Israël annonce avoir identifié la dépouille de l'avant-dernier otage détenu à Gaza
















The controversy over flags has faded from the national agenda – but street by street, late at night and with ingenious equipment, their raising and removal is the subject of a roiling dispute over local identity
The Christmas lights have gone up in Stirchley. A multifaith mix of stars and swirls add a festive air to the lamp-posts along the main street of this south Birmingham suburb. Stirchley is a modest kind of place, sandwiched between better known (and better off) areas such as Bourneville and Moseley, but there is plenty of evidence here of the lively community spirit that last year resulted in the area being named the best place to live in the Midlands.
Posters in shop windows along Pershore Road advertise a knitting group, a neighbourhood winter fair and the local food bank, while in the former swimming baths, now a community hub, friendly flyers for coffee mornings and choirs are stacked.
Continue reading...
© Composite: Guardian Design/Getty Images

© Composite: Guardian Design/Getty Images

© Composite: Guardian Design/Getty Images
In the 21st-century imbalance of power, Europe and Nato have neither the arms nor the wealth to impel Russia or the US to take its peace settlement seriously
The failure of this week’s peace talks between Vladimir Putin and Donald Trump’s envoy Steve Witkoff fits into a now well-established pattern of standoffs on Ukraine during Trump’s second term. But the dynamic that produced these talks may be becoming more entrenched. The US and Russian interests driving the process have not changed, while the conflict on the ground is intensifying. The lack of progress this week means there will be another attempt to end the war soon, and perhaps another after that, until, one day, there is some kind of US-backed deal to halt the conflict on terms broadly favouring Russia.
The geopolitical algorithm driving this effort is too consistent to ignore. It has been repeated ever since Trump re-entered the White House in January. On the campaign trail, Trump had claimed he could stop the war in a day. That was never going to happen. But from 12 February onwards, when Trump first talked directly to Putin about Ukraine, the intention and approach have not altered. There is no reason to suppose they will do so now. Indeed, Tuesday’s impasse may spur them on again.
Martin Kettle is a Guardian columnist
Continue reading...
© Photograph: Anadolu/Getty Images

© Photograph: Anadolu/Getty Images

© Photograph: Anadolu/Getty Images
Sequins shed, pollute and rarely get worn. From peplum to ribbons, here are the festive alternatives that bring all the glamour and none of the damage
• Jess Cartner-Morley’s December style essentials
Halloween hadn’t even happened this year when my local supermarket began proudly displaying its festive womenswear. Almost exclusively spattered in sequins, it looked much the same as the previous year’s party offering and was already reduced by 50% by – wait for it – 11 November. For £9 you could pick up a black sequin vest a mere two weeks after it was available at an already worryingly low full price.
Judging by the sale and well-stocked rails, the items didn’t appear to be in demand, and with so many identikit sequin garments in existence (more than 500 black sequin vests at the same price and under on Vinted at the time of writing in the UK), what’s the point of producing more every year?
Continue reading...
© Composite: PR Image

© Composite: PR Image

© Composite: PR Image
Gros rétropédalage chez Nuki. Ce fabricant de serrures connectées s’est lancé cet été sur le marché américain, avec une petite différence par rapport au Vieux Continent : il a misé sur un système d’abonnement annuel (ou mensuel) quasi obligatoire. L’expérience n’a visiblement pas été concluante, l’entreprise venant d’abandonner ce modèle économique.

Dans l’Hexagone et en Europe, les serrures connectées de la marque sont vendues entre 150 € et 350 € selon les modèles. L’entreprise a tenté une approche différente aux États-Unis en cassant les prix sur le matériel : la serrure seule y est vendue pour 159 $ ou 229 $ dans sa version avec un clavier numérique. Mais un abonnement Nuki Premium affiché à 5,90 $ par mois ou 70,80 $ par an est nécessaire pour certaines fonctions basiques.
Il permet principalement de connecter la serrure au Wi-Fi ou de la régler à distance. Il donne également accès à quelques outils administratifs pour les AirBnb, des notifications en temps réel ou un remplacement rapide du matériel en cas de pépin. Bref, des fonctions basiques avec d’autres plus pros incluses dans un abonnement vendu aussi cher que celui de certaines plateformes de streaming, qui ne concernait à chaque fois qu’une unique serrure.
On sentait Nuki assez hésitante à le mettre en avant. L’entreprise a offert son abonnement à vie jusqu’au mois de septembre avant de repousser l’échéance jusqu’à la fin décembre. Finalement, elle a confirmé à AndroidAuthority que les clients américains n’auront pas besoin de mettre la main à la poche pour la plupart de ces fonctions basiques.

À la place, Nuki va remonter ses prix pour les rendre plus proches de ceux pratiqués en Europe. Ce n’est pas une mauvaise affaire sur le long terme, et les plus anxieux pourront à la place payer 29 $ pour une assurance sur trois ans ou 69 $ par an pour un service visant les propriétaires bailleurs. Celui-ci est également disponible en France pour 69 €.
Depuis plusieurs années déjà, le cinéma d'horreur vit son nouvel âge d'or. Les projets n'ont jamais été aussi nombreux et sont toujours autant plébiscités par les spectateurs du monde entier. Avec une moyenne de 3,70 sur 5 et 4711 notes, Évanouis - ou Weapons en version originale - de Zach Cregge…
Article original publié sur AlloCiné
![]()


Le président français Emmanuel Macron a pressé ce jeudi 4 décembre son homologue chinois Xi Jinping d’œuvrer à mettre fin à la guerre en Ukraine et à corriger les déséquilibres commerciaux, lors d’une visite en grande pompe à Pékin.
"Nous devons continuer à nous mobiliser en faveur de la paix et de la stabilité dans le monde. Et de l’Ukraine aux différentes régions du monde qui sont touchées par la guerre, la capacité que nous avons à œuvrer ensemble est déterminante", a déclaré Emmanuel Macron après un entretien restreint et avant des discussions en format élargi.
"Nous avons, nous le savons, beaucoup de voies de convergence, nous avons parfois des désaccords, mais nous avons la responsabilité de savoir les dépasser, de trouver des mécanismes de coopération, de règlement des différends pour un multilatéralisme efficace auquel nous croyons", a ajouté le dirigeant français.
Pour sa part, Xi Jinping a assuré que la Chine entendait coopérer avec la France pour "écarter toute interférence" et "rendre le partenariat stratégique général entre la Chine et la France plus stable".
Emmanuel Macron a aussi appelé la Chine à des "investissements croisés" pour rééquilibrer la relation commerciale. Il a prôné la coopération avec le G7 pour une gouvernance économique fondée sur des "règles".
Le président chinois, accompagné de son épouse Peng Liyuan, a reçu Emmanuel Macron et son épouse Brigitte dans le cadre monumental du Palais du peuple, décor des congrès du Parti communiste chinois. Ils ont écouté les hymnes nationaux et passé en revue la garde, avant d’être salués par des enfants auxquels Emmanuel Macron a adressé un baiser de la main.
Le chef de l’Etat français, arrivé mercredi soir, accompagné également par 35 dirigeants de grands groupes (Airbus, EDF, Danone..) et d’entreprises familiales, du luxe à l’agroalimentaire, devait assister à la signature d’un certain nombre de contrats. Il s’agit de la quatrième visite d’Etat en Chine d’Emmanuel Macron depuis qu’il a été élu président en 2017. Xi Jinping a lui-même été reçu en France en grande pompe en 2024 et l’Elysée présente le temps que Xi Jinping passera avec Emmanuel Macron d’ici à vendredi, y compris à titre privé, comme un signe de l’importance de la relation.
Cependant, les différends avec la France et, plus largement l’Europe, sont profonds. "Nous avons une attente constante à l’égard de la Chine. C’est qu’elle use de son influence auprès de la Russie pour l’amener à cesser la guerre" en Ukraine, aux portes de l’Union européenne, dit l’Elysée.
La Chine assure constamment vouloir la paix. Mais elle n’a jamais condamné l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février 2022. Partenaire économique et politique primordiale de la Russie, elle est le premier pays acheteur de combustibles fossiles russes au monde, y compris de produits pétroliers, alimentant ainsi la machine de guerre. Des Européens l’accusent de fournir des composants militaires à Moscou. Lors de son précédent voyage à Pékin en 2023, Emmanuel Macron avait appelé Xi Jinping à "ramener la Russie à la raison". Le président chinois a réservé un traitement privilégié à son homologue russe Vladimir Poutine en septembre en l’invitant, avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un à un défilé militaire géant célébrant les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Emmanuel Macron entend aussi aborder des pratiques commerciales chinoises jugées déloyales, des voitures électriques à l’acier. La relation entre la Chine et l’Union européenne se caractérise par un déficit commercial massif (357,1 milliards de dollars) en défaveur de l’UE. Un conseiller du président français a évoqué avant la visite le risque de devoir "fermer les marchés", déjà très secoués par la guerre des droits de douane engagée par le président américain Donald Trump.
Paris pousse aussi pour que la Chine investisse plus en France, avec un partage de technologies comparable à celui opéré par les Européens et qui a contribué au décollage économique de Pékin. Les Européens pressent aussi pour un meilleur accès aux métaux rares, dont la Chine domine la production et la transformation mondiales, levier dont elle a fait en 2025 un usage qui a ébranlé les chaînes d’approvisionnement de la planète.
Comme en France en 2024, les deux couples présidentiels se retrouveront vendredi dans un cadre plus informel à Chengdu, dans la province du Sichuan (sud-ouest), berceau des pandas géants devenus des ambassadeurs de la Chine à travers le monde.

© afp.com/Ludovic MARIN
Mais que va donc faire Alan Dye chez Meta ? Hier, on apprenait que le chef des interfaces de la pomme allait quitter le navire pour grossir les rangs de Mark Zuckerberg. Ce dernier a annoncé aujourd'hui son intention de lancer un studio créatif dirigé par Alan Dye. La nouvelle a été annoncée en grande pompe sur Threads : le créateur de Facebook veut que ce studio fusionne différents éléments en utilisant l’IA comme un « nouveau matériau de conception ».
Voir dans Threads
« Ce nouveau studio réunira le design, la mode et la technologie afin de définir la prochaine génération de nos produits et expériences », a expliqué Mark Zuckerberg. « Notre idée est de considérer l'intelligence comme un nouveau matériau de conception et d'imaginer ce qui devient possible lorsqu'elle est abondante, performante et centrée sur l'humain », ajoute-t-il.
Alan Dye sera accompagné dans cette tâche par Billy Sorrentino, un vieux collègue d’Apple. Cet ancien directeur créatif de Wired arrivé à Cupertino en 2016 a dû être débauché récemment étant donné qu’il était encore chez Apple en octobre 2024 et que son LinkedIn n’a pas été mis à jour. Les deux ont travaillé sur la refonte Liquid Glass, arrivée avec les systèmes de cette année.
L’équipe sera également composée de membres de l'équipe de design existante de Meta, ainsi que de celle ayant géré le métavers. « Nous prévoyons de rehausser le design au sein de Meta et de réunir un groupe de talents alliant savoir-faire, vision créative, pensée systémique et expérience approfondie dans la création de produits emblématiques qui font le pont entre le matériel et les logiciels », explique Mark Zuckerberg.

Mark Zuckerberg sent bien qu’il tient quelque chose avec ses lunettes connectées, qui font un carton et qui sont régulièrement en rupture de stock en boutique. Le CEO fait miroiter une « nouvelle ère » grâce à ce nouveau format et explique que le nouveau studio va permettre de rendre « chaque interaction réfléchie, intuitive et conçue pour servir les personnes ». L’entreprise travaille d’arrache-pied sur de nouvelles lunettes, et a lancé cette année un premier modèle à écran intégré.
Meta Ray-Ban Display : un prototype qui aura besoin de cinq ans pour devenir un vrai produit ?
Apple s’intéresse également au format, mais il ne faut rien attendre tout de suite : le produit n’arriverait qu’en 2027 selon Ming Chi-Kuo. Celles-ci n’auraient pas d’écran et permettraient de faire plus ou moins ce que font les Meta Ray-Ban actuelles. Un « Vision Air » pourrait être lancé la même année avant une grosse révision du casque en 2028.
Décembre s'annonce chargé sur Netflix. Entre la saison finale de Stranger Things et le retour d'Emily in Paris, une nouvelle série débarque aujourd'hui : The Abandons. Un western violent porté par deux actrices au sommet, Gillian Anderson (X-Files, The Crown, Sex Education) comme on ne l'a jamai…
Article original publié sur AlloCiné
Les premières fois dans un début de relation amoureuse sont toujours marquantes... Dans Ici tout commence, Ismaël est enfin parvenu à dévoiler ses sentiments envers Léonard. En effet, le personnage joué par Morgan Jallu a délaissé son ex Bianca pour se mettre en couple avec son camarade de l'I…
Article original publié sur AlloCiné




Luna va-t-elle sortir de derrière les barreaux dans Amour, gloire et beauté ? Emprisonnée après avoir enfin été démasquée pour tous ses horribles méfaits, la jeune femme incarnée par l'actrice Lisa Yamada est prête à user de toutes les manipulations pour convaincre Bill (Don Diamont) de l'aide…
Article original publié sur AlloCiné





