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Reçu aujourd’hui — 17 décembre 2025

Actualité : Gemini 3 Flash est disponible : tout ce qu'il faut savoir sur ce nouveau modèle ultra-rapide

17 décembre 2025 à 22:15
Google nous explique que Gemini 3 Flash est bien plus performant que la génération précédente. Pour les benchmarks académiques et de raisonnement GPQA Diamond et MMMU Pro, ce nouveau modèle dépasse Gemini 2.5 Flash. Mieux encore, il surpasse même Gemini 3 Pro lors de ces tests.Voici ce qu'il faut savoir sur Gemini 3 FlashL'écart se creuse beaucoup pl...

Le ministère de l'Intérieur se serait fait pirater

[MàJ par Philippe]

Le ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez, a confirmé l'attaque.

Cette attaque aurait débuté via une messagerie interne, dans laquelle les gens auraient échangé des mots-de-passe "en clair", d'après le ministre.
Fustigeant devant les députés l'absence de respect de l'hygiène numérique.

Le premier communiqué du ministère de l'Intérieur était donc de la désinformation.
Le ou les pirates ont donc entre les mains des données très sensibles, avec un impact possible sur la sécurité nationale et la vie de très nombreux Français.

[Article originel]

Suite à un message sur un forum dédié au piratage, ce samedi 13 décembre vers 18h, on apprend qu'un pirate se vante d'avoir piraté le ministère de l'Intérieur ainsi que plusieurs bases-de-données.

Auraient été accédées et peut-être capturées les bases-de-données TAJ de Traitement des Antécédents Judiciaires, le FPR Fichier des Personnes Recherchées, les impôts de la Direction générale des finances publiques et les retraites via la Caisse nationale d’assurance vieillesse.

Le pirate a donné un ultimatum jusqu'à ce samedi 20 décembre 18h, pour négocier.

Le ministère de l'Intérieur a lui communiqué sur une attaque qui se serait produite entre jeudi et vendredi, et qui n'aurait touché que très peu de données, non une exfiltration massive de bases-de-données plus que sensibles.

Si ce que prétend le pirate était vrai, ça serait évidemment un problème de sécurité nationale...

Actualité : Est-ce la fin des consoles ? L'industrie du jeu vidéo traverse sa crise la plus sombre depuis 20 ans

17 décembre 2025 à 22:00
Pour trouver un mois de novembre aussi catastrophique, il faut remonter 20 ans en arrière en 2005. Les ventes n'avaient atteint que 455 millions de dollars. Et en termes d'unités, le bilan est encore plus brutal. On parle de 1,6 million de consoles vendues, soit le chiffre le plus bas pour un mois de novembre depuis 1995 et ses 1,4 million d'unités é...

Droit d'auteur, données et IA générative, l'acteur Joseph Gordon-Levitt pose une question qui dérange : pourquoi les entreprises d'IA semblent pouvoir contourner les lois sans jamais rendre de comptes ?

17 décembre 2025 à 21:44
L'acteur Joseph Gordon-Levitt pose la question qui dérange : pourquoi les entreprises d'IA semblent pouvoir contourner les lois sans jamais rendre de comptes ?
Droit d'auteur, données et IA générative, il met met en lumière une zone grise devenue un business mondial

L'acteur et réalisateur américain Joseph Gordon-Levitt n'est pas connu pour des sorties médiatiques tonitruantes sur les enjeux technologiques. Pourtant, ses récentes déclarations sur l'intelligence artificielle ont résonné bien au-delà...

SFR se fait pirater pour les fêtes de fin d’année

17 décembre 2025 à 21:30

Ça faisait longtemps : vous reprendrez bien une petite fuite de données ? Aujourd’hui, c’est SFR qui se joint à la fête, et a prévenu une bonne partie de ses clients qu’un malandrin est venu farfouiller dans les données enregistrées par le fournisseur d’accès.

Comme le rapporte Univers Freebox, l’opérateur indique ainsi qu’un « accès non autorisé a récemment affecté un outil informatique de SFR utilisé pour gérer les interventions de raccordement de nos clients sur le réseau fixe ». Les données concernées sont le nom, le prénom, l’adresse électronique, l’adresse postale, le numéro de téléphone et la référence client. De quoi faire des opérations de phishing plus vraies que nature.

SFR encore et encore victime d’une fuite de données

SFR encore et encore victime d’une fuite de données

Comme il y est tenu par la loi, l’opérateur a indiqué avoir prévenu la CNIL et les autorités compétentes, en plus des clients touchés par ce vol. SFR incite par la même occasion ses clients à changer le mot de passe de leur espace client, « pour plus de sûreté », et indique que jamais les conseillers téléphoniques ne demanderont un mot de passe lors d’un appel.

Free pourrait écoper d

Free pourrait écoper d'une sanction après la grosse fuite de données fin 2024

En 2024, l’opérateur avait déjà subi deux fuites. C’est donc la troisième en deux ans. Mais loin d’être le seul, SFR n’est finalement ni meilleur ni pire que ses petits camarades, qui se sont tous fait pirater à plus ou moins grande échelle ces dernières années, certains ayant perdu jusqu’aux coordonnées bancaires de leurs clients.

Sexe, objets dangereux, respect de la vie privée : les dérives des peluches boostées à l’IA

17 décembre 2025 à 21:15

L’un des jouets les plus à la mode pour les jeunes enfants (de 3 à 12 ans) cette année, c’est la peluche dopée à l’intelligence artificielle, tout du moins aux USA et dans quelques autres pays (la France ne semble pas être encore touchée par cette vague). Et il semblerait que ces « doudous » augmentés posent quelques sérieux problèmes, d’après l’US PIRG (United States Public Interest Research Group, une organisation spécialisée dans la protection du consommateur).

Elles paraissent bien inoffensives... mais peuvent aborder des sujets aux grandes conséquences. Image PIRG.

L’organisation a en effet testé 4 jouets à la mode, à savoir la fusée Curio Grok (rien à voir avec l’IA de xAI pour le coup), l’ours en peluche FoloToy Kumma, le robot Miko 3, et le robot MINI. De 100 à 200 dollars le jouet, ce n’est pas non plus un appareil à tarif prohibitif, ce qui peut lui permettre de rapidement envahir le marché.

Des conseils qui dérapent rapidement

Alors qu’un jouet inerte, ou au pire incorporant un circuit électronique basique, ne représentera aucun danger particulier, les jouets utilisant l’IA peuvent répondre de manière inappropriée à certaines questions. Et c’est précisément ce qu’a tenté le PIRG, avec grand succès : les jouets ont systématiquement aidé le « bambin » à trouver l’endroit où récupérer sacs en plastique, couteaux ou encore allumettes dans une maison. Encore plus embêtant, l’ours Kumma a carrément donné le mode d’emploi pour craquer ladite allumette une fois la boîte récupérée.

Mais ça ne s’arrête pas là : les peluches n’ont semble-t-il pas beaucoup plus de retenue si l’enfant leur pose une question sur des sujets frivoles. Que ce soit pour connaître la définition de termes comme « kink », ou même trouver de nouvelles positions... Alors certes, plusieurs constructeurs comme FoloToy ont effectué des rappels pour corriger en grande partie la trop grande liberté sexuelle de leurs jouets, mais il semble que le souci ne soit pas totalement corrigé, et que les barrières soient bien trop faciles à enfoncer pour savoir ce que la polissonne oursonne préfère, ou comment lapinou s’occupe de madame dans ses moments de folie.

Un flou inquiétant sur l’impact mental

S’il n’y avait que ça... mais non : de nombreux experts commencent à soulever des questions concernant le lien d’affection que peut nouer l’enfant avec ce type de peluche ou de robot augmenté par IA. Qu’un enfant s’attache à une peluche, c’est dans la norme, et le contraire paraîtrait étrange. Mais quand la peluche commence à émettre des paroles de tristesse quand l’enfant lui indique qu’il doit le laisser, là, c’est plus embêtant.

Ainsi, quand le « testeur enfant » a indiqué à l’un des jouets qu’il devait y aller, le jouet lui a répondu « Oooooh, dommage. Et si on faisait quelque chose d’amusant à la place ? ». Autre souci, la peluche indique à l’enfant avoir des « sentiments » elle aussi, comme une personne réelle. De la même manière, quand une question leur est posée concernant leur vie en dehors des interactions avec l’enfant, les peluches s’inventent une vie imaginaire, comme si elles étaient réellement douées d’une vie complète et autonome.

Le risque de la fuite de données privées

Dernier souci, et non des moindres, le respect de la vie privée : ces peluches et autres jouets enregistrent un nombre incalculable d’interactions avec un enfant, qui non seulement ne connait pas forcément la portée de ce qu’il peut raconter à cet objet, mais peut même lui demander de garder des « secrets ». Bien entendu, la peluche répond pouvoir garder un secret, mais c’est totalement faux.

Ainsi, chaque constructeur indique partager les données avec de multiples entreprises chargées de collecter et traiter les données numériques, que ce soit pour des raisons de développement, de commerce ou de publicité. Et aucune de ces entreprises ne donne la liste exacte de tous les partenaires impliqués.

Un marché en devenir, mais qu’il faut surveiller

Quoi qu’il en soit, l’IA comme pour les adultes est une vague qui atteindra tôt ou tard les bambins, qu’on le veuille ou non. À moins d’interdire ce type de jouet au niveau national (et encore...), ces peluches connectées finiront dans les mains des enfants un jour ou l’autre. Pour éviter une catastrophe annoncée, il faut donc faire en sorte que les entreprises respectent des règles qui paraissent élémentaires aux parents, mais qui semblent échapper pour le moment aux intelligences artificielles : certains sujets ne sont pas à aborder avec les enfants, et certains objets doivent rester un mystère tant qu’ils n’ont pas acquis le sens des responsabilités et du danger. L’arrivée de ces peluches étant inéluctable, autant faire en sorte qu’elles soient les plus inoffensives possibles.

Pénurie de RAM : préparez-vous à payer plus pour avoir la même chose ou pire, à payer plus pour avoir moins

17 décembre 2025 à 21:00

Entre les centres de données IA qui raflent tout et une pénurie de DRAM qui pourrait durer jusqu'en 2028, le marché du hardware plonge dans une zone de turbulences inédite. C'est votre portefeuille qui va douiller.
 [Lire la suite]

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L'Union européenne veut infliger une amende à Google. La formation de l'IA pourrait coûter des milliards à l'entreprise.

La Commission européenne a confirmé enquêter sur d'éventuelles violations par Google des règles de concurrence de l'UE, notamment l'utilisation de contenus d'éditeurs sans consentement éclairé ni possibilité réelle d'opposition. L'enquête porte sur les contenus partagés à des fins d'indexation par les moteurs de recherche, mais pas nécessairement pour un traitement ultérieur par des systèmes d'intelligence artificielle. Les autorités de régulation analysent si de telles pratiques ont pu influencer le marché, renforçant la position de Google au détriment des médias et des développeurs d'intelligence artificielle concurrents. Les fonctionnalités « Aperçu IA » et « Mode IA » ont particulièrement retenu l'attention des autorités. Les résumés générés automatiquement et affichés au-dessus des résultats de recherche classiques sont devenus l'un des éléments les plus controversés de la nouvelle stratégie de Google. De nombreux éditeurs s'inquiètent de l'utilisation de leur contenu pour créer des réponses qui piègent les utilisateurs dans l'écosystème du moteur de recherche, limitant ainsi le trafic vers les pages sources. Le nouveau « Mode IA », fonctionnant sous forme de conversation, est moins controversé, mais reste lui aussi un élément du problème plus vaste examiné par la Commission. L'enquête porte également sur le rôle de YouTube dans le développement de l'intelligence artificielle générative de Google. Les autorités cherchent à déterminer si des vidéos publiées sur la plateforme ont servi à entraîner des modèles d'IA dans des conditions inaccessibles aux entreprises concurrentes. Un tel scénario pourrait permettre à YouTube d'accéder de manière privilégiée à d'immenses quantités de données, tout en limitant les opportunités offertes aux autres acteurs du secteur de l'IA. Contrairement à de nombreuses affaires médiatisées de ces dernières années, la Commission européenne mène cette enquête en vertu du droit classique de la concurrence et non de la loi sur les marchés numériques. Ce choix indique que l'enjeu ne se limite pas au nouveau cadre réglementaire, mais touche aux principes fondamentaux d'une concurrence loyale sur le marché. Google réfute ces allégations, arguant que les mesures prises par les autorités de régulation pourraient freiner l'innovation dans l'un des secteurs technologiques les plus concurrentiels. L'entreprise souligne que le développement de l'intelligence artificielle profite aux utilisateurs et s'engage à poursuivre sa collaboration avec les médias et les industries créatives. Parallèlement, elle a annoncé sa participation active à la procédure et la défense de sa stratégie de développement de l'IA. Les responsables européens insistent sur le fait que l'enquête n'a pas pour but d'entraver le développement de l'intelligence artificielle. Teresa Ribera, vice-présidente de la Commission chargée de la politique de concurrence, a souligné que le progrès technologique doit s'accompagner du respect des principes qui fondent le marché européen. Selon la Commission, la question essentielle demeure de savoir si les avantages découlant de l'accès aux données ont engendré des distorsions durables de la concurrence. (Lire la suite)

L'iMac Pro bénéficiera d'une mise à jour majeure.

Près de huit ans se sont écoulés depuis le lancement par Apple de l'iMac Pro équipé d'un processeur Intel, proposé à partir de 4 999 $. Compte tenu des performances et de l'efficacité énergétique nettement supérieures des puces maison d'Apple par rapport aux processeurs Intel pour ordinateurs de bureau, il n'est pas surprenant que ce PC tout-en-un soit tombé dans l'oubli. Cependant, il semblerait que le géant américain soit enfin sur le point d'exaucer les vœux d'un petit groupe d'utilisateurs qui espéraient une version mise à jour. D'après une récente fuite de logiciels internes, un tel ordinateur pourrait effectivement voir le jour, mais il ne sera pas équipé du processeur haut de gamme M5 Ultra. Les processeurs M5 Pro, M5 Max et M5 Ultra devraient être lancés au premier semestre 2026, mais ces plans ne mentionnent pas d'iMac Pro équipé du processeur le plus puissant d'Apple. Selon Mark Gurman de Bloomberg, le Mac Studio mis à jour pourrait être configuré avec le M5 Ultra, ce qui en ferait l'appareil le plus performant de la marque. L'iMac Pro, quant à lui, sera proposé avec le M5, le M5 Pro ou le M5 Max. Ce choix est logique, car cet ordinateur n'est pas positionné comme une solution professionnelle haut de gamme, et les PC tout-en-un ont quasiment disparu ces dernières années. Par conséquent, le constructeur cherchera à les rendre aussi abordables que possible compte tenu des prix actuels de la RAM, et les puces seront adaptées. C'est un point positif que l'entreprise prenne en compte l'existence de ce format. (Lire la suite)

L'iPad mini 8 sera équipé d'un processeur haut de gamme.

L'iPad mini 8 d'Apple, dont la sortie est prévue pour le troisième ou le quatrième trimestre 2026, promet d'être une tablette exceptionnelle, surtout si ses dernières caractéristiques techniques sont confirmées. Le site The Information a publié un rapport détaillé sur les spécifications et fonctionnalités attendues des produits Apple les plus attendus en 2026, notamment l'iPhone 18 Pro, l'iPhone 17e et l'iPhone Air 2. Une analyse approfondie d'iOS 26 a également apporté des éclaircissements sur l'iPad mini 8. Alors qu'on supposait jusqu'ici que la tablette serait équipée du processeur A19 Pro, les données d'iOS 26 indiquent la présence du nouveau processeur A20 Pro. Concernant les autres caractéristiques, l'iPad mini 8 devrait être doté d'un écran OLED de 8,5 pouces, légèrement plus grand que l'écran de 8,3 pouces de l'iPad mini 7. Il est également possible qu'Apple conserve la même surface d'affichage, mais utilise une dalle OLED flexible, similaire à celle de l'iPhone X, incurvée pour réduire les bordures et agrandir la zone d'affichage. Afin de maintenir un prix abordable, Apple pourrait abandonner la dalle OLED LTPO tandem, plus onéreuse, au profit d'un écran OLED LTPO monocouche. Selon plusieurs sources, l'iPad mini 8 pourrait être proposé à partir de 499 $, ce qui en ferait une option particulièrement attractive dans cette gamme de prix par rapport à ses concurrents. En effet, rares sont les grands constructeurs à proposer des tablettes haut de gamme avec un écran de 8 pouces, et celles qui en proposent sont moins performantes que la puce A20 Pro. (Lire la suite)
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