Capcom met désormais Mega Man, Ace Attorney et Devil May Cry au cœur de sa stratégie d'avenir






Faut-il encore présenter Cole Hauser ? Longtemps relégué à des seconds rôles, l’acteur américain jouit désormais d’une immense popularité grâce à Yellowstone. Son rôle de Rip Wheeler dans la série western lui a ouvert grand les portes de la renommée.
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De l’aéroport de Beauvais à La Défense, accompagné de sa valise à roulettes, Darius traverse à pied campagnes et banlieues pour mener à bien, et sans empreinte carbone, une mystérieuse mission.
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Pour une pratique du jardinage récurrente ou occasionnelle, la qualité du sol demeure essentielle au bon développement des plantes. Cela préserve aussi la biodiversité. Il existe des signes qui permettent de déterminer l’état du sol. Avec la présence de plantes bioindicatrices, un jardinier peut les reconnaître et disposer d’informations précieuses.

© ANNA KURTH/AFP
[MàJ] L'Europe vient de s'attribuer le mérite de cette annonce, considérant que les deux sociétés ont été obligée de mettre en place cette interopérabilité pour se conformer à ses lois.
Google et Apple travaillent conjointement à une offre logicielle permettant une bascule d'Android vers et iOS et inversement plus aisée.
Android Canari 2512 compatibles avec les smartphone Pixels contient déjà un premier jet du fruit de cette collaboration. Il arrivera prochainement sous iOS 26.
Le but est en cas de changement de smartphone, de pouvoir récupérer un maximum de données de manières aisée et transparente.
Bien entendu on peut s'étonner d'une telle ouverture, surtout de la part d'Apple (et nous ne sommes pas un premier avril). Il est probable que chaque fabricant espère récupérer une partie des clients de l'autres. Il est aussi probable que ce geste d'ouverture serve à prouver aux régulateurs que ces deux géants ne sont plus aussi protecteurs de leurs écosystèmes ce qui a son importance.
Apple devrait présenter son tout premier iPhone pliant dans moins d’un an, puisqu’on l’attend à l’automne 2026 en même temps que les iPhone 18 Pro et 18 Pro Max. D’après ETnews, cité par MacRumors qui note que l’article d’origine a été supprimé depuis, l’entreprise aurait confiance en son produit, puisque les commandes de dalles flexibles seraient en hausse. Le site coréen suggérait que Samsung aurait reçu des commandes pour onze millions de dalles OLED pour Apple en 2026, ce qui suggère une production autour des dix millions pour le lancement.
Ces chiffres sont plus de 30 % supérieurs aux précédentes estimations de l’industrie. On parlait jusque-là de 6 à 8 millions d’iPhone pliants pour le lancement, un chiffre qui provenait de la même source, à savoir des rumeurs autour de la production par Samsung de dalles OLED destinées à Apple. Est-ce le signe qu’Apple a gagné en confiance dans son propre produit et espère en vendre bien plus que prévu initialement ?
Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliant
La Pomme devrait en tout cas bousculer le marché des smartphones pliants, dominé jusque-là par Samsung et Google. Le cabinet d’analyse IDC s’attend à une croissance des téléphones que l’on plie de l’ordre de 30 % pour 2026, presque uniquement grâce au lancement d’un iPhone pliant, même si Samsung pourrait aussi faire quelques vagues avec son modèle à trois écrans.
Z TriFold : Samsung officialise son premier smartphone pliant à trois écrans
Malgré tout, c’est bien Apple qui devrait tirer le marché vers le haut, en s’accaparant en quelques mois une large part des ventes de smartphones pliants en volume et une encore plus grande en valeur. D’après IDC, Apple devrait récupérer 22 % de parts de marché en volume et même 34 % du marché en valeur. Une performance permise par un prix de vente plus élevé que la moyenne, sans trop de surprise : le cabinet estime ainsi que le prix de départ serait à 2 400 $ pour ce premier modèle. iOS devrait logiquement occuper plus de place sur ce segment, où le système mobile d’Apple est actuellement absent et le cabinet envisage qu’il dépasse HarmonyOS, le système de Huawei, dès la première année. Il pourrait même représenter un tiers des appareils en action à l’horizon 2028.
Pour rappel, le premier iPhone pliant devrait s’ouvrir comme un livre et proposer un format proche d’un iPad mini une fois déplié. Apple aurait adopté le même format général que le Galaxy Z Fold de Samsung ou bien le Pixel Fold de Google, y compris avec un troisième écran sur l’extérieur qui permet de l’utiliser rapidement sans l’ouvrir.
Tout ce que l'on sait du futur et premier iPhone pliant
Nouvelle présentation du côté de DeepCool qui annonce le Spartacus 360. Il s’agit, pour DeepCool, de son nouveau fer de lance en termes de refroidissement liquide. Ce dernier met en avant un écran personnalisable sur le dessus de sa pompe avec un logiciel doté de fonctionnalités dopées à l’IA pour la gestion de la ventilation. […]
L’article DeepCool dévoile son AIO Spartacus 360 ! est apparu en premier sur Overclocking.com.

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En 1968, un alunissage réussi relevait de la science-fiction, et pourtant… C’est le pari fou que vont tenter de relever Channing Tatum et Scarlett Johansson dans la comédie To The Moon, réalisée par Greg Berlanti. Un film joyeux et divertissant, produit par Apple Studios, que vous pouvez dè…
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Alors qu’OpenAI semblait engagée dans une lutte à mort avec Google pour la suprématie des modèles de langage, Sam Altman change de perspective. Pour le patron de ChatGPT, la véritable bataille de demain ne se jouera pas dans le nuage, mais sur le matériel, face à Apple.
Si Tim Cook avait besoin d’un peu de réconfort en cette période trouble, il a pu le trouver dans les récentes déclarations de Sam Altman. Souvent malmené sur le terrain de l’IA générative et parfois privé de rond de serviette dans certains sommets stratégiques, Apple se voit soudainement remise au centre du jeu par le patron d’OpenAI lui-même.
Lors d'un déjeuner avec la presse à New York, Sam Altman a jeté un pavé dans la mare en affirmant que la concurrence future ne se gagnerait pas uniquement par le logiciel, mais par les appareils. Selon lui, les smartphones actuels ne sont tout simplement pas conçus pour accueillir les véritables compagnons IA de demain.
C'est une vision stratégique qui place Apple, et non Google, dans le viseur direct d'OpenAI. L'idée est simple : pour imposer une IA omniprésente, il faut contrôler l'interface finale avec l'utilisateur. Altman semble convaincu que le form factor actuel du smartphone est une limitation pour l'intelligence artificielle.
Mais le réconfort a du rapidement prendre fin pour Tim Cook. Car pour arriver à ses fins, OpenAI mène une campagne de débauchage agressive du côté de l'Apple Park. Selon Bloomberg, une quarantaine d'ingénieurs matériels ont quitté Cupertino en un seul mois pour rejoindre les rangs d'OpenAI, notamment des spécialistes de l'audio, des wearables et de la robotique.
Jony Ive et OpenAI débaucheraient sans trop de difficultés des spécialistes chez Apple
Mais le coup le plus symbolique reste l'alliance avec Jony Ive. L'ancien designer vedette d'Apple, père de l'iPhone et de l'Apple Watch, travaille désormais main dans la main avec Altman. Ive, qui a parfois exprimé des regrets sur les "conséquences involontaires" de l'ère du smartphone (comprenez : l'addiction aux écrans), voit ici l'occasion de réinventer l'interaction homme-machine.
Avec l'aide d'anciens d'Apple comme Tang Tan et Evans Hankey, cette nouvelle division matérielle — fruit d'une fusion à 6,5 milliards de dollars en mai dernier — planche sur une "famille d'appareils". L'objectif ? Lancer d'ici fin 2026 un produit capable de rendre caduc le paradigme de l'iPhone. Pour Apple, dont les équipes IA patinent au point de devoir utiliser Gemini pour le prochain Siri, la menace est double : une concurrence sur le matériel et une hémorragie de talents.
Si les rêves de matériel occupent l'esprit de Sam Altman, la réalité immédiate est bien plus terre à terre : Google est revenu dans la course, et vite. Depuis que son générateur d'images « Nano Banana » est devenu viral en août, Mountain View ne relâche plus la pression. Le mois dernier, son nouveau modèle Gemini 3 a même doublé OpenAI sur le très scruté classement LM Arena, véritable juge de paix des performances techniques. Pire encore pour les finances, le rival Anthropic a discrètement pris l'avantage auprès des clients entreprises.
OpenAI, un géant aux pieds d’argile face au retour en force de Google
Mais cette « alerte rouge » décrété par Altman cache une autre réalité, moins reluisante : une guerre interne qui couve depuis des années.
Selon des sources proches du dossier, deux philosophies s'affrontent désormais ouvertement au sein de la start-up. D'un côté, le camp « produit », mené par la directrice financière Sarah Friar et surtout par Fidji Simo. L'ancienne cadre de Meta, désormais à la tête des produits chez OpenAI, milite pour une approche pragmatique : allouer plus de ressources à ChatGPT, améliorer sa vitesse et sa fiabilité, et s'assurer que les utilisateurs comprennent réellement les fonctions existantes avant d'en empiler de nouvelles.
De l'autre, les chercheurs historiques, pour qui l'amélioration de l'expérience utilisateur de base est secondaire face à la quête du Graal : l'intelligence artificielle générale.
Pour l'heure, c'est le camp du produit qui semble avoir gagné l'oreille du patron. OpenAI s'apprête à sortir cette semaine le modèle 5.2, conçu pour redonner de l'élan à l'entreprise, notamment auprès des développeurs et des entreprises. Un lancement qui se fait aux forceps : la direction a ignoré les demandes de certains employés qui réclamaient plus de temps pour peaufiner la copie.
En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine
Le plan de bataille ne s'arrête pas là. Altman a promis un autre modèle pour janvier, doté de meilleures capacités d'image, d'une rapidité accrue et d'une « meilleure personnalité ». C'est seulement après ces lancements que l’alerte rouge pourrait être levée.
Officiellement, une porte-parole assure qu'il n'y a aucun conflit et que l'adoption massive des outils actuels est la voie royale vers l'intelligence artificielle générale. Mais la croissance fulgurante de ChatGPT, qui permettait jusqu'ici de cacher la poussière sous le tapis, ne suffit plus à masquer ces divergences. L'ironie de l'histoire ne manquera pas de faire sourire chez Google : fin 2022, c'était Sundar Pichai qui avait émis une alerte rouge pour rattraper OpenAI. Trois ans plus tard, les rôles sont inversés.
L'Intelligence Artificielle Générale (AGI) a longtemps été perçue comme l'horizon indépassable, une chimère technologique promise par les plus grands futurologues. Pourtant, une startup basée au Japon, Integral AI, affirme aujourd'hui avoir franchi ce cap décisif avec un modèle capable d'apprendre sans intervention humaine. Vraiment ?