S’il y a bien deux entreprises en lutte depuis maintenant plusieurs années, c’est bien Epic Games et Apple. Alors que la pomme a perdu une bataille importante ce mois-ci, le CEO d’Epic avait tendu la main, proposant un armistice à Apple.
Retour aux US sur iPhone ? Pas si vite... Image Epic Games.
Si Apple étend dans le monde entier ce cadre sans friction et sans taxe voulu par la justice, nous rétablirons Fortnite sur l’App Store partout dans le monde et nous abandonnerons les poursuites actuelles et futures.
Mais tout comme dans le monde bien réel, il est facile de proposer une trêve quand, suite à une bataille perdue, l’adversaire est un genou à terre. Et comme dans la réalité... l’adversaire peut refuser la trêve.
Joignant le geste à la parole, Tim Sweeney a soumis une nouvelle version de Fortnite aux équipes de validation de l’App Store US, comme le rapporte MacRumors. Celle-ci se conforme aux nouvelles règles imposées par la juge Yvonne Gonzalez, interdisant à Apple de prendre la moindre commission sur les paiements effectués en dehors de l’app, et autorisant les développeurs à placer un bouton dans l’application permettant de payer des options et autres fonctions en dehors du giron d’Apple.
De quoi pour Epic proposer un bouton menant directement vers l’achat de crédits utilisés dans le jeu, sans avoir l’obligation de donner 27 % des revenus à Apple. Tout ce que demandait Tim Sweeney au final.
Cependant, Apple pourrait très bien refuser le retour de Fortnite sur l’App Store US : aucune décision de justice ne l’a pour le moment forcée à lever le ban du compte américain d’Epic Games, menant donc l’entreprise à soumettre Fortnite au pays de l’Oncle Sam à travers le compte européen, Epic Games EU. Et comme le rappelle Mark Gurman, 90 % des apps sont validées au plus tard 24h après leur soumission aux fourches caudines de l’App Store... et le délai est maintenant dépassé.
90% of apps are reviewed within 24 hours, per Apple. We are now on hour 25. This is going to be interesting. https://t.co/BfoCRIRCHK
Apple va-t-elle céder et réintégrer Fortnite ? Aucune communication, ni dans un sens, ni dans l’autre, n’a transpiré de Cupertino. Mais il est clair que la hache de guerre est loin d’être enterrée entre les deux...
S’il y a bien deux entreprises en lutte depuis maintenant plusieurs années, c’est bien Epic Games et Apple. Alors que la pomme a perdu une bataille importante ce mois-ci, le CEO d’Epic avait tendu la main, proposant un armistice à Apple.
Retour aux US sur iPhone ? Pas si vite... Image Epic Games.
Si Apple étend dans le monde entier ce cadre sans friction et sans taxe voulu par la justice, nous rétablirons Fortnite sur l’App Store partout dans le monde et nous abandonnerons les poursuites actuelles et futures.
Mais tout comme dans le monde bien réel, il est facile de proposer une trêve quand, suite à une bataille perdue, l’adversaire est un genou à terre. Et comme dans la réalité... l’adversaire peut refuser la trêve.
Joignant le geste à la parole, Tim Sweeney a soumis une nouvelle version de Fortnite aux équipes de validation de l’App Store US, comme le rapporte MacRumors. Celle-ci se conforme aux nouvelles règles imposées par la juge Yvonne Gonzalez, interdisant à Apple de prendre la moindre commission sur les paiements effectués en dehors de l’app, et autorisant les développeurs à placer un bouton dans l’application permettant de payer des options et autres fonctions en dehors du giron d’Apple.
De quoi pour Epic proposer un bouton menant directement vers l’achat de crédits utilisés dans le jeu, sans avoir l’obligation de donner 27 % des revenus à Apple. Tout ce que demandait Tim Sweeney au final.
Cependant, Apple pourrait très bien refuser le retour de Fortnite sur l’App Store US : aucune décision de justice ne l’a pour le moment forcée à lever le ban du compte américain d’Epic Games, menant donc l’entreprise à soumettre Fortnite au pays de l’Oncle Sam à travers le compte européen, Epic Games EU. Et comme le rappelle Mark Gurman, 90 % des apps sont validées au plus tard 24h après leur soumission aux fourches caudines de l’App Store... et le délai est maintenant dépassé.
90% of apps are reviewed within 24 hours, per Apple. We are now on hour 25. This is going to be interesting. https://t.co/BfoCRIRCHK
Apple va-t-elle céder et réintégrer Fortnite ? Aucune communication, ni dans un sens, ni dans l’autre, n’a transpiré de Cupertino. Mais il est clair que la hache de guerre est loin d’être enterrée entre les deux...
Alors qu’elles existent depuis maintenant plusieurs années (2013 pour la PlayStation 4 et 2020 pour la PlayStation 5), les consoles de Sony n’avaient jamais intégré la possibilité de payer avec Apple Pay jusqu’ici. Cet oubli est maintenant en passe d’être corrigé, mais la méthode utilisée diffère un peu de l’habituelle, comme le rapporte 9to5Mac.
Le QR code circulaire d’Apple Pay. Image 9to5Mac.
Apple a en effet intégré une nouvelle possibilité de payer avec Apple Pay depuis iOS et iPadOS 18, via un QR Code à scanner. C’est cette méthode qu’a choisi d’utiliser Sony, et qui est implémentée dans les mises à jour actuelles des consoles.
Une fois choisi Apple Pay comme mode de paiement dans le PlayStation Store, un QR Code circulaire apparaît à l’écran. Il suffit alors de le scanner avec l’appareil photo de l’iPhone ou de l’iPad, qui affichera ensuite la fenêtre de confirmation habituelle du service de paiement. Il ne reste alors qu’à s’authentifier avec Face ID ou Touch ID, et c’est réglé.
Au vu du nombre de transactions effectuées sur les boutiques des consoles récentes, mettre un pied dans le domaine, même si seuls quelques pourcents des transactions passent par Apple Pay, c’est toujours une bonne chose pour Apple, qui agrandit ainsi son empreinte dans les paiements à travers le monde.
Alors qu’elles existent depuis maintenant plusieurs années (2013 pour la PlayStation 4 et 2020 pour la PlayStation 5), les consoles de Sony n’avaient jamais intégré la possibilité de payer avec Apple Pay jusqu’ici. Cet oubli est maintenant en passe d’être corrigé, mais la méthode utilisée diffère un peu de l’habituelle, comme le rapporte 9to5Mac.
Le QR code circulaire d’Apple Pay. Image 9to5Mac.
Apple a en effet intégré une nouvelle possibilité de payer avec Apple Pay depuis iOS et iPadOS 18, via un QR Code à scanner. C’est cette méthode qu’a choisi d’utiliser Sony, et qui est implémentée dans les mises à jour actuelles des consoles.
Une fois choisi Apple Pay comme mode de paiement dans le PlayStation Store, un QR Code circulaire apparaît à l’écran. Il suffit alors de le scanner avec l’appareil photo de l’iPhone ou de l’iPad, qui affichera ensuite la fenêtre de confirmation habituelle du service de paiement. Il ne reste alors qu’à s’authentifier avec Face ID ou Touch ID, et c’est réglé.
Au vu du nombre de transactions effectuées sur les boutiques des consoles récentes, mettre un pied dans le domaine, même si seuls quelques pourcents des transactions passent par Apple Pay, c’est toujours une bonne chose pour Apple, qui agrandit ainsi son empreinte dans les paiements à travers le monde.
Depuis janvier 2025, Sonos a un CEO par intérim, suite au départ en catastrophe de Patrick Spence, désavoué après la sortie d’une nouvelle version de l’app de contrôle des appareils de la marque ayant déclenché une grogne spectaculaire chez les utilisateurs. Mais selon Mark Gurman, le patron temporaire souhaiterait prendre la place définitivement, jugeant que le pire de la tempête est maintenant passé avec brio.
La nouvelle version de l’app de contrôle avait déchaîné les enfers sur Sonos. Captures MacGeneration.
En effet, Tom Conrad considère que l’entreprise a maintenant « tourné la page » de ses ennuis, et se sent de taille à gérer l’entreprise comme CEO officiel :
J’ai maintenant la certitude que nous avons tourné la page de nos ennuis [...] Nous avons fait de grands progrès depuis ces 90 derniers jours, et avons résolu de nombreux challenges techniques relativement complexes.
Il faut dire que la marque revient de loin, désavouée par de nombreux clients suite à la nouvelle version de son contrôleur qui a multiplié les fausses notes, avec de nombreux bugs ou des absences incompréhensibles, comme le réglage de l’alarme, laissant les utilisateurs bloqués sur leur alarme sans pouvoir la modifier ou la supprimer. La catastrophe était telle qu’un produit amené à étendre la gamme a été repoussé, afin de se concentrer sur les correctifs nécessaires.
Selon Tom Conrad, la dernière version sortie cette semaine résout la plupart des soucis encore présents, comme des difficultés de fonctionnement avec les enceintes les plus anciennes (notamment les Play:1 et Play:3), et les prochaines mises à jour prévues en 2025 devraient faire de l’app de contrôle « la meilleure version produite par Sonos ces cinq dernières années ».
Il considère ainsi que la nouvelle app « est maintenant meilleure que celle qu’elle a remplacée », et que l’entreprise est sur « le bon chemin pour restaurer la confiance de ses utilisateurs ».
Pour le CEO par intérim, tout le crédit des améliorations récentes revient à la restructuration opérée dans l’entreprise : précédemment organisée en petites unités pour chaque produit, elle est maintenant structurée à la manière d’Apple, avec une branche matériel, une autre logiciel et une dédiée au design. Cela a permis à l’entreprise de « débloquer la progression nécessaire faite sur le logiciel ».
Reste que l’entreprise ne sait pas encore à quel point elle sera impactée par les différentes taxes d’importation décidées par l’administration US, bien qu’elle semble avoir évité le pire en ayant déjà transféré toute sa production de Chine vers la Malaisie et le Vietnam. Bien qu’elle réfléchisse à rapatrier une partie de la production aux US, elle ne souhaite cependant pas précipiter les choses, le problème étant complexe et les volontés politiques relativement instables.
En tout cas, les souhaits de Tom Conrad sont clairs : « J’espère que le prochain chapitre sera ma nomination au poste de CEO permanent de l’entreprise, afin de pouvoir dérouler un plan à long terme sur 5 voire 10 ans, plutôt que les 2 ans de visibilité que j’ai actuellement. [...] J’ai de grandes idées pour le futur, et je suis impatient de pouvoir les concrétiser ».
Depuis janvier 2025, Sonos a un CEO par intérim, suite au départ en catastrophe de Patrick Spence, désavoué après la sortie d’une nouvelle version de l’app de contrôle des appareils de la marque ayant déclenché une grogne spectaculaire chez les utilisateurs. Mais selon Mark Gurman, le patron temporaire souhaiterait prendre la place définitivement, jugeant que le pire de la tempête est maintenant passé avec brio.
La nouvelle version de l’app de contrôle avait déchaîné les enfers sur Sonos. Captures MacGeneration.
En effet, Tom Conrad considère que l’entreprise a maintenant « tourné la page » de ses ennuis, et se sent de taille à gérer l’entreprise comme CEO officiel :
J’ai maintenant la certitude que nous avons tourné la page de nos ennuis [...] Nous avons fait de grands progrès depuis ces 90 derniers jours, et avons résolu de nombreux challenges techniques relativement complexes.
Il faut dire que la marque revient de loin, désavouée par de nombreux clients suite à la nouvelle version de son contrôleur qui a multiplié les fausses notes, avec de nombreux bugs ou des absences incompréhensibles, comme le réglage de l’alarme, laissant les utilisateurs bloqués sur leur alarme sans pouvoir la modifier ou la supprimer. La catastrophe était telle qu’un produit amené à étendre la gamme a été repoussé, afin de se concentrer sur les correctifs nécessaires.
Selon Tom Conrad, la dernière version sortie cette semaine résout la plupart des soucis encore présents, comme des difficultés de fonctionnement avec les enceintes les plus anciennes (notamment les Play:1 et Play:3), et les prochaines mises à jour prévues en 2025 devraient faire de l’app de contrôle « la meilleure version produite par Sonos ces cinq dernières années ».
Il considère ainsi que la nouvelle app « est maintenant meilleure que celle qu’elle a remplacée », et que l’entreprise est sur « le bon chemin pour restaurer la confiance de ses utilisateurs ».
Pour le CEO par intérim, tout le crédit des améliorations récentes revient à la restructuration opérée dans l’entreprise : précédemment organisée en petites unités pour chaque produit, elle est maintenant structurée à la manière d’Apple, avec une branche matériel, une autre logiciel et une dédiée au design. Cela a permis à l’entreprise de « débloquer la progression nécessaire faite sur le logiciel ».
Reste que l’entreprise ne sait pas encore à quel point elle sera impactée par les différentes taxes d’importation décidées par l’administration US, bien qu’elle semble avoir évité le pire en ayant déjà transféré toute sa production de Chine vers la Malaisie et le Vietnam. Bien qu’elle réfléchisse à rapatrier une partie de la production aux US, elle ne souhaite cependant pas précipiter les choses, le problème étant complexe et les volontés politiques relativement instables.
En tout cas, les souhaits de Tom Conrad sont clairs : « J’espère que le prochain chapitre sera ma nomination au poste de CEO permanent de l’entreprise, afin de pouvoir dérouler un plan à long terme sur 5 voire 10 ans, plutôt que les 2 ans de visibilité que j’ai actuellement. [...] J’ai de grandes idées pour le futur, et je suis impatient de pouvoir les concrétiser ».
Depuis que le Vision Pro est sorti, Apple s’est donné pour mission de démontrer ses capacités grâce à des vidéos en 3D immersive, permettant aux quelques-uns ayant acheté le casque de réalité augmentée de la marque de plonger dans des univers variés. Selon l’un de nos lecteurs ayant discuté avec une équipe de tournage bien particulière, l’une des prochaines vidéos pourrait bien porter sur la course de MotoGP sur le circuit du Mans.
Une caméra BlackMagic URSA Cine Immersive dans les stands de LCR Honda.
En effet, plusieurs caméras Blackmagic URSA, dotées d’un capteur 12K, sont présentes sur place ce week-end, notamment dans le garage du pilote Johan Zarco courant pour LCR Honda. Équipées en version Cine Immersive, elles permettent de filmer en 3D 8K, avec un champ de vision de 180° en 90 images par seconde.
Les compétitions de MotoGP faisant partie des sports mécaniques les plus spectaculaires étant donné les vitesses atteintes par les bolides à deux roues, le rendu devrait être intéressant, que l’on soit fan de motos ou d’images impressionnantes. L’équipe de tournage présente a confirmé que les images seraient à destination de l’Apple Vision Pro, mais ni le diffuseur, ni une date de sortie ne sont connus.
Le sport mécanique fait partie de l’histoire populaire des USA, mais les acteurs locaux s’en tenaient jusqu’à récemment aux compétitions nationales, comme la Nascar ou l’IndyCar. Jusqu’à ces dernières années, ils s’étaient tenus éloignés des compétitions internationales les plus célèbres, que ce soit la MotoGP ou la Formule 1. Mais les nouveaux propriétaires des droits de ces deux compétitions, Liberty Media, est un groupe US. Ils ont donc décidé de renforcer les liens avec le pays de l’Oncle Sam, en multipliant les partenariats, publicités et autres couvertures médiatiques.
En F1, acquise depuis 2017, le raz-de-marée US est maintenant bien visible : entre les trois Grand Prix tenus sur le sol américain, les sponsors comme Google pour McLaren, Oracle pour RedBull Racing, Hewlett-Packard chez Ferrari, mais aussi les diffuseurs, avec certaines rumeurs voulant qu’Apple soit intéressée pour la retransmission des GP, l’empreinte des États-Unis d’Amérique est de plus en plus conséquente. Une app dédiée a même fait son apparition sur Vision Pro en 2024, même si elle semble avancer relativement lentement, et Netflix produit depuis maintenant plusieurs années son documentaire Drive to Survive sur les coulisses du championnat.
En MotoGP, qui n’est dans le giron de Liberty Media que depuis 2024, les choses devraient aller aussi très vite, et de voir une équipe de tournage dédiée au Vision Pro n’apparaît que logique une fois tous ces éléments connus. Il est à parier que ce ne soit qu’une des étapes de conquête du sport par les USA et par les entreprises de la tech du pays, friandes de sponsoring dans les compétitions sportives.
Depuis que le Vision Pro est sorti, Apple s’est donné pour mission de démontrer ses capacités grâce à des vidéos en 3D immersive, permettant aux quelques-uns ayant acheté le casque de réalité augmentée de la marque de plonger dans des univers variés. Selon l’un de nos lecteurs ayant discuté avec une équipe de tournage bien particulière, l’une des prochaines vidéos pourrait bien porter sur la course de MotoGP sur le circuit du Mans.
Une caméra BlackMagic URSA Cine Immersive dans les stands de LCR Honda.
En effet, plusieurs caméras Blackmagic URSA, dotées d’un capteur 12K, sont présentes sur place ce week-end, notamment dans le garage du pilote Johan Zarco courant pour LCR Honda. Équipées en version Cine Immersive, elles permettent de filmer en 3D 8K, avec un champ de vision de 180° en 90 images par seconde.
Les compétitions de MotoGP faisant partie des sports mécaniques les plus spectaculaires étant donné les vitesses atteintes par les bolides à deux roues, le rendu devrait être intéressant, que l’on soit fan de motos ou d’images impressionnantes. L’équipe de tournage présente a confirmé que les images seraient à destination de l’Apple Vision Pro, mais ni le diffuseur, ni une date de sortie ne sont connus.
Le sport mécanique fait partie de l’histoire populaire des USA, mais les acteurs locaux s’en tenaient jusqu’à récemment aux compétitions nationales, comme la Nascar ou l’IndyCar. Jusqu’à ces dernières années, ils s’étaient tenus éloignés des compétitions internationales les plus célèbres, que ce soit la MotoGP ou la Formule 1. Mais les nouveaux propriétaires des droits de ces deux compétitions, Liberty Media, est un groupe US. Ils ont donc décidé de renforcer les liens avec le pays de l’Oncle Sam, en multipliant les partenariats, publicités et autres couvertures médiatiques.
En F1, acquise depuis 2017, le raz-de-marée US est maintenant bien visible : entre les trois Grand Prix tenus sur le sol américain, les sponsors comme Google pour McLaren, Oracle pour RedBull Racing, Hewlett-Packard chez Ferrari, mais aussi les diffuseurs, avec certaines rumeurs voulant qu’Apple soit intéressée pour la retransmission des GP, l’empreinte des États-Unis d’Amérique est de plus en plus conséquente. Une app dédiée a même fait son apparition sur Vision Pro en 2024, même si elle semble avancer relativement lentement, et Netflix produit depuis maintenant plusieurs années son documentaire Drive to Survive sur les coulisses du championnat.
En MotoGP, qui n’est dans le giron de Liberty Media que depuis 2024, les choses devraient aller aussi très vite, et de voir une équipe de tournage dédiée au Vision Pro n’apparaît que logique une fois tous ces éléments connus. Il est à parier que ce ne soit qu’une des étapes de conquête du sport par les USA et par les entreprises de la tech du pays, friandes de sponsoring dans les compétitions sportives.
Depuis 2008, Lego propose un site permettant au grand public de proposer ses idées, laissant ainsi tout à chacun dévoiler ses constructions dans l’espoir que le plus grand nombre y adhère, et donne ainsi envie à l’entreprise de produire l’idée à grande échelle. Et comme le rapporte 9to5Mac, une reproduction d’un Apple Store en Lego vient de passer la première étape, étant sélectionnée par la firme pour être étudiée.
L’Apple Store en Lego proposé par TrumanBricks. Image Lego.
Cette première marche n’est pas anodine : pour l’atteindre, le projet doit être soutenu par un minimum de 10 000 personnes. Cependant, tout n’est pas encore gagné : pour être validé et produit, un projet doit être confirmé par Lego... mais aussi par les détenteurs des propriétés intellectuelles utilisées. Apple autorisera-t-elle l’entreprise danoise à reproduire un Apple Store ? Rien n’est moins sûr, mais l’espoir est permis.
Jusqu’à présent, 72 projets ont été jusqu’à la production, dont un nombre conséquent reproduisant des éléments soumis à propriété intellectuelle. On y trouve pêle-mêle la DeLorean de Retour vers le Futur, l’Ecto-1 de Ghostbusters, le Light Cycle de TRON: Legacy, mais aussi la Station Spatiale Internationale ou encore la Saturn V d’Apollo 11.
Depuis la valse des taxes d’importation lancée par le gouvernement américain, le fait qu’Apple souhaite diversifier la provenance de ses appareils n’est plus tellement un secret... mais la pomme cherche tout de même à garder quelques idées cachées, comme le rapporte AppleInsider.
Foxconn au Brésil. Image Foxconn.
Si l’entreprise a déjà une chaîne d’assemblage d’iPhone 13, 14 et 15 au pays d’Ayrton Senna, et devrait débuter la fabrication d’iPhone 16, jusqu’à présent la production a été réservée au pays.
Cependant, de nombreux médias locaux font état d’un agrandissement de la chaîne de production de Foxconn à Jundiaì, au sud-est du pays. Une expansion qui ne colle pas avec une demande plus importante au niveau local, et laisse donc présager une fabrication à destination des USA, le Brésil s’étant vu octroyer des droits de douane bien plus raisonnables que la Chine.
Apple pourrait aussi en profiter pour y installer une production d’iPhone 16 Pro et Pro Max, si la montée en régime des chaînes dédiées aux modèles de base se passe bien. Pour le moment, l'entreprise a indiqué ne pas avoir changé de plans concernant sa production, bien que les médias locaux aient tous constaté l'agrandissement de la chaîne d'assemblage.
Depuis 2008, Lego propose un site permettant au grand public de proposer ses idées, laissant ainsi tout à chacun dévoiler ses constructions dans l’espoir que le plus grand nombre y adhère, et donne ainsi envie à l’entreprise de produire l’idée à grande échelle. Et comme le rapporte 9to5Mac, une reproduction d’un Apple Store en Lego vient de passer la première étape, étant sélectionnée par la firme pour être étudiée.
L’Apple Store en Lego proposé par TrumanBricks. Image Lego.
Cette première marche n’est pas anodine : pour l’atteindre, le projet doit être soutenu par un minimum de 10 000 personnes. Cependant, tout n’est pas encore gagné : pour être validé et produit, un projet doit être confirmé par Lego... mais aussi par les détenteurs des propriétés intellectuelles utilisées. Apple autorisera-t-elle l’entreprise danoise à reproduire un Apple Store ? Rien n’est moins sûr, mais l’espoir est permis.
Jusqu’à présent, 72 projets ont été jusqu’à la production, dont un nombre conséquent reproduisant des éléments soumis à propriété intellectuelle. On y trouve pêle-mêle la DeLorean de Retour vers le Futur, l’Ecto-1 de Ghostbusters, le Light Cycle de TRON: Legacy, mais aussi la Station Spatiale Internationale ou encore la Saturn V d’Apollo 11.
Depuis la valse des taxes d’importation lancée par le gouvernement américain, le fait qu’Apple souhaite diversifier la provenance de ses appareils n’est plus tellement un secret... mais la pomme cherche tout de même à garder quelques idées cachées, comme le rapporte AppleInsider.
Foxconn au Brésil. Image Foxconn.
Si l’entreprise a déjà une chaîne d’assemblage d’iPhone 13, 14 et 15 au pays d’Ayrton Senna, et devrait débuter la fabrication d’iPhone 16, jusqu’à présent la production a été réservée au pays.
Cependant, de nombreux médias locaux font état d’un agrandissement de la chaîne de production de Foxconn à Jundiaì, au sud-est du pays. Une expansion qui ne colle pas avec une demande plus importante au niveau local, et laisse donc présager une fabrication à destination des USA, le Brésil s’étant vu octroyer des droits de douane bien plus raisonnables que la Chine.
Apple pourrait aussi en profiter pour y installer une production d’iPhone 16 Pro et Pro Max, si la montée en régime des chaînes dédiées aux modèles de base se passe bien. Pour le moment, l'entreprise a indiqué ne pas avoir changé de plans concernant sa production, bien que les médias locaux aient tous constaté l'agrandissement de la chaîne d'assemblage.
Si les rumeurs concernant l’entrée d’Apple dans le domaine actuellement chasse gardée de Meta, à savoir les lunettes solaires intelligentes, n’ont jusqu’à présent rien montré de concret, Apple semble avancer sérieusement sur cette idée. Ainsi, comme le rapporte Mark Gurman, les premières puces dédiées à ces wearables seraient en cours de finalisation.
C’est le SoC de l’Apple Watch qui devrait servir de base pour ceux des lunettes et des écouteurs dopés à l’IA. Image Apple.
Apple n’a pas besoin d’aller chercher bien loin pour ces puces : selon le fuiteur, elles seraient basées sur celles de l’Apple Watch, permettant ainsi une bonne base pour un SoC économe. Cependant, pour s’intégrer dans un produit où la place est encore plus comptée que dans une montre, comme des lunettes voire des écouteurs, les SoC seront bien entendu adaptés, avec des fonctions inutiles supprimées, et un renforcement de la partie caméra, afin de gérer le ou les capteurs nécessaires.
Ces puces devraient être produites en masse vers la fin 2027, permettant donc aux produits associés de sortir d’ici environ deux ans. Comme souvent, c’est TSMC qui s’occupera de la production.
Apple devrait ainsi offrir un concurrent aux Ray-Ban Meta, mais aussi créer des écouteurs munis de caméras intégrées, dont la puce est nommée en interne Glennie. Le projet de lunettes, nommé N401 en interne, mène deux idées de front : des lunettes avec IA intégrée, comme les Ray-Ban Meta, permettant des interactions grâce aux caméras et autres micros, et une autre version avec réalité augmentée prévue pour plus tard.
L’Apple Watch devrait elle aussi recevoir sa caméra, et la puce permettant de la gérer est elle aussi en cours de finalisation. Sous le nom Nevis, elle devrait elle aussi sortir au grand jour d’ici fin 2027.
Tous ces objets devraient faire grand usage de Visual Intelligence, déjà intégré dans les iPhone de la dernière génération. Si les fonctions sont basiques pour le moment, gageons qu’elles devraient évoluer pour donner des capacités intéressantes à tous ces objets munis de caméras.
La 2G existe depuis maintenant 1993... le réseau est à l’origine des débuts de la téléphonie mobile telle qu’on la connaît, le terme GSM que les plus vieux d’entre vous utilisent peut-être encore venant du nom de départ de cette technologie, pour Global System for Communications.
Fin de partie au plus tard en 2026 pour l’iPhone original.
Depuis, les réseaux ont évolué en 3G en 2000, 4G en 2010, et finalement 5G en 2020 (en attendant la 6G...). Mais comme le rappelle le député Karim Benbrahim dans une question posée à l’exécutif, même s’il est dépassé, le réseau 2G continue à être utilisé par près de huit millions d’équipements sur le territoire national.
Or, comme le rapporte Numerama, Orange souhaite éteindre la 2G à la fin de l’année, et SFR et Bouygues fin 2026 (pour Free, la question ne se pose pas vraiment, l’opérateur ayant commencé directement en 3G). Pour la 3G, le sursis n’est d’ailleurs pas beaucoup plus long : fin 2028 pour Orange et SFR, fin 2029 pour Bouygues. De son côté, Free n’a pas encore donné de réponse.
De nombreux systèmes tels que les télé-alarmes des ascenseurs, une majeure partie des boîtiers d’appel d’urgence pour les personnes âgées, ou encore des alarmes connectées utilisent encore la 3G, voire la 2G pour communiquer. Le député, mettant l’accent sur ces utilisateurs dépendants, a vu la réponse du gouvernement comme étant une fin de non recevoir :
Si certains équipements peuvent fonctionner exclusivement sur la base des réseaux mobiles 2G et 3G, il appartient aux usagers et aux fournisseurs de services ou de matériel de prendre sans attendre les actions nécessaires pour anticiper ces fermetures et procéder au changement de ces équipements.
Si une telle rigidité peut surprendre à première vue, il faut rappeler que les clients de ces réseaux pouvaient voir venir la fin de la 2G depuis longtemps : dès 2017, les USA, le Canada ou encore le Japon ont fermé leur réseau GSM, et d’autres pays leur ont emboîté le pas depuis, les fréquences disponibles étant une ressource rare. De plus, le gouvernement rappelle que s’il délivre les autorisations d’utilisation des fréquences, il n’a aucune prérogative concernant l’extinction des réseaux par les opérateurs.
Cette fermeture touchera potentiellement un grand nombre de personnes sur un point particulier : le système d’appel d’urgence équipant les voitures depuis 2018 en Europe, dit « eCall ». Mais pour lui, le gouvernement se veut rassurant : le système ne nécessitant pas un opérateur particulier pour fonctionner, n’importe quel réseau 3G fait l’affaire. Il devrait donc fonctionner au moins jusqu’en 2029.
Si Eddy Cue, durant l’audition tenue au procès antitrust de Google, s’est déjà fendu de détails importants sur la suite qu’Apple entend donner aux moteurs de recherche dans Safari, sa vision concernant le futur montre qu’Apple s’inquiète de l’intérêt de l’iPhone et des smartphones en général, comme rapporté par Mark Gurman.
L’iPhone ne pourra pas être éternellement la vache à lait d’Apple... Image Apple.
Le VP Senior en charge des services de la pomme s’inquiète certes de la montée de l’intelligence artificielle, mais aussi des conséquences qu’elle pourrait avoir sur la survie des smartphones tels qu’on les connaît :
Aussi fou que cela puisse paraître, vous n’aurez peut-être plus besoin d’un iPhone dans 10 ans. [...] Le seul moment où vous avez une réelle compétition est au moment d’un grand changement technologique. Un tel changement crée des opportunités. L’intelligence artificielle est un de ces grands changements technologiques, et permet l’arrivée de nouveaux concurrents.
S’il est rare d’entendre Apple parler de la fin d’un produit phare, la réflexion d’Eddy Cue montre que la firme reste réaliste, et sait très bien qu’elle ne peut pas se permettre de rester sur ses acquis indéfiniment.
Nous ne sommes pas une entreprise pétrolière, ni un fabricant de dentifrice – ces produits seront nécessaires encore une éternité... mais vous n’aurez peut-être plus besoin d’un iPhone dans 10 ans.
Le constat est lucide, cependant si Eddy Cue croit fortement en l’IA comme la prochaine étape, il est grand temps qu’Apple comble son retard, d’une manière ou d’une autre. Et toute aussi puissante qu’elle soit, l’IA aura toujours besoin d’un appareil pour fonctionner. D’où les recherches à long terme pour des lunettes de réalité augmentée... en espérant que Meta ne franchisse pas le drapeau à damier le premier.
Quel est le point commun entre des marques variées de l’audio, telles Bowers & Wilkins, Rotel, Classé, Denon, Marantz ou encore Polk Audio ? Toutes appartiennent au même groupe. Et le conglomérat en question, qui n’est autre que Masimo (coucou Apple) a décidé de vendre toutes ces marques à Samsung, comme le rapporte The Verge.
Le groupe coréen n’est pas un débutant dans l’acquisition de marques connues dans le domaine du son, ayant déjà en poche JBL, Harman Kardon, Arcam, AKG, Mark Levinson, Roon, ou encore Revel et bien d’autres. Dans les célébrités, même la division audio pour automobiles de Bang & Olufsen appartient à Samsung !
L’échange s’est conclu par la coquette somme de 350 millions de dollars et doit être finalisé d’ici la fin de l’année, le temps que les autorités approuvent cette transaction.
Bien entendu, les deux parties sont heureuses de la signature, et ne le cachent pas, entre le patron de Masimo qui dit que « trouver la bonne maison pour ces entreprises a été la priorité absolue pour le conseil d’administration, et cette transaction représente une étape importante », et Samsung qui indique pouvoir ainsi « consolider sa place de numéro 1 dans le marché de l’audio grand public ».
Samsung ne cache pas non plus son envie d’utiliser les technologies et les marques dont Bowers & Wilkins, Denon ou encore Marantz dans ses autres produits, comme les smartphones, les écouteurs sans-fil, les casques, et bien entendu les barres de son et les téléviseurs. L’aura de Bowers & Wilkins devrait monter encore un peu plus chez le grand public, mais il reste à espérer que Denon et Marantz auront droit à un peu plus que des enceintes connectées, histoire de retrouver leur lustre passé...
Quelles que soient ses idées personnelles, il semble que Tim Cook ne change pas de ligne et caresse dans le sens du poil le président en fonction, qu’il soit démocrate ou républicain. On en a encore eu une démonstration avec la commémoration des 100 premiers jours de Donald Trump, comme le rapporte 9to5Mac.
Cette fois-ci, le CEO d’Apple n’était pas présent physiquement, mais a fait une apparition dans un discours enregistré par avance depuis l’Apple Park.
Bonjour à tous. Bien que je sois déçu de ne pouvoir être présent aujourd’hui parmi vous, j’ai tout de même la chance de pouvoir prendre la parole. J’ai toujours dit qu’Apple n’aurait pas pu être créée ailleurs qu’aux USA. Nous sommes une entreprise fière d’être américaine, et nous avons conscience de l’impact que nous avons sur ce pays. Nous étendons actuellement nos équipes et nos bureaux dans de nombreux États, incluant le Michigan, le Texas, la Californie, l’Arizona, le Nevada, l’Iowa, l’Oregon, la Caroline du Nord, et Washington. Nous installons aussi actuellement une nouvelle usine dédiée à la fabrication de serveurs d’intelligence artificielle à la pointe au Texas, et nous allons doubler notre fonds dédié à l’assemblage sur le territoire américain pour aider des sous-traitants à venir s’installer aux USA.
Nous sommes fiers de créer des millions d’emplois sur le territoire, d’investir de manière à accélérer cette nouvelle ère d’industrialisation et de supporter des entreprises à travers le pays, qui nous aident en retour à satisfaire nos clients. Au total, nous avons plus de 9000 fournisseurs aux USA répartis sur les 50 États.
Nous travaillons avec des entreprises américaines à tous les stades de la fabrication, de Face ID jusqu’au verre utilisé dans l’iPhone. Et nous espérons pouvoir produire plus de 19 milliards de puces cette année aux USA, grâce à des entreprises réparties dans une douzaine d’États différents. Cela inclut des dizaines de millions de puces à la pointe de la technologie fondues dès aujourd’hui par TSMC en Arizona, usine pour laquelle nous sommes le premier et le plus gros client.
Je voudrais prendre un moment pour remercier le Président Trump pour ses prises de position décisives dans l’industrie locale des semi-conducteurs, et nous continuerons bien entendu de travailler avec l’administration actuelle pour investir dans ces domaines. Il va sans dire que nous sommes impatients de voir le futur de l’innovation américaine, les incroyables opportunités qu’il permettra, et nous sommes honorés de prendre part à celui-ci.
Il est amusant et étonnant de voir Tim Cook remercier le Président Trump pour ses décisions d’aide à la relocalisation de semi-conducteurs, quand à peine 3 ans plus tôt, le CEO d’Apple participait à une réunion organisée par le précédent président des USA et son administration, durant l’inauguration de l’usine de TSMC en Arizona. Le CHIPS Act avait d’ailleurs été signé ce jour-là, et Tim Cook avait remercié de la même manière Joe Biden :
Nous sommes réunis cet après-midi autour du Président Biden, dont la présence envoie un signal puissant sur l’importance de cette journée. Président Biden, merci pour votre leadership, et tout particulièrement pour la signature qui rend effectif le CHIPS Act, qui permettra de réaliser de nombreux projets comme celui-ci. Ce jour est un merveilleux jour pour les USA, l’Arizona, mais aussi pour Apple.
Trou de mémoire ? Peu probable. Diplomatie ? Assurément. En bon diplomate, Tim Cook sait très bien que le temps n’est pas à la défiance, au risque sinon de perdre l’oreille attentive de Donald Trump. Quitte à prendre quelques libertés sur la réalité des faits, afin de mieux les faire coller au besoin de satisfaire le Président...
S’il est un fait concernant le modem C1, c’est qu’Apple reste plutôt discrète sur ses performances et sur son futur. Et même Tim Cook se garde bien d’être trop dithyrambique sur le sujet, comme le rapporte 9to5Mac.
Image Apple.
Il faut dire que Cupertino a un souci de communication sur son modem : tant que Qualcomm fournit les puces pour les iPhone haut de gamme, il serait dommage de clamer que le C1 est le meilleur modem, ce qui aurait le mauvais goût d’à la fois froisser un partenaire encore capital pour quelque temps, et en plus de faire passer les iPhone 16 et iPhone 16 Pro/Pro Max pour des appareils aux performances inférieures à un « simple » iPhone 16e.
Questionné sur le C1 durant la conférence des résultats trimestriels, il est clair que Tim Cook a dû sortir une réponse des plus équilibrées, pour ne pas faire d’ombre aux iPhone actuels tout en ne dénigrant pas le modem maison :
Nous sommes extrêmement enthousiastes à l’idée de sortir notre premier modem, et d’après les premiers retours, c’est une réussite. Nous adorons produire des produits meilleurs que les autres, du point de vue de l’autonomie, comme sur d’autres points importants pour nos clients. Nous avons emprunté notre propre chemin, et suivons notre route.
Tout en restant discret, Tim Cook rappelle que le but est de faire des produits meilleurs que les autres, et que cette première génération a rempli les objectifs de l’équipe, voire est allée plus loin. Mais tant que les gammes Pro seront équipées par Qualcomm, Apple restera discrète sur les performances de son modem maison.
C’est en effet pas moins de 530 millions d’euros qui sont demandés à ByteDance, la maison mère de TikTok, pour avoir enfreint la législation sur l’exportation de données appartenant à des citoyens européens.
Comme souvent dans les cas touchant les multinationales de la tech, c’est l’Irlande qui s’en est occupée avec sa « Data Protection Commission » (ou Commission de protection des données). La DPC reproche au réseau social le transfert et le stockage de données appartenant à des citoyens européens sur des serveurs hébergés en Chine, ce qui contrevient aux règles imposées par l’Union européenne, comme l’indique Graham Doyle, commissaire adjoint à la DPC :
TikTok n’a pas répondu concernant l’accès potentiel des autorités chinoises aux données personnelles des citoyens européens, alors que les lois chinoises sur l’anti-terrorisme, le contre-espionnage et d’autres éléments sont en contradiction avec les standards imposés par l’Union européenne.
L’entreprise a six mois pour se conformer au RGPD, que ce soit en verrouillant les données transférées pour les rendre impénétrables par les autorités chinoises, ou en arrêtant de les stocker sur le territoire de l’empire du milieu.
ByteDance a annoncé qu’elle ferait appel de cette amende, la seconde infligée au réseau social, après avoir écopé en septembre 2023 de 345 millions d’euros pour défaut de protection des données personnelles des mineurs.
Ce n’est sûrement pas la dernière sanction infligée au réseau par l’UE, qui l’a aussi dans le viseur pour de multiples infractions au DSA, dont un manque de rigueur sur la régulation des faux comptes, le défaut de protection des mineurs, et la non-modération de contenus ayant interféré avec des élections nationales.
Selon les grandes oreilles de Cupertino, les programmeurs d’Apple Park vont avoir droit à une nouvelle version interne de Xcode, qui intègrera l’intelligence artificielle Claude 3.7 Sonnet. Anthropic avait d’ailleurs déjà présenté un bot permettant de venir en aide aux programmeurs, sous la forme de l’utilitaire « Claude Code », sorti en même temps que la version 3.7 de son IA.
L’interface se présenterait avec une fenêtre de discussion où le programmeur peut demander à l’IA d’effectuer des modifications directement sur le code en cours d’écriture, de tester des interfaces utilisateur, ou encore de partir à la recherche de bugs ou autres failles.
C’est un gros partenariat pour Anthropic, qui monte petit à petit en puissance après un premier gros contrat signé avec Amazon pour incarner Alexa+.
Aucune information n’a par contre fuité sur une possible sortie au grand public de cette version de Xcode. L’association montre cependant le retard accumulé par la pomme, alors qu’elle avait annoncé durant la WWDC 2024 l’arrivée courant de l’année de son propre assistant en la matière, appelé Swift Assist.
L’assistant maison disparaîtra-t-il au profit d’un partenariat avec Anthropic ? Si la réponse n’est pas encore connue, il serait cependant surprenant qu’Apple fasse un partenariat intégrant Claude Sonnet sur une version interne de Xcode, pour ensuite sortir un assistant maison totalement différent pour le grand public. Reste à savoir si ce partenariat sera abordé à la WWDC 2025 pour faire définitivement oublier Swift Assist.
Ce n’est pas un secret, entre les ventes en berne dans une majeure partie du monde, et la gamme qui fait du sur place, Tesla ne vit pas sa meilleure vie. Et il semble bien qu’en coulisses, certains s’affairent pour faire tomber celui qui est à leurs yeux la raison de tous les maux : Elon Musk.
Robyn Denholm, présidente du conseil de Tesla. Image Wikipedia/CeBIT Australia, CC BY 2.0.
Des chiffres peu agréables
Avec une chute des bénéfices de 71 % ce trimestre par rapport à l’année dernière, et une action qui est retombée à moins de 300 dollars après avoir tutoyé les sommets (elle était montée à quasiment 500 dollars au mois de décembre), beaucoup attendaient les chiffres du mois d’avril, premier mois comptant la nouvelle version du Model Y dans les comptes.
Et malheureusement, même s’il rattrape un peu les mauvais chiffres de début 2025, ce n’est pas suffisant, loin de là : avec une chute de 44 % depuis le début de l’année en France, et de 60 % sur le mois d’avril par rapport à avril 2024, les performances ne sont pas là. Au niveau européen, le Model Y reste le modèle le plus vendu des VE, mais Volvo avec son EX30 est à une centaine d’unités du SUV américain. En additionnant le XC40, sur la troisième marche du podium, Volvo bat à plates coutures Tesla (4028 ventes contre 3394). Une situation inédite pour la marque d’Elon Musk.
Si la Chine redonne espoir au constructeur, avec des ventes confortables du nouveau modèle, les autres constructeurs sont là, et ont dépassé l’américain depuis longtemps : en mars 2025, Tesla a vendu un peu moins de 75 000 véhicules dans le pays, quand BYD en vendait plus du double. Et les USA, pays de Tesla, n’aident pas non plus : les stocks de Model Y s’empilent, et le Cybertruck est un échec commercial : seuls 39 000 ont vu preneur sur les 250 000 prévus à l’origine.
Un patron sur la sellette ?
Il n’en faut pas plus pour que les esprits s’échauffent, et que certains cherchent un coupable. Entre ses absences prolongées pour s’occuper du DOGE et ses frasques médiatiques et politiques, Elon Musk semble le coupable idéal. Et selon le Wall Street Journal, le conseil d'administration, las, a préféré prendre les devants et chercher discrètement un possible remplaçant au poste de Directeur Général. Le mouvement est marquant, spécialement sur une personne étant non seulement à la tête de l’entreprise depuis maintenant 20 ans (même s’il a laissé son poste de CEO temporairement en 2018 suite à un bras de fer avec la SEC, le gendarme de la bourse américain), mais aussi actionnaire à 12,8 %.
Trop symbolique ? Il semble bien. Car à peine ces manœuvres ébruitées par le journal, Robyn Denholm, actuelle présidente du conseil de l’entreprise, a publié un démenti cinglant.
Earlier today, there was a media report erroneously claiming that the Tesla Board had contacted recruitment firms to initiate a CEO search at the company.
This is absolutely false (and this was communicated to the media before the report was published).
Plus tôt dans la journée, un média a déclaré de manière erronée que le conseil d'administration de Tesla a contacté des firmes de recrutement pour trouver un nouveau CEO pour l’entreprise. C’est totalement faux (et nous l’avions fait savoir à ce média avant qu’il ne publie son article). Le CEO de Tesla est Elon Musk et le conseil d'administration continue de lui accorder son entière confiance afin de dérouler l’excellent plan de croissance à venir.
Bien entendu, Elon Musk a lui-même réagi à cette information :
It is an EXTREMELY BAD BREACH OF ETHICS that the @WSJ would publish a DELIBERATELY FALSE ARTICLE and fail to include an unequivocal denial beforehand by the Tesla board of directors! https://t.co/9xdypLGg3c
Il est TOTALEMENT CONTRAIRE À L’ÉTHIQUE de publier un ARTICLE DÉLIBÉRÉMENT FAUX sans inclure au préalable le démenti du conseil d'administration de Tesla !
Au final, fausse information, ou information sortie trop tôt ? L’avenir le dira tôt ou tard. Il est fort possible que le conseil d'administration ait cherché un temps à remplacer Elon Musk, afin de faire pression sur lui et l’inciter à revenir aux commandes de l’entreprise, plutôt que de se concentrer sur le DOGE. Tout comme Tesla ne serait pas la première entreprise à faire un démenti public à cause d’une décision interne sortie un peu trop tôt au grand public.
Reste qu’Elon Musk a promis aux employés de Tesla, ainsi qu’au conseil d'administration, qu’il reviendrait sous peu aux commandes de la firme. Et quoi qu’il en soit, la législation devrait l’obliger à quitter la tête du DOGE, son poste de « conseiller spécial » ne pouvant être tenu plus de 130 jours. De quoi calmer le conseil ?
L’Australie s’y est attaquée en interdisant l’entrée aux jeunes de moins de 16 ans, la Chine a de multiples éléments limitant leur utilisation par les mineurs, certains États américains souhaiteraient faire de même... les réseaux sociaux ne sont pas en odeur de sainteté et Gabriel Attal, qui se verrait bien remplacer Emmanuel Macron en 2027, annonce la couleur : il compte bien agir contre ce « cataclysme sanitaire ».
Gabriel Attal, au Festival d’Angoulême 2019. Image Wikipedia/Selbymay, CC BY-SA 4.0.
Les propositions de l’ancien Premier ministre sont radicales, et celui-ci ne cache pas la provenance des idées : la Chine. Gabriel Attal se ligue avec le pédopsychiatre Marcel Rufo, dans une tribune publiée sur Le Figaro. Le moins qu’on puisse dire, c’est que les idées sont nombreuses, et pourraient imposer de fortes restrictions aux plus jeunes :
un « examen de l’addiction aux écrans » serait imposé à l’entrée en sixième, puis à l’entrée en seconde
interdiction d’accès aux moins de 15 ans
pour les 15-18 ans, un « couvre-feu numérique » bloquant les réseaux sociaux de 22h à 8h du matin
passage de l’écran en noir et blanc au bout de 30mn de consultation, pour rendre le contenu moins attirant
blocage à une heure de consultation maximum par jour pour les moins de 18 ans
obligation d’envoyer des alertes en cas d’utilisation excessive
création d’un « addict-score », sur le même principe que le nutri-score pour indiquer le degré d’addiction possible de chaque réseau.
En plus de toutes ces mesures, une taxation à hauteur de 2 % des revenus générés par les réseaux sociaux serait prélevée sur les entreprises concernées, afin de financer un fonds dédié à la recherche et la prise en charge de la santé mentale.
La Chine a déjà mis en place des restrictions temporelles, mais elles concernent Internet dans sa globalité : les moins de 8 ans n’ont droit qu’à 40 minutes par jour, les moins de 16 ans à une heure, et les moins de 18 ans à deux heures. De plus, quel que soit l’âge du mineur, les jeux vidéos sont interdits de 22h à 8h. Bien entendu, même si la surveillance est très présente dans le pays, certains arrivent à contourner les limites...
Les dérives étant nombreuses sur ces plateformes, les pays souhaitant limiter leur consommation par les mineurs sont de plus en plus nombreux, et les règles de plus en plus strictes. La France prendra-t-elle le chemin de la Chine et de l’Australie, entre autres ?
Alors que la loi Narcotrafic a été adoptée par l’Assemblée Nationale aujourd’hui, un amendement a, lui, été rejeté : il aurait permis l’installation d’une backdoor dans les messageries chiffrées, permettant au gouvernement de lire les messages des utilisateurs. Pour éviter son adoption, plusieurs messageries chiffrées ont fait pression, certaines allant même jusqu’à diffuser un message à tous leurs utilisateurs.
Pavel Durov, durant la conférence TechCrunch de Berlin en 2013. Image Wikipedia/TechCrunch, CC BY 2.0.
WhatsApp, Signal, ou encore Telegram : tous ont été vent debout contre l’amendement de la loi Narcotrafic les obligeant à installer une porte dérobée, cassant ainsi le chiffrement de bout en bout des conversations sur leurs apps respectives. Mais certains ont été plus insistants que d’autres : Signal comme Telegram ont menacé de quitter la France si l’amendement venait à passer. Pour Meredith Whittaker, présidente de Signal, les choses ont le mérite d’être claires :
Nous ne pouvons accepter aucune porte dérobée, quelle que soit sa forme. Les communications ne respectent pas les limites juridictionnelles. Une faille créée en France devient donc un vecteur pour quiconque souhaite saper les solides garanties de confidentialité de Signal.
De son côté, Pavel Durov, patron de Telegram, n’en dit pas moins :
[...] il est techniquement impossible de garantir que seule la police puisse accéder à une porte dérobée. Une fois introduite, une telle porte peut être exploitée par d’autres – agents étrangers, hackers, etc. Résultat : les messages privés de tous les citoyens, même ceux qui respectent la loi, risquent d’être compromis. [...] C’est pourquoi Telegram a toujours été clair : nous préférons quitter un pays plutôt que de compromettre la sécurité de nos utilisateurs en installant des portes dérobées. Nous ne troquons pas la vie privée contre des parts de marché.
Le CEO de Telegram n’a pas hésité à envoyer un message à tous les utilisateurs de la messagerie. Capture MacGeneration.
Si les deux entreprises peuvent souffler, le répit semble pour autant n’être que de courte durée : après la France, c’est la Commission européenne qui se penche sur les capacités de chiffrement des messageries, et pourrait pousser Telegram à partir, cette fois, de l’UE entière. Pavel Durov en est bien conscient, indiquant que « La bataille est loin d’être terminée. Ce mois-ci, la Commission européenne a présenté une nouvelle proposition visant à affaiblir le chiffrement à l’échelle du continent. ».
Depuis les débuts d’Apple Intelligence, c’est ChatGPT qui tient le rôle de béquille pour pallier la faiblesse de Siri, qui est encore loin de pouvoir se battre avec les meilleurs bots conversationnels existants. Si de nombreux éléments montrent qu’il ne devrait pas rester seul, Sundar Pichai, CEO de Google, a confirmé durant l’audience du procès accusant la firme de pratiques anticoncurrentielles que la firme de Mountain View compte bien amener Gemini à Apple, comme le rapporte Reuters.
Sundar Pichai à la MWC 2015. Image Wikipedia/Maurizio Pesce, CC BY 2.0.
Ainsi, Alphabet espère trouver un accord avec Apple d’ici la mi-2025, permettant à Gemini de venir en complément de ChatGPT quand une requête trop complexe est envoyée à Siri. Si cet accord venait à être confirmé, il est fort probable qu’iOS 19 voie rapidement arriver le bot conversationnel de Google. En effet, Sundar Pichai, en plus de mentionner les discussions avec Cupertino, a ajouté qu’un déploiement était envisagé d’ici fin 2025, ce qui donne une convergence parfaite avec le prochain OS de l’iPhone.
Alors que depuis l’iPhone 12 Apple avait habitué les utilisateurs à la sortie d’une nouvelle couleur pour le printemps, l’iPhone 15 n’y a pas eu le droit, ni l’iPhone 16 : les deux gammes n’ont vu apparaître aucune nouvelle couleur à mi-chemin, que ce soit pour fêter le printemps, ou pour redonner vie à la gamme (Product)RED.
Un iPhone 13 mini (Product)RED, relique d’une époque révolue. Image MacGeneration.
Le 20 avril 2021, l’événement spécial « Spring Loaded » avait vu l’apparition d’un iPhone 12 violet. En mars 2022, le vert était apparu sur l’iPhone 13 durant la conférence « Peek Performance ». Et l’iPhone 14 a eu le droit à un jaune soleil en mars 2023. Si l’année dernière n’a pas vu de nouvelle couleur pour l’iPhone 15, cette année semble identique, l’iPhone 16e pouvant être considéré comme une nouveauté plus importante qu’un ajout de couleur.
De la même manière, l’iPhone 15 a vu disparaître la couleur rouge, présente depuis l’iPhone 7 pour aider l’œuvre créée entre autres par Bono, ami de longue date de Steve Jobs. En dehors de l’iPhone, cette initiative remonte même à 2006, avec la sortie d’une version spéciale de l’iPod nano de seconde génération.
Avec l’arrivée de l’iPhone 16e, il est fort possible qu’Apple réserve les annonces du printemps au renouvellement de cette gamme. Quant aux (Product)RED, leur époque semble bel et bien révolue.
Alors que ChatGPT est arrivé en version GPT-4o depuis quelque temps, OpenAI a décidé par la même occasion d’enlever son prédécesseur, GPT-4. Si l’objectif est de simplifier les choses, il semble que le passage de l’un à l’autre ne se fera pas sans heurts du côté des utilisateurs, l'entreprise ayant décidé d'opérer quelques changements, comme elle le signale dans un billet de blog.
Image OpenAI.
En effet, OpenAI a souhaité rendre les réponses de l’intelligence artificielle plus directes, mais surtout avec le moins possible de fioritures. Si pour la plupart des utilisateurs la chose passera inaperçue, ceux qui s’étaient habitués à converser avec le bot comme s’il s’agissait d’une personne à part entière pourraient avoir quelques difficultés avec la nouvelle version.
Bien entendu, tout n’est pas gravé dans le marbre, et l’entreprise va faire quelques ajustements. Cependant, elle rappelle clairement que le but de ChatGPT est certes « d’être utile, d’aider et d’être respectueux des différentes valeurs et expériences [des utilisateurs, mais] chacune de ces qualités comme l’aide ou le soutien moral peut avoir des effets secondaires indésirables ».
OpenAI souhaite avant tout éviter la « flagornerie » que pouvait avoir l’ancien modèle avec les utilisateurs, tout en prenant en compte les remontées qui lui seront faites pour ajuster le modèle. Dans un avenir proche, les utilisateurs devraient pouvoir ajuster par eux-mêmes certaines parties de la personnalité de l’assistant virtuel, pour mieux la faire correspondre à leurs attentes.
Il faut dire que le bot étant de nature polie, les utilisateurs ont tendance à lui rendre la politesse, ce qui n’arrange pas les affaires de l’entreprise : selon Sam Altman lui-même, le fait de dire « merci » ou « s’il vous plaît » à ChatGPT coûte des dizaines de millions de dollars à OpenAI...
Comme un virus saisonnier, les pirates par phishing reviennent de plus belle. Si la plupart d’entre nous se seraient bien passés de ce genre d’individus, malheureusement les multiples fuites de données personnelles arrivées ces derniers mois leur donnent l’occasion de non seulement se multiplier, mais en plus d’être plus crédibles.
Nom, prénom, adresse, IBAN... beaucoup de données bien réelles pour vous faire tomber dans le piège. Merci Alexandre pour la capture.
Depuis la fuite de données de Free, certains e-mail de hameçonnage, en plus de ne pas contenir de fautes (ce qui facilitait la détection auparavant...), contiennent maintenant de nombreuses données pouvant laisser croire à un service tout ce qu’il y a de plus officiel, avec vos nom, prénom, adresse, et même pour certains l’IBAN ! L’adresse mail utilisée peut encore aider quand vous avez utilisé un « mail poubelle » pour vous inscrire à tel ou tel service, mais il est de plus en plus difficile de distinguer un mail frauduleux d’une missive sérieuse.
Et si les mails étaient seuls... comme l’indique Clubic, les SMS vous invitant à reprogrammer une livraison sont, eux aussi, de plus en plus réalistes : moins de fautes (même si ce n’est pas encore parfait), site de plus en plus calqué sur l’original, numéro de colis crédible, proposition de dates correctes... tout est fait pour vous inciter à insérer les numéros de votre carte de crédit, pensant honnêtement recaler une date ou un lieu de livraison.
Les sites utilisés par les SMS de phishing sont de plus en plus propres... Image Clubic.
Entre les données récupérées par les fuites et le fait que les petits malins semblent avoir découvert l’usage du Bescherelle, méfiance ! Redoublez de vigilance !