Rebecca Gayheart spotted kissing billionaire boyfriend as she and Eric Dane navigate estranged marriage





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3 min: Miami pinned Vancouver deep in their own half for quite a while, and after a short break the other way, they get it back. Allende gets the first shot of the game, putting it over from near the corner of the penalty area.
1 min: The atmosphere is lively as we have a frantic midfield battle, with neither team sustaining possession.
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© Photograph: Julio Aguilar/Getty Images

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ATK muscle son offre milieu de gamme avec la A9 Air, une souris gaming sans fil ultra‑légère qui vise la performance sans faire exploser la note.
La nouvelle venue repose sur la plateforme ATK Shark MAX et affiche 47 g sur la balance pour 125 × 63,5 × 40 mm, un format adapté aux mains moyennes à larges. Sous le capot, on retrouve un capteur PAW3950 Ultra grimpant jusqu’à 30 000 DPI, 750 IPS et 50 G d’accélération, associé à un contrôleur Nordic 54L15 capable de pousser le taux d’interrogation jusqu’à 8 000 Hz. Les clics passent par des interrupteurs optiques ATK SwiftLight annoncés à 0,181 ms de latence.

Côté liaisons, la A9 Air couvre l’essentiel : USB‑C filaire, Bluetooth et 2,4 GHz. ATK fournit le nouveau récepteur GEM 8K, mis en avant pour sa stabilité à haut débit et sa transmission bidirectionnelle sur huit pistes dans des environnements radio bruyants. On note aussi une molette TTC Gold, plusieurs jeux de patins interchangeables à base de téflon, ainsi qu’une batterie de 300 mAh donnée pour jusqu’à 300 heures à 1 000 Hz.


D’après ATK, la A9 Air reprend presque trait pour trait les A9 Ultra Max 2.0 et A9 Ultimate. La principale différence tient à la batterie : 300 mAh sur la Air contre 800 mAh sur ses sœurs, ce qui expliquerait la baisse de poids de 53 g à 47 g. Les coloris annoncés sont noir, blanc, blanc minuit et orange phantom.
La A9 Air est proposée à 79,98 dollars sur la boutique officielle. ATK résume l’objectif de ce modèle en visant des composants de niveau « flagship » tout en restant sur un tarif de milieu de gamme.
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Source : TechPowerUp














NVIDIA CUDA 13.1 inaugure CUDA Tile, un nouveau modèle de programmation par « tuiles » qui promet d’abstraire les Tensor Cores et de simplifier l’écriture d’algorithmes hautes performances sur GPU.
Présenté comme l’évolution la plus marquante depuis 2006, CUDA Tile apporte une représentation intermédiaire dédiée, baptisée CUDA Tile IR, et un ensemble d’instructions virtuelles pour programmer des opérations « par tuiles ». L’idée : décrire des blocs de données et les calculs associés, tandis que le compilateur et l’exécution se chargent du mapping fin sur le matériel, y compris la hiérarchie mémoire et les Tensor Cores.

Historiquement, CUDA expose un modèle SIMT très flexible mais exigeant côté optimisation. Ici, NVIDIA vise à élever le niveau d’abstraction, en phase avec l’essor des charges IA où les tenseurs dominent. D’après l’annonce, « CUDA Tile abstrait les Tensor Cores et leurs modèles de programmation » afin que le même code tuilé reste compatible avec les architectures actuelles et futures.
Important : ce n’est pas un choix exclusif. Les deux voies coexistent : on continue d’écrire des kernels SIMT quand c’est pertinent, et on bascule vers des kernels tuilés pour exploiter au mieux les unités spécialisées comme les Tensor Cores et les accélérateurs mémoire TMA.

Au cœur du dispositif, CUDA Tile IR joue pour la programmation par tuiles un rôle analogue à PTX pour le SIMT : portabilité et exécution efficace sur plusieurs générations de GPU, avec la possibilité de bâtir des compilateurs, frameworks et langages dédiés au-dessus.
La plupart des développeurs n’auront cependant pas à manipuler l’IR : NVIDIA propose cuTile Python, qui s’appuie sur CUDA Tile IR en backend. Pour les concepteurs d’outils ou bibliothèques ciblant déjà PTX, il est possible d’étendre la chaîne pour viser aussi CUDA Tile IR. L’ensemble est disponible dès CUDA 13.1, avec documentation, dépôts GitHub et exemples sur la page officielle.
À retenir : CUDA Tile permet de décrire des calculs par blocs de données sans micro-gérer les threads, abstrait les Tensor Cores pour une compatibilité pérenne, et coexiste avec le SIMT pour préserver la liberté d’optimisation.
Source : TechPowerUp














Last season, there was a coldly efficient streak to Liverpool. They rolled out a series of unremarkable 2-0 wins, a title rooted in unfussy competence. This season could hardly be more different; they are neither unfussy nor competent. They led 2-0 and, four minutes intostoppage time, they led 3-2, and yet still they didn’t win it. It was tremendous fun, but Arne Slot will have hated it.
Just as no side can be sure whether a win at West Ham in their previous away match means they’ve played well or were just playing West Ham, so it would be unwise to read too much into this mishmash of the haplessness and excellence. Their three goals all resulted from fine finishes and one from clever buildup play, but the image of the game – once again – would be Virgil van Dijk standing hands on hips, steam rising both literally and metaphorically as he glared in disbelief at the bizarrely diffident defending around him.
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© Photograph: Danny Lawson/PA

© Photograph: Danny Lawson/PA

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Alors que Léa Salamé sera de retour pour une nouvelle édition du 20h ce lundi 8 décembre 2025 sur l'antenne de France 2, Toutelatele a donc tiré un premier bilan sur les audiences depuis son arrivée le 1er septembre dernier.