↩ Accueil

Vue normale

Reçu aujourd’hui — 22 novembre 2025

Deux serrures connectées à leur plus bas prix : la Nuki Smart Lock Go à 99 € et l'Aqara U200 à 159 €

22 novembre 2025 à 11:24

Vous avez décidé de profiter des fêtes de fin d’année pour enfin passer à une serrure connectée pilotable depuis votre iPhone ? Bonne pioche : en ce moment, les deux marques phares que sont Nuki et Aqara, proposent actuellement des prix particulièrement intéressants.

Voici une petite sélection, du modèle le plus abordable au plus cher. Et comme toujours chez nous, la compatibilité HomeKit fait partie du cahier des charges.

La Nuki Smart Lock Go à 99 €

À ce prix-là, il est difficile de faire la fine bouche ! À l’occasion des fêtes de fin d’année, la Nuki Smart Lock Go est proposée au prix de 99 €, soit une réduction de 50 € sur le prix normal.

Sorti en début d’année, il s’agit d’une une version remise au goût du jour de la Smart Lock 4 qu’elle remplace. Elle conserve le design et le même système de fixation.

Comme sur les modèles plus récents, l’accès à distance reste en option. Il faudra débourser 49 € supplémentaires pour activer le pilotage en Wi-Fi ou en Thread directement depuis l’application du fabricant. Côté alimentation, la Smart Lock Go fonctionne par défaut avec quatre piles (fournies), mais il est aussi possible d’opter pour le PowerPack optionnel à 49 €, rechargeable en USB-C.

En résumé, une solution plus abordable pour ceux qui veulent s’équiper d’une serrure connectée Nuki sans viser le haut de gamme, tout en conservant l’essentiel des fonctions modernes.

La Serrure connectée U200 d’Aqara à 159 €

La serrure connectée Aqara U200 est en promotion à 159 € sur Amazon, son prix le plus bas à ce jour. Elle est vendue en temps normal 189 €. Contrairement à la Nuki Smart Lock Go, il s’agit d’un modèle complet avec un clavier à empreinte digitale et une batterie rechargeable. La grande spécificité de ce modèle, c’est la prise en charge de la fonction « Clés du domicile » d’Apple : vous pouvez enregistrer des clés virtuelles dans l’app Cartes et il suffira alors d’approcher votre iPhone ou votre Apple Watch du pavé numérique pour ouvrir la porte.

La U200 exploite Thread et Matter, les deux protocoles modernes dédiés à la domotique, pour se connecter efficacement au réseau domestique et s’intégrer à l’application Maison d’Apple (Apple TV ou HomePod requis pour Thread, autrement, le Bluetooth fait office de connexion de secours).

Test de la serrure connectée U200 d’Aqara : le premier modèle compatible « Clés du domicile » en Europe

Test de la serrure connectée U200 d’Aqara : le premier modèle compatible « Clés du domicile » en Europe

Lancé mi-2024 à 270 €, c’est toujours l’une des meilleures options pour qui veut une intégration profonde à l’iPhone et au reste de l’écosystème Apple. On regrettera juste une application perfectible en termes d’ergonomie.

Si vous pouvez vous passer notamment de la fonction « Clés du domicile », Aqara propose également la déclinaison Lite de l’U200 pour 89,99 €.

Deux serrures connectées à leur plus bas prix : la Nuki Smart Lock Go à 99 € et l'Aqara U200 à 159 €

22 novembre 2025 à 11:24

Vous avez décidé de profiter des fêtes de fin d’année pour enfin passer à une serrure connectée pilotable depuis votre iPhone ? Bonne pioche : en ce moment, les deux marques phares que sont Nuki et Aqara, proposent actuellement des prix particulièrement intéressants.

Voici une petite sélection, du modèle le plus abordable au plus cher. Et comme toujours chez nous, la compatibilité HomeKit fait partie du cahier des charges.

La Nuki Smart Lock Go à 99 €

À ce prix-là, il est difficile de faire la fine bouche ! À l’occasion des fêtes de fin d’année, la Nuki Smart Lock Go est proposée au prix de 99 €, soit une réduction de 50 € sur le prix normal.

Sorti en début d’année, il s’agit d’une une version remise au goût du jour de la Smart Lock 4 qu’elle remplace. Elle conserve le design et le même système de fixation.

Comme sur les modèles plus récents, l’accès à distance reste en option. Il faudra débourser 49 € supplémentaires pour activer le pilotage en Wi-Fi ou en Thread directement depuis l’application du fabricant. Côté alimentation, la Smart Lock Go fonctionne par défaut avec quatre piles (fournies), mais il est aussi possible d’opter pour le PowerPack optionnel à 49 €, rechargeable en USB-C.

En résumé, une solution plus abordable pour ceux qui veulent s’équiper d’une serrure connectée Nuki sans viser le haut de gamme, tout en conservant l’essentiel des fonctions modernes.

La Serrure connectée U200 d’Aqara à 159 €

La serrure connectée Aqara U200 est en promotion à 159 € sur Amazon, son prix le plus bas à ce jour. Elle est vendue en temps normal 189 €. Contrairement à la Nuki Smart Lock Go, il s’agit d’un modèle complet avec un clavier à empreinte digitale et une batterie rechargeable. La grande spécificité de ce modèle, c’est la prise en charge de la fonction « Clés du domicile » d’Apple : vous pouvez enregistrer des clés virtuelles dans l’app Cartes et il suffira alors d’approcher votre iPhone ou votre Apple Watch du pavé numérique pour ouvrir la porte.

La U200 exploite Thread et Matter, les deux protocoles modernes dédiés à la domotique, pour se connecter efficacement au réseau domestique et s’intégrer à l’application Maison d’Apple (Apple TV ou HomePod requis pour Thread, autrement, le Bluetooth fait office de connexion de secours).

Test de la serrure connectée U200 d’Aqara : le premier modèle compatible « Clés du domicile » en Europe

Test de la serrure connectée U200 d’Aqara : le premier modèle compatible « Clés du domicile » en Europe

Lancé mi-2024 à 270 €, c’est toujours l’une des meilleures options pour qui veut une intégration profonde à l’iPhone et au reste de l’écosystème Apple. On regrettera juste une application perfectible en termes d’ergonomie.

Si vous pouvez vous passer notamment de la fonction « Clés du domicile », Aqara propose également la déclinaison Lite de l’U200 pour 89,99 €.

Reçu hier — 21 novembre 2025

2026 : la feuille de route d’Apple pour le Mac (et elle est chargée)

21 novembre 2025 à 09:11

Il y a encore quelques années, de nombreux utilisateurs reprochaient à Apple l’absence de véritable roadmap. C’était d’ailleurs l’un des arguments souvent avancés pour expliquer les difficultés du Mac à s’imposer dans le monde de l’entreprise.

Aujourd’hui, entre les rumeurs persistantes et l’évolution désormais assez lisible des puces Apple Silicon, on dispose d’une vision relativement claire des plans d’Apple à 12–18 mois. Et tout indique que 2026 pourrait être un très bon cru pour le Mac.

Voici à quoi devrait ressembler l’année 2026 pour la gamme, qui s’annonce particulièrement dynamique dès ses premiers mois !

Début 2026 : MacBook Air et tous les MacBook Pro passent au M5

La transition vers le M5 a commencé le mois dernier avec le MacBook Pro 15” d’entrée de gamme. En toute logique, le MacBook Air devrait à son tour adopter cette nouvelle puce en début d’année prochaine.

Sur le papier, cette évolution promet un gain de performances notable, toujours dans un design aussi soigné. Reste toutefois une question : le MacBook Air, dépourvu de ventilateur, parviendra-t-il à exploiter pleinement une puce réputée plus exigeante thermiquement que ses prédécesseurs ?

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Apple pourrait également intégrer les mêmes améliorations de SSD que celles introduites sur le MacBook Pro M5. Des améliorations que l’on devrait en tout cas retrouver sur l’ensemble des MacBook Pro de la gamme attendus, eux aussi, début 2026.

Quand on observe les gains apportés par le MacBook Pro M5 standard, on imagine sans peine ce que pourraient donner les futures versions équipées de puces M5 Pro et M5 Max. Officiellement présentée comme un simple speed bump, cette génération pourrait néanmoins marquer un vrai bond en avant sur certains usages, notamment du côté de l’intelligence artificielle et des performances graphiques.

Le MacBook low-cost en début d’année également

Comment Apple va-t-elle appeler son fameux MacBook équipé d’un processeur d’iPhone ? Même si cette dénomination est moins dans l’air du temps, elle pourrait l’appeler MacBook Air SE. Ce serait un formidable clin d’œil au Mac iconique sorti à la fin des années 80.

Si vraiment, Apple veut insister sur le côté low cost (cela ne lui ressemble pas, mais…), elle pourrait l’appeler également le MacBook LC. Là aussi, le clin d’œil serait clair : le LC, ce fameux Macintosh « boîte à pizza » des années 90.

Ce MacBook à bas coût aurait en tout cas un écran d'environ 13 pouces, légèrement plus petit que le MacBook Air de 13,6 pouces.

À quoi ressemblerait le MacBook “low-cost” équipé d’une puce d’iPhone ?

À quoi ressemblerait le MacBook “low-cost” équipé d’une puce d’iPhone ?

Apple prévoit d'intégrer sa puce A18 Pro dans ce modèle, une puce que l'on a déjà vue dans les modèles iPhone 16 Pro. Cette puce est gravée sur le processus 3 nm de deuxième génération d'Apple, avec 8 Go de RAM et un support pour Apple Intelligence, promettant des performances améliorées.

Ce MacBook d'entrée de gamme sera équipé d'un écran LCD standard, sans technologie mini-LED ni taux de rafraîchissement ProMotion. Il pourrait être disponible dans des couleurs vives, à l'instar de l'iMac, avec des teintes comme l'argent, le bleu, le rose et le jaune. Il ne remplacera pas le MacBook Air, mais viendra compléter la gamme en tant qu'option plus abordable.

Premier semestre 2026 : un nouvel écran ?

Apple n’a pas lancé de nouvel écran depuis le Studio Display en 2022, mais deux nouveaux modèles seraient en développement et prévus pour 2026.

La prochaine génération du Studio Display pourrait conserver la taille d’écran de 27 pouces, mais avec une technologie mini-LED, remplaçant ainsi l’ancien LCD. Cela apporterait des améliorations notables en termes de HDR, de luminosité, de contraste et de rendu des couleurs. Le Studio Display actuel embarque une puce A13, mais la version à venir pourrait adopter la puce A19 Pro, utilisée dans l’iPhone 17 Pro.

Apple préparerait bien un successeur au Studio Display, avec une puce A19 Pro

Apple préparerait bien un successeur au Studio Display, avec une puce A19 Pro

Il semble qu'Apple développe deux écrans, mais il n’est pas encore clair s’il s’agira d’un Studio Display proposé en deux tailles différentes, ou bien d’un Studio Display et d’un successeur plus haut de gamme du Pro Display XDR. Il est aussi possible qu’Apple ait conçu deux modèles distincts, mais qu’un seul soit finalement commercialisé.

La question est de savoir si Apple présentera ses nouveaux écrans avec les MacBook Pro (donc plutôt en début d’année) ou avec les Mac de bureau (attendus plus tard dans l’année).

Mac mini et Mac Studio M5 aux alentours de la WWDC ?

Selon Mark Gurman, Apple préparerait une vague de mises à jour autour de la mi-2026 pour ses machines de bureau, avec un renouvellement à la fois du Mac mini et du Mac Studio.

Le Mac mini devrait passer aux puces M5 et M5 Pro, sans changement notable du design. Le boîtier introduit avec la génération précédente serait donc conservé, Apple se limitant à une évolution interne, comme souvent sur ce modèle.

Le Mac Studio évoluerait, lui aussi, sur la même période. Apple n’ayant pas décliné de puce M4 Ultra, la gamme sauterait directement cette étape pour proposer un modèle basé sur les puces M5 Max et M5 Ultra.

La gamme M5 pourrait bien avoir son Ultra, pour le Mac Pro et le Mac Studio

La gamme M5 pourrait bien avoir son Ultra, pour le Mac Pro et le Mac Studio

La version Max offrirait des gains significatifs en performances CPU et GPU face à la M5 standard, tandis que la version Ultra viendrait, comme à l’accoutumée, doubler ces capacités.

À ce stade, aucune autre nouveauté matérielle n’est évoquée concernant ces deux machines. Il s’agirait donc avant tout d’une mise à jour interne, sans évolution majeure du design ou du positionnement produit.

Un tout nouveau MacBook Pro à la fin de l’année en guise de one more thing

Alors qu’un rafraîchissement des MacBook Pro M5 Pro et M5 Max est attendu début 2026, Apple préparerait déjà une seconde mise à jour plus ambitieuse. Selon les dernières informations, un MacBook Pro entièrement repensé avec écran OLED serait dans les cartons, embarquant cette fois une puce M6 de nouvelle génération.

Son lancement exact reste flou : fin 2026 ou début 2027. Mais 2026 reste une hypothèse sérieuse. Si cela se confirme, ce serait une année à deux mises à jour du MacBook Pro, un scénario rare, déjà observé une seule fois en 2023.

OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire

OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire

Sur le plan du design, plusieurs évolutions majeures sont évoquées. Le MacBook Pro adopterait une caméra en poinçon, sans encoche, afin de maximiser la surface d’affichage. L’écran serait également tactile, une première sur un Mac, avec une charnière renforcée conçue pour rester stable lorsque l’utilisateur interagit directement avec la dalle.

Le châssis serait revu pour devenir plus fin et plus léger, tout en conservant un clavier et un trackpad traditionnels. L’écran tactile viendrait compléter l’interface existante, sans la remplacer.

Côté composants, la puce M6 pourrait être gravée en 2 nanomètres par TSMC, promettant d’importants gains en performances et en efficacité énergétique, avec à la clé une autonomie en nette hausse sans sacrifier la puissance.

Enfin, ce MacBook Pro OLED pourrait marquer une autre première dans l’histoire du Mac : l’arrivée de la connectivité 5G. Apple intégrerait pour l’occasion son futur modem maison, le C2, compatible mmWave et sub-6 GHz.

Encore une année sans Mac Pro ?

Si vous avez bien suivi : deux machines manquent à l’appel : l’iMac et le Mac Pro. Concernant le premier, il devrait a priori bien adopter le processeur M5. Le timing reste cependant très incertain. Concernant le Mac Pro, les perspectives sont clairement moins folichonnes. D’après les dernières rumeurs, Apple pourrait tout simplement en avoir fini avec sa station de travail.

Apple semble avoir tourné la page du Mac Pro

Apple semble avoir tourné la page du Mac Pro

2026 : la feuille de route d’Apple pour le Mac (et elle est chargée)

21 novembre 2025 à 09:11

Il y a encore quelques années, de nombreux utilisateurs reprochaient à Apple l’absence de véritable roadmap. C’était d’ailleurs l’un des arguments souvent avancés pour expliquer les difficultés du Mac à s’imposer dans le monde de l’entreprise.

Aujourd’hui, entre les rumeurs persistantes et l’évolution désormais assez lisible des puces Apple Silicon, on dispose d’une vision relativement claire des plans d’Apple à 12–18 mois. Et tout indique que 2026 pourrait être un très bon cru pour le Mac.

Voici à quoi devrait ressembler l’année 2026 pour la gamme, qui s’annonce particulièrement dynamique dès ses premiers mois !

Début 2026 : MacBook Air et tous les MacBook Pro passent au M5

La transition vers le M5 a commencé le mois dernier avec le MacBook Pro 14” d’entrée de gamme. En toute logique, le MacBook Air devrait à son tour adopter cette nouvelle puce en début d’année prochaine.

Sur le papier, cette évolution promet un gain de performances notable, toujours dans un design aussi soigné. Reste toutefois une question : le MacBook Air, dépourvu de ventilateur, parviendra-t-il à exploiter pleinement une puce réputée plus exigeante thermiquement que ses prédécesseurs ?

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Apple pourrait également intégrer les mêmes améliorations de SSD que celles introduites sur le MacBook Pro M5. Des améliorations que l’on devrait en tout cas retrouver sur l’ensemble des MacBook Pro de la gamme attendus, eux aussi, début 2026.

Quand on observe les gains apportés par le MacBook Pro M5 standard, on imagine sans peine ce que pourraient donner les futures versions équipées de puces M5 Pro et M5 Max. Officiellement présentée comme un simple speed bump, cette génération pourrait néanmoins marquer un vrai bond en avant sur certains usages, notamment du côté de l’intelligence artificielle et des performances graphiques.

Le MacBook low-cost en début d’année également

Comment Apple va-t-elle appeler son fameux MacBook équipé d’un processeur d’iPhone ? Même si cette dénomination est moins dans l’air du temps, elle pourrait l’appeler MacBook Air SE. Ce serait un formidable clin d’œil au Mac iconique sorti à la fin des années 80.

Si vraiment, Apple veut insister sur le côté low cost (cela ne lui ressemble pas, mais…), elle pourrait l’appeler également le MacBook LC. Là aussi, le clin d’œil serait clair : le LC, ce fameux Macintosh « boîte à pizza » des années 90.

Ce MacBook à bas coût aurait en tout cas un écran d'environ 13 pouces, légèrement plus petit que le MacBook Air de 13,6 pouces.

À quoi ressemblerait le MacBook “low-cost” équipé d’une puce d’iPhone ?

À quoi ressemblerait le MacBook “low-cost” équipé d’une puce d’iPhone ?

Apple prévoit d'intégrer sa puce A18 Pro dans ce modèle, une puce que l'on a déjà vue dans les modèles iPhone 16 Pro. Cette puce est gravée sur le processus 3 nm de deuxième génération d'Apple, avec 8 Go de RAM et un support pour Apple Intelligence, promettant des performances améliorées.

Ce MacBook d'entrée de gamme sera équipé d'un écran LCD standard, sans technologie mini-LED ni taux de rafraîchissement ProMotion. Il pourrait être disponible dans des couleurs vives, à l'instar de l'iMac, avec des teintes comme l'argent, le bleu, le rose et le jaune. Il ne remplacera pas le MacBook Air, mais viendra compléter la gamme en tant qu'option plus abordable.

Premier semestre 2026 : un nouvel écran ?

Apple n’a pas lancé de nouvel écran depuis le Studio Display en 2022, mais deux nouveaux modèles seraient en développement et prévus pour 2026.

La prochaine génération du Studio Display pourrait conserver la taille d’écran de 27 pouces, mais avec une technologie mini-LED, remplaçant ainsi l’ancien LCD. Cela apporterait des améliorations notables en termes de HDR, de luminosité, de contraste et de rendu des couleurs. Le Studio Display actuel embarque une puce A13, mais la version à venir pourrait adopter la puce A19 Pro, utilisée dans l’iPhone 17 Pro.

Apple préparerait bien un successeur au Studio Display, avec une puce A19 Pro

Apple préparerait bien un successeur au Studio Display, avec une puce A19 Pro

Il semble qu'Apple développe deux écrans, mais il n’est pas encore clair s’il s’agira d’un Studio Display proposé en deux tailles différentes, ou bien d’un Studio Display et d’un successeur plus haut de gamme du Pro Display XDR. Il est aussi possible qu’Apple ait conçu deux modèles distincts, mais qu’un seul soit finalement commercialisé.

La question est de savoir si Apple présentera ses nouveaux écrans avec les MacBook Pro (donc plutôt en début d’année) ou avec les Mac de bureau (attendus plus tard dans l’année).

Mac mini et Mac Studio M5 aux alentours de la WWDC ?

Selon Mark Gurman, Apple préparerait une vague de mises à jour autour de la mi-2026 pour ses machines de bureau, avec un renouvellement à la fois du Mac mini et du Mac Studio.

Le Mac mini devrait passer aux puces M5 et M5 Pro, sans changement notable du design. Le boîtier introduit avec la génération précédente serait donc conservé, Apple se limitant à une évolution interne, comme souvent sur ce modèle.

Le Mac Studio évoluerait, lui aussi, sur la même période. Apple n’ayant pas décliné de puce M4 Ultra, la gamme sauterait directement cette étape pour proposer un modèle basé sur les puces M5 Max et M5 Ultra.

La gamme M5 pourrait bien avoir son Ultra, pour le Mac Pro et le Mac Studio

La gamme M5 pourrait bien avoir son Ultra, pour le Mac Pro et le Mac Studio

La version Max offrirait des gains significatifs en performances CPU et GPU face à la M5 standard, tandis que la version Ultra viendrait, comme à l’accoutumée, doubler ces capacités.

À ce stade, aucune autre nouveauté matérielle n’est évoquée concernant ces deux machines. Il s’agirait donc avant tout d’une mise à jour interne, sans évolution majeure du design ou du positionnement produit.

Un tout nouveau MacBook Pro à la fin de l’année en guise de one more thing

Alors qu’un rafraîchissement des MacBook Pro M5 Pro et M5 Max est attendu début 2026, Apple préparerait déjà une seconde mise à jour plus ambitieuse. Selon les dernières informations, un MacBook Pro entièrement repensé avec écran OLED serait dans les cartons, embarquant cette fois une puce M6 de nouvelle génération.

Son lancement exact reste flou : fin 2026 ou début 2027. Mais 2026 reste une hypothèse sérieuse. Si cela se confirme, ce serait une année à deux mises à jour du MacBook Pro, un scénario rare, déjà observé une seule fois en 2023.

OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire

OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire

Sur le plan du design, plusieurs évolutions majeures sont évoquées. Le MacBook Pro adopterait une caméra en poinçon, sans encoche, afin de maximiser la surface d’affichage. L’écran serait également tactile, une première sur un Mac, avec une charnière renforcée conçue pour rester stable lorsque l’utilisateur interagit directement avec la dalle.

Le châssis serait revu pour devenir plus fin et plus léger, tout en conservant un clavier et un trackpad traditionnels. L’écran tactile viendrait compléter l’interface existante, sans la remplacer.

Côté composants, la puce M6 pourrait être gravée en 2 nanomètres par TSMC, promettant d’importants gains en performances et en efficacité énergétique, avec à la clé une autonomie en nette hausse sans sacrifier la puissance.

Enfin, ce MacBook Pro OLED pourrait marquer une autre première dans l’histoire du Mac : l’arrivée de la connectivité 5G. Apple intégrerait pour l’occasion son futur modem maison, le C2, compatible mmWave et sub-6 GHz.

Encore une année sans Mac Pro ?

Si vous avez bien suivi : deux machines manquent à l’appel : l’iMac et le Mac Pro. Concernant le premier, il devrait a priori bien adopter le processeur M5. Le timing reste cependant très incertain. Concernant le Mac Pro, les perspectives sont clairement moins folichonnes. D’après les dernières rumeurs, Apple pourrait tout simplement en avoir fini avec sa station de travail.

Apple semble avoir tourné la page du Mac Pro

Apple semble avoir tourné la page du Mac Pro

AirDrop : Apple va-t-il fermer la porte à Android ?

21 novembre 2025 à 06:58

Google a surpris son monde hier en ouvrant une passerelle permettant de partager facilement des fichiers entre un iPhone et un Pixel 10. Concrètement, une mise à jour logicielle rend interopérables AirDrop et son équivalent sur Android, Quick Share.

Les Pixel 10 de Google partagent des données avec les iPhone via AirDrop

Les Pixel 10 de Google partagent des données avec les iPhone via AirDrop

Le silence d’Apple…

Passé l’effet de surprise, une question s’est rapidement imposée : comment une telle passerelle a-t-elle pu être mise en place sur le plan technique ? D’autant que si Google a multiplié les prises de parole à ce sujet, Cupertino, de son côté, brille par son silence.

De quoi alimenter un scénario qui a vite circulé sur les réseaux : et si Google avait développé cette fonctionnalité sans l’accord d’Apple ? Interrogé par Android Authority, le groupe a réagi via un communiqué :

Nous avons accompli cela grâce à notre propre implémentation. Celle-ci a été minutieusement examinée et validée par nos équipes internes en charge de la confidentialité et de la sécurité, et nous avons également fait appel à une société tierce spécialisée en sécurité pour tester la solution par des tests d’intrusion.

Autrement dit, Google a développé cette solution de son côté. Apple a-t-il été consulté d’une manière ou d’une autre ? Difficile à dire. Derrière cette initiative, on retrouve en tout cas une volonté claire : rapprocher les utilisateurs des deux plateformes et s’attaquer au fameux « syndrome de la bulle verte », qui irrite une partie du public. Voici ce qu’un porte-parole de Google a déclaré peu après le lancement de cette fonctionnalité :

Notre objectif est d’offrir à nos utilisateurs une expérience de partage de fichiers simple et sécurisée, quelle que soit la personne avec laquelle ils communiquent. Comme pour le RCS et les alertes de traqueurs inconnus, nous accueillons toujours favorablement les opportunités de collaboration afin de résoudre les problèmes d’interopérabilité entre iOS et Android

Que va faire Apple ?

Comme nous l’expliquions récemment, les relations entre Apple et Google sont complexes. Les deux sociétés savent parfois travailler main dans la main, comme on l’a vu avec l’intégration du RCS dans Messages, la détection des traqueurs inconnus ou encore la simplification du transfert de cartes SIM entre smartphones. À l’inverse, sur certains terrains, elles se rendent coup pour coup.

Apple miserait sur Gemini pour relancer Siri

Apple miserait sur Gemini pour relancer Siri

Manifestement, cette affaire « AirDrop » relève plutôt de la seconde catégorie. Jusqu’ici, Cupertino n’a jamais vu d’un très bon œil les initiatives visant à créer des passerelles non officielles entre iPhone et Android, surtout lorsqu’elles empiètent sur ses services maison. L’épisode Beeper en est un bon exemple.

Beeper Mini a trouvé comment amener iMessage à Android, sans failles de sécurité

Beeper Mini a trouvé comment amener iMessage à Android, sans failles de sécurité

En rétro-ingénierant iMessage et ses mécanismes de chiffrement, l’application était parvenue à faire apparaître des bulles bleues sur Android. Une prouesse technique, mais qu’Apple avait rapidement neutralisée en bloquant l’accès à ses serveurs.

Beeper voulait centraliser toutes les messageries

Le cas de Google est toutefois d’une autre ampleur. D’abord par son poids : on ne parle pas d’une start-up, mais de l’un des géants du secteur. Ensuite par la méthode : l’annonce est publique, le déploiement déjà amorcé, et la fonctionnalité présentée comme officielle, avec un volet sécurité mis en avant.

Pourquoi le cas Google n’est pas celui de Beeper

Surtout, le contexte a changé. AirDrop est aujourd’hui dans le viseur de la Commission européenne, qui souhaite voir émerger de la concurrence sur iOS. L’objectif affiché de Bruxelles est clair : renforcer l’interopérabilité entre plateformes.

Dans ce cadre, une réaction brutale de la part d’Apple lui donnerait du grain à moudre. À l’inverse, tolérer — même tacitement — cette « porte dérobée » offrirait à la firme un argument politique à faire valoir. Une sorte de partie de billard à plusieurs bandes, à haut risque.

Entre les pressions réglementaires croissantes, notamment en Europe, et les débats récurrents autour de l’ouverture de son écosystème, un blocage frontal de cette interopérabilité pourrait aujourd’hui coûter plus cher à Apple qu’un simple laisser-faire. Reste à voir si Cupertino choisira de temporiser… ou de replonger dans un bras de fer.

En lançant ce projet, Google savait très probablement que le terrain était miné. Et sur ce terrain-là, le coup est plutôt bien joué.

AirDrop : Apple va-t-il fermer la porte à Android ?

21 novembre 2025 à 06:58

Google a surpris son monde hier en ouvrant une passerelle permettant de partager facilement des fichiers entre un iPhone et un Pixel 10. Concrètement, une mise à jour logicielle rend interopérables AirDrop et son équivalent sur Android, Quick Share.

Les Pixel 10 de Google partagent des données avec les iPhone via AirDrop

Les Pixel 10 de Google partagent des données avec les iPhone via AirDrop

Le silence d’Apple…

Passé l’effet de surprise, une question s’est rapidement imposée : comment une telle passerelle a-t-elle pu être mise en place sur le plan technique ? D’autant que si Google a multiplié les prises de parole à ce sujet, Cupertino, de son côté, brille par son silence.

De quoi alimenter un scénario qui a vite circulé sur les réseaux : et si Google avait développé cette fonctionnalité sans l’accord d’Apple ? Interrogé par Android Authority, le groupe a réagi via un communiqué :

Nous avons accompli cela grâce à notre propre implémentation. Celle-ci a été minutieusement examinée et validée par nos équipes internes en charge de la confidentialité et de la sécurité, et nous avons également fait appel à une société tierce spécialisée en sécurité pour tester la solution par des tests d’intrusion.

Autrement dit, Google a développé cette solution de son côté. Apple a-t-il été consulté d’une manière ou d’une autre ? Difficile à dire. Derrière cette initiative, on retrouve en tout cas une volonté claire : rapprocher les utilisateurs des deux plateformes et s’attaquer au fameux « syndrome de la bulle verte », qui irrite une partie du public. Voici ce qu’un porte-parole de Google a déclaré peu après le lancement de cette fonctionnalité :

Notre objectif est d’offrir à nos utilisateurs une expérience de partage de fichiers simple et sécurisée, quelle que soit la personne avec laquelle ils communiquent. Comme pour le RCS et les alertes de traqueurs inconnus, nous accueillons toujours favorablement les opportunités de collaboration afin de résoudre les problèmes d’interopérabilité entre iOS et Android

Que va faire Apple ?

Comme nous l’expliquions récemment, les relations entre Apple et Google sont complexes. Les deux sociétés savent parfois travailler main dans la main, comme on l’a vu avec l’intégration du RCS dans Messages, la détection des traqueurs inconnus ou encore la simplification du transfert de cartes SIM entre smartphones. À l’inverse, sur certains terrains, elles se rendent coup pour coup.

Apple miserait sur Gemini pour relancer Siri

Apple miserait sur Gemini pour relancer Siri

Manifestement, cette affaire « AirDrop » relève plutôt de la seconde catégorie. Jusqu’ici, Cupertino n’a jamais vu d’un très bon œil les initiatives visant à créer des passerelles non officielles entre iPhone et Android, surtout lorsqu’elles empiètent sur ses services maison. L’épisode Beeper en est un bon exemple.

Beeper Mini a trouvé comment amener iMessage à Android, sans failles de sécurité

Beeper Mini a trouvé comment amener iMessage à Android, sans failles de sécurité

En rétro-ingénierant iMessage et ses mécanismes de chiffrement, l’application était parvenue à faire apparaître des bulles bleues sur Android. Une prouesse technique, mais qu’Apple avait rapidement neutralisée en bloquant l’accès à ses serveurs.

Beeper voulait centraliser toutes les messageries

Le cas de Google est toutefois d’une autre ampleur. D’abord par son poids : on ne parle pas d’une start-up, mais de l’un des géants du secteur. Ensuite par la méthode : l’annonce est publique, le déploiement déjà amorcé, et la fonctionnalité présentée comme officielle, avec un volet sécurité mis en avant.

Pourquoi le cas Google n’est pas celui de Beeper

Surtout, le contexte a changé. AirDrop est aujourd’hui dans le viseur de la Commission européenne, qui souhaite voir émerger de la concurrence sur iOS. L’objectif affiché de Bruxelles est clair : renforcer l’interopérabilité entre plateformes.

Dans ce cadre, une réaction brutale de la part d’Apple lui donnerait du grain à moudre. À l’inverse, tolérer — même tacitement — cette « porte dérobée » offrirait à la firme un argument politique à faire valoir. Une sorte de partie de billard à plusieurs bandes, à haut risque.

Entre les pressions réglementaires croissantes, notamment en Europe, et les débats récurrents autour de l’ouverture de son écosystème, un blocage frontal de cette interopérabilité pourrait aujourd’hui coûter plus cher à Apple qu’un simple laisser-faire. Reste à voir si Cupertino choisira de temporiser… ou de replonger dans un bras de fer.

En lançant ce projet, Google savait très probablement que le terrain était miné. Et sur ce terrain-là, le coup est plutôt bien joué.

Reçu avant avant-hier

Le guide 2025 des accessoires Localiser : les meilleurs traqueurs pour tout retrouver

20 novembre 2025 à 17:45

En l’espace de quelques années, les AirTags se sont imposés dans le quotidien de nombreux utilisateurs. Lorsqu’on y a goûté, il devient difficile de s’en passer tant le réseau Localiser brille par sa précision.

Le principal défaut des AirTags, finalement, reste leur prix : 29,99 € l’unité et 110 € le pack de quatre. Et encore, il s’agit là de tarifs en promotion : Apple vend le traqueur 39 € (et on a déjà vu de meilleures offres par le passé). Mais si vous souhaitez acheter des AirTags en particulier, mieux vaut patienter : la deuxième génération est attendue d’un moment à l’autre.

Qu

Qu'attendre des AirTag 2, promis avant la fin de l'année ?

Si vous voulez des traqueurs en format jeton, c'est-à-dire qui s'accrochent à des clés ou se glissent dans un sac, il y a un large choix de modèles compatibles. Les traqueurs tiers perdent la localisation précise à courte distance, qui reste l'apanage des AirTags (et qui nécessite un iPhone récent, sauf le 16e), mais tous les modèles intègrent a minima un trou pour accrocher le traqueur à des clés (par exemple), alors qu'Apple impose une housse pour cet usage basique.

Si les modèles noname se trouvaient uniquement sur Aliexpress et autres (comme l'iTag) il y a quelques années, vous trouverez facilement des modèles à bas prix sur Amazon — comme ici, à 17 € les quatre — ou tout simplement dans les chaînes de magasins spécialisés. Action, Kruidvat et d'autres proposent des traqueurs dans le même ordre de prix (vers 5 € pièce), mais ils ont généralement quelques défauts... et ne sont pas disponibles en ligne. Ils font le boulot pour retrouver un objet perdu grâce au réseau d'Apple, mais la finition est moyenne, l'autonomie plus faible que chez Apple (plutôt de l'ordre de six mois lors de nos tests empiriques) et ils manquent parfois de stabilité (vous devrez parfois enlever et remettre la pile). Nous n'allons pas vous les déconseiller pour autant : si vous êtes conscients des limites, ils font le travail demandé pour un prix très faible.

Des traqueurs noname.

Entre les AirTags et les modèles à très bas prix, il y a quelques marques qui tentent de trouver une place. Nous pouvons citer eufy — nous avons testé un de leurs modèles — ou Ugreen (nous les avons aussi testés). Les traqueurs eufy ou Ugreen valent entre 10 et 15 € lors des promotions (9 € chez Ugreen pour le Black Friday) et dans les deux cas, vous pourrez en obtenir quatre pour à peu près le prix d'un seul AirTag (35 € chez eufy, 30 € chez Ugreen). Ils offrent une meilleure finition, une petite protection contre les projections d'eau et — selon nos essais — une bien meilleure autonomie. Un de nos traqueurs eufy a par exemple fonctionné presque 18 mois sur une pile CR2032, avec une vérification régulière de son fonctionnement. Eufy a aussi ajouté quelques fioritures avec une app iOS dédiée, alors qu'Ugreen, pour les amateurs, a aussi une gamme pour les smartphones Android ou les smartphones Samsung et une variante qui se recharge en USB-C. Il faut aussi évoquer Chipolo, une marque qui propose plus de fonctions sur ses traqueurs (comme une compatibilité Android) mais qui sont à un prix trop proche des AirTags (35 €, 28 € pendant le Black Friday) pour devenir réellement intéressants.

Les modèles eufy sont très efficaces.
Test du Chipolo Pop, le traqueur Bluetooth multi-réseau (Apple ou Google) qui innove

Test du Chipolo Pop, le traqueur Bluetooth multi-réseau (Apple ou Google) qui innove

Les traqueurs pour portefeuille

Ces petites balises ne sont cependant pas adaptées à tous les usages. Il est par exemple assez difficile de les glisser dans un portefeuille. Les différents fabricants ont donc pensé à ce cas de figure, avec trois générations de produits. La première génération (comme la carte d'eufy) est à éviter : ce sont des cartes jetables, qui offrent une bonne autonomie (deux à trois ans) avec un compromis gênant : la batterie n'est pas amovible ni rechargeable. Une fois qu'elle est vide, il faut donc en racheter un. La seconde génération intègre la possibilité de charger la batterie, avec un câble USB et une interface généralement propriétaire. Un choix intéressant, mais il faudra évidemment éviter de perdre le chargeur. Enfin, quelques modèles proposent aussi une charge en Qi. C'est une solution pratique, le même chargeur qu'un smartphone suffit, mais qui a le défaut de réduire un peu l'autonomie.

Test de trois traqueurs Localiser en format carte de crédit : Eufy, Pebblebee et Rolling Square

Test de trois traqueurs Localiser en format carte de crédit : Eufy, Pebblebee et Rolling Square

Le produit le plus simple — et le moins cher — est encore à mettre au crédit d'Ugreen. Vendu moins de 20 €, le FineTrack Slim Smart Finder Tag peut se glisser dans un portefeuille sans le déformer et le prix est correct. La carte se recharge avec un câble USB propriétaire, mais la marque offre un bon suivi, et le produit est bien fini. Eufy propose une carte équivalente pour environ 25 €, avec les mêmes contraintes sur la charge, mais avec le choix d'une prise USB-C femelle, qui simplifie les choses.

Nomad propose également une gamme intéressante avec la Tracking Card Air (35 €, 26 € en promotion) et la nouvelle Tracking Card Pro (45 €). Cette dernière, tout juste annoncée, est particulièrement bien pensée. L’accessoiriste a conçu son traqueur de manière à ce qu’il ressemble presque trait pour trait à une carte de crédit. Futé ! Et surtout, les deux cartes se rechargent en Qi (et donc en MagSafe), ce qui simplifie les choses : vous ne risquez pas de perdre l'adaptateur USB propriétaire que vous n'utilisez qu'une fois tous les six mois.

Nomad Tracking Card Pro : un AirTag en forme de carte bancaire

Nomad Tracking Card Pro : un AirTag en forme de carte bancaire

Des traqueurs pour son vélo

Les vols de vélo sont malheureusement un véritable fléau. Même avec un bon antivol, on n’est jamais totalement à l’abri d’une mauvaise surprise. Les traqueurs Bluetooth qui utilisent le réseau d'Apple offrent donc un bon compromis entre efficacité et prix. Les modèles GPS de certaines grandes marques sont un peu plus efficaces et peuvent vous communiquer directement la position du vélo, mais ils sont aussi beaucoup plus onéreux et moins discrets.

C’est là que l’idée d’AirBell devient intéressante. La marque propose une sonnette de vélo dotée d’un compartiment suffisamment discret pour accueillir un AirTag. L’accessoire est vendu un peu moins de 20 € (12 € pendant le Black Friday), ce qui en fait une solution simple et efficace pour ajouter une couche de sécurité supplémentaire à votre deux-roues, avec une solution assez discrète.

Le fabricant commercialise également une version Pro, plus aboutie encore. Cette fois, nul besoin d’insérer votre propre AirTag : le traqueur est directement intégré dans la sonnette. Le tout pour 45 € (31 € en promotion). L’AirBell Pro peut fonctionner jusqu’à un an sans intervention. Et lorsque la batterie arrive en fin de vie, le remplacement est on ne peut plus simple : l’appareil utilise une pile bouton CR2032, un format standard que l’on trouve partout et qui se change en quelques secondes. Le fabricant Obrit dispose d'un modèle du même genre, qui se visse directement sur le cadre et offre une autonomie de trois ans selon le constructeur, avec deux piles CR2032, le tout pour 45 €.

Le chargeur de voyage qu’on n’oublie plus

Il vous est sans doute déjà arrivé d’oublier un chargeur dans un hôtel ou un Airbnb. Twelve South pense avoir trouvé la parade avec le PlugBug, le tout premier chargeur USB-C compatible avec le réseau Localiser d’Apple. Livré avec plusieurs adaptateurs internationaux, ce bloc est pensé pour les déplacements et pour éviter ce genre de mésaventure. Proposé en deux versions (50 W ou 120 W), il vise clairement les voyageurs qui veulent un chargeur unique capable d’alimenter tous leurs appareils…

Image : iGeneration

Le chargeur 50 W doté de deux ports USB-C est proposé actuellement à 60 €.

Test du PlugBug 120 W : un chargeur de voyage qu’on n’oublie pas grâce à Localiser

Test du PlugBug 120 W : un chargeur de voyage qu’on n’oublie pas grâce à Localiser

Le cadenas que vous pouvez localiser

Les voyages peuvent aussi rimer avec stress : bagage perdu, valise oubliée à l’aéroport… Pour limiter ces désagréments, SBS propose le Track My Lock, un cadenas TSA doté d’un localisateur compatible avec le réseau Localiser d’Apple. Il offre un verrouillage à combinaison à trois chiffres, une alarme sonore d’environ 60 dB et se recharge en USB-C, le tout dans un format compact (45 × 43 × 14 mm) et léger. L’idée est simple mais pertinente : associer protection physique et géolocalisation intelligente pour permettre aux utilisateurs de suivre leurs bagages sur leur iPhone ou d’être alertés en cas d’oubli. Prix : 30 € (20 € en promotion). Pour les bagages, Satechi a aussi des modèles prévus pour se fixer sur une valise, avec de quoi écrire votre nom et une batterie rechargeable en Qi. Ils sont vendus 45 €, mais la marque est une habituée des promotions et il est à 30 € pour le Black Friday.

Alors que le réseau Find My fête son cinquième anniversaire, les accessoiristes font preuve d’une imagination toujours plus débordante. On trouve ainsi un porte-clés compatible Find My que nous avons testé —, un étui à lunettes pour ne pas les perdre (chez Satechi, comptez 50 € et 35 € en promotion), un traqueur à placer sur les lunettes (là aussi, nous l'avons testé) vendu 45 €, un porte-cartes MagSafe (35 €) ou encore un portefeuille qui intègre nativement la technologie de localisation d’Apple. Les bonnes idées ne manquent pas. Par contre, pensez toujours à avoir un bon stock de piles CR2032 en promo à 9,11 €…

Pour terminer, rappelons que certains produits Apple participent aussi au réseau et fonctionnent de facto comme un traqueur. Le porte-cartes MagSafe de la marque peut se localiser s'il est détaché de son iPhone, et le boîtier des AirPods Pro 3 est un traqueur comme un autre.

Black Friday : le Soundcore Space One Pro en promo à 129 €, son meilleur prix

20 novembre 2025 à 10:20

Il y a quelques semaines, nous avions consacré un article à ce casque encore assez méconnu. Depuis, le Soundcore Space One Pro d’Anker a fait du chemin : en l’espace de quelques jours, il s’est imposé comme l’une des sensations du moment. Son ascension doit beaucoup à un comparatif où il est arrivé en tête devant plusieurs modèles premium, y compris les AirPods Max. De quoi attirer l’attention sur un produit vendu bien moins cher que les grandes marques établies.

Qualité audio : les AirPods Max battus par un casque à moins de 200 €

Qualité audio : les AirPods Max battus par un casque à moins de 200 €

Habituellement proposé à 200 €, le Soundcore Space One Pro bénéficie aujourd’hui d’une nouvelle promotion pour le Black Friday. Il passe à 129 €, soit son meilleur prix à ce jour. Et à ce niveau tarifaire, ses arguments deviennent particulièrement solides. Les performances audio, déjà saluées par le panel d’ingénieurs du son sélectionné par Wired, ne sont que l’un des aspects de ce casque.

Image : Soundcore

On y trouve également une réduction de bruit active efficace, la prise en charge du codec LDAC pour une meilleure qualité en sans-fil, une autonomie annoncée jusqu’à 60 heures, une recharge rapide, ainsi que six microphones destinés à améliorer la clarté des appels. Le tout dans un design pliable, avec des réglages suffisamment généreux pour convenir à la plupart des morphologies. Deux coloris sont proposés : noir ou blanc crème.

Beats Studio Pro à 189 €, Beats Pill à 95… Jusqu

Beats Studio Pro à 189 €, Beats Pill à 95… Jusqu'a 50 % de réduction sur les produits Beats !

La marque ne se limite pas à ce modèle. Si vous cherchez un équipement à petit prix, Soundcore propose des alternatives aux AirPods autour de 17 €, une enceinte Bluetooth à 30 €, ou encore un casque plus classique autour de 29 €. Le catalogue comprend aussi les Liberty 4 Pro, vendus 96 €, positionnés comme une alternative aux AirPods Pro avec un boîtier doté d’un petit écran affichant le niveau de batterie. Pour le sport, les AeroFit 2 (80 €) et les Sport X20 (63 €) complètent l’offre.

Apple Store : un Black Friday du 28 novembre au 1er décembre sans iPhone 17 ni MacBook Pro M5

20 novembre 2025 à 09:40

On l’ignore souvent, mais Apple fait partie des premières entreprises à avoir introduit le concept de Black Friday en France. Et, comme chaque année, la firme ne dérogera pas à la tradition : un long week-end de « promotions » est prévu du vendredi 28 novembre au lundi 1er décembre.

Soyons clairs : si vous êtes en quête des meilleures affaires sur des produits Apple, ce n’est pas ici qu’il faut regarder. La concurrence proposera comme toujours des offres bien plus agressives, souvent avec de vraies remises immédiates. Le Black Friday version Apple reste avant tout une opération symbolique — utile pour compléter un achat, mais rarement l’endroit où l’on fait le meilleur deal.

Pour cette édition 2025 du Black Friday, le montant de la carte cadeau dépendra de la gamme choisie. Les paliers sont les suivants :

  • jusqu’à 60 € pour l’achat d’un iPhone 16 ou d’un iPhone 16e,
  • jusqu’à 80 € pour un iPad A16, un iPad Air ou un iPad mini,
  • jusqu’à 150 € pour un MacBook Pro (M4 Pro ou M4 Max, mais pas M5), un MacBook Air, un iMac ou un Mac mini,
  • jusqu’à 40 € pour une Apple Watch SE 3 ou Series 11,
  • jusqu’à 60 € pour des AirPods 4, AirPods Pro 3 ou AirPods Max,
  • jusqu’à 40 € pour un Apple TV 4K ou un HomePod,
  • jusqu’à 40 € pour les modèles Beats Studio Pro, Powerbeats Pro 2, Beats Solo 4, Beats Studio Buds+ ou Beats Pill,
  • jusqu’à 20 € pour un Magic Keyboard pour iPad Air, un Magic Keyboard Folio pour iPad (A16) ou un Apple Pencil Pro.

Précisons qu’il s’agit à chaque fois du montant maximal par catégorie. Le détail modèle par modèle ne sera communiqué qu’à partir du vendredi 28 novembre, au lancement officiel de l’opération.

Les nouveautés Apple exclues pour la plupart du Black Friday

A priori, nombre de nouveautés sorties récemment ne sont pas concernées par cette promotion. Apple ne mentionne pas les nouveaux iPhone, les nouveaux iPad Pro, l’Apple Watch Ultra 3, ainsi que le MacBook Pro M5.

Même l’iPhone Air n’est pas évoqué !

Bien aimable, Apple propose sur sa page dédiée d’ajouter un événement à votre calendrier de manière à ce que vous ne l’oubliiez pas !

Attendre l’iPhone 18 Pro ou craquer pour le 17 Pro ? Nos dix raisons pour trancher

20 novembre 2025 à 07:19

C’est la bonne surprise de l’année pour Apple. Les ventes d’iPhone ont à nouveau le vent en poupe depuis plusieurs mois. Le phénomène s’est accéléré avec la commercialisation de la nouvelle gamme à la rentrée, qui se trouve enfin assez facilement dans le commerce.

Où trouver un iPhone 17, 17 Pro et 17 Pro Max en stock ?

Où trouver un iPhone 17, 17 Pro et 17 Pro Max en stock ?

La question que vous vous posez peut-être après avoir lu nos tests — et les nombreux retours glanés sur Internet — est toute simple : faut-il craquer dès aujourd’hui pour un iPhone 17 Pro ou patienter jusqu’à son successeur l’année prochaine ? Pour vous aider à trancher, nous avons rassemblé plusieurs arguments qui devraient vous permettre d’y voir plus clair.

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

5 bonnes raisons de patienter jusqu’à la sortie de l’iPhone 18 Pro

Des puces plus performantes : l’A20 et un modem Apple

Les iPhone 18 Pro devraient inaugurer la puce A20, gravée en 2 nm par TSMC. Ce nouveau procédé augmente la densité de transistors et doit apporter un gain d’environ 15 % en performances et 30 % en efficacité énergétique par rapport à l’A19 des iPhone 17. Apple utiliserait en plus le packaging WMCM, qui permet d’intégrer la RAM directement sur la même plaquette que le CPU, le GPU et le Neural Engine. À la clé : des échanges plus rapides et une meilleure autonomie, notamment pour les tâches liées à Apple Intelligence.

Les iPhone 18 Pro auraient un A20 gravé très fin et une 5G sans Qualcomm

Les iPhone 18 Pro auraient un A20 gravé très fin et une 5G sans Qualcomm

Un modem Apple au coeur de l’iPhone 18 Pro

Autre nouveauté attendue : l’arrivée du modem C2, qui succédera au C1 de l’iPhone 16e et au C1X de l’iPhone Air. Cette génération prendrait en charge le mmWave 5G aux États-Unis, tout en offrant de meilleurs débits et une consommation réduite. Cette avancée s’inscrit dans la stratégie d’Apple visant à réduire progressivement sa dépendance à Qualcomm et à reprendre le contrôle complet de la partie réseau de l’iPhone.

Image : Apple

Jusqu’à présent, l’adoption de ces modems maison a été une réussite que ce soit sur l’iPhone 16e comme sur l’iPhone Air

Le modem C1 s’en sort mieux que le Qualcomm de l’iPhone 16 en conditions réelles

Le modem C1 s’en sort mieux que le Qualcomm de l’iPhone 16 en conditions réelles

De gros progrès dans la photo et la vidéo en perspective

Les iPhone 18 Pro pourraient introduire une nouveauté importante côté photo : un objectif à ouverture variable. D’après Digital Chat Station, le capteur principal de 48 Mpx — la caméra « Fusion » chez Apple — serait capable de modifier physiquement l’ouverture, une première sur l’iPhone. Jusqu’ici, les modèles Pro utilisaient un ƒ/1,78 fixe, sans possibilité d’ajustement.

iPhone 18 Pro : Apple préparerait un objectif à ouverture variable pour le module principal

iPhone 18 Pro : Apple préparerait un objectif à ouverture variable pour le module principal

Avec une ouverture variable, l’utilisateur pourrait contrôler l'entrée de la lumière et par exemple fermer le diaphragme pour obtenir une profondeur de champ plus marquée, comme sur un reflex. Ming-Chi Kuo avait déjà évoqué cette évolution fin 2024.

Un capteur photo développé en collaboration avec Samsung

Apple préparerait aussi un changement notable dans la chaîne d’approvisionnement. Samsung travaillerait sur un capteur empilé en trois couches, baptisé PD-TR-Logic, et destiné à l’iPhone 18 selon la rumeur. Ce type d’architecture permettrait une meilleure réactivité, moins de bruit et une dynamique plus large. Jusqu’ici, Sony fournissait l’intégralité des capteurs photo de l’iPhone : l’arrivée de Samsung marquerait donc un tournant pour la gamme 2026.

Un bouton Commande de l’appareil photo plus fiable

Apple envisagerait de revoir le bouton Camera Control sur les iPhone 18 afin d’en réduire le coût de fabrication. Sur l’iPhone 17, ce bouton combine une surface en cristal de saphir avec deux technologies : un capteur capacitif pour les gestes et un capteur de pression pour distinguer tapotements, pressions et balayages.

Les iPhone 18 auraient un bouton moins cher pour commander l

Les iPhone 18 auraient un bouton moins cher pour commander l'appareil photo

Selon le compte Weibo Instant Digital, Apple supprimerait la couche capacitive pour ne conserver que la détection de pression, tout en préservant l’ensemble des fonctionnalités associées. L’objectif n’aurait donc rien à voir avec une réduction des usages, mais plutôt avec une volonté d’alléger une pièce jugée trop coûteuse — et responsable d’un volume important de réparations après-vente.

Bouton "Commande de l’appareil photo". Image iGeneration.

5 bonnes raisons de ne pas attendre l’iPhone 18 Pro

La vie est trop courte, et les fêtes de fin d’année approchent à grands pas. Si vous avez envie de vous faire plaisir — ou d’offrir un cadeau vraiment marquant — l’iPhone 17 Pro constitue déjà un choix très solide. Les promotions commencent à tomber, le modèle est parfaitement stabilisé, et il n’y a plus d’effet de première génération à redouter. Bref, voici quelques bonnes raisons de ne pas attendre sagement 2026 et de céder dès maintenant aux sirènes de l’iPhone 17 Pro.

Image : iGeneration

Un appareil toujours plus lourd et plus épais

Un premier bruit de couloir laisse entendre que l’iPhone 18 Pro Max serait légèrement plus épais que l’iPhone 17 Pro Max. Cette évolution porterait son poids autour de 243 grammes, dépassant ainsi l’iPhone 14 Pro Max, qui reste pour l’instant le modèle le plus lourd jamais vendu par Apple.

L’iPhone 18 Pro Max encore plus épais et plus lourd ?

L’iPhone 18 Pro Max encore plus épais et plus lourd ?

La raison de ce châssis épaissi n’est pas encore connue, mais la piste la plus crédible reste l’intégration d’une batterie plus généreuse. L’autonomie, c’est toujours bon à prendre — à condition que l’iPhone ne se transforme pas non plus en haltère de poche.

Un design qui ne devrait que peu évoluer

Les premières rumeurs laissent entendre que la gamme iPhone 18 Pro conservera en grande partie le design introduit avec l’iPhone 17 Pro. Le bloc photo arrière resterait identique, avec ce « plateau » surélevé et ses trois objectifs disposés en triangle. Les diagonales d’écran ne bougeraient pas non plus : 6,3 pouces pour l’iPhone 18 Pro et 6,9 pouces pour le modèle Max, des formats inaugurés avec la génération 16 Pro.

L’iPhone 18 Pro pourrait bien abandonner son dos au design bicolore

L’iPhone 18 Pro pourrait bien abandonner son dos au design bicolore

Le seul changement esthétique pourrait concerner le dos. Apple envisagerait d’abandonner le dos bicolore de l’iPhone 17 Pro pour revenir à quelque chose de plus uniforme. Le procédé de fabrication du verre arrière aurait été revu afin de réduire l’écart de teinte entre le Ceramic Shield 2 et le cadre en aluminium, afin d’obtenir un rendu plus cohérent.

Argument ultime : c’est la seule année où vous pourrez acheter un iPhone orange

Un iPhone qui pourrait coûter plus cher

C’est une marotte qui revient systématiquement sur le tapis dès qu’un nouvel iPhone approche : va-t-il coûter plus cher ? La question peut sembler routinière, presque mécanique, mais cette fois, le contexte lui donne un relief particulier. Toute l’industrie fait face à une flambée des coûts sur plusieurs composants clés, à cause de l’intelligence artificielle. Le passage au procédé de gravure 2 nm pour les puces A20, déjà présenté comme « salé » en interne, renchérirait sensiblement la facture : TSMC appliquerait un tarif en nette hausse par rapport aux générations actuelles.

Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l

Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l'iPhone 18 Pro

À cela s’ajoutent des tensions sur d’autres éléments critiques — mémoire, modules photo — dont les prix repartent à la hausse après plusieurs trimestres de calme. Dans ce contexte, l’hypothèse d’un iPhone 18 Pro plus onéreux en 2026 n’est plus seulement un marronnier : c’est un scénario que Cupertino devra peut-être réellement assumer.

L’iPhone 17 Pro, c’est du costaud !

L’iPhone 17 Pro a suffisamment de recul pour que l’on sache exactement à quoi s’en tenir. Plusieurs mois après sa sortie, les retours utilisateurs sont largement positifs : les performances sont au rendez-vous, l’autonomie est satisfaisante, la chauffe reste bien maîtrisée et aucun défaut de conception majeur n’a émergé. Les premières mises à jour d’iOS ont par ailleurs corrigé les petits comportements de jeunesse observés lors du lancement.

En clair, l’iPhone 17 Pro est un modèle abouti. Il est maintenant largement disponible dans le commerce et les premières promotions commencent à faire leur apparition.

L’année prochaine, la star ce sera l’iPhone pliable

Tout laisse à penser que 2026 devrait être marquée par l’arrivée du premier iPhone pliable. Il ne fait guère de doute que ce sera la star médiatique de la rentrée prochaine. Ce modèle ouvrirait une nouvelle catégorie dans la gamme, avec un écran d’environ 7,8 pouces une fois déplié, proche de l’iPad mini, et une interface réadaptée pour ce format.

Dans un tel contexte, l’iPhone 18 Pro risque mécaniquement d’être relégué au second plan. Mais le souci, c’est que vous risquez d’être tenté par ce modèle et que celui-ci devrait couter extrêmement cher.

Promo : les AirPods 4 avec réduction de bruit à 155 €

19 novembre 2025 à 15:30

Les AirPods 4 ANC bénéficient aujourd’hui d’un tarif particulièrement intéressant : 155 €. En temps normal, ce modèle est vendu 199 €. À titre de comparaison, la version sans réduction de bruit affiche un prix public de 149,99 €. Il s’agit ici d’un modèle d’import, mais dans le cas d’écouteurs, cela ne change rien à l’usage : ils restent parfaitement fonctionnels et entièrement compatibles avec l’écosystème Apple.

Test des AirPods 4 : double dose de confort

Test des AirPods 4 : double dose de confort

Pour rappel, les AirPods 4 adoptent un design largement revu, inspiré de celui des modèles Pro, avec des tiges plus courtes et des commandes tactiles intégrées pour piloter la lecture ou gérer les appels. Apple a également renforcé la robustesse de ces écouteurs, désormais certifiés IP54, ce qui leur permet de mieux résister à la poussière et aux éclaboussures.

Image : WatchGeneration

Côté technique, cette génération est animée par la puce H2 — la même que celle des AirPods Pro 2 et 3 — ce qui améliore la transmission, la latence et l’efficacité énergétique. La version ANC bénéficie d’une réduction de bruit dynamique capable de s’adapter automatiquement selon l’environnement. Les AirPods 4 prennent également en charge l’audio spatial avec suivi de tête et sont fournis avec un boîtier USB-C, compatible charge sans fil, offrant jusqu’à 30 heures d’autonomie en complément des 5 heures assurées par les écouteurs.

À 155 €, cette version ANC constitue une option intéressante pour celles et ceux qui cherchent un modèle Apple récent avec réduction de bruit sans pour autant se tourner vers les AirPods Pro.

Promo : l’ancien chargeur Apple USB-C 140 Watts à 65 €

19 novembre 2025 à 09:04

Amazon propose une promotion intéressante sur l’adaptateur Apple USB-C 140 W sorti en 2021. Celui-ci est affiché à 65 €, soit 40 € de remise. C’est le chargeur le plus puissant du catalogue Apple, pensé pour offrir une recharge rapide et efficace, que ce soit au bureau, à la maison ou en déplacement.

Cet adaptateur peut être utilisé aussi bien avec un câble USB-C vers MagSafe 3 qu’avec un câble USB-C classique. Grâce à la charge rapide, il suffit d’une trentaine de minutes pour qu’un MacBook Pro 16 pouces complètement à plat remonte à 50 % de batterie.

À noter que le câble de charge n’est pas inclus, comme souvent chez Apple, mais l’adaptateur reste une valeur sûre pour celles et ceux qui recherchent un accessoire fiable, certifié, et capable de délivrer toute la puissance nécessaire aux machines professionnelles les plus récentes.

À ce tarif, c’est une bonne occasion d’équiper un MacBook Pro, ou simplement de se constituer un chargeur de secours capable d’encaisser tous les usages.

MacBook Pro M5 : quel chargeur choisir maintenant qu’Apple ne le fournit plus ?

MacBook Pro M5 : quel chargeur choisir maintenant qu’Apple ne le fournit plus ?

Précisons enfin qu’Apple commercialise depuis peu un nouveau modèle, apparu avec les MacBook Pro M4. Celui-ci est vendu 113 €, ce qui permet de mesurer l’intérêt de la promotion actuelle sur la version 2021.

iWork attend toujours son bain de Liquid Glass

19 novembre 2025 à 08:31

Voilà maintenant deux mois que iOS 26 et sa nouvelle interface Liquid Glass sont disponibles pour le grand public. Présentée comme une refonte majeure, cette interface avait suscité de nombreuses critiques lors de son dévoilement. Pourtant, sa mise à disposition n’a pas provoqué la vague de protestations que certains anticipaient. Apple semble toutefois avoir entendu une partie des remarques : à chaque mise à jour intermédiaire, l’entreprise ajuste par petite retouche Liquid Glass.

Apple : une transition sans stress

Avec le recul, ce qui surprend le plus, c’est la vitesse à laquelle les applications d’Apple adoptent les nouveaux canons graphiques d’iOS 26. Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, ce ne sont pas les grands ténors de la suite Apple qui ont bénéficié les premiers d’un lifting Liquid Glass. La firme a plutôt commencé par moderniser ses « petites » apps : Apple Invitation, TestFlight ou encore Assistance Apple ont été parmi les premières à inaugurer la nouvelle interface.

Apple adapte des apps supplémentaires à Liquid Glass, mais ça ne leur réussit pas forcément

Apple adapte des apps supplémentaires à Liquid Glass, mais ça ne leur réussit pas forcément

Ces dernières semaines, le mouvement s’est étendu à des applications plus ambitieuses. GarageBand, Photomator ou Pixelmator Pro ont chacun reçu une mise à jour qui se résume avant tout à une nouvelle icône. Le dernier en date à profiter de cette transition est Apple Configurator, qui rejoint à son tour la longue liste des apps déjà passées à Liquid Glass.

Assistance Apple : avant / après. Image iGeneration

iWork a fait l’impasse sur sa mise à jour estivale

Pendant ce temps, les applications de la suite iWork — Pages, Numbers et Keynote — attendent désespérément leur refonte. Apple a pourtant l’habitude de mettre à jour sa suite bureautique dans la foulée d’une nouvelle version d’iOS. L’an dernier, par exemple, Pages 14.2 était sorti dès le 17 septembre.

Historiquement, Apple maintenait un rythme assez régulier, avec trois mises à jour par an : une première au printemps (mars/avril), une seconde autour de juin, puis une troisième en septembre ou octobre. Ces dernières années, ce cycle était devenu presque prévisible.

Image : Apple

En 2024, la firme avait même accéléré la cadence avec une quatrième mise à jour publiée en décembre, visiblement dictée par l’arrivée d’Apple Intelligence. Un effort conséquent… qui contraste fortement avec le silence radio de cette année autour d’iWork.

Cette année, les trois applications bureautiques d’Apple ont bien reçu leur habituelle mise à jour de printemps, mais ont ensuite fait l’impasse sur leur version estivale. Un silence inhabituel qui interroge : que se passe-t-il exactement ? Comment expliquer un tel retard alors que toutes les autres apps maison basculent progressivement vers Liquid Glass ?

Keynote à la sauce Liquid Glass existe bel et bien

Keynote à la sauce Liquid Glass existe bel et bien

Que prépare vraiment Apple pour iWork ?

Quelques indices commencent toutefois à émerger. Des captures d’écran qui circulent ici ou là sur le site d’Apple montrent qu’une version de Keynote intégralement revue à la sauce Liquid Glass est bel et bien dans les tuyaux. Le chantier semble donc en cours… mais visiblement plus complexe ou plus ambitieux que prévu.

Keynote à la sauce Liquid Glass

On peut supposer — ou espérer — que cette prochaine mise à jour s’accompagnera d’une véritable refonte en profondeur des trois applications d’iWork. L’un des enjeux majeurs pour une suite bureautique moderne est désormais l’intégration de l’intelligence artificielle générative. Microsoft a déjà pris une longueur d’avance sur ce terrain : dans Excel, Copilot peut aider l’utilisateur à rédiger des formules, analyser un tableau ou structurer une feuille de calcul. Et Redmond a annoncé fin septembre l’arrivée d’un « mode Agent » dans Excel et Word, capable de découper automatiquement une requête complexe en plusieurs étapes tout en explicitant son raisonnement.

Microsoft renforce l’IA dans Word et Excel avec un nouveau mode Agent

Microsoft renforce l’IA dans Word et Excel avec un nouveau mode Agent

Est-ce une piste pour l’équipe de développement d’Apple ? On en doute tant la firme apparaît aujourd’hui en retrait sur ces sujets.

Pour l’heure, le mystère demeure. Mais si Apple prend plus de temps que d’habitude, c’est peut-être — espérons-le — pour livrer une version véritablement ambitieuse de Pages, Numbers et Keynote. Une refonte qui ne se limiterait pas à Liquid Glass, mais qui redonnerait un nouvel élan à une suite longtemps appréciée pour sa simplicité, sa cohérence et son élégance.

Une vidéo inédite révèle la vision de Steve Jobs pour Pixar

19 novembre 2025 à 07:10

À l’approche du trentième anniversaire de Toy Story, le Steve Jobs Archive a mis en ligne une vidéo « jamais vue auparavant » montrant Steve Jobs évoquant les débuts et la vision de Pixar. L’entretien, daté du 22 novembre 1996 — exactement un an après la sortie du film en salles — offre un éclairage rare sur la manière dont Jobs percevait alors l’avenir de l’animation numérique.

Dans cette séquence, Jobs revient sur les débuts du studio, sur le modèle économique qu’il entendait construire et sur la dynamique entre technologie et créativité. Pour rappel, Pixar est né lorsque Steve Jobs a racheté la division « Computer Graphics » de Lucasfilm en 1986, avant d’en faire une entreprise indépendante. Il en restera l’actionnaire majoritaire jusqu’à la vente du studio à Disney, en 2006.

Ce que révèle la vidéo inédite de 1996

La vidéo montre un Steve Jobs enthousiaste, convaincu depuis longtemps que l’animation par ordinateur allait bouleverser l’industrie. Il explique comment il a rencontré Ed Catmull et pourquoi il a immédiatement adhéré à leur objectif : réaliser le premier long-métrage entièrement animé par ordinateur. Toy Story, sorti dix ans plus tard, a donné raison à cette intuition.

Jobs raconte également qu’il ne se considérait pas comme un cinéaste, mais comme quelqu’un chargé de créer l’environnement où les talents — qu’ils viennent d’Hollywood ou de la Silicon Valley — peuvent travailler ensemble en véritables pairs. Cette rencontre entre deux cultures, selon lui, est ce qui a rendu Pixar unique et lui a permis d’attirer les meilleurs profils.

Il revient aussi sur le modèle économique du studio. À l’époque, l’animation numérique servait surtout à produire des publicités ou des effets spéciaux pour d’autres, un secteur peu rentable car déconnecté des recettes finales. Pixar a choisi de sortir de ce modèle pour se concentrer sur des films dont le studio possédait une part significative, notamment grâce à un accord alors inédit avec Disney. Jobs insiste sur un point transmis par le géant de l’animation : un film doit être « monté » avant d’être animé, l’animation étant trop coûteuse pour tout refaire.

« L’histoire avant la technologie » : la philosophie Pixar selon Jobs

Enfin, Jobs rappelle une conviction forte : la technologie vieillit, mais une grande histoire, elle, traverse les générations. Si Toy Story doit encore être regardé dans soixante ans, ce ne sera pas en raison de ses prouesses techniques, mais grâce à son récit et à ses personnages. « Aucune technologie ne peut transformer une mauvaise histoire en une bonne », résume-t-il.

Cette vidéo inédite rappelle à quel point Steve Jobs considérait Pixar comme un projet profondément culturel, et pas seulement technologique. Pour lui, le studio représentait l’alliance idéale entre créativité, innovation et exigence narrative.

Le Steve Jobs Archive, lancé en 2022 par Laurene Powell Jobs, Tim Cook et Jony Ive, s’est donné pour mission de préserver et de transmettre cet héritage. Le site rassemble des citations, des photos, des vidéos et des e-mails de Steve Jobs, et propose des bourses destinées aux jeunes créateurs qui souhaitent, eux aussi, « penser différent ». Cette vidéo inédite sur Pixar s’inscrit parfaitement dans cette démarche, en offrant un nouveau regard sur une période clé de la carrière de Jobs.

Pixar fête son trentième anniversaire

Pixar fête son trentième anniversaire

WhatsApp va enfin gérer le multi-compte sur iPhone

19 novembre 2025 à 06:55

Mais que se passe-t-il dans la division WhatsApp ? Depuis quelques semaines, l’application de messagerie semble lancée dans un marathon de nouveautés : prise en charge des messageries tierces, arrivée d’un compagnon pour l’Apple Watch, mise à jour majeure de l’app Mac… 

Destins croisés : WhatsApp s’améliore sur Mac et se dégrade sur Windows

Destins croisés : WhatsApp s’améliore sur Mac et se dégrade sur Windows

WhatsApp va pouvoir discuter avec d’autres messageries en Europe

WhatsApp va pouvoir discuter avec d’autres messageries en Europe

WhatsApp enfin disponible sur Apple Watch

WhatsApp enfin disponible sur Apple Watch

Et ce n’est pas tout. Avez-vous déjà tenté de gérer plusieurs comptes sur un seul appareil ? C’est un enfer. Aujourd’hui, la seule solution consiste à installer WhatsApp Business pour prendre en charge un second compte. Autant dire que ce n’est ni élégant, ni vraiment pratique.

Bonne nouvelle : cette galère touche visiblement à sa fin. WhatsApp est en train de tester la prise en charge native du multi-compte dans la version bêta de son application pour iOS. Plusieurs testeurs voient désormais apparaître une nouvelle section dans les réglages, baptisée « Account List », qui permet d’ajouter un second compte puis de passer de l’un à l’autre en un instant, sans déconnexion et sans manipulation compliquée. Chaque compte conserve son historique, ses préférences et ses réglages de notification, ce qui rend le changement totalement transparent.

Concrètement, le passage d’un compte à l’autre se fait en un geste. Dès lors que deux profils sont configurés, il suffit d’ouvrir la section « Account List » dans les réglages pour afficher ses comptes et en sélectionner un. WhatsApp a même prévu des raccourcis : un appui prolongé sur l’onglet Réglages affiche directement la liste des comptes, et un double-tap sur cet onglet bascule immédiatement vers le compte suivant. La transition se fait sans redémarrage de l’application et sans authentification supplémentaire.

WhatsApp a également repensé ses notifications. Lorsqu’un message arrive sur un compte inactif, l’alerte indique clairement de quel profil elle provient. Cette précision évite toute confusion et permet de garder une vue claire sur ses différentes identités, qu’elles soient personnelles ou professionnelles.

Le multi-compte, une brique essentielle avant les pseudos

Si WhatsApp accélère aujourd’hui sur cette fonctionnalité, c’est aussi parce que l’app prépare une évolution majeure : la possibilité d’utiliser un pseudonyme en guise d’identifiant, à la place du numéro de téléphone. Cette transition nécessitera forcément une gestion plus souple de plusieurs identités au sein de la même application. Le multi-compte natif apparaît ainsi comme une brique essentielle de cette future architecture.

WhatsApp prépare l

WhatsApp prépare l'utilisation des pseudos pour masquer le numéro de téléphone

Pour le moment, cette nouveauté n’est disponible qu’à un nombre limité de testeurs via TestFlight. WhatsApp n’a pas encore communiqué de date de lancement officielle, mais l’avancement des tests laisse clairement penser que la sortie générale ne devrait plus tarder.

Magic Keyboard, Trackpad, chargeur 140 W : une vague de mises à jour firmware chez Apple

19 novembre 2025 à 06:07

Après avoir distribué il y a quelques jours de nouveaux firmwares pour les AirPods Pro 2 et les tout nouveaux AirPods Pro 3, Apple poursuit sur sa lancée et met cette fois à jour plusieurs accessoires de sa gamme. Sont concernés : l’adaptateur secteur USB-C 140 W, le Magic Trackpad 2, les Magic Trackpad USB-C, ainsi que les Magic Keyboard avec Touch ID — en version classique ou avec pavé numérique. Ces mises à jour restent assez rares, ce qui rend cette diffusion notable.

Apple sort un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3, en prévision d’iOS 26.2

Apple sort un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3, en prévision d’iOS 26.2

Pour le moment, Apple ne détaille pas le contenu de ces nouvelles versions. L’entreprise se contente d’indiquer qu’elles sont disponibles, sans préciser les correctifs ou optimisations qu’elles contiennent. Dans la majorité des cas, il s’agit de petites améliorations de performances, de corrections de stabilité ou de mises à jour de sécurité. Le Magic Keyboard, par exemple, n’avait pas reçu de mise à jour depuis plus d’un an, ce qui laisse supposer qu’un certain nombre de correctifs dormaient dans les cartons.

Les accessoires USB-C lancés en octobre 2024 reçoivent ici leur tout premier firmware. Jusqu’à présent, le Magic Trackpad USB-C fonctionnait avec la version 3.1.1, tandis que les Magic Keyboard USB-C — qu’ils intègrent Touch ID ou Touch ID avec pavé numérique — utilisaient la version 3.1.4. Après cette mise à jour, tous ces modèles passent désormais à la même version 3.1.9, ce qui homogénéise la gamme.

Les anciens accessoires ne sont pas oubliés. Le Magic Trackpad 2, qui reposait jusqu’ici sur le firmware 3.1.1, passe à la version 3.1.8. De son côté, l’adaptateur secteur USB-C 140 W évolue de la version 1.4.73 à la version 1.4.84. Ces révisions restent très discrètes, mais elles contribuent le plus souvent à améliorer la fiabilité des accessoires au fil du temps.

Comme toujours pour ce type de produits, les utilisateurs n’ont strictement rien à faire. Les mises à jour s’installent automatiquement lorsque l’accessoire est connecté ou appairé à un appareil fonctionnant sous iOS, iPadOS, macOS, tvOS ou visionOS. Tant que l’accessoire est utilisé normalement, la mise à jour finit par s’appliquer en arrière-plan, sans aucune intervention manuelle.

Asus ProArt PA27JCV : un écran 5K à 675 €, son plus bas prix à ce jour

18 novembre 2025 à 19:46

L’Asus ProArt PA27JCV est proposé aujourd’hui à 675 €, soit son prix le plus bas jamais constaté sur Amazon. En temps normal, il est vendu 799,99 €. À ce prix, c’est l’un des écrans 5K les plus abordables du marché. Ce modèle de 27 pouces affiche une définition 5K de 5 120 × 2 880 pixels. Il dispose d’une dalle IPS 60 Hz offrant une bonne homogénéité lumineuse, un traitement antireflet et une restitution des couleurs solide pour cette gamme tarifaire. La luminosité atteint environ 400 nits, un niveau suffisant pour un environnement de travail standard. Le contraste se situe autour de 1 000:1. Le moniteur couvre un espace colorimétrique étendu (sRGB 100%, AdobeRGB 95%, DCI-P3 99%) avec une calibration d’usine assurant une justesse correcte dès la sortie du carton.

Image : MacGeneration

La connectique repose sur un port USB-C (65 W) permettant de recharger un ordinateur portable tout en transférant l’image, complété par un HDMI 2.0 et un DisplayPort 1.4. Le pied permet un réglage en hauteur, en pivot et en inclinaison, ce qui facilite son intégration sur un bureau.

Test de l’Asus ProArt PA27JCV : une alternative abordable à l

Test de l’Asus ProArt PA27JCV : une alternative abordable à l'Apple Studio Display

Nous avions testé ce modèle à sa sortie et l’expérience s’était avérée très positive. L’Asus ProArt PA27JCV offre une expérience satisfaisante pour un usage professionnel général et pour les tâches créatives non expertes. La dalle affiche un rendu précis, avec des couleurs vives, une bonne lisibilité des polices et une luminosité correcte. L’homogénéité globale s’avère similaire à celle observée sur un iMac 27” Intel, ce qui permet de l’utiliser sereinement dans un environnement de travail exigeant sans devoir recourir à des écrans haut de gamme beaucoup plus onéreux. Les analyses plus poussées réalisées par des spécialistes de la colorimétrie ne mettent pas en avant de défauts majeurs, ce qui confirme la solidité technique de la dalle.

L’absence de Thunderbolt constitue l’un des principaux compromis du produit, mais elle reste cohérente avec son positionnement tarifaire. Les finitions en plastique rappellent qu’il s’agit d’un moniteur pensé avant tout pour rester posé sur un bureau, sans ambition de rivaliser avec les standards de fabrication d’Apple. Le pied réglable assure cependant une bonne ergonomie, ce qui compense la sobriété de la construction.

Pour celles et ceux qui recherchent un moniteur 5K polyvalent, précis et financièrement accessible, cet Asus ProArt PA27JCV à 675 € constitue une très belle opportunité !

Cloudflare en panne, de nombreux sites web et services inaccessibles

18 novembre 2025 à 15:54

Mise à jour 15:55 — Le problème est désormais résolu, assure Cloudflare. Les causes de cet incident n’ont toutefois pas encore été précisées.

Mise à jour 15:33 — Le problème n’est pas totalement résolu au moment où nous écrivons ces lignes. Dans sa dernière mise à jour, publiée à 15h22, Cloudflare indique « travailler toujours à la résolution de ce problème ». Reste que de nombreux sites sont revenus en ligne, à commencer par X. Les difficultés rencontrées par Cloudflare entraînent par ailleurs des ralentissements généralisés sur une partie du web.

Article original — Grosse secousse sur le web ce midi : une panne d’envergure chez Cloudflare a rendu inaccessibles de très nombreux sites et services en ligne. En tentant de naviguer sur une multitude de plateformes, les utilisateurs ont constaté des erreurs de chargement, des pages blanches et des ralentissements massifs. Pour l’heure, l’origine exacte de la panne reste inconnue.

Sur son site, Cloudflare a communiqué à plusieurs reprises sans pour autant donner d’explication précise. À 12h48, l’entreprise indiquait « enquêter sur une dégradation interne de ses services », tout en précisant que certaines fonctionnalités pouvaient être affectées de manière intermittente. Cloudflare assurait alors être « concentrée sur le rétablissement du service ».

À 13h21, le ton se voulait un peu plus rassurant : Cloudflare évoquait un début de retour à la normale, tout en prévenant que les clients pouvaient toujours « observer un taux d’erreurs supérieur à la normale » le temps de finaliser les opérations de remédiation.

Nombre de services ont été touchés par cette panne !

Quand 20 % du web vacille

Pourquoi une panne chez Cloudflare a-t-elle autant d’impact ? Parce que l’entreprise occupe une place centrale dans l’infrastructure du web moderne. Elle fournit à des millions de sites des services de protection contre les attaques DDoS, d’optimisation du trafic et de mise en cache. Lorsqu’un acteur aussi incontournable trébuche, les effets se font ressentir à l’échelle mondiale : une partie du web devient tout simplement inaccessible.

La panne a touché un large éventail de services, notamment X, Discord, GitHub Pages, Shopify, OpenAI, ChatGPT, Slack, Feedly, mais aussi plusieurs sites d’actualités, forums et plateformes de streaming dépendant de l’infrastructure Cloudflare. Au total, Cloudflare revendique protéger près de 20 % du web. Il n’est donc pas surprenant de voir une telle pagaille. Ironie du sort, même Downdetector — l’outil habituellement utilisé pour suivre les pannes en temps réel — est lui aussi perturbé. Un signe supplémentaire de l’ampleur du problème.

Pour Apple, “le Mac n’a jamais été aussi bon” depuis Apple Silicon

18 novembre 2025 à 08:53

Quand faut-il fêter l’anniversaire des premiers Mac Apple Silicon ? Le 10 novembre, date de leur présentation, ou le 17 novembre, date de leur commercialisation ? Si nous avons plutôt retenu la première option, Greg Joswiak, lui, a choisi la seconde pour célébrer les cinq ans de cette architecture dans sa communication.

Image : BoliviaInteligente / Unsplash
Cinq ans avec un MacBook Air M1 : cinq ans de bonheur

Cinq ans avec un MacBook Air M1 : cinq ans de bonheur

Le responsable marketing d’Apple n’a pas mis les petits plats dans les grands pour marquer le coup, il s’est contenté d’un court message sur les réseaux sociaux.

Hard to believe it’s been five years since Apple silicon transformed the Mac. The performance, battery life, new designs, amazing features, and user creativity it unlocked have been remarkable. The impact has been profound, and the Mac has never been better!

— Greg Joswiak (@gregjoz) November 17, 2025

Que l’on traduira par :

Difficile de croire que cela fait déjà cinq ans qu’Apple Silicon a transformé le Mac. Les performances, l’autonomie, les nouveaux designs, les fonctionnalités incroyables et la créativité des utilisateurs que cela a rendue possible ont été remarquables. L’impact a été profond, et le Mac n’a jamais été aussi bon.

Cinq ans plus tard, un pari largement gagné

On rappellera qu’après des années de rumeurs, Apple avait officialisé en juin 2020, lors de la WWDC, son intention de migrer toute la gamme Mac vers ses propres puces, abandonnant progressivement les processeurs Intel. Pour aider les développeurs à se préparer à cette transition majeure, Apple avait mis à leur disposition un DTK, un Mac mini équipé d’une puce d’iPad. Puis, en novembre, la firme lançait ses premiers Mac dotés d’une puce M1 : le MacBook Pro 13 pouces, le MacBook Air et le Mac mini.

Du DTK au Mac mini, comment un iPad déguisé est devenu un Mac

Du DTK au Mac mini, comment un iPad déguisé est devenu un Mac

Pour le plus grand malheur d’Intel, le succès a été immédiat. Le gain de performances, notamment sur les portables, a été considérable. Et les tests d’autonomie sont vite devenus un cauchemar pour les testeurs, tant ces machines sont endurantes.

macOS Tahoe se prépare à la fin du x86 : vous pouvez bannir les app Intel

macOS Tahoe se prépare à la fin du x86 : vous pouvez bannir les app Intel

Des coques moins bêtes : Apple teste des protections avec commandes tactiles

18 novembre 2025 à 08:33

Apple travaillerait sur des coques d’iPhone capables d’agir comme de véritables interfaces tactiles secondaires, selon une rumeur en provenance de Chine.

D’après le leaker Instant Digital sur Weibo, la firme envisagerait de concevoir des coques pour ses modèles Pro intégrant directement des couches de capteurs tactiles.

Le leaker ne donne pas plus de détails, mais les pistes ne manquent pas dans les travaux déjà menés par Apple. Un brevet déposé en 2024 décrit en effet une « coque dotée d’entrées pour appareil électronique », pensée non pas comme une simple protection, mais comme une surface d’interaction.

Image : iGeneration

Le document évoque des zones sensibles au toucher — basées sur des capteurs capacitifs ou de pression — capables de déclencher des actions habituellement gérées par les boutons physiques de l’iPhone. Une fois la coque attachée, l’iPhone serait en mesure de la détecter et de rediriger certaines commandes : tap, pression, ou glissement sur la coque pourraient activer les fonctions système.

Le brevet détaille aussi la manière dont la coque communiquerait avec l’appareil, notamment via une identification et un échange de données par NFC. Certaines variantes vont plus loin et prévoient même l’intégration d’un lecteur biométrique, permettant par exemple à un capteur Touch ID situé dans la coque de déverrouiller certaines fonctions du téléphone.

Autrement dit, Apple a déjà exploré l’idée d’une coque servant d’extension aux commandes de l’iPhone. Ce concept prend d’autant plus de sens que l’entreprise travaillerait sur un iPhone bord à bord, sans bords apparents. Pour le modèle du 20e anniversaire, Apple envisagerait un écran entourant l’appareil sur ses quatre côtés.

L

L'iPhone 2027 serait l'aboutissement du rêve d'Apple depuis le premier modèle de 2007

Une telle approche pourrait laisser très peu de place aux boutons mécaniques. Plusieurs rapports indiquent d’ailleurs qu’Apple pourrait passer à des couches capacitives à l’état solide, permettant un design sans rupture visuelle — un terrain idéal pour une coque interactive.

Un concept qui colle avec un iPhone sans boutons

Avec des zones tactiles intégrées, la coque pourrait déplacer certaines commandes comme le volume ou les raccourcis photo vers des surfaces plus larges et plus ergonomiques, tout en limitant les faux contacts sur un appareil entièrement recouvert d’écran. En pratique, la coque apporterait les repères tactiles et les contrôles liés à la prise en main qu’un iPhone quasi dépourvu de boutons ne pourrait plus offrir seul.

Impossible de dire pour l’instant si ces travaux sont liés au futur modèle anniversaire, mais la convergence des rumeurs nourrit un ensemble de possibilités intéressantes autour de ce modèle attendu pour l’automne 2027.

Image : iGeneration

iPadOS 26.2 : retour du glisser-déposer pour Slide Over et Split View

18 novembre 2025 à 07:45

iPadOS 26 a profondément revu la gestion des apps sur iPad. Exit le duo Slide Over / Split View que les utilisateurs connaissaient depuis des années : Apple a tout remplacé par un nouveau système de fenêtres. Résultat, Slide Over avait tout simplement disparu et plusieurs gestes clés du Split View ne fonctionnaient plus. Un changement brutal, surtout pour celles et ceux qui utilisaient ces outils au quotidien.

Avec iPadOS 26.1, Apple a commencé à faire marche arrière en réintroduisant une première version — très simplifiée — de Slide Over. De quoi retrouver l’essentiel, même si de nombreux gestes rapides manquaient encore à l’appel. Les retours des testeurs étaient d’ailleurs unanimes : utile, oui, mais loin d’être complet.

La deuxième bêta d’iPadOS 26.1 restaure Slide Over

La deuxième bêta d’iPadOS 26.1 restaure Slide Over

Ce qui change dans iPadOS 26.2 bêta 3

Apple va plus loin dans la bêta 3 d’iPadOS 26.2. L’un des gestes les plus importants fait son retour : il est de nouveau possible de faire glisser une app depuis le Dock ou depuis Spotlight pour la placer directement en Slide Over ou en Split View. Ce simple geste était au cœur du multitâche sur des versions comme iPadOS 18, et son retour redonne immédiatement un sentiment de familiarité.

Image : MacRumors

En déplaçant l’icône, l’interface affiche clairement la zone où l’app va atterrir : gauche, droite, Slide Over ou fenêtre pleine. L’animation indique même quand on s’oriente vers une disposition en mosaïque. Le tout est bien plus fluide et naturel qu’au lancement d’iPadOS 26.

Comment fonctionne le multitâche amélioré

Vous pouvez déposer une app sur la partie gauche ou droite de l’écran pour créer une disposition de type Split View. Il est aussi possible de remplacer une fenêtre ouverte en en déposant une autre par-dessus, sans fermer l’app d’origine, qui reste disponible en arrière-plan. Une flexibilité qui manquait cruellement à iPadOS 26 lors de sa sortie.

Slide Over reste toutefois limité : impossible par exemple d’empiler plusieurs fenêtres Slide Over. Et il faut obligatoirement composer avec le nouveau système de fenêtres, en lieu et place du plein écran classique. Mais l’ensemble se rapproche nettement de ce que les habitués d’iPadOS attendaient.

Une évolution qui devrait rassurer les utilisateurs d’iPad

Avec iPadOS 26.2 bêta 3, Apple montre qu’elle écoute les retours. Les utilisateurs nostalgiques du multitâche façon iPadOS 18 retrouveront une expérience qui s’en rapproche fortement. Le retour du glisser-déposer pour Slide Over et Split View redonne de la souplesse à l’interface et remet en avant des gestes que beaucoup utilisaient quotidiennement.

Toutes les nouveautés d

Toutes les nouveautés d'iOS 26.2 bêta 3

Abidur Chowdhury : l’une des stars montantes du design quitte Apple

18 novembre 2025 à 07:20

Décidément, le terme « intelligence artificielle » doit provoquer des cauchemars chez les décideurs d’Apple. On connaissait déjà les ingénieurs qui filaient les uns après les autres chez Meta après avoir reçu un énorme package de la part de Mark Zuckerberg. Voilà que l’une des stars montantes du design chez Apple, Abidur Chowdhury, vient de quitter la firme de Cupertino pour rejoindre une startup spécialisée dans l’IA !

L’homme derrière l’iPhone Air

Son nom ne vous dit sans doute rien, mais vous avez peut-être déjà entendu sa voix si vous avez regardé le keynote de septembre : c’est lui qui présentait les choix de design de l’iPhone Air. Et ce n’est pas un hasard. Il a joué un rôle majeur dans la création de ce modèle. Si l’iPhone Air ne se vend pas aussi bien que prévu, beaucoup s’accordent à dire que c’est une réussite sur le plan du design.

Abidur Chowdhury fait partie de ces personnes que l’on avait recrutées au sein de l’équipe de design d’Apple pour succéder à Jony Ive et aux nombreux designers qui l’avaient suivi lorsqu’il a définitivement quitté Apple en 2019.

La division Design d’Apple en pleine mutation depuis le départ de Jony Ive

Depuis plusieurs années, l’équipe design d’Apple connaît une transition bien plus profonde qu’on ne l’imagine. Depuis l’ère Jony Ive, la quasi-totalité des membres historiques ont quitté le navire : certains sont partis à la retraite, d’autres ont rejoint des entreprises concurrentes — ou LoveFrom, le studio fondé par Ive — et une nouvelle génération de designers a progressivement pris la relève.

Cette vague de départs s’est accompagnée d’un réagencement interne. Jeff Williams, le directeur des opérations qui supervisait le design depuis plusieurs années, a quitté Apple récemment, tandis que la branche dédiée à l’interface, dirigée par Alan Dye, a elle aussi connu de nombreux mouvements.

Face à cette recomposition, Apple a revu sa gouvernance : les équipes design sont désormais rattachées directement à Tim Cook. Une évolution majeure, qui marque la fin d’une époque et le début d’une nouvelle phase, plus verticale, dans la manière dont Apple conçoit ses produits.

Toutes les nouveautés d'iOS 26.2 bêta 3

18 novembre 2025 à 06:50

Chaque bêta d’iOS 26.2 apporte son lot de petits et grands changements. La bêta 3 sortie hier soir n’échappe pas à la règle. Comme nous l’avons déjà vu, cette version introduit un nouveau mécanisme pour échanger des fichiers via AirDrop avec une personne qui ne figure pas dans son carnet d’adresses. Les Japonais, eux, pourront carrément remplacer Siri comme assistant par défaut !

Une troisième bêta pour iOS 26.2, macOS 26.2 et les autres

Une troisième bêta pour iOS 26.2, macOS 26.2 et les autres

Siri perd l

Siri perd l'exclusivité de son bouton au Japon avec iOS 26.2

AirDrop : iOS 26.2 introduit un code à usage unique pour envoyer des fichiers hors contacts

AirDrop : iOS 26.2 introduit un code à usage unique pour envoyer des fichiers hors contacts

Notifications d’hypertension

Selon les notes de version destinées aux développeurs, les notifications d’hypertension sont désormais accessibles via une nouvelle API. Les apps peuvent demander l’autorisation de lire les alertes générées par la fonction d’hypertension de l’Apple Watch.

Concrètement, cela signifie qu’une application tierce peut récupérer ces données dans l’app Santé : si l’Apple Watch déclenche une alerte liée à une tension trop élevée, votre application médicale peut en être informée automatiquement.

Confidentialité

Lors de la première connexion à votre compte Apple après l’installation d’iOS 26.2, un message d’alerte s’affiche pour signaler qu’Apple a mis à jour les informations de confidentialité liées aux comptes Apple. L’entreprise y décrit plus clairement la manière dont vos données personnelles sont collectées et utilisées.

Réglages de Liquid Glass

Lorsque vous activez la nouvelle option Liquid Glass « Tinted », qui réduit les effets de transparence, iOS affiche un avertissement : ce mode ne peut pas être utilisé en même temps que les options d’accessibilité « Réduire la transparence » et « Augmenter le contraste ».

Jeux

Une nouvelle fenêtre d’accueil apparaît dans l’app Jeux pour présenter les nouveautés d’iOS 26.2. Parmi les ajouts annoncés : des options de filtrage pour la bibliothèque de jeux, une meilleure navigation à la manette au sein de l’app, ainsi que la mise à jour en temps réel des scores de défis pendant les parties.

Rappels et alarmes

iOS 26.2 ajoute un petit rappel visuel concernant la possibilité de marquer une tâche comme urgente afin de déclencher une alarme. Cette fonctionnalité est nouvelle dans cette version. L’information apparaît lorsque vous ajoutez une entrée dans une liste pour la première fois.

iOS 26.2 bêta 1 : toutes les nouveautés

iOS 26.2 bêta 1 : toutes les nouveautés

iOS 26.2 bêta 2 : tour d’horizon des nouveautés

iOS 26.2 bêta 2 : tour d’horizon des nouveautés

Rendez-vous en décembre pour la version finale

Apple n’en a pas tout à fait terminé avec iOS 26.2. Avant d’arriver à la version finale, la firme devrait encore publier au moins une bêta supplémentaire afin d’ajuster les derniers détails, corriger les bugs persistants et peaufiner les nouveautés introduites ces dernières semaines. Sauf surprise, la version stable devrait être mise à disposition du grand public entre le 9 et le 16 décembre. La bêta publique, elle, devrait suivre d’ici 24 à 48 heures si tout se passe comme prévu.

Siri perd l'exclusivité de son bouton au Japon avec iOS 26.2

18 novembre 2025 à 06:01

Décidément, chaque bêta d’iOS 26.2 apporte des changements de taille. Avec cette version, les Japonais vont connaître de grandes évolutions : ils pourront utiliser d’autres moteurs de recherche par défaut, se tourner vers des plateformes concurrentes à l’App Store et remplacer Siri comme assistant par défaut.

 iOS 26.2 amorce l’ouverture des iPhone japonais aux boutiques tierces

iOS 26.2 amorce l’ouverture des iPhone japonais aux boutiques tierces

Aujourd’hui, un appui long sur le bouton droit de n’importe quel terminal iOS déclenche systématiquement Siri, et il n’existe aucune option pour changer ce comportement. Au Japon, cela va évoluer : les utilisateurs pourront choisir d’activer Alexa, Gemini ou un autre assistant vocal à la place. Les développeurs devront toutefois intégrer explicitement cette possibilité via le framework App Intents pour que leurs apps puissent être appelées depuis le bouton.

Image : Apple

Apple précise le fonctionnement dans sa documentation :

Au Japon, les utilisateurs peuvent associer au bouton latéral de l’iPhone une action qui lance instantanément votre application conversationnelle basée sur la voix. Ils s’attendent à ce que les fonctionnalités vocales de l’application soient immédiatement disponibles lorsqu’ils la lancent via le bouton latéral ; veillez donc à leur en permettre l’usage immédiat en démarrant une session audio — par exemple avec AVFoundation.

Dans sa documentation, Apple insiste sur le fait que cette fonctionnalité sera strictement réservée au Japon. Pour en bénéficier, il faudra que le compte Apple soit configuré sur la région Japon et que l’utilisateur s’y trouve physiquement.

Une fonctionnalité équivalente bientôt en Europe ?

Anecdote amusante : lorsque cette fonctionnalité a été repérée, plusieurs sites américains, à commencer par MacRumors, étaient persuadés qu’elle était destinée aux Européens dans le cadre du DMA. Pour l’instant, ce n’est pas le cas, mais Siri reste bel et bien dans le viseur de la Commission.

❌