tout, Bouygues Telecom demande 30,98 € par mois pour les connexions à internet mobile et fixe. Côté forfait mobile, outre les 200 Go de données en 5G, vous aurez les appels et SMS/MMS illimités en France métropolitaine, c’est classique, ainsi que 30 Go de data par mois depuis l’Union européenne et les DOM. Côté internet fixe, l’offre Pure fibre propose des débits très importants avec 8 Gbit/s en téléchargement et 1 Gbit/s en envoi de données, une box Wi-Fi 6E et c’est tout, il n’y a pas d’offre de télévision. Ce qui n’est pas un problème si vous possédez une Apple TV, ce ne sont pas les options qui manquent en direct.
Précisons que la promotion ne vaut que pour les nouveaux clients, tant en mobile qu’en fixe, puisqu’elle ne sera appliquée que lors de la souscription simultanée aux deux offres. La remise sur le forfait mobile sera active tant que vous resterez abonné à la fibre optique, sinon le prix reviendra à 9,99 € par mois.
Synology a annoncé, uniquement sur son site allemand bizarrement, un changement de politique pour ses futurs NAS de la gamme « 25+ » attendus dans le courant de l’année. Ces nouveaux produits exigeront un disque dur vendu ou certifié par Synology pour fonctionner correctement. Si vous insérez un support de stockage d’une autre marque et qui n’a pas reçu la certification exigée par le fabricant, vous perdrez une partie des fonctionnalités, dont le suivi de l’état des disques durs (SMART) qui sera réservé aux modèles pris en charge officiellement.
Le successeur de ce DS723+ n’acceptera plus n’importe quel disque dur, comme c’était le cas jusque-là. Image MacGeneration.
Cette politique est nouvelle dans la gamme « grand public », même si Synology l’avait déjà mise en œuvre dans certains modèles professionnels. Contrairement à ces derniers qui n’acceptent que les modèles maison, les nouveaux NAS toléreront des disques durs certifiés par le fabricant, dont la liste n’est pas encore connue. Quoi qu’il en soit, c’est une limitation importante des possibilités offertes aux utilisateurs, qui devront se passer d’une partie des fonctionnalités ou accepter de rester sur les disques durs officiels. Si les tarifs restent raisonnables face à la concurrence (environ 105 € pour 2 To, contre 103 € pour un WD Red de même capacité par exemple), cela reste un bridage logiciel sur un marché qui était jusque-là totalement libre.
Synology précise bien que le changement ne concerne que les nouveaux modèles attendus dans les prochains mois, les NAS actuels continueront d’accepter n’importe quel disque dur sans discuter. Autre concession, les disques durs utilisés dans un ancien NAS de la marque et transférés dans les dernières générations seront acceptés sans problème et offriront toutes les fonctions. Ce n’est qu’en partant de disques durs vierges insérés dans un nouveau NAS que la limitation interviendra. À noter que les SSD semblent épargnés par cette nouvelle politique pour le moment.
En contrepartie, Synology promet une nouveauté sur cette gamme de NAS : à condition d’utiliser des disques dur approuvés, on pourra activer la déduplication à l’échelle du volume, une technique avancée qui permet de récupérer de l’espace libre en supprimant les copies identiques des fichiers. Est-ce que ce sera suffisant pour faire passer la pilule ? Synology semble un petit peu à la traine depuis quelques années face à des concurrents plus réactifs, à l’image de la connectique réseau qui est encore en Ethernet gigabit sur la génération 2024. Certes, cela devrait enfin changer en 2025 avec la généralisation du 2.5G, mais cela fait longtemps que les autres constructeurs y étaient passés et on peut toujours utiliser n’importe quel disque dur dans leurs produits.
Tout juste une semaine après le lancement de ses nouvelles offres en fibre optique, Orange ajuste déjà l’une des formules avec deux changements. La « Série Spéciale Livebox Fibre » est désormais affichée à 29,99 € par mois, c’est 10 € de moins que lors de la commercialisation initiale. En contrepartie, elle perd la Livebox S au profit d’une Livebox 6, qui avait disparu de la gamme et qui signe ainsi son retour par le biais de cette offre ajustée.
Les trois offres de base en fibre optique chez Orange. Capture site Orange, image MacGeneration.
L’ajustement de prix est forcément bienvenu, d’autant que contrairement à toutes les autres formules, le prix de cette série spéciale n’évolue pas après la première année. De fait, si la Livebox Fibre est au même tarif les 12 premiers mois, elle devient plus chère au-delà (et pas qu’un peu : 42,99 € par mois), redonnant l’avantage à la série spéciale. Entre les deux, il y a deux différences : l’offre standard est associée à une Livebox S au lieu de la 6 et ses débits sont plus élevés, avec 2 Gbit/s en téléchargement et 800 Mbit/s en envoi, contre respectivement 1 Gbit/s et 700 Mbit/s sur la série spéciale.
Perdrez-vous au change en ayant une Livebox 6 au lieu de la S ? En théorie oui, puisque le modèle de sixième génération était limité au Wi-Fi 6E quand la nouvelle version passe au Wi-Fi 7. En pratique, ce n’est pas sûr étant donné que les nouvelles Livebox abandonnent la bande de fréquence des 6 GHz, avec des résultats mitigés. Au minimum, on peut souligner que ce n’est pas un inconvénient majeur de la formule moins chère.
Reste maintenant à revoir la « Série Spéciale Just Livebox Fibre » qui n’avait pas déjà beaucoup de sens avant et qui en a encore moins avec cette baisse de prix. Elle est moins chère pendant 6 mois à 19,99 €, certes, mais passe ensuite à 33,99 €, soit plus que la série spéciale tout en offrant nettement moins avec sa Livebox 5 désormais désuète et surtout sans télévision incluse.
Apple a publié deux publicités plutôt amusantes pour ses Mac portables. « Bronzed » met en avant l’écran nano-texturé proposé en option sur les MacBook Pro qui permet de bronzer travailler en plein soleil sans être gêné par les reflets sur la dalle. « Unplugged » insiste sur l’autonomie exceptionnelle des portables pommés, qui permet de travailler une journée1 entière même si on a oublié son chargeur dans le métro.
Mais probablement pas une journée entière en plein soleil… ↩︎
Meta ne semble pas trop apprécier la présence d’Apple Intelligence dans ses propres apps. Le géant des réseaux sociaux a bloqué l’intégration de la fonctionnalité dans Facebook, Instagram, WhatsApp ou encore Threads, comme l’a noté le site brésilien Sorcererhat Tech. De fait, si vous ouvrez l’une des apps conçues par Meta et que vous tapotez dans un champ de texte vide sur un iPhone 15 Pro ou 16, vous n’aurez pas accès aux outils d’écriture comme c’est normalement le cas partout. De la même manière, impossible de faire appel à Apple Intelligence pour modifier un texte sélectionné dans ces apps.
Les outils d’écriture sont normalement proposés dans tous les champs de texte (sur Bluesky à gauche), mais Meta les a désactivés dans ses propres apps (sur Instagram à droite). Image iGeneration.
C’est la première fois que des apps de l’envergure de celles de Meta désactivent ces fonctionnalités pourtant fournies par le système. Le site a même noté que cela allait au-delà des outils d’écriture, d’autres pans d’Apple Intelligence ont été bloqués par la même occasion, dont la possibilité d’insérer des Genmojis, ces emojis générés par des requêtes en langage naturel. Cette désactivation bloque aussi l’envoi d’autocollants créés à partir de photo, alors qu’on pouvait les utiliser auparavant, notamment dans les stories d’Instagram.
Meta n’a pas justifié ce changement. On peut aisément deviner que c’est une manière pour l’entreprise de mettre en valeur Meta AI, sa propre solution pour l’intelligence artificielle, qui est désormais présente dans toutes ses apps, que ses utilisateurs le veuillent ou pas. L’entreprise de Mark Zuckerberg ne tolérait manifestement pas la compétition avec Apple dans ce domaine, alors il faudra faire sans Apple Intelligence dans ses apps.
Apple met régulièrement à jour la base de données de XProtect, l’antimalware qui se trouve au cœur de macOS et qui évite les attaques connues. C’est encore le cas depuis cette nuit, comme le note le blog Eclectic Light, dont l’auteur suit toutes les évolutions. L’installation de la mise à jour devrait se faire automatiquement, mais c’est l’occasion de vérifier que c’est bien le cas et de corriger le tir le cas échéant.
Xprotect n’avait pas encore été mis à jour sur mon Mac, cette ligne de commande permet de forcer l’installation de la dernière version. Image MacGeneration.
Tout d’abord, vous pouvez vérifier quelle version de XProtect est installée dans l’app Informations système. Dans la section « Installations », faites défiler la liste jusqu’à trouver les éléments qui commencent par XProtect. Vous devriez en avoir plusieurs, vérifiez sur le côté droit que vous avez la version 5295 qui est la dernière. Si le terminal ne vous effraie pas, c’est plus simple par ce biais : ouvrez une session et collez xprotect version pour connaître la dernière mise à jour installée.
Si vous n’êtes pas à jour, commencez par vérifier que les installations se font bien automatiquement. Dans l’app Réglages Système cette fois, ouvrez la section « Général », puis « Mise à jour de logiciels » et dans « Mises à jour automatiques » (cliquez sur le petit i pour ouvrir le panneau), prenez soin de faire en sorte que l’option « Installer les mises à jour de sécurité et les fichiers systèmes » soit bien active. Si c’est le cas, la mise à jour de XProtect devrait rapidement être téléchargée sur votre Mac.
Vérifiez bien que la dernière option est activée, c’est elle qui met à jour régulièrement l’anti-malware de macOS et il est recommandé de le garder à jour. Image MacGeneration.
Forcer la mise à jour se fait encore une fois par le terminal, à l’aide de la commande sudo xprotect update. Le mot de passe de votre session sera demandé, c’est normal. Si tout va bien, vous récupérerez dans la foulée la mise à jour, ce que vous pourrez vérifier avec l’autre ligne de commande évoquée plus tôt.
OpenAI envisagerait de lancer un réseau social, d’après les informations rapportées par The Verge, qui cite plusieurs sources internes. L’entreprise aurait un prototype qui serait centré sur des images générées par ChatGPT, parce que qui aurait encore envie de regarder de vraies photos et des dessins créés par des humains en 2025 ? On serait encore loin d’un service prêt à être lancé néanmoins, prévient le site qui note qu’il ne s’agirait que d’un test en interne pour l’heure.
Espérons que ChatGPT sera plus inspiré que sur cet exemple, si réseau social il y a. Image MacGeneration.
Cela fait néanmoins quelques temps que Sam Altman semble s’intéresser à la question, ce qui apporte un peu de crédit à l’idée d’un réseau social maison. Quand Elon Musk a engagé une procédure judiciaire contre son entreprise en février dernier, il a répondu sur le ton de la blague qu’il était prêt à acheter X pour une bouchée de pain. Face à Meta qui compte bien intégrer sa propre IA dans tous ses réseaux sociaux, il a répondu qu’ils allaient lancer leur propre réseau social.
Au-delà de l’idée de générer des images par ChatGPT, l’intérêt d’un réseau social pour OpenAI serait similaire à celui de Meta face à Facebook ou Instagram pour entraîner Llama, ou encore de xAI face à X pour entraîner Grok. Tous les contenus partagés par des humains sont de précieuses ressources pour créer et enrichir les grands modèles de langage indispensables à toutes les intelligences artificielles génératives comme ChatGPT. Ce dernier pourrait par ailleurs aider les utilisateurs à partager de meilleurs contenus, en écrivant ou réécrivant du texte.
Pour qu’un réseau social soit un succès, les bonnes fonctions ne suffisent néanmoins pas, il faut aussi une masse suffisante d’utilisateurs. OpenAI pourrait peut-être compter sur le succès de ChatGPT, qui a été l’app la plus téléchargée sur l’App Store en mars et qui compte un nombre d’utilisateurs très élevé. Peut-être même que la dimension sociale serait directement intégrée à l’app, et non pas dans un service à part qui devrait repartir de zéro.
Notion, gestionnaire de notes à l’origine, ajoute une corde de plus à son arc avec un client mail, ou plutôt un client Gmail, puisque les boîtes mail de Google sont les seules prises en charge pour le moment. Autre restriction notable, Notion Mail est uniquement proposé sous la forme d’une webapp ou d’un client pour macOS, basé sur Electron pour afficher la version web. Une app iOS est prévue prochainement, c’est tout ce qui est annoncé à ce stade, même si on imagine que des apps pour Android et probablement pour Windows sont aussi prévues.
Notion Mail sous macOS, avec un message ouvert sur le côté. Image MacGeneration.
Ce nouveau service est en grande partie gratuit, même s’il nécessite d’avoir un compte Notion, lui aussi gratuit. Les abonnés payants n’auront aucune limite sur l’utilisation du service et de toutes ses fonctions, tandis que ceux qui ne payent pas devront s’accommoder de limites qui ne sont pas clairement définies. Quoi qu’il en soit, j’ai pu tester l’app sans payer et sans être inquiété par des fonctionnalités absentes ou bridées.
L’occasion de découvrir un client Gmail dopé à l’IA et trop proche du web, même sur le Mac. Il y a bien quelques raccourcis clavier standards de macOS (⌘, pour ouvrir les réglages, ⌘N pour écrire un nouveau mail par exemple), d’autres ne fonctionnent pas. Par exemple, ⌘R ne permet pas de répondre à un message (il faut juste taper R), puisque c’est le raccourci clavier qui recharge la vue en cours, comme dans un navigateur web. Autre bizarrerie, j’ai rencontré un bug étrange : ⌘Q ne quitte pas l’app quand on utilise un clavier AZERTY, il sélectionne tous les mails, l’équivalent de ⌘A, ce qui prouve que les développeurs ne gèrent que les claviers QWERTY. Il n’y a par ailleurs aucune notion de multiple fenêtres, tout se déroule au sein d’une seule fenêtre, y compris pour ouvrir un message. N’essayez même pas de glisser un fichier sur l’icône du Dock, il ne se passera rien.
À défaut d’être une bonne app native, la force de Notion Mail, c’est l’intégration de fonctionnalités liées à l’IA ainsi que sa proximité avec le contenu enregistré dans son compte Notion. Côté intelligences artificielles, outre les outils désormais courants pour suggérer des réponses (on ne peut pas obtenir le résumé d’un mail, bizarrement), on note surtout la possibilité de créer un label en posant une question en langage naturel ou alors en sélectionnant un message et en demandant de repérer automatiquement les mails équivalents. C’est l’équivalent des règles que l’on connaît bien dans tous les clients et services mail, sauf que vous n’avez pas besoin de définir les paramètres. Dites ce que vous voulez, Notion Mail doit analyser la boîte de réception et trouver des points communs pour rassembler les messages en respectant votre demande.
Ici, j’ai demandé de trouver tous les mails envoyés par GitHub à propos de mon blog, ce qui a plutôt bien fonctionné. Image MacGeneration.
Cette opération permet de trier rapidement sa boîte mail et elle fonctionne assez bien, même si j’ai vite noté de nombreux oublis. Il faut noter que Notion Mail n’est censée comprendre que l’anglais pour le moment, ce qui signifie peut-être que mes résultats auraient été meilleurs si je n’avais que des messages dans cette langue. D’autres langages seront pris en charge dans les prochains mois, on ne sait pas encore si le français sera sur la liste, mais c’est probable.
L’intégration à Notion passe quant à elle par plusieurs voies, notamment la même interface pour rédiger un mail avec le raccourci / qui sert à changer la forme ou insérer des blocs complexes. On peut référencer un document stocké dans Notion et enregistrer les réponses fréquentes pour ne pas les saisir à chaque fois. Même si tous les utilisateurs de Gmail peuvent tester Notion Mail gratuitement, le service intéressera avant tout les utilisateurs de Notion, qui pourront exploiter les synergies entre les deux. J’ai été néanmoins surpris de ne pas en trouver plus : je m’attendais, par exemple, à pouvoir partir d’un mail pour créer un document dans Notion, ce n’est pas possible.
Sur le Mac, Notion Mail demande macOS 10.15 (Catalina) au minimum, l’interface n’est proposée qu’en anglais.
Apple a ajouté deux produits à sa liste d’appareils qu’elle considère comme anciens : les iPhone 6s et 6s Plus ainsi que le Mac mini de 2018, le dernier avec un processeur Intel. Cela signifie qu’ils peuvent toujours obtenir des réparations officielles, mais uniquement tant qu’Apple a encore des pièces détachées dans ses stocks. Il va sans dire que le constructeur ne va plus s’embêter à produire ces pièces, alors si vous avez un modèle concerné à faire réparer, ne trainez pas trop pour l’amener en Apple Store ou contacter le SAV de la Pomme.
Image iGeneration.
Ce changement de statut n’est pas une surprise, il intervient toujours entre 5 et 7 ans après la fin de commercialisation d’un produit. On y est pour le Mac mini sorti en 2018, puisqu’il a été remplacé par le premier modèle M1 commercialisé depuis 2020, il y aura cinq ans à l’automne. La sortie originale de l’iPhone 6s remonte à 2015, mais Apple l’a longtemps gardé au catalogue, le passant progressivement en entrée de gamme et il a fallu attendre 2018 pour qu’il disparaisse pleinement de la gamme, c’est-à-dire il y a 7 ans.
L’étape suivante est la bascule dans la liste des appareils obsolètes, ce qui voudra alors dire que toute réparation est impossible, en tout cas pas par la voie officielle. Apple ne gère plus ces produits et il faut passer par un réparateur tiers pour espérer une réparation, sans doute avec des pièces compatibles et en tout cas pas neuves. La bascule a lieu à partir de sept ans après la fin de la commercialisation d’un produit, le Mac mini de 2018 a donc encore un petit peu de répit.
Les listes de produits anciens et obsolètes sont maintenues par Apple à cette adresse, même si la version française n’a pas encore été mise à jour.
Apple annonce un changement lié à Apple Intelligence et destiné à améliorer les modèles sans remettre pour autant en cause le respect des données privées de ses clients. Contrairement à ses concurrents qui piochent dans les informations transmises par les utilisateurs pour améliorer les grands modèles de langage qui servent de base à toutes les intelligences artificielles modernes, la Pomme se base exclusivement sur des données qu’elle a elle-même créée ou bien qui sont accessibles publiquement. Ce choix est meilleur en termes de confidentialité, mais pose un défi technologique, puisque les modèles gagnent en pertinence grâce à des données aussi variées et réalistes que possible.
Pour améliorer ses modèles sans accéder directement aux demandes de ses utilisateurs, Apple compte sur une technique avancée qu’elle maîtrise depuis bien des années. La confidentialité différentielle consiste en gros à noyer les informations personnelles dans du « bruit », des données similaires générées aléatoirement. L’idée est d’avoir un énorme volume de données, suffisamment flou pour ne pas remonter à un utilisateur individuel, pertinent malgré tout pour connaître des tendances réelles.
Apple l’exploite déjà pour les Genmoji, ces emojis générés par Apple Intelligence. Les demandes des utilisateurs sont transmises à l’entreprise par le biais de ce mécanisme de confidentialité différentielle, si bien qu’elle peut connaître les requêtes les plus populaires, sans pouvoir connaître ce qu’un individu en particulier a demandé. Cela lui permet d’améliorer le modèle sous-jacent, afin de mieux répondre aux besoins les plus fréquents.
La confidentialité différentielle appliquée aux suggestions d’un grand modèle de langage : ici, l’idée est uniquement de savoir quelle variante est la plus sélectionnée, parmi trois générées en interne. Image Apple.
L’annonce du jour concerne les outils de texte et notamment les suggestions fournies par Apple Intelligence. Cette fois, la firme de Cupertino cherche à savoir quelles suggestions sont les plus choisies, sans pour autant accéder aux messages de base des utilisateurs. La technique utilisée est similaire à celle des Genmoji, quoi que plus sophistiquée. Cette fois, Apple va générer des lots de suggestions de son côté et les envoyer sur les appareils d’une partie de ses clients, avec l’objectif de connaître leur popularité. Cette information permet ensuite d’améliorer le modèle sous-jacent, pour qu’il puisse reproduire ces suggestions automatiquement en réponse aux demandes des utilisateurs.
Avec ces techniques avancées, Apple espère toujours améliorer Apple Intelligence sans recourir directement aux données produites par ses clients. La nouveauté va être intégrée à iOS 18.5 et macOS 15.5 et l’entreprise insiste sur le fait qu’elle ne concerne que les utilisateurs qui acceptent de partager des données. Vous pouvez vérifier ce paramètre dans les Réglages ou Réglages Systèmes de votre appareil. Dans « Confidentialité et sécurité », ouvrez « Analyse et amélioration » et vous verrez tout ce qu’Apple peut transmettre, avec la possibilité de tout décocher si vous le souhaitez.
Les paramètres d’analyse et amélioration de macOS. Image MacGeneration.
iOS 18.4 a ajouté une nouvelle action dans l’app Raccourcis : Ouvrir une conversation permet, comme son nom l’indique bien, d’ouvrir directement la conversation de votre choix dans l’app Messages. Après avoir inséré l’action dans une automatisation, vous pourrez choisir l’une de vos conversations récentes à partir d’une liste compilée par Raccourcis. Lors de l’exécution du raccourci, l’app Messages s’ouvrira dans la foulée, en affichant la conversation de votre choix.
La nouvelle action dans le catalogue de Raccourcis à gauche, la sélection d’une conversation au centre et le résultat à droite. Image iGeneration.
L’intérêt de la nouveauté se déniche dans les multiples manières de convoquer un raccourci sous iOS. Si vous souhaitez accéder régulièrement à une conversation précise, vous pouvez associer le bouton d’action des iPhone 16 et 15 Pro à un raccourci qui le fera pour vous. Il est aussi possible de placer ce raccourci dans le centre de contrôle d’iOS 18, voire sur l’écran verrouillé de l’appareil. Siri est aussi capable d’exécuter un raccourci, alors cela peut être une option si vous lui donnez un nom bien précis.
Autre idée, l’ajouter sur l’écran d’accueil de l’iPhone, via un widget ou même sous la forme d’une app, cette fois en passant par le menu de partage intégré à l’app Raccourcis. Petite astuce supplémentaire, vous pourrez changer l’icône du raccourci, de quoi utiliser une photo du proche associé à la conversation.
SFR continue de casser les prix sur la 5G, surtout si vous avez besoin d’une grande quantité de données. Une nouvelle offre RED est disponible et propose 100 Go de 5G, en plus des appels, SMS et MMS illimités, pour 6,99 € par mois. C’est un record chez l’opérateur low-cost de SFR et indéniablement un des meilleurs prix si vous voulez beaucoup de 5G. D’autant qu’il ne s’agit pas d’une promotion initiale, c’est le tarif de base de cette offre sans engagement.
Capture du site SFR RED, image iGeneration.
L’enveloppe de données en 5G est fixe, vous devrez payer 10 € pour ajouter 50 Go si vous avez besoin de plus de 100 Go dans le mois. Elle est valable uniquement en France métropolitaine, même si SFR RED a prévu 26 Go dans l’Union européenne (et Royaume-Uni) et depuis les DOM. Les appels, SMS et MMS sont illimités depuis et vers la France, l’Union européenne et les DOM.
Si vous avez de très gros besoins en 5G, SFR RED dispose aussi d’un forfait avec 200 Go de data qui n’est pas beaucoup plus cher, à 9,99 € par mois. À l’inverse, l’opérateur vert propose toujours un petit forfait à 4,99 € par mois, avec 30 Go de 4G. Ce qui est bien suffisant pour la majorité des usages : même si les forfaits mobiles avec de grosses enveloppes sont désormais la norme, l’usage moyen reste assez bas, à 17 Go par mois au dernier trimestre 2024.
Le compte X de France Identité a publié une première image d’un certificat d’immatriculation virtuel stocké dans l’app. C’est en effet la prochaine étape pour cette application créée par le gouvernement et chargée de stocker des documents officiels, en commençant par la carte d’identité et le permis. Y ajouter la « carte grise » permettra de conduire sur le territoire français sans documents d’identité physiques, les forces de l’ordre pouvant alors contrôler un conducteur uniquement sur présentation d’un smartphone avec l’app et les versions numériques des documents indispensables (permis et carte grise).
Voici à quoi pourrait ressembler une carte grise dans France Identité. Image @france_identite@x.
L’arrivée de la carte grise n’est pas une surprise, elle est prévue de longue date et Bruno Retailleau l’a de nouveau mentionné en début de semaine. Dans une interview accordée au journal Ouest-France, le ministre de l’Intérieur annonçait envisager l’ajout de la carte Vitale à l’app, tout en revenant sur la promesse d’ajouter le document d’identification d’un véhicule. Il évoquait alors une phase d’expérimentation qui devait commencer dès le mois de juin 2025, pour un lancement à grande échelle en 2026 si tout se déroule comme prévu.
Le message publié par le compte officiel de France Identité est plus optimiste en suggérant un ajout possible dès cet été. Ce sera peut-être le cas pour une partie des propriétaires de véhicules motorisés, mais on ne connaît pas encore le cadre exact de l’expérimentation prévue par le gouvernement. Les tests pourraient être limités géographiquement au départ, puisque les policiers et gendarmes doivent être équipés et formés pour accepter la version numérique de la carte grise comme un équivalent au papier.