Ça faisait longtemps : vous reprendrez bien une petite fuite de données ? Aujourd’hui, c’est SFR qui se joint à la fête, et a prévenu une bonne partie de ses clients qu’un malandrin est venu farfouiller dans les données enregistrées par le fournisseur d’accès.
Comme le rapporte Univers Freebox, l’opérateur indique ainsi qu’un « accès non autorisé a récemment affecté un outil informatique de SFR utilisé pour gérer les interventions de raccordement de nos clients sur le réseau fixe ». Les données concernées sont le nom, le prénom, l’adresse électronique, l’adresse postale, le numéro de téléphone et la référence client. De quoi faire des opérations de phishing plus vraies que nature.
Comme il y est tenu par la loi, l’opérateur a indiqué avoir prévenu la CNIL et les autorités compétentes, en plus des clients touchés par ce vol. SFR incite par la même occasion ses clients à changer le mot de passe de leur espace client, « pour plus de sûreté », et indique que jamais les conseillers téléphoniques ne demanderont un mot de passe lors d’un appel.
En 2024, l’opérateur avait déjà subi deux fuites. C’est donc la troisième en deux ans. Mais loin d’être le seul, SFR n’est finalement ni meilleur ni pire que ses petits camarades, qui se sont tous fait pirater à plus ou moins grande échelle ces dernières années, certains ayant perdu jusqu’aux coordonnées bancaires de leurs clients.
L’un des jouets les plus à la mode pour les jeunes enfants (de 3 à 12 ans) cette année, c’est la peluche dopée à l’intelligence artificielle, tout du moins aux USA et dans quelques autres pays (la France ne semble pas être encore touchée par cette vague). Et il semblerait que ces « doudous » augmentés posent quelques sérieux problèmes, d’après l’US PIRG (United States Public Interest Research Group, une organisation spécialisée dans la protection du consommateur).
Elles paraissent bien inoffensives... mais peuvent aborder des sujets aux grandes conséquences. Image PIRG.
L’organisation a en effet testé 4 jouets à la mode, à savoir la fusée Curio Grok (rien à voir avec l’IA de xAI pour le coup), l’ours en peluche FoloToy Kumma, le robot Miko 3, et le robot MINI. De 100 à 200 dollars le jouet, ce n’est pas non plus un appareil à tarif prohibitif, ce qui peut lui permettre de rapidement envahir le marché.
Des conseils qui dérapent rapidement
Alors qu’un jouet inerte, ou au pire incorporant un circuit électronique basique, ne représentera aucun danger particulier, les jouets utilisant l’IA peuvent répondre de manière inappropriée à certaines questions. Et c’est précisément ce qu’a tenté le PIRG, avec grand succès : les jouets ont systématiquement aidé le « bambin » à trouver l’endroit où récupérer sacs en plastique, couteaux ou encore allumettes dans une maison. Encore plus embêtant, l’ours Kumma a carrément donné le mode d’emploi pour craquer ladite allumette une fois la boîte récupérée.
Mais ça ne s’arrête pas là : les peluches n’ont semble-t-il pas beaucoup plus de retenue si l’enfant leur pose une question sur des sujets frivoles. Que ce soit pour connaître la définition de termes comme « kink », ou même trouver de nouvelles positions... Alors certes, plusieurs constructeurs comme FoloToy ont effectué des rappels pour corriger en grande partie la trop grande liberté sexuelle de leurs jouets, mais il semble que le souci ne soit pas totalement corrigé, et que les barrières soient bien trop faciles à enfoncer pour savoir ce que la polissonne oursonne préfère, ou comment lapinou s’occupe de madame dans ses moments de folie.
Un flou inquiétant sur l’impact mental
S’il n’y avait que ça... mais non : de nombreux experts commencent à soulever des questions concernant le lien d’affection que peut nouer l’enfant avec ce type de peluche ou de robot augmenté par IA. Qu’un enfant s’attache à une peluche, c’est dans la norme, et le contraire paraîtrait étrange. Mais quand la peluche commence à émettre des paroles de tristesse quand l’enfant lui indique qu’il doit le laisser, là, c’est plus embêtant.
Ainsi, quand le « testeur enfant » a indiqué à l’un des jouets qu’il devait y aller, le jouet lui a répondu « Oooooh, dommage. Et si on faisait quelque chose d’amusant à la place ? ». Autre souci, la peluche indique à l’enfant avoir des « sentiments » elle aussi, comme une personne réelle. De la même manière, quand une question leur est posée concernant leur vie en dehors des interactions avec l’enfant, les peluches s’inventent une vie imaginaire, comme si elles étaient réellement douées d’une vie complète et autonome.
Le risque de la fuite de données privées
Dernier souci, et non des moindres, le respect de la vie privée : ces peluches et autres jouets enregistrent un nombre incalculable d’interactions avec un enfant, qui non seulement ne connait pas forcément la portée de ce qu’il peut raconter à cet objet, mais peut même lui demander de garder des « secrets ». Bien entendu, la peluche répond pouvoir garder un secret, mais c’est totalement faux.
Ainsi, chaque constructeur indique partager les données avec de multiples entreprises chargées de collecter et traiter les données numériques, que ce soit pour des raisons de développement, de commerce ou de publicité. Et aucune de ces entreprises ne donne la liste exacte de tous les partenaires impliqués.
Un marché en devenir, mais qu’il faut surveiller
Quoi qu’il en soit, l’IA comme pour les adultes est une vague qui atteindra tôt ou tard les bambins, qu’on le veuille ou non. À moins d’interdire ce type de jouet au niveau national (et encore...), ces peluches connectées finiront dans les mains des enfants un jour ou l’autre. Pour éviter une catastrophe annoncée, il faut donc faire en sorte que les entreprises respectent des règles qui paraissent élémentaires aux parents, mais qui semblent échapper pour le moment aux intelligences artificielles : certains sujets ne sont pas à aborder avec les enfants, et certains objets doivent rester un mystère tant qu’ils n’ont pas acquis le sens des responsabilités et du danger. L’arrivée de ces peluches étant inéluctable, autant faire en sorte qu’elles soient les plus inoffensives possibles.
Ça faisait longtemps : vous reprendrez bien une petite fuite de données ? Aujourd’hui, c’est SFR qui se joint à la fête, et a prévenu une bonne partie de ses clients qu’un malandrin est venu farfouiller dans les données enregistrées par le fournisseur d’accès.
Comme le rapporte Univers Freebox, l’opérateur indique ainsi qu’un « accès non autorisé a récemment affecté un outil informatique de SFR utilisé pour gérer les interventions de raccordement de nos clients sur le réseau fixe ». Les données concernées sont le nom, le prénom, l’adresse électronique, l’adresse postale, le numéro de téléphone et la référence client. De quoi faire des opérations de phishing plus vraies que nature.
Comme il y est tenu par la loi, l’opérateur a indiqué avoir prévenu la CNIL et les autorités compétentes, en plus des clients touchés par ce vol. SFR incite par la même occasion ses clients à changer le mot de passe de leur espace client, « pour plus de sûreté », et indique que jamais les conseillers téléphoniques ne demanderont un mot de passe lors d’un appel.
En 2024, l’opérateur avait déjà subi deux fuites. C’est donc la troisième en deux ans. Mais loin d’être le seul, SFR n’est finalement ni meilleur ni pire que ses petits camarades, qui se sont tous fait pirater à plus ou moins grande échelle ces dernières années, certains ayant perdu jusqu’aux coordonnées bancaires de leurs clients.
L’un des jouets les plus à la mode pour les jeunes enfants (de 3 à 12 ans) cette année, c’est la peluche dopée à l’intelligence artificielle, tout du moins aux USA et dans quelques autres pays (la France ne semble pas être encore touchée par cette vague). Et il semblerait que ces « doudous » augmentés posent quelques sérieux problèmes, d’après l’US PIRG (United States Public Interest Research Group, une organisation spécialisée dans la protection du consommateur).
Elles paraissent bien inoffensives... mais peuvent aborder des sujets aux grandes conséquences. Image PIRG.
L’organisation a en effet testé 4 jouets à la mode, à savoir la fusée Curio Grok (rien à voir avec l’IA de xAI pour le coup), l’ours en peluche FoloToy Kumma, le robot Miko 3, et le robot MINI. De 100 à 200 dollars le jouet, ce n’est pas non plus un appareil à tarif prohibitif, ce qui peut lui permettre de rapidement envahir le marché.
Des conseils qui dérapent rapidement
Alors qu’un jouet inerte, ou au pire incorporant un circuit électronique basique, ne représentera aucun danger particulier, les jouets utilisant l’IA peuvent répondre de manière inappropriée à certaines questions. Et c’est précisément ce qu’a tenté le PIRG, avec grand succès : les jouets ont systématiquement aidé le « bambin » à trouver l’endroit où récupérer sacs en plastique, couteaux ou encore allumettes dans une maison. Encore plus embêtant, l’ours Kumma a carrément donné le mode d’emploi pour craquer ladite allumette une fois la boîte récupérée.
Mais ça ne s’arrête pas là : les peluches n’ont semble-t-il pas beaucoup plus de retenue si l’enfant leur pose une question sur des sujets frivoles. Que ce soit pour connaître la définition de termes comme « kink », ou même trouver de nouvelles positions... Alors certes, plusieurs constructeurs comme FoloToy ont effectué des rappels pour corriger en grande partie la trop grande liberté sexuelle de leurs jouets, mais il semble que le souci ne soit pas totalement corrigé, et que les barrières soient bien trop faciles à enfoncer pour savoir ce que la polissonne oursonne préfère, ou comment lapinou s’occupe de madame dans ses moments de folie.
Un flou inquiétant sur l’impact mental
S’il n’y avait que ça... mais non : de nombreux experts commencent à soulever des questions concernant le lien d’affection que peut nouer l’enfant avec ce type de peluche ou de robot augmenté par IA. Qu’un enfant s’attache à une peluche, c’est dans la norme, et le contraire paraîtrait étrange. Mais quand la peluche commence à émettre des paroles de tristesse quand l’enfant lui indique qu’il doit le laisser, là, c’est plus embêtant.
Ainsi, quand le « testeur enfant » a indiqué à l’un des jouets qu’il devait y aller, le jouet lui a répondu « Oooooh, dommage. Et si on faisait quelque chose d’amusant à la place ? ». Autre souci, la peluche indique à l’enfant avoir des « sentiments » elle aussi, comme une personne réelle. De la même manière, quand une question leur est posée concernant leur vie en dehors des interactions avec l’enfant, les peluches s’inventent une vie imaginaire, comme si elles étaient réellement douées d’une vie complète et autonome.
Le risque de la fuite de données privées
Dernier souci, et non des moindres, le respect de la vie privée : ces peluches et autres jouets enregistrent un nombre incalculable d’interactions avec un enfant, qui non seulement ne connait pas forcément la portée de ce qu’il peut raconter à cet objet, mais peut même lui demander de garder des « secrets ». Bien entendu, la peluche répond pouvoir garder un secret, mais c’est totalement faux.
Ainsi, chaque constructeur indique partager les données avec de multiples entreprises chargées de collecter et traiter les données numériques, que ce soit pour des raisons de développement, de commerce ou de publicité. Et aucune de ces entreprises ne donne la liste exacte de tous les partenaires impliqués.
Un marché en devenir, mais qu’il faut surveiller
Quoi qu’il en soit, l’IA comme pour les adultes est une vague qui atteindra tôt ou tard les bambins, qu’on le veuille ou non. À moins d’interdire ce type de jouet au niveau national (et encore...), ces peluches connectées finiront dans les mains des enfants un jour ou l’autre. Pour éviter une catastrophe annoncée, il faut donc faire en sorte que les entreprises respectent des règles qui paraissent élémentaires aux parents, mais qui semblent échapper pour le moment aux intelligences artificielles : certains sujets ne sont pas à aborder avec les enfants, et certains objets doivent rester un mystère tant qu’ils n’ont pas acquis le sens des responsabilités et du danger. L’arrivée de ces peluches étant inéluctable, autant faire en sorte qu’elles soient les plus inoffensives possibles.
Depuis le changement de design intervenu au passage au M1, la vie de l’iMac est un fleuve tranquille... un peu trop tranquille d’ailleurs, à en juger par l’impatience de voir cette gamme se réveiller. Si aucune information n’a transpiré concernant le design à venir, une chose se rapproche très rapidement : le passage à l’OLED.
Bientôt une dalle OLED pour avoir des couleurs encore plus vives ? Image MacGeneration.
C’est WCCTech qui rapporte l’information en provenance directe de quelques sources bien informées chez Samsung et LG, fournisseurs de la plupart des dalles OLED du marché : l’iMac aura bien droit à sa dalle OLED 24 pouces, et elle est imminente. En effet, Apple a envoyé un « RFI » (Request For Information) aux deux constructeurs, indiquant qu’Apple demande à ses deux principaux fournisseurs les caractéristiques des dalles qu’ils peuvent fournir, avant de les finaliser dans une commande officielle.
Cela dit, Apple restant Apple, les demandes ne sont pas les mêmes que le reste de l’industrie : non seulement les volumes s’annoncent conséquents, mais en plus, la marque souhaite une dalle OLED RGB, et non WOLED ou QD-OLED comme le font LG et Samsung jusqu’à présent pour tout ce qui dépasse la taille d’un smartphone. Si ces dalles où chaque pixel émet la lumière exacte demandée (rouge, vert ou bleu) existent bien pour les smartwatches ou les smartphones, c’est encore loin d’être le cas pour les dalles plus généreuses : à ces dimensions, LG comme Samsung préfèrent utiliser des pixels blancs, devant lesquels est appliqué un masque comportant les différentes couleurs.
Le passage en OLED RGB promet d’amener une finesse des détails accrue et un contraste parfait, mais le prix de la dalle risque d’être bien plus élevé que pour une WOLED habituelle. Concernant le reste des spécifications, Apple ne demanderait pas beaucoup plus à la nouvelle dalle de l’iMac par rapport à l’actuelle : la luminosité passerait de 500 à 600 nits, et le reste des caractéristiques resterait identique.
Concernant la date exacte d’arrivée, si elle n’est pas connue, il semblerait logique de s’attendre à début 2027 : les premiers MacBook Pro équipés de dalles OLED sont attendus pour fin 2026, et il semblerait incongru que le tout en un grand public grille la priorité au laptop professionnel de Cupertino.
Depuis le changement de design intervenu au passage au M1, la vie de l’iMac est un fleuve tranquille... un peu trop tranquille d’ailleurs, à en juger par l’impatience de voir cette gamme se réveiller. Si aucune information n’a transpiré concernant le design à venir, une chose se rapproche très rapidement : le passage à l’OLED.
Bientôt une dalle OLED pour avoir des couleurs encore plus vives ? Image MacGeneration.
C’est WCCTech qui rapporte l’information en provenance directe de quelques sources bien informées chez Samsung et LG, fournisseurs de la plupart des dalles OLED du marché : l’iMac aura bien droit à sa dalle OLED 24 pouces, et elle est imminente. En effet, Apple a envoyé un « RFI » (Request For Information) aux deux constructeurs, indiquant qu’Apple demande à ses deux principaux fournisseurs les caractéristiques des dalles qu’ils peuvent fournir, avant de les finaliser dans une commande officielle.
Cela dit, Apple restant Apple, les demandes ne sont pas les mêmes que le reste de l’industrie : non seulement les volumes s’annoncent conséquents, mais en plus, la marque souhaite une dalle OLED RGB, et non WOLED ou QD-OLED comme le font LG et Samsung jusqu’à présent pour tout ce qui dépasse la taille d’un smartphone. Si ces dalles où chaque pixel émet la lumière exacte demandée (rouge, vert ou bleu) existent bien pour les smartwatches ou les smartphones, c’est encore loin d’être le cas pour les dalles plus généreuses : à ces dimensions, LG comme Samsung préfèrent utiliser des pixels blancs, devant lesquels est appliqué un masque comportant les différentes couleurs.
Le passage en OLED RGB promet d’amener une finesse des détails accrue et un contraste parfait, mais le prix de la dalle risque d’être bien plus élevé que pour une WOLED habituelle. Concernant le reste des spécifications, Apple ne demanderait pas beaucoup plus à la nouvelle dalle de l’iMac par rapport à l’actuelle : la luminosité passerait de 500 à 600 nits, et le reste des caractéristiques resterait identique.
Concernant la date exacte d’arrivée, si elle n’est pas connue, il semblerait logique de s’attendre à début 2027 : les premiers MacBook Pro équipés de dalles OLED sont attendus pour fin 2026, et il semblerait incongru que le tout en un grand public grille la priorité au laptop professionnel de Cupertino.
On a tous un ami qui « ne veut pas d’accessoires », mais qui vit branché à 12% de batterie, un câble douteux coincé entre deux coussins de canapé. Spoiler : cet ami s’est fait plaisir cette année, et a acheté un iPhone 17, 17 Pro ou même un iPhone Air. Et c’est peut‑être vous, qui sait ?
Chargeur MagSafe / Qi2 25 W : le nouveau socle
Avec la série 17, la charge sans fil cesse d’être un plan B mollasson pour devenir le mode par défaut crédible, grâce au Qi2 et à la montée à 25 W. Posé sur un chargeur magnétique certifié, l’iPhone se cale tout seul, exploite la pleine puissance, et enclenche les interfaces type StandBy sans gymnastique de placement.
Il est tout beau tout tressé, mais un peu cher, des alternatives existent. Image Apple.
C’est le cadeau « tech mais simple » par excellence : le galet magnétique ne prend pas beaucoup de place, n’est pas excessivement cher, et convient pour la plupart des iPhone récents. Apple propose le sien (49,00 €), mais d’autres sont disponibles moins cher et sont tout aussi compatibles, la norme Qi2 aidant, comme celui de Ugreen (32,99 €).
Batterie externe MagSafe 10 000 mAh
En mobilité, la batterie externe MagSafe 10 000 mAh prend le relais. Aimantée au dos de l’iPhone 17 Pro, elle suit les lignes du téléphone, laisse le port USB‑C accessible et évite le duo peu élégant câble tordu + poche déformée. Avec cette capacité, navigation, photos, partage de connexion et streaming s’enchaînent sans anxiété de fin de journée.
Ugreen fait une batterie qui viendra se cacher derrière votre iPhone 17 Pro. Image Ugreen.
En voyage, en salon professionnel ou simplement lors d’une journée bien chargée, cette batterie joue le rôle d’assurance discrète, permettant d’utiliser le 17 Pro comme un véritable outil de travail plutôt que comme un objet à ménager. Comme souvent, ce sont les mêmes qui s’y collent : Ugreen (26,78 €) est présent, tout comme Anker (49,99 €). D’autres marques plus obscures peuvent être à tarif encore plus faible, mais cette batterie pouvant être amenée à voyager avec vous en avion, être joueur n’est pas forcément le meilleur pari dans ce domaine.
Au domicile ou au bureau, la station de charge Qi2 change d’échelle : elle organise l’espace autant qu’elle alimente les appareils. En version 2‑en‑1 ou 3‑en‑1, elle accueille l’iPhone 17 Pro, des AirPods et éventuellement une Apple Watch sur un seul socle relié à un unique adaptateur.
Compacte, la station 3 en 1 de voyage de Belkin sera très pratique en voyage. Image Belkin.
Sur la table de nuit aussi, c’est bien pratique : on se débarrasse des câbles enchevêtrés et l’iPhone devient horloge, cadre photo ou panneau domotique pendant la charge. Pour qui possède une bonne partie de l’écosystème Apple, une station 3 en 1 ressemble moins à un gadget qu’à une pièce centrale du quotidien. Belkin est un incontournable du domaine, avec la BoostCharge 3 en 1 (59,98 €), mais aussi une version plus compacte de voyage bien utile, à peine de la taille d’une batterie externe, l’UltraCharge 3 en 1 Qi2 (89,99 €). Bien moins cher, Keepro propose une station 3 en 1 pliable à prix réduit (31,99 €), même si elle est moins compacte que celle de Belkin.
Dernier maillon souvent sous‑estimé : le bloc secteur. L’iPhone 17 Pro est livré avec un câble USB‑C, mais sans adaptateur, alors que beaucoup utilisent encore d’anciens chargeurs 5 ou 10 W. Un chargeur compact USB‑C multi‑ports, capable de délivrer suffisamment de puissance pour l’iPhone, la station Qi2 et éventuellement un iPad ou un MacBook, simplifie considérablement l’infrastructure.
Gadget mais indispensable : l’afficheur qui donne la puissance instantanée sur chaque port, et la température du chargeur. Image Anker.
Une collection de briques disparates se transforme en une seule alimentation cohérente, alignée sur les usages modernes. Ce n’est peut‑être pas l’accessoire le plus spectaculaire, mais c’est souvent celui qui améliore le plus silencieusement la vie numérique au quotidien. Ugreen, encore eux, proposent le Nexode 100 W (47,99 €), de quoi brancher un MacBook Air, voire un MacBook Pro à la consommation légère en même temps qu’un iPhone et une Apple Watch. Gros consommateur ? La marque propose une version 160 W (62,99 €) dans le même format. Fan des lumières et autres écrans partout ? Anker propose le Zolo 140 W (69,99 €), muni de trois ports USB-C, un port USB-A, et un écran indiquant la puissance instantanée consommée sur chaque port, et la température de l’adaptateur.
L’appareil portable sans batterie n’étant pas encore arrivé, les chargeurs restent un indispensable au quotidien. Ceux-ci ayant atteint un palier de maturité avec la démocratisation de la technologie GaN (nitrure de Gallium), autant en profiter en s’équiper sur du long terme, avec des marques reconnues pour leur qualité. Une fois fait, un chargeur pourra faire plusieurs générations d’iPhone sans souci !
Avec la fin d’année vont arriver les vœux. Et parmi eux revient très souvent un élément : la santé. Et ça tombe bien, parce que des accessoires en rapport avec la santé, il en existe pléthore de disponibles pour accompagner l’iPhone ! Petit tour de cette longue liste, histoire de choisir de quoi bien commencer l’année à mettre sous le sapin.
L’Apple Watch, grand classique de la pomme
Bien entendu, dès qu’on s’attaque à la santé liée à un produit pommé, l’un des choix les plus évidents reste l’Apple Watch. Le gros avantage, c’est qu’on est sûr de ne pas se tromper : un produit Apple sera fait pour aller comme un gant à votre iPhone (du moment que celui-ci n’est pas trop vieux, bien entendu), et avec le temps, quasiment toutes les Apple Watch proposées cette année sont devenues de bons choix.
Plus discrète que l’Ultra 3, la Series 11 est déjà très complète pour suivre vos constantes. Image MacGeneration.
Et niveau santé, dès l’Apple Watch SE c’est relativement complet : capteur de fréquence cardiaque avec mesure en continu, alertes en cas de rythme cardiaque trop élevé ou irrégulier, suivi du sommeil, mais aussi accès aux nombreux programmes de sport intégrés dans l’app Exercice, que la montre saura monitorer grâce à son accéléromètre et son altimètre intégré, ainsi qu’à la puce GPS. Pour compléter le tableau, elle saura aussi mesurer les variations de température du corps, ce qui s’avèrera bien pratique pour le suivi des cycles menstruels de ces dames. Elle est disponible en deux variantes, uniquement wi-fi (249,00 € en 40 mm et 279,00 € en 44 mm), ou wi-fi + cellulaire (299,00 € en 40 mm et 329,00 € en 44 mm).
Vous en voulez plus ? L’Apple Watch Series 11 rajoute à la liste déjà confortable l’électro-cardiogramme, et la mesure du taux d’oxygène sanguin (pour une fois que l’Europe a une fonction que les US n’ont pas sur la montre, il ne faudrait pas s’en priver !). Par rapport à la SE 3, la Series 11 propose aussi un écran légèrement plus grand et plus lumineux, en plus d’un boîtier en aminci du plus bel effet. Comme la SE 3, elle est disponible en version wi-fi uniquement (419,00 € en 42 mm ou 449,00 € en 46 mm), ou wi-fi + cellulaire (569,00 € en 42 mm ou 599,00 € en 46 mm). Cerise sur le gâteau, la version Wi-Fi + Cellular est aussi proposée en titane, au choix naturel, doré ou noir.
Mais la plus complète de toutes, c’est bien entendu l’Apple Watch Ultra 3 : étanche à 100 mètres, elle complète les fonctions déjà présentes sur les Series 11 par un profondimètre intégré et un boîtier renforcé lui donnant cet aspect baroudeur prêt à toutes les aventures. Elle n’est disponible qu’en une seule taille et obligatoirement avec l’option cellulaire intégrée, en deux goûts au choix, titane naturel ou titane noir, pour 899 €.
Vous préférez porter une montre classique ? Alors l’anneau vous guidera tous
Il est des moments où on n’a pas envie de montre connectée, que ce soit pour des raisons esthétiques (tout le monde ne veut pas forcément avoir un écran allumé sur un bracelet, et certaines soirées ne s’y prêtent pas) ou pour des raisons de préférence (le charme d’une montre automatique...). Mais dans ce cas, comment faire pour suivre ses constantes, et ses prouesses sportives ?
C’est là que l’anneau connecté arrive. Avec ses multiples capteurs, il est tout aussi précis et utile que la montre connectée, avec deux avantages sur celle-ci : vous pouvez mettre la montre de votre choix à votre poignet (voire ne pas en mettre du tout), et l’autonomie est bien plus conséquente que la tocante d’Apple, avec une bonne semaine avant de demander à être rechargé.
Si les utilisateurs Android ont le choix le plus large, ceux sur iOS se voient amputés de la possibilité Samsung, le Galaxy Ring n’étant compatible qu’avec l’OS de Google. Ne reste alors que trois solutions vraiment sérieuses : le RingConn Gen 2 (271,00 €), l’Ultrahuman Ring Air (265,00 €), ou le Oura Ring 4 (399,00 €). Si les trois se valent niveau nombre de fonctions, Oura a l’avantage de proposer les mesures les plus fiables, et l’app la mieux intégrée à iOS. Quelque chose me dit d’ailleurs qu’on reviendra sur le sujet très bientôt...
Balance, thermomètre, tensiomètre... le festival Withings
Grand spécialiste depuis des années maintenant de la balance connectée à iOS, Withings continue de proposer toute une gamme de pèse-personnes aux fonctions diverses et variées : de la version de base Body Smart (99,00 €) donnant déjà le poids (heureusement !), la masse musculaire, la masse grasse, la masse osseuse, mais aussi le pourcentage d’eau ainsi que la fréquence cardiaque mais aussi l’IMC, elle est chapeautée par la Body Comp (199,95 €), qui rajoute des indications plus poussées comme la santé artérielle, ainsi qu’un suivi du stress cardio, grâce entre autres à la mesure de la vitesse d’onde de pouls. Ça ne vous suffit toujours pas ? Pour les plus inquiets, la Body Scan (399,95 €) est la plus affûtée : avec un ECG en 6 points et l’analyse de la composition corporelle séparée entre bras, jambes et tronc, il y a de quoi avoir tous les détails de votre corps.
Oui, il faut tenir une poignée pour le scan complet de la Body Scan. Mais ça vaut le coup ! Image Withings.
Envie de surveiller encore plus de choses ? La gamme comprend aussi le thermomètre BeamO (249,00 €) qui réunit température sans contact, moniteur ECG, oxymètre et stéthoscope (oui oui !), mais aussi le BPM Connect (125,07 €), tensiomètre connecté qui vous permettra de suivre votre tension sur l’année grâce à l’app maison.
Il existe encore bien d’autres appareils de santé connectés à iOS : la liste serait tellement longue qu’il faudrait y passer des jours ! Mais au moins, avec cette petite sélection, vous devriez pouvoir surveiller vos constantes au plus près pour bien commencer la nouvelle année.
Vous savez déjà que vous allez avoir un Mac au pied du sapin ? Déjà, c’est très vilain de connaître son cadeau en avance... mais bon, maintenant que c’est fait, pourquoi ne pas en profiter pour lui acheter quelques accessoires ? L’un des indispensables, chaque utilisateur Mac le sait bien, c’est le hub : depuis quelques années, impossible de faire sans. Mais l’adaptateur réseau n’est pas en reste, que ce soit pour les machines portables qui n’en sont pas dotées d’origine, mais aussi pour les Mac mini et Mac Studio si vous n’avez pas pris l’option 10 Gigabit. Petit tour des meilleures solutions.
Le hub, toujours aussi utile
Alors certes, le temps des Mac avec pour unique port un maigre USB-C (voire USB tout court pour ceux qui ont connu le MacBook Air première génération) a tendance à s’éloigner, les nouvelles machines étant souvent munies de plusieurs ports USB-C, et d’un port HDMI en plus de la prise casque pour les MacBook Pro. Toujours est-il qu’on se retrouve très rapidement à devoir brancher une clé USB-A, un câble ethernet, ou à chercher un lecteur SD-Card ou un HDMI libre.
Pour ça, rien de mieux qu’un hub. Dans les plus efficaces et les mieux intégrés à l’environnement Apple, Satechi sort du lot avec ses hubs parfaitement harmonisés avec le Mac, au point de proposer ceux-ci en gris sidéral, argent ou minuit pour s’accorder à la couleur que vous aurez choisie. Le choix le plus design est le hub 7 en 1 de la marque (de 58,63 € à 71,99 € suivant la couleur) : dans son format compact, il intègre deux ports USB 4, deux ports USB-A 3.0, un lecteur SD-Card, un autre lecteur microSD, et un port HDMI 4K à 60 Hz. De quoi voir venir !
L’Ethernet est une absolue nécessité ? C’est le 8 en 1 avec Ethernet qu’il vous faut. Il ajoute à la liste un port Ethernet Gigabit et une sortie audio, au prix d’une épaisseur un peu plus élevée. (de 55,51 € à 69,90 € suivant la couleur).
Si vous avez opté pour un Mac mini, pas de panique : la marque a aussi de quoi vous aider. Reprenant la forme du Mac mini, le hub Mac mini M4 ajoute un socle ingénieux, qui intègre à la fois deux ports USB-A 3.0, un port USB-A 2.0 et un lecteur SD-Card. Mais son atout majeur se trouve à l’intérieur : il possède un emplacement pour une barrette SSD au format M.2 NVMe, vous permettant d’augmenter facilement la capacité de stockage de votre Mac. À 86,81 €, c’est l’une des solutions les plus efficaces et raisonnables pour pallier le coût du stockage proposé par Apple.
Reste un cas particulier : le pro, qui a besoin d’une grande quantité de ports, et surtout d’une vitesse de transfert maximale. Seules des stations d’accueil Thunderbolt permettent de tirer partie de la capacité totale des ports Thunderbolt d’un MacBook Pro, et ça tombe bien, une station 11 en 1 est proposée par le constructeur. Avec elle, la liste de ports s’allonge : alimentation 180 W (fournie), port d’entrée Thunderbolt 4 Power Delivery 96 W, trois ports Thunderbolt 4, deux ports HDMI 4K/60 Hz, un lecteur de SD-Card, un port Ethernet Gigabit, deux ports USB-A 3.2, et une prise mini jack. À 299 €, ça en fait le boîtier idéal à laisser sur le bureau pour n’avoir qu’un câble à brancher une fois rentré en posant le Mac sur la table.
L’Ethernet, sous toutes ses coutures
Parfois, un seul port nous manque sérieusement : le port Ethernet. Si toutes les machines fixes en sont encore munies, ce port pourtant bien pratique a totalement disparu des machines portables de Cupertino depuis maintenant plusieurs années. Avantage de l’inconvénient, on peut choisir son port selon ses usages, du basique USB-C vers Gigabit Ethernet, jusqu’aux solutions 10 Gigabit en Thunderbolt.
Quand il s’agit de simplement ajouter un port Ethernet Gigabit à la machine, le gros avantage est le prix : ces adaptateurs USB-C vers Ethernet Gigabit sont devenus tellement communs qu’on les trouve partout, et à des tarifs très doux. Raison de plus pour prendre une marque reconnue plutôt qu’un no-name, histoire d’être tranquille. Ugreen propose son adaptateur au choix en gris ou en noir (16,12 € ou 15,99 €, pour se marier au mieux avec votre machine. Avec lui, on est sûr de ne pas se tromper. Envie de pousser le vice jusqu’à l’Ethernet 2.5 Gb ? Profitez-en : la version Ethernet 2.5G est à 24,22 € !
Encore peu répandu mais promis à un bel avenir, l’Ethernet 5 Gb mérite le détour. Alors certes, l’adaptateur est au double du tarif de la version 2.5 Gb. Mais pour ce tarif, vous êtes sûr de tenir longtemps avant de devoir passer à la norme supérieure. À 49,99 €, l’adaptateur WP-UT5 de Eawftguw (n’essayez même pas de la prononcer) a été testé et approuvé par notre génie local des réseaux et autres normes.
Reste la voie royale pour ceux qui veulent à tout prix tirer le maximum de leur box dernier modèle, ou les pros qui doivent transférer de grandes quantités de données vers et depuis un NAS : l’adaptateur 10 Gb. L’un des meilleurs niveau compacité et intégration avec le Mac reste QNAP, qui propose le boîtier en deux versions : RJ45 ou SFP+. Si les deux peuvent avoir leur utilité, je ne saurais que trop vous conseiller la version SFP+ : non seulement vous aurez le choix suivant le type de connexion que vous souhaitez (fibre mono-mode, fibre multi-mode, RJ45), mais en plus la version SFP+ a l’avantage non négligeable de se passer de ventilateur, contrairement à la version RJ45 (qui en a un très bruyant qui plus est).
À 244,88 €, le QNAP QNA-UC10G1SF devrait vous donner satisfaction pour de nombreuses années... si vous n’oubliez pas le module SFP+ à ajouter à la commande, bien entendu ! Pour le RJ45, vous pouvez trouver celui-ci à 28,49 €. Pour la fibre, le champ est tellement vaste qu’il nécessiterait un article à lui tout seul.
Avec tous ces ports à votre disposition, vous voilà paré à toute éventualité !
Après les découvertes sur les AirTags 2, le HomePod mini, l’iPad 2026, ou même le fameux HomePad, vous en voulez encore ? Ça tombe bien, MacWorld en a encore sous le pied, et dévoile la feuille de route de nombreuses fonctions attendues, jusqu’à iOS 27 !
Une build interne qui fuite peut être une vraie mine d’or pour les fuiteurs... et un cauchemar pour Apple. Image Apple.
C’est un véritable trou béant dans le secret habituel d’Apple qu’ont découvert nos confrères, avec cette build interne d’iOS 26 qui a oublié de cacher ses projets. Pour découvrir toutes ces pépites, la méthode a été relativement simple : au fil des éléments d’une build interne, les développeurs ajoutent des « flags », petits drapeaux permettant l’activation ou non d’une fonction en cours de développement. Et comme les ingénieurs Apple sont bien élevés, ils ont ajouté des notes à ces éléments, notes qui bien entendu disparaissent de la version distribuée au grand public ou même aux développeurs extérieurs... mais pas dans la version interne.
Si parmi ces découvertes on retrouve l’incontournable arrivée du nouveau Siri dopé à Apple Intelligence dans iOS 26.4, c’est loin d’être la seule surprise en fouillant un peu ce que renferme cette build interne d’iOS 26.0.
Une app Santé dépoussiérée, et le Sport encore plus présent sur Apple TV
Cela fait maintenant plusieurs mois qu’une grosse mise à jour de l’app Santé est annoncée par plusieurs fuiteurs, que ce soit Gurman ou d’autres. Si celle-ci se fait toujours attendre, quelques précisions ont été trouvées dans le code de cette build interne.
Ainsi, une nouvelle mise en forme devrait arriver pour les catégories, et l’ajout de données devrait être facilitée. Bien entendu, l’arrivée d’une version « Health+ » est toujours annoncée, avec un assistant par IA pour aider à comprendre les données grappillées sur la santé de l’utilisateur.
Du côté de l’Apple TV, un flag « Sports Tier » est apparu dans la liste, sans plus de précisions. De gros investissements sont en cours chez Apple concernant le sport sous toutes ses formes, et il ne serait pas étonnant qu’un nouvel abonnement finisse par apparaître pour rentabiliser un peu plus ces dépenses.
Auto-complétion des cartes de paiement dans les apps tierces, et renfort des mesures de sécurité d’iOS
Cette nouvelle fonction devrait aller dans les deux sens : si l’auto-complétion des données de cartes de crédit devrait s’ouvrir aux apps des développeurs tiers, dans l’autre sens iCloud Keychain devrait aussi pouvoir détecter l’insertion des numéros d’une nouvelle carte de crédit dans ces apps pour proposer de les enregistrer.
Devenu depuis plusieurs années maintenant un véritable carrefour de données personnelles, qu’elles soient bancaires, de santé ou professionnelles, iOS s’est renforcé au fil du temps pour devenir aussi impénétrable que possible aux attaques. Cette tendance devrait continuer sur sa lancée, avec de nouvelles mesures de sécurité vérifiant l’intégrité du smartphone avant de laisser accès aux informations d’AppleID ou d’iCloud. Entre autres, il est fort possible qu’un iPhone jailbreaké ne puisse plus avoir accès à certaines parties sécurisées des services d’Apple.
Des dossiers dans Freeform
L’app partage d’idées devrait encore monter en puissance, avec la possibilité de créer des dossiers qui seraient alors synchronisés par iCloud. Cette nouveauté devrait apparaître dans iOS 26.4.
Apple continue d’améliorer son app de tableau blanc apparue avec iOS 16. Image Apple.
De nouvelles fonctionnalités de localisation pour les AirPods
Allant de pair avec les nouveaux AirTags qui devraient renforcer les capacités de localisation en mouvement ou dans une foule compacte, les AirPods 3 devraient être plus facilement repérables grâce à l’app Localiser. Ceux-ci ayant la même puce Ultra-Wide Band U2, ils devraient ainsi se détacher des AirPods Pro 2, qui sont restés à la version U1.
Si les fuites sont à l'évidence moins importantes concernant les plus grosses mises à jour que sont iOS 27 et iOS 28, quelques indices sont déjà disponibles dans cette build.
Ainsi, l’app Photos devrait s’améliorer encore avec de nouvelles collections dans iOS 27. Cette nouvelle version du système devrait aussi amener une nouvelle façon d’appairer des AirPods, même si la méthode actuelle est déjà des plus intuitives.
Pour iOS 28, Apple devrait entre autres axer les améliorations sur la partie sommeil de l’app Santé, avec de nouvelles données intégrées dont le temps passé au lit. Petite surprise supplémentaire, une version dédiée à macOS 28 de l’app de suivi de santé devrait faire son apparition.
Bien entendu, Apple devrait encore avoir nombre de nouveautés qui ne sont pas présentes ou dévoilées dans cette build interne, et encore heureux. Cet aperçu montre en tout cas que les équipes de développement ne chôment pas, et nous préparent encore et toujours quelques surprises intéressantes !
La possibilité était attendue de longue date, et même annoncée par Xavier Niel en personne, qui « espérait » voir arriver l’Apple Watch sur le réseau Free Mobile avant la fin de l’année 2025.
Les utilisateurs de Free devraient maintenant pouvoir goûter aux joies de la montre connectée sans avoir l’iPhone à côté.
Comme un cadeau de Noël, son vœu a été exaucé ce soir par Apple : la dernière mise à jour de watchOS en 26.2 apporte une nouvelle liste des opérateurs compatibles, et Free apparaît dedans.
Cette mise à jour des profils opérateurs apporte aussi une nouvelle version pour SFR, que ce soit pour l’iPhone ou l’Apple Watch, sans précision supplémentaire sur les éléments modifiés, ainsi que pour Rogers chez nos amis canadiens.
Here are the carrier bundles just released by Apple:
Mise à jour à 22h10 : un lecteur nous a envoyé ces captures, permettant de constater que les éléments sont quasiment en place pour le lancement, il ne reste à Free qu'à ouvrir les vannes sur les serveurs. Merci à Marc pour ce partage.
Le 25 août 2025, Elon Musk portait plainte contre Apple et OpenAI pour entente illégale afin d’entraver la concurrence dans le domaine de l’intelligence artificielle. Alors que peu de nouvelles filtraient de celle-ci jusqu’à présent, 9to5Mac a mis la main sur les documents détaillant celle-ci.
Apple is behaving in a manner that makes it impossible for any AI company besides OpenAI to reach #1 in the App Store, which is an unequivocal antitrust violation.
Et il faut avouer qu’au vu de l’en-tête de cette plainte, xAI et son patron ont le sens du lyrique :
C’est l’histoire de deux monopolistes unissant leurs forces pour assurer leur domination continue dans un monde désormais propulsé par la technologie la plus puissante jamais créée par l’humanité : l’intelligence artificielle (IA). Agissant de concert, les défendeurs Apple et OpenAI ont verrouillé les marchés afin de maintenir leurs monopoles et d’empêcher des innovateurs comme X et xAI de les concurrencer. Les plaignants intentent cette action en justice pour mettre un terme au stratagème anticoncurrentiel des défendeurs et obtenir des milliards de dollars de dommages et intérêts.
Une introduction digne d’un conte de fées. Cependant, alors qu’Elon Musk avait à l’origine insisté sur le classement de Grok dans l’App Store pour justifier sa plainte, il semble que xAI ait décidé une nouvelle approche, en faisant un focus important sur les « Super Apps », ces fameuses applications populaires en Asie regroupant un tel nombre de fonctions qu’elles en deviennent de véritables systèmes d’exploitation indépendants :
Les super‑apps permettent aux consommateurs de se détacher de l’iPhone, et [...] l’accord d’exclusivité entre Apple et OpenAI protège le monopole d’Apple et maintient les prix de l’iPhone à un niveau élevé. [...] Le comportement d’Apple restreint illégalement la concurrence émanant des « super‑apps » : des plateformes multifonctionnelles proposant de nombreux services équivalents à ceux des smartphones, tels que la connectivité sociale et la messagerie, les services financiers, le commerce en ligne et le divertissement. KakaoTalk/Alipay est une super‑app qui combine messagerie, services bancaires, paiements, navigation et covoiturage. Les plaignants affirment que les super‑apps permettent aux consommateurs de se détourner de l’iPhone, et que l’accord d’exclusivité entre Apple et OpenAI protège le monopole d’Apple tout en maintenant les prix de l’iPhone artificiellement élevés.
Après cette affirmation, le document en vient au fait, avec les exigences de xAI concernant ces Super Apps et leurs développeurs :
des documents relatifs à l’importance financière ou stratégique de la vente ou de la distribution de super-apps via plusieurs boutiques d’applications.
des documents suffisants pour montrer la façon dont les propriétaires génèrent des revenus à partir de l’application aux USA et dans le reste du monde.
des documents relatifs au classement des apps dans toute liste de l’App Store d’Apple.
des documents concernant la manière dont les super-apps influent sur la capacité des utilisateurs de smartphones à changer d’appareil.
des documents suffisants pour démontrer les plans visant à intégrer, ou l’intégration déjà existante, de technologies d’IA générative dans l’application, ainsi que les raisons motivant cette décision.
des documents relatifs à la façon dont les politiques, les programmes, les modifications produits ou d’autres restrictions d’Apple ont affecté la capacité des développeurs à distribuer ou améliorer l’application.
xAI et Elon Musk semblent avoir changé de cap en cours de route, afin probablement d’éviter un bide : Grok n’est pas si mal placé dans la liste des apps populaires, que ce soit en général ou dans certaines catégories (elle est actuellement n°3 en productivité dans l’App Store français), ce qui brise assez facilement l’argument d’origine. De plus, cette nouvelle orientation permet de faire d’une pierre deux coups, en faisant à la fois porter le chapeau à Apple pour l’échec de la transformation de X en super app (volonté de longue date d’Elon Musk), et en récupérant de précieuses informations sur la façon dont se sont construites ces gigantesques apps asiatiques.
Si la manœuvre est bien pensée, il semble pour autant que xAI oublie un fait : si une telle Super App ne perce pas en Occident, la mentalité très différente entre l’Asie et l’Inde d’un côté, et les USA et l’Europe de l’autre y est pour beaucoup. Alors que dans ces pays il est fréquent qu’une entreprise touche tellement de domaines différents qu’elle en devient omniprésente, ce n’est pas le cas en France, aux USA ou ailleurs en Occident.
Au final, si cette plainte a été acceptée par la justice US, il est à se demander quel est le but final d’Elon Musk dans celle-ci : récupérer une fortune en dommages et intérêts comme indiqué dans le préambule, ou comprendre pourquoi le concept même de Super App ne fonctionne pas chez lui, tout en accusant Apple de l’en avoir empêché ?
MacWorld continue le tour de ses découvertes dans le code d’une version interne à Apple d’iOS 26, en donnant quelques infos sur deux produits : la prochaine version du HomePod mini, et le très attendu AirTag 2.
Un HomePod mini au SoC plus récent, mais sans grands changements apparents
Disponible au catalogue d’Apple depuis 2020, le HomePod mini a eu le succès qu’Apple aurait voulu avoir avec le HomePod. Il faut dire qu’à 109 €, l’achat se réfléchit un peu moins que pour son grand frère et les 349 € qu’il demande.
Depuis, à part quelques nouvelles couleurs, rien. Pas une mise à jour de l’appareil. Les choses devraient changer dans les semaines ou mois à venir, comme le prouve la découverte dans le code d’une référence B252, qui correspond à une nouvelle version de la petite enceinte connectée. Si cette mise à jour devrait comprendre un SoC S10 (comme celui des dernières Apple Watch) remplaçant le vieillissant S5 des versions actuelles, n’attendez pas pour autant des changements conséquents : ce SoC ne devrait toujours pas être à même de proposer Apple Intelligence, réservé aux futurs HomePod avec écran, qui devraient eux être équipés du A18.
Des AirTags beaucoup plus précis, y compris en mouvement
De leur côté, les AirTags de seconde génération devraient apporter bien plus de nouveautés, après 4 ans de règne de la version actuelle. Plutôt qu’un code obscur pour la nouvelle version, Apple ne s’est semble-t-il pas foulée pour en interne : il apparaît sous le code « 2025AirTag ».
Dans un premier temps, l’appairage promet d’être amélioré, sans plus de précisions. On attend de nouvelles possibilités concernant le nom ou encore l’emoji, permettant de personnaliser à loisir le petit appareil. De la même manière, l’indication de l’état de la pile devrait être beaucoup plus précis, ce qui ne sera pas très difficile vu le peu d’informations données par la version actuelle, qui se contente d’une alerte sur le téléphone quand la pile atteint un seuil critique.
Mais c’est au chapitre du suivi que les choses devraient beaucoup s’améliorer : non seulement il sera plus simple de suivre précisément un AirTag en mouvement, ce qui fait cruellement défaut à la version actuelle, mais en plus, il devrait être plus facile de suivre un AirTag perdu dans un endroit très fréquenté. Comment ? Ce n’est pas encore précisé, mais ces améliorations devraient rendre ce nouvel AirTag encore plus efficace que l’actuel.
Elle n’était pas attendue (comme souvent pour ce type de mise à jour), mais Apple sort ce soir une nouvelle version du firmware des AirPods Pro 2 et AirPods Pro 3.
Les AirPods Pro 2 passent au firmware 8B28 et les Pro 3 au 8B30, sans plus de précisions. Cette mise à jour peut très bien corriger des soucis rencontrés par les utilisateurs, tout comme amener des nouvelles fonctionnalités qui sortiront en même temps qu’iOS 26.2... ou un mix des deux.
Pour rappel, la prochaine version d’iOS devrait enfin amener la traduction instantanée aux utilisateurs de l’Union européenne, ainsi que de nouvelles langues pour cette fonction.
Comme d’habitude, aucune procédure précise à suivre pour installer ce nouveau firmware, à part faire en sorte que les écouteurs restent dans leur boîtier au plus proche de l’iPhone, si possible en charge.
C’était prévu suite à la sortie de Gemini 3, voilà qui est fait : OpenAI a sorti la version 5.2 de GPT, prévue pour contrer la montée en puissance de Google dans le domaine de l’intelligence artificielle, preuve s’il en est que Sam Altman et ses équipes ne se sentent plus si tranquilles dans le domaine, comme le rapporte TheVerge.
Dès le départ, le ton est lancé : Fidji Simo, responsable des applications chez OpenAI, annonce que GPT-5.2 est « le meilleur modèle pour l’usage quotidien en entreprise », et que leur but est de permettre « encore plus de retour sur investissement pour les utilisateurs ». Ainsi, la nouvelle version doit être encore meilleure pour « la création de feuilles de calcul, de présentations, de code, d’images percutantes, et comprend les contextes les plus complexes, et les projets en nombreuses étapes ». Tout un programme.
Si la dernière mise à jour était axée sur le conversationnel, voulant rendre le chatbot plus amical et chaleureux après la vague de mécontentement de GPT-5, GPT-5.2 est lui dirigé vers les entreprises, et la création de contenus efficaces pour soulager la charge de travail des cadres et autres employés ayant accès au bot conversationnel.
Le grand public n’est cependant pas oublié, grâce à un partenariat exclusif qui devrait rameuter bon nombres de fans de blockbusters et séries de films : OpenAI a passé un accord avec ni plus ni moins que Disney, lui ouvrant la porte à des créations officielles à partir des plus de 200 personnages des franchises de Disney, Marvel, Pixar ou encore Star Wars appartenant au géant du divertissement. Cette alliance permettra la création non seulement d’images officielles, mais aussi de vidéos grâce à Sora.
Disney n’a d’ailleurs pas perdu de temps, en ouvrant une plainte pour viol de propriété intellectuelle concernant ses personnages contre Google. Ainsi, la maison de Mickey a envoyé la bien connue procédure de « cease and desist » au propriétaire de Gemini, l’enjoignant à cesser toute reproduction des personnages tels que Deadpool, Darth Vader ou autres Elsa :
Google enfreint les droits d’auteur de Disney à une échelle massive, en copiant une grande partie des propriétés intellectuelles de l’entreprise sans autorisation pour entraîner et développer ses IA génératives. Disney ne tolérera pas plus longtemps l’exploitation commerciale non autorisée de ses personnages et marques déposées par ces services d’intelligence artificielle.
À l’autre bout du spectre ludique, ChatGPT compte aussi venir marcher sur le domaine de Grok, avec l’ouverture d’une section « adulte » du bot conversationnel dans le courant du premier semestre 2026 : l’IA d’Elon Musk ne devrait donc plus être la seule à pouvoir proposer du contenu classé X (ô ironie) à ses utilisateurs. Fidji Simo assure que l’entreprise ne proposera ce type de comportement réservé aux majeurs qu’une fois la certitude d’avoir une personne adulte face au bot, entre autres grâce à de nouveaux algorithmes de prédiction de l’âge de l’utilisateur.
Avec toutes ces nouveautés et ce partenariat conséquent, OpenAI espère rappeler que la société reste la référence en intelligence artificielle, et couper tout doute possible à ce sujet. Mais sera-ce suffisant ?
Chaque hiver, c’est le même rituel : on ressort les cartons, on démêle vaguement les câbles et on peste sur la guirlande qui a rendu l’âme. Cette année, pourtant, le centre de gravité s’est clairement déplacé vers les modèles connectés, poussés par les promos d’Amazon et l’omniprésence des assistants dans les foyers. On ne parle plus seulement de “lampions qui clignotent”, mais d’objets qui s’intègrent réellement à un écosystème domotique, avec scènes, routines et pilotage vocal.
Twinkly : le show lumineux assumé
Si l’on devait ne retenir qu’un nom pour le côté “wahou”, ce serait Twinkly. La marque joue à fond la carte premium, avec un mapping LED poussé et des effets lumineux qui ressemblent plus à un show calibré qu’à une simple guirlande de supermarché. Les références Twinkly se positionnent clairement dans le haut du panier, mais la promesse est simple : on installe, on scanne le sapin avec l’app, et il ne reste qu’à s’amuser à dessiner littéralement des animations en temps réel.
De quoi se faire une déco à l’américaine... si on y met les moyens. Image Twinkly.
C’est typiquement le produit pour ceux qui veulent transformer le salon en démonstration technologique, quitte à payer cher le moindre mètre de LED. L’intégration avec Alexa et Google Assistant ou même Siri permet de basculer d’une ambiance à l’autre à la voix ou via routines, ce qui en fait un bon candidat pour ceux qui ont déjà un début de maison connectée. C’est même l’ami des gamers, avec une intégration poussée de Razer Chroma ou Omen Light Studio ! Le premier sapin connecté aux frags !
La marque fait bien entendu dans la décoration de sapins, avec une guirlande 8 mètres (44,24 €), 20 mètres (69,99 €) et jusqu’à 60 mètres (269,99 €), mais aussi des rideaux de lumière colorés (199,99 €), des grilles flexibles permettant d’afficher un motif (69,39 €), ou même un magnifique rêne connecté et multicolore (249,99 €).
Philips Hue Festavia : la guirlande des déjà équipés
De son côté, la Philips Hue Festavia coche une autre case : celle de l’utilisateur déjà enfermé (volontairement) dans l’écosystème Hue. La guirlande se comporte comme n’importe quel luminaire Hue, avec scènes, automatisations, compatibilité Matter et intégration profonde dans l’app existante. Clairement faite pour les adeptes de la marque, elle est faite avec la même précision des couleurs que les lampes du constructeur, mais comme ces dernières, elle le fait payer au prix fort, à 204,41 € les 20 mètres.
Danser à côté du sapin n’est pas une obligation. Enfin, pas encore. Image Philips/Signify.
Cependant, l’intégration dans l’écosystème Hue a tout de même ses avantages : pas de prise de tête, un fonctionnement qu’on connaît depuis des années, et le côté rassurant d’une marque à l’historique conséquent dans le domaine de l’éclairage connecté.
Nanoleaf : la guirlande pensée comme un objet déco
Nanoleaf joue une partition un peu différente : la marque vient du monde des panneaux lumineux design, et ça se sent dans sa façon d’aborder la guirlande connectée. Ce n’est pas seulement sur un câble LED de plus, mais un produit pensé comme une extension de l’écosystème Nanoleaf, avec scènes, palettes de couleurs et synchronisation d’ambiance cohérentes avec le reste de la gamme. L’idée, c’est moins le clignotement festif de Noël que la création d’une lumière d’ambiance qui reste crédible toute l’année, que ce soit autour d’une étagère, derrière une tête de lit ou en contour d’écran.
Les guirlandes Nanoleaf se positionnent en milieu/haut de gamme : plus chères que les no‑name, mais en dessous du combo mur Twinkly ou surtout Hue partout. En échange, on récupère une intégration maison plutôt propre, une qualité de lumière et d’effets plus travaillée que le bas de gamme, et la possibilité de rester dans une logique décorative globale pour ceux déjà équipé en panneaux ou en ampoules de la marque. Pour un setup orienté « ambiance » plus que « sapin qui hurle Noël », c’est typiquement le genre de produit qui fait sens dans une déco connectée, et se trouve à 67,99 € pour 24 mètres.
Quel que soit le choix, ces trois constructeurs ont l’avantage d’être reconnus dans le domaine, et de présenter des produits avec l’assurance d’avoir quelque chose de solide, et dont on ne sera pas déçu. Avec en bonus, l’effet bluffant de pouvoir contrôler le sapin depuis le canapé !
Des perturbations sont en cours sur plusieurs services d’Apple, concentrés sur les médias : Apple Music et Apple TV sont ainsi interrompus chez un nombre assez important d’utilisateurs pour qu’Apple parle de panne chez ceux-ci.
Une panne touche actuellement Apple Music et Apple TV, ainsi que le service Channels associé. Capture MacGeneration.
La panne en cours semble être décidément liée spécifiquement aux services de musique et de films en ligne de la pomme : juste avant Apple TV et Apple Music, c’est l’iTunes Store qui faisait état d’une interruption chez certains utilisateurs, la page d’état des services indiquant qu’il était indisponible pendant une petite heure.
Si vous avez des soucis d’accès à ces deux services, n’hésitez pas à en faire part en commentaires.
Mise à jour à 22h35 : un domino de plus tombe, le Game Center fait maintenant partie des services touchés par la panne.
Surprise : alors que X s’est quasi totalement défait des restes de Twitter, ayant abandonné le petit oiseau bleu et tout ce qui s’y rapportait pour une simple lettre, voilà qu’une startup appelée « Operation Bluebird » souhaiterait le faire renaître de ses cendres, et ainsi venir taquiner Elon Musk avec la marque qu’il a lui-même fait disparaître, comme le rapporte Ars Technica.
Le retour de l’oiseau bleu... pourtant, Halloween est passé !
La manœuvre paraît culottée, au point qu’on pourrait croire à un canular. Mais non, elle est bien réelle : la startup installée en Virginie a déposé une requête auprès du US Patent and Trademark Office, qui gère les marques déposées, afin de récupérer la marque Twitter et l’expression « tweet », arguant que X les a abandonnées officiellement :
Twitter et le tweet : les deux marques ont été éradiquées par X Corp., des produits, services et marketing de l’entreprise, actant l’abandon de ces marques historiques, sans intention de les faire réapparaître plus tard. L’oiseau Twitter a été abattu.
Autre preuve des intentions claires de Michael Peroff, avocat et fondateur d’Operation Bluebird, l’existence du site www.twitter.new, lancé par la startup : si pour le moment il ne présente qu’un slogan marquant, voulant réinstituer la marque défunte ainsi que sa notoriété, il pourrait dès l’année prochaine être le nouveau départ de l’oiseau bleu, formant un réseau social concurrent de X reprenant les bases délaissées par la société d’Elon Musk. Michael Peroff voit en la réutilisation de la marque une caisse de résonance qui manque aux réseaux sociaux concurrents :
Il y a d’autres alternatives, pour sûr. Mais je n’en connais aucune actuellement qui ait atteint une taille suffisante pour venir faire la différence contre X, alors qu’un nouveau Twitter pourrait largement.
L’un des partenaires de Michael Peroff, Stephen Coates, a un historique des plus sérieux pour l’aider à reconstruire l’ancien Twitter : il n’est autre que l’ancien conseiller juridique de l’entreprise, avant qu’Elon Musk mette la main dessus. Selon lui, le retour de Twitter tel qu’on l’a connu avant Musk pourrait ramener la magie perdue depuis :
Je me rappelle d’il y a quelques temps, quand des célébrités réagissaient au contenu que je postais sur mon compte Twitter durant les finales du Super Bowl ou d’autres événements. Nous voulons faire revenir cette expérience, cette sorte de grande place publique, où tout le monde pouvait échanger.
Est-ce bien réaliste ?
Si l’opération paraît risquée, tant venir récupérer une marque fraîchement abandonnée par un personnage aussi médiatique que Musk, qui a racheté Twitter pour 44 milliards de dollars en 2022 semble perdu d’avance, Michael Peroff a pourtant bien prévu son coup, en s’entourant des bonnes personnes et en utilisant un argument massue : Elon Musk lui-même a annoncé publiquement la mort de Twitter et de l’oiseau bleu.
And soon we shall bid adieu to the twitter brand and, gradually, all the birds
Il faut dire que Michael Peroff n’est pas non plus un lapin de six semaines dans le domaine : en tant qu’avocat, sa spécialité est la propriété intellectuelle et les marques déposées. De la même manière, il ne se lance pas dans l’opération pour la beauté du geste, mais avec un plan marketing bien pensé :
Nous pensons que notre modération aidera à faire évoluer les discussions vers quelque chose de plus responsable. Les marques sont coincées sur X actuellement parce qu’elles n’ont pas d’autre endroit où aller.
Ainsi, il compte bien récupérer toutes les marques inquiètes de la tournure qu’a pris X, et toutes celles qui n’ont pas encore sauté le pas de fuir le réseau d’Elon Musk. Et il pourrait bien légalement réussir, comme l’atteste un professeur de droit de Stanford interrogé par Ars Technica :
Une simple intention d’utilisation ne suffira pas à conserver la marque, mais X pourrait se défendre en montrant qu’elle prévoit de la réutiliser. Les consommateurs connaissent bien évidemment encore la marque, et il paraît étrange que quelqu’un d’autre puisse s’emparer de ce nom alors qu’il est toujours associé au réseau social maintenant appelé X. Mais c’est ce que dit la loi.
Mark Jaffe, un avocat spécialisé en propriété intellectuelle de Californie pense lui aussi que X aura des difficultés à garder la marque Twitter :
Une fois qu’elle n’est plus utilisée ni sur le site internet ni ailleurs et que le CEO de l’entreprise a publiquement indiqué que désormais un autre nom sera la norme, je ne vois pas comment contrer un argument d’abandon de la marque.
Si l’équipe de l’Operation Bluebird semble solide, il est certain qu’Elon Musk tentera tout ce qu’il peut pour s’éviter un concurrent portant le nom qu’il a pourtant voulu détruire. La bataille promet d’être rude.
Plus le temps passe, et plus les nouveautés annoncées par certaines rumeurs se font attendre : l’Apple TV, l’AirTag 2, mais aussi et surtout les deux nouveaux moniteurs de la pomme ne sont toujours pas sortis. Reste que des détails dans le code des dernières versions d’iOS 26 révèlent des caractéristiques intéressantes pour le prochain Studio Display, comme l’a repéré Filipe Esposito de MacWorld.
Une sortie du Studio Display 2 coordonnée avec le prochain Mac Studio ? Image MacGeneration.
Même s’ils se terrent dans le code, ces détails ont été trahis par le nom utilisé en interne pour ces nouveaux écrans : J527, référence déjà lâchée par Mark Gurman comme étant le nom de code d’une variante améliorée du Studio Display, ou du Pro Display XDR.
Si Gurman laissait planer le doute, Esposito semble lui se décider sur un Studio Display 2 qui viendrait mettre l’écran d’Apple au niveau de ses concurrents : la nouvelle dalle serait ainsi prévue pour fonctionner en 120 Hz, et gagnerait le HDR qui manque à l’actuel Studio Display.
Concernant le processeur intégré, alors que l’écran encore au catalogue est équipé d’un vieillissant SoC A13 (même si celui-ci ne s’occupe au final que de gérer la webcam et les enceintes), son successeur confirmerait l’utilisation d’un A19, génération de processeur tout juste sortie avec les iPhone 17. De quoi probablement améliorer la webcam intégrée, qui pourrait alors profiter d’une résolution plus élevée.
Reste à connaître la date de sortie exacte de ces nouveaux moniteurs... si celle-ci n’a pas encore fuité, il est quasi certain qu’elle intervienne courant 2026. Avec les nouveaux Mac Studio M5 Pro/Max ? Et qu'en est-il du prochain Pro Display XDR ? Si très peu d'informations ont fuité sur la prochaine mouture de l'écran professionnel de la pomme, l'une des plus probables indique un passage au Quantum Dot, pour encore améliorer le rendu des couleurs. Il suivrait ainsi les MacBook Pro, passés à cette technologie avec la génération M4.